Accueil Blog Page 724

Bûche de Noël et vin chaud à l'Alliance française de Washington

Pourquoi attendre Noël pour sortir vin chaud et bûche ? L’Alliance française de Washington organise un “happy hour à la française” le 7 décembre de 5pm à 6:30pm pour manger, boire, être heureux et quand même permettre aux non-francophones de pratiquer la langue de Molière.
Le rendez-vous, en français et en anglais, est ouvert aux non-membres de l’Alliance française. Il est recommandé de réserver à l’avance. 5 dollars pour une part de bûche, 10 dollars pour une part accompagnée de vin chaud (hors frais de traitement).
 

François Molins et Cyrus Vance Jr. parlent terrorisme au Consulat de France

Ce sont deux poids lourds de la justice qui seront rassemblés au consulat de France à New York. Le procureur de la République de Paris François Molins et le “District attorney” (DA) du comté de New York Cyrus Vance Jr. parleront lutte anti-terroriste lors de la prochaine “Conférence 934” le lundi 11 décembre.
Les deux “procs” sont confrontés, chacun dans leur ville, à la menace terroriste. Ancien directeur de cabinet de la ministre de l’Intérieur Michèle Alliot-Marie, François Molins a été révélé au grand public au moment des attentats de Charlie Hebdo et de l’Hypercacher à Paris en janvier 2015. Elu en 2010, Cyrus Vance Jr a poursuivi de nombreux individus suspectés de vouloir attaquer New York.
Lors de la conférence gratuite, il parleront du rôle des médias sociaux dans la radicalisation des terroristes et de l’aide que ces nouvelles plateformes peuvent apporter aux enquêteurs.

Votez pour le meilleur croissant de New York

Vous vous souvenez -avec émotion- de notre concours Best Baguette, c’est le moment maintenant de découvrir Best Croissant. Aidez-nous, et surtout aidez les New-Yorkais à répondre enfin à la question qui nous taraude: “où trouver de bons croissants ?”
Le principe: nos lecteurs nous donnent leurs boulangeries préférées (trois réponses possibles); les 15 premiers seront qualifiés pour une grande finale, organisée le 27 janvier 2018. Là, un jury de professionnels goûtera -à l’aveugle- les précieuses viennoiseries présentées par les finalistes. Vous pourrez assister à l’évènement, goûter vous-même les croissants et voter pour votre favori, tout en participant à un brunch géant.
C’est à vous de jouer! Dites nous où vous trouvez le meilleur croissant dans le grand New-York (tri-state area), quel que soit l’endroit (boulangerie, supermarché, deli…). Nous nous assurerons ensuite que les viennoiseries sont bien fabriquées artisanalement de A à Z. Tous les critères sont admis dans votre choix, que vous les aimiez bien croustillants ou très moelleux, ou que vous privilégiez le sourire du boulanger -ou de la boulangère. Vous pouvez entrer, dans l’ordre de préférence, jusqu’à trois établissements:
Loading…

Pourquoi aime-t-on boire du jus de tomate dans l'avion ?

Quand ils montent dans l’avion, certains passagers sont saisis d’un mal étrange. Alors qu’ils ne boivent jamais de jus de tomate quand ils ont les pieds sur terre, ils en consomment en l’air. Pourquoi ? C’est la question bête de la semaine.
Si vous êtes coutumier du fait, sachez que vous n’êtes pas le seul. Scientifiques et compagnies aériennes se penchent depuis longtemps sur cette épineuse question. Il y a plusieurs années, la compagnie allemande Lufthansa a tenté d’éclaircir le mystère après avoir constaté que ses passagers assoiffés engloutissaient 1,3 million de litres de jus de tomate par an, soit presque autant que la bière (1,7 million). Un centre de recherche que Lufthansa a chargé de mener l’enquête a placé des individus dans un simulateur et a trouvé qu’ils préféraient systématiquement le jus de tomate en situation de vol qu’en dehors.
Pourquoi ? Certains chercheurs répondront “le niveau sonore”. C’est le cas de Robin Dando, spécialiste des sciences de la nourriture à Cornell University. Partant du constat que le bruit affecte les facultés gustatives, il a exposé plusieurs personnes à un bruit continu de 85 décibels, similaire à celui enregistré lors d’un vol. Les “cobayes” ont noté que le goût du jus de tomate était plus marqué que quand il était testé dans des conditions normales.
La raison: l’umami, une des cinq saveurs de base avec le sucré, l’acide, l’amer et le salé. Riche, onctueuse et plaisante, on la retrouve dans le jus de tomate et dans d’autres aliments comme le fromage, le jus de soja et les champignons grillés. Contrairement au sucré ou au salé, les chercheurs ont trouvé que la sensation de l’umami n’était pas altérée par le bruit environnant. “Le meilleur jus de tomate se trouve dans l’avion, résume Robin Dando. On n’observe pas le même phénomène dans les restaurants très bruyants car le niveau sonore n’atteint jamais celui d’un avion. On est aussi exposé au bruit de manière prolongée dans un avion. C’est l’un des seuls environnements où cela se produit“.
Autre raison avancée dans des études différentes: la pressurisation de la cabine. À plusieurs centaines de kilomètres d’altitude, les sens changent. À cause du manque d’oxygène, les récepteurs gustatifs et olfactifs sont moins efficaces. L’air est également plus sec, ce qui ternit la saveur des aliments sucrés et salés – et explique pourquoi vous pensez que votre plateau-repas n’a pas de goût. Grâce à ses propriétés, le jus de tomate échappe à ce phénomène.
La science ne répond pas pour autant à la question essentielle: pourquoi prend-t-on du jus de tomate en premier lieu ? Pour Robin Dando, “il y a des facteurs contextuels“. “Quand ils prennent l’avion, les gens sont excités. Ils partent en voyage, vont découvrir quelque chose de nouveau. Choisir une boisson nouvelle participe probablement de cela, dit-il. Anecdotiquement, des voyageurs m’ont aussi dit qu’ils prenaient du jus de tomate à l’aéroport“. D’autres mettent en avant le phénomène de mimétisme: un passager entend un de ses voisins commander du jus de tomate et se laisse tenter à son tour.
En tout cas, les compagnies aériennes sont prévenues: elles peuvent rogner l’espace entre les sièges, faire payer les valises en soute, mais elles n’ont pas intérêt à toucher au jus de tomate. Il est intéressant de noter que la boisson a traversé l’histoire de l’aviation sans connaître de turbulences. Proposée dès les premiers vols commerciaux, elle n’est jamais devenue payante contrairement à certaines boissons alcoolisées dans les années 70, quand l’accroissement de la compétition a poussé les compagnies aériennes à facturer des services. Tournée de jus de tomate pour tous.

Le député Roland Lescure lance sa plateforme de consultation citoyenne

Impliquer les Français d’Amérique du Nord dans le travail législatif: c’est l’ambition de la plateforme que le député Roland Lescure a prévu de lancer mardi 5 décembre en partenariat avec la start-up Fluicity.
La création d’une telle plateforme était un engagement de campagne du candidat de La République en Marche, élu en juin. Elle aura plusieurs fonctionnalités: “consulter l’actualité législative française en continu ; faire des propositions directement au député ; voter pour les publications des autres Français présents sur la plateforme ; participer à des appels à idées sur des thématiques précises“, peut-on lire dans le communiqué de presse du député des Français d’Amérique du Nord et de Fluicity.
Cette dernière est bien connue dans le monde en plein essor des “civic tech”. L’application permet de stimuler la participation citoyenne au niveau local en favorisant l’interaction avec les élus. Cette “agora virtuelle”, qui a décroché plusieurs prix d’innovation, a été déployée dans une dizaines de collectivités territoriales francophones.

Le premier Decathlon américain a ouvert à San Francisco

Onze ans après une première tentative, Decathlon repart à la conquête des Etats-Unis. Le leader mondial de la distribution d’articles de sport a choisi San Francisco pour installer son premier magasin outre-Atlantique, qui a ouvert ses portes vendredi 1er décembre sur Market Street, l’artère principale de la Fog City.

À l’entrée du point de vente de 800 m2, la tente 2 secondes est fidèle au poste, ainsi qu’une armada de vendeurs très serviables, vêtus de la traditionnelle veste sans manche bleue et blanche floquée Decathlon. Le petit banc gris métallique où l’on s’assoit pour essayer une paire de basket ne manque pas non plus à l’appel. On est bien chez “Decat”.

Après un faux départ en 1999 dans la banlieue de Boston suite au rachat des magasins MVP Sports, l’enseigne de la famille Mulliez aborde désormais le marché américain différemment. « Ce n’était pas la même histoire il y a vingt ans, nous ne sommes plus la même entreprise. C’est comme si on venait ici pour la première fois », souligne Michel d’Humières, PDG de Decathlon USA, qui compte déjà une équipe d’une quarantaine de personnes.

À tâtons au coeur de l’innovation

Ce n’est pas un hasard si Decathlon a mis le cap sur San Francisco pour cette nouvelle tentative. « La Baie est une région où tous les sports sont représentés, avec une exigence forte et des niveaux sportifs plutôt élevés, ce qui est un bon test pour nos produits , explique Michel d’Humières. Cet écosystème nous convient et nous permet d’être au coeur de l’innovation aussi bien au niveau produit que dans notre façon de travailler ».

Pas d’ouverture en grande pompe, ni d’ambitions débordantes pour autant, l’équipementier souhaite y aller à tâtons, en proposant 2.000 références en magasin et 5.000 sur son site internet afin de vendre ses produits dans tout le pays. « Au-delà du simple espace de vente, c’est l’idée de mélanger le magasin physique et les ventes en ligne de façon à ce qu’il y ait un début d’expérience pour nos nouveaux utilisateurs américains au travers de ce laboratoire », détaille le PDG.

Le pitch des vendeurs est bien huilé : « nous créons, concevons et vendons nos propres produits », peut-on entendre entre deux allées. Le magasin a été conçu « comme un lieu de rencontre » pour faire découvrir Decathlon aux Américains. Les prix de deux best-sellers de la marque Quechua n’ont pas à rougir à côté de ceux du marché français : le petit sac à dos est à 3,49 $ (1,99 € en France) et la tente deux places à 49,95 $ (49,99 € en France). Pour Michel D’Humières il s’agit du « smart price » qui sera pratiqué à San Francisco, « comme ailleurs… ».

Des bourses pour étudier ou faire de la recherche en France ou au Québec

0

Vous êtes étudiant ou chercheur américain et un passage par la case France vous intéresse ? La Société des Professeurs Français et Francophones d’Amérique (SPFFA) vous attend. L’association a ouvert les candidatures pour ses différentes bourses destinées à ouvrir les portes de la France et du Québec aux étudiants et chercheurs américains. Date limite: le 15 janvier.
Réservée aux étudiants de premier cycle (“undergraduates”), aux étudiants de master ou en doctorat ou post-doc, les bourses nommées Jeanne Maradon sont essentiellement destinées aux étudiants et chercheurs spécialisés dans les arts, la musique, l’histoire, la communication, les sciences sociales et la littérature. D’autres bourses sont réservées aux étudiants dans le domaine des sciences. Enfin, des bourses d’été pour des étudiants qui utilisent le français dans leur champ d’étude sont également proposées pour participer à un programme d’été au Québec. Montant des aides: de 1.500 à 25.000 dollars.

Noël 2017 : "Say Cheese !" sur Le Marché

Vous êtes Français. Donc statistiquement, vous consommez plus de 25 kg de fromage chaque année. Oui, mais vous habitez Etats-Unis où il est difficile de trouver de bons fromages de nos régions. Mais ça, c’était avant que French Morning ne s’en mêle.

Nous sommes heureux de vous annoncer l’arrivée de plateaux de fromages sur Le Marché, notre épicerie en ligne.
Et comme nous connaissons l’exigence de nos lecteurs, nous avons choisi des fromages issus de fermes locales aux quatre coins de la France. Pour cela, nous collaborons avec un leader dans la distribution de fromages à l’étranger, qui affine ses produits à Tours. Il coupe les fromages (si besoin), les emballe sous-vide et les envoie dans des colis dont l’emballage est conçu pour résister au voyage jusqu’à votre lieu de résidence. Et comme on sait que vous avez faim, la livraison est assurée dans un délai de 24 à 48h seulement. La fraîcheur du fromage est ainsi garantie.
Trois plateaux de fromages sont désormais disponibles et seront parfaits pour votre table des fêtes de fin d’année: C’est ici !
Un premier plateau de cinq fromages (995 g), conçu pour plaire à tous et à toutes: Crottin, Camembert de Normandie, Reblochon, Comté et Roquefort seront au menu.
Un second plateau de six fromages (1040 g), pour un voyage aux quatre coins de la France: départ en Provence avec le Banon, deuxième stop dans la vallée de la Loire pour le Chabichou du Poitou avant de s’aventurer en Auvergne avec le célèbre St Nectaire, puis, direction la région parisienne avec le Brie de Meaux. Ce tour de l’hexagone continuera en Alsace avec le fameux Munster avant de se terminer en Savoie avec le goût de la montagne et la belle longueur en bouche du Beaufort.
Enfin, pour un repas de Réveillon digne de ce nom, dix fromages réunis (liste ci-dessous) sur un plateau de 1945 g. Fromage de vache, de chèvre ou de brebis, il y en aura pour tous les goûts:
Camembert de Normandie
Comté 18 mois
Roquefort
Crottin
Reblochon
Langres
Valencay
Perail de Brebis
Plaisir au Chablis
Pont l’Evêque
Selon les saisons, le plateau est susceptible d’être modifié.
 

Avant le défilé, les candidates à Miss France à l'heure californienne

Elles n’ont pas défilé devant Jean-Pierre Foucault et des millions de téléspectateurs ce soir-là. Les trente aspirantes Miss France 2018 ont chaussé leurs talons transparents, mardi 28 novembre, pour venir prendre la pause avec le Consul de France, Christophe Lemoine, concluant leur séjour de préparation en Californie.
Avant de se soumettre au vote des Français le 16 décembre, les Miss régionales auront connu leur moment de gloire. “A notre arrivée à LAX, nous avons été accueillies comme des stars. Il y avait de nombreux paparazzi, nous avons dû retourner notre écharpe”, raconte Miss Tahiti, Turouru Temorere, 21 ans. Pour elle, la pression est immense, même si elle travaille dessus : “Cela fait cinq ans que les Miss Tahiti se retrouvent sur le podium.”
Entre deux toasts au roquefort ou à la tapenade de tomates séchées à la Résidence de France de Los Angeles, elles racontent leurs aventures à Palm Spring et Los Angeles. Découverte des coulisses d’un studio de tournage, patin à roulettes sur la piste de Santa Monica, vol en montgolfière, déambulation sur le “Walk of Fame”, randonnée équestre jusqu’au signe Hollywood : les activités n’ont pas manqué durant le séjour, premier de ce genre en Californie. Un voyage organisé en partenariat avec l’organisation touristique Visit California, qui avait fait venir Raid Amazones d’Alexandre Debanne l’an dernier.
Pour Miss Provence 2017, Kleofina Pnishi, qui veut devenir comédienne, ce voyage avait des “airs de coïncidence”. “Palm Spring, c’était comme dans un film”, assure la jeune femme de 23 ans qui a “visité” la faille de San Andreas. Pour les reines de beauté, vêtues comme des poupées ce soir-là, ce séjour laisse des étoiles dans les yeux, et quelques cernes camouflées par le maquillage.


Auprès de la presse et des invités de la Résidence de France, elles se prêtent volontiers aux selfies. Et pourtant une question leur brûle les lèvres : “quels sont vos pronostics ?”, “qui est votre favorite ?”, questionnent-elles, au hasard des conversations.
Pour la plupart d’entre elles, cette virée américaine était une première. Malgré l’excitation, elles sont nombreuses à avoir eu le mal du pays. “Nous n’avions pas les téléphones la journée et avec le décalage, c’était dur d’appeler nos parents”, assure Miss Franche Comté, Mathilde Klinguer.
Qu’elles se qualifient ou non, l’aventure aura été belle. Des amitiés, comme des rivalités, se sont créées, et durant deux semaines, la compétition a “presque” été oubliée, selon leurs dires. “C’est maintenant que ça commence”, avoue Lison Di Martino, qui représente l’Île-de France. Qu’importe les résultats, le Consul leur a rappelé que “le concours ouvre des perspectives et des horizons”.

9 cadeaux "made in Houston” à offrir à Noël

 

Les tenues en Wax Onyii Brown

onyiiLa créatrice houstonienne Onyii Brown remet le wax, traditionnel tissu africain, au goût du jour. Résultat ? Un vestiaire citadin aux imprimés colorés : crop top, vestes réversibles et robes longues pour une silhouette féminine et contemporaine. Chez Launch, 701 Avenida De Las Americas ou sur le site 

Les bougies Manready Mercantile

wax candle manreadyCes bougies fabriquées à partir de cire de soja ont fait le succès de Manready Mercantile, une petite boutique des Heights élue parmi les 25 meilleurs boutiques des Etats-Unis par le très branché magazine GQ. A la boutique Manready Mercantile, 321 W 19th St. Site

Les echarpes tissées main The Community Cloth

scarfUne alternative équitable pour vos cadeaux de Noël : tous les produits vendus par The Community Cloth sont fabriqués par des artisans réfugiés. La magnifique collection d’écharpes, riche en couleurs, est tissée par des femmes birmanes en tencel – une fibre eco-friendly fabriquée à partir d’eucalyptus. The Community Cloth, 6440 Hillcroft Ave. Site

Les sacs et accessoires en cuir Elphile

elphileLes sacs de Gwen Lecoz sont devenus des incontournables au Texas! La Française installée à Houston a créé sa marque d’accessoires mode pour femme, Elphile, en 2013, et vient de lancer son site de vente en ligne. Des pochettes, des sacs, des bracelets fabriqués dans les meilleurs cuirs en séries limitées. Sur rendez-vous au studio ou sur le site

Les stylos en bois de Nick Tuba

nicktubaNick Gonzalez alias “Nick Tuba”, musicien et menuisier, et sa femme Katy créent d’élégants stylos en bois dans leur atelier de Houston. Chêne, cèdre rouge, pécan : ils utilisent majoritairement des essences texanes pour réaliser ces magnifiques pièces uniques. Vous les trouverez chez Anvil Cards, 2356 Bissonnet St. Site

Les T-Shirts “My Houston” de Anvil Cards

tshirt houston relief fundPour clamer votre amour de Houston au monde entier et faire une bonne action : tous les profits des ventes sont redistribués au fonds de solidarité au profit des sinistrés de l’ouragan Harvey, créé par le maire de Houston. Anvil Cards, 2356 Bissonnet St Houston ou sur le site

Les boucles d’oreilles Texas Strong de Brenda Grands

Texas-EarringsCes boucles d’oreilles plaqué or ont la forme de l’Etat du Texas et ont été imaginées par la créatrice de bijoux Brenda Grands, Colombienne installée à Houston. Chez Baanou, River Oaks District, 4444 Westheimer Rd d135 ou sur le site

Le “Wine Wrap” en cuir 100% Texas

leather-wine-wrapPour donner un look texan à vos bouteilles, voici un habillage en cuir fait à la main à Houston. Chez Launch 701 Avenida De Las Americas ou en ligne

Le hochet Three Hearts

hochetIl n’y a pas d’âge pour afficher son amour du Texas ! La designer Linda Trieu, installée dans les Heights, propose deux versions du hochet “I love Texas”, l’une en bois, l’autre en silicone, déclinée en cinq coloris acidulés. Sur le site

L'Alliance française de Dallas tient son marché de Noël

Ce n’est pas encore le moment de paniquer si vous n’avez pas encore de cadeaux. Pour vous éviter le “rush” de dernière minute, rendez-vous au marché de Noël de l’Alliance française de Dallas, quatrième du nom, le dimanche 3 décembre de 10am à 4pm à la Dallas International School. 
Ce marché en plein air réunit plusieurs commerçants et artisans français et américains vendant des produits alimentaires, de la joaillerie, de l’art, de la porterie, des accessoires et des vêtements notamment. Des activités pour enfants sont également au programme, dont une photo avec le Père Noël (le vrai), des tours en poney et des performances de cirque.
 

Pourquoi les sapins de Noël à New York sont-ils vendus par des Québécois ?

Si vous achetez votre sapin de Noël à New York, il y a de fortes chances pour que vous ayez affaire à un vendeur québécois. Pourquoi ?
Une loi de 1938 permet à ces vendeurs d’investir une partie du trottoir, sans permis, à condition d’avoir la permission du propriétaire du bâtiment riverain. Ils passent toute la journée dans la rue – à New York, les sapins posent un risque d’incendies et ne peuvent donc pas être vendus à l’intérieur -, ou dans leurs cabanes, et beaucoup dorment dans leurs camionnettes et se douchent chez l’habitant.
La présence à New York de nombreux vendeurs venus du nord ne date pas d’hier. En 1995, le New York Times parlait déjà “d’invasion des Canadiens à Manhattan”, expliquant que les vendeurs venaient à New York avec leurs sapins en provenance du New Brunswick et de la Nouvelle-Écosse. L’an dernier, ils étaient “des centaines”, selon le journal canadien Globe and Mail.
Raphaël, qui, à l’instar des autres vendeurs souhaite rester anonyme, occupe un stand à proximité du Flatiron Building. Emmitouflé dans une grosse parka noire, ce Québécois explique “charger” 70 dollars pour un petit sapin, 200 pour un grand. Les sapins ne viennent plus du Québec. Aujourd’hui, ils poussent en Caroline du Nord mais la tradition du vendeur québécois perdure”. Il y a plusieurs années, les sapins de cet Etat sont devenus moins chers que les canadiens. La Caroline du Nord est le second fournisseur de sapins aux Etats-Unis derrière l’Oregon et se targue de produire “plus de 20% des vrais sapins de Noël aux Etats-Unis“.
Deux conifères dans les mains, Alexis, vendeur dans le quartier de Chelsea, ajoute que “les Québécois sont des durs à cuire“. Selon lui, “les New-Yorkais ne veulent pas faire ce genre de job. Nous, on est habitué au froid“. Des Québécois plus résistants que les New-Yorkais et surtout meilleurs vendeurs? C’est du moins ce que pense François, vendeur sur 102nd Street et Broadway, interrogé par French Morning en 2014.  “Les New-Yorkais sont ennuyeux. Il n’y a pas de surprise… Pour vendre un arbre, il faut vendre une histoire. Je viens du Grand Nord. Je suis un peu le Père Noël pour eux”.
Pour un vendeur américain indépendant, la raison de l’emploi de la main d’oeuvre québécoise ne tient pas du folklore, mais du droit du travail. Il accuse l’homme d’affaires derrière le commerce de sapins Kevin Hammer, surnommé “le mythe” ou encore “le Bernie Madoff du sapin” de profiter de ce marché très peu régulé, à la différence d’autres activités de rue comme les “food stands”. “Kevin Hammer fait appel à des Québécois car il peut les sous-payer et les renouveler presque chaque année. Comme ça, personne ne met le nez dans son business“, raconte l’homme, qui souhaite garder l’anonymat. En 2007, deux vendeurs ont accusé Kevin Hammer de ne pas les avoir payés, comme l’a rapporté le Gothamist.J’ai été l’un de ses partenaires. Je supervisais une trentaine de stand et lui ai rapporté deux millions de dollars”, poursuit le vendeur new yorkais indépendant
Viré du jour au lendemain, il parle d’un business “sans règle écrite” ou le “cash est le seul maître“. “Il paye les commerçants au black pour avoir tous les emplacements et virer les nouveaux. Je n’ai plus qu’un seul stand cette année”. 
Aucun “sapineux” rencontré ne connaît Kevin Hammer. Son entreprise livre les sapins dont elle fixe les prix, et les vendeurs viennent les collecter dans des dépôts. La vente de sapin à New York est un business juteux qui attire des profils jeunes, autour de 30 ans, prêt à sacrifier leur confort pour se faire de l’argent. Alexis vend entre 500 et 1.000 unités sur la période de Noël. A un prix moyen de 50$, il peut engranger jusqu’à 50.000 dollars dont la moitié finira dans sa poche. De quoi passer un bon Noël quand même.