Ils ont plus de 50 ans d’écart. Elle a les cheveux blancs et violets. Il porte un chapeau et des lunettes noires. Et pourtant, le tandem improbable Agnès Varda et JR a un fait un documentaire, “Faces Places” (“Visages Villages”), qui sera projeté le jeudi 22 février à l’Austin Film Society.
Leur oeuvre a fait sensation au dernier festival de Cannes. Une balade en camionnette à travers la France, d’un village des Alpes avec son usine chimique à un coron du Nord, en passant par la plage de Sainte-Marguerite-sur-Mer en Normandie. A chaque fois, JR photographie des personnages, des anonymes croisés sur leur route, et il placarde leur portrait en impression XXL sur la façade d’une maison, sur des camions, sur des wagons de marchandise. Agnès Varda interroge et commente.
"Visages, villages" avec JR et Agnès Varda projeté à Austin
Les notes magiques de Quatuor Ebène à Palm Beach
Ils sont capables de jouer aussi bien du classique que du jazz. Les quatre musiciens de Quatuor Ebène vont le prouver une fois de plus lors d’un concert à la Society of the Four Arts de Palm Beach le dimanche 11 mars.
Pierre Colombet (violon), Gabriel Le Magadure (violon), Marie Chilemme (alto) et Raphaël Merlin (violoncelle) joueront des morceaux de Haydn, Fauré et des airs de jazz et de “crossovers” (mélange de plusieurs styles musicaux) qui seront annoncés sur scène. Le groupe, basé à Boulogne-Billancourt, a été récompensé à plusieurs reprises pour ses enregistrements (Victoire de la musique classique, des Gramophones, BBC Music Magazine…).
Votez pour le meilleur croissant de Miami
Vous vous souvenez -avec émotion- de notre concours Best Baguette, c’est le moment maintenant de découvrir Best Croissant. Aidez-nous, et surtout aidez Miami, à répondre enfin à la question qui nous taraude: “où trouver de bons croissants ?”
Le principe: nos lecteurs nous donnent leurs boulangeries préférées (trois réponses possibles); les premiers seront qualifiés pour une grande finale, organisée le 15 avril au National Hotel. Là, un jury de professionnels goûtera -à l’aveugle- les précieuses viennoiseries présentées par les finalistes. Vous pourrez assister à l’évènement, goûter vous-même les croissants et voter pour votre favori. Un espace VIP offrant un brunch complet sera également proposé sur place (réservations obligatoires).
C’est à vous de jouer! Dites nous où vous trouvez le meilleur croissant à Miami, quel que soit l’endroit (boulangerie, supermarché, deli…). Nous nous assurerons ensuite que les viennoiseries sont bien fabriquées artisanalement de A à Z. Tous les critères sont admis dans votre choix, que vous les aimiez bien croustillants ou très moelleux, ou que vous privilégiez le sourire du boulanger -ou de la boulangère. Vous pouvez entrer, dans l’ordre de préférence, jusqu’à trois établissements:
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Earny, l'app pour se faire rembourser en restant les bras croisés
Ça nous est tous arrivé d’acheter un vêtement et d’être déçu quand on s’aperçoit que, quelques semaines plus tard, son prix a été divisé par deux durant des “sales”. Earny promet de faire disparaître cette frustration.
Lancée officiellement en avril 2016 aux Etats-Unis, cette application vous rembourse la différence en cas de changement de prix sur une période définie. Le concept plaît tellement que ses fondateurs ont annoncé, le 5 décembre, avoir levé 9 millions de dollars.
Derrière cette idée brillante, on retrouve un Français, Ilan Zerbib, et ses deux associés. “Les magasins disposent d’une “price protection” (qui garantit les prix) sur un mois, et les cartes de crédit offrent une extension de 2 à 4 mois, dit-il. Mais les consommateurs ne le savent pas forcément ou ont la flemme de faire ces démarches longues et compliquées. Earny automatise alors les remboursements à l’échelle des Etats-Unis. Et vous n’avez rien à faire pour réclamer votre argent.”
L’application, qui a accès à vos e-mails, et donc vos factures et e-tickets, traque les prix dans tous les magasins. Dès qu’un montant bas est détecté, le système envoie une réclamation au magasin (ou à la société de crédit). “Le prix d’un produit change 8 millions de fois et entre 5 et 10 fois par jour sur Amazon. Chaque année, il y a 50 milliards de dollars que les Américains devraient réclamer, et qui sont laissés sur la table”, relève Ilan Zerbib, qui se présente comme “l’avocat numéro 1 des consommateurs”.
Cette application gratuite (Earny prend 25 % sur les remboursements) est utilisée par une centaine de milliers de consommateurs. “L’objectif est d’atteindre le million d’utilisateurs dans les prochains mois”, avance le Français de 30 ans.
Cette aventure a démarré sur une autre rive. A la sortie de son école d’ingénieur parisienne, le Lyonnais décide de partir à Tel Aviv, “un mix entre L.A. et San Francisco”. Lors d’une soirée, il rencontre Dori Yona et Oded Vakrat, qui évoluent dans le marketing et cherchent un ingénieur. Les trois hommes décident de s’associer. Naîtra alors l’application sociale Hashsnap, “qui s’est transformée en app de dating”.
Pour la développer, ils s’expatrient à San Francisco en octobre 2015. Ils ont l’idée d’Earny quand Oded Vakrat achète une veste Zara à 100 dollars pour une soirée de networking. Quelques semaines plus tard, Dori Yona la trouve à moitié prix.
Ils vont concrétiser l’idée de l’app lors d’un challenge Mastercard, le Hackathon, où les ingénieurs sont invités à pitcher un prototype inédit en plusieurs dizaines d’heures. Ils triomphent et Mastercard investit dans ce projet.“Cela intéresse aussi les banques car les Américains possèdent, en moyenne, entre 4 et 6 cartes de crédit. L’objectif est qu’ils les utilisent, car l’institution prend un pourcentage sur les transactions”, assure celui que ses collègues surnomment “Lyon King”. Les trois associés réalisent alors une première levée de fonds de 3 millions de dollars.
Et il n’y a pas que la banque qui s’intéresse à eux. “Tombé amoureux d’Earny”, Mike Jones, le PDG de Science, un incubateur de start-ups et ancien de MySpace, les repère et les accueille dans ses locaux à Santa Monica. L’aventure continue.
L'Ultra Music Festival fait le plein de stars à Miami
Si on vous dit “Afrojack, Steve Aoki, The Chainsmokers ou encore le Français David Guetta”, vous nous répondez “Ultra Music Festival”. Tout ce beau monde, et plus encore (pas encore annoncés), débarque à Miami du vendredi 23 au dimanche 25 mars pour le célèbre rendez-vous de l’électro à Bayfront Park.
Depuis 1999, l’UMF, qui tient son nom de l’album de Depeche Mode “Ultra”, est considéré comme l’un des meilleurs rassemblements de musique électronique au monde.
Sur trois jours, l’événement invite les grandes figures du milieu comme le DJ néerlandais Hardwell, connu pour sa reprise de “Show me Love”, ou encore Nicky Romero, qui a collaboré avec de nombreux artistes tels qu’Avicii ou Calvin Harris. L’UMF accueille chaque année 165.000 fans.
La LoveBox fait du pied aux investisseurs de la Silicon Valley
Imaginez un matin où les notifications push n’apportent que des bonnes nouvelles, une journée où les écrans de smartphones ne laissent transparaître que des contenus positifs, une soirée où les messages de proches ne sont qu’amour et bienveillance… Bienvenue dans le monde merveilleux de Marie Poulle et Jean Grégoire. Les deux inventeurs grenoblois de la LoveBox, une boîte à mots doux connectée, ont décidé de s’implanter à San Francisco pour conquérir le coeur des investisseurs de la vallée.
L’écrin en bois de hêtre, fabriqué dans le village de Saint-Amour (bien sûr) dans le Jura, abrite un miroir sans tain sur lequel s’affichent les messages envoyés depuis une application mobile (disponible en français et en anglais). Lorsque la LoveBox reçoit une missive digitale, le coeur fixé sur le devant de la boîte se met à tourbillonner jusqu’à ce que le destinataire soulève le couvercle.
« Nous avions envie d’utiliser la technologie pour créer du bonheur, là où elle sert souvent à améliorer l’efficacité et à mesurer des choses », explique Marie Poulle. C’est Jean Grégoire, l’autre co-fondateur, qui a mis au point le tout premier prototype de la LoveBox il y a deux ans pour sa « chérie Mélodie », alors qu’il s’apprêtait à s’envoler pour un an de post-doc en robotique au Massachusetts Institute of Technology (MIT) de Boston. « Je voulais créer un objet pour montrer au quotidien à ma copine que je pensais à elle, commente l’ingénieur de 29 ans. Avant de partir, je me suis inscrit dans un Fab Lab de Grenoble pour découvrir le milieu du hardware. »
À l’époque, Marie Poulle gère un espace de coworking dans la capitale des Alpes quand elle tombe sur les petites machines de Jean Grégoire lors d’une expo. « Ma soeur vivait à Londres à ce moment-là et ma grand-mère entrait en maison de retraite. Je me suis dit que la LoveBox pouvait servir dans diverses situations », souligne l’entrepreneuse de 28 ans.
Un peu plus d’un an après le lancement du produit en France, les deux entrepreneurs tentent d’initier la Silicon Valley à ce réseau de communication positive. Ils ont d’abord séduit l’accélérateur The Refiners qu’ils ont intégré de septembre à décembre dernier, puis des milliers de contributeurs lors d’une campagne de crowdfunding sur Kickstarter. Début octobre, en seulement douze minutes, la start-up a atteint son objectif initial de 50.000 € et a finalement réuni plus de 270.000 €.
Marie Poulle et Jean Grégoire ont poursuivi leur aventure américaine au CES de Las Vegas, début janvier. « Nous avons eu beaucoup de contacts B2B », notent les deux Français, qui imaginent proposer la LoveBox aux entreprises comme « un objet totem dans l’open space qui favorise la communication positive ». Mais aussi dans les hôtels : « plutôt que d’appeler ou d’envoyer des textos de manière intrusive, la LoveBox peut-être posée sur la table de nuit pour faire passer un message destinée à améliorer le séjour des clients. »
L'électro futuriste de BreakBot à Los Angeles
BreakBot avait déjà rencontré son public américain lors d’une mini-tournée, l’an dernier. Et le duo formé par Irfane (la voix) et Thibaut Berland (le DJ) a dû apprécier ça, car il remet le couvert sur la scène de l’Exchange à Los Angeles, le samedi 24 février.
Le tandem réinvente avec brio la musique électronique rétro. Derrière ses lunettes noires et sa tignasse, Thibaut Berland mélange, tord, détruit et recompose les rythmes solaires des années 80 pour les rendre presque futuristes.
Révélé en 2009 avec le hit “Baby I’m Yours”, BreakBot a depuis sorti deux albums très influencés par la disco et le funk. Dernier en date : “Still Water” (sorti en 2016 avec le label Ed Banger), taillé pour le dancefloor.
"Au nom de ma fille": Daniel Auteuil mène l'enquête sur TV5 Monde USA
Juillet 1982. André Bamberski (Daniel Auteuil) apprend la mort de sa fille alors qu’elle passait ses vacances en Allemagne avec sa mère et son beau-père, le Dr Krombach.
Très vite, le père se rend compte qu’elle a été violée et remet en question le témoignage du médecin allemand, qui attribue le décès à une insolation. Il lui faudra 27 ans pour prouver sa culpabilité et l’amener devant la justice.
Inspiré de l’affaire Dieter Krombach, qui s’est déroulée en 1982, le film de Vincent Garenq avec Sebastian Koch et Marie-Josée Croze sera diffusé sur la chaine francophone TV5 Monde USA le jeudi 22 février à 8:30pm EDT (5:30pm PDT).
Une parade pour le Nouvel an chinois à Chinatown le 25 février
C’est l’un des grands événements à ne pas louper à New York et le point d’orgue des festivités du Nouvel an chinois. Célébrez l’année du chien le 25 février avec la Lunar New Year Parade dans les rues de Chinatown et de Little Italy.
Au programme : des chorégraphies impressionnantes, des performances artistiques en tenues traditionnelles et des stands de nourriture pour avoir l’estomac plein pendant le spectacle. Les marcheurs partiront de Canal Street et Mott Street à 1pm et termineront leur procession colorée à Sara D. Roosevelt Park.
Cette parade suit la fête des pétards du 16 février. Pas moins de 600.000 mèches ont été allumées dans les rues de New York pour éloigner les mauvais esprits et accueillir l’année du chien.
Jon Bon Jovi a une nouvelle passion: le rosé "made in France"
“It’s my life” chantait Jon Bon Jovi en 2000. Dix-huit ans plus tard, la vie du rockeur américain va désormais se partager entre la musique et le vin.
La star de 55 ans a annoncé le lancement de son propre rosé, disponible dès le 23 février aux Etats-Unis. Produit dans le Languedoc, ce rosé est le fruit d’une rencontre entre Jon Bon Jovi, son fils Jesse et le vigneron Gérard Bertrand. “On a été présentés par un ami commun il y a un an. On a discuté autour d’un verre. Je nous ai découvert beaucoup de points communs. Jon Bon Jovi est un homme passionné par son métier et qui a le culte du détail”, explique Gérard Bertrand. Passionné de musique, le Français de 53 ans organise un festival de jazz chaque année dans son domaine l’Hospitalet à Narbonne.
“Nous avions testé beaucoup de rosé en France, sans réussir à trouver le bon. Jusqu’à ce que nous rencontrions Gérard“, se souvient Jesse Bongiovi. Le deuxième enfant de Jon Bon Jovi, 23 ans, n’a pas choisi la musique mais l’entreprenariat. Il s’est associé à son père pour développer le produit. “J’y travaille à plein temps depuis les huit derniers mois. Je m’occupe des opérations quotidiennes : démarcher les magasins, faire connaitre le rosé. Mon père est impliqué à un plus haut niveau”.
Baptisé “Diving into Hampton Water“, le rosé fait référence à la région des Hamptons, située au nord-est de Long Island, dans l’État de New York. Un endroit où la famille Bongiovi avait l’habitude de passer ses vacances. “C’est un style de vie très similaire à celui qu’on trouve dans le Languedoc”, souligne Jesse Bongiovi. Les Hamptons abritent également de nombreux vignobles.
En appellation Languedoc, ce vin “premium” à base de cinsault, grenache et mourvèdre sera vendu 25$ sur le marché américain. “C’est un rosé léger et frais, qui révèle ensuite des notes vibrantes et intenses, résume Gérard Bertrand. Il ressemble finalement à une chanson, de l’introduction au refrain”.
"S'installer à New York", un guide pour les futurs Français de New York
Il y a le New York qu’on voit dans les films ou dans les séries, et il y a le vrai New York, celui où vivre n’est pas toujours une partie de plaisir. Pour aider les Français à s’installer dans la Grosse Pomme, les éditions Héliopoles, connues pour leurs ouvrages d’installation en France et à l’étranger, publient un guide d’expatriation intitulé tout simplement S’installer à New York. Il est en vente en France et sur le site de la maison d’édition depuis le 15 février.
Ecrit par le rédacteur-en-chef de French Morning Alexis Buisson, qui vit à New York depuis dix ans, ce guide de près de 200 pages livre un regard concret sur la vie à New York, avec ses avantages incontestables et ses difficultés. Outre des astuces essentielles pour préparer son départ et surtout son arrivée, trouver un stage ou un emploi, décrocher une assurance santé, dénicher un logement ou encore dégoter le bon visa pour s’expatrier, S’installer à New York comporte de nombreux témoignages de New-Yorkais sur la vie quotidienne dans la ville mythique. C’est le compagnon indispensable de tout futur expatrié.
Prépa vs Bachelor: quel système choisir pour étudier en France après le lycée ?
(Article partenaire) Que faire après le lycée ? Le système éducatif français propose aujourd’hui deux offres très distinctes pour les étudiants en quête d’une première expérience d’études post-secondaires: les cours préparatoires ou “prépa” et le Bachelor.
Helen Louit, directrice de l’ESCP Europe Undergraduate, évoque les différences entre les deux offres et l’adéquation aux différents types d’étudiants.
Pourquoi les élèves français à l’étranger préfèrent-ils aller en Bachelor quand ils décident de partir étudier en France ?
L’accès aux Grandes Ecoles se fait souvent exclusivement par concours, où seul un candidat sur dix est retenu. Les étudiants se préparent pour le concours avec deux ans de cours de bachotage ou de “prépa”, n’obtenant un diplôme qu’à la fin s’ils réussissent. Les deux années sont très intenses et pas pour les plus timides, avec de très longues heures passées à étudier. Cependant, en plus de l’entrée dans les meilleures écoles de commerce, les étudiants qui réussissent sont récompensés par une éducation artistique libérale et un solide bagage quantitatif. L’accent est davantage mis sur le travail individuel que sur le travail de groupe. Les classes de “prépa” s’adressent aux lycéens français diplômés et accueillent très peu d’étudiants étrangers.
De nombreuses Grandes Ecoles proposent aujourd’hui une alternative à la prépa traditionnelle, notamment pour les étudiants ayant une vision plus globale et pour ceux qui recherchent des carrières en dehors du système français. Il existe un large éventail de cursus Bachelor, certains très pratiques, d’autres équilibrant théorie et pratique.
Le Bachelor in Management (BSc) d’ESCP Europe, par exemple, offre cet équilibre avec un mélange de modules de management, de langues, d’arts libéraux et de matières quantitatives. Le travail de groupe et les projets collectifs jouent un rôle important, s’ajoutant à un cursus attrayant pour les meilleurs étudiants intéressés par le management international.
La popularité de ces nouveaux programmes de Bachelor auprès des lycées français à l’étranger (et dans d’autres écoles internationales) s’explique par le fait que de nombreux étudiants recherchent une expérience plus internationale.
Pour ceux qui veulent travailler en France, quel est le meilleur système ?
Pour les étudiants qui souhaitent travailler en France, la prépa est un parcours reconnu, prestigieux et fréquenté; pour ceux qui ciblent les meilleures écoles de commerce de France, c’est le principal moyen d’accéder à leurs programmes Grande Ecole, avec très peu de places disponibles par d’autres moyens.
Pour les carrières internationales, les programmes de bachelor avec une forte exposition internationale sont généralement plus judicieux. Les étudiants peuvent poursuivre leur master directement après l’obtention de leur diplôme ou après plusieurs années d’expérience professionnelle.
Quelle est la composition actuelle des cohortes dans les programmes ESCP Europe ?
Notre Bachelor est composé de 50 nationalités, dont 27% de Français, 15% d’Allemands et 15% d’Italiens. Pour le Master en Management, la part de Français atteint 49%
Comment choisir le bon établissement ?
Pour ce qui est de la prépa, regardez les classements des établissements et parlez à vos professeurs et les anciens élèves de votre lycée qui sont passés par la “prepa” qui vous intéresse. Ciblez une prépa où vous serez dans la première moitié de la classe. Vous avez besoin d’une stimulation intellectuelle, mais il peut être décourageant d’aller vers le bas dans une institution de haut niveau.
Si vous êtes raisonnablement sûr de vouloir étudier le management et que vous souhaitez vivre dans un environnement international, des programmes comme le Bachelor ESCP Europe sont la meilleure option et offrent les avantages supplémentaires des langues et des arts libéraux pour ouvrir l’esprit à de nouvelles disciplines liées au monde des affaires.
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