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Loosie's Kitchen & Cafe, pour un bol de tranquillité (et de quinoa) à Brooklyn

#19 Loosie’s Kitchen & Cafe 

Repéré par Davina Tan du collectif Pathport

C’est sous le pont de Williamsburg, au bout d’une petite allée feuillue donnant sur un mini patio agrémenté de trois petites tables et d’une baignoire, que se cache Loosie’s Kitchen & Cafe, petite soeur du bar Loosie Rouge et du restaurant Loosie’s Kitchen.

A la tête de l’aventure Loosie, quatre potes: Damien del Rio, Vincent Marino, Max Peskowitz, et Garry Knopov. Ils se sont inspirés d’un road trip à la Nouvelles-Orléans et de leurs nombreux voyages à Berlin, Paris et en Suède pour décorer le lieu et faire le menu. A la carte: une cuisine soul food américaine re-visitée façon Brooklyn, où le traditionnel poulet frit cohabite avec le bol de quinoa.

Avec son plafond en verrière, le café est baigné de lumière tout au long de la journée, ce qui en fait, en plus de sa jolie déco acidulée, un spot hautement instagrammable et très agréable. On y vient en semaine pour être tranquille, ou le week-end pour le brunch (mais il vaut mieux réserver), et on se sent un peu comme en vacances, en dehors du temps.

Le must-have: le fried chicken, ou le quinoa bowl si vous faites attention à votre ligne.

L’adresse: 91a S 6th St, Brooklyn, NY 11249

Où acheter le maillot de l'équipe de France à New York pour la Coupe du Monde 2018 ?

“On est en finale, on est en finale”. C’est le moment ou jamais d’acheter votre maillot de pour supporter les Bleus dimanche en finale de Coupe du Monde. Voici quelques magasins où trouver votre bonheur.
Niketown (529 Broadway à Soho): Niketown propose toutes les tailles et tous les maillots non-officiels des Bleus. Comptez 90 dollars le maillot pour homme ou pour femme, 75 dollars pour le maillot enfant. Le maillot officiel pour homme est également disponible à 165 dollars. (212) 243-8560
L’Upper 90 Soccer (697 Amsterdam Ave): situé dans l’Upper West Side (mais aussi à Brooklyn et Queens), vous trouverez dans ce magasin les maillots de tous les pays, dont celui des Bleus pour hommes, femmes et enfants. Comptez 90 dollars le maillot pour homme ou pour femme, 75 dollars pour le maillot enfant. Le maillot officiel de la Coupe du Monde 2018 pour homme est également disponible au prix de 165 dollars. (516) 450-3817
Paragon Sports (867 Broadway): les maillots homme et enfant sont disponibles dans cette enseigne multisports située à deux pas d’Union Square. Comptez 89,99 dollars l’unité. (212) 255-8889
Modell’s: Présente à Manhattan, Brooklyn et Queens, la chaîne propose les maillots des Bleus pour homme uniquement à 75 dollars l’unité. (212) 989-1110

Lillian Walla, une légion d'honneur pas comme les autres

C’est une grande fierté. Ce qui m’arrive est incroyable“. Depuis quelques semaines, Lillian Walla est sur un petit nuage. Cette Américaine de 96 ans, qui réside près de Stamford (Connecticut), fait partie des rares femmes à avoir reçu la Légion d’honneur pour son rôle pendant la Seconde guerre mondiale.
Depuis la remise de la décoration au consulat de France à New York en mai au côté d’autres vétérans, elle enchaine les interviews dans la presse locale et les honneurs. Lors du dernier Memorial Day, journée d’hommage aux vétérans, elle a été nommée “Grand Marshal” de la parade de Stamford.
La dynamique nonagénaire, qui n’est pas avare en humour, fut infirmière dans l’armée américaine pendant le conflit. Arrivée en France avec son unité en décembre 1944, après “avoir zigzagué en bateau entre les sous-marins dans l’Atlantique“, elle et d’autres jeunes femmes ont traité les blessés qui revenaient du front dans un hôpital installé près d’Aix-en-Provence. Elle y a soigné des dizaines de patients tous les jours pendant plus d’un an. “J’ai le souvenir d’un homme qui souffrait d’hépatite. Il est mort dans mes bras avec une photo de sa femme et ses deux enfants”, dit-elle.

Fille de pharmaciens, cette native de Long Island a commencé sa carrière pendant la crise des années 30. Frappé par la Grande Dépression, son père n’a plus les moyens financiers de l’envoyer à l’université. Mais deux oncles, des médecins, l’inscrivent dans une l’école d’infirmières à Brooklyn. “C’était fascinant. J’ai vu pour la première fois des enfants venir au monde. Je ne pensais jamais voir quelque chose comme ça un jour“.

En 1942, elle rejoint un hôpital de Staten Island spécialisé dans les soins au personnel naval. Après avoir entendu des infirmières parler de rejoindre l’armée, Lillian Walla décide de franchir le pas en 1944. Le 11 décembre de cette année, elle part en France avec le grade de sous-lieutenant. Elle a 22 ans. “Pendant la Grande Dépression, on croyait que seuls les millionnaires allaient en Europe. Pour moi, c’était incroyable ! J’ai appris le français, je lisais beaucoup“.
Sur place, toutefois, les conditions sont difficiles. Outre les morts et les blessés, il y a ceux qui tombent malades de leurs blessures. Les infirmières n’avaient “ni douche ni baignoire” et vivaient dans des conditions “rustiques“. Mais Lillian Walla se réfugie dans la lecture de livres historiques et dans les parties de bridge et de ping pong – “j’étais la championne du tennis de table“, glisse-t-elle. “Il y avait des choses qui me choquaient quand je voyais les blessés arriver. Mais je n’ai jamais été en colère. J’aimais faire le travail et je le prenais très au sérieux. Nous faisions ce que nous devions faire, et toutes les jeunes femmes autour de moi étaient dans cet état d’esprit. Nous faisions notre travail“. Elle reste en France jusqu’en janvier 1946 pour s’occuper de patients, tout en prenant le temps de découvrir la côte d’Azur pendant ses permissions.
Il est rare qu’un non-combattant soit décoré de la Légion d’honneur. Qu’une femme le soit l’est encore plus. Claire Voisin, qui traite les dossiers de demande de légions d’honneur au consulat français à New York, indique qu’elle n’a vu qu’une seule autre femme être décorée en quatre ans à son poste. “C’était une infirmière aussi“, précise-t-elle. Mais celle-ci n’a pas pu participer à sa cérémonie de remise en raison de son état de santé.
Claire Voisin explique que le dossier de Lillian Walla a présenté des défis particuliers. En tant qu’infirmière, l’Américaine n’avait pas de “honorable discharge“, un document officiel qui relâche un militaire de ses fonctions. Ce document fait partie des pièces à fournir pour monter le dossier de candidature, qui est envoyé par les consulats à l’Ambassade de France à Washington puis à la Grande Chancellerie de la Légion d’honneur à Paris. “Le document comporte notamment une case “campagnes et bataillesqui permet de prouver que le demandeur a servi en France. S’ils ont servi en Rhénanie ou dans les Ardennes en Belgique, le dossier ne peut pas être traité“, précise Claire Voisin.
Lillian Walla n’a pas ménagé sa peine pour prouver qu’elle avait bien servi en France. Elle a contacté le sénateur du Connecticut Richard Blumenthal, qui l’a orientée vers le National Personnel Record Center, où sont stockées les archives militaires américaines. “Ils ont trouvé les archives de son unité qui prouvaient qu’elle était bien en France à ce moment-là“, poursuit Claire Voisin. Entre les premières démarches de l’ex-infirmière en 2012 et sa décoration, six ans se sont écoulés. “On a tout fait en s’échangeant des lettres. Les aller-retour ont pris du temps”, sourit Claire Voisin, qui suit le dossier de Lillian Walla depuis 2015. “D’ordinaire, le traitement des dossiers prend en moyenne 4-5 mois“.
Depuis qu’elle a reçu la distinction, Lillian Walla dit “vivre dans un rêve“. Mais elle ne peut s’empêcher d’éprouver un sentiment de culpabilité. “Ma dernière collègue infirmière en France est décédée le mois dernier. Elle la mérite autant que moi“.

6 plages pour se dorer la pilule dans la baie de San Francisco

Bordée par l’océan Pacifique, la baie de San Francisco propose de nombreuses plages et lieux mystérieux pour faire bronzette. Avec l’arrivée des beaux jours, il est grand temps pour vous de connaître ces quelques incontournables.
Natural Bridges

@JoannaValdant
@JoannaValdant

Reconnu comme parc naturel par l’Etat de Californie, Natural Bridges a tout d’un havre de paix. Cette merveille pour les yeux et les objectifs se situe à Santa Cruz, une heure au sud de San Francisco. Une fois sur place, vous pouvez soit profiter de la beauté des lieux soit vous aventurer sur les hauteurs qui entourent la plage. Petit bémol : aucun spot aux alentours pour se rassasier. Prévoyez donc en amont snacks et boissons ! 2531 W Cliff drive, Santa Cruz (95060).
Poplar Beach 
@Tony Webster -Wikimedia Commons
@Tony Webster -Wikimedia Commons

Parfaite pour le week-end, Poplar Beach ne ressemble en rien aux autres plages de la baie. Sous ses airs méditerranéens, elle accueille généralement familles, propriétaires de chiens et cavaliers en quête d’évasion. Cet espace idyllique se trouve en retrait de la circulation, entouré par une protection rocheuse qui le rend d’autant plus unique. Quelques heures sur place vous suffiront amplement pour recharger vos batteries ! Poplar St et Railroad Ave, Half Moon Bay (94019)
Crissy Field
@JoannaValdant
@JoannaValdant

Ancien aérodrome militaire, Crissy Field a été transformé en espace de loisirs en 2001. Doté d’une plage mais aussi de pistes cyclables, il est possible d’y admirer depuis son sable fin le Golden Gate et une partie de la baie. Durant le week-end, d’innombrables familles et propriétaires de chiens s’y rendent pour se détendre tandis que les sportifs foulent le bitume. Le plus : la mise à disposition de stationnements (gratuits) aux alentours. 1199 E Beach, San Francisco (94129)
Sharp Park Beach
@JohnMenard-WikimediaCommons
@JohnMenard-WikimediaCommons

Situé dans le comté de San Mateo, le Sharp Park Beach se trouve à une quinzaine de minutes de San Francisco. Cette plage de sable noir est quelque peu isolée de la vie citadine, assurant ainsi calme et paix. Pour autant, elle reste fréquentée été comme hiver grâce à l’activité de son port et ses différents chemins de randonnée. Sur place, vous pourrez bénéficier d’un stationnement gratuit, d’un espace dédié au pique-nique mais aussi d’une cafétéria ouverte 7j/7.  À l’instar du Natural Bridges, Sharp Park Beach est l’une des plus belles surprises de la Bay Area. Highway 1, Pacifica (94044)
Ocean Beach
@Brocken Inaglory -Wikimedia Commons
@Brocken Inaglory -Wikimedia Commons

Située en plein coeur de San Francisco, Ocean Beach est l’une des plages les plus populaires de la ville. Dès que le soleil pointe son nez, les plus courageux profitent des vagues pour s’offrir une petite séance de surf (à noter que la température de l’eau dépasse rarement les 15°C). Avec une ambiance des plus californiennes, ce spot se fréquente de jour comme de nuit et propose des feux de camp dignes de ce nom. Pont Lobos Ave, Great Hwy, San Francisco (94121)
Marshall’s Beach
@Blake Everett - Wikimedia Commons
@Blake Everett – Wikimedia Commons

Marshall’s Beach a trois avantages : elle se situe à 20 minutes de Downtown SF, elle offre la meilleure vue sur le Golden Gate et propose une certaine intimité à ceux qui la visitent. Accessible par un chemin de randonnée, cette plage mi-roche / mi-sable est synonyme de détente et de bonheur oculaire. Parfait pour une journée de méditation ou une sortie touristique avec ses proches. Langdon Ct, San Francisco (94129)

5 "day trips" autour d'Austin

Activités de plein air, musées, barbecue, artisanat, exploitations viticoles… Cet été, explorez les alentours d’Austin. Voici cinq idées de destinations pour une virée pour la journée.
Dripping Springs. Distance d’Austin : 24 miles
La bourgade de Dripping Springs est en plein boom. Bénéficiant du dynamisme économique d’Austin et de la région, sa population a doublé depuis 2010. Elle a néanmoins gardé de son charme typique. Auto-proclamée “porte d’entrée du Hill Country“, elle est une destination à part entière. Promenez-vous sur Mercer Street, la rue principale, pour du shopping d’antiquités, de vêtements ou d’artisanat local. Déjeunez sur le pouce à la boulangerie Rolling in Thyme & Dough ou plus copieusement chez Epicure et sa belle carte des vins.
Pour se rafraîchir, direction la fameuse  Hamilton Pool Preserve pour faire trempette. Cette merveille de la nature est constituée d’un lagon au fond d’un cirque rocheux dans lequel se jette une chute d’eau. (Réservation obligatoire). Pour se désaltérer ce n’est pas le choix qui manque puisque les brasseries et distilleries ont explosé dans la région depuis quelques années. On vous recommande Acopon Brewing Co. ou Family Business Beer Co. Pour terminer la journée, rendez-vous au Mercer Street Dance Hall pour danser le two-step avec les locaux.
Wimberley. Distance d’Austin : 38 miles
L’été est en avance cette année et le besoin de se rafraîchir se fait déjà clairement ressentir. Pour cela, direction Wimberley et ses nombreux spots pour la baignade. On recommande notamment le Blue Hole Regional Park. Cette oasis ombragée offre suffisamment d’espace pour faire des longueurs ou se laisser flotter librement, et assez de profondeur pour se balancer des cordes installées à cet effet sur les arbres. A tester également: Jacob’s Well, cavité naturelle creusée dans la roche de quatre mètres de large sur dix de profondeur. La pureté de l’eau en fait un endroit unique et fascinant.
Wimberley est aussi connu pour son artisanat. A voir, les souffleurs de verre de la Wimberley Glassworks qui proposent des démonstrations en direct, ou les galeries mises en avant par la Wimberley Valley Arts & Culture Alliance. A moins que vous ne préfériez admirer la beauté de la nature environnante à 50 km/h suspendu à un fil avec Wimberley Zipline Adventures. Et pour goûter la cuisine locale, rendez-vous au Leaning Pear.
Driftwood. Distance d’Austin : 25 miles
Pour les amateurs de barbecue, il y a bien sûr Lockhart mais il y a aussi Driftwood, qui vous permettra en plus de goûter les vins locaux. Depuis 50 ans, Salt Lick a fait la réputation de la ville grâce à ses viandes fumées. Pas besoin d’en dire plus. Les ribs et les briskets méritent le trajet à eux tous seuls. Pour faire passer tout ça (Salt Lick ne vend pas d’alcool), un petit tour des wineries avoisinantes s’impose avec notamment Driftwood Estate Winery (admirez la vue), la Duchman Family Winery ou Fall Creek Vineyards. A moins que vous ne préfériez quelque chose de plus corsé et souhaitiez découvrir le sotol (alcool d’origine mexicaine proche du mezcal). Dans ce cas, direction la toute nouvelle distillerie Desert Door. Et pour la photo souvenir, arrêtez-vous au Driftwood General Store and Post Office, célèbre pour sa pompe à essence vintage et son signe Texaco.
Seguin. Distance d’Austin : 52 miles
Pour une virée dans le vieux Texas à la découverte du passé, direction Seguin. La bourgade doit son nom à Juan Seguin, un révolutionnaire qui participa à l’indépendance du Texas (donc aucun lien avec la chèvre a priori). Fondée en 1838, elle est connue pour ses monuments en béton, découlant de la forte présence de calcaire dans la région. Au milieu du XIXème siècle, elle était même la ville du pays avec la plus forte concentration d’édifices en béton. A voir donc les bâtiments du centre historique mais aussi le Heritage Museum retraçant les 150 ans d’histoire de la ville et des alentours.
Mais pour un peu de fun, il y a aussi le parc d’attractions de ZDT’s Amusement Park avec son grand huit, ses montagnes russes et son circuit de kart. A tester aussi sur place, Davila’s BBQ, un barbecue texan à l’accent latino, et la Seguin Brewing Company. Il faut aussi mentionner que Seguin est la ville de la plus grosse noix de pecan au monde, commémorée par une statue. Et ça, ça vaut le détour !
San Antonio. Distance d’Austin : 80 miles
La ville fête son tricentenaire cette année avec de nombreux évènements au programme. Une excellente occasion d’aller découvrir ce berceau du Texas. Impossible de ne pas aller voir The Alamo si vous n’avez jamais été à San Antonio. Mythe fondateur du Texas, il est le site historique le plus visité du Texas et permet d’appréhender la culture de cet Etat à part. A compléter par une visite du Witte Museum qui, à l’ occasion du tricentenaire, propose une exposition Confluence and Culture: 300 Years of San Antonio History, qui met en avant le rôle de carrefour des cultures anglaise, espagnole et indienne de la ville. Revivez également la bataille de Fort Alamo en réalité augmentée.
Pour manger un bout, boire un verre ou faire du shopping, rendez-vous au complexe créé autour de la Pearl Brewery (datant de 1883), regroupant des stands de nourriture, de petites boutiques et des marchés fermiers. Le North St. Mary’s Strip, au nord de downtown, offre une alternative. San Antonio est à visiter également pour sa nouvelle scène gastronomique. Encore sous-estimée, elle vaut clairement le détour avec notamment : Range, NOLA Brunch & Beignets, Ming’s Noodle Bar ou Periphery.

“Moi impat”, histoires de retour au pays, épisode 4

Surprise, bonheur, mais aussi déception, désillusion sont des sentiments que connaissent bien celles et ceux que l’on appelle les “impatriés”. French Morning a donc tendu son micro à des Français qui racontent comment ils ont vécu leur retour au pays.
Pour cet épisode 4, rencontre avec Myriam Lacombe, “Française mais toujours avec un pied à l’extérieur”, qui se confie entre autres sur la difficulté de trouver un travail une fois revenu(e) en France, un pays qui “vous oublie très vite”.

Nos 5 meilleures adresses pour dénicher des vinyles à Los Angeles

Pour ceux qui n’ont pas conservé les vieux 33 ou 45 tours de leurs parents ou veulent enrichir leur collection, Los Angeles ne manque pas d’adresses pour trouver les vinyles de vos rêves. Cinq ont retenu notre attention.
5. Vacation Vinyl à Silverlake


La boutique a changé d’adresse, mais pas de quartier. A Silver Lake, Vacation Vinyl est une institution pour dénicher les derniers vinyles des artistes locaux (qui habitent les scènes de The Satellite, The Echo ou The Bootleg). Et si vous ne savez pas par où commencer, faites confiance aux employés de Mark Thompson, toujours disponibles pour vous aiguiller vers des vinyles neufs ou de seconde main (et même des cassettes). En plus de ses disques, Vacation met en vente les accessoires indispensables pour prendre soin de sa collection (pochettes de protection et caisses). Vacation, 4166 Santa Monica Blvd, Los Angeles.
4. Amoeba Music à Hollywood

amo music ??❤️ #amoebamusic

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On a rarement vu plus grand disquaire indépendant qu’Amoeba Music. Ce sanctuaire de la culture pop recense les dernières sorties, que ce soient les bandes originales de Call Me By Your Name ou Lady Bird, ainsi que les derniers albums de Dua Lipa et Justin Timberlake. Mais, vous pourrez également trouver dans l’institution hollywoodienne des oeuvres d’occasion rares avec une collection respectable de jazz, de blues, de techno et de house, parmi d’autres genres. Sans compter qu’Amoeba a un certain don pour accueillir sur sa scène (et pour des concerts gratuits) des talents de premier ordre. Amoeba Music, 6400 Sunset Blvd, Hollywood.
3. Mount Analog à Highland Park


Ne cherchez pas les “Beatles” ou les “Daft Punk” dans les rayons de cette boutique de l’est de la ville. À Mount Analog, la collection unique de vinyles neufs et souvent importés (aux prix en conséquence) se veut “ésotérique”, avec de la techno, de la deep house, de la darkwave. Vous pourrez d’abord écouter ces perles aux stations d’écoute destinées aux clients. Outre une organisation appréciée des clients, la force de Mount Analog est de rassembler une communauté de passionnés, qui seront émus de trouver le dernier EP d’un artiste électro européen inconnu au bataillon. Le magasin organise des concerts le samedi soir. Mount Analog est à 5906 1/2 N Figueroa St, Highland Park.
2. Poo-Bah Record Shop à Pasadena

#recordstoreday customer love

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On ne pense pas aller à Pasadena pour chiner des vinyles. Et pourtant, le quartier accueille l’un des plus anciens magasins de disques de Los Angeles. Ouvert depuis 1971, Poo-Bah fut une plaque tournante pour la scène musicale expérimentale durant la période hippie. Depuis sa reprise en 2003 par Ron Stivers (et un déménagement), cette échoppe s’est diversifiée et dispose de collections importantes de jazz, rock et hip-hop. Vous y trouverez notamment, et ce n’est pas une mince affaire, des productions des labels Leaving et Brainfeeder. Poo-Bah Record Shop, 2636 E. Colorado Blvd., Pasadena.
1. Atomic Records à Burbank

Nice pic! ?

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Si vous passez la porte d’Atomic Records,il faudra vous armer de patience pour fouiller dans les caisses débordant de vinyles de seconde main (soul, Rn & B, funk, metal, rock classique). La petite boutique offre une belle sélection de jazz, à des prix attractifs, mais également des vinyles autour de thématiques loufoques comme la musique d’Halloween. Dans ce repaire d’amoureux de la musique (où l’amabilité des vendeurs n’est pas la qualité première), on peut aussi se laisser tenter par les étagères de vieux CD à un dollar. Atomic Records, 3812 W Magnolia Blvd, Burbank.

Le magicien-cascadeur David Blaine vient envoûter Miami

C’est l’un des magiciens les plus connus (et timbré) de sa génération. Le Britannique David Blaine vient en spectacle à l’Adrienne Arsht Center le vendredi 8 juin.
Vous avez sans doute déjà entendu parler de lui. Habitué des plateaux télé, le magicien est connu pour ses spectacles qui mêlent illusion, cascades et endurance physique. Il est, par exemple, resté enfermé pendant 44 jours dans une boite à Londres avec de l’eau uniquement ou dans une sphère de 2,4 mètres de diamètre immergée pendant une semaine devant le Lincoln Center à New York. Et ce ne sont que quelques-uns de ses exploits. Lors de sa carrière, il s’est produit dans 20.000 salles dans le monde.
 

TV5 Monde USA dans la magie des 24 heures du Mans

Start your engines !” La chaine francophone TV5 Monde USA vous embarque dans la magie des 24 heures du Mans avec la diffusion d’un documentaire original de Frédéric de Brabant, “Michel Vaillant, le rêve du Mans”, le 18 juin. 
Dans ce docu sorti cette année, les prototypes de voitures inventées par le dessinateur Jean Graton, auteur de la BD Michel Vaillant dans les années 50, s’invitent aux 24 heures du Mans. Le documentaire est ponctué d’interviews de pilotes comme Nicolas Prost, Bruno Senna and Nelson Piquet Jr, qui racontent la course légendaire.

Depuis Miami, il ouvre une académie de foot en France

Après avoir lancé en 2014 la PSG Academy Florida, une académie de football à Miami, le Français Ravy Truchot, président du FC Miami City, renouvelle l’expérience en France. Son International Center of European Football ouvrira ses portes début septembre en Haute-Savoie.
C’est un projet au long cours entamé en septembre dernier. Ravy Truchot a tout d’abord racheté aux enchères le club en faillite Thonon Evian Savoie FC, anciennement Evian Thonon Gaillard, ainsi que son centre d’entraînement. « L‘idée est de renforcer l’équipe première du club qui est retombée au niveau amateur, précise le Parisien installé depuis six ans en Floride. Nous souhaitons monter chaque saison afin d’atteindre au minimum le niveau National ». Pour y parvenir, le passionné de football a nommé comme coach Régis Beunardeau, qui a disputé toute sa carrière au Mans, et espère voir arriver plusieurs joueurs. « Ce sont des sportifs très connus ayant joué dans de grandes équipes françaises et même à l’étranger, mais les discussions sont toujours en cours ».
En parallèle, Ravy Truchot a créé l’International Center of European Football, une académie de football destinée aux joueurs internationaux. « Nous voulons donner leur chance aux jeunes joueurs issus de marchés peu défrichés pour qu’ils puissent suivre une formation professionnelle européenne », indique le Français qui cible notamment les joueurs venus d’Asie et des États-Unis. « Certains sportifs rêvent de venir jouer en Europe, mais il leur est pratiquement impossible de frapper à la porte du PSG par exemple, souligne-t-il. L’académie pourra ainsi leur permettre d’avoir un pied dans le football français ».
Dirigée par Patrick Trotignon, l’ancien président du club Evian Thonon Gaillard, l’académie accueillera dans un premier temps une cinquantaine de jeunes joueurs. Après une série de travaux de rénovation et d’agrandissement, elle devrait être en mesure d’en accueillir 150 d’ici un an. Les nouvelles recrues suivront un cursus académique qui les formera au football avec les méthodes européennes tout en leur permettant de continuer leurs études et d’apprendre le français.
Ainsi, avec le rachat du club Thonon Evian Savoie FC et la création d’une nouvelle académie, Ravy Truchot espère créer une passerelle footballistique entre la France et les États-Unis. « Les meilleurs joueurs sortant de l’académie pourront éventuellement intégrer les équipes nationales du club Thonon Evian Savoie FC, tandis que d’autres pourront venir s’exposer aux championnats américains en poursuivant leur carrière au FC Miami City, précise le quadra. C’est une belle opportunité puisque chaque année plusieurs de nos joueurs signent un contrat professionnel aux États-Unis ou en Europe ».

Le Belge Anthony Evrard pionnier des tennis clubs "rien que pour les enfants"

Certes, les enfants américains n’ont pas attendu Anthony Evrard pour jouer au tennis. “Mais avant, c’était en général sur des courts pour adultes, avec bien souvent des raquettes trop grandes et des balles trop lourdes”. En lançant Court 16, l’entrepreneur-tennisman a voulu créer des tennis clubs spécifiquement dédiés aux enfants de 3 à 11 ans.

Le second “Court 16” a ouvert il y a quelques semaines à Long Island City. “C’est le premier club de tennis au monde avec une surface en verre” explique-t-il fièrement. Ces “LED surface courts” ont des lignes qui s’allument à volonté et évitent l’entremêlement de lignes peintes dans les gymnases. Ce club est le deuxième d’Anthony Evrard, qui avait ouvert le tout premier Court 16 à Brooklyn (Gowanus) il y a trois ans. Au total, il a levé 3 millions de dollars pour financer ces deux premiers clubs.

Né dans le sport et le tennis en particulier -son entreprise tire son nom du court N° 16, le préféré de son grand-père au Royald Leopold Club de Bruxelles-, Anthony Evrard a joué en équipe nationale de Belgique, avant de bénéficier d’une bourse d’une université californienne pour y venir jouer et étudier. Il n’a plus quitté les Etats-Unis depuis. Après avoir travaillé dans le marketing pour Trace TV, puis chez Puma, il commence à réfléchir à “un nouveau concept de club de tennis” avec un but: “amener de nouvelles familles au tennis dans une ville où jouer est plutôt compliqué”.

Le pari est vite gagné. Le club de Brooklyn affiche quelque 800 familles membres, qui paient de 350 dollars à 500 dollars par an, plus les classes. “Nous offrons un programme rigoureux, pas du baby-sitting” explique-t-il. Les profs sont tous des joueurs confirmés, souvent Français précise-t-il, et le lien avec le tennis au plus haut niveau est soigneusement entretenu. Lors du dernier US Open, le joueur américain Jack Sock est venu au club pour une animation. Et pour parfaire son ancrage dans la communauté, Anthony Evrard multiplie les initiatives caritatives. Chaque dimanche, quelque 35 enfants des “projects” du quartier apprennent gratuitement le tennis grâce à un partenariat avec Adidas. Un autre programme permet à une vingtaine de non-voyants de jouer au tennis, au moyen de balles sonores.
Anthony Evrard a encore bien d’autres ambitions pour ses “Courts 16”. Des ouvertures ailleurs, mais aussi de s’ouvrir aux adultes grâce à des cours pour débutants, mais aussi au “pickleball”, un sport qui explose aux Etats-Unis et se joue avec des raquettes en bois et des balles perforées en plastique, sur des petits terrains, qui ont approximativement la taille de ceux de Court 16. L’occasion était trop belle d’utiliser les installations aux heures où les enfants ne sont pas au club. L’entrepreneur est monté au filet sans hésiter.
 

Investir dans la location saisonnière à Miami

(Article partenaire) Pourquoi investir dans l’immobilier à Miami ? Quels sont les avantages et les inconvénients de la location saisonnière ? Comment s’y prendre pour réussir son investissement ?
Voilà quelques-uns des thèmes qui ont été abordés, jeudi 17 mai, lors d’une conférence organisée à New York par French Morning, avec l’agent immobilier Brigitte Respaut-Clément et l’avocat immobilier et successions Alexandre Ballerini, associé au cabinet Diaz Reus Targ.
Soulignant la vitalité du marché touristique à Miami, malgré l’intense saison des ouragans de l’an dernier, Brigitte Respaut-Clément a invité les participants à regarder au-delà de Miami Beach et South Beach pour une éventuelle acquisition de bien. Fondatrice d’OfCourse Miami, agence qui accompagne la clientèle francophone dans ses investissements immobiliers en Floride, elle a expliqué le rôle de son agence dans le soutien aux investisseurs pour garantir une “rentabilité sans risque“.
Pour elle, “le manque de connaissance des règles et usages de l’immobilier aux Etats-Unis et le service après-vente souvent mal assuré” sont les deux obstacles majeurs à l’investissement des Français en Floride. “Même si les francophones de New York sont très américanisés, ils ne connaissent les règles de l’immobilier en Floride, chaque Etat étant soumis à des règles propres“.

Le plus grand risque pour les non residents est de tomber dans des pièges fiscaux et les retenues à la source qui peuvent être évitées avec un peu de planification“, insiste pour sa part Maitre Ballerini. Il explique notamment que “la fiscalité d’une succession aux USA est très défavorable aux non-residents” et rappelle l’importance de se faire aider par un avocat dès le début du processus d’acquisition. “Avoir un avocat de succession et d’immobilier permettra aux clients de preserver leur capital, et d’éviter des situations compliquées lors de leur transaction.

D’autres conférences sur le même thème seront organisées fin 2018 et en 2019 en Europe.

Voir le live de la conférence ici

Pour en savoir plus:
Contacter Brigitte Respaut-Clément
Cell: (+1) 305-934-2870
927 Lincoln Road # 200, MIAMI BEACH FL 33139
[email protected]
www.ofcoursemiami.fr

Contacter Alexandre Ballerini
3400 Miami Tower
100 S.E. 2nd Street, Miami, Florida 33131
+1 305-375-9220
[email protected]
www.diazreus.com


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