Déménager de New York à Washington D.C., c’est comme passer d’une Ferrari à une Bentley : on change de vitesse.
“Quand je suis arrivé, j’ai bien vu que c’était beaucoup plus calme, ce qui va bien avec les enfants“, confie Frédéric Brillant, le Français de 33 ans qui a intégré D.C. United en décembre 2017 après deux saisons au New York City FC. Le 29 septembre, il fera partie des Francophones que viendront applaudir les supporters de l’Audi Stadium lors du match contre l’Impact de Montréal, une des meilleures équipes de MLS (Major League Soccer). Six joueurs français et francophones participeront à cette rencontre de championnat et les Français de Washington sont invités à y participer par la Chambre de commerce franco-américaine et le Lycée Rochambeau.
Le défenseur, qui a fait ses armes en première et deuxième divisions belge, était un peu “réticent” lorsqu’on lui a proposé le transfert de New York, “surtout par rapport aux infrastructures“. Mais par chance, D.C. United a lancé un projet pour un nouveau stade à Buzzard Point, l’Audi Field, inauguré le 9 juillet.
Vingt-et-un matches plus tard et une blessure à la main, le numéro 13 de l’équipe washingtonienne n’a pas été sélectionné pour les sept derniers matches de D.C. United. Il accepte pleinement la décision de l’entraîneur qui, selon lui, ne va pas changer la composition de l’équipe pour les rencontres à venir. “Il y a une bonne osmose entre les joueurs sélectionnés“.
Il regarde son parcours et y voit “une chance incroyable“. “J’ai joué avec de grands noms, et d’avoir été entraîné par Patrick Vieira était incroyable pour moi“. A-t-il finalement vécu le rêve américain ? “On souhaite toujours faire plus, répond-il avec hésitation, mais je pense que je peux dire avoir vécu mon rêve américain“.
“Je suis arrivé au bon moment pour jouer aux Etats-Unis“, assure-t-il, avec une ligue “qui prend de l’ampleur d’année en année“. Il a remarqué l’engouement des Américains pour le “soccer“, surtout pendant la Coupe du Monde. Depuis son arrivée à New York en 2016, “la passion du football a grandi d’une manière incroyable” au pays de l’Oncle Sam.
Entre deux entraînements, il en profite pour parcourir la ville avec sa famille. “Au mois de septembre, j’ai eu beaucoup de visites, alors on en profite pour continuer à découvrir la ville, faire le tour des mémoriaux“, raconte-t-il. Sa famille a profité de l’été pour se rafraîchir au bord de l’eau : “on aime passer du temps le long du Potomac quand il fait chaud“, glisse-t-il.
Dès qu’il le peut, il en “profite à fond pour visiter les Etats-Unis“. Après s’être promené dans de nombreuses villes -Toronto, Miami, Los Angeles, Portland, Seattle-, son coup de coeur reste New York. “C’est la ville qui ne dort jamais, j’aime son immensité, c’est un endroit qui restera à jamais gravé“.
Frédéric Brillant : "J'ai vécu mon rêve américain"
Jain chante son nouvel album à San Francisco
Elle ne peut pas se passer de San Francisco. Et la réciproque est vraie d’ailleurs. La chanteuse française Jain débarque le mercredi 10 octobre pour un concert à Mezzanine.
La Toulousaine, qui a grandi entre plusieurs pays, est connue pour son hit “Come”, qui figurait sur son premier album “Zanaka” sortir en 2015. La disciple du chanteur français Yodelice en a fait du chemin depuis. Sacrée meilleure artiste féminine de l’année aux Victoires de la musique 2017, elle a sorti en août son deuxième album, “Souldier”, dont le nom est inspiré de la fusillade dans une boite de nuit LGBT d’Orlando en juin 2016. Le massacre a fait 49 morts. A travers certaines de ses chansons (“Flash-Pointe Noire” et “Abu Dhabi”), elle revient également sur son enfance aux quatre coins du monde, véritable signature de cette artiste qui fait fi des frontières.
À New York, Ba&sh ouvre sa "boutique de rêve"
Chaque femme peut avoir envie de farfouiller dans la penderie d’une copine et de lui emprunter une robe, le temps d’une soirée. Un point qui n’a pas échappé à Barbara Boccara et Sharon Krief, les fondatrices de Ba&sh. La marque française de prêt-à-porter ouvrait, jeudi 20 septembre, sa nouvelle boutique new-yorkaise au coeur de Nolita.
À l’entrée, un olivier et une balançoire font un petit clin d’œil à Ibiza, le lieu de prédilection des deux copines françaises qui ont fondé Ba&sh ensemble il y a 15 ans. Elles aiment y passer quelques mois chaque année pour concevoir leurs collections.
Au cœur de l’établissement, des tenues colorées dans l’esprit de Ba&sh, habillent les murs. Ceux-ci sont aussi recouverts de quelques citations « girly », pour compléter la décoration chaleureuse de la boutique. « Chaque élément de la boutique est une partie de nous. Nous avons d’ailleurs choisi ce quartier car nous le fréquentons beaucoup. Il y a pas mal de petites boutiques vintage sympa », explique Barbara Boccara.
« Nous avons tenté de donner forme au magasin dont (les deux amies) ont toujours rêvé. Il s’agit de leur boutique de rêve », résume Sarah Benady, PDG Amérique du Nord de Ba&sh.
Pour cette nouvelle boutique, la cinquième aux Etats-Unis et la troisième à New York, les fondatrices ont voulu tester un concept basé sur “l’amitié”. Tous les vendredis de 5pm à 7pm, chaque cliente aura le droit d’emprunter une pièce de la collection le temps d’un week–end. Le pressing sera pris en charge par la marque. Les clientes auront également la possibilité de siroter un cocktail durant la sélection de leur pièce lors d’un happy hour hebdomadaire, le vendredi. Le but est qu’elles se sentent chez Ba&sh comme à la maison.
Barbara Boccara et Sharon Krief ont aussi souhaité faire profiter ce nouveau concept à d’autres marques: « Nous disposons d’un corner dans notre boutique et chaque mois, nous allons travailler avec un partenaire différent qui n’est pas encore très présent aux États-Unis. Nous souhaitons leur faire profiter de cet espace pour qu’ils puissent se faire connaître à New York », précise Sarah Benady.
Une place de choix
New York reste une ville cosmopolite. Il s’agissait par conséquent d’un choix stratégique pour la marque dont le capital est détenu à 50% par LVMH depuis 2015. « Il s’agit d’un endroit idéal pour tester un concept que nous souhaiterions proposer dans d’autres grandes villes, dans lesquelles nous sommes aussi présents », explique Sarah Benady.
Ba&sh est présent sur le marché américain depuis un peu plus de deux ans. Un rêve devenu réalité pour les deux fondatrices. Depuis, la marque remporte un franc succès: « Nous proposons des vêtements de luxe abordables. Notre marque est aussi très complète : on présente tout du jeans jusqu’au pull, alors que beaucoup d’enseignes aux États-Unis ne sont que mono-marques », poursuit Sharon Kierf. Ba&sh ambitionne d’étendre ce nouveau concept à Honk Kong, Londres puis Paris.
OrelSan: "La musique, c'est de la fiction"
La fête est finie au Canada. Mais elle recommence dès lundi 24 septembre à Boston. Le rappeur français OrelSan s’apprête à enseigner les bases, comme dans sa chanson “Basique”, à son public américain pour quatre dates (Boston, New York, Los Angeles et San Francisco). « Je suis content de m’exporter. Il y a une grosse part de fun, c’est un peu le rêve américain », confie Aurélien Cotentin, de son vrai nom.
L’artiste caennais s’est fait connaître sur Internet en 2007 pour les mauvaises raisons. Les paroles sexistes et misogynes dans certaines de ses chansons comme “Sale Pute” ou “Saint-Valentin” lui ont valu en 2009 des poursuites en justice pour “injure” et “provocation à la violence” de la part d’association féministes. Après des années de procédure et de rebondissements, OrelSan a été relaxé par la cour d’appel de Versailles en 2016 au motif de la liberté d’expression.
Le rappeur dit être passé à autre chose. « Tu ne racontes pas la même chose à 22 qu’à 36 ans. La musique, c’est de la fiction. C’est important de pouvoir être libre dans son écriture ».
L’enfant terrible du rap a grandi donc, et s’est hissé au sommet de la musique française. “J’aime bien évoluer, j’aime faire des choses différentes”. Son dernier album « La fête est finie » a fait l’effet d’une bombe dans l’industrie musicale. Il a été certifié disque d’or et trois fois disque de platine en un mois. Le rappeur a su bien s’entourer. Stromae, Nekfeu, Maitre Gims ont apporté leur touche à ce troisième album du chanteur. Et ça n’est pas passé inaperçu. En février, il remporte trois Victoires de la musique, dont le trophée du meilleur artiste masculin de l’année.
“Je ne fais pas de la musique pour gagner des prix”, dit-il néanmoins. Il fait fi des critiques qui ont refait surface après la cérémonie des Victoires de la musique. “Je suis très content d’avoir gagné ces trophées. Je n’en garde que le meilleur”.
Après avoir démarré sa tournée au Canada, OrelSan descend sur la Côte Est des Etats-Unis pour enflammer Boston et New York avant de se diriger vers San Francisco et Los Angeles (dates en encadré). C’est la première fois qu’il se produit aux Etats-Unis. « J’aime bien ce côté conquête d’un nouvel espace, plaisante le rappeur. Le fait d’être loin de la maison, tu sens que les gens sont contents que tu sois là ».
Le rappeur est familier avec le pays de l’Oncle Sam. « J’ai vécu un an en Floride quand j’avais 20 ans. Cette année m’a permis de travailler et peaufiner les titres qu’on a retrouvés dans mon premier album, “Perdu d’avance” ». Sorti en 2008, il avait été certifié disque de platine. Si “70% de ma playlist” est composée d’artistes américains comme Outkast, Andre 3000 et Kanye West, le rappeur reste frileux à l’idée d’écrire un jour dans la langue de Shakespeare. « J’adorerais une carrière à l’internationale, mais je ne me vois pas écrire en anglais par rapport à la culture, au choix des mots. Mais il y a des alternatives qui pourraient être cool ».
“On en attend que du bon. Ce qui est cool dans cette tournée américaine, c’est qu’on joue dans des salles plus petites qu’en France. Il y a un côté intimiste”. Après les Etats-Unis, il continuera sa tournée en France et on espère qu’il “fera beau” comme il le dit si bien avec Stromae dans la chanson “La Pluie”.
"Les Frères Sisters": le western selon Jacques Audiard
Casquette, lunettes, costume bleu et chaussettes rouges. Jacques Audiard s’avance, les bras en l’air victorieux, sur la scène d’une salle de projection du Museum of Modern Art. “On veut me faire croire que c’est un moment normal, mais ce n’est pas un moment normal : on est au MoMA!”, lance-t-il, jouasse, ce jeudi 20 septembre. Le réalisateur français est venu présenter, en compagnie du producteur et acteur John C. Reilly, son dernier film, “Les Frères Sisters”. Il sort ce vendredi 21 septembre en salles.
Un film un peu spécial à plusieurs titres pour le célèbre réalisateur français. Il s’agit de son premier long-métrage en anglais avec un casting américain, constitué de Joaquin Phoenix, John C. Reilly et Jake Gyllenhaal. Pour l’occasion il s’est essayé, avec brio, au western. “Mais c’est aussi la première fois de ma vie professionnelle que je fais quelque chose dont je n’ai pas été à l’origine”, explique Jacques Audiard, qui vient de remporter le Lion d’argent de la Meilleure réalisation à Venise.
Brutes épaisses avec un esprit raffiné
Le film est inspiré d’un roman de Patrick DeWitt, publié en 2011. L’histoire est celle de deux frères, les Sisters (joués par Joaquin Phoenix et John C. Reilly), tueurs à gage redoutables qui se lancent aux trousses d’un chimiste chercheur d’or (Riz Ahmed) dans les Etats-Unis des années 1850. On y retrouve des thèmes chers au cinéma de Jacques Audiard : les personnages masculins y sont violents et virils mais également sensibles et en proie au doute. “Ce sont des brutes épaisses mais ils ont une pensée raffinée et douce. C’est ce contraste que j’ai trouvé intéressant”, explique le lauréat de la Palme d’or en 2015 pour “Dheepan”.
L’idée de transformer ce roman en film est née dans l’esprit de John C. Reilly, qui raconte avoir dévoré le livre en quelques heures. Il a aussitôt pensé à Jacques Audiard pour prendre les rênes du projet, même si les deux hommes ne s’étaient jamais rencontré. “Jacques Audiard voit ce qui est vrai, ce qui est juste. C’est le plus grand détecteur de ‘bullshit’ que j’aie jamais vu”, s’explique John C. Reilly en riant. “Il est donc capable de mettre la vérité en face d’une caméra.”
Le MoMA ne s’y est d’ailleurs pas trompé en consacrant, jusqu’au 20 septembre, une rétrospective au réalisateur d’“Un Prophète”, “De Rouille et d’os” et “De battre mon coeur s’est arrêté”. “Quoi? C’est le dernier jour de l’exposition?”, s’étrangle en plaisantant Jacques Audiard, 66 ans. “Il était indiqué que c’était une rétrospective de mi-carrière. Cela veut alors dire que j’en ai encore autant devant moi!” On l’espère.
Investir dans l’immobilier en France : l’objectif de la rentrée
(Article partenaire) Qui dit rentrée, dit nouveaux projets. Et si vous investissiez ?
Toutes les raisons sont bonnes pour investir et à n’importe quel moment de sa vie : que ce soit pour réduire vos impôts, préparer votre retraite, prévoir une transmission ou encore sécuriser un patrimoine. Alors, voyez septembre comme le moment clé !
Un marché immobilier très dynamique
L’immobilier est un marché en très bonne santé et les rendements peuvent atteindre jusqu’à 7% à Paris et même 10% en Ile-de-France si le projet est bien maitrisé.
Cela fait maintenant plusieurs années que l’immobilier se porte à merveille. Les prix au m² sont en constante augmentation : +6,5% à Paris et même +9,1% à Bordeaux. Malgré une légère hausse des taux d’intérêt de l’emprunt immobilier, ce dernier reste très bas et permet au marché d’être porteur. A la fin du premier semestre 2018, 950 000 transactions ont déjà été effectuées.
Une fiscalité avantageuse pour les investisseurs
En France, un régime fiscal vous permet de ne payer aucun impôt sur vos revenus locatifs. Rien. Zéro. Et ce, pendant environ 10 ans.
L’équipe d’Investissement Locatif sera en charge de vous proposer le régime le plus intéressant afin de rendre votre investissement rentable.
Des solutions possibles pour les expatriés
Investir à l’étranger peut faire peur : vous avez peu de disponibilités, vous ne pouvez pas vous déplacer facilement … Beaucoup de raisons peuvent faire retarder votre projet.
Alors comment investir en France quand on est expatrié ?
Le mieux est de s’adresser à des professionnels ayant l’habitude de travailler avec des expatriés. Cela vous permettra de gagner du temps et d’être sûr de la qualité des démarches. Certains notaires, courtiers s’occupent exclusivement d’expatriés. Et si vous souhaitez déléguer, découvrez notre service d’investissement clé en main.
Le marché de l’immobilier est un marché spécifique et compliqué à appréhender. Il est nécessaire de savoir reconnaitre les opportunités et minimiser le risque d’erreur. Car en immobilier, les erreurs coûtent cher.
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Notre prestation inclut la recherche d’un bien, l’optimisation du plan, le suivi de la rénovation, la décoration et l’ameublement, la location et la gestion locative.
Vous n’avez à aucun moment besoin de vous déplacer puisque les services incluent toutes les démarches comme la représentation chez le notaire.
Mickael Zonta, dirigeant de la société Investissement Locatif
Contactez Mickael ZONTA et son équipe :
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Skype : mickaelzonta
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Coquette levée de fonds pour Launchmetrics, leader du marketing d'influence
Les campagnes buzz de Dior, les showrooms de Porsche, les placements de produits de Levi’s et les posts d’une Instagrammeuse fan de Gucci ont un point commun : Launchmetrics.
La société d’édition de logiciel franco-américaine, leader dans le marketing d’influence, vient de lever 50 millions de dollars auprès de Bpifrance, Seventure, Cipio Partners et Famille C (Famille Courtin-Clarins) pour poursuivre son expansion internationale et doubler ses effectifs (de près de 200 personnes à l’heure actuelle) dans les 24 prochains mois.
Née en octobre 2015 de la fusion entre l’entreprise parisienne Augure et Fashion GPS basée à New York, Launchmetrics propose « d’aider les marques dans le luxe, la beauté et la mode à entrer dans un monde qui est en train d’être bousculé », explique Michael Jais, PDG de l’entreprise de passage à New York pour la Fashion Week qui s’est tenue du jeudi 6 au vendredi 14 septembre.
Concrètement, l’entreprise aide les marques à identifier des influenceurs susceptibles de leur donner de la visibilité, accompagner leurs campagnes marketing (essentiellement des événements et du placement de produit) et à en évaluer les retombées. Launchmetrics recense « de tout » parmi sa clientèle de 1.200 marques. « De la marque mondiale de luxe au designer émergent, en passant par la start-up beauté ou le retailer en ligne », précise-t-il, estimant à 200.000 le nombre de potentiels « talents digitaux » traqués par Launchmetrics sur les réseaux sociaux et les médias en ligne.
L’opération, quand elle est réussie, peut s’avérer juteuse pour les entreprises, qui gagnent en moyenne onze fois ce qu’elles ont investi dans le marketing d’influence, assure Michael Jais. « Et les budgets à mettre en œuvre ne sont pas gigantesques donc, forcément, ça attire beaucoup de monde », ajoute-t-il.
Mal préparées, certaines marques brûlent cependant les étapes, déplore Michael Jais. « Avant de partir bille en tête pour essayer de concurrencer la marque qui les fait rêver et qui leur fait peur, il faut vraiment qu’elles comprennent comment elles sont perçues en réalité, prêche-t-il. Il ne faut pas chercher l’influenceur pour l’influenceur », avertit le dirigeant. « Comme les marques le font traditionnellement pour les autres types de marketing en déterminant une audience, un message, un produit, elles doivent se fixer un objectif ultime et en fonction de cet objectif, identifier quel est le meilleur influenceur. Et pas l’inverse »
5 restaurants pour sortir Emmanuel Macron à New York
Emmanuel Macron vient à New York pour participer à l’Assemblée générale des Nations-Unies. Pour terminer ses journées bien chargées, on lui recommande quelques bonnes adresses qui lui plairont certainement. Et comme il n’a pas peur ni de marcher, ni de traverser les rues ou les avenues, French Morning ne s’est pas limité au quartier de l’ONU.
Traverser la rue pour aller à Ophelia
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On le sait: le président français aime traverser la rue. S’il traverse l’avenue du siège des Nations-Unies, il risque de ne pas trouver grand chose d’intéressant. En revanche, un peu plus au nord, plutôt que d’aller à la Trump World Tower, on lui conseille le rooftop Ophelia et ses vues spectaculaires sur l’East River et Midtown. Le rooftop a ouvert cet été à la place du Top of Beekman, un secret bien gardé de New York où quelques habitués venaient faire le plein de cocktails. 3 Mitchell Place, 49th and 1st Avenue. 212.980.4796. Site
Pierre Lapin, le repaire du “Gaulois réfractaire”
Depuis sa déclaration sur les “Gaulois réfractaires au changement” au Danemark, on se dit qu’il serait intéressant de présenter le président à des restaurateurs américains qui sont bien décidés à ce que la nourriture française ne change pas: au Bistro Pierre Lapin, le chef Harold Moore et sa fiancée Julia font dans le classique, le très classique. Ici, les cuisses de grenouille et les oreilles de cochons sont érigées en stars. Et les clients en redemandent. 99 Bank Street. 212-858-6600. Site
La Mercerie, pour repartir avec la vaisselle
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Le Canard Enchaîné a révélé l’été dernier que l’Elysée avait commandé un nouveau service de porcelaine pour plusieurs dizaines de milliers d’euros auprès de la Manufacture de Sèvres. À La Mercerie, la vaisselle coûte moins cher. Dans ce café-restaurant un peu spécial, situé au sein du magasin de design Roman and Williams Guild à SoHo, on peut acheter les assiettes, verres, couverts et même les tables qu’on utilise pour manger. Petit plus: la cheffe française Marie-Aude Rose assure le menu. 53 Howard St. (212) 989-6788. Site
Pour trouver une bonne bouteille
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Emmanuel Macron s’y connait en vins. On s’en est aperçu quand il a bluffé des représentants de la filière en parvenant à identifier des bouteilles lors d’une dégustation à l’aveugle au dernier Salon de l’agriculture. Bonne nouvelle: New York regorge de bars à vins et de cavistes de grande qualité. Près de l’ONU, le président peut se rendre à Diplomat Wines (933 2nd Avenue), une caverne d’Ali Baba du vin sur deux niveaux où il sera guidé par de vrais connaisseurs. Côté français, citons Le Dû Wines dans le West Village (600 Washington Street) et nos amis d’Empire State of Wine (111 West 20th St), notre partenaire dans le club de vin de French Morning.
Une dose de chocolat à Chocolate Room (sans Brigitte Macron)
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Dans le documentaire sur sa campagne de 2016, “Les Coulisses d’une victoire”, on voit Emmanuel Macron demander à manger du chocolat après le débat contre Marine Le Pen – ce qui semble agacer Brigitte Macron. On s’excuse d’avance auprès de la première dame. Rendez-vous à Chocolate Room à Brooklyn (Park Slope et Cobble Hill), où l’on sert d’excellents chocolats chauds et des desserts chocolatés (peut-on parler du gateau au chocolat-beurre de cacahuète ?). Park Slope: 51 Fifth Ave -718-783-2900. Cobble Hill: 269 Court St – 718-246-2600. Site
French Touch Comedy: un show d'humour en VF à New York
On va se poiler en VF. Le French Touch Comedy propose aux francophones et francophiles de passer une soirée d’humour le mardi 16 octobre au Broadway Comedy Club.
Créé par l’humoriste-musicien-animateur radio Alex Fredo, un Français installé à Montréal qui a lancé les soirées comiques Drôle d’Apéro, l’évènement est une première à New York. Pour ce live show, des humoristes français et canadiens tels que David Tirado, Richard Sabak, Eman El Husseini et Alex Fredo défileront sur scène. Les organisateurs promettent aussi des “surprises”.
Les sketches de dix minutes s’enchaineront. Les tickets peuvent être réservés en ligne dès maintenant.
5 bons plans pour visiter New York
(Article partenaire) Besoin de conseils ou du bon plan New York pour organiser votre séjour ? Les experts de l’agence Harlem Spirituals/New York Visions, basée au coeur de Times Square, vous livrent leurs astuces pour un séjour réussi.
1- Commencez par des tours en bus
Ils permettent de voir beaucoup de choses en peu de temps. Idéal si vous ne restez pas longtemps à NYC. Nous conseillons toujours à nos clients de commencer par un tour panoramique de Manhattan pour voir tous les incontournables en une matinée et avoir un premier ressenti. Et le Triboro Tour pour explorer le Bronx, Brooklyn et le Queens en une journée. Ensuite, il faut évidemment continuer par les visites à pied pour vraiment s’imprégner de la ville.
2- Ne vous cantonnez pas à Manhattan
Brooklyn, le Bronx et Queens sont en plein essor et regorgent de choses à voir et à faire. Parmi nos quartiers favoris : Brooklyn Heights et DUMBO pour la vue sur la skyline et le Brooklyn Bridge, le vrai « Little Italy » dans le Bronx, ou Long Island City et Astoria à Queens. Selon nous, ce sont des quartiers incontournables si vous voulez vivre le vrai New York.
3- Achetez un Pass
Si vous comptez faire toutes les attractions et les musées les plus célèbres, le pass est indispensable. Il vous permet de faire des économies sur le coût total mais aussi d’éviter de faire la queue grâce aux billets coupe-file. New York City Pass, Sightseeing Pass, Downtown Culture Pass : chaque pass a ses spécificités, à vous de voir lequel est le plus avantageux selon votre programme.
4- Allez voir un gospel le mercredi
Voir un gospel à Harlem est évidemment un incontournable. Notre conseil : si vous le pouvez, évitez les foules du dimanche matin et optez pour un gospel le mercredi. Vous pourrez assister à un authentique concert gospel a capella avec un centre communautaire dont le chœur est formé d’anciens drogués en rémission. Une autre façon de vivre le gospel qui vous laissera des souvenirs inoubliables. Pour une expérience encore plus complète, optez également pour le déjeuner Soul Food chez Sylvia’s, une institution locale. Vous ne le regretterez pas.
5- Faites appel à des experts
N’hésitez pas à faire appel à des professionnels pour organiser votre séjour : ça ne coûte pas plus cher (au contraire, vous ferez même sûrement des économies.) Et surtout, vous serez au moins sûr de n’avoir rien oublié et de ne pas perdre votre temps. Notre équipe francophone est à votre service pour vous conseiller sur que faire à New York et effectuer toutes vos réservations. Cerise sur le gâteau : nous vous offrons l’assistance en français sur place.
Pour plus de bons plans New York et accéder à notre catalogue de visites guidées en français, attractions et activités, consultez notre site internet et notre blog
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Podcast: Brexit Série Spéciale, saison 1
Le 24 juin 2016, l’Europe se réveillait avec l’annonce d’une nouvelle à laquelle elle ne s’attendait certainement pas : le peuple britannique, appelé aux urnes la veille, avait décidé de quitté à majorité l’Union. Un an après, la Première ministre déclenche l’Article 50, qui engage la sortie du pays dont la date officielle est fixée au 29 mars 2019. Depuis, les négociations pour organiser ce que l’on appelle dorénavant le Brexit patinent entre les deux parties.
Pour mieux comprendre les dessous des négociations, les véritables enjeux et les perspectives pour l’Europe, French Morning s’est associé à Bulle Media et lance une série spéciale Brexit en podcasts.
Pour ce premier épisode, deux journalistes, spécialistes de la question, reviennent sur le choix du peuple du Royaume-Uni et débattent de la couverture médiatique des négociations. La Belge Sophie Petitjean s’entretient avec Jim Brunsden, Britannique et correspondant pour le Financial Times à Bruxelles. Un journal spécial ponctue également ce podcast pour connaître les dernières nouvelles sur le Brexit.
“Episode 1: Jim Brunsden du Financial Times”.
Rugby: Suivez le Top 14 aux Etats-Unis sur Canal + International
(Article partenaire) Le début des saisons des ligues professionnelles de rugby marque le retour des rendez-vous télévisuels sportifs sur la chaîne CANAL+ International. Ainsi, les week-ends sont toujours dédiés aux sports avec la diffusion en direct des matches du championnat français de rugby, le TOP 14.
La rédaction rugby se mobilise chaque week-end pour une couverture XXL de la compétition : analyses aiguisées, consultants de premier plan, reportages et coulisses, live, et en point d’orgue, tous les dimanches, le CANAL RUGBY CLUB.
WEEKENDS RUGBY
Les amoureux du ballon ovale pourront suivre en direct les matches du championnat français de rugby, le TOP 14, ponctués par les commentaires d’experts, des analyses aiguisées de consultants de premier plan, et des immersions en coulisses tous les samedis dès 2:45pm et les dimanches dès 10:45am EDT.
Diffusé tout juste avant le match du dimanche, le CANAL RUGBY CLUB animé par Isabelle Ithurburu et Sébastien Chabal prépare le terrain avec entrevues et reportages exclusifs dévoilant les coulisses du rugby français.
Puis, tous les samedis dès 4:35pm, c’est JOUR DE RUGBY qui propose en direct un compte rendu des rencontres de la journée, à l’aide d’entrevues, d’images et réactions exclusives sur tous les matchs du TOP 14.
Mentionnons enfin la toute nouvelle émission omnisports qui débarque sur CANAL+ International le samedi à 6:45pm : CANAL SPORTS CLUB, un magazine qui fera découvrir, en 45 minutes, toute l’actualité sportive hors football : rugby, basket, Formule 1, golf, hockey et la MotoGP (à partir de 2019). Marie Portolano, ancienne chroniqueuse du LATE FOOTBALL CLUB, est à la barre de l’émission.
“TOP 14”, “CANAL RUGBY CLUB”, “JOUR DE RUGBY”, “CANAL SPORTS CLUB” et beaucoup plus maintenant diffusés sur Canal+ International, exclusivement sur DIRECTV aux États-Unis.
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