Année après année, la capitale voit fleurir de nouveaux restaurants. Voici nos recommandations des établissements à tester sans attendre. Ils ont ouvert dans les six derniers mois.
Reverie (Georgetown)
Le restaurant américain a ouvert au début de l’année au cœur du quartier historique de Georgetown, qui connaît actuellement une véritable renaissance. Le chef exécutif Johnny Spero a un CV incroyable: Minibar et Komi à D.C., Noma à Copenhague et Mugaritz en Espagne. Il est aussi passé par Netflix, dans l’émission “The final table”. Les plats de 12 à 30 dollars restent abordables. Le plat star? Le hamburger, avec un pain fait-maison. 3201 Cherry Hill Ln, (202) 808-2952. Site.
Bombay Street Food (Columbia Heights)
Après avoir lancé un restaurant dans le nord de la Virginie, le restaurateur et consultant Asad Sheikh a ouvert les portes de sa nouvelle réussite le dernier jour de novembre. Le menu de quatre pages regorge de plats de “street food” sophistiquée, plus ou moins épicés selon les goûts. Pour parfaire les assiettes, il a passé dix jours à Mumbai avant d’ouvrir son nouvel établissement. 1413 Park Rd NW, (202) 758-2415. Site.
Tiki TNT (The Warf)
Le somptueux bar Tiki, surplombant le canal de Washington, a ouvert ses portes en décembre. Le propriétaire Todd Thrasher a demandé à plusieurs de ses amis chefs – Erik Bruner-Yang, Bryan Voltaggio et David Guas – de contribuer à un menu impressionnant composé de poulets rôtis, de plateaux de porc effiloché ou encore de trempette fouettée. A ne pas rater: l’happy hour du lundi au vendredi, de 3pm à 6:30pm. 1130 Maine Ave SW, (202) 900-4786. Site.
Coconut Club (Union Market)
Le restaurant invite ses clients à partir en vacances sous les cocotiers. Les recettes proviennent du chef Adam Greenberg, qui a longtemps fait partie des cuisines du Barcelona Wine Bar. Depuis janvier, on y trouve de petites assiettes composées de thon ou du saumon, accompagnés par des morceaux de racine de lotus. Les boissons se présentent sous forme de boules à facettes et de noix de coco fraîchement craquelées. 540 Penn St NE, (202) 544-5500. Site.
St. Anselm (Union Market)
Mois après mois, le quartier d’Union Market se développe et de nouveaux restaurants décident d’y lancer leur concept. St. Anselm, ouvert en septembre 2018, est le fruit d’une collaboration entre Joe Carroll, et Stephen Starr (Le Diplomate), lauréat de nombreux prix. En cuisine, Marjorie Meek-Bradley vient d’être nommée chef de l’année 2018 par Eater D.C. pour son steak, le coeur du menu de l’établissement, et son collier de saumon. 1250 5th St NE, (202) 864-2199. Site.
Olivia (Penn Quarter)
Anciennement NoPa Kitchen + Bar, ce restaurant propose des plats venus tout droit de la Méditerranée. Au menu: des saveurs espagnoles, marocaines, italiennes, portugaises, grecques et tunisiennes. En plus des bouteilles de vin géantes suspendues au plafond par des filets de pêche, les convives trouveront des plats européens et nord-africains comme le carpaccio de pieuvre galicien et la pastilla au poulet avec de la harissa verte. 800 F St NW, (202) 347-4667. Site.
6 nouveaux restaurants de Washington à tester cette année
Gad Elmaleh: la date de sortie de sa série sur Netflix est connue
L’attente est enfin terminée. La série en anglais de Gad Elmaleh, « Huge in France », débarque sur Netflix le 12 avril. Il en est le co-créateur, le producteur et l’interprète principal.
Voulant renouer avec son fils qui se lance dans le mannequinat, l’humoriste Gad Elmaleh tourne le dos à sa célébrité française et part pour Los Angeles. Malheureusement, ses faits d’armes en France ne lui seront d’aucun secours sur un territoire où personne ne le connait. Choc des cultures, rapport à la célébrité et relation père-fils compliquée sont les ingrédients qui parcourront les 8 épisodes de ce programme semi-autobiographique.
Pour cette première série, il s’est entouré pour l’écriture et la production de Jarrad Paul et d’Andy Mogel (“The D-Train”, “The Grinder”). Il partage l’écran avec un casting relativement inconnu: Erinn Hayes, Jordan Ver Hoeve, Matthew Del Negro et Scott Keiji Takeda. Dans la bande-annonce, on voit le comique Jerry Seinfeld (mentor américain de Gad Elmaleh) faire une apparition. C’est la troisième collaboration de l’humoriste avec la plateforme de streaming Netflix après la diffusion de ses stand-ups “Gone with the wind” et “American Dream”.
2019: l’année rêvée pour acheter à New York
(Article partenaire) Si vous souhaitez acheter à New York, nous avons une bonne nouvelle pour vous: c’est le moment ou jamais ! Les rubriques immobiliers regorgent toutes de la même expression: “buyer’s market” (un marché d’acheteur). En clair: “le pouvoir a changé de camp ces derniers mois, et les acheteurs sont désormais en position de force”, souligne Renaud de Tilly, fondateur de De Tilly Real Estate.
Le première raison: l’inventaire disponible, qui ne cesse de progresser. De nouveaux biens sont arrivés sur le marché, et cela va continuer dans les prochains mois. Cela est dû notamment à une frénésie de constructions en 2015 et 2016, pour des raisons fiscales notamment (l’expiration d’un avantage fiscal pour développeurs). Ces projets sont arrivés récemment sur le marché, au moment où la demande commençait à se tasser. Le New York Times annonçait récemment quelque 20.000 nouveaux appartements arrivant sur le marché pour la seule année 2019.
Ces nouveaux condos, dont la majorité sont construits à Brooklyn (presque deux fois plus qu’à Manhattan), viennent s’ajouter à un inventaire déjà particulièrement élevé. Résultat, au dernier trimestre 2018, le nombre de biens en vente était en hausse de 15% à Manhattan par rapport à l’année précédente, et de 22% à Brooklyn. Du coup, les appartements à vendre restent sur le marché plus longtemps que jamais, huit mois désormais.
Savoir négocier
Ces chiffres sont évidemment autant de bonnes nouvelles pour les acheteurs, qui retrouvent des marges de négociation qu’on n’avait pas connues à New York depuis plusieurs années. Au dernier trimestre 2018, seulement 7% des transactions avaient donné lieu à une “bidding war” (surenchère entre acheteurs); c’était 31% en 2015. A l’inverse, plus de 25% des ventes se font désormais en dessous du prix demandé à Manhattan. En moyenne, les remises sont de 5%, mais elles peuvent atteindre beaucoup plus pour les biens les plus chers (jusqu’à 30% au dessus de 10 millions de dollars).
La négociation est donc plus cruciale que jamais, d’où l’importance d’être bien accompagné. Dans un marché d’acheteur, “il est essentiel d’être vigilant sur ce qu’on achète”, souligne Renaud de Tilly. Sélectionner les biens, connaître l’environnement est crucial pour, par exemple, ne pas acheter un appartement pour sa vue quand une nouvelle tour doit s’élever l’année suivante devant les fenêtres… Avoir un agent immobilier qui sait vous dire “n’achetez pas cet appartement” peut vous faire gagner beaucoup d’argent, ou éviter d’en perdre. “Surtout, ajoute Renaud de Tilly, la négociation est une technique qui s’apprend et avoir à ses côtés un professionnel qui connait le marché et les réelles marges de manœuvre peut faire toute la différence”.
Taux d’intérêt favorables
Le retour des marges de négociation n’est pas la seule bonne nouvelle pour les acheteurs en 2019. Contrairement à toutes les attentes, les taux d’intérêt sont restés relativement bas. Un emprunteur typique, avec un apport personnel de 20%, trouve encore des taux nettement en dessous de 4% (pour un prêt sur 30 ans, dont 7 ans fixes). Ces derniers mois ont même vu les taux moyens baisser mais de l’avis général, la tendance devrait être à la hausse dans les mois à venir. C’est donc le moment où jamais de se lancer, d’autant que les fondamentaux de l’immobilier à New York, eux ne changent pas. Malgré la “great recession” américaine de 2008, le prix moyen d’un condominium à Manhattan a par exemple augmenté de 500% ces vingt dernières années. Et s’il n’y pas de mauvaise période pour acheter à New York, une chose est sûre: 2019 est bien le moment pour acheter.
———
Note: les “articles partenaires” ne sont pas des articles de la rédaction de French Morning. Ils sont fournis par ou écrits sur commande d’un annonceur qui en détermine le contenu.
À la manifestation des Algériens à New York, un désir de rentrer au pays
“Dégage!“, “dégage!“. Ils étaient entre 150 et 200 Algériens réunis dimanche 24 mars à Union Square pour demander la démission de leur président Abdelaziz Bouteflika, et pour soutenir leurs “frères d’Algérie“, encore présents dans les rues du pays pour un cinquième vendredi consécutif vendredi 22 mars.
L’Algérie traverse une crise politique sans précédent. Le 11 mars, le peuple a contraint Abdelaziz Bouteflika à renoncer à briguer un cinquième mandat. Mais le président algérien a annoncé rester au pouvoir jusqu’à la fin de l’année le temps d’organiser de nouvelles élections, une décision jugée inacceptable par une majorité d’Algériens qui souhaitent un départ immédiat de “Boutef” et de son parti le FLN (Front de libération nationale).
“Nous demandons leur départ et la mise en place d’une assemblée constituante, point de départ d’une deuxième république“, résume Amara Challal, l’un des organisateurs de l’événement new-yorkais. L’homme de 42 ans explique avoir été contraint de quitter son pays il y a 17 ans pour trouver du travail aux Etats-Unis. “Je n’avais aucun avenir en Algérie, alors que le pays est richissime. On en a marre de ce pouvoir mafieux qui est capable de dépenser 1.000 milliards de dollars à l’étranger en vingt ans, mais qui ne peut pas construire une école correcte au pays”.
Originaire de Tizi Ouzou, Sassia vit à New York depuis 2007. Elle a fait le choix de venir à la manifestation en famille avec son mari et le fils d’une amie, parce que “toutes les générations sont touchées par la pauvreté et le chômage en Algérie”. Elle explique avoir quitté un pays “sans avenir” dont le seul espoir des habitants est de “prendre un bateau ou un avion pour partir”.
Comme lors des manifestations en Algérie et en France, certaines pancartes brandies sur la place d’Union Square rivalisaient de créativité. On pouvait notamment lire “le seul mandat que vous méritez est un mandat d’arrêt“, “the president is missing. Reward: a new republic (le président a disparu. Récompense: une nouvelle république)” ou “nous ne sommes pas sur Facebook mais dans la rue“. Mais dans la foule, on entendait surtout des critiques envers la France et Emmanuel Macron. “La France a aidé le pouvoir actuel à rester en place, et bénéficie en retour de pétrole et de gaz gratuit”, dénonce Noe Mellal, un architecte de 29 ans. Pour Salim Boukaïs, 23 ans, “Macron a déclaré qu’il était pour une transition. Mais il veut remplacer le système en place par les mêmes personnes plus jeunes pour préserver les intérêts économiques de la France”.
Parmi les manifestants interrogés, tous partageaient un désir commun, celui d’une transition politique réussie qui leur permettrait de rentrer en Algérie. “Notre principal slogan ici est: “partez pour qu’on puisse revenir au pays””, lance Noe Mellal. “Bien sûr que j’espère rentrer”, indique Salim Boukaïs. “Mes frères et soeurs sont en Algérie. Si j’avais le choix, je serais avec eux au bled”, confie quant à lui Amara Challal, avant de donner rendez-vous à Union Square dimanche 31 mars pour une nouvelle manifestation.
Claire Denis sous les projecteurs au San Francisco International Film Festival 2019
Cinq films français sont à l’affiche au San Francisco International Film Festival, grand rendez-vous des cinéphiles de la Baie du mercredi 10 au mardi 23 avril. Parmi eux, “High Life” de Claire Denis (“Chocolat”) avec Robert Pattinson, Juliette Binoche et André Benjamin. Une discussion avec la réalisatrice française précédera la projection le jeudi 11 avril. Dans ce film de science-fiction sorti en 2018, un groupe de criminels accepte de prendre part à une mission spatiale en l’échange de la commutation de leur peine de mort.
Les autres films français de la programmation sont:
-« L’homme fidèle » de Louis Garrel avec Louis Garrel, Laetitia Casta et Lily-Rose Depp: Abel et Marianne se retrouvent après une décennie de séparation, mais de nombreux secrets viennent perturber leurs retrouvailles. Vendredi 12 avril au Roxie Theater à 6:30pm et mercredi 17 avril au YBCA Screening Room à 6pm.
-« Les drapeaux de papier » de Nathan Ambrosioni avec Noémie Merlant, Guillaume Gouix, Sébastien Houbani: une femme souhaite aider son frère tout juste sorti de prison, mais la colère de ce dernier risque de menacer cet équilibre déjà fragile. Le samedi 20 avril à 9:15 pm au Roxie Theater et le dimanche 21 avril à 7pm au Creativity Theatre.
-« Frères ennemis » de David Oelhoffen avec Matthias Schoenaerts, Reda Kateb, Sabrina Ouazani: Deux frères inséparables hier, deux ennemis aujourd’hui. L’un est flic, l’autre fait du trafic de drogues. Dimanche 21 avril à 4:30 pm au Victoria Theater et lundi 22 avril à 6pm au Victoria Theater.
-« Le rêve de Sam » de Robin Joseph: un film d’animation regroupant quatre courts-métrages. Le samedi 13 avril à 10am au Castro Theatre.
A noter que le coup d’envoi de cette cinquième édition du SFIFF sera donné par la projection du premier épisode de la série Netflix “Armistead Maupin’s Tales of the City”. Plusieurs célébrités participeront à des projections et discussions pendant le festival: l’artiste Ai Wei Wei, John C. Reilley (“The Sisters Brothers”) ou encore Laura Dern (“Twin Peaks: The Return”, “The Last Jedi”…).
Rencontre avec le député Roland Lescure à New York le 1er avril
Ce n’est pas un poisson d’avril. Le député des Français d’Amérique du Nord Roland Lescure tiendra une réunion publique le 1er avril à Maison Kayser (Bryant Park) à New York. Les inscriptions sont ouvertes.
Au programme: passage en revue des grandes mesures qu’il a défendues depuis son élection comme la Loi PACTE (plan d’action pour la croissance et la transformation des entreprises) dont il est le rapporteur général. Il sera également question des “grandes réformes qui attendent le Parlement ainsi que les Elections Européennes pour La République En Marche!“, selon la présentation de l’événement. Ce dernier est gratuit et ouvert à tous.
C'est l'heure de la bataille de polochons géante à New York
Sortez vos oreillers. Le samedi 6 avril aura lieu l’un des évènements les plus insolites et les plus fun de l’année, le NYC Pillow Fight Day, à Washington Square Park.
Réunissant 5.000 personnes chaque année, ce grand défouloir à ciel ouvert rassemble quiconque veut retomber en enfance (ou passer ses nerfs sur des inconnus). Pour profiter de l’expérience dans un cadre agréable, il faut veiller à respecter quelques règles : ne pas balancer son oreiller de manière violente, ne pas jeter son oreiller sur une personne désarmée ou ayant un appareil photo, laissez ses lunettes chez soi et participer au nettoyage pendant et après l’évènement.
Vous pourrez vous procurer, dès le jour de l’évènement à partir de 10am, un oreiller pour 5$ au magasin NoHo Matress Firm (652 Broadway), marque qui sponsorise l’évènement. L’argent récolté servira à financer des activités pour les enfants placés dans des familles d’accueil.
Gourmet Week: une vente aux enchères pour les gourmands de la Baie
(Agenda partenaire) Vous aimez les expériences culinaires? Vous habitez dans la Baie? Vous voulez soutenir une bonne cause? Ne cherchez pas plus loin que Gourmet Week.
Organisée par l’École Bilingue de Berkeley, cette vente aux enchères en ligne propose un large éventail de produits et d’expériences gastronomiques à des tarifs accessibles à tous. Une partie des fonds récoltés seront reversés à l’École Bilingue de Berkeley, un établissement franco-américain situé à Berkeley allant de la maternelle au collège.
Parmi les lots en jeu : mets artisanaux, dîners dans de fabuleux restaurants de la Baie, ou encore une chance de faire partie du Grand Jury de l’édition 2019 de Best Baguette – San Francisco qui aura lieu en avril.
Prêts à miser? Connectez-vous sur le site à partir du lundi 25 mars et jusqu’au 31 mars. Créez un compte et faites-vous plaisir !
Pour toute question sur cet évènement, contactez [email protected]
———
Note: les “agendas partenaires” ne sont pas des articles de la rédaction de French Morning. Ils sont fournis par ou écrits sur commande d’un annonceur qui en détermine le contenu.
Révolution Bilingue avec Ofelia Garcia: “L’éducation bilingue n’est plus seulement l’affaire des minorités”
Ofelia Garcia est une des grandes voix américaines qui s’élèvent en faveur du bilinguisme dans les salles de classe américaines. Elle est l’invitée de Fabrice Jaumont pour ce 6ème épisode de Révolution Bilingue.
Professeure d’éducation urbaine et de littérature hispanique et luso-brésilienne au Graduate Center de CUNY (City University of New York), cette Cubaine d’origine est à la fois praticienne et théoricienne du bilinguisme. Elle défend notamment la thèse du “translangagisme”, qui étudie la dynamique qui s’établit entre les langues maîtrisées par une personne bilingue, et qui conclut que le bilinguisme est plus que l’addition de deux langues qui évolueraient séparément dans le cerveau.
Le podcast “Révolution Bilingue” est soutenu par CALEC (Center for the Advancement of Languages, Education, and Communities).
Teranga, un nouveau melting "potes" à Harlem
Qu’on se le dise, Teranga est notre nouvelle cantine à Harlem. Inauguré récemment dans l’Africa Center, au coin nord-est de Central Park, sur la 5th avenue, ce restaurant pan-africain est l’oeuvre du talentueux chef sénégalais Pierre Thiam, dont la presse parle beaucoup en ce moment.
Teranga est avant tout un espace de rencontres et d’échanges autour d’une expérience culturelle immersive où se mêlent cuisine, bien-être, art et artisanat…
Bref, un melting “potes” comme on les aime, avec en tête de pont :
– L’artiste nigérian Viktor Ekpuk, qui signe la superbe fresque éthnique “Harlem Sunrise” en s’inspirant du style d’écriture indigène nsibidi.
– Adeline Desjonquères, notre copine “health’angel” qui collabore avec Teranga pour créer des recettes à base de moringa, une plante aux vertus antioxydantes et nutritives, qu’elle a ramenée du Togo et commercialise depuis 1 an pile, sous la marque Nutu (no͞otou / pour “nous tous”). Joyeux anniversaire Nutu!
Des épices, des saveurs, des couleurs vives qui boostent le moral et le système immunitaire! Que demande le peuple…
Coup de coeur
Pour en savoir plus sur Nutu et sur les bienfaits du moringa, c’est par ici que ça se passe. Nous, en tous cas, ce qu’on a retenu c’est que le moringa contient trois fois plus d’anti-oxydants que son cousin japonais le matcha et surtout zéro caféine. Il est délicieux en smoothie, en crème, en boule d’énergie ou en glace.
On est devenu accro au moringa latte, au lait d’avoine.
À New York, un agent immobilier peut vous épargner bien des soucis
(Article partenaire) Les Français qui cherchent à acheter un bien à New York ne peuvent s’empêcher d’aller voir directement le vendeur, sans passer par la case “agent immobilier”. C’est tentant, surtout à l’heure des plateformes immobilières en ligne, mais cela peut avoir des conséquences selon Jean-Luc Teinturier.
“Le marché est très dynamique, il faut toujours être préparé et réactif”, insiste cet agent qui habite à New York depuis 37 ans. Il travaille aujourd’hui pour Warburg Realty, une agence familiale fondée en 1896 qui compte parmi les importantes de la Grosse Pomme en termes de volume de transactions.
Warburg Realty est dirigée par Frederick Peters depuis plus de trente ans et également par sa fille Clelia Peters depuis trois. “Le marché de l’immobilier est complexe et un agent immobilier expérimenté peut vous faire gagner de l’argent, du temps et vous éviter de la frustration“, affirment-ils.
Jean-Luc Teinturier abonde: selon lui, 90% des Américains utilisent un agent, conscients que le “temps, c’est de l’argent“. C’est d’autant plus vrai à New York, où l’immobilier s’apparente à une grande jungle, avec ses règles propres et ses pièges. “À l’achat, se passer d’un agent est un très mauvais calcul car le vendeur a un broker dans 90% des cas. 2,5 % à 3 % de commission sont déjà inclus dans le prix de vente. Se passer d’un agent suppose de dédier beaucoup de temps personnel à la recherche de biens et d’entrer soi-même en négociation sans une connaissance approfondie du marché“.
S’ajoute à cela le fait que plus de 70% du marché de l’immobilier new-yorkais est composé de “co-op”, un type d’habitation qui nécessite de monter un dossier complexe pour être approuvé comme résident. “En plus de vous représenter et de défendre vos intérêts auprès du vendeur, l’agent vous accompagne et vous conseille tout au long de votre parcours d’acheteur“, précise Jean-Luc Teinturier, dont la clientèle comprend de nombreux Français. Certains d’entre eux ont acheté des biens à New York depuis la France. Cela n’aurait pas été possible sans un professionnel sur place. Jean-Luc Teinturier cite l’exemple d’un client qui a acheté trois appartements à partir des vidéos, photos et compte-rendus effectués par l’agent. Ce dernier “doit plus que jamais apporter un service d’excellence et de conseil à ses clients quel que soit le montant de la transaction“, poursuit-il.
Ce rôle d’accompagnement est essentiel à New York, où la transaction immobilière fait intervenir plusieurs parties: les banques qui contrôlent le “credit score” (indice de solvabilité de l’acheteur), l’avocat chargé de vérifier les aspects légaux de la transaction et d’agir comme notaire, l’expert-comptable pour une gestion optimale du ou des biens acquis ou encore un architecte en cas de travaux à effectuer. “Un bon agent immobilier possède un réseau étendu de personnes qualifiées aux compétences complémentaires, permettant à ses clients d’avoir accès à des professionnels fiables facilement“, résume le Français.
En outre, les professionnels ont accès à des outils, comme Perchwell, que les acheteurs n’ont pas. “Le marché a subit une forte correction en 2018 après six années consécutives de hausse et est maintenant stabilisé, conclut Jean-Luc Teinturier, qui a lui-même investi dans la pierre new-yorkaise. Ce marché a une appréciation moyenne de 5 à 6% par an depuis trente ans… Il présente de réelles opportunités à Manhattan et à Brooklyn pour des investisseurs et pour des résidents supportant des loyers très élevés.”
Contactez Jean-Luc Teinturier dès aujourd’hui pour discuter de votre prochain investissement immobilier.
Jean-Luc Teinturier
French Desk Team Leader
Warburg
654 Madison Avenue, New York, NY 10065
O: 212.300.1829 | M: 203-550-5945
[email protected]
—
Note: les “articles partenaires” ne sont pas des articles de la rédaction de French Morning. Ils sont fournis par ou écrits sur commande d’un annonceur qui en détermine le contenu.
7 activités pour profiter du printemps à Washington
Depuis le 20 mars, nous sommes au printemps. Même si les températures sont encore fraîches, c’est le meilleur moment pour profiter des couleurs printanières de la capitale américaine. Voici quelques idées pour profiter de la belle saison.
Visiter les jardins de la Maison Blanche
Le jardin du palais présidentiel ouvre ses portes aux visiteurs chaque année au mois d’avril. Ce printemps, deux dates sont prévues le samedi 13 et dimanche 14 avril. Les entrées sont gratuites et les tickets seront distribués à proximité de l’entrée des jardins, à 8:30am le jour même. Rendez-vous à l’intersection de 15th street et Constitution Avenue Northwest le samedi 13 de 10am à 4:30pm et le dimanche 14 avril de 10am à 2:30pm. Plus d’informations ici.
Faire le tour des ambassades
Ceux qui souhaitent mesurer à quel point Washington est une ville diplomatique peuvent participer à la journée “Around The World Embassy Tours”, dans le cadre du festival Passport DC. Le temps d’une journée, une vingtaine d’ambassades ouvrent leurs portes aux visiteurs. Le 4 mai entre 10am et 4pm. La plupart des ambassades sont situées à proximité du métro Dupont Circle. L’événement est gratuit. Plus d’informations ici.
Participer au Filmfest DC
Le plus ancien festival de cinéma de la capitale célèbre ses 33 ans. Pendant onze jours, plus de 80 films issus de 11 pays différents sont projetés dans plusieurs endroits. L’occasion de découvrir des longs-métrages iraniens, indiens ou encore coréens. Du 25 avril au 5 mai 2019. Compter 11 dollars par personne par ticket, mais certains événements sont gratuits. Plus d’informations ici.
Aller voir un match de baseball
Le mois d’avril est réputé pour sa saison de baseball. Alors, c’est le moment de se rendre au célèbre stade Nationals Park (appelé “Nats Park” pour les intimes). C’est dans ce stade que l’équipe des Washington Nationals joue ses matches. National Parks, 1500 South Capitole Street. 30 dollars pour un ticket en moyenne. Plus d’informations ici.
Se rendre au Spring Wine Festival au Mount Vernon
Le Mount Vernon est célèbre pour avoir été la demeure du premier président américain George Washington. Entre le 17 et 19 mai, une vingtaine de producteurs viennent présenter les meilleurs crus de Virginie. Les participants peuvent alors profiter d’une vue magnifique sur le fleuve Potomac autour d’un verre de vin, tout en admirant la propriété de la famille Washington. Du 17 au 19 mai entre 6pm et 9pm, 3200 Mount Vernon Memorial Highway, Mount Vernon. Entre 42 et 52 dollars. Plus d’informations ici.
Participer à DC Bike ride
Le 18 mai, la capitale américaine accueille cette course, où il est possible de pédaler dans les rues de la ville en famille. En tout, plus de 30 kilomètres sont prévus pour la course. A l’arrivée, des food trucks et des concerts attendent les cyclistes. Possibilité de louer des vélos. Le départ est fixé à West Potomac Parks. Samedi 18 mai, entre 8am et 12:30pm. Gratuit pour les moins de 7 ans, 30 dollars pour les participants âgés de 8 à 17 ans et 60 dollars pour un adulte. Plus d’informations ici.
Découvrir le National Arboretum
Pour ceux qui souhaitent admirer les fleurs de cerisiers en évitant la foule, rendez-vous au National Arboretum jusqu’au 15 avril. Des visites guidées sont proposées aux visiteurs. Le musée offre également un important éventail de plantes, dont une impressionnante collection d’arbres miniatures du Japon et de bonsai. Pour vivre le “cherry blossom” à Washington, retrouvez notre autres plans ici. Gratuit, 3501 New York Avenue NE de 8am à 5pm.