L’Urban Art Fair, créée il y a deux ans à Paris, traverse l’Atlantique. Forte de son succès dans la capitale, la foire lance une première édition à New York du jeudi 29 juin au lundi 3 juillet, à Spring Studios.
Le foire d’art présentera une sélection de galeries historiques. Des œuvres de Banksy, Keith Haring ou du pionnier Jean-Michel Basquiat seront visibles. D’autres événements et expositions, en marge de la foire, animeront cette première édition new-yorkaise. Les artistes de rue CRASH et NoéTwo repeindront la façade du Spring Studios et présenteront une performance de peinture live durant la foire. Pour l’occasion, la galériste Patti Astor, figure de l’art underground des années 70 à New York, ré-ouvrira sa FUN Gallery et mettra en vente certaines pièces de sa collection. Ouverte de 1981 à 1985, la galerie mythique fut la première à exposer des œuvres d’art urbain.
Une exposition intitulé “Urban Influence” sera aussi à découvrir. Elle abordera les liens qu’entretiennent le monde de la mode et l’art urbain, soulignant par exemple les collaborations entre des artistes de rue comme Michael de Feo, Lek, Jon One et et des créateurs de mode comme Agnès b. et Christian Louboutin.
La foire française Urban Art Fair fait sa première à New York
Le violoniste Régis Pasquier au Round Top Music Festival
Un grand nom du violon donnera une “masterclass” au Round Top Music Festival au Texas. Le Français Régis Pasquier sera le mardi 27 juin au Edythe Bates Old Chapel.
Premier Prix pour violon et musique de chambre au Conservatoire de Paris à seulement 12 ans, il s’est envolé en 1960 pour les Etats-Unis, où il est repéré par des virtuoses comme Isaac Stern, David Oistrakh, Pierre Fournier, Nadia Boulanger et Zino Francescatti. Il a joué avec plusieurs orchestres renommés dans le monde et a reçu des distinctions prestigieuses comme le Prix Georges Enesco et les insignes de Chevalier des Arts et des Lettres.
Bertrand Tavernier: "J’ai eu une vie formidable"
Pour rappeler que le cinéma français “ne se réduit pas seulement à la Nouvelle Vague”, Bertrand Tavernier a fait un documentaire, “Voyage à travers le cinéma français” dans lequel il explore et décortique plus de 40 ans de septième art français.
De Jacques Becker à Jean-Luc Godard en passant par Jean Gabin ou les compositeurs Maurice Jaubert et Joseph Kosma, Bertrand Tavernier nous embarque dans une odyssée à la rencontre de son cinéma à lui. En salles à New York, Los Angeles et Miami, sa sortie est aussi accompagnée d’une rétrospective de l’œuvre du cinéaste au Quad Cinema de Manhattan.
“J’avais envie de faire un film sur le cinéma français depuis des années. Ce qui m’intimidait, c’était de trouver la bonne approche. Je ne suis pas historien ou critique de cinéma. Une approche chronologique professorale me déprimait”, raconte le réalisateur qui, inspiré des documentaires de Martin Scorsese (“Un voyage avec Martin Scorsese à travers le cinéma américain” et “Mon voyage en Italie”), livre ici une oeuvre subjective et très personnelle.
“Je me suis dit que la seule manière de m’en sortir, c’était que ce film ne devait pas être un film sur l’histoire du cinéma français, pas du tout, mais un film sur ma vision du cinéma français, les rapports que j’ai eus avec lui. […] Parce que c’est une approche plus humaine, je voulais parler de ce qui me frappe dans la mise en scène de certains ; en quoi je suis épaté par la manière dont Renoir utilise la caméra, par l’utilisation du 32 millimètres chez Carmet. Tout ça me paraissait excitant. C’était les réactions d’un metteur en scène et en même temps c’était pour moi l’opportunité de remercier des gens qui avaient changé ma vie”, explique-t-il.
En pleine psychothérapie cinématographique, Bertrand Tavernier raconte ses premiers chocs de cinéma, comme lorsqu’il découvre enfant, en cure dans un sanatorium, “Atout” de Jacques Becker qui le marquera au fer rouge. Comme une suite logique, de films en films, il revient aussi sur le parcours du jeune cinéaste qu’il était, de la fondation du ciné-club Nickel Odéon à son poste d’assistant de Jean-Pierre Melville. “Quand je débutais, beaucoup de choses avaient été faites avant moi. Le problème, c’est de ne pas trop l’ignorer et de ne pas copier, mais de se nourrir de la création qui nous a précédé. Comme tout artiste, dans n’importe quel domaine, on a intérêt de savoir ce qui a été fait avant nous”, explique le cinéaste.
Pendant plus de trois heures, images d’archives s’entremêlent avec des plans emblématiques du cinéma des années 1930 jusqu’à la fin des années 1970. “Tout le travail d’archiviste a été fait par Emmanuelle Sterpin, le reste c’est ma mémoire”, explique le réalisateur, qui planche actuellement sur une suite en plusieurs épisodes pour la télévision.
Avec une filmographie vertigineuse, des récompenses prestigieuses et plus de 50 ans de carrière, Bertrand Tavernier le concède: “J’ai réussi ce dont je rêvais. Quand je me suis dit à 13 ans que je voulais être metteur en scène, je ne savais pas à quel point ça pouvait être difficile, mais j’ai eu une vie formidable.”
Gagnez des places pour le show de Christelle Chollet au French Comedy Festival
Le French Comedy Festival, créé par l’humoriste français Michael Sehn, a fait son retour ce mercredi 21 juin à New York. Plusieurs talents du rire, comme Yacine Belhousse, Kyan Khojandi, Christelle Chollet et bien d’autres, feront le déplacement de France pour ce rendez-vous.
Les organisateurs proposent de faire gagner une paire de tickets aux lecteurs de French Morning pour le one woman show de Christelle Chollet le vendredi 23 juin à 7pm. Cette humoriste française est apparue dans plusieurs émissions de télévision comme chanteuse, mais aussi dans des programmes courts comme “Bande de Ouf”. Il suffit de remplir le formulaire ci-dessous pour participer au tirage au sort.
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La French Touch Conference: les derniers tickets à prix réduits
Plus que quelques jours avant le coup d’envoi de la quatrième édition de la French Touch Conference, grand rassemblement de techies franco-américains à New York les mardi 27 et mercredi 28 juin.
Plusieurs poids lourds de l’investissement, de l’innovation et de l’entrepreneuriat sont attendus, dont le nouveau secrétaire d’Etat au Numérique Mounir Mahjoubi, Michel Combes (PDG d’Altice), Niel Vogel (PDG de Dotdash) et Eric Hippeau (associé Lerer Hippeau).
La French Touch Conference a choisi de gâter les lecteurs de French Morning en vous faisant bénéficier d’une offre promo. Dix tickets gratuits seront réservés aux premiers inscrits ici. Les suivants bénéficieront d’une réduction de 30%.
Samia Behaya, la Franco-Algérienne derrière les "dîners sur corps" à New York
A l’entrée du restaurant Lot 45, un ancien hangar à camions à Bushwick, le gong retentit solennellement, vendredi 16 juin. L’homme qui frappe l’instrument est torse nu; à ses côtés, une femme en bas résilles et soutien gorge prend des poses alanguies avec un long serpent jaune autour du cou.
Derrière eux, neuf personnes nues sont allongées sur des lits ornés de pétales de fleurs et de bougies. Des sushis, des asperges, des pièces de bœuf et des fruits, entre autres, sont disposés sur leur corps par des “dessinateurs”, eux-mêmes peu vêtus. Le ton est donné. L’édition “Summer” de la soirée “Lust”, un show érotique imaginé par l’artiste américaine Abby Hertz, peut commencer.
En cuisine, la chef franco-algérienne Samia Behaya n’a pas le temps de profiter du spectacle. Ce dîner représente deux mois de préparation, indique-t-elle. Quelque 200 clients, répondant sans distinction au nom de “darling”, sont attendus pour déguster ses plats à même la peau. “C’est un défi de cuisiner quelque chose qui sera présenté sur un corps. Il faut que la nourriture soit plus importante que le corps.” Depuis que Samia Behaya a rejoint l’aventure Lust en novembre 2016, trois soirées de ce genre ont été organisées à Lot 45, le restaurant et bar à cocktails qu’elle a ouvert en 2014. La prochaine édition aura lieu à Thanksgiving.
Pour cette femme énergique de 41 ans, il s’agit de tester quelque chose de nouveau. “J’adore les défis. La routine m’emmerde”, assure-t-elle. En 2006, elle a créé sa “famille” à Brooklyn, en ouvrant le restaurant Simple à Williamsburg, son “bébé”, loin de l’esprit sexy de Lust. A l’époque, le défi, c’était le quartier. “II n’y avait quasiment aucun restaurant dans le sud de Williamsburg et le trafic de drogues était répandu, se souvient-elle, installée dans ce bistrot de Bedford Avenue. Le jour où j’ai visité les lieux, des types se bagarraient dans la rue, mais je n’ai pas eu peur, j’ai tout de suite adoré l’endroit.”
A Simple, elle sert une cuisine française et algérienne dans une ambiance conviviale. “C’est mon pain arabe qui a attiré la clientèle”, dit-elle, en en amenant sur la table avec du caviar d’aubergines. “Ce qui m’importe, c’est que les clients voient qu’il y a du cœur dans l’assiette.”
L’aventure américaine, Samia Behaya en rêvait depuis ses 16 ans, lorsqu’elle habitait à Grenoble. “En France, je me suis toujours cherchée. Française? Algérienne? J’avais du mal à m’intégrer.” A 20 ans, elle s’envole pour les Etats-Unis. “Quand je suis arrivée, j’ai su que j’étais à la maison. Dans les premiers temps, j’ai enchaîné les séjours de trois mois (la durée d’un ESTA, NDLR). Puis j’ai travaillé dans un bed and breakfast, je ne parlais pas un mot d’anglais. J’ai énormément appris”, raconte-t-elle.
“Aujourd’hui, je vis à Brooklyn, il y a un sens de la communauté, c’est comme un village, ça me rappelle l’Algérie.” Cette ancienne participante de l’émission culinaire américaine Chopped voyage d’ailleurs en Algérie deux fois par an pour s’inspirer des techniques berbères.
Cependant, à New York, elle doit s’adapter au marché. “Les gens ici manquent de culture culinaire”, constate celle qui est naturalisée américaine. “Par exemple, si je veux vendre mes merguez d’agneau, il faut que je les appelle “saucisse”, sans mentionner “agneau”, sinon les gens n’achètent pas. Les feuilles de brique, pareil, ils ne connaissent pas.”
Samia Behaya revendique ce désir de passerelle entre les cultures. Depuis 2009, elle propose de la cuisine vietnamienne certains soirs de la semaine à Simple en collaboration avec une autre chef. En 2011, elle a également ouvert The Marquet, un petit magasin niché à l’intérieur du restaurant et inspiré du concept-store parisien Merci. Une architecte d’intérieur franco-américaine y vend des objets de décoration qu’elle rapporte de ses voyages aux quatre coins du monde. “Il y a tant de trucs à faire. Et en cuisine, avec rien, on peut faire beaucoup de choses.”
La mode parisienne vue par Edgar Degas à San Francisco
L’oeuvre du peintre impressionniste français Edgar Degas, qui a notamment sublimé avec son pinceau les corps des danseuses classiques, fait l’objet d’une rétrospective au Legion of Honor Museum à San Francisco du samedi 24 juin au 24 septembre.
Pour cette exposition intitulée “Degas, Impressionism, and the Paris Millinery Trade”, les peintures qui rendent hommage à la mode parisienne, et tout particulièrement la chapellerie, seront mises à l’honneur. Autant de fenêtres sur ce que fut l’artisanat français et les préoccupations vestimentaires de l’époque.
Le Legion of Honor Museum évoque dans cette exposition le rayonnement du milieu de la mode à Paris, qui en était la capitale mondiale à l’époque, et l’esprit d’avant-garde qui a fleuri sur les toiles de Degas et de ses confrères impressionnistes.
Une ancienne porte-parole de l'Ambassade à Washington entre au gouvernement
Ceux qui sont aux Etats-Unis depuis longtemps se souviennent peut-être du nom de Nathalie Loiseau. Ancienne porte-parole à l’Ambassade de France à Washington, elle a été nommée, mercredi, ministre chargée des Affaires européennes en remplacement de Marielle de Sarnez dans le nouveau gouvernement d’Edouard Philippe.
Mme Loiseau a fait carrière au Quai d’Orsay, occupant des postes en Indonésie, en Afrique et aux Etats-Unis, où elle s’illustre en assurant le porte-parolat de l’Ambassade pendant la période tendue de l’entrée en guerre américaine en Irak en 2003. En 1993, elle entre au cabinet d’Alain Juppé, alors ministre des affaires étrangères.
Remerciée après l’arrivée de Laurent Fabius au ministère en 2012, elle devient la deuxième femme à diriger l’ENA. Ouvertement féministe, elle a écrit un ouvrage intitulé Choisissez tout dans lequel elle encourage les femmes à oser dans leur vie professionnelle et personnelle.
Film Night in the Park: le cinéma s'empare des parcs de San Francisco
Grands classiques, chefs d’œuvre d’animation ou encore comédies musicales investissent les parcs de San Francisco cet été. Jusqu’au 23 septembre, le San Francisco Neighborhood Theater Foundation organise son édition 2017 de “Film Night in the Park”.
Organisés tour à tour au Dolores Park, au Washington Square Park et à Union Square, les projections sont gratuites et ouvertes à tous. Cette année, le choix s’est porté sur des incontournables, tel que le multi-oscarisé “La La Land” de Damien Chazelle, ou “Le Lauréat” de Mike Nichols. On conseille évidemment la soirée du samedi 15 juillet aux familles, pendant laquelle le classique de Disney “La Belle et la Bête” sera projeté.
Depuis 2003, le festival de cinéma en plein air a vu passer plus de 125.000 personnes devant ses écrans. Chaque séance débute au crépuscule.
Programme complet :
“La Belle et la Bête” (“Beauty and the Beast”), le samedi 15 juillet à Union Square
“Footloose”, le samedi 5 août au Dolores Park
“La La Land”, le samedi 26 août au Washington Square Park
“Le Lauréat” (“The Graduate”), le samedi 9 septembre à Union Square
“The Breakfast Club”, le samedi 23 septembre au Dolores Park
Un atelier pour apprendre l'aquarelle à la Kendall Campus Gallery
L’artiste americano-japonaise Harumi Abe animera un atelier de peinture aquarelle pour adolescents et adultes samedi 24 juin à la Main Kendall Campus Gallery, dans le cadre de l’exposition Women Painting.
Tout le matériel nécessaire sera mis à disposition. Les curieux pourront découvrir les techniques de base de l’aquarelle ou d’autres méthodes de peintures plus audacieuses. Le thème principal: peindre des paysages en aquarelle sur une planche carrée pour reprendre les codes d’Instagram.
Cet atelier est présenté par Girls’ Club, une association qui travaille à promouvoir les artistes féminines.
Yann Arthus-Bertrand en Californie: "Tout le monde peut changer le monde à sa façon"
« New York et la Californie, c’est vraiment l’Amérique que j’aime ». Yann Arthus-Bertrand se réjouit de venir sur la côte pacifique pour présenter HUMAN, son film documentaire sorti en 2015 qui dresse le portrait de l’humanité. Le réalisateur et environnementaliste français sera de passage à Los Angeles le lundi 26 juin avant de mettre le cap sur la baie pour deux autres projections : San Francisco le mardi 27 juin et Menlo Park le mercredi 28 juin.
« L’accord passé avec Google pour diffuser HUMAN sur youtube a tué le film en salle. C’est pour cela que je viens aux États-Unis le montrer », précise Yann Arthus-Bertrand qui salue Mayer Brown, mécène de la tournée californienne. « Ce cabinet d’avocat s’est battu contre le décret anti-immigration de Trump, c’est tout un symbole car HUMAN est un film qui parle de l’importance du vivre ensemble. »
Yann Arthus-Bertrand a visité plus de 45 pays pendant trois ans pour filmer les visages de la planète et poser des questions sur l’amour, la mort, la famille. « On est une passerelle. Ce sont les gens qui nous ont donné des paroles éblouissantes, souligne réalisateur. C’est un film contre l’indifférence, on ne peut pas vivre dans son coin. HUMAN permet de réfléchir au sens à donner à notre existence. Ce n’est pas prétentieux de dire que tout le monde peut changer le monde à sa façon ! »
Suite à la décision de Donald Trump de désengager les États-Unis de l’accord de Paris, l’environnementaliste révèle avoir reçu de nombreux messages d’Américains. « C’est vraiment une blague ce président… », lâche-t-il sans vouloir commenter davantage. Yann Arthus-Bertrand préfère saluer « le positivisme américain » et leur capacité à « s’émouvoir plus qu’en Europe ». Il estime que « dans un monde compliqué, touché par le changement climatique, la crise des réfugiés, il faut encore plus accepter que tout le monde n’est pas comme soi ».
La parole aux femmes
Après la Californie, Yann Arthus-Bertrand s’envolera de nouveau sublimer la Terre mais aussi les femmes du monde entier à travers les 3 000 interviews de son projet WOMAN. « En ce moment, nous travaillons sur les femmes. Il y a beaucoup d’endroits sur terre où les femmes s’affirment de plus en plus », note-il en précisant qu’il y a toujours de grands combats à mener dans les pays où « le droit des femmes régresse ». Pour lui, « internet joue un rôle important aujourd’hui en portant la voix des femmes ». Des visages, des paroles qu’il recueille en tournage jusqu’à la fin de cette année et qu’il portera dans les salles l’an prochain.
Le nouveau secrétaire d'Etat au Numérique invité à la French Touch Conference de NY
La French Touch Conference, grand messe de la tech qui débarque à New York les 27 et 28 juin, s’offre un invité de marque. Mounir Mahjoubi, nouveau secrétaire d’Etat chargé du Numérique, participera en effet à plusieurs temps forts de ce grand rendez-vous de l’innovation.
Le 26 juin, le benjamin du gouvernement Philippe sera à bord du vol Paris-New York, dans lequel se tiendra la compétition “Pitch In The Plane“. Il s’agit d’un concours de pitch entre sept start-ups prometteuses devant sept jurés, le tout pendant les sept heures de vol.
C’est également le secrétaire d’Etat qui ouvrira la French Touch Conference le 27 juin au matin, avant d’annoncer le vainqueur de Pitch In The Plane. À 16 ans seulement, le Secrétaire d’Etat entrait chez Club Internet à mi-temps avant de passer un master en finance et stratégie à Sciences Po Paris. En 2010, Mounir Mahjoubi créait la Ruche qui dit oui, une plate-forme de mise en relation de petits producteurs agricoles et de consommateurs, avant de rejoindre la filiale marketing de Havas Digital. L’entrepreneur a également fondé sa société de conseil sur l’innovation, French Bureau, avant d’être appelé au gouvernement.
Au programme des deux jours de la French Touch Conference de New York: des conférences sur l’Intelligence artificielle, la réalité virtuelle, l’EduTech, la tech civique et éthique ou encore la fintech. Et des speakers de renom comme Neil Vogel, qui a dirigé la transformation de About.com en Dotdash depuis 2014; Florent Peyre de Placemeter, une start-up qui indexe l’activité humaine à l’aide de flux vidéos et de reconnaissance d’images; Cédric Giorgi, co-fondateur de La French Touch Conference et directeur des projets spéciaux chez Sigfox; ou encore Joséphine Goube, fondatrice de Techfugees, qui met la tech au service des réfugiés dans le monde, Rachel Haot, directrice générale de 1776, Eric Hippeau, associé au sein de Lerer Hippeau Ventures, Didier Rappaport, président de Happn et Michel Combes, PDG d’Altice.
Cette 4e édition organisée par l’entrepreneur Gaël Duval sera l’occasion de mettre en contact les entrepreneurs, start-upers et investisseurs situés des deux côtés de l’Atlantique. La conférence sera ouverte par Gale Brewer, présidente du Borough de Manhattan.
Il est encore possible de s’inscrire pour participer à ces deux journées. French Morning et la French Touch Conference vous offrent 30 % de remise sur les derniers billets.