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Où trouver la bûche de Noël à New York ?

C’est chaque année, l’un des articles que vous attendez le plus. French Morning publie sa sélection des bûches new-yorkaises 2019, et il y en a pour tous les goûts.
Manhattan

Aux Merveilleux de Fred

Si vous aimez Le Merveilleux de Fred, la pâtisserie signature de la maison à base de meringue, crème fouettée et copeaux de chocolat, vous allez adorer leurs bûches de Noël, réalisées à partir de la même recette. La bûche est déclinée en deux variations : chocolat noir ou spéculos et chocolat blanc. 4 tailles sont disponibles : pour 4 ($26), 8 ($39) et 10 personnes ($65). Pour commander, il suffit d’appeler la boutique et de venir chercher sa bûche du 20 décembre au 3 janvier 2020. — 37 8th Ave, West Village (917-475-1992)

Balthazar Bakery 

Chez Balthazar Bakery, boulangerie-pâtisserie accolée à la célèbre brasserie Balthazar à Soho, on sert une seule bûche de Noël pour 8 à 10 personnes ($75), parfaite pour les familles nombreuses. La bûche est faite d’une génoise « Mocha » (comprenez café et chocolat), couverte de chocolat noir. Pour commander, il faut se rendre sur le site en ligne, se rendre en boutique ou téléphoner, au moins 24 heures en avance. Veuillez noter que Balthazar Bakery sera fermée le jour de Noël. Dernier jour pour aller chercher sa bûche, le jour du Nouvel An. — 80 Spring Street (212-965-1785)

Bouchon Bakery 

Cette année, le Chef Thomas Keller’s de Bouchon Bakery proposera une seule et unique bûche signature au chocolat, avec un gâteau à la mousse au chocolat noir Valrhona, un crémeux au chocolat au lait caramélisé et caramel fleur de sel, glacé dans un chocolat noir. Dans les 3 magasins, la bûche individuelle ($6.95) sera disponible jusqu’au 24 décembre, et celle pour 6 personnes ($38) du 20 au 24 décembre. Pour être sur d’avoir sa bûche, il faudra la pré-commander par téléphone ou par email— Time Warner Center Ten Columbus Circle, Third Floor, UWS (212-823-9366); 1 Rockefeller Plaza, Midtown (212-823-9357); Hudson Yards, 20 Hudson Yards 5th Floor, Hudson Yards (929-450-4001)

Ceci-Cela Pâtisserie

Située sur Delancey Street, Ceci-Cela Pâtisserie offre cette année encore 4 bûches classiques :  chocolat, vanille, Grand Marnier, et pistache. Les bûches sont disponibles en taille individuelle en boutique ($6). Pour 6 ($30) ou 10 personnes ($42) il faudra les pré-commander par téléphone, par email ou directement en magasin. — 14 Delancey St (212-274-9179)

Dominique Ansel 

Le Français Dominique Ansel Dominique Ansel et son équipe offrent 3 bûches dans leurs boutiques de Soho et de West Village. On retrouve la Double Chocolat Caramel (ganache de chocolat noir Valrhona, ganache caramel, biscuit sans farine recouverte d’esquimaux en chocolat et de pingouins en meringue) ; la Châtaigne, (mousse de châtaigne, bavaroise à l’orange et à la vanille, châtaignes confites, biscuit à l’amande, avec un père Noël chocolat), et la Pomme Cannelle Gingerbread (compote de pomme, bavaroise crémeuse à la cannelle, « gingerbread spiced cake », avec un sapin de Noël sur le dessus). La bûche convient pour 6 à 8 personnes ($48), à pré-commander en ligne ici pour soho et ici pour West Village, au moins 48 heures à l’avance — 189 Spring St, Soho (212-219-2773); 137 Seventh Avenue South, West Village (212-242-5111)

Eclair Bakery

A chaque période de Noël, Eclair Bakery prouve qu’elle ne sait pas faire que des éclairs. Cette année, elle propose 4 bûches : Ruby (vanille et une mousse au chocolat blanc, génoise à la vanille et compote de framboises), Trio (mousse aux trois chocolats et génoise chocolat), Wendy (mousse de noisettes croquantes et génoise chocolat) et Crunchy (mousse chocolat noir avec noisettes croquantes et génoise chocolat). Les bûches sont disponibles en deux tailles : pour 6 à 8 personnes ($32) et pour 10 à 12 personnes ($44). A commander en ligne, ou par téléphone. — 305 East 53rd Street, Midtown East (212-759-2253)

Epicerie Boulud

Le chef étoilé Daniel Boulud propose 3 bûches à l’Epicerie Boulud: yaourt citron vert et Verveine framboise, Chocolat Caramel, et Exotique (fruits de la passion et mousse de banane). Parfait pour 6 à 8 personnes ($42). A commander sur place ou par téléphone. — Westfield World Trade Center, 185 Greenwich St, LL 4000, FiDi (212-595-9605); 1900 Broadway, UWS (212-595-9606); Plaza Food Hall, 768 5th Avenue, Midtown East (212-794-10019)

Financier

Crédit : Le Financier

Le vainqueur du Meilleur Croissant de New York ne lésine pas sur les bûches de Noël. La bûche de Financier faite à base de crème mousseline enrobée de biscuit (vanille ou chocolat) est disponible au chocolat (biscuit au chocolat), au Grand Marnier (biscuit à la vanille), à la praline (biscuit au chocolat), et au café (biscuit à la vanille). Il y a aussi la bûche spéciale ‘Nuit Etoilée’ (biscuit amande macaron, remplie de mousse au chocolat et de framboise, de crème de pistache, avec un glaçage au chocolat). Les bûches sont disponibles pour 6 à 8 personnes ($39) et pour 10 à 12 personnes ($50). La Nuit Etoilée est disponible pour 8 à 10 personnes ($49). Les versions chocolat, Grand Marnier et Nuit étoilée existent également en portion individuelle ($6). Pour commander, par téléphone un jour à l’avance (718-290-1011), en magasin ou en ligne.  Pour décrocher un discount de 10%, il faut utiliser le code XMAS19, valable jusqu’au 22 décembre. Toutes les adresses.

Ladurée

Cette année, il y a du choix chez Ladurée. La signature 2019 est inspirée du Canada sauvage : Atoca (gâteau génoise, chantilly, mousse au chocolat, sirop d’érable et cranberry). La bûche spéciale est disponible en portion individuelle ($8.50) et pour 6 personnes ($76). Les 5 autres bûches n’en sont pas moins spéciales : La Marquise (dacquoise aux noisettes, biscuit Sachertorte, galette de noisette, crème chocolat au lait et noisette, mousse chocolat au lait), Mademoiselle (génoise aux boudoirs, galettes croquantes aux amandes, compote de fruits rouges, crème d’amandes, mousse de vanille et mascarpone), La Favorite (base de macarons à la pistache, crème au beurre, flocons de praline), Marie-Antoinette (base de macarons, crème au beurre, framboises et confiture de lychee), et La Duchesse (génoise au rhum brun, mousse de châtaignes, châtaignes confites). Les 5 bûches sont disponibles en portion individuelle ($8.50) ou pour 6 convives ($68). Disponible sur commande jusqu’au 31 décembre en magasin et en ligne. online. — 864 Madison Avenue, UES (646-558-3157); 398 West Broadway, Soho (646-392-7868); The Plaza, 1 W 59th St, New York, Midtown East (646-883-3080)

Lafayette

Credit: Rachel Vanni for Lafayette

La brasserie Lafayette et sa boulangerie-pâtisserie propose 3 bûches traditionnelles légèrement revisitées : la chocolat (mousse chocolat noir, beurre de cacahuète crémeux, dacquoise aux cacahuètes), la noix de coco (crème de citron, gâteau à la noix de coco, meringue vanille), et pistache (crème de pistache au beurre, crème de rose, roulés à la pistache). Disponible pour 6 à 8 personne ($48). En pré-commande en ligne online ou en magasin, à venir chercher jusqu’à Noël. — 380 Lafayette St, Noho (212-533-3000)

La Maison du Chocolat

L’internationale La Maison du Chocolat réveille vos papilles avec trois bûches : tout chocolat, chocolat-purée de framboises et de cassis et enfin, la bûche noisettes pralinées. Ces trois bûches sont disponibles en trois tailles: individuelle (10$), 4 personnes (44$) ou 6 personnes (77$). Attention : toutes les bûches ne seront pas disponibles au magasin du Rockefeller Center, préférez celui sur Madison Avenue pour avoir plus de choix.  Commandez votre bûche au moins 24h en avance par téléphone ou directement en magasin. Dernier carat pour récupérer le gâteau : midi, le 24 décembre. — 1018 Madison Avenue, UES (212-744 7117); 30 Rockefeller Center, Midtown (212-265-9404)

La Tropézienne

La pâtisserie située dans l’est d’Harlem La Tropézienne reste sur du classique cette année encore : quatre bûches, vanille, chocolat, mocha, pralinée ou Grand Marnier. Toutes les quatre seront disponibles dès le 17 décembre en cinq tailles: pour 6 (24$), 8 (32$), 10 (40$), 12 (46$), 14 (52$). A commander par téléphone ou en magasin au moins 3 jours en avance. A noter : La Tropézienne sera fermée le jour de Noël. — 2131 1st Ave, East Harlem (212-860-5324)

Le District

Au District, véritable marché français du sud de Manhattan, 4 bûches classiques sont disponibles. Côté parfum : chocolat, Grand Marnier, praliné et café. Niveau prix, $6.75 pour l’individuelle, $49 pour la bûche de 22cm ou $63 pour celle de 32cm. La bûche spéciale Nuit d’Etoile ($55) est composée de mousse au chocolat, crème de pistache, et mousse de framboises sur un biscuit au chocolat. Les bûches sont à pré-commander en boutique — Brookfield Place, 225 Liberty St, Financial District, (212-981-8588)

Maison Kayser 

Maison Kayser, meilleure baguette de New York, offre cette année 3 bûches qui donnent envie. La signature de la maison, la Traditional Kayser (biscuit et mousse au chocolat noir, crème brûlée, glaçage au chocolat noir), la Berry (mousse aux fraises et aux framboises, gâteau aux amandes, confit de fruits rouges, glaçage aux fruits rouges et chocolat blanc), et la classique aux châtaignes (gâteau à la mousse de châtaigne, crème à la vanille, glaçage à la châtaigne, chocolat au lait et amandes confites). Toutes les bûches sont prévues pour 6 à 8 personnes ($42). Des bûches individuelles sont disponibles ($6.80) jusqu’à la fin de l’année. Les commandes sont possibles jusqu’au 21 décembre à 5 pm, et les bûches disponibles dès maintenant, jusqu’au 31 décembre. Pour commander, il faudra téléphoner (646-783-3559) ou se rendre en boutique. Toutes les adresses

Margot Patisserie

La pâtisserie de l’Upper West Side Margot Patisserie ne prend pas la déco de la bûche de Noël à la légère. Au menu, une génoise à la vanille remplie de chocolat habillée d’une meringue au chocolat suisse. Plusieurs tailles sont disponibles, pour $25, $65, $75, $85 et $100. A commander en ligne online, en magasin ou par téléphone avant le 18 décembre. Bûches disponibles du 18 décembre au 24 décembre à 1pm. — 2109 Broadway (entrance on West 74th Street), UWS, (212-721-0076)

Mille-feuille

Mille feuille propose trois bûches 100% maison aux ingrédients 100% naturels : strawberry (gâteau croquant à la vanille, gâteau crémeux, coulis de fraise, crème de fraises et chantilly à la vanille), triple-chocolate (mousse aux trois chocolats, gâteau et glaçage au chocolat), et la bûche signature Chocolate Mousse Royal, un gâteau au chocolat en forme de bûche. Les bûches conviennent aux tablées de 6 personnes ($39) et devront être commandées par téléphone, sur place ou en ligne. Pré-commande avec 15% de réduction jusqu’au 20 décembre. — 2175 Broadway, UWS, (212 362-6261); 552 Laguardia Pl, Greenwich Village, (212-533-4698); 250 W 77th St, in the Hotel Belleclaire, 250 W. 77th St, UWS (212-362-6261)

Miss Madeleine

Deux bûches aux fruits seront dans la vitrine de Miss Madeleine au mois de décembre. Au choix, la Forêt Noire (biscuit et genoise au chocolat, chantilly, mousse de cerises et chocolat) ou la Mixed Berries (biscuit et génoise à la vanille, confiture de fruits rouges maison, mousseline de fruits rouges, et fruits frais). Pour 6 à 8 personnes ($54.90 l’une, $100 les deux). Les commandes peuvent être faites en magasin, en ligne ou par téléphone. Il faudra venir chercher sa bûche les 23 et 24 décembre dans l’Upper East Side. — 400 East 82nd St, UES (646-896-1227).

Silver Moon Bakery

Qui peut se refuser une bonne bûche classique, surtout si elle est faîte par Silver Moon Bakery? La boutique de l’Upper West Side propose deux options : chocolat noir ou châtaigne, en trois tailles : pour 6-7 personnes ($42), pour 9 à 10 personnes ($47), ou pour 12 à 13 personnes ($56). Pour commander, par téléphone ou en passant directement au magasin, jusqu’au 20 décembre. La pâtisserie sera fermée le jour de Noël. — 2740 Broadway, UWS (212-866-4717)

Brooklyn 

Almondine

Almondine se met en quatre cette année pour le plaisir des gourmands. Au programme, la classique au chocolat, la Praliné, la fruits rouges-vanille, la Chocolat-framboises, la Chocolat-poires et la Châtaigne. Les bûches sont disponibles en différentes tailles : pour 6 à 8 personnes ($45) ou pour 10 à 12 personnes ($55). Commandes par téléphone. — 85 Water Street, (718-797-5026) 

Bien Cuit 

Bien Cuit fait dans la tradition, et il le fait bien ! Cette année, la bûche est composée d’un gâteau aux amandes sans farine et d’une mousse au chocolat bergamote, surmontés d’un glaçage au chocolat. Côté taille, on a le choix entre petite ($10) ou grande, pour 8 à 12 personnes ($65), à commander au moins 3 jours en avance, jusqu’au 20 décembre, et à aller chercher en magasin jusqu’au 24 décembre à 5pm. — 120 Smith Street, Downtown Brooklyn (718-852-0200); 721 Franklin Ave, Crown Heights, Brooklyn (718-852-0200); Grand Central Market, 89 E. 42nd St., Midtown East (718-852-0200) 

Charlotte Patisserie

Quatre bûches sont proposées par Charlotte Pâtisserie cette année : Arabica (gâteau au chocolat, crème au beurre café), Charlotte (gâteau à la carotte, crème brulé au citron, mousse au cream chese), la gluten-free Chocolat Framboise (gâteau au chocolat, ganache framboises, mousse au chocolat noir) et la All-Hazelnut (gâteau à la noisette, mousse et crème noisettes). Les bûches sont réalisées en une taille unique et coûtent, dans l’ordre, $34, $40, $38, et $37. Elles peuvent être commandées en magasin, par téléphone ou par email jusqu’à fin décembre.

— 596 Manhattan Ave, Greenpoint (718-383-8313); 201 Court St, Cobble Hill (929-295-0372)

Colson Patisserie

De son côté, Colson Patisserie propose 5 jolies bûches : l’Opera Cake (crème au beurre café, génoise aux amandes trempées dans du café espresso, et ganache chocolat), la Devil’s Food (mousse au chocolat, gâteau à étages au chocolat, caramel Valrhona, et glaçage chocolate), la Lemon Meringue with Caramel Buttercream (genoise à l’amande, crème de citron, crème au beurre caramel, meringue grillée), et la Strawberry Chiffon (mousse à la fraise, gâteau aux boudoirs, gelée à la fraise), and la Black Forest, la forêt noire (génoise chocolat, cerises griottes, chantilly, sur une base de sablé). Chaque bûche convient pour 8 à 10 personnes ($45) et peut être commandée en ligne online deux jours avant de venir la chercher.  La livraison est possible de Brooklyn à Manhattan jusqu’au 24 décembre. — 374 9th St, Park Slope, (718-965-6400); 253 36th St, Industry City, (347-637-6676)

Le French Tart

Le French Tart offre deux bûches classiques pour 6 à 8 personnes, café ou crème au beurre chocolat ($39). A commander en magasin ou par téléphone 24 heures en avance. — 579 5th Avenue, Park Slope, Brooklyn. (929)-276-3035

Queens

Cannelle Pâtisserie
Jean-Claude Perennou vous a préparé tous les parfums traditionnels. La première, Vanille/Fruit de la Passion, est faite de mousse chocolat blanc, crémeux passion, biscuit vanille, céréales coustillantes et vendue de $30 (4à 5 personnes) à $75 (16 personnes) . La Mocha (crème au beurre et café) va de $25 à $65, tout comme la chocolat-noisette. La Grand Marnier vous coûtera entre $30 et $75. Deux adresses: 5-11 47th Ave, Long Island City, NY 11101 et 7559 31st Ave, East Elmhurst, NY 11370.

French Toast Bakery

Cette nouvelle pâtisserie ouverte en juillet dernier dans le quartier de Woodside qui vend des viennoiseries, des sandwichs, et des soupes, propose aussi une bûche traditionnelle, à la vanille (à l’intérieur) et au chocolat (à l’extérieur). Chez French Toast Bakery, une taille de bûche disponible, pour $79, à commander par téléphone, 36 heures en avance, jusqu’à la fin de l’année.  (Notez que le magasin sera fermé le jour de Noël).— 70-06 Roosevelt Ave, Flushing (718-440-9182)

La Boulangerie
A Forest Hills, La Boulangerie offre pain et pâtisserie. Deux bûches sont offertes cette année: chocolat, avec compote de framboise et noix ou noisette, avec praline. En taille individuelle ($6.95), pour 4-7 personnes ($40.50), ou pour 8-11 ($56.90). A commander par téléphone, ou sur place. — 109-01 72nd Rd., Forest Hills (347-644-5606)

New Jersey

Choc O Pain

La bûche de Choc O Pain a connu le succès Noël dernier, si bien qu’ils ont décidé de répéter l’opération cette année. 3 bûches disponibles : daquoise chocolat, mousse salée pommes vanille, et Mont-Blanc caramel. La bûche à taille unique convient pour une tablée de 6 personnes ($40) et peut être commande en ligne, en magasin et par téléphone pour venir chercher le gâteau du 20 au 24 décembre à 3pm. —Toutes les adresses

(Par Jenny Hughes et Emeline Combi)

Kendji Girac en concert à New York

La carrière de Kendji Girac a de quoi donner le tournis. A 23 ans, le vainqueur de The Voice France 2014 a déjà à son actif trois albums, vendus à près de quatre millions d’exemplaires. Il pourra désormais ajouter l’Amérique à son palmarès, avec deux concerts à New York le 27 février, au Symphony Space et à Miami le 1er mars.

Au programme, le mélange de pop et de mélodies gipsy de son enfance, qui a fait le succès en France de “Andalouse” ou “Conmigo” et la setlist qui remplit en France les plus grandes salles.

Fotografiska, le nouveau temple de l’image à New York

Les amateurs de photo sont en transe: une des institutions majeures de la photographie contemporaine arrive à New York. Fotografiska ouvre ses portes samedi 14 décembre au 281 Park Avenue South, à l’angle de la 22e Rue. L’adresse prestigieuse abrite l’un des joyaux de l’architecture new-yorkaise, un bâtiment classé de cinq étages de style Renaissance flamande, construit en 1894. Longtemps propriété d’organisations religieuses, l’ancienne Church Missions House se mue en lieu multi-conceptuel où le pouvoir de communication de l’image apparaît sous toutes ses formes, du cliché argentique au documentaire multimédia.

Ce nouveau rendez-vous artistique est l’extension new-yorkaise du Fotografiska de Stockholm, conçu en 2010 par les frères suédois Per et Jan Broman et devenu, en moins de dix ans, une référence incontournable de la photographie. Fotografiska, financé par des fonds privés, n’a rien d’un musée classique – sa collection propre est très réduite – ou d’une institution comme le Centre International de la Photographie (ICP) à Manhattan. Ce n’est pas une galerie d’art car aucune œuvre présentée n’est à vendre. « Plus qu’un espace où nous montrons de l’art, c’est un lieu où l’on vient vivre une expérience », explique le photographe allemand Yoram Roth, président du conseil d’administration et chargé du développement à l’international du groupe Fotografiska.

Plusieurs expositions tournantes, montées directement avec les photographes, les collectionneurs privés et les musées, sont présentées en même temps entre les deuxième et quatrième étages. Le 1er étage est dédié au restaurant Verōnika, nommé d’après la sainte patronne des photographes et dirigé par le groupe de Stephen Starr, aux commandes notamment de Le Coucou, Upland, Buddakan et Morimoto à New York et de Chez la Vieille à Paris. Les évènements et discussions occuperont le cinquième et dernier étage. « On vient à Fotografiska non seulement pour les photographies, mais aussi pour prendre le temps d’échanger et pour une expérience culinaire, estime Yoram Roth. De nombreux musées offrent cela mais nous avons l’approche la plus inclusive ». Fotografiska restera ouvert tard le soir, jusqu’à 23 heures, voire minuit du jeudi au samedi.

Les œuvres de cinq artistes confirmés, dont quatre femmes, font l’ouverture : la célèbre photographe de mode allemande Ellen von Unwerth présente les corps sensuels de ses superbes modèles, un contraste saisissant avec les paysages dépouillés de la Suédoise environnementaliste Helene Schmitz ; les portraits inspirés du peintre Gustav Klimt de l’artiste multimedia afro-américaine Tawny Chatmon font écho aux mises en scène cinématographiques de l’Israélien Adi Nes.

« Le lancement de Fotografiska est réalisé en partenariat avec le magazine TIME, précise la directrice des expositions Amanda Hajjar, venue de la galerie Gagosian. Le travail incroyable d’Anastasia Taylor-Lind, consacré à la maternité, est exposé. » La photojournaliste anglo-suédoise s’est penchée sur les différents modes de garde d’enfants aux Etats-Unis, des nannies aux day care, « un thème qui touche tous les New Yorkais ».

L’inauguration a été retardée de plusieurs mois en raison des importants travaux de rénovation des quelque 4 000 m2 du bâtiment historique afin de pouvoir accueillir 500 000 visiteurs par an, selon les prévisions. Après Stockholm, Tallin en Estonie et New York, le groupe poursuivra son développement européen avec un quatrième Fotografiska, à Londres l’an prochain.

Kendji Girac en concert à Miami

MISE A JOUR: la production a annoncé le 25 février l’annulation de ce concert.
La carrière de Kendji Girac a de quoi donner le tournis. A 23 ans, le vainqueur de The Voice France 2014 a déjà à son actif trois albums, vendus à près de quatre millions d’exemplaires. Il pourra désormais ajouter l’Amérique à son palmarès, avec deux concerts à New York le 27 février et à Miami le 1er mars, au North Beach Bandshell.
Au programme, le mélange de pop et de mélodies gipsy de son enfance, qui a fait le succès en France de “Andalouse” ou “Conmigo” et la setlist qui remplit en France les plus grandes salles.

Un papa franco-américain se mobilise pour créer un programme bilingue à Manhattan

L’histoire de Stéphane Lautner ressemble à celle de beaucoup d’autres parents devenus des militants de l’éducation bilingue. Père de deux filles de 5 et 7 ans, ce Franco-Américain qui parle français “en permanence” à ses enfants n’a pas souhaité les scolariser dans un établissement franco-américain privé, trop onéreux.

Il s’est tourné vers le système public mais, dans son quartier de l’Upper East Side, aucune école n’offre de programme français-anglais. “Ce n’est pas en parlant le français uniquement à la maison que les enfants vont apprendre à lire et écrire correctement. C’est via le portail de l’éducation que cela se fait“, explique ce New-Yorkais de naissance, fils d’une mère française et d’un père d’origine allemande.

Employé d’une banque française, il a donc décidé de se retrousser les manches. Après avoir participé au lancement cette année d’un afterschool de l’association EFNY (Education française New York) dans l’école de son aînée, PS 527, il voit plus grand. Vendredi 13 décembre, il organise une réunion publique dans l’Upper East Side, en présence notamment d’un élu local et d’une représentante du Département de l’Education, pour démontrer l’intérêt des parents d’élèves pour le lancement, à la rentrée 2020-2021, d’un programme bilingue public (Kindergarten-5th Grade) au sein du District 2. L’initiative est soutenue par les Services culturels de l’Ambassade de France aux Etats-Unis et le consulat de France à New York.

Le District 2 recouvre presque tout Manhattan sous la 96eme rue (à l’exception de l’Upper West Side et du Lower East Side). “Je veux que tous les parents francophones du District 2 participent à cette réunion, qu’ils aient des enfants dans la fourchette d’âge recherchée ou pas, et les parents anglophones qui veulent un tel programme“, déclare-t-il.

Plusieurs initiatives menées par des parents français ont vu le jour dans le passé au sein de ce vaste district scolaire (à Battery Park City, TriBeCa et Midtown), mais aucune n’a abouti. “Le District 2 est assez bien loti en terme d’inscriptions dans les écoles locales et de résultats scolaires. Les dirigeants d’établissements ne voient donc pas l’intérêt de créer un programme bilingue, qu’ils considèrent comme une source de problèmes pour le recrutement et la certification des enseignants“, analyse Stéphane Lautner. La majorité des programmes bilingues lancés ces dernières années l’ont en effet été dans des écoles en difficulté, à la recherche d’outils pour attirer des élèves supplémentaires.

Autre défi, selon lui: même si le District est très étendu, les écoles locales recrutent au sein de zones restreintes, ce qui ne permet pas de mobiliser un grand nombre de familles.

Stéphane Lautner ne se démonte pas pour autant. Selon lui, “l’intérêt existe” chez les parents. Il en veut pour preuve le doublement des classes de l’afterschool de français d’EFNY à PS 527 en quelques mois (de deux à quatre). Il dit aussi avoir l’oreille des autorités du District. “Il est possible que ce projet n’aboutisse pas à temps pour l’entrée de ma plus jeune fille en Kindergarten. Mais je ne veux rien lâcher. Je le fais pour les générations futures“.

Photos: Gastronomie et paillettes à La Soirée 2019

(Agenda partenaire) Le 8 novembre dernier au San Francisco City Hall avait lieu La Soirée, le principal événement de collecte de fonds de la Chambre de Commerce Franco-Américaine de San Francisco.

Le thème de cette 38ème édition était “Le Grand Bleu” : l’occasion pour les organisateurs de prendre de bonnes résolutions environnementales en limitant l’utilisation du plastique pendant l’événement et en y incluant une discussion sur le thème de l’engagement des entreprises pour lutter contre la pollution plastique.

Pendant la soirée, les invités ont pu déguster le meilleur de la gastronomie locale avec 40 stands à disposition et un dîner VIP pensé par les chefs Roland  Passot (La Folie), Gérald Hirigoyen (Piperade), Nicolas Delaroque (Nico), John Chacon (Vineyard Table), Claude Le Tohic & Yannick Dumonceau (ONE65), Juan Contreras (Atelier Crenn).

C’est ensuite avec une Dance Party et un Fashion Show réalisé par Les Parisiennes et Petits Pas que les invités ont continué la soirée, avec pour certains une belle surprise : grâce à Air France, French Bee et Calparrio, sponsors de l’événement, un grand tirage au sort a été organisé parmi les invités et quelques chanceux sont repartis avec des billets d’avion aller-retour pour Paris ou Tahiti ou encore avec un séjour de 7 nuits au Club Med. Les autres sponsors de l’événement étaient Planisware et LNB Accounting.

Retour en images sur l’événement (photos Octamedia, Violaine Lenoir et Huie Dinwiddie) :

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Note: les “articles partenaires” ne sont pas des articles de la rédaction de French Morning. Ils sont fournis par ou écrits sur commande d’un annonceur qui en détermine le contenu.

Alex Grardel, sur les traces des nouveaux pèlerins américains

Un sac à dos, un téléphone et un compte instagram… Alex Grardel voyage léger, pour mieux aller à la rencontre de ses sujets. Le jeune français a entrepris un voyage, à pied et en stop, dans l’histoire américaine, sur les traces de ce phénomène très américain des “pélerinages”.

L’idée de ce projet, dont il espère notamment faire une série de podcast à son retour, lui est venue en France, lors d’une messe d’hommage à Johnny Hallyday. “Je me suis aperçu qu’on était vraiment dans le pèlerinage”. Le but n’est pas religieux, mais les attributs, la forme et souvent les motivations sont les mêmes, qui fait, dit-il, “partie de l’identité américaine”. En apprenant que plus de 600.000 personnes passent chaque année sur la tombe d’Elvis, ce diplômé de l’ESSEC, passé par la pub (Havas notamment), décide de faire son sac et de partir en stop à travers les Etats-Unis, pour un voyage qui est d’abord un pèlerinage personnel: le film Into The Wild de Sean Penn, qui raconte l’histoire vraie d’un auto-stoppeur, a inspiré, il y a douze ans, son goût pour l’auto-stop. Et c’est lors d’un des ses précédents voyages qu’il a découvert Jack Kerouac, le prophète de tous les routards du monde, auteur de “Sur la route”.

Alex Grardel devant le bus de “Into The Wild”.

Alex Grardel a pris la route il y a trois mois, en Alaska, pour voir le “magic bus” de Into The Wild et achèvera son périple fin décembre à San Francisco à la St John Coltrane Church, où l’on vénère le musicien de jazz. Entre temps, il se sera arrêté sur les tombes d’Abraham Lincoln, Jack Kerouac, Jimi Hendrix. Il aura également fait halte au Mémorial du 11 septembre à New York, sur les lieux de la fusillade de Columbine High School dans le Colorado, au site amérindien de Wounded Knee ou encore à Grace Land avec les fans d’Elvis… L’éclectisme est au coeur du projet: “le lien entre tous ces pèlerins c’est la recherche d’un connection, d’un lien avec les disparus. Même si l’objet n’est pas forcément religieux, leur expérience est très souvent mystique”. Le pélerinage est, dit-il, “avant tout une expérience personnelle, intime, que chacun fait à sa façon. Il y a évidemment une opposition de classe entre les gens que j’ai rencontrés à Paris sur la tombe de Lafayette et les fans de Jimi Hendrix dans l’Etat de Washington”.

Avec un fan de Jimi Hendrix (Crédit: Alex Grardel).

L’auto-stop est un élément essentiel de l’aventure. S’il a pratiquement disparu de la culture américaine (il est même illégal dans le New Jersey, l’Utah et le Nevada), il reste le meilleur moyen de voyager et de faire des rencontres assure l’aventurier, pour lequel “des gens ont souvent fait des détours de plusieurs heures, juste pour moi, parce qu’ils aimaient nos conversations. Le mythe de la route existe toujours, je ne compte plus les gens qui m’ont dit à quel point ils auraient rêvé de faire ce que je fais”. Le hasard de la route fait aussi bien les choses, comme lorsque cette conductrice de l’Utah qui l’a pris à bord s’est avérée être une ancienne partenaire d’affaires de Courtney Love, la femme de Kurt Cobain, alors qu’il était en route vers le mémorial érigé pour l’ancien leader de Nirvana, dans l’Etat de Washington.

A l’issue de son voyage Alex Grardel espère lancer une série de podcasts racontant son périple et nourrie des dizaines d’heures d’interviews glanées lors des rencontres avec ces pèlerins américains. En attendant, vous pouvez le retrouver sur sa page Facebook.

Ciné-concert: Gaumont restoré

Avant la Gaumont, le géant du cinéma, il y avait Léon Gaumont, le fondateur de la compagnie, ingénieur et pionnier du cinéma au début du XXème siècle.
Cette séance de “ciné-concert” présente L’X Noir, un film de 1916, une parodie de Fantomas, entièrement restauré. Le film de 40 minutes déploie toute le savoir-faire de Léon Gaumont, notamment en matière d’éclairage et de cadrage.
Avant L’X Noir, quatre court-métrages montrant des animaux seront diffusés: Dressage d’oiseaux (1910, 4 minutes); La Course à la saucisse (Alice Guy Blaché, 1907, 5 minutes); Onésime aime les bêtes (Jean Durand, 1913, 6 minutes); et Le petit Chantecler (Émile Cohl, 1910, 8 minutes).

Les oeuvres seront montrées accompagnées au piano par Andrew Simpson.

Plus d’informations ici

Huit bûches de Noël originales à savourer à Los Angeles en 2019

La dinde digérée, il est temps de se préoccuper du dessert incontournable de Noël: la bûche! Voici notre sélection d’adresses pour la trouver à Los Angeles.
De l’écorce en bûche chez Lark Cake Shop

La célèbre bûche de Lark Cake Shop.

Chez Lark Cake Shop, une pâtisserie spécialisée dans les gâteaux de mariage, la bûche se distingue par son réalisme. Ce « sponge cake » est fourré de mousse au chocolat, et recouvert d’un glaçage en chocolat pour ressembler à une branche d’arbre. Une seule taille, pour 15 à 20 personnes à 55 dollars, est proposée. A commander 24 heures à l’avance. Lark Cake Shop à Silver Lake: 3337 W Sunset Blvd; et à Pasadena: 1355 N Hill Ave, Pasadena.
De la french touch en bûche chez Frenchifornia

Pour vous rappeler les saveurs des bûches françaises, concoctées notamment par les grand-mères durant les fêtes, rendez-vous chez Frenchifornia à Pasadena, qui propose deux types de bûche traditionnelles pour les fêtes. Elles sont composées d’une génoise, d’une crème au beurre et recouvertes de pâte à sucre et d’amandes torréfiées. Deux parfums sont proposés : vanille et chocolat. Pour la taille, elle est adaptée à vos besoins, et personnalisable avec le pâtissier. Comptez 6,50 dollars par personne. Vous pourrez aller la chercher jusqu’au mardi 24 décembre à 12 pm (à commander trois jours en avance). Frenchifornia, 247 E Colorado Street, Pasadena.
De la dynamite en bûche chez Pitchoun Bakery

Pitchoun Bakery continue de nous surprendre avec ses créations. Mention spéciale pour la Bomb Log (en forme de dynamite de noël), à base d’un biscuit à l’orange, d’une crème au citron et d’une confiture de cerise. En outre, la famille Souliès a imaginé d’autres bûches artisanales : Hazel Log (biscuit à la noisette et mousse au chocolat et praliné), Snowflake Log (biscuit sablé, recouvert d’une mousse vanille-caramel et de poires caramélisées), le Mont Blanc Log (base sablée, crème de marrons et meringue, le tout surmonté de crème fouettée) et la Tradition (à base de génoise et crème au beurre vanille, café, chocolat ou Grand-Marnier). Vous les trouverez en grand format pour 6 à 8 personnes à 37 dollars, excepté la tradition à 32 dollars (aussi disponibles en format individuel). Les commandes ([email protected]) doivent être prises 48 heures à l’avance (le 20 décembre pour les récupérer au réveillon de Noël). Pitchoun à Downtown (545 South Olive street, à Los Angeles) et au Beverly Grove (8500 Beverly Blvd. – #103).
Le Canada en bûche chez Ladurée

Chez Ladurée, une création originale fait son apparition chaque année. Le millésime 2020 est canadien. La bûche signature “Atoca”, créée par le chef Patrice Demers, mêle sirop d’érable, mousse au chocolat, gâteau à la farine de sarrasin et canneberges. Vous la trouverez en boutique dès le 4 décembre (à commander 24 heures en avance). Pour la déguster, il faudra débourser 76 dollars pour une bûche destinée à 6-8 personnes, 9,50 dollars pour une individuelle. Le pâtissier célèbre pour ses macarons propose également d’autres bûches classiques : la Marquise au chocolat-noisette, la Mademoiselle aux fruits, la Favorite à la pistache, la Marie-Antoinette à la rose, ainsi que la Duchesse à la châtaigne, Ladurée au Grove ( 189 The Grove Dr, Los Angeles) et à Beverly Hills (311 N Beverly Dr, Beverly Hills).
Des associations de saveurs en bûches chez Michelina

Le pâtissier de Michelina a concocté quatre types de “yule log” cette année. Les clients pourront savourer la bûche roulée traditionnelle au chocolat ou à la noisette et caramel beurre salé (comptez 75 dollars pour 6 à 8 personnes). Autre option : la bûche garnie de mousse : au chocolat et noisette, ainsi qu’une version à la cerise (avec une mousse mascarpone vanille, de la confiture à la cerise, recouverte de chocolat blanc) à 65 dollars. Pour varier les plaisirs, elles sont également proposées en format individuel pour 10 dollars. Pour épater vos convives avec ces desserts, pensez à les commander avant le vendredi 20 décembre. Michelina, The Original farmer’s market, 6333 W 3rd St, Los Angeles.
Des figurines sur la bûche chez Dominique Ansel

Votre gourmandise sera également aiguisée dans l’antre de Dominique Ansel. Ses chefs pâtissiers ont concocté deux bûches, disponibles pour 48 dollars au Grove : une version mixant chocolat et caramel (gluten free) et une aux châtaignes d’Aubenas (avec une bavaroise à l’orange et la vanille, relevée de whisky). Les modèles sont décorés d’un pingouin et Père Noël en meringue, respectivement. Elles peuvent rendre 6 à 8 personnes heureuses. Mais pour cela, elles doivent être commandées 48 heures à l’avance en ligne ou en personne dans les boulangeries du 14 au 24 décembre. Dominique Ansel, 189 The Grove Dr, Los Angeles.
Du gluten free en bûche chez LA Chouquette

Chez La Chouquette, deux bûches de Noël ont été concoctées (pour 8 à 10 personnes, comptez 70 dollars) : une chocolat-noisette (avec un cœur de praliné et une ganache de chocolat noir) et un mont-blanc au coeur cassis (à base de crème au marrons et de chantilly). Elles seront également disponibles en bûches individuelles au prix de 9 dollars. A réclamer jusqu’au 23 décembre (à commander 48 heures en avance). La Chouquette, 7350 C Melrose Avenue, Los Angeles. LA Chouquette, 7350 Melrose Ave, Los Angeles.
De la pièce montée chez Pascal Patisserie

Chez Pascal Patisseries, à Woodland Hills, vous aurez le choix entre une bûche à la mousse au chocolat et café (prix de 28 à 60 dollars, selon la taille), une aux pommes et à la vanille (prix de 28 à 60 dollars), ainsi qu’un Croquembouche Tower Noel (une pièce montée, prix sur demande). Pour pouvoir les déguster, il faudra les commander au moins 4 jours avant le réveillon de Noël. Pascal Patisserie, 21040 A Victory Blvd, Woodland Hills.

Heroes Motors, l'empire de Serge Bueno, s'étend désormais jusqu'à Malibu

L’atelier de Serge Bueno sur La Brea avenue a fait le tour des journaux télévisés, fin 2017. C’est dans son antre que Johnny Hallyday aimait s’arrêter boire un verre, discuter de moto. Mais Heroes Motors est bien plus qu’un lieu de pèlerinage pour les fans du taulier. Le garage, ouvert depuis 2015, est une destination pour les passionnés et collectionneurs de deux-roues. Et Serge Bueno a voulu aller plus loin.
Vestes en cuir, casques, gants, sculptures, livres en édition limitée ou montre : le Parisien a imaginé et conçu une gamme de produits dérivés “made in USA” pour offrir un “lifestyle” aux amateurs de ses bécanes. Après avoir ouvert une boutique sur Melrose, il développe un peu plus son univers avec une seconde adresse de vente à Malibu, inaugurée le samedi 7 décembre.
Vous ne trouverez pas cet artiste de la bécane dans ses magasins, “les vitrines” de sa marque. Il préfère passer son temps les mains dans le cambouis dans l’atelier, sa “galerie d’art”, à restaurer une Majestic datant de 1929 arrivée en pièces détachées. Un travail d’orfèvre qui dure jusqu’à 400 heures, pendant lesquelles il répare, révise les boîtes de vitesse, refait les chromes, la peinture… “Notre esprit, c’est de retaper les motos de manière authentique, dans le respect du produit tout en offrant des performances optimales”, affirme ce perfectionniste, qui réalise également des “customs” à la demande.
Des modèles qu’il vend entre $15.000 et $500.000 : “la rareté fait le prix, tout comme la restauration”, défend-il. Et le marché américain fut une vraie aubaine pour le restaurateur de grosses cylindrées : “il y a beaucoup plus de collectionneurs qu’en France, et une vraie culture de la moto ancienne”, note cet autodidacte qui les considère comme des “morceaux d’histoire”. Sur un des murs du garage, on peut notamment admirer “une pièce de musée, une Peugeot de 1904”. “C’est une addiction, dès qu’on commence à en acheter, on ne s’arrête plus.” A partir de son réseau en France et en Europe, forgé durant plus de 20 années, il exporte les motos vintages à retaper. Heroes Motors a ainsi trouvé sa place à Los Angeles, et assis sa réputation au travers des salons professionnels (triomphant notamment au concours d’élégance de Beverly Hills).
Son talent artistique ne s’est pas toujours exprimé par ce biais-là. Diplômé de l’Ecole Nationale des Beaux-Arts à Paris, ce dessinateur s’orientait vers une carrière d’architecte, touchant à la photographie, la peinture et la décoration intérieure. En lieu et place de cela, il va diriger plusieurs agences de communication pendant une dizaine d’années, collectionnant en parallèle des motos venues du monde entier. Une passion qui a débuté quand Serge Bueno, à 20 ans, a acheté une vieille Peugeot pour la retaper. Outre l’esthétisme, il admire la performance des deux-roues, ayant concouru lors de rallyes de motocross pendant plus de 10 ans en Tunisie et au Maroc, jusqu’à une chute en 2011.
Faisant le pari fou (et très californien) de vivre de sa passion, il a décidé il y a six ans de changer radicalement de vie en vendant son agence, et en s’installant à Los Angeles, “un endroit idéal pour rouler”. Dès la première année, le quinquagénaire réussit à vendre sa collection personnelle de quarante bécanes. Un investissement nécessaire pour monter son garage, puis ses boutiques. Depuis, les collectionneurs s’arrachent ses motos haut-de-gamme, comme les commerçants qui s’en servent pour “habiller leurs boutiques”. Et Serge Bueno peut continuer à exprimer son art dans son atelier, et dans les collections de vêtements et accessoires qu’il crée pour Heroes Motors.

Heroes Motors, l’empire de Serge Bueno, s’étend désormais jusqu’à Malibu

L’atelier de Serge Bueno sur La Brea avenue a fait le tour des journaux télévisés, fin 2017. C’est dans son antre que Johnny Hallyday aimait s’arrêter boire un verre, discuter de moto. Mais Heroes Motors est bien plus qu’un lieu de pèlerinage pour les fans du taulier. Le garage, ouvert depuis 2015, est une destination pour les passionnés et collectionneurs de deux-roues. Et Serge Bueno a voulu aller plus loin.

Vestes en cuir, casques, gants, sculptures, livres en édition limitée ou montre : le Parisien a imaginé et conçu une gamme de produits dérivés “made in USA” pour offrir un “lifestyle” aux amateurs de ses bécanes. Après avoir ouvert une boutique sur Melrose, il développe un peu plus son univers avec une seconde adresse de vente à Malibu, inaugurée le samedi 7 décembre.

Vous ne trouverez pas cet artiste de la bécane dans ses magasins, “les vitrines” de sa marque. Il préfère passer son temps les mains dans le cambouis dans l’atelier, sa “galerie d’art”, à restaurer une Majestic datant de 1929 arrivée en pièces détachées. Un travail d’orfèvre qui dure jusqu’à 400 heures, pendant lesquelles il répare, révise les boîtes de vitesse, refait les chromes, la peinture… “Notre esprit, c’est de retaper les motos de manière authentique, dans le respect du produit tout en offrant des performances optimales”, affirme ce perfectionniste, qui réalise également des “customs” à la demande.

Des modèles qu’il vend entre $15.000 et $500.000 : “la rareté fait le prix, tout comme la restauration”, défend-il. Et le marché américain fut une vraie aubaine pour le restaurateur de grosses cylindrées : “il y a beaucoup plus de collectionneurs qu’en France, et une vraie culture de la moto ancienne”, note cet autodidacte qui les considère comme des “morceaux d’histoire”. Sur un des murs du garage, on peut notamment admirer “une pièce de musée, une Peugeot de 1904”. “C’est une addiction, dès qu’on commence à en acheter, on ne s’arrête plus.” A partir de son réseau en France et en Europe, forgé durant plus de 20 années, il exporte les motos vintages à retaper. Heroes Motors a ainsi trouvé sa place à Los Angeles, et assis sa réputation au travers des salons professionnels (triomphant notamment au concours d’élégance de Beverly Hills).

Son talent artistique ne s’est pas toujours exprimé par ce biais-là. Diplômé de l’Ecole Nationale des Beaux-Arts à Paris, ce dessinateur s’orientait vers une carrière d’architecte, touchant à la photographie, la peinture et la décoration intérieure. En lieu et place de cela, il va diriger plusieurs agences de communication pendant une dizaine d’années, collectionnant en parallèle des motos venues du monde entier. Une passion qui a débuté quand Serge Bueno, à 20 ans, a acheté une vieille Peugeot pour la retaper. Outre l’esthétisme, il admire la performance des deux-roues, ayant concouru lors de rallyes de motocross pendant plus de 10 ans en Tunisie et au Maroc, jusqu’à une chute en 2011.

Faisant le pari fou (et très californien) de vivre de sa passion, il a décidé il y a six ans de changer radicalement de vie en vendant son agence, et en s’installant à Los Angeles, “un endroit idéal pour rouler”. Dès la première année, le quinquagénaire réussit à vendre sa collection personnelle de quarante bécanes. Un investissement nécessaire pour monter son garage, puis ses boutiques. Depuis, les collectionneurs s’arrachent ses motos haut-de-gamme, comme les commerçants qui s’en servent pour “habiller leurs boutiques”. Et Serge Bueno peut continuer à exprimer son art dans son atelier, et dans les collections de vêtements et accessoires qu’il crée pour Heroes Motors.

Finissez l'année en beauté au District

(Article partenaire) Accueillez la nouvelle année en beauté ce 31 décembre ! Le District met les petits plats dans les grands pour vous proposer une soirée somptueuse.
Profitez d’un buffet de fromage, charcuterie, ou encore fruits de mer ; les amateurs de viande ne seront pas oubliés avec un coin rôtisserie. En dessert, une sélection de pâtisseries sera proposée par Le District. Côté boissons, profitez d’un open bar et d’un toast au champagne Moët & Chandon à minuit. Enfin, pour assurer l’ambiance, le DJ Sasha Barbot vous fera danser toute la nuit.
Le marché français Le District est situé à Brookfield Place, à quelques pas du World Trade Center et de ses nombreuses lignes de métro : idéal pour une soirée festive sans avoir à conduire dans les rues bondées de Manhattan.
Réservez vos places pour la soirée ici.
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Note: les “articles partenaires” ne sont pas des articles de la rédaction de French Morning. Ils sont fournis par ou écrits sur commande d’un annonceur qui en détermine le contenu.