Accueil Blog Page 301

5 nouveautés pour occuper vos proches pendant les fêtes à New York

Vos proches sont de passage à New York, pour la première fois en deux ans ? Voici quelques idées de nouveautés pour les divertir.

Contempler la ville depuis Summit 

Pour en mettre plein la vue aux beaux-parents, il n’y a pas dix mille endroits où aller. Summit, perché au sommet de la tour One Vanderbilt, près de Grand Central, est le dernier observatoire en date à ouvrir ses portes à New York. Situé à 368 mètres de hauteur, le point de vue le plus élevé de Midtown Manhattan, il offre différents espaces et expériences pour apprécier la vue comme jamais. Au menu : ascenseurs aux parois transparentes, installations immersives qui utilisent miroirs et animations diverses pour créer une expérience unique, des caissons suspendus au-dessus du vide. Il est conseillé de venir avec des lunettes de soleil pour se protéger des reflets. Chaque expérience se réserve séparément, mais un package est offert pour 73$ (adultes), 68$ si vous résidez à New York. Infos

Grimper sur le toit d’un gratte-ciel

Face à cette concurrence, il fallait bien qu’Edge NYC, l’observatoire de Hudson Yards, fasse monter les enchères. Sa réponse : City Climb, une expérience dans laquelle un petit groupe de courageux grimpent sur le toit du gratte-ciel où se trouve Edge, 30 Hudson Yards. En guise de récompense pour avoir dompté l’escalier extérieur incliné à 45 degrés, vous pourrez vous pencher au-dessus du vide ! Un ticket pour les spectateurs est aussi disponible. Infos 

Village d’hiver sur Governors Island

Hallelujah ! Petite île au sud de Manhattan, Governors Island est désormais ouverte toute l’année. Ce qui veut dire qu’on peut y fêter Noël ! À partir du 17 décembre, les curieux pourront y découvrir un « village d’hiver » le long de Colonel’s Row. Une patinoire vous y attend (les vendredis et week-ends), de même que des jeux et des activités diverses. Des food trucks seront aussi sur place pour servir chocolats chauds et autres délices qui sentent bon la fin d’année. Accessible en ferry depuis Manhattan et Brooklyn. Infos

Se reposer au fil de l’eau

Dressé sur 132 colonnes de béton au dessus de l’Hudson, entre West 12th Street et 14th Street, Little Island est un parc vallonné sur l’eau, doté d’un amphithéâtre en plein air de 700 places. Cet espace vert étonnant a ouvert ses portes cette année pour le plus grand plaisir des New-Yorkais et des visiteurs. Si vous n’avez pas pu y aller jusqu’à présent à cause du manque de créneaux de réservation disponibles, c’est le moment où jamais. Jusqu’à la mi-mars, l’entrée est parfaitement libre. Aucun événement n’est programmé pendant les Fêtes. Infos

Balade chez les marionnettes

Si vous lisez French Morning, vous savez que le Museum of the City of New York est l’un de nos musées favoris. Consacrée à l’histoire de la Grosse Pomme, l’institution de l’Upper East Side propose jusqu’en avril 2022 une exposition étonnante sur les marionnettes qui ont forgé l’identité new-yorkaise. Petits et grands enfants partiront ainsi à la découverte des marionnettistes et de leurs bébés connus et moins connus, souvent importés par les immigrés venus aux États-Unis en quête d’une nouvelle vie. Certains des personnages que vous verrez sont passés à la télévision, d’autres sont utilisés dans les défilés du Nouvel An chinois ou sur Broadway. Une exposition pour toute la famille ! Infos

A Boca Raton, Côté France fait le bonheur des gourmets

(Article partenaire) S’il y a une période où les bons plats français vous manquent, c’est bien celle des fêtes de fin d’année. Yves et Marie-Josée Magnac le savent mieux que quiconque. Installés à Boca Raton sous l’enseigne Côté France, l’artisan traiteur-pâtissier et son épouse savent exactement ce qu’il vous faut pour des repas de fêtes réussis.

Côté traiteur

Choisissez pour vos “savory treats” dans un large éventail:

  • Mini quiche Lorraine
  • Mini quiche Goat Cheese Spinach
  • Mini quiche Florentine
  • Mini quiche veggie
  • Mini quiche salmon spinach
  • Mini quiche Broccoli Bacon
  • Canapés divers et variés

Les tarifs des produits traiteurs oscillent entre $2,40 et $2.90 pièce (réductions accordées selon volumes).

Côté buches

Pour réussir votre fin de repas, rien ne remplace les desserts tels que la traditionnelle bûche :

  • Bûche Hazelnut butter cream
  • Bûche Opéra butter cream
  • Bûche Grand Marnier mousse (Inside) & butter cream (Outside)
  • Bûche Chocolat mousse
  • Bûche Raspberry mousse

Les tarifs sont de $34 pour une Bûche de 7/8 personnes, $40 pour une Bûche de 10/11 personnes et $45 pour une bûche de 13/14 personnes.

Si les bûches ne font pas partie de vos desserts préférés, vous pouvez aussi commander des gâteaux plus classiques: mousse au chocolat, bavarois Passion fruits rouges, millefeuille, paris-brest, St-Honoré, fraisier, framboisier, etc… Les tarifs de ces gâteaux sont de $42 pour 8 personnes, $53 pour 10 personnes, $63 pour 12 personnes, $74 pour 14 personnes et $85 pour 16 personnes.

Si vous préférez des desserts plus rafraichissants, vous choisirez parmi de nombreuses tartes aux fruits frais : tarte fine pommes cannelle, tarte aux fraises, tarte aux framboises, tarte aux peach, tarte aux abricots, tarte aux poires, tarte multi fruits. Ces tartes vous sont proposées aux tarifs de $31 pour 6 personnes, $38 pour 8 personnes, $46 pour 10 personnes, $53 pour 12 personnes et $63.50 pour 14 personnes. Pour la tarte multi fruits, comptez $42 pour 6 personnes, $49.50 pour 8 personnes, $59 pour 10 personnes, $67 pour 12 personnes et $73 pour 14 personnes.

Pour agrémenter votre soirée d’après repas, de nombreuses gourmandises vous sont proposées parmi un choix de nombreuses créations originales. Notamment, une jolie pyramide de macarons sera du meilleur effet, tant pour embellir votre table que pour flatter les papilles de vos invités avec 12 parfums inédits. Le tarif de cette pyramide dépend du nombre de Macarons désirés. Le macaron à l’unité est à $2.40 mais des réductions seront appliquées selon le nombre commandé.

Pour amuser les enfants comme les plus grands, vous n’oublierez pas de commander des “cookies décor” qui sont toujours appréciés par tous, tant pour leurs décors que pour leur saveur fondante exquise : cookie Reindeer, cookie snow man, cookie christmas tree, cookie christmas socks, cookie ginger man. Chaque cookie vous est proposé au tarif de $5.40 l’unité.

N’hésitez pas à vous rendre chez Côté France pour passer vos commandes et choisir vos gourmandises parmi un large choix de créations.

[Vidéo] Investissez aux États-Unis dans l’achat-revente de terrains en Joint Venture et Portfolio diversifié

0

Lors d’un webinaire dédié aux investisseurs francophones intéressés par les États-Unis, Pierre Rizk vous a présenté LandQuire, une société qui propose d’investir dans l’achat-revente de terrains aux États-Unis, avec des perspectives de rendement élevé (ROI estimé à 20 %).

Pierre vous a notamment parlé des nouvelles opportunités en Joint Venture et du Portfolio III.

L’investissement en Joint Venture permet à un investisseur unique de rentrer en partenariat avec LandQuire et de saisir une opportunité comprenant 1 à 6 parcelles pour un montant de levée de fonds compris entre $60 et 120K en moyenne par projet. Le partage des profits est divisé en 50/50 avec LandQuire.

Visionnez le replay sur notre page YouTube

Pour aller plus loin
[email protected]
? +19543105474
Ou prenez un rendez-vous gratuitement ici : https://calendly.com/prizklq 

Ficelle, la nouvelle boulangerie-pâtisserie de Miami

Olivier Rizk a du bon pain à revendre. À tout juste 29 ans, ce boulanger haïtiano-américain va ouvrir sa première enseigne baptisée Ficelle à Miami, sa ville natale. À partir de ce vendredi 17 décembre, les gourmands pourront venir se délecter de toute une gamme de pâtisseries françaises et repartir avec leur baguette sous le bras.

Une enfance dans l’univers du pain

« Il n’y a rien de meilleur qu’une bonne baguette réalisée dans la plus pure tradition française, bien dorée et bien croustillante », affirme avec fierté Olivier Rizk qui, aussi loin qu’il s’en souvienne, a été bercé dès son plus jeune âge dans l’univers du pain. « J’ai passé la plupart de mon enfance dans la boulangerie de mon oncle (Patrick Baboun qui est à la tête de Delices de France, un établissement ouvert depuis près de trois décennies dans le sud de Miami). J’étais alléché par l’odeur des croissants fraîchement cuits et je goûtais parfois les éclairs au chocolat qui se trouvaient dans les vitrines », se rappelle-t-il avec émotion.

Tout naturellement, Olivier Rizk a étudié à l’école d’arts culinaires Le Cordon Bleu de Miami, tout en prenant des cours particuliers auprès de son oncle. « Je me rendais à sa boulangerie après l’école environ cinq fois par semaine, souligne-t-il. À l’époque, j’apprenais notamment à mettre du beurre dans la pâte à croissant. Mon oncle m’a véritablement mis le pied à l’étrier ».

Après avoir obtenu son diplôme, Olivier Rizk est allé parfaire son parcours à New York, en faisant ses premières armes aux côtés de Yann Ledoux, l’ancien chef boulanger de Maison Kayser. Extrêmement motivé, le jeune apprenti a gravi les échelons un à un avant de devenir sous-chef en seulement deux ans. « J’ai eu l’occasion de faire du pain pour les plus grands restaurants étoilés au Michelin de la ville et surtout j’ai eu la chance d’accompagner l’ouverture de deux établissement de la marque en l’espace d’un mois, ce qui est très formateur », raconte-t-il.

Une entreprise familiale

Avec son mentor, comme il le considère, Olivier Rizk a par ailleurs remporté le prix de la meilleure baguette en 2019. « Je ne peux pas décrire le sentiment de gagner ma première compétition, surtout à New York qui accueille certains des meilleurs boulangers du monde ».

Aujourd’hui, riche d’une expérience d’une dizaine d’années et désireux de voler de ses propres ailes, Olivier Rizk va ouvrir son propre établissement à Miami, sa ville de cœur. « Il m’a fallu un an pour tout planifier et trouver l’endroit idéal, explique-t-il. C’est aussi un projet familial, puisque je travaille avec mes deux frères ».

Au quotidien, l’entrepreneur reproduit les gestes ancestraux de la tradition française, tout en y apportant une touche moderne. « L’amour et la passion sont par ailleurs la clé d’une bonne baguette, insite-t-il. Il faut adorer le pain pour pouvoir en faire car il ne s’agit pas simplement d’assembler tous les ingrédients, il faut aussi savoir bichonner la pâte », ajoute Olivier Rizk qui espère prochainement développer son enseigne dans d’autres grandes villes américaines.

French Expat : Pourquoi les expatriés ont-ils mauvaise réputation ?

0

Un nom ? Une dénomination ? Un mode de vie ? Anne-Fleur se souvient, lors du lancement du podcast il y a plus de deux ans, avoir voulu inviter quelques personnes à raconter leur histoire et qu’elles lui ont répondu : « Ben non, je ne suis pas “expat” en fait ». Pour Anne-Fleur, « expatrié » veut simplement dire « hors de sa patrie », peu importe le motif et l’objectif. Elle a ainsi réalisé que le mot « expat » avait particulièrement mauvaise presse et en est venue à la question centrale de cet épisode : pourquoi est-ce que personne ne peut voir les expats ? Ou en tout cas, la vision que l’on en a.

C’est parti donc pour un épisode hors série un peu différent. Avec les interventions de Marjory Murphy (Double Monde, Ex Expat), Lou, Leila Lamnaouer, Milka Pantelic, Nicolas Parodi et François Gemmene.

Production :

Voyager avec du cannabis, quels sont les risques ?

Premier État à légaliser l’usage thérapeutique du cannabis en 1996, la Californie répliquait 20 ans plus tard en légalisant, cette-fois, son usage récréatif. Un marché lucratif, estimé à environ 7 milliards de dollars (pour le seul État de Californie), qui permet aujourd’hui aux habitants comme aux touristes d’acheter librement leur weed (sur présentation d’une pièce d’identité), et même de se faire livrer à domicile.
Devant l’engouement suscité par la libéralisation du marché, Sophie Cilpa, avocate internationale, spécialiste des questions juridiques franco-américaines, et Pierre Hourcade, avocat aux barreaux de Paris, New-York et Californie, tous deux associés au sein du cabinet Action Avocat, font le point sur les risques encourus par les Français qui souhaiteraient faire voyager joints, graines ou bonbons infusés au cannabis.
Ramener du cannabis en France
Le message est clair. « Voyager des États-Unis, et notamment de la Californie, vers la France avec du cannabis, quelle que soit sa forme – joint, bonbon, huile - signifie, plus ou moins, exporter des produits stupéfiants, expliquent les avocats, dans la mesure où le produit transporté est constitué effectivement en une forme o...

Jules Tavernier au de Young : à la rencontre des Amérindiens

L’exposition « Jules Tavernier et les Elem Pomo » s’invite du samedi 18 décembre 2021 au samedi 17 avril 2022 au musée de Young. Elle explore une série de rencontres entre le peintre-illustrateur français et des populations autochtones présentes aux États-Unis depuis des milliers d’années. Elle s’intéresse en particulier aux Elem Pomo, communauté installée à une centaine de kilomètres de San Francisco.

Jules Tavernier a parcouru les États-Unis à partir de 1871. Son objectif ? Raconter ses découvertes en images. Il passe ainsi deux ans à San Francisco où il réalise l’un de ses plus grands chefs-d’œuvre : Dance in a Subterranean Roundhouse at Clear Lake, California. Pièce maîtresse de l’exposition, cette toile se trouve en Californie pour la première fois depuis plus de 140 ans. Achevée en 1878, elle a d’abord voyagé en Europe. Puis, en 2016, elle a rejoint la collection du Metropolitan Museum of Art de New York. Ce tableau capture un rare moment : colons et Elem Pomo participent ensemble à une cérémonie tribale dansée. Un témoignage précieux dans un contexte d’exploitation des terres par les colons blancs.

Trésors historiques

Quelque soixante-dix œuvres de Jules Tavernier – toiles, gravures, aquarelles, photographies – sont exposées. Et d’autres contributions les complètent. Par exemple, des représentations des peuples Pomo par ses contemporains, un film documentaire et une quarantaine de pièces de vanneries et d’art Pomo. Une mise en lumière qui couvre les années 1870-1880 à nos jours, et qui célèbre le patrimoine culturel de cette communauté.

Le chef culturel Pomo, Robert Geary (chef de cérémonie, fabricant d’insignes, professeur de langue et agent de la préservation historique tribale…) co-présente l’exposition. D’autres artistes et historiens offrent aussi un regard inédit sur cette population native. De quoi interroger l’histoire et le rôle de la colonisation sur la survie de ces communautés autochtones aux États-Unis.

Où habiter à Washington ?

La capitale fédérale regorge de quartiers agréables à vivre. Calme ou ébullition, appartement ou maison, charme historique ou modernité, il y en a pour tous les goûts. Tour d’horizon en cinq quartiers.

Georgetown

Boutiques tendance, restaurants étoilés et promenade sur le Potomac : Georgetown est l’un des quartiers les plus pittoresques de DC, situé au nord-ouest du National Mall. On tombe très vite sous le charme des petites rues pavées et du style fédéral des bâtiments. Il faut donc s’attendre à « beaucoup de touristes et de clients attirés par le charme de Georgetown, et les rues et les trottoirs bondés qui vont avec », selon le guide Compass de Washington, fourni par l’agent immobilier Valérie Greene.

Thomas Bonnet, qui vient de poser ses valises à Washington, rêvait d’habiter à Georgetown : « l’ambiance est vraiment magique ». Ce Français s’est donc renseigné pour s’installer dans le quartier, mais a vite été freiné par le prix. Georgetown est en effet l’un des quartiers les plus chers de DC : entre 5 500 et 10 000 dollars par mois, selon le nombre de chambres, pour une rowhouse, maison de ville. « Sans le métro à proximité, j’ai trouvé que le prix ne valait pas le coup ».

Capitol Hill

À l’est du National Mall, Capitol Hill tend les bras à ceux qui rêvent d’une maison de ville, dans une zone ultra-résidentielle. « Si vous cherchez le calme même le week-end, vous êtes au bon endroit » estime Anne, une Américaine qui a habité le quartier pendant deux ans. Ici, pas de touristes mais une vraie vie de quartier à proximité de l’Eastern Market. « The Hill a réussi à garder son petit air de village malgré les hauts et les bas de Washington au fil des ans », selon Compass. On compte environ 3 500 dollars par mois pour une maison de 130 m2 avec 2 chambres.

Le quartier voit également émerger des résidences d’appartements modernes avec salle de sport, parties communes et rooftop. Ces immeubles appartiennent à des entreprises et c’est d’ailleurs à elles de prendre en charge la maintenance des appartements, de A à Z. Il faudra débourser en moyenne 2 500 dollars par mois pour un appartement d’environ 60m2 avec une chambre – eau, électricité et internet non compris.

U street/14 street

Depuis ces dix dernières années, l’offre immobilière fleurit à U Street et sur la 14ème du fait de la gentrification du quartier, riche de son héritage afro-américain. Pour Lisa Setyon, qui habite le quartier depuis deux ans, « c’est le centre animé de DC, le cœur battant de la ville ». Cette Française de 30 ans a choisi U Street pour profiter de ses restaurants, bars et salles de concert.

Des dizaines d’immeubles y proposent des appartements modernes avec rooftop et piscine à des prix qui grimpent en flèche : entre 2 800 et 3 200 dollars pour un pied-à-terre avec une chambre. « Les appartements ont tendance à s’adresser à ceux qui peuvent se permettre de payer un supplément pour la proximité urbaine », selon les informations recueillies auprès de Compass.

Southwest Waterfront

Le Wharf est un nouveau quartier au bord du Potomac. Les Washingtoniens profitent du front de mer flambant neuf où les restaurants tendance se sont installés à côté du marché aux poissons. Ils y viennent pour courir ou y faire jouer leurs enfants dans le bassin d’eau spécialement aménagé pour les petits. Les résidences y poussent comme des champignons, à des prix plus attractifs que sur U Street. « Bien que les nouveaux appartements et condos de luxe sur le front de mer coûtent cher, souligne Compass, les développeurs ont inclus de nombreux condos et maisons abordables. »

Kalorama

Au nord-ouest de DC, Kalorama est une zone résidentielle qui abrite résidences diplomatiques et demeures coloniales sur l’un des plus hauts points de vue de la ville. C’est l’un des quartiers les plus chics de Washington. « La paix et la tranquillité sont les règles de cette communauté très unie », estime encore Compass. Les rues de Kalorama abritent de nombreux condos, appartements gérés par les propriétaires qui louent directement leur bien. Il faut compter 2 500 dollars pour un condo d’une chambre de 65 m2.

Profitez de la détaxe sur vos achats en France pendant les fêtes

[Article partenaire] Si vous habitez hors de l’Union Européenne, vous avez droit au remboursement de la TVA sur vos achats réalisés en France (mécanisme de la « détaxe »). Pourtant, nombreux sont les voyageurs internationaux qui ne profitent pas de cet avantage.

Grâce à ZappTax, une application mobile gratuite, cette procédure devient un jeu d’enfant. Quarante mille expatriés français en ont déjà fait l’expérience.

Les avantages de la détaxe avec ZappTax – un bref aperçu

Si vous êtes déjà passé(e) par la procédure classique de détaxe, il est fort probable que vous ayez été confronté(e) à l’un des problèmes suivants : non-disponibilité du service dans certaines boutiques, procédure laborieuse, taux de remboursement anémiques…

À cause de ces nombreux inconvénients, 85% des millions de voyageurs internationaux, dont trois millions d’expatriés français hors UE, ne profitent pas de ce droit à la détaxe lors de leur passage en Europe.

En quoi le fonctionnement de ZappTax est-il différent ?

Dans le système de détaxe classique, le commerçant collabore avec un opérateur de détaxe. Le bordereau est édité en boutique et peut vite devenir chronophage (file d’attente, encodage…).

Avec ZappTax il suffit de demander au commerçant qu’il vous édite une facture au nom de ZappTax. L’ensemble des factures téléchargées est ensuite regroupé afin d’éditer un bordereau de détaxe qui est mis à disposition sur l’application.

Ce système, agréé par les autorités fiscales et douanières, vous permet alors de détaxer où vous le souhaitez, puisque chaque commerçant est dans l’obligation légale d’émettre une facture si vous la lui demandez. Le fait qu’un commerce ait ou n’ait pas de service de détaxe en propre n’a plus aucune importance.

Comment utiliser l’application ZappTax ?

  1. Téléchargez gratuitement l’application et complétez votre profil.
  2. Renseignez les détails de votre séjour au sein de l’Union Européenne (dates et pays d’arrivée et de départ).
  3. Ajoutez sur l’application les photos des factures (que vous aurez demandées aux commerçants lors de vos achats).
  4. Peu avant votre départ de l’UE, ZappTax vous envoie un bordereau de détaxe qui consolide l’ensemble de vos factures.
  5. Validez électroniquement votre bordereau de détaxe aux douanes (bornes PABLO) avant de quitter l’UE.
  6. Vous êtes remboursés 24 heures après votre retour (hors période de crète).

Téléchargez gratuitement l’application et profitez de ZappTax pendant les vacances de Noël ! 

—————-
Note: le contenu “partenaire” n’est pas écrit par la rédaction de French Morning. Il est fourni par ou écrit sur commande d’un annonceur qui en détermine le contenu.

 

 

Pourquoi le surnom de New York est Big Apple ?

Pour ses habitants comme pour les touristes qui la visitent, New York, c’est « la ville qui ne dort jamais », « Gotham » et… « Big Apple ». Mais pourquoi la Grosse Pomme ? C’est la question bête de la semaine.

John J. Fitz Gerald serait à l’origine de l’expression. Ce journaliste sportif pour le New York Morning Telegraph dans les années 1920 couvrait les courses hippiques, très populaires à l’époque. Il a utilisé l’expression « Big Apple » après avoir entendu deux jeunes garçons d’écurie, lors de leur arrivée dans la ville, dire être très heureux de se trouver là où « the big money was ». Ils trouvaient la ville tellement immense et remplie d’opportunités qu’ils commencèrent à l’appeler « Big Apple ». Fitz Gerald se mit donc à appeler sa rubrique Around the Big Apple. Dans son introduction, on pouvait lire : « There’s only one Big Apple. That’s New York ».

L’expression s’est peu à peu répandue. Les musiciens de jazz l’ont reprise à leur compte et popularisée. Ils avaient l’habitude de dire qu’il y avait « beaucoup de pommes sur l’arbre » pour dire qu’il y avait beaucoup de scènes où jouer dans le monde. Mais la plus importante – la Big Apple – était New York, ville la plus branchée et la plus amoureuse de jazz. Jouer à New York était synonyme de succès pour ces musiciens. Lorsqu’ils se produisaient ailleurs, ils disaient qu’ils jouaient dans les branches ou sticks. « Big Apple » est ensuite apparue dans plusieurs livres, dont un ouvrage de 1938 de Cab Calloway, un grand chanteur de jazz et chef d’orchestre, pour désigner Harlem.

L’expression disparaît ensuite jusqu’au début des années 1970. C’est à cette époque que Charles Gillett, alors à la tête du Bureau des Conventions et du Tourisme de New York, a la bonne idée de la faire revivre dans une campagne axée sur le tourisme. Les autorités cherchaient par tous les moyens à attirer les visiteurs à New York alors rongée par la violence. Les classes moyennes fuyaient la ville vers les banlieues plus paisibles, plongeant la ville dans une profonde crise budgétaire faute de recettes fiscales suffisantes. Le symbole d’une belle pomme bien juteuse semblait donc être l’idée du siècle. La campagne que l’on connaît tous aujourd’hui « I ♥ NY » fut financée dans la foulée, accompagnée du logo de la pomme.

Une première version de cette Question bête a été publiée le 14 avril 2014.

French Boss, Gilles Amsallem (Virtual Room) : « Apprenez à vos enfants à coder, c’est le futur »

0

Entrepreneur « extra-optimiste » comme il se définit lui-même, Gilles Amsallem a toujours su profiter des crises pour avancer. Du sentiment anti-français en 2003, au moment de l’entrée en guerre en Irak, jusqu’à la pandémie de Covid, il a saisi le moment favorable pour créer des entreprises et fabriquer un bout de France dans cette ville dans laquelle vivraient plus de 30 000 Français : Los Angeles. Gilles Amsallem s’est toujours efforcé de rassembler cette communauté au travers de soirées à succès récurrentes (développées aujourd’hui dans dix-sept grandes villes du monde), de créations de groupes sur les réseaux sociaux, bref de rencontres entre Français. Il a aussi, avec son associé de toujours Pierre Battu, travaillé dans le textile, en important aux Etats-Unis des produits nouveaux, bien évidemment français. Sa vie professionnelle a ainsi été presque totalement consacrée à la France et à ceux qui, en l’ayant quittée, ne l’oublient pas.

Et c’est cette idée encore qui a donné naissance au concept de « Virtual Room », imaginé par des Français avant que Gilles et Pierre l’importent aux États-Unis en janvier 2018. De cet « escape game » du futur, Gilles Amsallem nous parle tout au long de cette émission. Il évoque les difficultés rencontrées liées au développement plus lent que prévu du secteur de la réalité virtuelle – par manque d’ingénieurs. Il laisse parler sa passion sur l’outil lui-même. Cet enthousiasme est la première force de notre invité.

Voir l’interview en vidéo:

Ecouter en podcast:

https://www.spreaker.com/user/10781102/pad-audio_26

The École offrira un programme bilingue au lycée à la rentrée 2022

Jusqu’à présent, les jeunes bilingues de The École ne pouvaient pas poursuivre leur scolarité avec l’établissement au-delà de la 4e. Cela ne sera plus le cas à la rentrée de septembre 2022.

Partenariat avec Léman Manhattan

L’institution franco-américaine de Manhattan a annoncé, jeudi 9 décembre, le lancement d’un programme bilingue de lycée en partenariat avec Léman Manhattan Preparatory School, une école internationale prestigieuse de PreK-12th Grade. Ce nouveau cursus, qui se déroulera dans les locaux de Léman, dans le sud de Manhattan, préparera les élèves au diplôme de l’IB (International Baccalaureate), l’une des clefs pour accéder aux grandes universités du monde anglophone.

L’initiative marque une nouvelle étape dans le développement de The École, un établissement ouvert en 2009 à Gramercy sous le nom d’École Internationale de New York (EINY) et qui s’est progressivement étendu dans le quartier. En envoyant ses élèves à Léman, vers lequel se tournaient déjà nombre de ses collégiens, elle profite de l’infrastructure de son partenaire et d’une « expertise que nous n’aurions pas pu créer du jour au lendemain », explique Jean-Yves Vesseau, le directeur de The École. « Nous étions à la croisée des chemins. Notre population devenait de plus en plus grande. Très attachées à The Ecole, les familles se demandaient que faire après la quatrième. La pression montait de notre côté pour leur offrir une solution. Du point de vue de l’adolescent, vivre une expérience de lycéen est un moment exceptionnel ».

Accent sur les relations franco-américaines

Dans le cadre du futur programme, The École et Léman offriront aux 9th et 10th Grade des cours de littérature francophone et d’histoire mondiale, avec un accent sur les relations franco-américaines. Des enseignants de The École animeront ces cours. Un atelier de mathématiques en français sera offert en after-school en cas de demande suffisante. « On va travailler sur les contenus », précise Jean-Yves Vesseau.

À l’heure actuelle, il est « difficile » d’estimer combien d’élèves de quatrième se dirigeront à la fin de l’année vers cette nouvelle option, mais le directeur est confiant. « Entre les examens et les entretiens, la transition entre le collège et le lycée est traditionnellement un moment de stress. Ce partenariat permet un passage confortable, automatique, vers un établissement excellent qui envoie les enfants vers de belles facs, dit-il. D’après les premiers retours de nos familles, c’est une excellente nouvelle pour elles ».