Et si les avantages du bilinguisme allaient au-delà des bénéfices évidents (aisance à communiquer dans le monde par exemple)? Si le bilinguisme donnait des avantages “cognitifs”, grâce à un cerveau en quelque sorte sur-entraîné? De nombreuses études scientifiques se sont penchées ces dernières années sur les mystères du cerveau bilingue (ou multilingue).
C’est à un voyage fascinant dans le cerveau bilingue que vous convie la conférence “The benefits of a Bilingual Brain”, donnée lors du cinquième Salon de l’éducation bilingue, le 3 novembre par Ana Ines Ansaldo, une des expertes du sujet, chercheuse et directrice du Laboratoire de Plasticité cérébrale, communication et vieillissement à l’université de Montréal.
Ana Ines Ansaldo a plus d’une raison de s’intéresser au multilinguisme: cinq au moins, le nombre de langues qu’elle parle… Cette Argentine, émigrée au Canada, a voué une large part de sa carrière à l’étude des effets du bilinguisme sur le cerveau. Récemment, en utilisant des techniques sophistiquées d’imagerie chez des sujets âgés, elle a par exemple découvert que les cerveaux d’un bilingue et d’un monolingue s’activent de manière très différente pour réaliser certaines tâches (en l’occurence identifier une couleur, tout en ignorant des informations “parasites”). “Les monolingues activent un réseau très large de différentes zones du cerveau, alors que les bilingues mobilisent une zone spécifique au traitement des couleurs”.
Les controverses scientifiques sur les effets réels du bilinguisme sur le cerveau sont encore nombreuses, mais, grâce aux travaux de chercheurs comme le professeur Ansaldo, un consensus se dégage pour considérer que le cerveau bilingue serait plus apte au “multi-tasking”: les bilingues (ou multilingues) doivent constamment “inhiber” une des langues au profit de celle dans laquelle ils veulent s’exprimer à un moment donné.
Ana Ines Ansaldo sera interviewée par Fabrice Jaumont, le 3 novembre à 12 pm à l’occasion du Salon de l’education bilingue. Inscriptions ici.
Le Salon de l’Education bilingue se tiendra de 10am à 4 pm le 3 novembre à Fordham University (Lincoln Center). Achetez vos tickets à tarifs réduits ici (nécessaire pour pouvoir assister aux conférences).
Le programme des conférences:
11am: “Fostering bilingualism at home”, panel discussion.
12 pm: “The Benefits of a Bilingual Brain” “fireside chat”: Ana Ines Ansaldo, interviewée par Fabrice Jaumont.
2 pm: “Launching an Italian DL program in Manhattan”
Plus de 60 exposants seront là, représentant six langues: écoles, activités péri-scolaires, libraires, éditeurs… pour vous aider à vous y retrouver dans les offres de plus en plus nombreuses en matière d’éducation bilingue (liste des exposants ici).
Le Salon de l’Education bilingue de New York est soutenu par le Lycée Français de New York (lead sponsor), Canal + International, XL Airways, la FASNY, The Ecole, le Lyceum Kennedy, Lunii, les Services culturels de l’Ambassade de France, la Délégation Générale du Québec et le département de français de Fordham University.
Les étonnantes ressources du cerveau bilingue
Ionesco fait "La leçon" à Redwood City
C’est l’une des pièces emblématiques du “théâtre de l’absurde” de l’après-guerre. “La leçon”, du dramaturge français d’origine roumaine Eugène Ionesco, sera jouée en VF par la compagnie francophone Le Théâtre du Coin au Dragon Theater de Redwood City du 6 au 9 décembre.
Dans cette pièce en un acte, un professeur agressif martyrise un de ses élèves, au point de la tuer. “La Leçon”, écrite en 1950 et créée au Théâtre de Poche Montparnasse en 1951, fait partie des pièces les plus jouées de Ionesco. Elle se présente comme une satyre du monde de l’enseignement.
Le Théâtre du Coin a joué dans le passé plusieurs grands classiques comme “Venise Sous la Neige”, “Le Père Noël est une Ordure”, “Les Révérends” ou encore “Boeing Boeing”.
La patinoire de Bryant Park rouvre ses portes à New York
A vos marques, prêts? Patinez! La patinoire de Bryant Park rouvre au public à partir du samedi 27 octobre à 12pm.
Le parc a vu cette année encore les choses en grand avec une piste synthétique de 1500m2 ouverte tous les jours de 8am à 10pm jusqu’à la fin de la saison. L’entrée à la patinoire est gratuite, la location de patins coûte 20$. La liste complète des tarifs sur leur site internet.
La patinoire de Bryant Park est la pièce maîtresse du Bank of America Winter Village, le marché de Noël de Bryant Park, qui accueillera à partir de samedi plus de 170 boutiques de commerçants et d’artisans locaux.
Le FABCA organise son premier Beaujolais à Austin
Santé ! Le French American Business Council of Austin (FABCA) veut rassembler la communauté française d’Austin autour du Beaujolais Nouveau, le samedi 17 novembre au Headliners Club. C’est la première fois depuis sa création en 2014 que le groupe de business franco-américain organise un tel événement.
Les convives partageront un verre de Beaujolais Nouveau autour d’un buffet d’amuse-bouches. Durant la soirée, la French American Business Council of Austin mettra en avant le parcours de quelques entrepreneurs français ainsi que les derniers développements économiques entre Austin et la France. Les recettes récoltées seront reversées à la FABCA.
Pourquoi les Texans disent-ils que tout est plus gros au Texas ?
“Everything is bigger in Texas”. Cette phrase célèbre fait partie des clichés, mais aussi de la culture et de la fierté de l’Etat à l’étoile solitaire. Pourquoi les Texans affirment que tout est plus gros au Texas ? C’est la question bête de la semaine.
L’expression s’explique d’abord par la taille de son territoire, dont la superficie de 700.000 km2 le hisse à la deuxième place des Etats américains les plus grands, après l’Alaska. Mais la géographie n’explique pas tout. L’expression tire son origine de l’immigration. “Il faut observer cette phrase à travers l’histoire du Texas”, explique Walter Louis Buenger, historien en chef à Texas State Historical Association. Entre 1845 et 1915, des centaines de milliers d’Européens affluent sur les côtes du Texas, dont une grande partie est d’origine allemande.
Les lettres qu’ils envoient à leur famille font alors circuler le mythe d’un Etat vierge immense, inexploré, où tout est possible. Une publicité toute faite pour les compagnies et entrepreneurs qui se servaient de ces missives pleines d’espoir comme outils de propagande auprès de la population. Au XIXe siècle, le Texas est encore largement sous-peuplé (la colonie est composée d’à peine 3.500 personnes en 1825) et les autorités accordent de vastes concessions de terres. Les entrepreneurs recevaient alors des biens pour faire venir des migrants au Texas.
Très vite, les immenses terres texanes commencent à attirer le pays entier. Les journaux de l’époque écrivent sur cet Etat où tout paraît plus facile à cultiver. En 1908, le journal New York Tribune écrit : “Les hommes sont plus forts au Texas, les enfants sont plus sains et les femmes sont plus imposantes. Les fruits et les fleurs poussent plus tôt et durent plus longtemps au Texas”. Un an plus tard, le Los Angeles Herald ajoute : “La terre est si fertile au Texas que tout pousse en plus grande taille qu’ailleurs”.
Le symbole du patriotisme
L’expression n’est pas seulement liée à l’immigration, mais aussi au siège de Fort Alamo, à San Antonio, en 1836. Depuis cet épisode historique de l’histoire du Texas, les noms de Davy Crockett ou Samuel Houston font partie de la culture populaire. “En 1930, le Texas et le reste des Etats-Unis désignaient la bataille d’Alamo comme l’un des moments les plus héroïques de l’histoire américaine. Cette idée d’héroïsme a apporté la preuve, selon les Américains, que tout était plus gros au Texas. Depuis le début des années 1900, cet épisode a pris de l’ampleur dans la culture populaire américaine”, analyse l’historien Walter Louis Buenger.
Aujourd’hui encore, l’expression “Come and take it” scandée par les insurgés lors de la prise du Fort Alamo est utilisée par les Texans pour revendiquer le port d’armes à feu. “La phrase ‘Everything is bigger in Texas’ est une philosophie qui est toujours applicable dans la pensée texane”, conclut Walter Louis Buenger.
L'ancien patron du Stade Français investit dans le rugby à New York
“Nous voulons bâtir un club fort et appuyer le développement d’une ligue en pleine croissance“. Directeur général du Stade Français à Paris de 2011 à 2017, Pierre Arnald a traversé l’Atlantique pour s’offrir le Rugby United New York.
“Je suis l’évolution du rugby aux Etats-unis depuis près de 20 ans“, explique le Français de 48 ans qui avait monté une première entreprise sur le sol américain en 2001. “Ce qui m’a convaincu? Ma rencontre avec Ross Young à New York, le nouveau directeur de la fédération américaine. Il vient d’organiser la Coupe du monde de rugby à 7 à San Francisco. Ca a été une vraie réussite”. Les objectifs à long terme de la ligue américaine ont également rassuré l’entrepreneur français. “Ils ont défini un plan d’action sur les 12 prochaines années, avec l’objectif d’être candidats à l’organisation de la Coupe du monde en 2031“.
Investir dans le rugby aux Etats-Unis reste malgré tout un pari, dans un pays où “l’ovalie” souffre de la comparaison avec le football américain. Une première ligue professionnelle (Pro Rugby) a vu le jour en 2016 avant de disparaitre l’année suivante. En 2017, un nouveau championnat, comptant pour l’heure sept équipes (Major League Rugby) a été créé. Le Rugby United New York de Pierre Arnald intégrera cette nouvelle ligue en 2019. “La saison commence en mars. Nous sommes en train de bâtir une équipe compétitive avec une ossature de joueurs anglais, irlandais et américains”. A moyen terme, le Français souhaite former plus de joueurs locaux. “On espère fédérer une vraie communauté de rugby à New York. Ça passera par la professionnalisation des clubs amateurs, nombreux dans la région, le développement du rugby dans les universités, et la création d’une académie“.
D’ici là, Pierre Arnald va faire des allers-retours entre l’Europe et les Etats-Unis “pour trouver des sponsors et des partenaires”. L’entrepreneur français, qui a investi un million de dollars à New York, estime que son projet peut-être rentable dans cinq ans. “On est une start-up qui se lance. Il ne faut pas avoir la folie des grandeurs, on va chercher à trouver un équilibre financier et à réinvestir l’argent qu’on aura”.
Pierre Arnald pourra compter sur le soutien de la Ligue nationale de rugby française (LNR). L’ancien du Stade Français annonce “la signature d’un accord entre les deux ligues prévu pour décembre”. Concrètement, la LNR va investir dans la ligue américaine et apporter son expérience pour développer le rugby professionnel aux Etats-Unis. “L’objectif est d’arriver dès 2020 à un championnat à 14 équipes comme en France, et pourquoi pas d’envisager un système de conférence avec plus d’équipes à l’avenir”, détaille le Français.
Tous les voyants semblent donc au vert pour Pierre Arnald, qui à la tête de son nouveau club espérera rendre au rugby américain ses lettres de noblesse. “On oublie qu’ils ont été champions olympiques en 1924 après avoir battu la France en finale!”.
Expérience New York, c'est un bon plan par semaine. Pas plus.
Vous verrez, la newsletter Expérience New York, c’est un peu comme le scotch du Capitaine Haddock: une fois qu’on y a touché, on ne peut plus s’en passer.
Chaque vendredi, en partenariat avec French Morning, elle vous propose UN bon plan. Pas plus. UNE seule idée, et après, vous brodez autour. Du vieux cinéma dans le Lower East Side au nouveau concept-store à Williamsburg en passant par le resto de toujours revisité pour une occasion particulière, on vous emmène dans un endroit auquel vous n’auriez pas forcément pensé. Une visite insolite, un autre regard, pour vous faire découvrir ou redécouvrir cette ville qu’on aime tant.
Pourquoi ? Parce que New York, c’est LA ville par excellence qui change tous les jours, la ville qui ne dort jamais. On le lit partout on le sait, on le ressent, on le vit.
New York, c’est surtout la ville où l’on court après le temps. Tout y est tellement excitant qu’on a peur de passer à côté d’un truc exceptionnel … FOMO (“Fear Of Missing Out”) quand tu nous tiens! Et difficile de choisir dans la sélection des 25 plus beaux rooftops, les 75 meilleurs endroits pour manger un hamburger, le top 10 des meilleurs cookies…
Au secours !
Créé par Nadège Fougeras il y a quatre ans déjà, Expérience New York est un compagnon de voyage. Il est votre meilleur ami, il partage avec vous ses secrets.
Avec ses balades et ses “expériences” dans New York, il ravit les touristes aux yeux émerveillés. Et avec sa newsletter hebdomadaire, notre “city guide” arrive encore à surprendre les New-Yorkais de longue date, parfois presque blasés, avouons-le, par l’offre pléthorique de la Grosse Pomme.
Depuis 2017, c’est Elsa de Saignes qui arpente les 5 “boroughs” à la recherche de pépites. Elle en fait des kilomètres sur son vélo tout terrain (parce que l’état des routes est inégal à NYC, mais quel bonheur de se balader, casque vissé sur la tête – safety first – le nez au vent). Suivez le guide et gardez les yeux grands ouverts!
Abonnez-vous et vous pourrez dire “Thank Go(o)d It’s Friday !”
Nadège Fougeras et Elsa de Saignes
The Inner Circle: l'application qui met l'amour au coeur du dating
(Article partenaire) Vous avez l’impression de perdre votre temps sur les applications de rencontre car le “match” parfait demeure introuvable?
Si votre pouce vous fait mal à force de constamment “swiper”, c’est le moment d’effacer toutes les autres “app” de rencontre de votre téléphone, car The Inner Circle garantit de vous trouver des “matches” pertinents. C’est le service de dating par excellence avec une différence. Celle de profils triés sur le volet par leurs équipes, les uns après les autres, grâce à un processus de sélection exigeant. The Inner Circle assure ainsi de trouver des profils complets, détaillés et authentiques.
En créant une communauté de personnes partageant les mêmes envies, et qui se trouvent à la même étape dans leur vie, l’app assure que vos chances de rencontrer la perle rare sont bien plus élevées. En d’autres mots, ils privilégient la qualité à la quantité.
Vous restez un “swipeur” invétéré? L’application The Inner Circle vous permet de continuer à swiper et à chercher par géolocalisation, mais propose également une approche beaucoup plus simple pour vous connecter à quelqu’un, en vous offrant la possibilité de lui écrire directement, plutôt que d’attendre un potentiel match après avoir “liké” 100 profils.
Mais ce n’est pas le seul avantage de The Inner Circle. En organisant des événements exclusifs chaque mois dans le monde entier, vous pourrez rencontrer vos “matches” dans la (vraie) vie, ou simplement profiter d’une soirée excitante dans un endroit incroyable, le tout entouré(e) de centaines de célibataires…
Vous êtes prêts à rencontrer des personnes aussi incroyables que vous? Inscrivez-vous gratuitement à The Inner Circle et commencez votre histoire d’amour.
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Note: les “articles partenaires” ne sont pas des articles de la rédaction de French Morning. Ils sont fournis par ou écrits sur commande d’un annonceur qui en détermine le contenu.
Jean Darbo, 11 ans et déjà sur les traces de Michael Phelps
Derrière son regard espiègle et son sourire timide se cache un redoutable compétiteur. A tout jute 11 ans, Jean Darbo ne mesure pas sa combativité quand il s’agit de natation. “J’aime que le gagnant soit celui qui arrive le premier, et non comme en gymnastique où il est départagé par des points.” Et le jeune Franco-Kazakhe l’a démontré lors de la Far West International Championship à Roseville -du 7 au 11 août dernier-, une compétition qui rassemble les meilleurs jeunes nageurs de treize comtés de Californie.
Il a réalisé un meilleur temps au 100 m papillon (1’9″00) que Clark Kent Apuada (1’9”38). Ce dernier avait fait la Une des médias américains deux semaines plus tôt en battant à Moraga (Californie) le record établi en 1995, au même âge et dans les mêmes lieux, par un certain Michael Phelps, le sportif américain le plus médaillé des Jeux olympiques.
Depuis, ses camarades du club de Vision Swim à Sherman Oaks le surnomment “Batman” -le concurrent de Superman. “Il y a eu un emballement médiatique autour de cette histoire”, avoue Igor Darbo, son père producteur de cinéma, très fier. Il rappelle que son fils “a gagné cinq autres médailles d’or dans les relais. Et ce n’est que la deuxième année qu’il participe à cette compétition.”
Enchaînant six entraînements hebdomadaires, à raison de deux heures par séance, le collégien veut aller toujours plus loin, toujours plus vite. Participer aux Jeux Olympiques de Paris en 2024 ? Ce n’est pas suffisant. “Je veux les gagner sous les couleurs françaises, argue-t-il dans un français timide, et faire mieux que Mehdy Metella, arrivé sixième à Rio.” Le nageur français, qui est comme Jean Darbo un spécialiste du 100 m papillon, est son modèle.
Une famille de globe-trotteurs
Né en Chine, où il a appris ses premiers mouvements de natation à 3 ans, il a vécu au Costa Rica avant que ses parents (sa mère était diplomate à l’ONU) ne choisissent de déménager à Los Angeles en 2015 pour se lancer dans l’industrie cinématographique.
Quel que soit le lieu, ses parents remarquent que leur fiston n’aime pas le foot, comme eux. “Il a toujours été à l’aise dans l’eau, même les ondulations du papillon lui sont venues très vite, se souvient Igor Darbo. Dès l’âge de 5 ans, il réclamait de faire des courses mais il était trop jeune. Il a fallu attendre ses 7 ans.” Soutien indéfectible de son fils, le producteur reste tout de même prudent et veut que Jean conserve une vie “normale“, réussisse sa scolarité. “Il est d’ailleurs dans l’académie de mathématiques, une option.” Pas de quoi calmer les ardeurs du jeune nageur qui aspire à s’entraîner toujours plus, voire s’améliorer dans d’autres nages comme la brasse qu’il juge “très esthétique”. “Tu dois énormément travailler si tu veux devenir professionnel”, assure le jeune champion.
Pour cela, la famille saisit toutes les opportunités. L’an dernier, le collégien a suivi un stage près de Narbonne avec l’un des assistants de Philippe Lucas, l’ancien mentor de Laure Manaudou.
En attendant, il continue de s’entraîner dans son club, non loin de son collège à Sherman Oaks. L’air strict, mais le regard sympathique, le coach Harris fait travailler le jeune Français sur la technique. Il avoue admirer “la coordination des mouvements” de son poulain, “très mature pour son âge”. “La question n’est pas de savoir s’il attendra les nationales et les JO, mais de savoir à quel âge.”
Soirée cinéma spéciale Halloween, frissons garantis sur Canal+ international !
(Agenda Partenaire) Le célèbre Trick or Treat n’est pas votre tasse de thé? Pour cet Halloween, Canal+ International vous offre l’opportunité de célébrer pleinement cet évènement en famille* ou avec des amis directement depuis votre canapé avec une soirée en HD et sans publicité entièrement dédiée à l’Horreur. Alors éteignez les lumières, et frissonez devant ILS dès 8PM EST. Puis pour finir la soirée en beauté, profitez d’une collection de cinq courts métrages fantastiques présentés par Kevin Ramzy exclusivement disponibles sur DIRECTV.
Suivez tout d’abord la terrifiante histoire de Lucas et Clémentine, un couple trentenaire expatrié en Roumanie, qui habite depuis peu une maison isolée en banlieue de Bucarest. Elle, professeur de Français, lui, romancier, vivent un bonheur paisible… Pourtant, un soir, dans leur maison, tout va basculer… La pluie battante fait rage à l’extérieur… Le téléphone retentit, des voix lointaines au bout du fil… incompréhensibles.
Le couple n’est pas seul… Le cauchemar commence… ILS sont là…
Puis profitez de La collection: Ecrire pour le Fantastique, qui propose cinq courts métrages appartenant au genre fantastique. Portés par de jeunes auteurs et réalisateurs, ces courts métrages imposent des univers riches et distincts. Au programme,des doigts magiques, une transhumance de zombies, des familles décomposées, des téléphones meurtriers et des surfeurs écervelés !
“ILS”, “La collection: Ecrire pour le fantastique” et beaucoup plus bientôt diffusés sur Canal+ International, exclusivement sur DIRECTV aux États-Unis.
*Film déconseillé aux moins de 12 ans.