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Une discussion pour comprendre les "midterms" à Los Angeles

Le 6 novembre prochain, les Américains retournent aux urnes à l’occasion des élections de mi-mandat: les “midterms”. Si vous êtes perdus, l’association Français du Monde – Los Angeles vous propose le dimanche 21 octobre de venir échanger à ce sujet avec Noémie Taylor-Rosner, diplômée de l’Institut d’Etudes Politiques de Paris, correspondante du journal La Croix sur la côte ouest et collaboratrice de Courrier International aux Etats-Unis. Le rendez-vous aura lieu au Restaurant Philippe The Original (Chinatown).
Tout en dégustant le célèbre “French Dipped Sandwich” de cette institution, vous pourrez vous renseigner sur le fonctionnement de ces élections de mi-mandat et leurs enjeux en Californie et dans le reste du pays.
En Californie, les citoyens seront amenés à élire un nouveau gouverneur et à se prononcer sur une dizaine de questions référendaires, allant de l’encadrement des loyers au financement de logements pour les sans-abris.

Quatre fermes pour cueillir des citrouilles autour de Los Angeles

C’est une tradition à suivre. Pendant la période d’Halloween, les enfants s’adonnent au “pumpkin picking”, une activité bien plus amusante que d’acheter ses citrouilles au supermarché du coin. Autour de Los Angeles, les adresses sont nombreuses. French Morning vous en a sélectionné quatre qui valent le détour.
Mr. Bones Pumpkin Patch, une institution à Culver City

Incontournable depuis 30 ans, cette ferme familiale offre aux enfants des montagnes de citrouilles dans un village dédié (prix variables selon la taille). Ils pourront les sculpter sur place, sous le regard de leurs parents. Mais l’amusement ne s’arrête pas là. Mr. Bones Pumpkin Patch propose également aux plus petits de s’adonner à des balades à poney, se perdre dans un labyrinthe de paille, jouer aux fermiers en caressant chèvres, moutons et canards… Et si vous aimez les “people”, vous pourriez y croiser une star ou deux. Mr. Bones Pumpkin Patch, 10100 Jefferson Blvd, Culver City. Ouvert jusqu’au 30 octobre, de 9 am à 9 pm. Prix : à partir de 15 dollars.
Forneris Farms, la simplicité

Forneris Farms se targue d’abriter les plus belles citrouilles du comté. Situé à San Fernando (à 20 minutes en voiture de Los Angeles), ce marché possède des produits cultivés localement, proposés à la vente jusqu’à la fin du mois. Outre le “pumpkin patch”, l’attrait de cette ferme réside dans son célèbre labyrinthe sculpté dans un champ de maïs. Lors du Harvest Festival, du 29 septembre au 31 octobre, sont également proposés aux petits et grands une promenade dans un tracteur, des ateliers de maquillage et l’accès à un zoo. Forneris Farms, 15200 Rinaldi St., Mission Hills. Ouvert de 9am à 6pm tous les jours jusqu’au 31 octobre. Entrée gratuite.
Pomona Fairflex, la cueillette nocturne

Les Pumpkin Nights de Pomona Fairplex sortent de la classique sélection de citrouilles. Ici, vous vivrez davantage une expérience interactive sur fond de décor constitué de 3.000 citrouilles, toutes sculptées à la main et illuminées, créant huit univers propices à Halloween. Outre ce spectacle exceptionnel, les enfants pourront également personnaliser des potirons, participer à une chasse aux trésors (ces derniers étant cachés par des pirates), admirer les danseurs de feu (à 7 ou 8:15 pm), regarder des artistes sculpter des citrouilles ou assister à la projection du film “Coco” (à 6:30 pm tous les jours). De quoi passer une nuit féerique. Pumpkin Nights, 1101 W. McKinley Avenue, Pomona. Billets de 12 à 20 dollars.Ouvert tous les jours de 5 à 10 pm du 12 octobre au 4 novembre.
Underwood Family Farms, des thèmes détonnants

Toute l’année, la ferme familiale d’Underwood accueille des familles à la recherche de bons produits. Pour son 21e festival des récoltes d’automne, ces producteurs de Ventura voient les choses en grand en ajoutant un labyrinthe de maïs, une maison à base de citrouilles, des spectacles, des artisans et des concerts. Chaque week-end, le lieu est rythmé par un nouveau thème. Les samedi 20 et dimanche 21 octobre seront dédiés aux cow-boys, quand les 27 et 28 octobre seront consacrés aux citrouilles avec de nombreux ateliers. Underwood Family Farms, 3370 Sunset Valley Road, Moorpark. Prix : de 12 à 20 dollars. Ouvert jusqu’au 31 octobre, de 9 am à 6 pm.

Portes-ouvertes à l’Alliance Française de Los Angeles samedi 20 octobre

(Article partenaire) A vos agendas ! L’Alliance Française de Los Angeles ouvre ses portes le samedi 20 octobre de 3pm à 5pm. Venez rencontrer les équipes, tester votre niveau de français, découvrir les activités de l’Alliance Française et participer gratuitement à une classe de français.
Vous découvrirez également le programme de la nouvelle session des classes, qui débutera le lundi 29 octobre.
L’Alliance Française est un acteur central de la francophonie et de la francophilie à L.A.. Avec plus de 65 classes de français chaque semaine, pour tous les âges et niveaux, sept jours sur sept, elle propose des classes thématiques (écriture, “French for actors”, “Current Event Conversation”, littérature française), des ateliers, sans oublier de nombreuses rencontres et événements culturels. Il y a tout pour être heureux à l’Alliance.

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Note: les “articles partenaires” ne sont pas des articles de la rédaction de French Morning. Ils sont fournis par ou écrits sur commande d’un annonceur qui en détermine le contenu.

L'école internationale Tessa est ouverte et veut le faire savoir

Le vacarme du chantier voisin n’a pas suffi à masquer les chansons entonnées par les élèves très motivés de Tessa. Sous le regard de parents pas peu fiers réunis dans la cour de l’école internationale de Hoboken, ils fêtaient, mardi 16 octobre, la Journée des Nations-Unies en présence du maire de la ville Ravi Bhalla, du consul-adjoint Eric Bayer et du directeur des admissions de l’UNIS John Nichols.
Une célébration internationale pour fêter la diversité et le multiculturalisme, mais aussi rappeler que l’établissement est bel-et-bien ouvert. “Comme nous sommes longtemps restés fermés, beaucoup de personnes pensent que nous n’avons pas encore ouvert. Ils commencent seulement à se rendre compte maintenant que cela n’est pas le cas“, raconte Isabelle Bonneau, la fondatrice de Tessa.
Dans les cartons depuis trois ans, Tessa International School a ouvert en janvier après un retard lié à l’obtention des permis de construire. Cela n’a pas empêché l’école de recruter. Cinquante enfants de vingt nationalités sont scolarisés actuellement dans les programmes d’immersion anglais-espagnol et français-anglais proposés aux niveaux Pre-K et Kindergarten. Tessa accueille des enfants dès l’âge de 2 ans.
Elle ambitionne d’ouvrir des classes de primaire dès la rentrée prochaine au Monroe Center, un bâtiment de cinq étages dont elle occupe déjà une partie du rez-de-chaussée. “La primaire est la prochaine grosse étape de notre développement”, indique Isabelle Bonneau.
L’établissement projette également de développer des programmes d’enseignements IB (International Baccalaureate) et espère rejoindre la Mission Laïque Française (MLF), un réseau d’écoles françaises dans le monde qui compte 32 écoles-membres en Amérique du Nord. L’adhésion à la MLF, qui sera décidée le 7 novembre, est “une étape importante” en vue de l’homologation par l’Education nationale, selon la fondatrice. “C’est notre objectif pour les trois ans qui viennent“.

Des jeunes Français brillent aux Oscars des étudiants

Un oiseau vert, mi-autruche mi-dinosaure avec un cri de poule, traversant des péripéties loufoques : ce volatile est issu de l’imagination de cinq anciens étudiants de l’école du film d’animation MoPA à Arles (Marine Goalard, Irina Nguyen-Duc, Pierre Perveyrie, Quentin Dubois, Maximilien Bougeois) qui ont écrit, produit et réalisé le court-métrage “The Green Bird” pour leur projet de diplôme.
Près d’un an après l’avoir achevé, ils ont fait leurs premiers pas sur la scène hollywoodienne le jeudi 11 octobre, en recevant le prix du meilleur film international d’animation des Academy Student Awards, des récompenses décernées chaque année par l’Académie des Oscars pour récompenser les travaux des étudiants. “Quand on l’a appris, on a crié, sauté, on était fous”, se souvient Irina Nguyen-Duc. Ils ne pouvaient espérer telle consécration. “Notre film est archivé avec les plus grands films”, s’enthousiasment les anciens étudiants.
Durant 6 minutes, “The Green Bird” raconte l’histoire d’un oiseau qui, après avoir pondu, vit de nombreuses aventures pour protéger son oeuf. Entre gags et ton loufoque, “cela parle de la maternité, de l’instinct de protection d’une mère”, précise Irina Nguyen-Duc. Le spectateur est happé par la musique, créée à partir de bruits vocaux par Marie Laroche, qui rappelle l’aspect hystérique de l’oiseau.
Une école qui brille à Hollywood
Avec ce prix, qui leur permet d’être éligible à la nomination à la “short list” des Oscars, ils suivent les traces de “Garden Party”, un court-métrage réalisé par des élèves de la promotion précédente de la MoPA. “Cela a créé une émulation positive”, assure Quentin Dubois. Mais l’impact s’arrête là. L’équipe de “The Green Bird” ne veut pas faire la campagne des Oscars dans les mois qui viennent. “On veut laisser vivre le film”, assure Marine Goalard. “La communication, ce n’est pas notre truc”, complète Quentin Dubois, qui comme ses anciens camarades, préfère se consacrer à des projets personnels.
En plus de la récompense et du voyage offert, l’Académie des Student Awards leur a organisé un beau programme. Durant une semaine, ils ont enchaîné les rencontres avec des pontes de la profession -comme le Français Nicolas Marlet qui a créé l’univers de “Dragons” ou la légende de Disney Floyd Norman-, des projections de films et des visites de grands studios. “Le film est notre carte de visite, nous offre des opportunités”, avoue Irina Nguyen-Duc qui n’a pas le rêve américain.
Un rêve sur les bancs des écoles
Malgré leur travail acharné, les nuits blanches à l’école et les “Black Days” à rester bloqués sur la page blanche, le groupe n’avait pas envisagé un tel succès. Car, en plus de l’Oscar, “The Green Bird” a remporté cinq prix et a été nominé une quarantaine de fois. “On ne s’attendait pas à autant, et surtout pas à ce que ça dure”, s’étonne Marine Goalard.
Le court-métrage va poursuivre son envol sur les écrans : il sera notamment projeté, avec une sélection d’autres films d’animation, dans des grands théâtres, des entreprises ou des universités par Ron Diamond. Loin des paillettes, les Français rêvent qu’il soit un jour diffusé dans les écoles françaises.

Le Lycée International de Los Angeles célèbre ses 40 ans en grande pompe

On range les cahiers. Le Lycée International de Los Angeles (LILA) célèbre son 40e anniversaire le samedi 20 octobre, de 4 à 8 pm, sur son campus de Burbank, qui accueille les classes de collège et lycée.
L’occasion de rassembler professeurs, élèves et parents pour une après-mid festive avec des spectacles, un mur d’escalade, un trampoline, un château gonflable et de nombreux stands avec de quoi se désaltérer et se restaurer (avec des glaces et des quiches, entre autres).
Le LILA, école bilingue fondée en 1978, dispose de plusieurs campus : primaire à Los Feliz, Pasadena, West Valley et Orange County, et le secondaire à Burbank. L’établissement homologué accueille 1.100 élèves de plus de 50 nationalités différentes.

Le TLF fait sa rentrée à San Francisco

Le Théâtre du Lycée Français de San Francisco (TLF) fait sa rentrée lui aussi. Le programme de la saison 2019 sera annoncé lors de la soirée d’ouverture, le 2 novembre. A cette occasion, la pièce La main de Leila sera jouée en français.
La pièce mise en scène par Régis Valley, avec Aïda Asgharzadeh, Kamel Isker et Aziz Kabouche, a connu deux nominations aux Molières 2018 : “Meilleur Auteur Francophone” pour les deux auteurs Aïda Asgharzadeh et Kamel Isker et “Révélation Féminine” pour l’actrice Aïda Asgharzadeh.
1987, en Algérie, Samir rejoue les scènes de baisers cultes du cinéma que le pays censure, dans un garage transformé en salle de spectacle. Deux règles sont à respecter dans ce cinéma le plus illégal du pays : l’identité de Samir reste secrète et les femmes ne sont pas acceptées. Jusqu’au jour où Leïla s’immisce dans le public.

11 excuses très New York pour éviter les "squatteurs" de France

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Les vacances françaises approchent. Tout à coup, vos “amis” de France se souviennent que vous habitez à New York. Heureusement, vous serez prêts à les recevoir. Voici quelques bonnes excuses pour faire fuir les “squatteurs”.
Je vis dans un placard. Je ne peux loger personne. Désolé.

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J’ai des tickets pour Hamilton le soir où vous arrivez. C’est dommage.

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Mon colocataire n’aime pas les gens

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Mon colocataire est fou

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Mon colocataire est fou, il n’aime pas les gens et il a un chat qui sent mauvais

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Mon cousin est en ville

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C’est interdit par le règlement de ma “coop”

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Les tuyaux du radiateur font du bruit et personne ne peut dormir

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J’habite au-dessus d’un bar

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Venez, mais j’ai des souris et des cafards

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Oh, et des bed bugs aussi

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"Black Expressionism": une expo aux couleurs caribéennes à Miami

La Lélia Mordoch Gallery présente une série de portraits de quatre artistes français des Caraïbes à partir du 23 octobre dans l’exposition “Black Expressionism from the Caribbean Today”.
Les oeuvres de Robert Charlotte, Mirtho Linguet, Sébastien Mehal et Shirley Rufin mêlent photographie, peinture et collage. Elles interrogent “les liens entre l’art contemporain caribéen et l’expressionnisme d’un point de vue esthétique et social, mettant en avant leurs nombreux points commun”, explique la galerie dans un communiqué publié par les services culturels de l’Ambassade de France aux Etats-Unis.
C’est la première fois que quatre artistes caribéens sont réunis dans une exposition sur le thème de l’expressionnisme. Après avoir déjà exposé les photos de Sébastien Mehal, la Lélia Mordoch Gallery a découvert les trois autres artistes au festival Tout-Monde organisé en mars par les services culturels de l’Ambassade de France.
L’exposition “Black Expressionism from the Caribbean Today” est gratuite et visible jusqu’à la fin du mois de novembre.

Que faire à Miami pour Halloween ?

Jouer à se faire peur, regarder un film d’horreur ou écouter des histoires donnant la chair de poule, les activités pour célébrer Halloween sont nombreuses à Miami.
Parcourir le cimetière de Miami de nuit

halloween à miami
© Miami City Cemetery

Pour plonger dans l’esprit d’Halloween, direction le cimetière de Miami. HistoryMiami Museum organise une visite guidée des lieux à la tombée de la nuit (vendredi 26 octobre de 8pm à 10pm). Tandis que vous vous faufilerez parmi les pierres tombales, votre guide vous contera des histoires à glacer le sang sur les résidents célèbres des lieux dont Julia Tuttle, l’une des fondatrices de Miami, ou encore l’Amérindien Jack Tigertail, dont le meurtre reste non élucidé. Miami City Cemetery – 1800 NE 2nd Ave, Miami – Infos et réservations ici
Jouer à se faire peur dans une maison hantée
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© House of Horror Haunted Carnival

Pour une bonne dose de sueurs froides, House of Horror Haunted Carnival, un parc d’attractions éphémère autour du thème de l’horreur installé près de l’aéroport, propose de nombreux manèges et attractions, dont plusieurs maisons hantées (jusqu’au samedi 3 novembre). Prenez votre courage à deux mains avant de partir explorer leurs couloirs sombres où vous rencontrerez les fantômes de leurs anciens occupants. Frissons garantis. House of Horror Haunted Carnival – 1455 NW 107th Ave, Miami – Infos et réservations ici
Regarder un film d’horreur en plein air
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Les cinéphiles courageux, amateurs d’épouvante, pourront assister à la projection nocturne du film « La Nuit des morts-vivants » de George Romero sur grand écran au Soundscape Park de Miami Beach (mardi 31 octobre à 8pm). Apportez simplement du pop-corn et installez-vous confortablement dans l’herbe avant de trembler d’effroi devant ce classique de l’horreur. Soundscape Park – 400 17th Street, Miami Beach – Infos ici
Enflammer la piste de danse
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© Wynwood Fear Factory

Si vous êtes à la recherche d’une soirée endiablée où danses envoûtantes, costumes effrayants et cocktails sanguinolents sont au rendez-vous, ne manquez pas le festival Wynwood Fear Factory. Cet événement, qui rassemble près d’une vingtaine de DJs, se tiendra sur deux jours (vendredi 26 et samedi 27 octobre) au Mana Wynwood Warehouse, dans le quartier du street art de Miami. Mana Wynwood Warehouse – 318 NW 23rd St, Miami – Infos et réservations ici
Admirer une effrayante parade canine
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Pour Halloween, les chiens ont aussi droit à leur déguisement. Clowns maléfiques, sorcières et vampires à quatre pattes accompagnés par leurs maîtres tout aussi terrifiants envahiront le Pinecrest Gardens, dans le sud-ouest de Miami, à l’occasion du festival Howl-O-Ween (dimanche 28 octobre de 12pm à 5pm). Au programme : de la musique, des ateliers de décoration de citrouilles, sans oublier un concours de costumes pour chiens. Pinecrest Gardens – 11000 Red Rd, Pinecrest – Infos et réservations ici
Quémander des bonbons aux pompiers, sans leur jeter de sort
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© Miami Beach Fire Department

Le soir d’Halloween, à l’occasion de la traditionnelle collecte de friandises, les casernes de pompiers de Miami Beach ouvrent leurs portes au public pour un « no tricks, just treats » (mardi 31 octobre de 7pm à 9pm). Petits et grands pourront en profiter pour prendre une photo avec les soldats du feu assis au volant de leurs célèbres camions rouges. Miami Beach Fire Rescue – Station 1, 1051 Jefferson Ave – Station 2, 2300 Pine Tree Dr – Station 3, 5303 Collins Ave – Station 4, 6880 Indian Creek Dr

Fêtez le Beaujolais Nouveau 2018 à Washington DC

Il arrive. L’ambassade de France à Washington DC débouche le Beaujolais Nouveau autour d’un bon buffet français, le vendredi 16 novembre à la Maison Française.
Les convives pourront profiter de Beaujolais Nouveau en “open bar” et de plats préparés par les chefs de l’Ambassade de France et des toques locales. Du pain, du fromage et des pâtisseries françaises sont aussi au menu. Les peintures de l’artiste français Stéphane Koerwyn seront exposées dans la Maison Française. La soirée se poursuivra avec un DJ qui fera danser les invités sur des tubes américains et français dans un décor de lumières “spectaculaire”, selon les organisateurs. Idéal pour brûler les calories.
 

Reine Paradis trône sous une lune bleue à Miami

(Article partenaire) Expatriée à Los Angeles depuis six ans, l’artiste française pluridisciplinaire Reine Paradis fait le déplacement jusqu’à Miami pour présenter son nouveau projet photographique « Midnight » du 18 au 25 octobre à la galerie Markowicz Fine Art implantée à Design District.
Avec des décors ultra-colorés et surréalistes ainsi qu’une mise en scène réglée comme du papier à musique, Reine Paradis invite à la curiosité et à l’évasion dans un univers où la frontière entre le réel et l’imaginaire est souvent floue. « Ce projet est très représentatif de ce que je suis réellement », indique la Française de 29 ans, diplômée de l’école des Gobelins à Paris. « Mon imagination est sans limite, je suis une grande rêveuse qui aime créer son propre monde et inciter chacun à en faire partie ».
Chaque photographie, représentant des scènes parfois burlesques et loufoques, est réalisée suivant un procédé minutieux. « Quand une scène me vient à l’esprit, avant de pouvoir la transposer en photographie, je réalise une maquette qui me sert de référence afin de reproduire fidèlement ma vision initiale », précise Reine Paradis qui, pour chaque situation, se met elle-même en scène. « C’est le meilleur moyen d’exprimer ma créativité et j’ai aussi besoin de vivre pleinement chaque scène afin de ressentir un sentiment d’achèvement une fois le cliché réalisé ».
Soucieuse du moindre détail, la Française confectionne par ailleurs les costumes ainsi que les éléments de décor et prend surtout le temps d’effectuer ses repérages afin de dénicher le cadre idéal pour chacune de ses photographies. « J’affectionne un léger sentiment d’insécurité et ce sont souvent des lieux dangereux comme les toits d’un bâtiment ou parfois difficiles d’accès comme une piste d’atterrissage, confie-t-elle. Il est très important que je sois sur place et non pas dans un décor de studio car, au-delà d’ajouter de l’adrénaline à mon projet, cela permet aussi d’exprimer plus de sensations grâce à la vision de mon corps qui parfois se crispe naturellement ».
Réalisées par son mari Carl Lindstrom, les photographies de sa série « Midnight » se distinguent également par leur couleur flamboyante. « Le shooting se déroule aux alentours de midi pour bénéficier d’une lumière intense, indique Reine Paradis. Et en post-production, je joue sur la saturation du bleu afin de créer des clichés donnant l’impression d’avoir été réalisés sous une lune bleue ». Un projet artistique qui se veut chromatique et qui se révèle être par ailleurs introspectif pour la jeune Française. « C’est assez nouveau pour moi et je ne sais pas encore comment l’expliquer mais je m’aperçois que chaque photographie à un lien avec mon enfance, que ce soit les lieux ou les objets utilisés, raconte-t-elle. Tout ceci est réalisé de façon inconsciente mais je pense que mon projet est aussi une sorte de thérapie qui doit m’apaiser intérieurement ».

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Note: les “articles partenaires” ne sont pas des articles de la rédaction de French Morning. Ils sont fournis par ou écrits sur commande d’un annonceur qui en détermine le contenu.