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Portes-ouvertes au Rochambeau The French International School

(Article partenaire) Rochambeau French International School ouvrira ses portes au public les vendredi 11 (campus du CP-CM1 à Rollingwood) et samedi 12 janvier (campus de maternelle à Bradley). Les inscriptions ont lieu sur le site de l’école.
Ce rendez-vous permettra aux parents de découvrir les avantages d’une éducation multilingue et multiculturelle, de poser leurs questions aux différents intervenants présents, de faire une visite guidée des campus et de rencontrer l’équipe des inscriptions qui les accompagnera dans leurs démarches.
A Rochambeau French International School, les élèves de la maternelle à la terminale sont immergés dans un programme d’études français allié à un solide programme en anglais.
L’école organise aussi une conférence sur la lutte contre le harcèlement le jeudi 17 janvier à partir de 6:15pm. S’inscrire ici
Vous n’êtes pas disponible en janvier ? Retrouvez la liste complète des portes ouvertes de l’école.


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Note: les “articles partenaires” ne sont pas des articles de la rédaction de French Morning. Ils sont fournis par ou écrits sur commande d’un annonceur qui en détermine le contenu.

No Pants Subway Ride: San Francisco baisse le pantalon

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En janvier, on tombe le pantalon à San Francisco. La traditionnelle No Pants Subway Ride reprend ses droits le dimanche 13 janvier partout aux Etats-Unis, dont dans le BART/Muni.
Le concept: les plus courageux d’entre nous sont invités à monter à bord du subway sans leurs bas. Le plus dur, c’est qu’ils doivent se comporter comme si de rien n’était. La première édition de ce drôle d’événement, initié à New York, ne comptait que… sept participants. Il s’est depuis étendu au monde entier. C’est la 11e fois qu’il se tient à San Francisco. Les participants sont invités à se réunir dans deux points de rassemblement à 1:50pm avant de se lancer à l’assault du réseau de transports.

Recyclez votre sapin de Noël avec Mulchfest à New York

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Pour vous débarrasser de votre sapin, vous pouvez le laisser sur le trottoir, mais vous pouvez aussi faire un geste pour l’environnement. Tous les ans, début janvier, la Ville de New York invite les propriétaires de conifères à les recycler dans les parcs. L’opération, Mulchfest, dure jusqu’au dimanche 13 janvier.
Comment ça marche ? Il suffit de se rendre à l’un des sites participants. Certains proposent de réduire votre beau sapin en paillis, afin de nourrir vos propres arbres ou ceux de la ville. Pensez à retirer toutes les décorations de votre sapin avant de le déposer. Mulchfest est gratuit.

Où acheter du fromage à raclette à San Francisco ?

L’heure de la raclette a enfin sonné dans la Bay Area. Les températures ayant considérablement baissé ces dernières semaines, l’appel du fromage – le bien calorique, le vrai – est dorénavant pardonnable. Si comme nous, vous ne supportez plus les photos de soirées raclette des copains de France, voici 5 adresses pour faire le plein de fromage.
San Francisco Wine & Cheese
Du côté de Gough Street, San Francisco Wine & Cheese réunit tout ce que l’Europe fait de mieux. Vins, chocolats, charcuterie, pâtisseries, fromages… et cela inclut bien entendu la  fameuse raclette de Savoie à 16$ la livre. Difficile de ne pas s’éparpiller quand 1001 merveilles s’offrent à vous. 141 Gough Street, San Francisco
@Say Cheese
Ce paradis du fromage propose trois différents types de raclette: La française à 18.95$ la livre, la suisse à 20.95$ et la “domestique” à 22.95$. Par domestique, l’équipe de Say Cheese entend “locale”, car ils proposent leur propre version de ce fromage traditionnellement européen. Son goût est plus soutenu,ce qui en fait le type de fromage le plus vendu de la boutique. 856 Cole Street, San Francisco
24th Street Cheese Co.
À l’instar de Say Cheese, 24th Street Cheese Co. vend aussi bien de la raclette française que suisse. La frenchy est à 14.95$ la livre. Ça donne envie n’est-ce pas ? 3893 24th Street, San Francisco
La Fromagerie
Pour les fans de fromage, la Fromagerie est sans aucun doute l’enseigne française à connaître. Dans ses trois boutiques, vous trouverez de la raclette de Savoie à 16,99$ la livre. Vous pouvez également y louer des appareils durant 48 heures pour 25 $.  100 1st Street, San Francisco – 2425 3rd Street, San Francisco – 101 Montgomery Street, San Francisco
Trader Joe’s et les supermarchés locaux
Trader Joe’s met à l’honneur les fromages français. Dans ses rayons, vous pourrez acheter raclette, fondues savoyardes, camemberts… Le tout à prix raisonnable. N’hésitez pas à faire du stock, car il semblerait que les ruptures soient fréquentes du côté de la fromagerie. Pour ce qui est des autres supermarchés de la région, Whole Foods, Draegers et Safeway sont également vendeurs. Afin d’éviter une mauvaise surprise et un déplacement inutile, nous vous conseillons vivement de vérifier par téléphone la disponibilité du produit. 

Comment adapter sa communication digitale aux Etats-Unis ?

(Article partenaire) Lors de l’implantation d’une entreprise française aux Etats-Unis, beaucoup de paramètres sont à prendre en compte. La refonte de la stratégie de communication digitale n’est pas la première chose à laquelle nous pensons, et pourtant c’est une étape cruciale et déterminante pour le futur succès de votre entreprise.
Alors, comment adapter la communication digitale de votre entreprise au marché américain ? Olivier Gruère, fondateur de l’agence de communication digitale Royal Cheese Digital, a répondu à nos questions, et mis en lumière les principaux facteurs à prendre en compte.
Forte de la grande expertise de son fondateur entre Paris et Los Angeles, l’agence digitale des Français aux USA apporte à ses clients plus de 20 ans d’expérience dans le marketing digital. Le nom de cette agence est d’ailleurs un clin d’œil à l’histoire de son fondateur (Olivier Gru(y)ère, descendant de la famille qui a donné son nom à ce fromage que nous aimons tant !), ainsi qu’une référence au lifestyle américain. Son but : permettre aux entreprises françaises de conquérir le marché américain en produisant du contenu digital de qualité, adapté à la culture américaine et diffusé de manière optimale dans le pays.

  1. La taille du marché

« Même si les Etats-Unis sont un seul et même pays, il s’agit d’un territoire aussi vaste et divers que l’Europe », rappelle Olivier Gruère. Son conseil : lorsque vous étudiez le marché dans lequel vous voulez vous implanter, regardez les chiffres de l’Etat américain dans lequel vous voulez poser vos valises (ex : Etat de New York), et non pas les chiffres globaux des Etats-Unis. D’un Etat à l’autre, le mode de vie et les habitudes de consommation peuvent être très différentes.

  1. Les habitudes de consommation

Justement, parlons-en. Comme pour toute exportation à l’international, que ce soit d’un produit ou d’une entreprise entière, il est primordial d’étudier en amont les habitudes de consommation de la population du pays cible. Si celles-ci varient d’un Etat à l’autre aux Etats-Unis, il y a tout de même quelques tendances générales qui se dégagent. Leur analyse vous sera d’une grande aide. « L’utilisation du téléphone pour réaliser des transactions commerciales, par exemple, est une pratique beaucoup plus répandue aux Etats-Unis qu’en France, ajoute Olivier Gruère. D’où l’importance d’une communication digitale adaptée au mobile. »

  1. Les réglementations

Qui dit pays étranger, dit réglementations différentes, et même si l’on n’y pense pas toujours tout de suite, il faut en être bien conscient lors de l’implantation d’un business. Veillez à étudier de manière approfondie les lois et réglementations qui pourraient concerner votre entreprise.

  1. L’importance de la réputation en ligne

La réputation en ligne est plus importante aux Etats-Unis qu'en France
La réputation en ligne est plus importante aux Etats-Unis qu’en France

Si vous connaissez un peu le marché nord-américain, alors vous savez l’importance des sites de notation et des reviews. M. Gruère parle même de “religion Yelp” ! Laisser une note et un avis suite à un passage dans une boutique, un restaurant, un hôtel, est devenu un réflexe. Et beaucoup d’Américains passent systématiquement en revue la page Yelp d’une entreprise avant de s’y rendre/d’acheter un produit. « Yelp peut faire ou défaire un business en quelques jours », insiste Olivier Gruère. La qualité du service client doit donc être une priorité. Il faut également soigner la gestion de ces pages de reviews, qui deviennent une extension de votre stratégie de communication digitale.

  1. Les influenceurs, aux US plus qu’en France ?

Les influenceurs sont très présents sur le marché de la communication digitale aux Etats-Unis, certainement plus qu’en France. Cependant, Olivier Gruère nous invite à rester prudents face à cette « bulle ». « Les influenceurs peuvent coûter excessivement cher aux Etats-Unis. Il ne faut pas se jeter tête baissée, et faire bien attention au retour sur investissement qu’ils vous promettent », conseille-t-il.

  1. Réétudier la concurrence

« Il ne suffit pas de copier-coller une stratégie de communication d’un pays à un autre, insiste Olivier Gruère. En changeant de pays, on change d’environnement concurrentiel. Ne pas calculer les risques liés à ce changement peut être très dangereux pour votre business ». En d’autres termes : assurez-vous de savoir à qui vous avez affaire avant de poser vos valises chez l’oncle Sam !

  1. Repenser le budget à allouer à la communication digitale.

« La période de démarrage est très critique pour une entreprise étrangère, et la communication digitale joue un rôle primordial dans ce lancement, affirme Olivier Gruère. Les Américains sont déjà saturés de pub. Pour tirer son épingle du jeu, il faut trouver un angle parfait et ne pas hésiter à investir dedans. Se différencier dans sa façon de communiquer avec son public est très important. » Faire appel à une agence de communication digitale peut donc être une bonne solution pour les entreprises qui sont dans cette situation.
Contact : Olivier Gruère, Fondateur et CEO
[email protected]
323-810-5878

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New York, "un sacré défi" pour Jean Imbert

Jean Imbert a ouvert son restaurant Encore à New York en décembre et il a toujours un peu de mal à y croire. “Quand je dis que j’ai ouvert un restaurant ici, ça me fait bizarre“, reconnait le chef, emmitouflé dans un gros pull au sous-sol pour se protéger de la redoutable clim’ américaine.
Un mois après l’ouverture du chanteur Pharrell Williams à Miami, dont il est le chef, voilà que le cuisinier de 37 ans débarque à New York, dans le quartier du Meatpacking District précisément. Cette nouvelle aventure, il la doit à Eric Cerato, un restaurateur français qui possède aussi Wanderlust à Midtown. Les deux hommes se sont rencontrés en avril quand le vainqueur de l’émission Top Chef en 2012, aussi propriétaire de L’Acajou à Paris depuis qu’il a 22 ans, est venu cuisiner au sein du Chefs Club à Nolita.
Il m’a dit qu’il avait un emplacement dans le Meatpacking et qu’il voulait que j’en sois le chef. New York me paraissait impossible, mais au fur-et-à-mesure des rencontres et des visites, la chose a avancé, se souvient-il. J’ai fonctionné à l’instinct. Je n’ai pas de plan de carrière. New York, pour un chef français, semble être la chose la plus impossible. Il n’y a pas de ville au monde qui parait plus dure et plus excitante à la fois. C’est un sacré défi“.
Le résultat est là: un grand espace de 175 places où les murs de briques côtoient des tables en bois et des chaises colorées. Le menu comprend des plats très créatifs, dans la pure veine Jean Imbert, et des clins d’oeil à son enfance (comme “la blanquette de ma grand-mère”). Un membre de son équipe a passé six mois à identifier des producteurs locaux pour constituer ce menu. À part les citrons, achetés auprès d’un petit producteur californien, et les avocats, tout provient de la région new-yorkaise. Le chef a reçu de l’aide de son “parrain à New York“, Jean-Georges Vongerichten, dans cette quête des meilleurs produits. “On est allé très loin dans la recherche. J’ai été un peu un ayatollah, avoue-t-il. Ma mère n’a jamais acheté de produits transformés. Enfant, je voulais savoir d’où venaient les aliments“.
Avec ce premier restaurant new-yorkais, le jeune chef marche dans les pas de plusieurs grandes toques françaises. À commencer par Antoine Westermann, ancien patron du Coq Rico à Flatiron. Jean Imbert a fait un stage dans son établissement trois étoiles à Strasbourg, Le Buerehiesel, quand il avait 19 ans. Il a d’ailleurs recruté Adrien Boulouque, ancien responsable de la carte des boissons du Coq Rico, comme manager d’Encore.
New York est la ville la plus excitante au monde en terme de cuisine, mais si on enlève Eric Ripert, Jean Georges et Daniel Boulud, il n’y a pas beaucoup de grands chefs français ici”, affirme-t-il. Les trois chefs nommés l’ont tous encouragé dans sa démarche. Quelques amis-clients connus, comme la chanteuse Dua Lipa, Robert De Niro ou encore l’artiste JR (dont une oeuvre trône en salle), sont également venus faire un tour depuis l’ouverture. “C’est une ville à part, c’est là qu’il y a le plus de restaurants que j’aime: ABC Kitchen, Masa, Maison Première à Brooklyn, Locanda Verde…“, poursuit-il.
Ce projet new-yorkais en annonce-t-il d’autres ? “Pour l’instant, je me laisse porter par les choses. Je suis comme sur une rivière, dit-il. Je ne suis pas le meilleur mais je veux que ce qu’on a décidé de faire ensemble soit authentique. Si ca ne marche pas, tant pis, c’est la vie, mais je veux le faire avec humilité“.

La No Pants Subway Ride 2019, c'est le 13 janvier

En janvier, on tombe le pantalon à New York. La traditionnelle No Pants Subway Ride reprend ses droits le dimanche 13 janvier.
Le concept: les moins frileux d’entre nous sont invités à monter à bord du subway sans leurs bas, et ce au beau milieu de l’hiver. Le plus dur, c’est qu’ils doivent se comporter comme si de rien n’était. C’est la 18ème année que ce rendez-vous, monté par les organisateurs d’événements éphémères Improv’ Everywhere, se déroule à New York. La première édition ne comptait que… sept participants. Les RSVP sur Facebook sont encouragés.

Ces mots anglais qui n’ont pas de traduction française

On a beau dire de la langue de Molière qu’elle est l’une des plus riches au monde, elle ne propose pas toujours de traduction littérale pour les mots utilisés quotidiennement en anglais. On a établi cette petite liste de mots qui nous rendent fous en français.
Chill : Il n’y a pas d’équivalent français pour chill. Dans le meilleur des mondes, ce serait “tranquille” / “posé”/ “sans prise de tête”.
Judgmental: Se dit d’une personne qui juge tout le temps d’autres personnes (ce que les Français ne font jamais voyons !)
Successful : Pour traduire cet adjectif, on utilise le verbe réussir. Au lieu de dire “he is successful”, on dirait “il réussit professionnellement” ou “il a bien réussi”. 
Cheesy : Vous avez forcément déjà entendu cet adjectif. Votre amie américaine vous parle de son date de la veille et hop, “cheesy” est lancé. En français, ce serait un mélange de “ringard” et “adorable”, voire “cul-cul la praline“.
Goofy : Maladroit, drôle, un peu idiot sur les bords : le 3 en 1. 
Hillbillly : Celui-ci, difficile d’inventer sa définition. “Hillbilly” peut être traduit par “plouc” si on l’utilise comme une insulte, mais cela peut aussi désigner un mode de vie bien précis, celui de ceux qui choisissent volontairement la campagne comme échappatoire au monde moderne et superficiel. 
Feedback: Le mot n’existe pas en français. Est-ce parce qu’on n’en donne pas assez ?
Supportive : Littéralement, cela serait “être présent pour”.
Crush : Francisé depuis, le fameux crush n’a pas vraiment d’équivalent dans la langue de Molière. C’est cette nana ou ce mec pour qui vous avez le béguin. Disons que c’est votre coup de coeur du moment.
Creepy: Se dit de quelque chose qui fait peur, qui donne la chair de poule, mais aussi d’un individu qui met mal à l’aise.
Cringy : Tout d’abord, si vous ne savez pas ce que “cringy” veut dire, vous ne voulez absolument pas être qualifié de la sorte. C’est un mélange entre “être gênant”, “bizarre” et “ringard”.

Participez aux Trophées des Français de l'Etranger 2019

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Si vous êtes exceptionnel, cet article est pour vous. Nos confrères du Petit Journal, média des Français hors de France, lancent un appel à candidatures pour la 7ème édition de leurs Trophées des Français de l’Etranger. Les candidat.e.s doivent envoyer leur dossier avant le 18 janvier (midi heure de Paris).
Chaque année, ces trophées récompensent des Français résidant hors de France et qui ont connu le succès dans des domaines variés. Il est possible de postuler dans sept catégories: Prix Entrepreneur, remis par EDHEC Business School; Prix Innovation, remis par MisterFly; Prix Éducation, remis par le CNED; Prix du Public, remis par la Banque Transatlantique; Prix Social et Humanitaire; Prix Ancien-ne élève des Lycées français du monde, remis par l’AEFE (prix exceptionnellement ouvert à toutes les nationalités); Prix Culture/Art de Vivre, remis par Courrier International. Les lauréats seront récompensés lors d’une grande soirée au Quai d’Orsay le 12 mars.

Olivia Harrel, impatriée forcée

Surprise, bonheur, mais aussi déception, désillusion sont des sentiments que connaissent bien celles et ceux que l’on appelle les “impatriés”. Pour son podcast “Moi impat”, French Morning a donc tendu son micro à des Français qui racontent comment ils ont vécu leur retour au pays.
Pour ce 17ème épisode, c’est au tour d’Olivia Harrel de nous raconter son retour. La Française, architecte d’intérieur, a vécu un an au Mexique puis trois ans et demi en Turquie. Le choix de l’impatriation lui a été quelque peu imposé puisqu’elle et sa famille ont dû rentrer à Paris pour des raisons de santé. Non pas la sienne, mais celle de son beau-père. Même si le goût d’inachevé aurait pu se faire ressentir, pour la Française, “rentrer au pays vaut le coup surtout quand votre famille a besoin de vous”.
Listen to “Episode 17 : Olivia Harrel” on Spreaker.

Quoloc, l'Airbnb de la colocation, se développe aux Etats-Unis

Quoloc, une savoureuse contraction de Québec et de colocation. Tel est le nom du projet lancé par Yacine Mahir, un Parisien de 30 ans, installé au Canada depuis 2012. Si le site de mise en relation entre futurs colocataires a d’abord été pensé pour Montréal, il a rapidement pris de l’ampleur à Toronto, Vancouver, New York, Miami, Boston, Baltimore, Houston, Los Angeles et même San Francisco.
“Avec Quoloc, j’avais envie de faire rayonner le Québec à l’international ! Car ici aussi on est capables de faire de grandes choses”, raconte le jeune homme. “On le compare aussi souvent à une plateforme hybride entre LinkedIn et Airbnb”. Lancée en 2015, la plateforme comptera bientôt 160.000 membres et aucun dollar n’a encore été investi dans le développement marketing.

C’est en créant le groupe Facebook “Colocations & Colocataires à Montréal” que le designer web a d’abord tâté le terrain pour confirmer qu’une demande existait. “200 personnes se sont inscrites en une semaine. Aujourd’hui, on a 31 groupes pour 31 villes”, rapporte le trentenaire. Côté utilisateurs, deux tiers sont des femmes et plus de 85% d’entre eux ont entre 18 et 34 ans.“Pour moi, avoir autant d’utilisatrices signifie que c’est un site qui met en confiance et qui rassure. C’est très important lorsqu’on envisage de vivre avec des gens qu’on ne connaît pas encore.” 

Repenser le vivre ensemble
À la différence de ses éventuels concurrents, Yacine Mahir affirme que Quoloc est la seule plateforme où il est possible de chercher directement un colocataire correspondant à ses propres critères. “J’inverse la tendance. Cela me paraît plus judicieux que de poster une annonce pour mettre sa chambre en location en découvrant, au dernier moment, que la personne venue visiter ne nous correspond pas.”
Autre particularité de Quoloc, selon les dires de son créateur : aucune startup n’a encore ouvert de site de colocation tourné vers… le monde entier. “J’aimerais que mon projet s’impose comme un leader mondial en la matière, c’est vrai”, avoue l’entrepreneur ambitieux.
L’outil est conçu pour trouver des colocataires qui partagent un même style de vie car la mission de Quoloc est simple mais audacieuse : repenser le vivre ensemble. “Être en colocation, c’est aussi vivre une expérience enrichissante et pas simplement partager des factures”, lance Yacine Mahir qui considère qu’on ne tient pas assez compte de la période charnière entre le moment où l’on quitte ses parents et celui où l’on se lance dans la vie active (avec ou sans partenaire). “Il est tout aussi important de choisir correctement les personnes avec qui nous vivons entre ces deux périodes.”

Un concours de galettes des rois à La Centrale

Quand il n’y a plus, il y en a encore. La Chambre de commerce franco-américaine de Floride dégaine ses galettes le jeudi 10 janvier pour toute une après-midi.
De 4pm à 6pm, les membres de la FACC et les non-membres qui ont envie de se frotter à la frangipane sont conviés à un atelier de confection de galettes sous la houlette du chef pâtissier de La Centrale Sylvain Marrari.
L’achat d’une place vous permettra d’assister à la compétition de galettes qui aura lieu dans la foulée, de 6pm à 8pm, en présence de plusieurs boulangers-pâtissiers. Networking et dégustation sont au menu. Il est possible de réserver sa place pour le concours uniquement. Et si vous ne souhaitez pas attendre jusqu’au 10 pour mettre la main sur un Kings Cake, consulter notre liste 2019 des boulangeries qui proposent la galette à Miami.