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Pourquoi investir dans l’immobilier locatif à Paris ?

(Article partenaire) Acheter pour louer a toujours été un projet attractif. Aujourd’hui plus qu’avant.

Pour les investisseurs expérimentés, placer de l’argent dans l’investissement locatif n’est plus une décision à remettre en cause. D’ailleurs, selon la dernière étude que le Crédit Foncier a réalisée, le marché de l’investissement locatif français connaît une forte hausse depuis cinq ans. Si en 2013, les logements construits pour être ensuite loués représentaient 13,4% des logis bâtis, ce chiffre est passé à 15,5% en 2018. En France, 68% des particuliers préfèrent placer leurs épargnes dans l’immobilier. Pour le 1er semestre 2018, 93% des investisseurs locatifs sont heureux de leur investissement dans la pierre.

Comme à Tokyo, Londres, New York, l’immobilier coûte cher à Paris. Malgré tout, la capitale française reste une ville intéressante pour les investisseurs immobiliers. Paris enregistre une très forte demande locative. Dans le chef-lieu de la région Île-de-France, les loyers sont élevés, ce qui est extrêmement intéressant pour ceux qui souhaitent se lancer dans l’investissement locatif dans cette ville.

Paris, pour un placement immobilier sûr et rentable

Le marché immobilier de Paris a toujours séduit les investisseurs immobiliers. Comptant  2.220.140 habitants en ville et 16,7 millions dans le grand bassin parisien, Paris est la ville la plus peuplée de l’Hexagone. 

Paris bénéficie également d’un fort dynamisme économique. Ces deux points font de Paris un marché ultra-tendu où il n’y a pas suffisamment d’appartements par rapport au nombre de locataires. C’est une excellente nouvelle car cela permet d’éviter les vacances locatives.

De plus, la taxe foncière parisienne est très faible. Elle représente environ 10 à 15 jours de loyer. En moyenne, en France, elle représente en moyenne 30 jours de loyer. Pour les investisseurs immobiliers avérés, placer de l’argent dans un bien immobilier à Paris, c’est réaliser un investissement sûr et rentable.

Un autre point positif est, qu’à Paris, le loyer ne cesse d’augmenter. Alors, pour ceux qui souhaitent optimiser la valorisation de leur patrimoine sur le long ou court terme, il faut penser à privilégier l’investissement locatif à Paris.

La ville accueille aussi un grand nombre d’étudiants qui viennent de toute la France, mais aussi des quatre coins du monde.

Enfin, la fiscalité des revenus locatifs est attractive. Surtout le régime LMNP, qui permet de ne pas payer d’impôts sur les revenus locatifs pendant 5 à 10 ans selon les variables de l’opération.

A Paris, le ticket d’entrée est d’environ 170.000€.Investissement Locatif a été fondé en 2011 par Mickael Zonta. La société regroupe tous les métiers nécessaires pour accompagner les investisseurs dans toutes les étapes de leurs projets immobiliers. Cela, sans avoir besoin d’être sur place.

La société s’occupe de la recherche de bonnes affaires grâce à des chasseurs immobiliers, de la représentation chez le notaire, du suivi des travaux d’aménagement, de la prise en charge de l’ameublement et de la décoration réalisés par des architectes d’intérieur, de la location et de la gestion. La société Investissement Locatif peut également vous accompagner pour la recherche de financements. Vous pouvez investir 100% à distance.

Contact:

Screen Shot 2017-07-10 at 9.07.54 AMMickael Zonta, dirigeant de la société Investissement Locatif

Contactez Mickael ZONTA et son équipe :

Groupe Investissement Locatif – 169 rue de la Roquette, Paris 75011

www.investissement-locatif.com
[email protected]// +33 (0)1 84 17 67 60
Skype : mickaelzonta

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Note: les “articles partenaires” ne sont pas des articles de la rédaction de French Morning. Ils sont fournis par ou écrits sur commande d’un annonceur qui en détermine le contenu.

Le E-1, visa du commerce

Quand on dit “Ambassade des Etats-Unis en France“, on pense à une salle remplie de gens stressés qui attendent que leur numéro soit appelé en se demandant s’ils tomberont sur un agent gentil. Pas François Foulquier. “Pour le E-1, on est convoqué l’après-midi. La salle était vide. Je suis rentré et on m’a tout de suite pris. L’agente m’a posé des questions. Elle était super sympa. Il n’y a pas eu de pièges. Pour les visa E-1, ils aiment bien être au calme pour regarder les dossiers en profondeur“.
A la différence du E-2, accordé aux investisseurs étrangers, le visa E-1 est donné aux individus qui participent aux échanges commerciaux (services, biens, finance, tourisme…) avec les Etats-Unis. Plusieurs conditions générales sont nécessaires pour l’obtenir: le demandeur doit être issu d’un “pays avec lequel les Etats-Unis ont un traité commercial ou de navigation“, selon l’USCIS. L’entreprise du demandeur doit être en mesure de prouver qu’elle réalise des échanges “substantiels” – c’est-à-dire “continus” et impliquant des transactions “de taille conséquente” – avec les US. Le business avec les Etats-Unis doit représenter plus de 50% du volume des transactions réalisées par l’entreprise en question.
Cela n’a pas été difficile à prouver pour François Foulquier. L’Orléanais est venu aux Etats-Unis pour être directeur national des ventes chez Technobake, une entreprise basée à Saint-Louis (Missouri) qui importe les produits Panibois. Cette société du nord de la France est une référence sur le marché des produits boulangers (planches, moules de cuisson en bois, chaussures spéciales, ustensiles…).
Technobake commercialise aussi les fameuses vestes pour chefs Clément. “Il fallait prouver que je pouvais faire le job mieux qu’un Américain mais aussi montrer le volume d’importation qu’on passait… On avait pris des photos du building, des entrepôts et des produits pour prouver qu’on existait bien. C’était beaucoup de paperasse”.
François Foulquier commence sa carrière à Panibois en alternance en 2013. La marque, peu présente aux Etats-Unis, décide de l’envoyer outre-Atlantique pour développer le marché. “J’avais étudié à Londres, je parlais anglais. Je voulais rester dans l’international. Je n’avais pas les Etats-Unis en tête, même si j’aimais bien le pays. J’avais été en vacances. On avait accueilli un Américain chez nous“, explique-t-il. Son diplôme en poche en 2015, le voilà donc dans un avion en partance pour Saint-Louis, en VIE à Technobake.
Satisfait de son travail, son patron veut l’embaucher. “On a regardé dans quelle case de visa je pouvais rentrer”. Le E-1 paraissait l’option la plus adéquate. Malheureusement, son VIE n’attend pas. François Foulquier doit rentrer en France à la fin de son volontariat. S’en suit une longue, très longue, attente de près d’un an sans savoir s’il allait repartir. “Pour ne pas perdre la main“, il travaille en horaires décalés et traite les demandes à distance. “C’est long à vivre. On est en France mais on ne peut pas s’installer car on doit bientôt repartir“.
En 2017, dix mois de procédure plus tard et un dossier “qui n’est jamais arrivé” à l’ambassade américaine, François Foulquier obtient son E-1 pour une durée de cinq ans renouvelables (tant qu’il travaille pour son sponsor).
S’il retrouve la petite équipe de Technobake avec plaisir, on ne peut pas en dire autant de la ville de Saint-Louis. “C’est au milieu de nulle part, souffle-t-il. Mais les habitants du Midwest sont très accueillants. Je me suis fait des amis qui m’invitent à Thanksgiving. C’est très familial“. De toute manière, il n’est pas souvent au bureau. Sa clientèle de boulangers, pâtissiers, d’hôtels, de casinos et les salons professionnels l’amènent en Floride, Californie et à New York. Outre cette population de professionnels de la restauration, il vise aussi les communautés de “home bakers” américains, très actifs. “Il y a une perspective d’evolution. On a fait +30% quand je suis arrivé. Cette année, on est à +40%. Le marché est énorme“.

Rita Wilson récompensée par les Amis américains de Blérancourt à New York

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Vous l’avez vue dans “Frasier”, “M.A.S.H”, “Sleepless in Seattle” et “My Big Fat Greek Wedding”. L’actrice Rita Wilson pourra bientôt ajouter une nouvelle ligne à son CV: récipiendaire du premier “Anne Morgan Woman of Courage Award”.
Cette récompense sera attribuée le vendredi 9 novembre par les Amis américains de Blérancourt lors du gala de l’association au Colony Club. Ce prix, nommé pour la fille de JP Morgan, qui vint en aide aux populations frappées par la Première guerre mondiale en France, récompense la carrière de l’artiste américaine aux multiples casquettes. En plus d’être devant la caméra, elle a chanté sur Broadway et produit de nombreux films à succès, dont les deux volets de “Mamma Mia”.
Le gala, dont le menu sera concocté par la cheffe du restaurant Benoît Laëtitia Rouabah, servira à lever des fonds pour le Musée franco-américain de Blérancourt, qui retrace l’histoire des relations franco-américaines.

Combien ça coûte de faire du yoga à San Francisco ?

San Francisco n’est pas seulement la capitale de la planète tech, c’est incontestablement la capitale américaine du yoga. À tel point que dans la Fog City, tout le monde sait qui est Lululemon (une marque de vêtement de yoga, pas un cocktail à base de citron). Face à cette profusion de studio de yoga, il n’est pas évident de choisir l’endroit parfait pour poser son matelas.
En classe business : plus de 25 $
Lumières tamisées, bougies disposées sur le parquet, blanchisserie et produits de beauté à disposition des membres… À Ritual Hot Yoga, rien n’est laissé au hasard. En plus de ces services premium, chaque session est assurée par deux instructeurs qui ont la particularité d’être employés à plein temps par le studio. 30 $ la séance, abonnement à partir de 200$/mois. 638 6th Street (Soma) et 49 Kearny Street (Fidi), San Francisco. Site
Sacré  “best studio in SF” par le magazine Vogue, Maiden Lane Studios propose des sessions limitées à douze élèves maximum, pour un coaching quasi-personnalisé. De plus, l’abonnement mensuel donne accès à des cours de pilates et de barre fitness. 25 $ la séance, abonnement à partir de 199 $/mois. 80 Maiden Lane, San Francisco. Site

Et pour un expérience aussi haut-de-gamme qu’originale, optez pour le Ganja yoga. Ces cours popularisés par Dee Dassault, la gourou du yoga sous substance, assurent la relaxation du corps et de l’esprit. Sessions organisées ponctuellement à Oakland et San Francisco, adresse exacte indiquée sur le ticket. À partir de 25 $ la séance. Site
Yoga en classe éco : entre 10 $ et 25 $
Yoga Bikram Nob Hill est studio très convivial et particulièrement chaleureux puisqu’il s’agit d’un type de yoga pratiqué dans un pièce surchauffée et humide : environ 40°C. Le yoga bikram est idéal si vous souhaitez affiner votre silhouette et renforcer les muscles de votre corps. 22 $ la séance, 1336 polk street (Nob Hill), San Francisco, abonnement à partir de 120 $/mois. Site
La majorité des cours proposés par Yoga Flow sont dispensés dans une salle chauffée (environ 35°C). À la différence du bikram yoga qui consiste à effectuer toujours le même enchaînement, le contenu des séances varie selon les professeurs. Certains jouent d’un instrument et chantent, d’autres aiment diffuser leur cocktail d’huiles essentielles.
20 $ la séance, abonnement à partir de 150 $/mois. 1892 Union Street (Cow Hollow) et 385 Ashton Avenue (Ingleside Terraces), San Francisco. Site
Yoga en low cost : moins de 10 $
Vous trouverez pléthore de bons plans sur Groupon, du type 10 classes pour 50 $, ce qui revient à 5 $ la séance. Autrement, l’application Classpass vous permet de faire du yoga trois fois par mois, pour 45 $, à condition d’essayer un nouveau studio à chaque fois.
Pour des séances vraiment bon marché, certains studios fonctionnent sur le principe de la donation tels que Yoga to the people (2973 16th Street à San Francisco et 64 Shattuck Square, à Berkeley) et Yoga Society of San Francisco (2872 Folsom Street, San Francisco). Les adeptes du Namasté donnent 8 $ en moyenne. Petit bémol : les cours sont souvent pris d’assaut. À Yoga to the people par exemple, il n’est pas rare se retrouver à 40 personnes dans la salle, très grande cela dit.

Les étonnantes ressources du cerveau bilingue

Et si les avantages du bilinguisme allaient au-delà des bénéfices évidents (aisance à communiquer dans le monde par exemple)? Si le bilinguisme donnait des avantages “cognitifs”, grâce à un cerveau en quelque sorte sur-entraîné? De nombreuses études scientifiques se sont penchées ces dernières années sur les mystères du cerveau bilingue (ou multilingue).
C’est à un voyage fascinant dans le cerveau bilingue que vous convie la conférence “The benefits of a Bilingual Brain”, donnée lors du cinquième Salon de l’éducation bilingue, le 3 novembre par Ana Ines Ansaldo, une des expertes du sujet, chercheuse et directrice du Laboratoire de Plasticité cérébrale, communication et vieillissement à l’université de Montréal.
Ana Ines Ansaldo a plus d’une raison de s’intéresser au multilinguisme: cinq au moins, le nombre de langues qu’elle parle… Cette Argentine, émigrée au Canada, a voué une large part de sa carrière à l’étude des effets du bilinguisme sur le cerveau. Récemment, en utilisant des techniques sophistiquées d’imagerie chez des sujets âgés, elle a par exemple découvert que les cerveaux d’un bilingue et d’un monolingue s’activent de manière très différente pour réaliser certaines tâches (en l’occurence identifier une couleur, tout en ignorant des informations “parasites”). “Les monolingues activent un réseau très large de différentes zones du cerveau, alors que les bilingues mobilisent une zone spécifique au  traitement des couleurs”. 
Les controverses scientifiques sur les effets réels du bilinguisme sur le cerveau sont encore nombreuses, mais, grâce aux travaux de chercheurs comme le professeur Ansaldo, un consensus se dégage pour considérer que le cerveau bilingue serait plus apte au “multi-tasking”: les bilingues (ou multilingues) doivent constamment “inhiber” une des langues au profit de celle dans laquelle ils veulent s’exprimer à un moment donné.
Ana Ines Ansaldo sera interviewée par Fabrice Jaumont, le 3 novembre à 12 pm à l’occasion du Salon de l’education bilingue. Inscriptions ici.
Le Salon de l’Education bilingue se tiendra de 10am à 4 pm le 3 novembre à Fordham University (Lincoln Center). Achetez vos tickets à tarifs réduits ici (nécessaire pour pouvoir assister aux conférences).
Le programme des conférences:
11am: “Fostering bilingualism at home”, panel discussion.
12 pm: “The Benefits of a Bilingual Brain” “fireside chat”: Ana Ines Ansaldo, interviewée par Fabrice Jaumont.
2 pm: “Launching an Italian DL program in Manhattan”
Plus de 60 exposants seront là, représentant six langues: écoles, activités péri-scolaires, libraires, éditeurs… pour vous aider à vous y retrouver dans les offres de plus en plus nombreuses en matière d’éducation bilingue (liste des exposants ici).
Le Salon de l’Education bilingue de New York est soutenu par le Lycée Français de New York (lead sponsor), Canal + International, XL Airways, la FASNYThe Ecole, le Lyceum KennedyLunii, les Services culturels de l’Ambassade de France, la Délégation Générale du Québec et le département de français de Fordham University.

Ionesco fait "La leçon" à Redwood City

C’est l’une des pièces emblématiques du “théâtre de l’absurde” de l’après-guerre. “La leçon”, du dramaturge français d’origine roumaine Eugène Ionesco, sera jouée en VF par la compagnie francophone Le Théâtre du Coin au Dragon Theater de Redwood City du 6 au 9 décembre.
Dans cette pièce en un acte, un professeur agressif martyrise un de ses élèves, au point de la tuer. “La Leçon”, écrite en 1950 et créée au Théâtre de Poche Montparnasse en 1951, fait partie des pièces les plus jouées de Ionesco. Elle se présente comme une satyre du monde de l’enseignement.
Le Théâtre du Coin a joué dans le passé plusieurs grands classiques comme “Venise Sous la Neige”, “Le Père Noël est une Ordure”, “Les Révérends” ou encore “Boeing Boeing”.

La patinoire de Bryant Park rouvre ses portes à New York

A vos marques, prêts? Patinez! La patinoire de Bryant Park rouvre au public à partir du samedi 27 octobre à 12pm.
Le parc a vu cette année encore les choses en grand avec une piste synthétique de 1500m2 ouverte tous les jours de 8am à 10pm jusqu’à la fin de la saison. L’entrée à la patinoire est gratuite, la location de patins coûte 20$. La liste complète des tarifs sur leur site internet.
La patinoire de Bryant Park est la pièce maîtresse du Bank of America Winter Village, le marché de Noël de Bryant Park, qui accueillera à partir de samedi plus de 170 boutiques de commerçants et d’artisans locaux.

Le FABCA organise son premier Beaujolais à Austin

Santé ! Le French American Business Council of Austin (FABCA) veut rassembler la communauté française d’Austin autour du Beaujolais Nouveau, le samedi 17 novembre au Headliners Club. C’est la première fois depuis sa création en 2014 que le groupe de business franco-américain organise un tel événement.
Les convives partageront un verre de Beaujolais Nouveau autour d’un buffet d’amuse-bouches. Durant la soirée, la French American Business Council of Austin mettra en avant le parcours de quelques entrepreneurs français ainsi que les derniers développements économiques entre Austin et la France. Les recettes récoltées seront reversées à la FABCA.

Voyagez avec Babar au FIAF

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(Agenda partenaire) Petits et grands enfants sont invités à embarquer dans un voyage en musique avec Babar, l’éléphant le plus aimé de France. Source Music présente pour la première fois aux Etats-Unis le spectacle multimédia “The Travels of Babar” mêlant musique et illustrations de Jean de Brunhoff, le papa du personnage.
Trois représentations sont prévues au French Institute Alliance Française (FIAF): le 2 novembre à 7pm en français, le samedi 3 novembre à 2pm et 4pm en anglais. Le promo-code FIAF10 permet aux lecteurs de French Morning de bénéficier d’une réduction de 10%. Les tickets sont en vente à partir de $25.
Le spectacle, joué à guichets fermés à Berlin, a été imaginé par le compositeur new-yorkais Raphaël Mostel. Outre huit musiciens conduits par Neal Goren, une narratrice (Leah Pisar) sera sur scène pour accompagner le public dans ce voyage. La performance du vendredi sera marquée par la présence du fils de l’auteur, Laurent de Brunhoff, qui signera des autographes à l’issue de celle-ci.

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Pourquoi les Texans disent-ils que tout est plus gros au Texas ?

“Everything is bigger in Texas”. Cette phrase célèbre fait partie des clichés, mais aussi de la culture et de la fierté de l’Etat à l’étoile solitaire. Pourquoi les Texans affirment que tout est plus gros au Texas ? C’est la question bête de la semaine.
L’expression s’explique d’abord par la taille de son territoire, dont la superficie de 700.000 km2 le hisse à la deuxième place des Etats américains les plus grands, après l’Alaska. Mais la géographie n’explique pas tout. L’expression tire son origine de l’immigration. “Il faut observer cette phrase à travers l’histoire du Texas”, explique Walter Louis Buenger, historien en chef à Texas State Historical Association. Entre 1845 et 1915, des centaines de milliers d’Européens affluent sur les côtes du Texas, dont une grande partie est d’origine allemande.
Les lettres qu’ils envoient à leur famille font alors circuler le mythe d’un Etat vierge immense, inexploré, où tout est possible. Une publicité toute faite pour les compagnies et entrepreneurs qui se servaient de ces missives pleines d’espoir comme outils de propagande auprès de la population. Au XIXe siècle, le Texas est encore largement sous-peuplé (la colonie est composée d’à peine 3.500 personnes en 1825) et les autorités accordent de vastes concessions de terres. Les entrepreneurs recevaient alors des biens pour faire venir des migrants au Texas.
Très vite, les immenses terres texanes commencent à attirer le pays entier. Les journaux de l’époque écrivent sur cet Etat où tout paraît plus facile à cultiver. En 1908, le journal New York Tribune écrit : “Les hommes sont plus forts au Texas, les enfants sont plus sains et les femmes sont plus imposantes. Les fruits et les fleurs poussent plus tôt et durent plus longtemps au Texas”. Un an plus tard, le Los Angeles Herald ajoute : “La terre est si fertile au Texas que tout pousse en plus grande taille qu’ailleurs”.
Le symbole du patriotisme 
L’expression n’est pas seulement liée à l’immigration, mais aussi au siège de Fort Alamo, à San Antonio, en 1836. Depuis cet épisode historique de l’histoire du Texas, les noms de Davy Crockett ou Samuel Houston font partie de la culture populaire. “En 1930, le Texas et le reste des Etats-Unis désignaient la bataille d’Alamo comme l’un des moments les plus héroïques de l’histoire américaine. Cette idée d’héroïsme a apporté la preuve, selon les Américains, que tout était plus gros au Texas. Depuis le début des années 1900, cet épisode a pris de l’ampleur dans la culture populaire américaine”, analyse l’historien Walter Louis Buenger.
Aujourd’hui encore, l’expression “Come and take it” scandée par les insurgés lors de la prise du Fort Alamo est utilisée par les Texans pour revendiquer le port d’armes à feu. “La phrase ‘Everything is bigger in Texas’ est une philosophie qui est toujours applicable dans la pensée texane”, conclut Walter Louis Buenger.

L'ancien patron du Stade Français investit dans le rugby à New York

Nous voulons bâtir un club fort et appuyer le développement d’une ligue en pleine croissance“. Directeur général du Stade Français à Paris de 2011 à 2017, Pierre Arnald a traversé l’Atlantique pour s’offrir le Rugby United New York.
Je suis l’évolution du rugby aux Etats-unis depuis près de 20 ans“, explique le Français de 48 ans qui avait monté une première entreprise sur le sol américain en 2001. “Ce qui m’a convaincu? Ma rencontre avec Ross Young à New York, le nouveau directeur de la fédération américaine. Il vient d’organiser la Coupe du monde de rugby à 7 à San Francisco. Ca a été une vraie réussite”. Les objectifs à long terme de la ligue américaine ont également rassuré l’entrepreneur français. “Ils ont défini un plan d’action sur les 12 prochaines années, avec l’objectif d’être candidats à l’organisation de la Coupe du monde en 2031“.
Investir dans le rugby aux Etats-Unis reste malgré tout un pari, dans un pays où “l’ovalie” souffre de la comparaison avec le football américain. Une première ligue professionnelle (Pro Rugby) a vu le jour en 2016 avant de disparaitre l’année suivante. En 2017, un nouveau championnat, comptant pour l’heure sept équipes (Major League Rugby) a été créé. Le Rugby United New York de Pierre Arnald intégrera cette nouvelle ligue en 2019. “La saison commence en mars. Nous sommes en train de bâtir une équipe compétitive avec une ossature de joueurs anglais, irlandais et américains”. A moyen terme, le Français souhaite former plus de joueurs locaux. “On espère fédérer une vraie communauté de rugby à New York. Ça passera par la professionnalisation des clubs amateurs, nombreux dans la région, le développement du rugby dans les universités, et la création d’une académie“.
D’ici là, Pierre Arnald va faire des allers-retours entre l’Europe et les Etats-Unis “pour trouver des sponsors et des partenaires”. L’entrepreneur français, qui a investi un million de dollars à New York, estime que son projet peut-être rentable dans cinq ans. “On est une start-up qui se lance. Il ne faut pas avoir la folie des grandeurs, on va chercher à trouver un équilibre financier et à réinvestir l’argent qu’on aura”. 
Pierre Arnald pourra compter sur le soutien de la Ligue nationale de rugby française (LNR). L’ancien du Stade Français annonce “la signature d’un accord entre les deux ligues prévu pour décembre”. Concrètement, la LNR va investir dans la ligue américaine et apporter son expérience pour développer le rugby professionnel aux Etats-Unis. “L’objectif est d’arriver dès 2020 à un championnat à 14 équipes comme en France, et pourquoi pas d’envisager un système de conférence avec plus d’équipes à l’avenir”, détaille le Français.
Tous les voyants semblent donc au vert pour Pierre Arnald, qui à la tête de son nouveau club espérera rendre au rugby américain ses lettres de noblesse. “On oublie qu’ils ont été champions olympiques en 1924 après avoir battu la France en finale!”.

Expérience New York, c'est un bon plan par semaine. Pas plus.

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Vous verrez, la newsletter Expérience New York, c’est un peu comme le scotch du Capitaine Haddock: une fois qu’on y a touché, on ne peut plus s’en passer.
Chaque vendredi, en partenariat avec French Morning, elle vous propose UN bon plan. Pas plus. UNE seule idée, et après, vous brodez autour. Du vieux cinéma dans le Lower East Side au nouveau concept-store à Williamsburg en passant par le resto de toujours revisité pour une occasion particulière, on vous emmène dans un endroit auquel vous n’auriez pas forcément pensé. Une visite insolite, un autre regard, pour vous faire découvrir ou redécouvrir cette ville qu’on aime tant.
Pourquoi ? Parce que New York, c’est LA ville par excellence qui change tous les jours, la ville qui ne dort jamais. On le lit partout on le sait, on le ressent, on le vit.
New York, c’est surtout la ville où l’on court après le temps. Tout y est tellement excitant qu’on a peur de passer à côté d’un truc exceptionnel … FOMO (“Fear Of Missing Out”) quand tu nous tiens! Et difficile de choisir dans la sélection des 25 plus beaux rooftops, les 75 meilleurs endroits pour manger un hamburger, le top 10 des meilleurs cookies…
Au secours !

Nadège Fougeras

Créé par Nadège Fougeras il y a quatre ans déjà, Expérience New York est un compagnon de voyage. Il est votre meilleur ami, il partage avec vous ses secrets.
Avec ses balades et ses “expériences” dans New York, il ravit les touristes aux yeux émerveillés. Et avec sa newsletter hebdomadaire, notre “city guide” arrive encore à surprendre les New-Yorkais de longue date, parfois presque blasés, avouons-le, par l’offre pléthorique de la Grosse Pomme.
Depuis 2017, c’est Elsa de Saignes qui arpente les 5 “boroughs” à la recherche de pépites. Elle en fait des kilomètres sur son vélo tout terrain (parce que l’état des routes est inégal à NYC, mais quel bonheur de se balader, casque vissé sur la tête – safety first – le nez au vent). Suivez le guide et gardez les yeux grands ouverts!
Abonnez-vous et vous pourrez dire “Thank Go(o)d It’s Friday !”


Nadège Fougeras et Elsa de Saignes