Pierre Cassignard a privilégié dans ce spectacle musical les chansons d’Yves Montand qui racontent une histoire, celles qui campent de vrais personnages. On retrouve donc un champion de boxe aveugle, un énigmatique Lord Anglais ou une vieille prostituée attendrissante…
Vingt-deux chansons qui font un recital plein de fantaisie, de joie de vivre débordante et d’infinie tendresse. Bien-sûr on vous conseille de venir… à bicyclette !
Pierre Cassignard accompagné au piano par Patrice Peyriéras.
Organisé pour la huitième année par les Services culturels de l’Ambassade de France, le 2020 French Cultures Festival célèbre la lague française et les cultures francophones tout au long du mois de mars au Texas, Oklahoma et Arkansas.
L’évènement commence par un grand concert gratuit le vendredi 6 mars au Discovery Green Park à Houston. Au programme : le Français CharlElie Couture, la Québecoise Ariane Roy et le groupe texan Vodi.
Il y a tout juste un an, les Strasbourgeois s’étaient pressés dans la cathédrale pour rendre hommage à Tomi Ungerer, tout juste après sa mort. Un hommage très international, l’image de la vie du dessinateur, né en Alsace, mais qui vivait depuis plusieurs décennies en Irelande et était célèbre notamment aux Etats-Unis.
Un an plus tard, l’Union Alsacienne de New York et le Paris American Club lui rendent hommage le 13 février au National Arts Club pour commémorer l’artiste à l’occasion du premier anniversaire de sa mort.
Décédé à l’âge de 87 ans, Tomi Ungerer laisse une oeuvre aussi riche que diverse, allant des illustrations pour enfants aux dessins érotiques. Il s’est d’abord fait connaître aux Etats-Unis en 1957 avec la publication du premier numéro de la longue série des Mellops, une famille de cochons particulièrement aventuriers.
Très vite, tout en continuant de publier des livres pour enfants à succès, il dessina également pour les adultes. Dans les années 1960, ses dessins anti-guerre du Vietnam lui assurèrent un surcroit de popularité -et d’ennemis.
C’est plus récemment que sa place et son rôle avant-gardiste dans les arts graphiques a été reconnu, avec notamment une rétrospective au Drawing Center de New York.
Superstar au Canada, Sugar Sammy a conquis la France depuis quelques années avec son talent rare pour l’improvisation -et l’humour bi-culturel.
Il est de retour en Amérique du Nord pour une tournée -en anglais- et de passage à New York du 27 au 29 février au Carolines sur Broadway. Le Canadien anglophone d’origine indienne excelle à improviser et à jouer avec les accents et les langues qu’il maîtrise parfaitement (français, punjabi, hindi…). Son talent à provoquer le rire et et l’indignation lui ont valu le succès dans plus de 30 pays à travers le monde.
Le spectacle de Benjamin Millepied “I fall, I flow, I melt” revient sur scène, du mercredi 19 au samedi 29 février dans les locaux du L.A. Dance Project. Cette chorégraphie, déjà jouée une première fois dans la cité des anges au Walt Disney Concert Hall, est l’aboutissement des explorations du chorégraphe français au travers des musiques de Johann Sebastian Bach.
L’ensemble de douze danseurs, vêtus des costumes conçus par Alessandro Sartori de Zegna et sublimés par un nouveau système d’éclairage, s’animeront aux notes du violoniste Etienne Gara.
Installé à Los Angeles depuis 2012 (avec une pause parisienne pour diriger l’Opéra de Paris), Benjamin Millepied y a fondé la compagnie L.A. Dance Project, afin de promouvoir le travail de chorégraphes émergents et établis.
Il y a loin du Puy du Fou à Las Vegas… Elue Miss France 2009 dans le parc d’attractions vendéen, Chloé Mortaud a depuis quitté la France pour s’installer à « Sin City », d’où elle développe depuis deux ans Mademoiselle Provence, la marque de cosmétiques qu’elle a co-fondée.
« Après mon sacre de miss, j’ai eu envie de changement, d’aller voir ce qui se passait aux Etats-Unis sur les pas de ma mère », raconte la jeune franco-américaine, née à Lisieux (Calvados) d’un père français et d’une mère américaine, puis élevée dans le sud de la France. En 2012, elle s’installe à Las Vegas avec son compagnon d’alors, le pilote automobile Romain Thievin et donne naissance à leur fils Matis l’année suivante.
« L’idée de créer une marque de cosmétiques a germé il y a quatre ans », explique-t-elle. « En tant que Miss France, on me demandait des conseils sur la beauté. Et comme expatriée française aux USA, j’ai vite constaté que beaucoup de produits et de soins que j’aimais ne se trouvaient pas outre-Atlantique. »
Avec son associée Hélène Marceau, elle lance Mademoiselle Provence en 2018, « une marque fabriquée en France avec uniquement des produits naturels ». Le nom n’est pas le fruit du hasard. « Nous avons surtout des clientes américaines car elles adorent ce qui est français, et les Américains connaissent Paris et la Provence. »
La marque revendique un positionnement milieu de gamme avec plusieurs types de produits (crème pour le corps et les mains, gel douche, gommage avec des senteurs d’amande, de lavande, de rose, de citron…). Et comme de nombreuses marques jouent la carte des produits naturels, les deux entrepreneuses ont souhaité que les prix ne soient pas trop élevés, soit de 12,5 à 20 dollars. « Il existe beaucoup de marques sur ce créneau, nous avons décidé de faire une marque accessible », affirme-t-elle.
Les magasins Target en ligne de mire
Aujourd’hui, la marque est distribuée un peu partout dans le monde. En France bien sûr, avec l’enseigne Monoprix, mais également en Italie, Croatie et Corée. Hélène Marceau pilote très logiquement l’Europe et Chloé Mortaud le continent nord-américain. Aux Etats-Unis, la marque Mademoiselle Provence est distribuée sur Amazon Prime et prochainement sur le site de la chaine de magasins target.com. « Nous pourrions être référencés dans les magasins Target d’ici fin 2020 », se félicite la jeune entrepreneuse, tout heureuse d’annoncer une collaboration avec la chaîne canadienne London Drugs, l’équivalent de Walgreens ou CVS au Canada. Pour continuer à faire grandir la marque, l’entrepreneuse parcourt aussi les Etats-Unis à la rencontre de nouveaux clients.
Hormis le déploiement de Mademoiselle Provence, Chloé Mortaud réfléchit à de nouveaux challenges. « Après dix ans aux Etats-Unis, j’ai eu le temps de faire beaucoup de constats. Sur la beauté et les cosmétiques bien sûr, mais aussi sur les choses simples de la vie de tous les jours. J’ai pour projet d’écrire un livre pour les Français expatriés afin de les aider à retrouver des équivalents de produits auxquels ils sont habitués. Cela leur permettrait de toucher le rêve américain sans trop s’y perdre », conclut-elle.
Longtemps victime d’une amnésie traumatique, la Française Sarah Abitbol sort aujourd’hui du silence. L’ancienne championne de patinage artistique de 44 ans, installée depuis plusieurs années en Floride, révèle dans son livre « Un si long silence », paru le 30 janvier, avoir été violée entre 1990 et 1992 par son entraîneur Gilles Beyer alors qu’elle était mineure. « Je n’avais que 15 ans et je rêvais du prince charmant mais ma vie a été brutalement brisée, me faisant ainsi plonger dans de longues années de souffrance », confie avec beaucoup d’émotion Sarah Abitbol.
À l’époque, la Française écrit son traumatisme sur les pages d’un carnet à travers des messages codés. « J’indiquais les jours, les heures et surtout des lettres qui représentaient les sévices sexuels que je subissais », raconte l’ancienne patineuse artistique qui a aujourd’hui décidé de prendre la parole. « Cela a nécessité beaucoup de temps mais j’ai enfin réussi à rouvrir ce carnet au mois de juin dernier suite à un déclic que j’ai eu en regardant le film « La consolation » adapté du roman éponyme de Flavie Flament, explique-t-elle. Je me suis reconnue en elle et j’ai surtout vu une femme qui arrive à parler en toute impunité alors que moi j’étais prisonnière de la honte et de la culpabilité ».
Ainsi, dans « Un si long silence », Sarah Abitbol livre un récit poignant sur les abus sexuels qu’elle indique avoir subi de son entraîneur qu’elle surnomme « Monsieur O » en raison de la prescription des faits. « Je n’ai surtout plus la force de prononcer son nom, ajoute-t-elle. Grâce à ce livre, qui aborde également mon long processus de reconstruction, j’ai enfin pu poser les mots que je n’arrivais pas à sortir jusqu’à présent, ce qui je l’espère me permettra de relever la tête afin de guérir ».
Suite à ses révélations, la quadra est invitée depuis plusieurs jours sur tous les plateaux de télévision en France et enchaîne les interviews. « Je ressens un grand soutien, de l’amour et surtout de la positivité et je prends cela comme une victoire avec beaucoup de fierté même si tout ceci est extrêmement épuisant », précise Sarah Abitbol. La Française a par ailleurs refusé les récentes excuses de son ancien entraineur qui a reconnu des « relations inappropriées ». « Il a à demi-mot considéré qu’il avait agi alors que je parle de viols, s’indigne Sarah Abitbol. Je n’excuse rien et je ne lui pardonnerai jamais ».
L’ancienne championne de patinage artistique, qui prévoit prochainement de rentrer en Floride, souhaite également faire traduire son ouvrage en anglais afin de véhiculer son message auprès des institutions sportives américaines. « Il est important de sensibiliser les parents, les clubs, les éducateurs en faisant de la prévention, insiste-t-elle. J’espère que cette prise de parole portera ses fruits afin de protéger les futures victimes potentielles et surtout pour que l’histoire ne se reproduise plus jamais ».
Philippe Ungar est allé rencontrer Gilles Bensimon dans son appartement de SoHo, à New York. Ils ont parlé de sa dyslexie, ses débuts à Paris en 1967 pour le magazine Elle, la création deux ans plus tard de Elle US et sa recherche incessante pour réussir ses photos.
Directeur artistique de Elle, il a photographié toutes les stars. Il nous parle de ses rencontres photographiques avec Cindy Crawford, Naomi Campbell, Elle Macpherson (à laquelle il fut marié pendant 3 ans), Gwyneth Paltrow, Sarah Jessica Parker ou Uma Thurman. A chaque fois, il cherche à faire en sorte que l’imprévu traverse ses photos.
Un peu de légèreté pour commencer l’année ? Certes, mais comme le disait Paul Valéry, « il n’y a rien de plus profond que la peau. »
Une interview qui commence par une question essentielle: comment faire un nu en photographie?
Du pétrole aux plantes il y a un grand pas, que Philippe Joubert a décidé de franchir pour se reconvertir. Après 20 ans dans l’industrie pétrolière, ce Français de Houston a repris récemment Newton Nurseries, des pépinières basées au Texas.
« Je voulais m’investir dans un secteur prometteur et significatif pour la communauté et retrouver une structure plus souple », dit-il. Il a profité d’un changement de direction chez Allied Fittings, où il travaillait, pour quitter le pétrole et devenir entrepreneur. Il s’associe alors à Christophe Person, qui quitte lui Lexicon Pharmaceuticals où il dirigeait les opérations.
Si le changement de qualité de vie – au milieu des plantes, a joué un rôle important dans leur choix, ils nourrissent de réelles ambitions pour leur entreprise, qu’ils veulent transformer. ” Notre positionnement historique auprès des gros paysagistes réclame des structures de plus en plus coûteuses sans que les prix augmentent” explique Philippe Joubert. Ils ont identifié une nouvelle cible, celle des petits paysagistes, “qui représentent 80% du nombres de clients potentiels et qui continuent de croitre avec l’expansion des grandes métropoles”.
Aux côtés des deux immenses pépinières de Houston et Austin, les deux entrepreneurs envisagent du coup de développer un réseau de petites structures, “dans un rayon de 30 minutes des zones résidentielles” pour que les clients puissent s’approvisionner rapidement et à moindre coût.
Pour ces pépinières 2.0, tout a été repensé pour réduire le temps de transaction, grâce à des tablettes digitales et des inventaires tenus à jour en temps réel. Le premier “pilote” sera ouvert au printemps 2020, à Katy, “ville en périphérie de Houston et en plein développement urbainqui correspond exactement à la cible» explique Philippe Joubert.
Le numérisation du service, qui permet aussi aux clients de bénéficier de services (inventaire, prix, historique de comptes, etc) après la fermeture des pépinières était “important pour les clients, très souvent des entreprises familiales avec des moyens limités”, renchérit Christophe Person.
L’objectif de l’entreprise est de développer un maillage étroit du marché avec l’ouverture de plusieurs nurseries de proximité autour de Houston (environs 5 boutiques dans des quartiers stratégiques) mais également de renforcer sa présence à Austin et enfin d’établir une présence à Dallas où le marché est en pleine expansion. Les deux Français se donnent cinq ans pour réussir.
Le point commun entre New York et le cassoulet? Pas évident… C’est pourtant ce qui amène le duo de comiques Les Chevaliers du Fiel en spectacle dans la grosse pomme le vendredi 21 février.
Au départ, il y a le “Championnat du monde de cassoulet”, organisé par les deux comiques à Toulouse; “Une déconnade qui est devenue un truc sérieux” raconte Eric Carrière, le “grand” du duo. Car les compères ne se contentent pas de remplir tous les zéniths de France depuis des années; ils sont aussi propriétaires de deux théâtres et d’un restaurant. “Il y a 5 ans, pour rigoler, on s’est dit qu’on allait faire un concours du meilleur cassoulet du monde dans notre restaurant, poursuit Carrière. Et puis maintenant, c’est devenu un rendez-vous important, avec de grands chefs qui jouent le jeu. Pour nous c’était surtout une manière de promouvoir le terroir”.
Un jour, quelqu’un leur parle d’Arian Daguin, la grand prêtresse du foie gras à New York, qui organise depuis plusieurs années une “Cassoulet War” ). “Je connaissais très bien son papa (le chef André Daguin, décédé récemment), raconte EricCarrière, du coup on l’a invitée à faire partie du jury de notre concours l’an dernier; on a sympathisé, on lui a parlé du spectacle qu’on avait joué sur Broadway en 2016 et elle a eu l’idée de nous faire revenir à New York”. Car il se trouve qu’Ariane Daguin, grande experte en 3èmes mi-temps (avec ou sans les deux premières), fête les 35 ans de son entreprise Dartagnan et décide donc de mettre “la déconnade” au programme.
Evidemment, Simca 1000 (leur tube, triple disque d’or) n’évoque ni Times Square ni la 5ème avenue. Et le fait de battre des records d’audience sur France Bleu depuis des années et de remplir des Palais des Sports partout dans l’hexagone ne garantit pas aux Chevaliers le succès auprès des expats français de New York. Mais le choc des cultures les amuse. “On n’a pas vraiment nos repères ici, on n’est pas sûr qu’on ait un public mais c’est rigolo d’essayer!”. Ils produisent eux-mêmes le spectacle, en assumant notamment le risque financier. “C’est bizarre, on avait perdu l’habitude de tout faire comme ça -on s’habitue vite au succès!” En France, ils en sont à réserver les salles -immenses- pour 2021. A New York, ils seront satisfaits s’ils remplissent le modeste théâtre du FIAF.
Superstar au Canada, Sugar Sammy a conquis la France depuis quelques années avec son talent rare pour l’improvisation -et l’humour bi-culturel.
Il est de retour en Amérique du Nord pour une tournée -en anglais- et de passage à Miami le 23 février au Miami Improv Comedy Club. Le Canadien anglophone d’origine indienne excelle à improviser et à jouer avec les accents et les langues qu’il maîtrise parfaitement (français, punjabi, hindi…). Son talent à provoquer le rire et l’outrage lui ont valu le succès dans plus de 30 pays à travers le monde.
Sale, polluée, bruyante ou dangereuse, autant de mots qui ont collé longtemps à la peau de Mexico City. Une mauvaise réputation qui a laissé place ces dernières années à une attractivité croissante. Berceau de l’histoire de l’hémisphère Ouest, la capitale du Mexique, située à 2300 mètres d’altitude, offre une scène culturelle et folklorique uniques. Sa créativité débordante, son ambiance cosmopolite, ses traditions ancestrales ou ses spécialités attirent.
Fondée par les Aztèques au XIIIème siècle, la ville passe aux mains des conquistadors espagnols au XVIème. Ils y règneront jusqu’à l’indépendance, en 1821. Les décennies suivantes seront marquées par des bouleversements politiques incessants, notamment, la prise de la ville par des troupes américaines puis françaises, à la fin du XIXème siècle.
Cette histoire mouvementée se retrouve partout dans Mexico. Des vestiges archéologiques aux maisons coloniales. Étalée sur 1500 km2, impossible de tout explorer en trois jours, mais on peut découvrir les sites emblématiques qui font vibrer la mégalopole de 22 millions d’habitants. Comment ? Grâce à cette sélection d’incontournables.
JOUR 1
Commencez par le quartier Zocalo, cœur politique, culturel et historique de la ville. La cathédrale métropolitaine, édifice baroque et néoclassique majestueux, domine la Plaza de la Constitución. Profitez de l’ambiance festive et musicale de la place puis dirigez-vous vers les ruines du Templo Mayor. Ce complexe archéologique offre un aperçu de la civilisation Aztèque. Dans la continuité, passez au Palais National, siège du pouvoir exécutif, et admirez les immenses fresques murales peintes par Diego Rivera entre 1941 et 1952. Remontez ensuite jusqu’au Palais des Beaux-Arts, bâtiment art nouveau à la déco extravagante.
Pour la pause déjeuner, direction le charmant Bois de Chapultepec pour un pique-nique au vert. C’est le plus grand parc urbain d’Amérique Latine. On y trouve des lacs, des ruines préhispaniques, un château (ancienne demeure de l’Empereur Maximilien de Habsbourg), un zoo et de nombreux musées. Le Musée National d’Anthropologie est un joyau à ne pas manquer. Il retrace l’histoire du Mexique à travers ses découvertes archéologiques majeures (aztèques, toltèques, mayas…).
Terminez la journée dans la Condesa, quartier art déco élégant, ou celui de la Roma, plus bohème. Deux endroits tendance où se restaurer et se loger.
À 50 kilomètres de Mexico, se trouvent les vestiges d’une cité fondée aux alentours de 200 avant JC : Theotihuacan. On peut s’y rendre en bus pour 3 dollars (à partir du terminal Del Norte). Et ça vaut le détour. On y trouve certaines des plus grandes pyramides construites en Amérique pré-hispanique. Si des mystères demeurent sur sa population, ses origines ou son déclin, l’influence de sa civilisation ne fait aucun doute. Le lieu comptait à son apogée 200 000 personnes. On peut aujourd’hui grimper sur les Pyramides du Soleil ou de la Lune, arpenter l’Allée des Morts et y voir des peintures.
Après une demi-journée sur place, rentrez flâner dans le quartier que vous n’aurez pas fait la veille, Roma ou Condesa. Entrez dans les nombreuses boutiques et prenez le temps de goûter les spécialités locales : ceviches, tacos à la viande cuite à la broche, quesadillas, pozole, mezcal, tequila ou gâteau aux trois laits.
Pour ce dernier jour, optez pour une vadrouille bucolique dans le quartier de Coyocan, une oasis tranquille aux allures de petit village. Au programme : rues étroites, maisons coloniales, jardins verdoyants, places animées, kiosque central, lieux de cultes, terrasses et visites inspirantes.
Parmi elles, l’ancien couvent de San Juan Bautista qui abrite un cloître et un musée. À 10 minutes à pied se trouve la Casa Azul, maison familiale de Frida Kahlo. Toiles inédites, objets personnels ou correspondance… on plonge dans l’univers de l’artiste. Réservez vos billets à l’avance afin d’éviter les longues files d’attente. Non loin, faites aussi un arrêt au musée de la maison de Léon Trotsky.
Enfin, achevez cette excursion en vous perdant dans les allées du marché artisanal de Coyoacan. On y trouve de tout. Fruits, légumes, poissons, viandes, bijoux, vêtements ou décoration. Idéal pour ramener des souvenirs traditionnels au goût de cette ville haute en couleurs.