Estelle Tracy a commencé à aimer la myrtille comme elle a commencé à aimer la Pennsylvanie: “d’un amour qui mûrit lentement.” En hommage à ce fruit et à l’Etat, cette Française qui habite près de Philadelphie vient de publier Un amour de myrtille, un recueil culinaire de dix recettes (disponible en format papier ou numérique). Muesli, compotes, smoothies et autres muffins, chacune d’elles met à l’honneur la petite baie de couleur bleue, très répandue en Pennsylvanie.
Auteure du blog de cuisine “Le Hamburger et Le Croissant”, Estelle Tracy avait déjà publié un premier ouvrage, Le guide de survie alimentaire aux US en 2015. Si ce dernier était principalement dédié aux expatriés français, Un amour de myrtille s’adresse cette fois-ci “à toute la communauté francophone.”
Estelle Tracy a employé deux “testeuses”, l’une en France, l’autre aux États-Unis, “pour s’assurer que les recettes soient une réussite dans les deux pays”. Car si la myrtille sauvage de la région des Vosges donne une saveur légèrement amère, aux États-Unis, les bleuets cultivés offrent à l’inverse un goût plus doux. Aussi, pour chaque recette, l’auteure a indiqué les unités de mesures en version française et américaine (“cups” et “grammes”). Toutes les bonnes conditions sont rassemblées “pour que les lecteurs, à leur tour, succombent au charme de ce petit fruit !”
"Un amour de myrtille": l'hommage culinaire d'Estelle Tracy à la Pennsylvanie
Wonda VR, l'évangélisateur français de la création en réalité virtuelle
Wonda VR se plait aux Etats-Unis. Après un passage remarqué par SxSW à Austin, la start-up française vient de terminer le programme Play Labs, un nouvel accélérateur du MIT spécialisé dans la réalité augmentée et la réalité virtuelle (VR).
« C’est très excitant et un grand honneur de faire partie de la sélection. Nous étions la seule société française parmi douze start-ups sélectionnées, et en plus nous ne sommes même pas des anciens du MIT. Cela représente un gage de crédibilité incroyable auprès de l’opinion », estime Arnaud Dressen, fondateur de la société, venu à Boston accompagné de quatre collaborateurs.
Wonda VR a été décrit par son fondateur dans une interview comme un “évangélisateur de la création VR“. La start-up a mis en place une solution qui permet de monter des contenus interactifs sur des images 3D pour masques. Visites virtuelles, présentations de produits, narration: cette technologie peut trouver des applications dans des domaines aussi divers que la formation, l’éducation, le divertissement, le reportage journalistique, la fiction, le défilé de mode et l’expérience de marque.
« L’expérience redéfinit les codes. Elle est tellement forte et applicable à tellement de domaines qu’elle ouvre des possibilités énormes en termes de développement. Tous les créateurs ont envie de se frotter à cette expérience une fois qu’ils l’ont essayée tant elle permet un rapport très intime avec l’utilisateur. »
Avec le programme du MIT, qui organise une journée de démonstration le 15 août, la jeune pousse espère développer son réseau aux Etats-Unis et attirer l’attention d’investisseurs. Une aubaine pour la société créée en juin 2016 qui veut finaliser aux Etats-Unis sa campagne de levée de fonds entamée il y a quelques mois.
Devenue américaine depuis un mois, la société vient de signer successivement deux contrats majeurs aux Etats-Unis, dont un avec NYU. Après plusieurs rencontres, l’université a acheté une licence pour permettre à ses élèves de créer des expériences de réalité virtuelle pour découvrir trois villes où elle est implantée (New York, Shanghai, Florence).
Le groupe Pearson, plus gros éditeur de contenus pédagogiques au monde, a également acheté une licence pour réaliser des supports de formations et d’apprentissage à destination des élèves d’universités américaines. « Cela représente potentiellement des millions d’utilisateurs. »
4 événements pour suivre l'éclipse à New York
Le 21 août, à partir de 1:23pm, la très attendue “Great American Eclipse” va obscurcir le ciel. À New York, elle ne sera pas si “great” que ça, la ville étant située en dehors de la zone de totalité. Mais 71% du soleil sera tout de même couvert par la lune. Assez pour que plusieurs événements soient organisés pour assister au spectacle.
Pioneer Works
Le grand complexe artistique de Brooklyn, qui vaut le détour éclipse ou pas, ouvre gratuitement son jardin aux curieux entre 1pm et 4pm. L’association des astronomes amateurs de New York participera à l’événement. Télescopes et lunettes spéciales permettront de voir la lune passer devant le soleil en toute sécurité. Infos ici
American Museum of Natural History
Le musée d’histoire naturelle sort les grands moyens pour l’éclipse partielle. Dès 12:30pm, une discussion sera organisée avec Brian Levine, responsable des programmes jeunesse au musée, au sein de la Cullman Hall of the Universe. Puis, à 1pm, les curieux se rendront à l’extérieur pour assister à l’éclipse. Elle sera visible aussi dans l’enceinte du Rose Center, la section du musée dédiée à l’espace et à la terre, via une retransmission en direct des images de la NASA. Vous devrez payer votre ticket d’entrée au musée pour profiter de tout cela. Infos ici
À la bibliothèque
Plusieurs bibliothèques publiques new-yorkaises organisent des conférences sur l’éclipse jusqu’au 21 août. Le Jour-J, deux établissements dans le Bronx invitent les curieux à venir voir le spectacle: la West Farms Library (2085 Honeywell Avenue) et Pelham Bay Library (3060 Middletown Road). Plusieurs activités seront organisées pour l’occasion. Lunettes fournies.
Sur un bateau
L’antenne new-yorkaise de l’American Institute of Architects organise d’ordinaire des visites guidées en bateau liées à l’architecture new-yorkaise. Pour le 21 août, l’une de ces visites sera consacrée à l’éclipse. Il se peut que les places partent vite, alors n’attendez pas. La croisière durera de 1:45pm à 4:30pm. Infos et tickets ici
Sinon…
Pour voir l’éclipse confortablement, n’importe quel parc peut faire l’affaire: Central Park à Manhattan, Prospect Park à Brooklyn ou Corona Park à Queens. Plusieurs toits sont recommandés, comme celui du Met (par le site Curbed). Vous pouvez aussi tester celui, moins connu, du bâtiment d’Empire Stores à DUMBO (53-83 Water Street).
10 expressions américaines pour améliorer vos conversations
On le sait: vous parlez tous l’anglais comme Shakespeare. En tout cas, c’est ce que vous pensez. Pour vous aider à briller encore plus en société, on a sélectionné dix expressions à recaser à tout prix.
- Take a rain check
Plutôt que de dire “another time“, utilisez cette expression pour dire au “date” qui vous courtise que vous ne pouvez pas le voir à la date proposée mais que vous aimeriez le voir plus tard.
- Jump the gun
Une belle expression pour désigner une action prématurée. Ex: “He jumped the gun when he asked her to be his girlfriend after one Tinder date”.
- Bad hair day
Pourquoi dire “I’m having a bad day” quand on peut dire “I’m having a bad hair day“. C’est la différence entre être Français et Américain.
- What’s up ?
Il n’y a que les Français pour dire “how are you” à leurs amis. Essayez “what’s up?” et vous vous impressionnerez vos amis américains. Si quelqu’un vous demande “what’s up?“, résistez à la tentation de répondre de manière détaillée. Un “I’m good” en réponse suffit amplement.
- Grab a drink / a bite
On peut dire “let’s have a drink“, mais on peut aussi dire, comme Homer, “let’s grab a drink” pour se mettre à la page.
- I’m still working (au restaurant)
C’est sans doute l’une des expressions qui déconcerte le plus les Français au restaurant. Le serveur rapplique et vous demande “still working ?” pour savoir si vous avez fini de manger. Répondez tout simplement que “I’m still working” et tout ira bien.
- All set
Oubliez “I’m ready“, privilégiez dorénavant “I’m all set” pour signifier que vous êtes prêts, comme Harrison Ford.
- My bad!
En arrivant de France, vous utilisiez certainement “it’s my fault“. Là encore, américanisez votre vocabulaire et privilégiez “My bad!“. Ex: “I forgot to read French Morning today. My bad!“
- Ride shotgun
Bon courage pour deviner ce que signifie cette expression. On vous fait gagner du temps. Il s’agit de la “place du mort” dans une voiture, à savoir le siège passager à l’avant de la voiture, la plus exposée en cas d’accident.
- Shoot me an email
Dire “send me an email” est l’apanage des Français qui viennent d’arriver. Pour vous fondre dans la masse, dites “shoot me an email“. Un peu plus violent, mais efficace.
Patti Smith à Central Park pour un concert en famille
“Because the night” ou encore “Gloria”, c’est elle. Faite commandeur des Arts et des Lettres par la France en 2007, la chanteuse Patti Smith sera en concert le jeudi 14 septembre à Central Park, accompagné de ses enfants Jackson et Jesse Smith. Ce concert aura une saveur particulière puisque il sera dédié à Fred “Sonic” Smith, son mari défunt.
Son album “Horses”, sorti en 1975, est considéré comme précurseur du mouvement punk-rock. Cette proche du photographe de génie Robert Mapplethorpe y reprend notamment “Gloria” de Van Morrisson en débutant par “Jésus est mort pour les péchés de quelqu’un, mais pas les miens“. En 2003, il fut classé 44e meilleur album de tous les temps par le magazine Rolling Stone. Son plus grand succès, “Because the night”, a été co-écrit par Bruce Springsteen.
Très engagée dans ses textes, la native de Chicago, soutien de Barack Obama, s’est battue pour l’environnement en musique au travers de son album “Banga”, sorti en 2012.
"La Rupture" de Claude Chabrol s'invite à Berkeley
Un peu de Chabrol pour finir la semaine ? Le Berkeley Art Museum Pacific Film Archive (BAMPFA) projette dimanche 13 août “La Rupture” de Claude Chabrol. Sorti en 1970, ce mélodrame est basé sur un roman de l’Américaine Charlotte Armstrong. Maitre du mystère, chabrol, le “Hitchcock français” y ajoute sa patte tout en s’inspirant de Fritz Lang. Grand réalisateur utilisant le cinéma pour dévoiler des sujets noirs, la mort, la peur et la part d ombre chez l’homme On retrouve dans le casting Stephane Audran, Jean-Pierre Cassel, Michel Bouquet et Annie Cordy.
Le film raconte l’histoire des Régnier. Le père, Charles, est un toxicomane. Quand il blesse son jeune fils Michel dans un accès de rage, sa femme Hélène prend peur et le quitte. Elle est jouée par Stephane Audran, femme de Claude Chabrol. Riche et manipulateur, le grand-père cherche à récupérer son petit-fils en salissant l’image de sa mère, et en la tenant responsable de l’état mental de Charles. Il engage donc Paul Thomas (Jean-Pierre Cassel) et le charge de déshonorer voire tuer Hélène.
Le ticket donne un accès gratuit à la galerie du musée et 10% de réduction au Babette Café.
Quatre promenades à vélo pour prendre l'air à San Francisco
La plus emblématique : Du Golden Gate Bridge à Sausalito (10 miles)
C’est certainement l’une des meilleures manières de traverser le célèbre pont rouge. Partez d’Embarcadero ou du Pier 39 puis longez la baie via Fort Mason, la Marina et Crissy Field.
Sur le pont, restez vigilant car vous partagez votre piste avec les piétons. De l’autre côté du Golden Gate Bridge, faites un stop au Vista Point pour immortaliser le pont et la skyline de San Francisco en toile de fond. Attention, l’endroit est souvent bondé, vous ne serez pas le seul à enchaîner les selfies ! Après une longue descente et une montée (la seule du parcours), descendez sur Sausalito, ancien village de pêcheur réputé pour ses maisons flottantes.
Pour le retour, deux options s’offrent à vous : faire le trajet en sens inverse pour traverser le pont une nouvelle fois, ou bien laissez-vous porter au fil de l’eau en empruntant le ferry (vélos autorisés à bord) qui débarque les passagers à l’embarcadère de San Francisco.
La plus océanique : Du zoo au Parc de Lands End (4,5 miles)
Pour pédaler en respirant l’air iodé, sans jamais perdre les vagues de vue du début à la fin de la balade. Partez du San Francisco Zoo et longez la plage sur la piste cyclable. La route est plate jusqu’à Balbao Street.
Il vous reste ensuite 1 mile pour vous rendre au parc de Lands End avec, en contrebas, les ruines des Sutro Baths, le plus grand complexe aquatique de la fin du XIXème siècle. Préparez vos mollets car la pente est raide mais la vue vaut le détour !
La plus urbaine : D’Ocean Beach à Alamo Square (5 miles)
Pour arpenter le Golden Gate Park d’Ouest en Est (ou l’inverse), mieux vaut le faire à vélo. Avec une superficie de 412 hectares, le Golden Gate Park est 20 % plus large que Central Park à New York. Si vous partez de la plage d’Ocean Beach, prenez John F Kennedy Drive et faites un stop au Japanese Garden.
Continuez en direction du quartier hippie en passant par Haight Street puis empruntez Broderick et Fulton Street pour éviter les côtes. Prévoyez des cadenas pour attacher vos vélos en bas d’Alamo Square afin de pouvoir monter en haut du parc pour admirer les Painted Ladies et la skyline de San Francisco en arrière-plan.
La plus sportive : Grimper au sommet de Twin Peaks (2 miles)
Et si vous montiez au sommet des collines jumelles de San Francisco à la force de vos jambes ? C’est la balade la plus courte mais certainement la plus intense. Culminant à 280 mètres, Twin Peaks offre une vue 360 ° sur tous les quartiers de la ville.
Le mieux est de s’y rendre en fin de journée pour admirer le coucher de soleil colorer le ciel de la Fog City d’un dégradé pastel. La route menant au sommet est accessible par le nord ou par le sud des pics jumeaux. Il suffit d’emprunter le Twin Peaks Boulevard.
"Happy Arty Wednesday" avec l'écrivain français Bernard Thomasson à Miami
Jack Rocher tente par tous les moyens d’échapper à la solitude. Jusqu’au jour où ce présentateur télé rencontre Mel, une jeune femme américaine à Miami, où il est parti s’installer.
Tel est le synopsis du nouveau roman du journaliste Bernard Thomasson, Les Fantômes du 3ème étage paru aux éditions du Seuil en avril. Mercredi 9 août, l’écrivain et journaliste français le présentera en personne au Butterfly Ball. Bernard Thomasson est l’auteur de plusieurs romans tels que Ma Petite Française (2011), rédacteur-en-chef adjoint à France Info et membre du jury de plusieurs prix de poésie tel que le Nikos Gatsos.
L’échange marque le coup d’envoi des Happy Arty Wednesday, un évènement organisé par la réseau French Art Associates en partenariat avec le Centre de la Francophonie de la Floride et des Caraïbes. L’entrée est gratuite mais le RSVP est obligatoire.
Le Film Forum de New York rend hommage à Jeanne Moreau en août
C’était une icône du cinéma français. Le Film Forum rend hommage à Jeanne Moreau, du vendredi 4 au samedi 26 août. L’occasion de saluer une dernière fois l’oeuvre de la chanteuse, actrice, comédienne et réalisatrice qui, de 1949 à 2017, tourna dans plus de 130 films.
Deux films seront proposés: “Ascenseur pour l’échafaud” de Louis Malle avec Lino Ventura est projeté jusqu’au 17 août. C’est le film qui lança la carrière de Jeanne Moreau en 1958. La bande originale du film signée Miles Davis est une merveille. Le pitch: ancien parachutiste tue son patron avec l’aide de la femme de celui-ci. Il oublie cependant un indice sur la scène de crime, et se retrouve bloqué dans l’ascenseur en cherchant à retourner sur les lieux.
“Journal d’une femme de chambre” de Luis Buñuel, sorti en 1964, sera diffusé du vendredi 11 au jeudi 17 août. Une femme de chambre part en province pour son nouveau poste. La maîtresse de maison est hautaine et son mari lui fait des avances. Elle se voit obligée de côtoyer Joseph, le palefrenier de la maison et se prend d’affection pour Claire, une petite fille. Puis, cette dernière est retrouvée morte. Persuadée de la culpabilité de Joseph, la femme de chambre décide de s’en mêler.
Avec Shape House, Sophie Chiche fait suer les Américains
“Le corps est comme une vieille voiture. Si on ne prend pas soin de lui, il ne fonctionne plus.” A 50 ans, Sophie Chiche en paraît dix de moins. Et elle le doit à un projet de vie qui s’est concrétisé par la création de Shape House en 2013, une maison de sudation. Fin décembre, elle a ouvert son quatrième local à West Hollywood (après Larchmont, Santa Monica, Pasadena).
Comment Shape House fonctionne-t-il ? Après s’être hydratés et avoir revêtu une tenue en coton, les clients sont placés sur un lit et recouverts d’une couverture chauffante pendant une heure. Exposé à une température élevée, le corps va s’auto-réguler et transpirer massivement. “Cela permet de “détoxiner” notre corps de manière naturelle. Le nombre de calories perdues est équivalent à un footing, sans construire de muscle“, explique Sophie Chiche.
Chaque mois, 5.000 personnes fréquentent Shape House pour perdre du poids, arrêter de fumer, améliorer l’élasticité de leur peau ou encore les aider à dormir.
L’une des plus fidèles clientes de Sophie Chiche n’est autre que la chanteuse Selena Gomez. Elle a fait la promotion de cette sudation qui annihile les effets de sa maladie auto-immune (lupus) à la télévision. “Mais je n’aide pas les gens de manière médicale, juste à se sentir mieux“, précise Sophie Chiche.
Tombée amoureuse de Los Angeles à 17 ans, la Parisienne, ancienne pigiste bien-être, à passé un diplôme en psychologie avant de travailler au développement international de la boîte de conseil de son mari.
Mais tout n’est pas rose pour Sophie Chiche. “J’avais fait le tour de la balance, je faisais plus de 145 kg. Je mangeais chaque fois que j’étais triste, raconte-t-elle. Je me suis retrouvée la tête dans le frigo en pleine nuit et je me suis dit que ça suffisait. C’était il y a douze ans.” La Française décide alors de se reprendre en main, et perd 80 kilos en une dizaine d’années en changeant ses habitudes alimentaires.
Ne pouvant pas faire d’exercice à cause de sa carrure, elle trouve alors la solution de transpirer. Elle arrive à l’idée de Shape House et ouvre sa première maison à Larchmont il y a quatre ans grâce à des fonds personnels.
Responsable d’une cinquantaine d’employés aujourd’hui, elle a été rejointe par plusieurs investisseurs. Sophie Chiche prévoit d’ouvrir un local à New York en 2018. “Beaucoup de gens croient au projet. Une de mes clientes veut investir. Je veux avoir des Shape House dans tous les environnements urbains“, avance-t-elle. Avant cela, elle compte poursuivre l’essor de Shape House en Californie, et en ouvrir quatre autres en 2017 : un dans la Valley, San Francisco, San Diego et Orange County.
Elle veut aussi publier un livre autobiographique : “J’ai trouvé des moyens plein de bon sens pour mincir, j’ai envie de les partager.“
5 activités gratuites à faire en août à Miami
Découvrir une exposition sur le Mexique au Frost Art Museum
Le Frost Art Museum dédie une exposition intitulée “Becoming Mexico” aux clichés du mexicain Manuel Carrillo (1906-1989). Avec une précision presque anthropologique, le photographe a, tout au long de sa carrière, focalisé son travail sur les rituels, pratiques locales et activités quotidiennes de son pays en hommage à la culture indigène. Jusqu’au 17 septembre. Frost Art Museum, 10975 SW 17th St. Du mardi au samedi de 10am à 5pm et le dimanche de 12am à 5pm. Plus d’infos ici.
Apprendre à méditer
Énergie, créativité, calme et inspiration : la méditation confère plus d’un bénéfice. Stefan Ravalli, professeur et écrivain, propose des séances gratuites où il prodiguera conseils et techniques. Jeudi 24 août de 6.30 pm à 7pm, The Medicine Room, 7420 SW 130th St. Plus d’infos ici et au 503.709.6802.
Découvrir l’histoire de Miami en famille
Il fut un temps où Miami portait le nom de Fort Dallas, dite « la ville fantôme ». Chaque deuxième samedi du mois, le History Miami Museum ouvre ses portes gratuitement aux familles pour découvrir l’Histoire de la ville au fil de chasses au trésor, activités artisanales et récits. Prochaine journée “Mystères de l’Histoire” le samedi 12 août de 10 am à 5 pm. Activités de 12pm à 4pm. History Miami Museum. 101 Wet Flagler Street. Réservations et infos ici.
Se balader au Miami Flea
Nous voilà à la moitié de l’année 2017. À cette occasion, The Miami Flea organise un grand marché en plein air où art, mode et mobilier vintage sont de mise. En marge de l’évènement, plusieurs restaurants de la ville vous seront présentés. Le 20 août de 4pm à 8pm. A+E district. 1445 North Miami Avenue. Toutes les infos ici.
Faire une excursion historique à vélo
Le Coconut Grove Business District vous propose de découvrir les sites légendaire de Miami au cours d’une excursion à vélo. Un guide vous racontera notamment les histoires captivantes du quartier verdoyant du Barnacle, ancien repaire hippie des années 60 qui a conservé son esprit bohème. À noter que les vélos ne sont pas fournis. Prochaine excursion le samedi 19 août de 9.30 am à 12am. 3500 Pan American Drive, Coconut Grove. Réservations ici et plus d’infos ici.