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Où trouver une bonne bûche de Noël au Texas ?

Pour les fêtes de fin d’année la bûche est la reine incontestée des desserts. Elle s’invite traditionnellement à la table de Noël et régale les petits et les grands. Qu’on la préfère glacée, pâtissière ou meringuée, la bûche de Noël est un gâteau sophistiqué, apothéose du menu de fêtes. Voici quelques adresses texanes pour découvrir la sélection 2021.

Houston :

La boulangerie French Gourmet Bakery offre le choix de cinq parfums : mousse chocolat au rhum, mousse au chocolat blanc et Grand Marnier, chocolat framboise, moka au rhum et enfin noisette. Elles sont disponibles en deux tailles : 12-15 personnes (79,99$) ou 15-18 personnes (89,99$).  D’autres gâteaux de Noël, comme leur fameux cake aux fruits, le gâteau à l’Amaretto ou moka rhum, Grand Marnier ou noisette (10 personnes, 69,99$), le gâteau tout chocolat, gâteau noir et blanc valable pour 8 ou 10 personnes (59,99$ ou 69,99 $). Il est conseillé de commander 48 heures à l’avance minimum.

La Tartine de Houston réalise des bûches à base de beurre importé d’Europe avec deux saveurs à la clé : vanille et chocolat/ganache au chocolat. Deux tailles sont disponibles (5/6 personnes pour 50$ et 10/12 personnes pour 70$) et les dernières commandes seront prises le 21 décembre.

La chef Nga Rogers, de la pâtisserie Paris je t’aime présente cette année quatre nouvelles saveurs pour embellir votre Noël : l’incontournable mousse chocolat praliné noisettes, caramel au beurre salé et biscuit moelleux au chocolat. La mélangée mousse au chocolat praliné noisettes, mangue confite et biscuit au chocolat. La toute pistache : crème pistache nappée d’une couche de confit de framboises, praliné pistache, pâte croustillante de pistache et biscuit moelleux à la pistache. Enfin la bûche roulée  moderne aux différentes saveurs comme crème vanille, ganache chocolat noir, orange confite sous le biscuit à la cuillère. Deux formats vous sont proposés servant 5 ou 10 personnes (50$ et 90$). Elles peuvent être commandées jusqu’au 17 décembre.

Dans les magasins de Flo Paris, trois tailles de bûches vous sont proposées : 6 personnes, 8 personnes et 15 personnes (60$, 70$, 90$), toutes sur commande. Elles se déclinent autour de trois saveurs : la traditionnelle chocolat, la red Velvet, et la café-chocolat.

Pour votre table, Bonjour Café a élaboré trois sortes de bûches traditionnelles : vanille/caramel, vanille/framboise et la chef, à base de crème de fromage et de myrtilles. Elles sont proposées en deux tailles : 5 personnes (35$) et 10 personnes (70$).  Ces deux bûches sont toutes les deux recouvertes d’un ganache au chocolat. Pour les gourmands, le chef propose une bûche plus sophistiquée composée d’une mousse chocolat, d’un sablé breton, d’un biscuit amande le tout couvert de meringue à l’italienne. Une taille unique pour 10 personnes (90$). Vous pouvez commander jusqu’au 23 décembre.

Chez Mademoiselle Louise, le pâtissier a réalisé cette année deux bûches aux saveurs différentes. La bûche royale chocolat composée d’une dacquoise amande, d’un croustillant praline, d’un ganache chocolat noir et mousse chocolat. Plus exotique, la bûche Tahiti réalisée à partir d’un biscuit madeleine aux framboises, compote de framboises, fruit de la passion et vanille. Elles sont réalisées en deux tailles, pour 5/6 personnes (39$) ou 10/12 personnes (65$), et les commandes sont prises jusqu’au 20 décembre.

Paris Sweet pâtisserie a sélectionné trois parfums pour Noël : tiramisu, fruit de la passion/chocolat et cappuccino. Ces bûches sont réalisées en trois tailles : 6 personnes (32$), 8 personnes (48$)et 10/12 personnes (70$). Vous pouvez passer votre commande jusqu’au 23 décembre, uniquement par téléphone (281-498-0087).

Le boulanger du magasin Phoenicia vous offre le choix de deux parfums : vanille/framboise ou chocolat/framboise. Les deux bûches sont disponibles en une taille unique pour 12 personnes (27$). Les commandes sont prises jusqu’à Noël.

Austin :

L’authentique boutique La Pâtisserie propose une seule bûche, un roulé au chocolat et café avec sa crème au beurre traditionnelle, glacé avec un ganache au chocolat, le tout décoré de macarons de Noël. Ce dessert est en taille unique, pour 12 à 16 personnes (70$). Vous pouvez passer vos commandes trois jours à l’avance dans l‘une des deux boutiques.

La plus ancienne pâtisserie française de la ville, Julie Myrtille, vous propose tois sortes de bûches : la triple chocolat (sans gluten), signature de la maison, est un véritable dessert décadent. Il est composé d’un biscuit dacquois moelleux aux amandes (sans farine), d’une mousse au chocolat noir, d’une mousse au chocolat au lait et d’une mousse de chocolat blanc crémeuse. Le tout recouvert d’un glaçage miroir au chocolat. La forêt rouge vanillée est constituée d’un biscuit madeleine, d’une mousse onctueuse vanille et d’une compote de fruits rouges. La finition est un miroir chocolat et vanille blanche. Enfin, le chef vous propose une déclinaison de l’emblématique gâteau Opéra en une bûche. Réalisé sur un biscuit moelleux aux amandes recouvert de crème au beurre au café, d’un ganache au chocolat, le tout recouvert d’un glaçage au chocolat. Ces trois desserts exceptionnels existent en une taille unique pour 8 personnes (70$) et peuvent être commandés jusqu’au 16 décembre.

Sous la houlette du chef Kevin d’Andréa, Foliepop’s vient de sortir sa gamme de bûches pour les fêtes de fin d’année. La traditionnelle est une mousse de chocolat/fruit de la passion avec un crémeux passion, le tout sur une dacquoise au praliné croustillant. La bûche à la vanille est accompagnée de pommes caramélisées, d’un caramel au beurre salé sur un biscuit joconde. Les deux sont en taille unique pour servir 8 personnes (70$). Un vrai régal !

Dallas :

Dirigée par le chef Andrea Meyer, la pâtisserie Bisous Bisous, vous propose une bûche de Noël classique version croquant au caramel ou au parfum chocolat et noisettes. Une seule taille (52$) pour 8 à 10 convives. Vous avez jusqu’au 19 décembre pour les commander pour le réveillon.

La pâtisserie Rush présente une variation de deux bûches de Noël cette année : ganache ou crème au beurre. Ces desserts existent en plusieurs tailles, 6 à 8, 10 à 12 ou 12 à 14 personnes, et la date limite pour passer votre commande est le 20 décembre.

The Main Street Bistro & Bakery affiche dans son menu de Noël trois sortes de bûches : framboise/chocolat blanc, noisettes et caramel ou beurre salé et « la bomb » (sans gluten), dessert à base d’une génoise et d’une mousse au chocolat avec un glaçage au chocolat noir. Toutes les trois sont dans une taille unique pour 8 à 10 personnes (42$). Les commandes seront prises jusqu’au 23 décembre.

Pour les adeptes du supermarché, Central Market offre une une bûche de Noël tout chocolat dans une taille unique servant jusqu’à 10 personnes (29,99$).

San Antonio :

Cette année, le magasin Cake Art vous propose une bûche de Noël unique tout chocolat pour 8 personnes (45$).

Pour les gourmands, la maison Délice chocolatier et pâtisserie propose deux bûches classiques au parfum de vanille ou de chocolat sur un biscuit moelleux. Les plus audacieux pourront compléter eux-mêmes leurs bûches en y ajoutant de l’abricot, des mûres, des framboises et bien d’autres parfums. Vous avez jusqu’au 15 décembre pour commander votre bûche qui se présente en une taille pour 12 à 15 personnes (55$).

Où trouver une bonne bûche de Noël à NYC ?

Pour ceux qui n’ont pas l’opportunité d’aller en Europe pour voir leurs familles cette année, il ne faut pas en oublier le traditionnel repas de Noël, et son dessert phare, la bûche. Voici une liste – non exhaustive – des adresses appréciées par notre rédaction.

Manhattan

Dans ses trois adresses de Manhattan, l’Epicerie Boulud a misé sur trois bûches de Noël pour ravir vos papilles : chocolat-caramel-passion, marron-mandarine-vanille ou encore café-cacao-noisette. Elles sont à 55 dollars pièce et et peuvent être retirées dans l’une des trois boutiques entre le 15 et le 23 décembre, pendant leurs heures d’ouverture. Lincoln Center : 1900 Broadway at 64th St – (212) 595-9606. One Vanderbilt :  One Vanderbilt Avenue at 42 St – (347) 826-1363. Westfield World Trade Center : 185 Greenwich St – (212) 595-9605

Fidèle à la tradition, Ladurée vous propose deux bûches aux noms évocateurs : la Favorite, qui est constituée d’une base de macaron à la pistache, une crème au beurre infusée de pistaches iraniennes rôties, et parsemé de praline. La Marquise se compose d’une daquoise noisette avec des morceaux de noisette croquante, une gaufrette noisette, une crème chocolat au lait et noisette et une mousse chocolat au lait onctueuse. Le prix est de 68 dollars pour 6 personnes, et la bûche peut être commandée entre le 3 et le 22 décembre, pour être retirée entre le 18 et le 25 décembre dans les boutiques Ladurée Madison : 864 Madison Ave. – (646) 558-3157 ou Ladurée Soho : 398 West Broadway – (646) 392-7868.

La maison Merveilleux de Fred propose ce qu’il sait faire de mieux :  la bûche Merveilleux. Cette bûche suit la recette de l’emblématique Merveilleux : base de meringue, nappée de crème fouettée parfumée au chocolat ou au spéculoos et enrobée de copeaux de chocolat. Elle existe en format 4, 6, 8, et 10 personnes, aux prix de 30, 45, 60 et 75 dollars. Deux parfums au choix : le Merveilleux au chocolat noir et l’Incroyable au spéculoos et chocolat blanc. Pour commander : Merveilleux de Fred West Village : 37 8th  Ave.  (917) 475-1992. Merveilleux de Fred Midtown : 1001 6th Ave. (646) 590-0263.

Un an après son ouverture très remarquée au coin de Bryant Park, Angelina va à nouveau combler les New-Yorkais avec deux bûches de Noël. La bûche Mont Blanc, signature de la maison, est une base de meringue, chantilly et vermicelles de crème de marrons. Elle est gluten free. La bûche fruits de la passion, ananas et noix de coco est présentée avec un croustillant coco, biscuit citronné, compote ananas passion, mousse citron vert coconut & ananas. Chaque bûche sert 6 personnes pour 79 dollars. Elles seront disponibles en boutique et en précommande à partir du 20 décembre. Les clients peuvent appeler le magasin au (585) 438-5347 – Opt1.

Dans le Financial District, Le District commercialise trois recettes de bûches traditionnelles cette année : chocolat, vanille et Grand Marnier, et dans des proportions généreuses : 12 inches, donc 10-12 personnes. Elles coûtent 90 dollars. Elles seront disponibles sur place, au District, entre le 18 et le 24 décembre. Le District – 225 Liberty St. – (212) 981-8588

Chez Eclair Bakery à Midtown, vous pourrez choisir entre trois bûches de Noël : Wendy (mousse au chocolat au lait avec une crème brûlée vanille), Crunchy (mousse au chocolat noir, crunch noisette et génoise chocolat) et Ruby (mousse vanille, génoise vanille et confiture de framboises). Elle vous coûtera 40 dollars pour 6 à 8 personnes et 50 dollars pour 10 à 12 personnes. Vous pouvez vous faire livrer si vous habitez entre la 23ème et la 86ème Rue, East Side. Eclair Bakery : 305 E 53rd St, New York – (646) 429-8555.

Présent à Greenwich Village, Upper West Side mais aussi à Prospect Heights à Brooklyn, Mille-Feuille perpétue la tradition cette année avec trois bûches aux goûts uniques qui promettent de satisfaire tous les types de palais, même les plus difficiles. La bûche Breizh : un cookie sablé reconstruit avec des couches de praline croquante et une confiture de cidre de pomme, enveloppé dans une mousse légère au caramel salé. Mais aussi l’Infinite Chocolate, une génoise sans farine au chocolat surmontée de trois couches distinctes de chocolat (chocolat noir crémeux à 63 %, mousse de chocolat au lait à 38 % et mousse bavaroise de chocolat blanc à 35 %. Et enfin, pour les amateurs de fruits, le meilleur choix est l’Ispahan : un gâteau à la farine d’amande surmonté d’un crémeux lychee et confiture de framboise, recouvert d’une mousse bavaroise rose pâle et de morceaux de macaron. Ces trois bûches sont accompagnées cette année d’une version pomme caramel. Elles sont disponibles en entier pour 6 à 8 personnes (48,90 dollars) ou à la part individuelle (6,90 dollars). Une promo de 15% est offerte pour une commande jusqu’au 13 décembre.

Ceci-Cela Pâtisserie propose des bûches classiques de Noël à la vanille, au chocolat, à la pistache ou au Grand-Marnier qui sont ornées de petits sapins et rennes en décoration. La part individuelle est à 6,50 dollars, la bûche pour 6 personnes est à 39 dollars, et celle pour 8 personnes à 49 dollars. Pour commander en ligne par mail : [email protected]. Ceci-Cela Pâtisserie : 14 Delancey St. – (212) 274-9179 ou (646) 861-0374.

Silver Moon Bakery propose deux parfums de bûches, châtaigne ou chocolat, dans l’Upper West Side. Elles seront disponibles entre le 17 et le 24 décembre et doivent être commandées au moins 3 jours à l’avance. Elles sont facturées 48 dollars pour 6 personnes, 58 dollars pour 9 personnes ou 65 dollars pour 12 personnes sur place. Silver Moon Bakery : 2740 Broadway – (212) 866-4717.

Dans l’Upper East Side, Miss Madeleine propose trois types de bûches : chocolat praline, vanille amande et pistache framboise mascarpone. Elles peuvent servir 8 personnes et sont au prix de 59,95 dollars. Elles peuvent être retirées 48 heures après la commande, du lundi au vendredi seulement. Miss Madeleine, 400 E 82nd St.

Toujours Upper West Side, le spécialiste des choux Barachou a préparé deux types de bûches : l’Exotique (génoise vanille, mousse fruit de la passion, coco), et la Triple Chocolat (génoise chocolat, mousse au chocolat au lait, décor chocolat blanc, feuilletine croquante). Elles sont pour 6 personnes, et disponibles au retrait le 23, 24 ou 25 décembre. Barachou – 449 Amsterdam Avenue Between 81st &, W 82nd St, New York, NY 10024 – (646) 398-7788

Dans le Lower East Side, le Chef Simon Herfray de Salon Sucré propose deux types de bûches : à la crème de beurre (café ou chocolat) ou en mousse (chocolat-noisettes ou vanille-fruits rouges). Elles servent 6 à 8 personnes, la première coûte 40 dollars et la deuxième est à 48 dollars. Les pré-commandes sont disponibles jusqu’au 17 décembre, pour un pickup entre le 22 et le 24 décembre, avant midi. Salon Sucré peut répondre à des commandes plus tôt et les bûches seront également en nombre limité sur place dans le Lower East Side. Salon Sucré, The Market Line : 115 Delancey St. – (567) 703-6227.

La Bergamote propose au choix les bûches classiques de Noël à la crème au beurre avec trois parfums : vanille, chocolat ou Grand-Marnier. Celle pour 4 à 6 personnes est à 43 dollars et celle pour 8-10 personnes à 68 dollars. La version mousse au chocolat revient à 45 dollars ou 69 dollars. Elle propose aussi deux bûches aux noms féminins : Chloé est une bavaroise au caramel, biscuit amande et purée de poires, tandis que Krista est un biscuit praline, une crème pannacotta au Grand Marnier et une mousse au chocolat noir. La 4-6 personnes est à 45 dollars, contre 69 dollars pour la 8-10 personnes.Enfin, la bûche châtaigne est constituée d’une crème châtaigne et de morceaux de châtaigne, d’un biscuit vanille et d’une ganache. Les prix sont respectivement de 49 dollars et 79 dollars. À commander sur place ou par téléphone. La Bergamote Chelsea : 177 Ninth Ave. – (212) 627-9010. La Bergamote, Midtown West : 515 West 52nd St. – (212) 586-2429.

Brooklyn :

À Williamsburg, la boulangerie des hipsters, La Bicyclette, va proposer deux recettes de bûches. La première est chocolat érable, un biscuit moelleux cacao surmonté d’un biscuit croustillant chocolat érable avec un insert crème brûlée au sirop d’érable entouré d’une mousse au chocolat noire. La deuxième est Vanille fruit rouge, un biscuit moelleux nature surmonté d’un croustillant chocolat blanc et fruit rouge séché avec un insert confit fruit rouge entouré d’une crème légère à la vanille. Chacune sert 4 à 6 personnes et coûte 45 dollars. Les commandes se passent sur ce site à partir du 13 décembre, pour des retraits les 23 et 24 décembre sur place. La Bicyclette Bakery : 667 Driggs Ave. – (347) 916-1417.

A Park Slope, Colson Patisserie revisite deux gâteaux traditionnels en bûches de Noël. L’Opéra est composé d’une crème au beurre au café, qui recouvre des couches de génoise amande, gluten-friendly imbibée d’expresso, alternée avec une riche ganache au chocolat. Elle est recouverte de chocolat pour faire plaisir au plus grand nombre. La Meringue Citron au Caramel met à l’honneur une génoise amande, une crème au citron et une crème au beurre au caramel soyeux surmontée d’une meringue aérienne. Comptez 32 dollars pour 4 personnes et 52 dollars pour 8 personnes. Pour commander et retirer à Park Slope c’est ici. Pour commander et retirer à Industry City, c’est ici. Les retraits se feront le 24 décembre entre 9am et 2pm à Industry City, 237 36th St. #112, Brooklyn – (347)637-6676; et de 8am à 3pm à Park Slope, 374 9th St., Brooklyn – (718) 965-6400.

Noémie et Christine, les deux pâtissières à la tête des cuisines de Pistache, ont confectionné une bûche de Noël citron et praliné. Elle peut servir 6 à 8 personnes et coûte 55 dollars. Commandez avant le lundi 20 décembre en appelant Yvan au (917) 597-8387 ou en envoyant un email à [email protected]. Pistache : 630 Flushing Ave., Brooklyn – (917) 597-8387.

À Greenpoint et Cobble Hill, Charlotte Patisserie ne déroge pas à la tradition et va proposer quatre recettes de bûches : la Charlotte (génoise vanille amande avec une crème vanille avec un fourrage mangue et passion), l’Arabica (génoise au chocolat et crème au beurre au café), la Chocolat framboise (génoise au chocolat alternée des couches de ganache à la framboise et au chocolat noir) et la Tout noisette (génoise noisette alternée avec des couches de mousse noisette et une crème noisette recouverte d’un glaçage noisette foncée). Elles coûtent entre 40 et 45 dollars et vous pouvez les commander par téléphone et les retirer sur place. Charlotte Greenpoint : 596 Manhattan Ave., Brooklyn – (718) 383-8313. Charlotte Cobble Hill : 201 Court St., Brooklyn – (929) 295-0372.

Dans ses trois adresses de Brooklyn, le French Tart vous propose trois types de bûches : la Bonaparte (mousse au chocolat et crème brûlée), la Joséphine (mousse au chocolat et confiture de framboise) et la Death by Chocolate (mousse tout chocolat). Pour les amateurs de recettes classiques, la maison a également à la carte la bûche avec crème au beurre au chocolat ou au café. Le prix est de 39 dollars et vous pouvez commander par téléphone ou sur place jusqu’au jour J. French Tart Park Slope : 579 5ème Ave., Brooklyn – (929) 276-3035. 306. Cobble Hill : Court street, Brooklyn – (347) 916-0014. Brooklyn Heights : 44 Henry street, Brooklyn – (929) 337-7888.

New Jersey :

Dans ses quatre adresses de Hoboken et Jersey City, Choc O Pain propose les trois bûches Chocolat Infini, Ispahan et Breizh de Millefeuille, à 50 dollars l’unité. Les commandes doivent être placées au moins 48 heures à l’avance. Hoboken : 157 First Street – (201) 710-5175. Hoboken Uptown : 1500 Hudson Street, Tea Building – (201) 683-3300​. Jersey Ave. : 530 Jersey Avenue, Jersey City – (201) 435-2462. Jersey City Heights : 330-332 Palisade Ave., Jersey City – (201) 420-7111.

À Jersey City, Café Madelaine vous propose deux bûches : la Royale au chocolat noir, praline et croquant, et la Neige d’Hiver avec mousse vanille, manelaka et framboise-passion. 37 dollars pour 6-8 personnes, 47 dollars pour 8-10 personnes et 57 dollars pour 12-14 personnes. Le café sera ouvert le 24 décembre pour les retardataires. Café Madelaine : 34 Coles St, Jersey City – (201) 499-3691.

Queens :

A Forest Hills, la Boulangerie de François vous proposera deux bûches : la Chocolat-framboise (crème au beurre au chocolat, compote de framboises fait maison, noix torréfiées, dans un biscuit roulade), et la Noisette (crème au beurre au praline noisette, pépites de praline de noisette, crunchy praline à la noisette, dans un biscuit roulade). La boulangerie offre 3 tailles : l’individuelle à 6,95 dollars, la 7 pouces (6-8 personnes) à 40,50 dollars et la 11 pouces (10-12 personnes) à 56,90 dollars. La Boulangerie de François : 109-01 72nd Rd, Queens – (347) 644-5606.

Où trouver une bonne bûche de Noël à Miami ?

Noël approche à grands pas. Vous bûchez encore sur le dessert pour vos repas de fêtes ? Voici une sélection d’adresses à Miami et sa région où se procurer la traditionnelle bûche de Noël, yule log comme les Américains l’appellent. À commander pour la plupart avant le jeudi 23 décembre.

À Miami Beach, Brigitte Cavallero et son fils Bastien, épaulés par le chef pâtissier Stéphane Merlat, proposent trois parfums de bûche dans leur enseigne Maison Valentine : une première composée d’une mousse de cassis et d’une crème de marrons sur une génoise croustillante, une autre au chocolat au lait et crémeux praliné sur un biscuit croquant aux noisettes, et enfin une bûche aux fruits rouges remplie de mousse à la framboise et au citron. Chaque création nourrissant 6 personnes coûte 55,95 dollars. La bûchette individuelle est facturée 9,50 dollars. 1112 15th St, Miami Beach – (786) 535-1432

Également implantés à Miami Beach, le Villeurbannais Matthieu Bettant et sa femme Miriam, qui sont à la tête de Bettant Bakery, mettent en vitrine deux modèles de bûches : une recette au chocolat et une autre au praliné. Chaque dessert pouvant servir 6 personnes est à 35 dollars. La bûchette individuelle est affichée à 6 dollars. 1043 Washington Ave, Miami Beach – (305) 673-5522

Nichée dans le sud-ouest de Miami, Bonjour Bakery vous fera fondre de gourmandise avec sa bûche aux trois chocolats, celle aux fruits exotiques, sa création chocolatée avec insert à la gelée de framboises, sans oublier celle faite d’un croustillant praliné surmonté d’un parfait au chocolat avec insert à la crème brûlée à la vanille. Le dessert pour 8 personnes vaut 44 dollars. L’enseigne confectionne également des bûches roulées classiques au chocolat noir, aux fruits frais, ou encore aux noisettes. Comptez 47,50 dollars pour 10 à 12 convives. 16650 SW 88th St, Miami – (786) 534-8141

L’Atelier Monnier, qui dispose de quatre points de vente, mise sur trois bûches sans gluten aux goûts variés : une première composée d’une mousse au chocolat au lait et crème de praline sur une dacquoise pralinée, une autre garnie d’une mousse au chocolat noir et crème de vanille sur une dacquoise aux noix de pécan, et celle à la mousse au chocolat blanc, aux fraises, litchis et noix de coco sur une dacquoise à la pistache. Prévoyez 44,95 dollars pour ces desserts qui peuvent servir 6 à 9 convives. Plusieurs adresses : Pinecrest, Brickell, South Beach et Bird Road – (305) 456-5015

La boulangerie-pâtisserie Les Moulins La Fayette, qui a fait ses cartons l’an dernier afin de déménager au coeur du centre commercial Aventura Mall, affiche quatre créations différentes dans ses vitrines : une bûche à base de noisettes, une autre inspirée du cheesecake aux fruits rouges, une recette au chocolat et caramel au beurre salé, et celle aux framboises. Chaque dessert pouvant servir de 6 à 8 personnes coûte 60 dollars. 19575 Biscayne Blvd Unit 383, Aventura – (786) 320-5358

Claude Postel et Corentin Finot de Café Crème à North Miami jouent la carte de la tradition et réalisent les traditionnelles bûches au chocolat, au praliné et au café, ainsi qu’une création au nom évocateur, le « Royal Brownie » composé de mousse au chocolat et d’un brownie moelleux aux noisettes. Prévoyez de 28 à 58 dollars selon la taille des créations pouvant nourrir de 4 à 12 personnes. Il est également possible d’acheter des parts individuelles. 750 NE 125th St, North Miami – (786) 409-3961

À Fort Lauderdale, la boulangerie française Croissan’Time propose aux becs sucrés des bûches roulées classiques à la crème au beurre aux noisettes et au chocolat, mais aussi des créations originales aux saveurs de café, de praliné ou encore à la noix de coco et aux fruits exotiques. Comptez de 45,50 à 86,50 dollars la bûche qui peut servir 6 à 12 personnes. La part individuelle est facturée 13,50 dollars. 1201 North Federal Hwy, Fort Lauderdale – (954) 565-8555

French Expat : « chez moi », la maison, c’est où pour les enfants ?

Cette semaine, partez à la découverte d’un épisode un peu spécial. Pour cette deuxième partie du hors série de fin d’année, Anne-Fleur tend son micro aux enfants d’expatriés et d’immigrés pour tenter de répondre à cette question : pourquoi se sent-on « chez soi » ? D’autant plus quand on a quitté son pays d’origine ? Un épisode plein d’espoir et de fraîcheur aux côtés de ces familles qui ont créé un « chez eux » ailleurs, que ce soit leur pays d’accueil ou leur pays de naissance.

Production :

French bee s’associe à Airbus pour réduire son impact environnemental

[Article partenaire] Ce n’est plus un secret, même si son impact reste inférieur à celui du transport routier, le transport aérien coûte beaucoup à l’environnement. C’est pour cette raison que French bee, la première compagnie aérienne française de vols low cost et long-courrier, s’est associée avec Airbus et SAS Scandinavian, pour trouver ensemble des solutions afin de réduire l’empreinte carbone de leur flotte.

Et c’est en bonne voie, notamment après le succès du premier vol fello’fly intercontinental à émissions réduites. On vous explique tout.

Fello’fly, quésaco ?

On a toutes et tous déjà vu des troupeaux d’oiseaux se déplacer ensemble dans le ciel. Mais saviez-vous que la raison principale pour laquelle ils voyagent ensemble est pour réduire leur consommation d’énergie ? C’est de ce schéma qu’Airbus, French bee et SAS Scandinavian se sont inspirés en créant le projet Fello’fly.

Le fonctionnement d’un vol Fello’fly

Comme le montre la vidéo ci-dessus, l’idée des vols Fello’fly est de s’inspirer du biomimétisme des oiseaux en rapprochant deux avions en vol, afin d’optimiser l’énergie dépensée par les avions et ainsi réduire leur consommation d’énergie. L’avion suiveur récupère l’énergie perdue par un leader, en volant dans le courant d’air ascendant doux créé par le sillage, et réduit sa consommation de carburant de l’ordre de 5% par voyage.

Un premier succès pour French bee et Airbus

Le 9 novembre dernier a eu lieu le premier vol intercontinental fello’fly. Le vol a été rendu possible par Airbus et ses partenaires de gestion du trafic aérien et fournisseurs de services de navigation (DSNA, NATS, NAV CANADA, Eurocontrol et IAA).

Deux avions A350 ont décollé de Toulouse et se sont posés en toute sécurité, huit heures plus tard, à Montréal au Canada. Au total, plus de six tonnes d’émission de CO2 ont été économisées.

Les pilotes de French bee étaient au rendez-vous et ont participé au vol transatlantique en tant qu’observateurs, accompagné des pilotes d’Airbus et de SAS Scandinavian. Ensemble, les trois compagnies ont prouvé que la technologie de vol à récupération de l’énergie de sillage utilisée dans un vol fello’fly peut être réalisée sans compromettre la sécurité.

La démonstration a également montré comment les opérations fello’fly pourraient
considérablement améliorer la performance environnementale des avions commerciaux et
contribuer aux objectifs de décarbonisation de l’industrie aéronautique dans l’immédiat.

« Contribuer activement à la réduction de notre empreinte environnementale : c’est une des ambitions majeures des équipes de French bee. Grâce à une flotte ultra moderne composée uniquement d’Airbus A350, appareil dernier né des usines Airbus, notre objectif est de continuer à diminuer la consommation carburant de nos vols et de contribuer ainsi à la préservation de notre environnement. C’est un enjeu crucial pour la compagnie, nos clients et pour les générations futures. » déclare Muriel Assouline, Directrice Générale de French Bee.

La prochaine étape consiste à obtenir le soutien des autorités pour que ce nouveau concept opérationnel puisse être certifié et, à terme, permettre aux compagnies aériennes de réduire leur consommation de carburant et leurs émissions de CO2.

À propos de French bee

French bee est la première compagnie aérienne française de vols low cost et long-courrier. La compagnie propose des vols entre la France et les Etats-Unis, opérant dans trois villes américaines : Los Angeles, San Francisco et New York. Les vols se font depuis et vers l’aéroport de Paris-Orly. Pour plus d’informations et pour réserver vos billets, rendez-vous directement sur le site de French bee.

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Note: le contenu “partenaire” n’est pas écrit par la rédaction de French Morning. Il est fourni par ou écrit sur commande d’un annonceur qui en détermine le contenu.

L’ambassadrice Denise Campbell Bauer confirmée pour Paris

Les Etats-Unis n’avaient plus d’ambassadeur en France depuis le 20 janvier dernier, date de l’investiture de Joe Biden et du départ de Jamie McCourt, en poste à Paris durant trois ans. Pratiquement onze mois plus tard, une nouvelle représentante américaine a (enfin) été confirmée par le Sénat américain : Denise Campbell Bauer, une diplomate de 57 ans parlant couramment le français. Joe Biden l’avait désignée en juillet dernier mais les sénateurs n’ont confirmé le choix du président américain que ce samedi 18 décembre, juste avant de partir en vacances.

Diplomate de carrière

Denise Campbell Bauer est la première diplomate de carrière, en plus de 40 ans, à occuper ce poste. Ancienne journaliste de Californie, mère de deux filles, Katherine et Natalie, elle a dirigé l’ambassade de Bruxelles entre 2013 et 2017. Barack Obama l’avait nommée à ce poste pour la remercier de son soutien durant ses deux campagnes présidentielles.

Et c’est également pour récompenser son engagement à ses côtés dès 2019 que Joe Biden l’a choisie pour la France. Denise Campbell Bauer avait notamment dirigé « Women for Biden », un mouvement qui a largement contribué à l’élection de l’ancien vice-président.

Restaurer des relations de confiance

Lors de son audition au Sénat, la diplomate s’est engagée à « renforcer le partenariat » des Etats-Unis avec la France, « l’un de nos alliés militaires les plus capables et les plus fiables », avait-elle souligné, et « troisième partenaire commercial des États-Unis en Europe », avec 99 milliards de dollars de biens et de services échangés entre les deux pays en 2020. Elle s’attellera notamment à restaurer des relations de confiance entre les deux pays après l’affaire des sous-marins australiens en septembre. 

Denise Campbell Bauer prendra ses nouvelles fonctions à Paris après avoir présenté ses lettres de créance à Emmanuel Macron – la date n’a pas encore été annoncée. La mission américaine en France est l’une des plus grandes d’Europe avec 1500 employés. Outre l’ambassade de l’avenue Gabriel à Paris, les États-Unis disposent de consulats à Marseille et à Strasbourg et une présence consulaire à Bordeaux, Lyon et Rennes. Denise Campbell Bauer devient également ambassadrice des États-Unis à Monaco.

BNP Paribas va céder Bank of the West à la Banque de Montréal 

C’est l’une des plus grandes transactions bancaires de ces dernières années. BNP Paribas va céder sa filiale américaine Bank of the West acquise en 1979. Après des mois de réflexion, la banque française vient de trouver un accord avec Banque de Montréal (BMO), la quatrième banque du Canada, « pour la vente de 100% des activités de banque commerciale aux Etats-Unis opérées par sa filiale Bank of the West, pour une considération de prix totale de 16,3 milliards de dollars américains, soit un montant équivalent à environ 14,4 milliards d’euros, payés en numéraire lors de la réalisation de l’opération », a indiqué BNP Paribas dans un communiqué. Plusieurs analystes tablaient sur un montant inférieur.

« Il s’agit d’une transaction créatrice de valeur pour toutes les parties, qui souligne la qualité de la franchise de Bank of the West », a déclaré Jean-Laurent Bonnafé, PDG de BNP Paribas, ce lundi 20 décembre. Le groupe français, en difficulté face à ses concurrents plus importants sur le marché américain de la banque de détail, entend se concentrer sur l’Europe, où il s’impose de plus en plus comme l’une des plus grandes banques d’investissement. La vente de sa filiale californienne lui permettra de réaliser des investissements technologiques et de réaliser de nouvelles acquisitions sur le marché européen.

Bank of the West, fondée en 1874 et basée à San Francisco, constituait la plus grande activité de BNP Paribas en dehors de l’Europe. Par son rachat, BMO compte renforcer sa présence aux États-Unis. Déjà présente dans le Midwest grâce à l’acquisition de Harris Bankcorp en 1984 et au rachat de Marshall & Ilsley il y a dix ans, BMO estime que cette nouvelle acquisition lui apportera « près de 1,8 million de clients, environ 56 milliards de dollars en prêts et 89 milliards de dollars en dépôts » et étendrait sa présence bancaire grâce à « 514 succursales et bureaux commerciaux et de gestion de patrimoine supplémentaires dans les principaux marchés de croissance des États-Unis ».

L’opération devrait être réalisée « formellement au cours de l’année 2022, sous réserve des conditions suspensives habituelles, incluant l’approbation des autorités réglementaires et de la concurrence compétentes », toujours selon le communiqué de BNP Paribas. Comme le rappelle le Wall Street Journal, « si les fusions de grandes banques ont été rares depuis la crise de 2008, elles n’ont jamais été aussi nombreuses que cette année. »

Okaia : les parfums de la NBA sont français et fabriqués à Nice

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Que diriez-vous d’un parfum aux notes boisées et de cuir comme si vous étiez sur un parquet avec un ballon en main ? C’est le parti pris de la startup française Okaia, basée à Nice, qui vient de lancer en France une collection de parfums en édition limitée sous-licence NBA. « C’est une des franchises les plus prestigieuses au monde. Beaucoup de marques ne veulent pas s’associer à un parfum ou une odeur car il est très difficile de les représenter. C’est notre métier, nous créons des parfums uniques qui sont en rapport avec l’histoire, la culture, la mentalité et même le style de jeu des équipes sportives », raconte Cindy Barichello, la directrice générale d’Okaia.

Convaincre la NBA

La startup est née en 2020 de l’union de deux entreprises, My Coach et Robertet. La première a accompagné la transition numérique de plusieurs fédérations sportives françaises comme la FFF (Fédération Française de Football) et la FFC (Fédération Française de Cyclisme). Le groupe Robertet est l’une des plus grandes maisons françaises de fragrances. « Comment a-t-on convaincu la NBA ? Nous avons d’abord lancé le parfum de l’Équipe de France de Football, « Eau Bleue », l’année dernière, qui a été un véritable succès, commente Cindy Barichello. J’ai travaillé pendant dix ans sur les partenariats de marque chez Adidas, et notamment sur les produits qui croisent lifestyle et sport. Je connais la culture américaine et de la NBA, qui est basée sur la gagne, la qualité de jeu et la combativité poussée à l’extrême. Tout l’enjeu a été de leur proposer des parfums qui représentent non seulement ces idées, mais aussi des odeurs adaptées aux valeurs de chaque équipe ». Le contrat de licence qui unie Okaia et la NBA a été signé pour une durée de trois ans et concerne le marché européen. La startup française doit céder des royalties d’un montant non communiqué sur chaque produit qu’elle vend.

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Toucher la Gen Z

Cindy Barichello et son équipe ont lancé sept parfums différents dont celui de la ligue, et ceux de six équipes prestigieuses et particulièrement suivies en Europe : les Los Angeles Lakers, les Chicago Bulls, les Boston Celtics, les Golden State Warriors, les Brooklyn Nets et les Miami Heats. Présentés à un prix abordable, 39,90€ l’unité (45$), ils sont destinés à une cible de 14 à 20 ans qui achète son premier parfum. « Les jeunes consomment le sport différemment, en le mélangeant avec leurs intérêts et passions de la vie quotidienne. C’est une génération qui est également plus émotionnelle et cette dimension immersive se retrouve dans nos parfums. Par exemple, celui des Brooklyn Nets retranscrit l’effervescence de la ville, le côté street, tandis que celui des Chicago Bulls dispose de notes puissantes et chaudes qui rappellent la puissance du taureau, emblème du club », résume Cindy Barichello.

Le circuit de vente est également adapté à la nouvelle génération, puisque Okaia a choisi les boutiques de jeux vidéo Micromania pour vendre ses produits. « Nous ne sommes dans aucune parfumerie traditionnelle. Vous trouvez uniquement nos parfums chez Micromania, sur notre site internet, sur Amazon et beaucoup sur les réseaux sociaux. 90% de nos clients ont d’ailleurs découvert nos produits sur le téléphone mobile », ajoute Barichello. Okaia ne s’arrête pas là, puisque l’entreprise française a créé un programme de fidélité sur les réseaux sociaux intitulé «FAN ZONE» pour créer une interaction quotidienne avec sa clientèle. « C’est un programme de fidélité “gamifié” puisqu’on propose aux jeunes de gagner des tokens en réalisant des missions, des jeux et en commentant des posts sur les réseaux sociaux ».

Au delà de la NBA, Okaia s’est également associée à une entreprise américaine prestigieuse du monde du divertissement : DC Comics. Comme pour le basket, sept parfums sont disponibles à la vente à l’effigie de super-héros et super-héroines comme Batman, Superman et Wonder woman. « Nous allons annoncer d’autres collaborations l’année prochaine dans l’univers du manga et de la musique, en gardant notre objectif : être sur les émotions et les passions des jeunes », annonce Cindy Barichello.

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« La Panthère des Neiges » sort à New York et Los Angeles

Le film avait marqué le dernier festival de Cannes. Le documentaire français « La panthère des neiges » sort sur la côte Est et sur la côte Ouest sous le nom de « The Velvet Queen ». Il sera à l’affiche au Film Forum de New York et à Laemmle Royal à Los Angeles à partir du mercredi 22 décembre et pour au moins une semaine.

Inspiré du livre du même nom de Sylvain Tesson (prix Renaudot 2019), le film raconte le voyage de ce dernier, accompagné du célèbre photographe animalier Vincent Munier, co-réalisateur du documentaire avec Marie Amiguet. Pendant plusieurs semaines, ils se retrouvent au cœur des hauts plateaux tibétains, en quête de la panthère des neiges, l’un des félins les plus difficiles à approcher.

Au milieu de sommets désertés, patience chevillée au corps, à l’affût de la moindre apparition de l’animal convoité, Sylvain Tesson, guidé par Vincent Munier, apprend l’attente, redécouvre le silence, et développe l’observation. Les deux hommes apprécient un autre rapport à la nature et viennent à se questionner sur la place de l’homme parmi les êtres vivants. Une ode à la beauté du monde.

 

Pourquoi les Américains boivent-ils de l’eggnog à Noël ?

Pour beaucoup d’Américains, les fêtes de Noël ne commencent qu’à la première gorgée d’eggnog, le très apprécié lait de poule. Dès fin novembre, cette boisson crémeuse et sucrée à base de lait, d’œufs, d’épices et parfois relevée de liqueurs, s’invite sur les cartes des cafés jusqu’à la fin de l’hiver. Comment cette tradition a-t-elle conquis les Etats-Unis ?

Boisson anglaise onéreuse

Comme beaucoup de coutumes américaines, elle a franchi l’Atlantique au XVIIIème siècle avec les colons britanniques, explique Frederick Opie, historien spécialiste des traditions alimentaires, professeur à l’université de Babson et auteur d’un blog sur l’histoire de l’alimentation. L’eggnog serait le descendant d’une boisson chaude à base de lait, de bière ou de vin et d’épices appelée « posset » dans l’Angleterre médiévale. « C’était une boisson réservée aux occasions spéciales, comme Noël, parce qu’elle contenait des ingrédients coûteux comme le sucre et la cannelle », précise-t-il.

Tandis que l’eggnog, réservé à une certaine élite à cause de son prix, perd en popularité sur le sol anglais, il s’implante rapidement aux Etats-Unis où les produits fermiers (dans ce cas, le lait et les œufs) sont plus accessibles. Les Américains ajustent toutefois la recette : les alcools traditionnellement ajoutés à la mixture sur le Vieux continent, comme le Madère ou le Porto, sont remplacés par du rhum importé des Caraïbes, bien moins onéreux aux Etats-Unis.

Popularité du lait de poule

L’origine du mot est plus obscure. « Le lait de poule était servi dans de grandes tasses en bois appelées ‘noggins’ », explique encore l’historien. Le nom viendrait de la contraction entre ce terme et le mot « egg », l’œuf étant l’un des ingrédients de base du lait de poule. Autre hypothèse : « eggnog » dériverait de l’expression « egg-n-grog » qu’utilisaient les colons sur la côte Est, littéralement de l’œuf dans un « grog », une boisson d’origine britannique à base de rhum, poursuit l’historien.

Comment expliquer que le lait de poule soit toujours aussi populaire ? « Nous avons hérité de beaucoup de traditions culinaires aux Etats-Unis qui sont devenues partie intégrante de la culture américaine, analyse Frederick Opie. Nous avons absorbé ces différentes traditions, dont l’eggnog fait partie. De nombreux Américains ne connaissent même pas son origine. Ils pensent que c’est une tradition née aux Etats-Unis. Aujourd’hui, l’eggnog est directement associé à la période des fêtes et au concept américain de l’esprit de Noël ».

Une première version de cette Question bête a été publiée le 20 décembre 2017.

Moi Impat : Retour en France compliqué mais pas de regrets

Se sentir chez soi dans deux pays, c’est un peu l’histoire de Clémence Roger-Vasselin, notre 80ème invitée. Après 6 ans à New-York, l’envie se faisait sentir d’un retour en France. C’était sans compter sur ce que pouvait ressentir les enfants, très désorientés par ce qu’ils ont vécu comme un déracinement. Comme le souligne Clémence, on a beau anticiper, on ne peut pas tout prévoir. C’est pour cela qu’elle se donne encore quelques semaines pour tourner définitivement cette page. L’envie de n’y voir que du positif est la plus forte. Avec aussi cette impression nouvelle de voir Paris avec des yeux de touriste.

Listen to “Episode 80: Clémence Roger Vasselin” on Spreaker.

« Emily in Paris » : la saison 2 commence ce mercredi sur Netflix

Vous l’attendiez encore plus que le Père Noël ! Emily in Paris, la série que l’on adore détester, revient pour sa deuxième saison le mercredi 22 décembre sur Netflix.

Pour ceux qui ont suivi la saison 1, le cliffhanger était insoutenable (ou pas). Après avoir annoncé qu’il partait ouvrir son restaurant en Normandie, Gabriel (Lucas Bravo) embrasse fougueusement Emily (Lily Collins). Le lendemain, la belle retrouve son beau dans son restaurant parisien. Surprise ! Il en est devenu le propriétaire et reste dans la capitale. L’ex de Lucas, Camille (jouée par Camille Razat), refait surface. Elle adresse un SMS à Emily, son amie, pour lui dire ce qu’elle sait déjà : Lucas reste. Et elle lui demande si elles peuvent se parler.

Comment l’Américaine va-t-elle gérer cette situation compliquée entre amour pour Lucas et amitié pour Camille, alors que cette dernière n’a aucune idée des sentiments de son amie pour son ancien amoureux ? Sans trop dévoiler, Lily Collins a donné quelques détails sur le nouveau volet (bande-annonce ci-dessous). « Nous irons dans différentes parties de la capitale, et nous verrons Emily faire plus d’efforts dans sa nouvelle ville. Elle va s’immerger dans son environnement, s’autorisant à l’embrasser et faire corps avec lui », a-t-elle confié au site de divertissement ET. Sans doute une manière de répondre aux critiques qui ont suivi le début de ses aventures, jugées trop caricaturales. L’actrice a également indiqué qu’il y aurait davantage de personnages issus de groupes sous-représentés « pour montrer le monde tel qu’il est » – là encore, une réponse aux détracteurs qui avaient pointé le manque de diversité du casting à la suite des deux nominations de la série aux Golden Globes début 2021.

Point commun entre les deux saisons : aucune trace de Covid-19 dans le Paris d’Emily. Bien que filmée en 2021, la série ne montre aucun personnage en masque pour aider les téléspectateurs à s’évader de l’actualité. Certaines scènes ont même dû être refaites après que des passants masqués sont apparus dans le cadre.