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7 erreurs à ne pas commettre pour son investissement immobilier

(Article partenaire) Acheter pour investir n’est pas quelque chose de simple. C’est un placement qui doit être réfléchi, que l’on doit préparer à l’avance. Investissement Locatif liste pour vous les erreurs à ne pas commettre afin de réaliser des placements immobiliers rentables.

1. Ne pas préparer votre stratégie d’investissement

L’investissement immobilier locatif nécessite de la préparation et de la réflexion. Il est important de prendre le temps de peaufiner votre projet. L’immobilier c’est un métier, il existe tout un tas de notions à maîtriser, ne serait-ce qu’au niveau des régimes fiscaux et des lois en vigueur.

Avant de se lancer dans l’immobilier il faut aussi que vous sachiez le type d’investissement que vous voulez réaliser : location nue pour bénéficier du statut LMNP ou un appartement meublé ? Achat ou revente ? Voulez vous être rentier immédiatement ? Est ce pour laisser un patrimoine immobilier à votre famille ?

Tant de questions que vous devez vous poser afin de préparer au mieux votre investissement.

Il faut aussi s’intéresser à la localisation du bien. Cette dernière fait réellement la différence. Cela peut vous permettre d’éviter de trop longues vacances locatives, une rentabilité importante ou une plus value à la revente plus ou moins intéressante. Choisissez au mieux le quartier afin de vous assurer une forte demande locative.

2. S’arrêter au premier obstacle

Faire un investissement locatif est une tâche ardue, il se peut que vous rencontriez quelques difficultés comme un refus de la part de la banque par exemple. Ce n’est pas parce que vous avez essuyé un premier échec qu’il en sera de même avec une autre banque. Il faut que vous persévériez. Cherchez un interlocuteur qui vous fera confiance et qui sera prêt à vous accorder un prêt immobilier.

3. Faire un emprunt sur une durée trop courte

L’étape de l’emprunt immobilier est cruciale pour votre investissement. Il est tentant de vouloir rembourser son crédit le plus vite possible en empruntant sur une courte durée. Cependant, cela peut vous nuire. Si vous souhaitez réaliser un autre investissement afin de vous constituer un patrimoine plus conséquent, il se peut que les banques rejettent votre projet car votre taux d’endettement sera trop fort.

Investir sur 20 ans est la bonne solution. Vos charges ne seront pas trop lourdes et vous pourrez réinvestir rapidement après votre premier projet.

Au sujet du financement de votre investissement, vous devez aussi faire attention aux taux proposés par les banques. En ce moment la situation est exceptionnelle et fortement intéressante pour investir dans l’immobilier en France. Sachant que ces taux sont bas, évitez les crédits à taux variables, ils ne pourraient être amenés qu’à augmenter.

4. Sous estimer l’enveloppe des travaux

Vous voulez engager le moins de dépenses possible et c’est normal. Toutefois, cette recherche d’économie peut vous nuire. Si vous sous estimez votre emprunt pour réaliser les travaux, cela peut se retourner contre vous. En effet, il est préférable que vous estimiez au préalable les travaux le plus justement possible, quitte à emprunter un petit peu plus. Il ne faut pas non plus hésiter à tout remettre à neuf dans le logement. Cela vous permettra de financer ces rénovations par le crédit plutôt que d’avoir à sortir cet argent de votre poche plus tard.

5. Trop attendre

Il est tout à fait normal de vouloir attendre pour trouver la perle rare. Malheureusement, à trop attendre on peut parfois passer à côté de véritables opportunités. L’achat immobilier parfait n’existe pas, seulement des lots plus ou moins intéressants. Il est important d’être réaliste dans ses recherches. Pour cela, vous pouvez faire appel à une entreprise spécialiste afin qu’elle vous déniche un bien le plus proche possible de vos attentes. De plus, étant experte, elle saura vous faire relativiser afin de garder les pieds sur Terre. Un bien qui peut ne pas vous sembler opportun sur le coup, pourrait toutefois être un investissement rentable. Un professionnel saura vous trouver les bonnes affaires et vous assurer une rentabilité locative intéressante.

6. Investir tout votre apport personnel dans le projet

Mettre tout votre apport personnel vous permettra de réduire la durée de l’emprunt. Cependant, il faut prendre en compte le fait que ça pourra vous empêcher de réaliser un autre investissement, car vous n’aurez plus de fonds propres. Cette situation peut vous convenir si vous ne souhaitez réaliser qu’un seul placement ou si vous souhaitez acheter votre résidence principale. Et ça ne vous permettra pas non plus de bénéficier de l’effet de levier bancaire qui aide à se constituer un patrimoine immobilier rapidement.

Il est évidemment nécessaire d’avoir un apport pour accéder à l’emprunt. Afin de pouvoir répéter l’opération, il faut engager le minimum d’apport personnel.

7. Ne pas faire gérer votre bien

La gestion locative est une tâche qui demande beaucoup de temps. Pour vous éviter des coûts plus importants, vous pouvez être tenté de vous occuper vous même de la gestion et de la location de votre bien. Toutefois, si vous déléguez ces tâches vous pourrez vous dégager plus de temps libre et mettre à profit ce temps pour un autre investissement. Ainsi, les coûts de gestion seront vite absorbés par les revenus locatifs de vos opérations. En faisant appel à des professionnels vous n’aurez plus à vous préoccuper de vos investissements passés, vous n’aurez qu’à réceptionner les loyers chaque mois.

Afin de vous assurer un haut rendement vous pouvez faire appel à une agence spécialisée, comme la société Investissement Locatif. En vous fournissant une prestation clé en main, ils vous conseillent et vous suivent durant votre investissement, de l’élaboration de votre projet et de son financement jusqu’à sa gestion locative. Les équipes d’Investissement Locatif vous trouveront de véritables opportunités de placement immobilier grâce aux chasseurs immobiliers ayant accès à des biens off-market. Un bien entièrement refait à neuf et décoré avec goût, afin d’assurer le coup de coeur chez les locataires, vous est livré à la fin de votre projet.

Grâce à leur présence en ligne et dans plusieurs villes de France, Investissement Locatif permet de lancer votre investissement immobilier à distance. C’est une véritable opportunité pour les investisseurs expatriés. Prenez rendez-vous pour concrétiser votre projet.

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Note: les “articles partenaires” ne sont pas des articles de la rédaction de French Morning. Ils sont fournis par ou écrits sur commande d’un annonceur qui en détermine le contenu.

Où consulter la presse française à New York ?

Vous voulez retrouver votre magazine français préféré à New York ? Ce n’est pas mission impossible mais mieux vaut connaître les bons endroits.
Magazine Cafe
Ce marchand de journaux est sûrement celui qui offre le plus grand choix en matière de presse française. Le Monde, Courrier International, Charlie Hebdo, Society, Les Inrocks, Psychologies… De l’actualité aux magazines spécialisés, on y trouve largement son compte. Les magazines disponibles sont tous répertoriés sur le site internet de la boutique. Magazine Café, 15 W 37th St. Ouvert du lundi au vendredi de 7am à 8pm et le samedi de 11am à 6pm.
SoHo News International
L’étroite boutique SoHo News International propose des magazines en français tels que Paris Match, Elle, Vogue, Jalouse, Numéro ou encore L’officiel. SoHo News International, 186 Prince St, ouvert du lundi au jeudi de 6am à 12am, le dimanche jusqu’à 1am. Les vendredis et samedis 24h/24.

Crédits : Elise Pontoizeau

Mulberry Iconic Magazines
Situé dans le nord de TriBeCa, cette boutique spécialisée est renommée pour son large choix de publications. Du côté de la presse française, on peut y retrouver Marie-Claire, L’officiel, Numero, Charlie Hebdo et la version anglaise du Monde Diplomatique. Deux autres boutique sont ouvertes au 238 Lafayette et au 215 Bowery. Mulberry Iconic Magazines, 188 Mulberry St. Ouvert 24h/24.
Ink
Dans l’East Village, non loin de Houston Street, se trouve Ink, un marchand de journaux et de magazines internationaux. Ses rayons sont littéralement remplis de magazines de photographie et d’art. On y trouve aussi Paris Match, Elle, Marianne, Marie-Claire, Vanity Fair, Numéro et Point de vue. Ink, 66 Ave A, ouvert de 8am à 11pm tous les jours.
Crédit : Elise Pontoizeau

FIAF (French Institute Alliance Française)
Le French Institute Alliance Française (FIAF) propose un très large choix de magazines et de revues en français. Toutefois, il n’est pas possible de les emprunter ou de les acheter, la lecture se fait sur place. L’outil recherche vous permet d’accéder à la liste complète des titres auxquels le FIAF est abonné. La plateforme Culturethèque permet de consulter en ligne beaucoup de journaux et magazines français. Pour y accéder, il est nécessaire d’être membre. 1077, 22 E 60th St, librairie ouverte du mardi au jeudi de 1pm à 8pm, le vendredi de 12pm à 4pm, fermée le samedi.

En ligne
Uni-press et Expressmag sont des sites spécialisés dans la vente d’abonnements aux titres de presse. Le choix est large, ils proposent tout deux plus de 650 magazines et journaux. Les lecteurs peuvent s’abonner à quelques numéros voire à un titre pendant une année entière.

Pourquoi les plaques d’immatriculation texanes n'ont-elles pas de voyelles ?

Les plaques du Lone Star State ont beaucoup changé au fil des ans. Parmi ces modifications figurent leur taille, leur couleur et le nombre de caractères. Ce n’est qu’à partir de 1960 que les Texans ont pu les personnaliser.
Les lettres «I» et «O» ont été supprimées pour ne pas être confondues avec les chiffres «1» et «0». Selon le très sérieux quotidien The Austin American-Statesman, il semblerait que les voyelles soient exclues pour empêcher une malencontreuse épellation d’un mot ou d’un préfixe pouvant être considéré comme offensant ou vulgaire. « Les plaques générales sont actuellement composées de sept chiffres, ou de trois lettres et de quatre chiffres ou de trois chiffres suivis de quatre lettres. Les voyelles ne sont pas utilisées dans les plaques standard, mais elles sont utilisées dans des plaques personnalisées », précise Adam Shaivitz, porte-parole du Texas Department of Motor Vehicles.
Mais attention, leurs propriétaires doivent suivre un ensemble de règles avant que leur orthographe ne soit approuvée. « Pas plus de 6 lettres ou chiffres ne sont autorisés. Par contre, les Texans peuvent ajouter des espaces, des traits d’union, des points, des coeurs, des étoiles ou encore des silhouettes du Texas », rajoute Adam Shaivit,  qui souligne que le refus de ces demandes est une façon d’éviter certains messages susceptible de provoquer une confrontation désagréable entre les automobilistes.
Le service en charge des immatriculations dispose d’une équipe de cinq personnes qui examinent les requêtes personnalisées pour rechercher tout élément indécent ou trompeur. Si elles le trouvent, elles peuvent rejeter la demande. 96% sont en règle.
Avant d’en faire la demande, les Texans doivent déterminer si leur message exclut l’un des éléments suivants:
– Indécence: référence à un acte sexuel comme les abréviations “SND @ NUDE” et “DATBUTT”.
-Vulgarité
-Messages désobligeants: expression de haine envers un certain groupe ou dégradant envers des personnes, mots associés à des organisations qui promeuvent de telles attitudes.
-Activités illégales: Désolé, “GOT POT”, “HIGH LIF” et “ECSTASY” ne sont pas autorisés.
-Représentation erronée des entités gouvernementales: tout ce qui pourrait amener les conducteurs à croire qu’ils sont derrière un responsable de l’application de la loi ou un représentant gouvernemental, comme «TEXDPS» ou «PRESDNT».
 
 

5 activités aquatiques pour profiter de l'été à New York

Pour se rafraichir, on peut pénétrer dans n’importe quel magasin et se prendre la clim’ sur-puissante dans la figure. On peut aussi faire un tour dans l’eau. Voici notre sélection d’activités aquatiques pour l’été 2019.
Un tour de jet ski
Faire un tour de Manhattan dans un bateau, c’est bien. Mais en jet ski, ça fait un autre effet dans les dîners en ville. Plusieurs compagnies organisent des visites. C’est le cas de New York Harbor Jet Ski pour une virée d’une heure dans la Baie de New York (149 dollars + 50 dollars le passager). Des itinéraires plus longs sont aussi proposées tout au long de la semaine. Sea The City propose des prestations comparables. Rockaway Jet Ski propose un tour “coucher du soleil” pour les amoureux.
Se faire les bras en kayak
Découvrir la skyline la pagaie à la main, c’est ce que proposent plusieurs associations new- yorkaises. Sur l’Hudson, depuis le Pier 96, le Manhattan Community Boathouse au bout de la 56eme rue met à disposition kayaks et gilets de sauvetage pour des sorties de 20 minutes. Accessible toute la journée le week-end, de 5:30pm à 7:30pm du lundi au mercredi. Même principe depuis le Pier 26 (Lower Manhattan) et Governors Island avec Downtown Boathouse. Consultez le calendrier sur le site pour les horaires. Sur l’East River, le club du Brooklyn Bridge Park vous attend les jeudis, samedis et dimanches. La gratuité est de mise dans tout ces endroits mais la règle est premier arrivé, premier servi.
Faire le beau/ la belle sur un paddle board (avec votre toutou)
Le SUP, vous connaissez ? Le “StandUp Paddle Boarding”, c’est ce sport où vous vous ramez, debout, sur une sorte de planche de surf. C’est physique ! Il est possible de le pratiquer à New York. Le service MKC Kayak + SUP propose des locations de paddle board pour les novices (et leur chien) pour 10 dollars à côté du porte-avions Intrepid. Gare à ne pas boire la tasse.
Piquer une tête à la piscine
New York a un réseau impressionnant de piscines publiques. Pour une petite sélection, lire notre article 2019.
Faire un tour à la plage
L’été, on se souvient que New York est une ville du littoral, avec tout ce que cela signifie en terme de plages. Pour notre sélection 2019, lire notre article de juillet. Et pour la plus mythique d’entre elles, Coney Island, on vous a concocté un petit rappel de ce qu’on peut y faire cet été, entre expos, matches de baseball et feux d’artifice. 

Sézane passe l'été à San Francisco

Sézane met un pied à San Francisco. À partir du jeudi 8 août, la marque française de vêtements créée par Morgane Sézalory sera disponible à Re:store, un espace décrit comme le “WeWork du retail” qui veut offrir un point de vente physique aux marques présentes en ligne. Pour fêter cela, Sézane chouchoutera les clientes toute la journée du 8.
Au programme : champagne, entremets parisiens, DJs, cadeaux ainsi qu’une sélection de pièces tout droit venues de Paris. Vous aurez ensuite trois mois pour découvrir sur place la collection de prêt à porter Sézane et parfaire votre look « à la française ».

Le documentaire "Le miracle du Petit Prince" projeté à New York

Traduit dans plus de 375 langues différentes, le chef d’oeuvre d’Antoine de Saint-Exupéry, Le Petit Prince, se lit dans plus de langues que n’importe quel autre livre à l’exception de la Bible. Le documentaire néerlandais “The Miracle of The Little Prince” raconte en 90 minutes (et en cinq langues différentes) l’impact de la traduction dans le monde, en particulier pour les personnes impliquées dans la préservation de dialectes en voie de disparition.
Le documentaire sera projeté au Film Forum de New York du mercredi 28 août au mardi 3 septembre à 12.30pm, 2.25pm, 4.20pm, 6.15pm, 8.10pm et 10pm. Sa réalisatrice, Marjoleine Boonstra, sera présente mercredi 28 août pour répondre aux questions des spectateurs. Cinéaste et photographe depuis plus de 25 ans, elle est l’auteure d’une dizaine de longs-métrages, dont plusieurs récompensés.

Soirée Jean-Pierre Melville à Los Angeles

Dans la liste des légendes du cinéma français, le cinéaste Jean-Pierre Melville tient une place particulière. En association avec la fondation éponyme et de l’Alliance Française de Los Angeles, l’American Cinematheque lui rend hommage avec la projection de deux de ses longs-métrages le samedi 24 août à l’Aero Theatre.
Durant cette soirée, seront projetés “Le Cercle rouge” (1970) et “Bob le Flambeur” (1956) en français et sous-titrés en anglais. Le premier est un thriller qui suit le commissaire Matteï de la brigade criminelle, chargé de convoyer un détenu par le train Vogel. Quand celui-ci s’enfuit en pleine nuit, la traque commence. Dans “Bob le flambeur”, le protagoniste est un ancien mafieux accro au jeu. Après de grosses pertes, Bob décide de monter un coup pour se refaire.
La soirée sera présentée par Remy Grumbach, le neveu du réalisateur et co-fondateur de la Fondation Jean-Pierre Melville.

Les six plus belles plages sauvages de Los Angeles (et autour)

Pour changer des iconiques Santa Monica, Venice Beach ou Zuma, French Morning a recensé des beautés sauvages qui valent le détour.
Malibu Dume Cove
Malibu regorge de plages, plus belles les unes que les autres. Mais certaines valent davantage le détour, comme Malibu Dume Cove. Pour trouver cette perle (qui n’est pas signalée sur les cartes), il faudra s’armer de patience et d’un GPS (et suivre les conseils du guide). L’aventure commence dès le parking “sauvage”, que vous chercherez sur Grayfox street ou Fernhill drive. Il faudra ensuite prendre la direction de Point Dume (la vue, et non la plage), et emprunter l’un des chemins de terre qui démarre de Cliffside Drive. Si vous êtes sur la bonne voie, vous déboulerez sur une rambarde en bois, qui mènera à des escaliers vieillis. Le jeu en vaut la chandelle : la plage en bas des falaises est délaissée des foules et revêt un caractère sauvage qui vous permet de déconnecter. Vous y croiserez quelques surfeurs, voire des otaries, mais aucune horde de touristes. Coordonnées GPS : 34°00’09.3″N 118°48’18.2″W, 34.002591, -118.805049.
Thousand Steps Beach
Cette plage de Laguna Beach (à 1h30 de route de Los Angeles) porte un nom un brin démotivant. Mais rassurez-vous, il faut uniquement descendre des centaines de marches de son escalier raide (et non 1 000) avant de fouler son sable. Outre son aspect monumental avec sa plage de sable immaculé et ses vagues déferlantes, c’est aussi le spot où se trouvent les fameuses « piscines naturelles » (visibles uniquement par marée basse) et des grottes marines (sur l’extrémité sud de la plage). Après en avoir bien profité, gardez des forces, le retour en montée est plus difficile. Pour vous garer, on vous recommandera, une fois sur la PCH, de chercher une place sur les rues perpendiculaires, entre la 8ème et la 10ème rue. 1000 Steps Beach, 31972 Coast Hwy, Laguna Beach.
El Matador State Beach
El Matador State beach est déjà connue des photographes et des amoureux d’Instagram. Et pour cause, c’est l’une des plages les plus photogéniques de Los Angeles. Pour y accéder, vous devrez vous garer sur le petit parking dédié (10 dollars la journée, une vingtaine de places disponibles), ou le long de la PCH (gratuit). La descente, à travers des escaliers qui ont tendance à rouiller, offre une vue surplombante sur cette crique, ponctuée de rochers gigantesques. Parfaite pour passer un moment en amoureux, la plage devient encore plus paradisiaque lors du coucher de soleil. El Matador State Beach, 32215 Pacific Coast Highway, Malibu.
Abalone Cove Beach
Située dans la réserve écologique du parc Rancho Palos Verdes, Abalone Cove Beach reste préservée de la foule. L’accès se fait à pied, durant près de 15 minutes, en passant par des sentiers raides et sauvages longeant les falaises rocheuses. Un conseil, misez sur des chaussures de sport ce jour-là. Recouverte de cailloux, la plage est propice à l’exploration des fonds marins et à la baignade dans ses piscines naturelles. Les enfants s’agenouillent autour des rochers à la recherche de crabes et d’étoiles de mer, alors que les plus courageux plongent, armés de palmes et de tubas. L’horizon vaut aussi le coup d’oeil, avec la vue sur l’île Catalina. Parking: 12 dollars la journée. Abalone Cove Beach, 5970 Palos Verdes Drive South, Rancho Palos Verdes.
Leo Carillo State Beach
Vous l’avez peut-être déjà vu dans un film, Leo Carillo State Beach étant connue comme une «plage de film» en raison de sa popularité parmi les cinéastes. Au nord de la ville, elle offre un espace naturel ponctué de grottes et de lagons. Il est propice à l’exploration de ses récifs et de sa vie sous-marine. A votre arrivée, faites escale par le centre des visiteurs qui vous informera sur les balades et les services aux alentours. Avant de partir en randonnée dans l’arrière-pays, vous pourrez profiter du sable fin pour faire un pique-nique. Son eau transparente et claire est jonchée de rochers et cailloux, que les nageurs affrontent pour se baigner. Un seul point négatif est à souligner: la proximité de la route. Un conseil, optez pour la protection des falaises pour vous retrouver au calme. Parking: 12 dollars la journée. Leo Carillo State Beach, 35000 Pacific Coast Highway, Malibu.
Crystal Cove State Beach à Newport Beach
Newport Beach est réputée pour ses plages. Et l’une d’elle lui rend bien la pareille, la Crystal Cove State Beach avec ses 3 miles de front de mer. Comme on peut l’imaginer, le lieu comporte plusieurs points d’accès à la plage (Reef Point, Moro, Los Trancos ou Pelican Point). Pour nager, vous privilégierez Moro Beach, Muddy Creek et le quartier historique, près de Los Trancos Creek ; quand vous choisirez Reef Point, Rocky Bight et Pelican Point pour observer les fonds marins. En plus d’activités proposées (kayak, surf, …), vous pourrez profiter du détour pour en apprendre plus sur le passé des lieux. En arpentant la plage, on peut découvrir les cottages historiques construits entre les années 1920 et 1940. Il faudra compter 15 dollars pour profiter du parking Los Trancos. Crystal Cove State Beach, 7402 Pacific Coast Hwy, Newport Beach.

Gagnez 2 billets pour aller voir Booba le 25 octobre à Los Angeles

En tournée aux Etats-Unis en octobre, le rappeur français Booba passera par Los Angeles le 25 octobre. French Morning profite de l’occasion pour organiser un tirage au sort et vous faire gagner cinq lots de deux places.
Pour participer, il vous suffit de remplir le formulaire ci-dessous. Le tirage au sort aura lieu le 30 août 2019. Nous contacterons alors les gagnant.e.s afin de leur donner accès à leurs billets.
Bonne chance à toute et tous !
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Pourquoi y a-t-il des spots publicitaires pour les médicaments aux États-Unis ?

En moyenne, 80 publicités pour des médicaments sous ordonnance sont diffusées chaque heure à la télévision américaine, selon l’entreprise Nielsen. Le chiffre est impressionnant et les États-Unis sont le seul pays avec la Nouvelle-Zélande à autoriser ces publicités.
Pourtant, ce type de marketing est relativement récent comme l’explique Nathan Arnold, attaché de presse à la US Food and Drug Administration (FDA), l’autorité qui régule ces communications : « Les publicités Direct-to-consumer (diffusée au grand public au lieu de s’adresser aux professionnels de santé) sont un nouveau champ de la promotion des médicaments sous ordonnance ». En effet, jusqu’au milieu des années 1980, l’industrie pharmaceutique faisait la promotion de ses médicaments directement auprès des médecins et des pharmaciens.
Il existait tout de même quelques publicités “direct-to-consumer” mais la Food and Drug Administration n’avait pas formulé de règles claires les concernant. De 1983 à 1985, le Congrès a demandé un moratoire sur ce type de publicité, questionnant leur légitimité et exigeant à la fin de cette période de réflexion que les publicités adressées aux consommateurs remplissent les mêmes exigences que celles visant les médecins.
Plusieurs cadres de l’industrie pharmaceutique ne soutenaient pas ce type de marketing. Mais leur avis a très vite changé. Ce virage effectué par les laboratoires pharmaceutiques serait contextuel selon un article publié dans la revue Pharmacy and Therapeutics en 2011: « Pendant les années 1980, le climat politique est devenu plus favorable à l’industrie pharmaceutique. De plus, un changement culturel s’est produit, amenant les patients à avoir un rôle actif dans la prise de décision médicale avec leur médecin. »
Les spots publicitaires ne sont arrivés que progressivement. La US Food and Drug Administration exigeait dans un premier temps que tous les effets indésirables soient affichés, ce qui était possible dans les magazines mais plus difficile à la télévision ou à la radio. Cependant, les entreprises pharmaceutiques avaient le droit de ne pas mentionner les risques du médicament si elles ne disaient pas quelle maladie il devait traiter… Les premières publicités télévisées étaient alors plutôt étranges.
En 1997, la US Food and Drug Administration a clarifié ses instructions : les publicités télévisées devaient contenir les effets secondaires les plus graves et faire référence à une autre publicité (dans laquelle tous les risques étaient mentionnés) ou à un numéro de téléphone. En 2004, l’argent dépensé dans ces publicités a quadruplé.
En 2009, l’American Medical Association (AMA), un regroupement de médecins, avait publié une tribune pour que ces publicités soient bannies. Pour son président, Patrice Harris, « la multiplication des spots dope la demande pour les molécules les plus chères, bien qu’il existe des alternatives moins coûteuses et tout aussi efficaces. Elle encourage aussi les patients à réclamer les médicaments les plus récents et les plus onéreux, alors qu’ils ne sont pas toujours appropriés. »

Moi Impat': un retour en France entre enthousiasme et stress

Surprise, bonheur, mais aussi déception, désillusion sont des sentiments que connaissent bien celles et ceux que l’on appelle les “impatriés”. Pour son podcast “Moi impat”, French Morning a donc tendu son micro à des Français qui racontent comment ils ont vécu leur retour au pays.
Pour ce 31ème épisode, c’est Raphaëlle Fauvelle qui prend la parole. Cette mère de famille de deux enfants est rentrée à Paris il y a près d’un an, après avoir vécu 5 ans à Casablanca au Maroc. Elle explique que l’annonce de ce retour a provoqué un mélange d’enthousiasme et de stress, entre bonheur de rentrer chez soi et galère engendrée par l’impatriation (inscriptions aux écoles, recherche d’un logement, réadaptation à un mode de vie dynamique). “Mais rentrer, ça veut aussi dire retrouver ses proches, son environnement culturel et géographique”, résume la Française. Bien que les amis ou la famille ne sont parfois pas si curieux d’en savoir plus sur l’expérience de l’expatriation.
Mais elle évoque aussi le pincement au cœur que l’on ressent et les larmes qui montent quand on quitte un pays dans lequel on a vécu si longtemps. “Une page se tourne”, lâche-t-elle. Mais l’expatriation lui a beaucoup apporté, notamment dans sa vie professionnelle. Raphaëlle Fauvel a appris à sortir de sa zone de confort, “à oser”. “C’est l’occasion de rebattre ses cartes”, confesse-t-elle. Le risque de la reconversion professionnelle, elle ne l’aurait pas pris si elle était restée en France.
Listen to “Episode 31 : Raphaëlle Fauvel” on Spreaker.

L'aventure s'arrête pour Maison Kayser à Washington DC

Son passage dans la capitale américaine fut court. La boulangerie-pâtisserie Maison Kayser va fermer ses deux adresses à Washington D.C après dix-sept mois de service, selon le site spécialisé Eater. On pourra continuer de déguster pains et pâtisseries jusqu’au vendredi 16 août. Maison Kayser n’a pas répondu à notre demande de commentaire sur les raisons de ces fermetures.
Implantée aux États-Unis depuis 2012, la marque française s’était rapidement fait une place à New York, où elle compte dix-sept boulangeries. Lors de l’inauguration de ses nouveaux points de vente à Washington en février 2018, Eric Kayser rappelait dans son discours : « Nous sommes avant tout des artisans, nous faisons la pâte et nous la cuisons sur place. On peut dire que nous sommes post-traditionnels. » Le premier Maison Kayser (1345 F St. NW) avait ouvert le 8 février, et l’autre (650 Massachusetts Ave. NW) quelques jours plus tard.