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Une fête de la musique californienne et virtuelle le 19 juin

La musique sera à l’honneur sur la côte ouest. Les Alliances Françaises de Los Angeles, de Pasadena, de San Diego, de Mexicali et de Tijuana s’associent pour organiser la fête de la musique californienne en virtuel (diffusé sur Facebook live), samedi 19 juin, à 5pm, avec 2 jours d’avance sur la date officielle de la Fête de la musique à travers le monde.

Durant cet événement en ligne, qui célèbre sa seconde édition, vous pourrez entendre Sharon Katz, Big Boss Bubeleh, Los Del Atico, Kumbia Katrina, Nos Marins et la chanteuse Chloé Perrier, allant du jazz au rock, en passant par la Cumbia. Chaque musicien jouera 2-3 chansons ou un medley de son choix.

Comment Revol a pris son temps pour percer aux Etats-Unis

Des succès et des échecs, des essais plus ou moins heureux, des remises en question, des déménagements, des réorganisations… Revol a vécu plusieurs vies aux Etats-Unis. Un itinéraire plutôt logique pour un groupe familial, basé à Saint-Uze dans la Drome, fondé en 1768.

Les prix doublent en traversant l’Atlantique

Distribué dans 84 pays, Revol a traversé pour la première fois l’Atlantique il y a une trentaine d’années mais ses débuts aux Etats-Unis ont été pour le moins… chaotiques. « Quand je suis entré dans la société en 1999, ce marché représentait à peine 5% de notre chiffre d’affaires, reconnaît Olivier Passot, aujourd’hui président du groupe et représentant de la 9ème génération. Mon père m’a recruté pour relancer notre activité dans ce pays que je connaissais bien car j’avais fait une école de commerce à San Francisco puis un stage chez notre importateur de l’époque qui se trouvait à Seattle. » Les droits de douane de 25% imposés par Washington, les coûts de fabrication élevés du « Made in France », les frais de transport prohibitifs ainsi que les marges prises par son partenaire local et les distributeurs transformaient ses assiettes et ses bols en véritables produits de luxe avec des prix de vente au public deux fois plus élevés que ceux proposés en France. Au fil du temps, Revol commence toutefois à se faire un nom et à trouver des clients. « A la fin des années 90 et au début de la décennie suivante, nous nous sommes très fortement développés car j’avais vu le potentiel de croissance que nous pouvions enregistrer auprès du retail et des professionnels, se souvient Olivier Passot. J’allais, à l’époque, aux Etats-Unis sept à huit fois par an pour me rendre notamment dans des salons. »

Le choix d’une filiale

Cette belle histoire s’est arrêtée brutalement en 2005 lorsque l’importateur du porcelainier a fait faillite suite au divorce houleux du couple qui pilotait l’affaire. « Je me suis retrouvé du jour au lendemain le bec dans l’eau, raconte le président du groupe qui emploie 203 collaborateurs. J’ai vite recherché d’autres partenaires alternatifs mais je n’en ai trouvé aucun. Les quotas qui frappaient la porcelaine fabriquée en Chine venaient d’être abolis et personne ne voulait prendre le risque de représenter une entreprise comme la nôtre avec des prix aussi élevés. J’ai alors réalisé que la mésaventure que nous venions de connaître pourrait se produire à nouveau avec un autre importateur. J’ai donc eu l’idée de créer une filiale aux Etats-Unis. Mon père qui était président n’était pas tenté par cette initiative qu’il trouvait trop risquée mais j’ai fini par réussir à le persuader… »

Le premier « siège social » de Revol USA était situé dans le… garage d’une maison près de Miami en Floride. Le couple franco-argentin qui vivait là représentait la marque drômoise sur le marché américain qui a changé d’adresse officielle au fil des déménagements du ménage en Pennsylvanie et dans le Colorado. « Nous sous-traitions la logistique à l’époque et j’animais personnellement jusqu’en 2010 l’équipe de vingt à trente agents indépendants qui travaillaient pour nous aux quatre coins du pays. » En 2009, Revol USA installe son siège social à Atlanta. Il y restera dix ans.

New York, Mecque du design

En 2013, le couple franco-argentin décide de quitter l’entreprise. Ce départ se fera sans anicroches car la société française employait déjà sur place cinq salariés, dont deux commerciaux, deux assistants et un responsable de la logistique qui gérait l’entrepôt que le groupe sous-louait dans la capitale de la Géorgie. Pour remplacer le duo qui pilotait Revol USA, Olivier Passot décide de nommer un Français au poste de General Manager. Cinq ans plus tard, il recrute un véritable CEO pour piloter ses activités aux Etats-Unis. 2018 marque également le déménagement -un de plus- de Revol USA à New York. « Cette ville reste la Mecque du design aux Etats-Unis et le cœur névralgique des entreprises présentes dans les arts de la table et la restauration, justifie Olivier Passot. Son image est nettement plus haut de gamme qu’Atlanta où nos stocks sont toujours entreposés. »

Le porcelainier ne tente pas pour autant de se faire passer par un fabricant local. Bien au contraire. Le drapeau tricolore et le label « Made in France » figure en tête de la première page de son site américain sur la Toile. La patronne actuelle de sa filiale, Alexandra Jacques, est, elle aussi, française.

« Aucune prime à être américain de souche aux US »

Après plus de dix ans chez BIC où elle a travaillé dans le marketing et le « business development », cette mère de trois enfants a suivi son mari aux Etats-Unis, à Philadelphie d’abord puis à New York, où le couple créé un concept de pâtisserie. Après trois ans et demi de collaboration, Alexandra Jacques a envie d’une nouvelle aventure. « Je fonctionne au coup de cœur et par l’intermédiaire du réseau français à New York, j’ai rencontré une cadre de Revol lors d’un cocktail, se souvient t-elle. Elle cherchait une personne pour prendre en charge les activités du groupe aux Etats-Unis et après plusieurs entretiens notamment avec Olivier, j’ai obtenu le poste. » Dès son arrivée, la femme d’affaire remet de l’ordre dans l’organisation de la filiale. « Elle était gérée de façon communautaire par deux commerciaux, résume t-elle. L’un s’occupait du retail et l’autre de l’hospitality. J’ai commencé par chercher à professionnaliser notre modèle. Nous avons externalisé tout ce qui ne touchait pas directement au business comme la comptabilité et nous nous sommes rapprochés d’un cabinet d’avocats local. Comme nous ne sommes que trois, nous sommes dans le mode « relevons-nous les manches et allons-y. »

Olivier Passot ne regrette pas d’avoir embauché une Française à ce poste même si de nombreuses entreprises hexagonales disent qu’il est préférable de nommer un américain pour gérer ce marché si spécifique. « Il n’y a aucune prime à être un américain de souche dans ce pays, tranche t-il. Être français pour vendre l’art de vivre à la française n’est pas aberrant. C’est même un plus. Les Américains aiment notre petit accent tant qu’on est capable de parler parfaitement leur langue. »

La pandémie a eu un certain impact sur les activités de Revol aux Etats-Unis. Sa filiale a diminué de moitié ses effectifs. La baisse de 5% de ses revenus enregistrée l’an dernier est toutefois nettement inférieure à celle de son secteur. Aujourd’hui, cette filiale réalise 65% de son chiffre d’affaires auprès des professionnels de l’hôtellerie et de la restauration et 35% grâce au grand public (ce rapport atteignait plutôt 75/25 avant l’arrivée du Covid). Revol USA génère 10% des recettes mondiales de sa maison-mère contre 15% il y a deux ans. Le potentiel de croissance du second marché le plus important du porcelainier après la France reste toutefois immense.

« Raconter une histoire pour vendre aux Etats-Unis »

« Les Etats-Unis sont un pays passionnant car son potentiel économique est très important, analyse Olivier Passot. Les consommateurs là-bas ont un véritable sens de la qualité et une réelle admiration de l’art de vivre européen. Ils aiment notre cuisine, nos vins, nos cosmétiques, nos griffes de luxe et nos créateurs de mode. Cette fascination explique pourquoi les touristes américains sont si nombreux dans notre pays et pourquoi ils apprécient tout particulièrement nos palaces. Leur pouvoir d’achat élevé leur permet, de surcroît, de s’offrir nos plus belles marques. Ils comprennent nos produits et notre qualité. » Cet intérêt certain pour le « Made in France » n’est toutefois pas une garantie de succès pour les entreprises hexagonales qui souhaiteraient se lancer outre-Atlantique. Loin de là…

« C’est un marché ultra-concurrentiel dans lequel tout le monde veut être, prévient le président du porcelainier. C’est également une nation très scindée entre le haut de gamme et le « mass market » qui est plutôt bas de gamme. Il est donc difficile pour les marques du moyen de gamme de percer dans ce pays. Pour réussir, il faut avoir des produits de qualité, des prix justes et des histoires à raconter. C’est pour cette raison que nous communiquons beaucoup sur nos origines et notre savoir-faire. Lorsque les Américains achètent un produit Revol, ils veulent revivre dans leur maison ce qu’ils ont ressenti en France lorsqu’ils prenaient un pastis à une terrasse ou se reposaient au bord de la piscine d’un mas en Provence. » Répliquer à la lettre aux Etats-Unis le modèle français n’est toutefois pas une bonne idée…

Culture du banquet

« Le marché ici n’est pas le même, tranche Alexandra Jacques. Beaucoup pensent que les Etats-Unis ressemblent plus à l’Europe que l’Asie mais cela n’est pas forcément vrai. Le niveau de raffinement ici n’est pas aussi élevé même s’il s’améliore peu à peu. Les produits qui plaisent sont aussi souvent différents. Le succès de notre tasse froissée n’a pas duré bien longtemps car les Américains aiment boire leur café dans des gros mugs avec anse et non pas dans des petites tasses à espresso. Il existe aussi dans ce pays d’énormes marchés qui sont pratiquement inexistants en Europe. C’est le cas notamment des croisières et des stades qui sont gigantesques et d’un luxe inouï. La culture du buffet et du banquet dans les grands hôtels est un autre segment très important. Nos produits ne correspondent d’ailleurs pas toujours aux attentes de ces clients. Pour répondre à leurs besoins, nous allons bientôt lancer des produits qui seront commercialisés uniquement aux Etats-Unis. »

La taille et la diversité de cette nation impose également une organisation commerciale spécifique. Revol, en plus de son show-room de 70m2 situé dans l’immeuble du 41 Madison qui regroupe les plus grandes marques des arts de la table, se repose sur tout un réseau de représentants payés à la commission. « Nous en avons une dizaine dans le retail et une cinquantaine dans l’hospitality qui travaillent pour plusieurs fabricants de notre secteur, calcule Alexandra Jacques. Nous fonctionnons aussi beaucoup avec des distributeurs afin d’avoir un maillage complet de cet énorme pays. Nous avons profité de la crise sanitaire pour les former. Nous leur avons expliqué notre identité et détaillé nos best sellers. S’implanter ici coûte très cher. Pour être présent dans un salon professionnel, par exemple, vous devez débloquer un budget de plusieurs dizaines de milliers de dollars. »

Concernant le modèle le plus efficace pour s’implanter aux Etats-Unis, le patron du groupe drômois n’est pas catégorique, lui qui n’a pas toujours transformé ses essais sur ce marché. « Ouvrir une filiale n’est pas neutre, conclue-t-il. C’est un fil à la patte et un engagement qu’il ne faut pas prendre à la légère car vous avez besoin d’équipes et d’infrastructures efficaces pour que cela fonctionne. Une telle entité présente des opportunités mais aussi des responsabilités. Pour se lancer dans ce pays, il peut être préférable de passer par un importateur qui vous permettra d’apprendre et de comprendre ce marché. Ce modèle peut même être efficace sur le long-terme. Alors si vous ne pensez pas réaliser plus de 300.000 euros de chiffre d’affaires, n’ouvrez pas de filiale aux Etats-Unis. Nous, nous avons franchi ce pas car nous n’arrivions pas à trouver de partenaire idoine et nous savions que notre potentiel de croissance était encore très important. » L’expérience d’un groupe fondé il y a 253 ans mérite le respect…

Le Pavillon, restaurant de la renaissance pour Daniel Boulud à New York

J’ai dû tout réapprendre”. Comme beaucoup de restaurateurs, Daniel Boulud a passé une année 2020 difficile. Plusieurs restaurants de son groupe, Dinex, dont db Bistro et certaines épiceries Boulud, sont encore fermés (mais devraient rouvrir) et il a dû couper ses effectifs de manière drastique. “De 750 avant la pandémie, on est passé à une dizaine. Depuis, on est remonté à plus de 300, confie-t-il. Après le 11-Septembre, la baisse d’activité a duré une semaine, mais rien n’empêchait les New-Yorkais de se retrouver. Ce qui n’était bien sûr pas le cas avec la Covid“.

Malgré les difficultés, le chef lyonnais n’a pas raccroché son tablier. Entre des distributions de repas pour les soignants et les personnels en première ligne, une levée de fonds pour soutenir ses employés (il a obtenu près de 700 000 dollars, dit-il) et des ouvertures en dehors de New York et à l’étranger, il n’a pas chômé. Et maintenant que New York reprend vie, il inaugure son petit dernier, Le Pavillon, dans la nouvelle tour One Vanderbilt, à côté de Grand Central. Sa nouvelle adresse, située au premier étage (européen) de ce gratte-ciel qui en compte 67, dispose de 120 places et est axée sur les fruits de mer et les légumes. Au rez-de-chaussée se trouve une épicerie Boulud. “Je ne vois pas ouvrir un nouveau restaurant comme un défi, explique Daniel Boulud. C’est plus une opportunité”.

Le nom “Le Pavillon”, “choisi parmi cinquante“, est censé évoquer une atmosphère de “fête“, dit-il, et lui rappelle un restaurant de son Lyon natal, le Pavillon-du-Parc, situé au bord du lac de la Tête d’or. C’est aussi un clin d’oeil au mythique restaurant d’Henri Soulé, ouvert en 1939 dans le cadre de l’exposition universelle à New York puis de manière indépendante deux ans plus tard. “Soulé et son personnel ne sont pas rentrés en France après l’exposition universelle. Ils sont allés au Canada et sont revenus aux États-Unis comme réfugiés“, glisse Daniel Boulud. Ce premier “Pavillon”, qui a défini l’image de la haute-cuisine française aux États-Unis après la guerre, a régalé bien des personnalités, comme les Rockefeller, les Vanderbilt et les Kennedy. Même si le tempétueux Henri Soulé a eu des démêlés avec ces derniers après avoir réprimandé des membres de leur entourage qui avaient commis le crime de lèse-majesté de demander, à sa place, à des paparazzi de déguerpir du restaurant !

Arrivé à New York en 1982, Daniel Boulud n’a pas connu Le Pavillon, qui a fermé ses portes en 1966, mais “c’était une référence. Toute une génération de chefs est passée par ses cuisines. Ils ont ouvert leurs propres restaurants français par la suite“. De la même manière que Daniel Boulud a formé une ribambelle de grands chefs américains et français dans son étoilé Daniel et ses autres tables (Thomas Keller, David Chang, Andrew Carmellini…)

Le Pavillon version Boulud est sans conteste l’un de ses plus beaux restaurants. Les tables sont disposées au milieu d’une sorte jardin intérieur, composé d’arbres et de plantes de toutes tailles, parfois passés par les fenêtres pour être installés. Les convives autour d’une longue table semi-privée baptisée “Garden Table” pourront profiter d’expériences gastronomiques spéciales. “Les végétaux recouvrent la moitié de la superficie du restaurant“, précise le chef. Un mur strié de longues lattes aux allures de forêt ajoute au caractère “végétal” de l’endroit, servi par de grandes baies vitrées qui laissent entrer la lumière naturelle. En arrivant au sommet de l’escalier qui mène au restaurant, l’attention des visiteurs est attirée par un bar-lounge de 46 places surmonté d’une installation de verre qui donne sur Grand Central et le Chrysler Building. Le tout est dominé par plusieurs plafonds à des hauteurs variées – le plus élevé se trouve à près de 20 mètres.

C’est la première fois que Daniel Boulud ouvre un restaurant avec un partenaire, en l’occurence l’entreprise immobilière SL Green. Avec une centaine de bâtiments à New York, la société est le plus grand propriétaire commercial de la ville. D’un coût de 3,3 milliards de dollars, le One Vanderbilt a été inauguré en septembre et se targue d’être le plus haut immeuble de Midtown. Cinq ans après le premier coup de pioche, il est loué à 89%, par des entreprises du secteur financier notamment. Un observatoire doit ouvrir à l’automne.

Par le plus grand des hasards, Le Pavillon a accueilli ses premiers clients le 19 mai, le même jour que les restrictions d’accueil ont été intégralement levées sur les restaurants new-yorkais. Heureux de pouvoir présenter Le Pavillon comme un symbole de la renaissance et de la résilience de sa ville, le maire Bill de Blasio a fait le déplacement pour l’inauguration.

Lancer un restaurant de luxe en plein Midtown, alors que les bureaux sont encore en partie vides et que beaucoup de ses voisins (21 Club, Esca…) ont fermé, cela ne fait-il pas peur au chef Boulud ? “Les bureaux se rempliront. New York reviendra, vous pouvez en être sûr !“.

L’Alliance Française Silicon Valley vous donne rendez-vous pour un été français

[Agenda partenaire] L’été approche rapidement, c’est le moment idéal pour apprendre le français sous le soleil !

Apprenez le français tout en profitant du soleil

Les inscriptions pour la session d’été (du 19 juillet au 24 septembre) sont ouvertes à l’Alliance Française Silicon Valley.  Prenez des cours de français divertissants et interactifs, quel que soit votre niveau. Les cours sont animés par des enseignants qualifiés. Les leçons de l’Alliance sont soigneusement conçues pour vous aider à atteindre vos objectifs en français.

(re)Découvrez la culture française

Vous voulez encore plus de français cet été ? Rendez-vous à l’AFSCV, à Los Gatos, à l’occasion de la Journée Portes Ouvertes, le 20 juin à partir de 9h. Faites la connaissance du personnel et des enseignants ; trouvez votre bonheur lors de leur vente de livres. Le tout en savourant des viennoiseries et du café, gracieusement offerts par les amis de l’Alliance, Frenchery.

Vous pourrez également acheter de merveilleux produits français des entreprises locales, comme par exemple des confitures raffinées de J’aime Confiture, de la broderie personnalisée de Geneviève Sewing, des sachets de lavande, des paniers et des sacs provençaux. N’oubliez pas de participer au tirage au sort pour gagner un cours gratuit durant 10 semaines, un bon de réduction chez Frenchery, une bouteille de champagne et bien plus encore.

Adresse : 14107 Winchester Blvd, Suite T, Los Gatos, CA 95032
Téléphone : (408) 445-2095
Courriel : [email protected]
Site : afscv.org

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Note: les “agendas partenaires” ne sont pas des articles de la rédaction de French Morning. Ils sont fournis par ou écrits sur commande d’un annonceur qui en détermine le contenu.

Grégory Chochon, le Monsieur poker de Las Vegas

Directeur des World Series of Poker (WSOP), le le plus célèbre tournoi mondial de poker créé en 1970, Grégory Chochon est sans doute l’un des seuls Français vivant à Las Vegas à exercer autant de responsabilités dans l’univers du jeu. Après une session 2020 marquée par la pandémie et nécessitant l’organisation d’un tournoi hybride, le dirigeant est en pleine préparation de l’édition 2021, qui se tiendra du 30 septembre au 23 novembre au casino Rio de Las Vegas, avec un pactole de 10 millions de dollars pour le vainqueur ! Entre 6 000 et 8 000 joueurs venus d’une centaine de pays et plus 100 000 visiteurs sont attendus durant cette période.

Issu du milieu du marketing sportif et passionné de poker, Grégory Chochon a travaillé pour de nombreuses sociétés comme le groupe Barrière et le site de jeux en ligne Partypoker. C’est avec le groupe Barrière que sa carrière a véritablement basculé. « Nous avions signé un partenariat avec les World Series of Poker pour organiser des tournois comme le European Poker Tour au casino de Deauville. À ce moment, j’ai collaboré avec les équipes americaines des WSOP. J’ai eu l’occasion de rencontrer Ty Stewart, le directeur exécutif de ce tournoi, et nous sommes devenus très proches », se souvient Grégory Chochon.

De Paris à Las Vegas

Devenu bras droit du directeur du tournoi en 2013, en charge de la communication et du marketing, Grégory Chochon réalise un rêve. « Ce tournoi, c’est l’équivalent de la Coupe du monde de football. Chaque année, je me rendais à Las Vegas pour y assister; J’ai toujours rêvé de venir travailler ici ». En 2014, Gregory Chochon, accompagné de sa femme – également joueuse de poker –, part donc pour Las Vegas, visa O1 en poche. Aujourd’hui, il est titulaire d’une green card obtenue en 2018. « J’ai tout de suite été accepté par la famille WSOP dès les premiers mois », se rappelle-t-il.

Merchandising et VIP

Avec le temps, le Français a pris de plus en plus de responsabilités au sein de l’entreprise, jusqu’à devenir directeur du tournoi et des activités en ligne des WSOP. « La marque a dépassé l’évènement. Une partie de mon travail consiste donc à gérer la licence WSOP dans le monde entier. Des casinos et des sites Internet veulent organiser des tournois sous le nom World Series of Poker. Ils achètent alors le droit d’utiliser notre marque. Nous avons aussi des demandes de fabricants de textile… et même dans l’alimentaire ! », précise-t-il.

Ses fonctions l’amènent également à devenir un veritable chef d’orchestre, avec plusieurs milliers d’employés sous ses ordres. « D’habitude, je dirige une équipe de moins de dix personnes, mais durant le tournoi, nous passons à plus de 3 000 employés. Nous multiplions les réunions avec les chefs d’équipes dans des domaines aussi variés que la sécurité, le juridique ou la restauration », raconte Grégory Chochon. Une autre partie de son travail consiste à s’occuper des VIP. L’occasion pour le Français de rencontrer des personnalités du monde entier, comme l’ancien président américain Bill Clinton ou le célèbre footballeur brésilien Neymar Jr. Un rêve pour Grégory Chochon, supporteur de longue date du Paris Saint-Germain. Durant toutes ces années, il a aussi croisé de nombreux sportifs, mais aussi des Français passionnés de poker, comme Patrick Bruel. Cette année, il aura ainsi l’occasion de s’occuper de Tony Parker, ancien joueur des Spurs de San Antonio et premier qualifié de l’édition 2021 des WSOP via un tournoi caritatif organisé au Texas. « J’ai pu lui parler au téléphone, et il m’a dit qu’il viendrait sans doute avec d’autres joueurs de NBA », se réjouit Grégory Chochon.

5 films français à voir à DC cet été grâce au Films on the green Festival

Du 21 juin au 23 septembre, six films français seront mis à l’honneur dans cinq endroits différents de la capitale dans le cadre du Films on the green. Le festival de cinéma, organisé par les services culturels de l’Ambassade française aux États-Unis, s’est associé avec la National Gallery of Art et TV5 Monde pour faire vivre un été au rythme du cinéma français.

Les cinq projections auront lieu dans plusieurs espaces verts de la ville: à la Maison Française de l’ambassade de France, au Sylvan Theater (sur le National Mall), à l’U.S. National Arboretum, à l’Anacostia Park et à la National Gallery of Art.

Voici le programme pour cette première édition à DC:
– Le 21 juin: Les demoiselles de Rochefort au Sylvan Theater (Independence Ave SW & 15th Street).
– Le 9 juillet: Cléo de 5 à 7 à la La Maison Française (4101 Reservoir Road, NW)
– Le 4 août: Microsmos à l’US National Arboretum (3501 New York Ave NE)
– Le 21 août: Summer Hours à la La Maison Française (4101 Reservoir Road, NW)
– Le 4 septembre: I am not your negro à Anacostia Park (1900 Anacostia Dr)
– Le 23 septembre: Autumn Tale en face de la National Gallery of Art (Constitution Ave. NW)

Retrouvez l’intégralité des films projetés en extérieur sur le site du service culturel de l’ambassade. Le festival est gratuit et ouvert à tous. Réservation obligatoire pour les séances à la Maison française ici. Et si vous passez à New York cet été, le festival a aussi une jolie programmation à ne pas rater (voir l’article).

Retour en fanfare pour Make Music Miami

Après une édition virtuelle en 2020 en raison de la pandémie de Covid-19, Make Music Miami fait son retour « en vrai » pour le plus grand bonheur des mélomanes. Cette tradition française qui s’est exportée aux États-Unis propose de célébrer en musique le plus long jour de l’année. Voici les rendez-vous musicaux gratuits à ne pas manquer le lundi 21 juin à Miami.

Le ton sera donné dès 10am et il y en aura pour tous les goûts. Plusieurs artistes et groupes locaux, aux styles musicaux variés, allant du classique au jazz, en passant par du hip-hop, envahiront certains parcs de la ville. Le guitariste originaire d’Argentine Simon Benegas célébrera le début de l’été en proposant une musique folk sur la scène de l’Underline à Brickell (10am), la nouvelle promenade végétale de Miami. L’artiste louisianaise Kelly Love Jones, aux influences reggae et R&B, quant à elle, ambiancera la foule au Paul Walker Park de Downtown Miami (11am).

À l’occasion de cette grand-messe musicale, les notes de musiques résonneront également du côté de Coral Way avec le Flowerpot Music (de 6pm à 8pm) où les musiciens en herbe pourront venir côtoyer les instrumentistes aguerris le temps d’une séance musicale improvisée et insolite sur des pots de fleurs.

Un vent musical soufflera aussi sur Miami Beach où le duo électro Guti & Vega jouera au Lummus Park (10am). De leur côté, les jeunes prodiges de l’école de musique School of C-Rod se produiront à la Miami Beach Community Church (de 10am à 4pm), sur Lincoln Road. Plusieurs scènes seront également installées le long de cette promenade iconique sur lesquelles se succéderont de nombreux talents (de 4pm à 9pm) comme le guitariste costaricien César Paniagua (7pm) ou encore le groupe de musique folk Barely Damned (7pm).

Point d’orgue de cette Fête de la Musique, la prestation de la DJ franco-brésilienne Ella Romand qui passera derrière les platines sur la scène du North Beach Bandshell de Miami Beach (7:30pm). Ses grooves électroniques seront enrichis grâce à des collaborations avec d’autres artistes talentueux à l’image de Vincent Raffard, le leader du groupe international The French Horn Collective. Le chanteur et multi-instrumentiste français jouera par ailleurs en exclusivité certains morceaux issus de son prochain album « MIA Ressurection ». Quelques vins français et de quoi grignoter agrémenteront cette soirée musicale organisée par les services culturels de l’Ambassade de France aux États-Unis en partenariat avec l’agence artistique The Rhythm Foundation.

Enfin, les plus sportifs d’entre nous pourront se frotter à la World Music Day, une course virtuelle à laquelle vous pourrez participer en courant ou en marchant n’importe où, n’importe quand et avec n’importe qui. Une partie des bénéfices sera reversée à l’association Songs of Love qui permet aux enfants d’oublier pendant un moment leur maladie grâce à la musique.

Pauline Mouhanna Karroum: « Je veux que les migrantes sachent à quoi s’attendre aux Etats-Unis »

« Ce qui a rendu les choses plus facile, c’était notre petit groupe d’amis », se rappelle Pauline Mouhanna Karroum. Quand elle débarque dans le Midwest en 2011, la journaliste franco-libanaise ne s’attendait pas à vivre dans une ville paumée de l’Amérique, Springfield dans l’Illinois, elle qui a toujours vécue dans une capitale, d’abord à Beyrouth, d’où elle est originaire, puis à Paris, où elle s’est sentie chez elle, pendant ses études.

Dans son premier roman “Elle habitait à Sandwich” publié aux éditions Panthéon en 2020, elle raconte l’histoire d’une Franco-libanaise qui arrive dans la ville de Sandwich, dans le Midwest, et questionne sa vie d’immigrée. L’histoire s’inspire de sa vie, mais pas seulement. « Thérèse, mon héroïne, est tiraillée entre Beyrouth et sa vie dans le Midwest, c’est une nostalgie qui reste, et je voulais montrer comment elle vivait cette nostalgie », décrit l’auteure, soulignant que « le fait de quitter son pays a un poids sur la vie quotidienne ».

Les questions que se pose l’héroïne sont aussi celles qui ont ponctué les années d’immigration de l’auteure: « elle s’interroge sur les raisons de son émigration et se demande si elle a fait les bons choix en suivant son mari aux États-Unis, dix ans auparavant ». « Je veux que les migrantes sachent à quoi s’attendre aux Etats-Unis », explique-t-elle. Elle a l’impression que son vécu n’est pas la vie idéalisée que l’on peut avoir avant d’arriver, surtout lorsque l’on pose ses valises dans une ville où le rythme n’est pas celui d’une capitale, où “il faut attendre 45 minutes pour prendre un bus si l’on n’a pas de voiture”. 

Alors que Pauline Mouhanna Karroum met sa carrière entre parenthèse après avoir suivi son mari, elle élève ses deux enfants, nés aux Etats-Unis. « On s’est finalement habitué à notre petite vie calme à Springfield, mais ce qui a rendu notre vie plus intéressante, c’est la naissance de ma fille et puis, deux ans après, de mon fils », explique-t-elle. Avec leurs arrivées dans sa vie, la Franco-libanaise se rend compte qu’elle veut raconter à ses enfants leur parcours de couple, du Liban aux Etats-Unis. « Le livre, c’est l’occasion de rendre hommage à mon pays d’origine », souligne-t-elle. « On ne pensait pas rester aux Etats-Unis, nous étions plus à l’aise en France », lance-t-elle. Mais les voilà 10 ans après, toujours au pays de l’Oncle Sam.

Depuis quatre ans, la famille s’est installée à Washington DC, une ville qui l’intéressait depuis plusieurs années, après y être passé pendant un congrès. « J’avais vraiment envie d’habiter à Washington, j’étais donc très contente que mon mari trouve un emploi ici », confie-t-elle, ajoutant qu’elle n’est « jamais tombée amoureuse de New York par exemple ». « Le côté grande ville de Washington avec le calme d’une petite ville m’a tout de suite plu“, avoue-t-elle.

En parallèle de la publication de son livre, Pauline Mouhanna donne des cours de français à l’Alliance française de Washington DC et a commencé à écrire pour Jeune Afrique et Inside Arabia. Une vie qui lui convient mieux.

Le 26 juin prochain, Jennifer Fulton, la libraire de Bonjour Books DC, a invité la journaliste à venir présenter son livre qui fait écho à la vie de nombreuses francophones à Washington.

Polo & Pan de retour aux Etats-Unis dès cet hiver

Chacun de leur concert déchaîne les foules. Le duo français Polo & Pan (Paul Armand-Delille et Alexandre Grynszpan), phénomène de la scène électro, compte perpétuer cet engouement lors de leur tournée américaine en 2021-2022. Ils passeront notamment par New York, Washington, San Francisco, Los Angeles, Las Vegas et Denver. Ne tardez pas à prendre vos billets, ils partent rapidement.

C’est lors de leur passage au gigantesque festival Coachella, en 2019, qu’ils ont fait sensation devant un public international. Le groupe a vendu deux fois plus d’exemplaires de «Caravelle», son premier album sorti en 2017, à l’étranger qu’en France : 170.000 contre 80.000.

Leur deuxième album, «Cyclorama», sur les cycles de l’humain et de la nature, sortira le 25 juin. Le premier single intitulé «Ani Kuni», une interpolation de la prière traditionnelle amérindienne «Ani couni chaouani», compte déjà plus d’1,2 million de vues sur Youtube.

Les dates de leur tournée américaine :

03/12/2021: Boston MA – House of Blues
04/12/2021 – New York NY – The Great Hall at Avant Gardner
05/12/2021 – Washington DC – 9:30 Club
07/12/2021 – Columbus OH – Newport Music Hall
09/12/2021 – Chicago IL – Radius
10/12/2021 – Toronto, ON (Canada), Queen Elizabeth Theater
11/12/2021 – Laval QC – Place Bell
28/01/2022 et 29/01/2022 – Seatlle WA – The Showbox
04/02/2022 –San Francisco CA – Bill Graham Civic Auditorium
05/02/2022 – Los Angeles CA – Shrine Expo Hall
06/02/2022 – Tempe AZ – Marquee Theatre
08/02/2022 – Las Vegas NV – Brooklyn Bowl
09/02/2022 – Salt Lake City UT – The Grand At The Complex
10/02/2022 – Denver CO – The Mission Ballroom

Où regarder les Bleus pendant l’Euro à Los Angeles ?

Après avoir remporté leur deuxième Coupe du monde en 2018, l’équipe de France part à la conquête de son troisième titre européen à partir du 15 juin. Les Bleus rencontreront à cette date l’Allemagne à 12pm, avant de jouer contre la Hongrie le 19 juin à 6am et le Portugal le 23 à 12pm. Si les matches de l’Euro 2020 (c’est toujours son nom officiel, malgré le décalage à 2021 pour cause de Covid) auront lieu dans plusieurs pays à travers l’Europe, des établissements diffuseront certains matchs à Los Angeles. Voici une liste non-exhaustive.

L’ambiance sera électrique chez Garçons de Café à Downtown. Le bar à vins de Mathieu Giraud a prévu de diffuser tous les matches qui auront lieu à 12pm dès vendredi 11 juin (les portes ouvriront dès 11am) sur son nouveau grand écran. Sur place, vous pourrez profiter d’un Happy Hour spécial: $7 pour les bières et vins, $11 pour un sandwich jambon-beurre. Garçons de Café, 541 S. Spring, Los Angeles.

C’est au King’s Head pub à Santa Monica que le club des supporteurs du Paris Saint-Germain de Los Angeles organise le suivi de l’Euro et invite tous les fans de football à venir soutenir les Bleus (même les Marseillais “pour un peu de gentil chambrage”). Cela concerne tous les matches qui sont diffusés à 9am et midi (contre l’Allemagne et le Portugal notamment). Les amateurs de football pourront compter les buts en se délectant de spécialités britanniques et américaines, comme leur fish & chips et leur Sheperd’s pie. Ye Olde King’s Head Pub, 116 Santa Monica Blvd, Santa Monica.

Les fans de Benzema, Mbappé et Griezmann pourront également se rassembler au restaurant Oriel à Chinatown. Le propriétaire Alain Jeu vous proposera ses planches de fromages, sa salade niçoise, sa bouillabaisse ou son boeuf bourguignon pour se remplir la panse entre les chants et les cris de supporteurs. Oriel, 1135 N Alameda St, Los Angeles.

N’oubliez pas votre maillot des Bleus pour les soutenir chez Pitchoun Bakery à Downtown, où la famille Souliès retransmettra les matchs entre 8am et 3pm sur écran géant. Vous pourrez les suivre avec le combo café croissant ou un jambon beurre. Pitchoun Bakery, 545 S Olive Street, Los Angeles.

A Mar Vista, Atmosphère va suivre avec engouement l’Euro jusqu’au 11 juillet. Le restaurant de Tropez Aubour-Ouizman retransmettra tous les matches des Bleus bien entendu, y compris celui contre la Hongrie à 6am. Une bonne nouvelle pour les plus motivés ! Atmosphere Mar Vista, 12034 Venice Blvd, Los Angeles.

Massilia, un restaurant méditerranéen tenu par le Français Emmanuel Dossetti à Santa Monica, va vibrer au rythme des matches de l’Euro cet été, en diffusant toutes les rencontres après 9am. Massilia, 1445 4th St, Santa Monica.

Fidèle au poste, le chef Josette Leblond remet le couvert après la Coupe du Monde (et ça avait porté chance aux Bleus). La charismatique chef proposera les mets de Normandie Bakery, tels que son croque monsieur, ses crêpes ou son confit de canard pour les matches à 9am et 12pm. Normandie Bakery, 3022 S Cochran Ave, Los Angeles.

Double dose de Vincent Raffard pour la Fête de la Musique à Miami

Les fans de « l’homme au chapeau rouge », comme ils le surnomment, vont s’en donner à coeur joie. Lors du solstice d’été, le lundi 21 juin, le chanteur et multi-instrumentiste français Vincent Raffard, leader du groupe international The French Horn Collective, fera coup double avec un concert pour la Fête de la Musique à Miami ainsi qu’une sortie d’album en version digitale.

Le trompettiste français s’invitera sur la scène du North Beach Bandshell de Miami Beach lors d’une soirée musicale organisée dans le cadre de Make Music Miami par les services culturels de l’Ambassade de France aux États-Unis en partenariat avec l’agence artistique The Rhythm Foundation. Vincent Raffard fera danser son public en compagnie de la DJ franco-brésilienne Ella Romand qui sera installée derrière les platines. L’artiste en profitera également pour interpréter en exclusivité certains morceaux issus de « MIA Ressurection », son prochain album solo au titre évocateur dont les chansons ont été écrites après de longs mois de rééducation suite à son terrible accident de la route survenu en janvier 2020 à Miami.

À l’occasion de la Fête de la Musique, Vincent Raffard sortira par ailleurs « Sound Wave » en version digitale. Ce nouvel album de sept titres est le fruit d’une collaboration entre le musicien français, qui l’a entièrement produit et joué, et le chanteur américain de gospel Wendell Morrison, son ami de longue date et complice de scène. Tous deux ont donné naissance à un projet musical éclectique baptisé The Perfect Colors. « C’est un harmonieux mélange de deux cultures et générations différentes, indique le quadra bouillonnant d’énergie. Nous marions le gospel et le funk, en somme, la couleur musicale parfaite qui fait bouger et surtout rêver ».

Comment déménager des Etats-Unis en France ?

[Article partenaire] Déménager n’est jamais une tâche aisée et on peut se poser beaucoup de questions logistiques. Georges Kandé, CEO de Skyroad International, une société de déménagement, explique pas à pas le déroulement d’un déménagement.

Le déménagement de A à Z :

Définir vos attentes

La première étape est cruciale pour le bon déroulement du déménagement : mettre les choses au clair avec le déménageur quant à vos attentes et besoins. Expliquez-lui ce que vous attendez et posez-lui toutes vos questions. Cela permettra à tout le monde d’être sur la même longueur d’ondes et vous pourrez avancer sereinement. C’est également à ce moment là que vous parlerez du prix de la prestation. Le devis est, dans la majeure partie des cas, entièrement gratuit.

Chez Skyroad International, Georges Kandé vous offre un service 100% sur mesure en s’adaptant à vos besoins et à ceux de votre mobilier. Georges se déplace chez vous afin de vous rencontrer, de vous écouter et d’évaluer les meubles/objets à transporter.

Prévoir les étapes logistiques

Une fois que le transporteur sait ce que vous attendez vis-à-vis de vos biens, il faudra à présent déterminer la date à laquelle les équipes viendront chercher vos possessions et les emballer. Discutez avec le déménageur et prévoyez une durée adaptée pour l’emballage de tous vos biens.

Créez votre déménagement à la carte avec Skyroad : Georges et son équipe peuvent s’occuper de tout dans la préparation des cartons (pliage, emballage, étiquetage, soins particuliers) ; ou au contraire vous laisser faire si vous le souhaitez.

Le voyage

Une fois que toutes vos affaires seront emballées et sécurisées, elles seront stockées dans des entrepôts en attendant le fret. Il est important de vous renseigner sur les conditions de stockage de vos biens pour éviter tout risque de dégradation (préférez des entrepôts utilisant du bois imputrescible pour protéger vos affaires).

Quelques jours plus tard, le transitaire viendra récupérer les containers et les chargera sur le bateau. Ensuite, il faudra attendre que les affaires arrivent en France (comptez environs trois à quatre semaines de fret).

Grâce à ses années d’expérience dans le transport, Georges a acquis un savoir-faire et une connaissance précise du secteur. Il vous conseillera au mieux, notamment sur le choix du container et sur les diverses décisions logistiques à prendre.

Une fois en France

Après quelques semaines, vos affaires arriveront en France. Des déménageurs viendront par la suite les récupérer et les amener à l’adresse de votre choix. Il faudra vous renseigner au préalable et vérifier que la compagnie que vous sollicitez aux Etats-Unis propose également ses services en France.

George Kandé propose un service porte à porte, en faisant appel à ses partenaires en France. Avec Skyroad International, vous pouvez même demander un réaménagement complet de votre nouvelle maison à la sortie des containers.

Foire aux questions service Skyroad International 

Skyroad International est une société de déménagement située aux Etats-Unis (Miami, Washington DC et New York). L’équipe, composée d’une vingtaine de personnes, offre un service à la carte afin de vous garantir un déménagement personnalisé et serein. Skyroad International propose à la fois des déménagements nationaux et internationaux.

Le service proposé est-il de porte à porte ?

Si tel est votre besoin/envie, Skyroad International peut s’occuper de tout : emballage de la totalité de vos affaires aux Etats-Unis, aménagement de votre nouvelle adresse en France.

Combien coûte un déménagement avec Skyroad International ?

Parce que chaque déménagement est unique et adapté à vos besoins, les prix varient. La fourchette de prix se situe entre 12 000 et 18 000$ en moyenne, pouvant aller jusqu’à plus de 20.000$, ou moins de 10.000$ (prix du container inclus).

De quoi dépend le prix du déménagement ?

Le facteur le plus influent sur le prix de votre déménagement est le temps. L’équipe de Georges et lui-même s’adaptent entièrement à vos biens et prendront le temps nécessaire pour vous assurer un service qualitatif, le plus soigneux possible.

Combien de temps dure un déménagement Etats-Unis France ?

Comptez en général un mois et demi, entre l’emballage, le fret (3 à 4 semaines) et l’arrivée en France.

Comment mes meubles seront-ils protégés ?

Comme vous le souhaitez ! Skyroad International s’adapte vos souhaits/besoins et vous conseille afin d’optimiser et de sécuriser au maximum vos biens. Par ailleurs, si vous souhaitez emballer vos biens vous-même, c’est possible aussi.

En cas de casse, que se passe-t-il ?

Lors d’un déménagement, il est important que garder en tête que le risque zéro en matière de casse n’existe pas. Malgré le soin et l’attention portés à vos biens, il se peut que les biens arrivent abîmés, voire dans le pire des cas, cassés. Des assurances sont prévues pour y faire face, et les équipes de Skyroad International seront toujours disponibles pour discuter d’un dédommagement.

Y a-t-il un poids maximum ?

Non, vos affaires voyageront dans des containers de 20 ou 40 pieds (ou palettes si avion). Vous pourrez donc en remplir autant que besoin.

Vous déménagez bientôt ? Pour plus d’informations et un devis, n’hésitez pas à contacter Skyroad International : [email protected].

En tant que lecteur-ice de French Morning, bénéficiez de 10% sur votre prochain déménagement avec Skyroad International.

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