(Article partenaire) Dans l’univers impitoyable du “dating”, il y a les apps où l’on swipe à tour de pouce pour rencontrer le maximum de célibataires en un minimum de temps. Et puis, il y a Inner Circle.
L’app de dating surfe sur une valeur qu’on a un peu oubliée en ces temps de “ghosting” et de rencontres sans lendemain: la courtoisie. Considérée comme une valeur du passé, elle est en fait l’avenir. Les nouvelles app de dating comme Inner Circle l’ont bien senti et entendent surfer sur cette réalité en pariant sur le respect mutuel. Trop d’hommes et de femmes ont été déçues par le manque de respect sur les apps comme Tinder, qui valorisent la chosification des relations plutôt que le dialogue et la connaissance approfondie de l’autre. Qui n’a pas été frustré par des messages laissés sans réponses ou contrarié par des échanges cavaliers avec des inconnus ? Quand on cherche l’amour, doit-on nécessairement être insulté, humilié ou ignoré ?
Inner Circle s’adresse à tous ces coeurs à prendre qui croient dans cette chose qu’on appelle la politesse et qui ont envie d’aller un peu plus loin que la photo de profil pour juger des qualités de quelqu’un. Ainsi, pas besoin d’attendre un match pour écrire à la personne. Vous pouvez la contacter directement si vous elle vous plaît et que vous souhaitez apprendre à la connaître. L’application donne aussi la possibilité de se rencontrer dans des cadres élégants et chics pour renouer avec cet art désuet qu’on appelle la conversation.
Contrairement à d’autres app, Inner Circle valorise la qualité plutôt que la quantité. Chaque membre doit être approuvé avant de rejoindre l’app. Ce n’est pas une question de taille de portefeuille ou de proportions de votre visage – les membres d’Inner Circle ont des horizons différents, et occupent des professions variées. Le résultat: une communauté de célibataires ambitieux qui se comportent en adultes, en traitant leur interlocuteur avec le respect qu’il mérite.
Il ne s’agit pas de dire “le dating, c’était mieux avant”. Mais tout le monde n’est as obligé de souscrire au modèle de relations promues par les apps en vogue en ce moment. Les résistants, qui croient encore au temps lointain des relations durables et respectueuses, ne sont plus seul.
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Note: les “articles partenaires” ne sont pas des articles de la rédaction de French Morning. Ils sont fournis par ou écrits sur commande d’un annonceur qui en détermine le contenu.
Dating: Faisons revenir ce vieux truc qu'on appelle "courtoisie"
L'élue française de Floride Nicole Hirsh truquait ses notes de frais, selon Mediapart
De l’aveu d’un des administrateurs de la Caisse des Français de l’Etranger (CFE), c’est une “surprise“. D’autres n’ont appris l’affaire qu’il y a quelques jours. Le site d’information Mediapart révèle dans un article publié le jeudi 29 juin que Nicole Hirsh, membre du conseil d’administration de la CFE, a reconnu des malversations dans ses notes de frais et a démissionné de son poste.
Selon le site, l’octogénaire, bien connue des Français de Miami, abusait de cet organisme public, sorte de sécurité sociale pour expatriés, en se faisait rembourser ses billets d’avion au tarif “business” alors qu’elle volait en classe économique. D’après les informations de Mediapart, elle réservait ses billets au tarif business et les communiquait à la Caisse mais “en secret, basculait ensuite auprès d’Air France au tarif “éco”“. C’est Laurent Gallet, directeur de la CFE depuis fin 2016, qui a découvert l’affaire en arrivant à son poste et en mettant son nez dans les comptes de l’organisme.
Nicole Hirsh a du rembourser 38 000 euros – ce qu’elle a fait intégralement, indique la CFE – en plus de remettre sa démission. Mme Hirsh est également élue depuis 1988 à l’Assemblée des Français de l’Etranger (AFE), où elle siège au sein de la Commission des affaires sociales et des anciens combattants, et assure la vice-présidence du comité de la “American Society of the Legion d’honneur” (ASFLH), dont le président est Guy Wildenstein, le marchand d’art français qui a connu des déboires avec la justice. Ni Nicole Hirsh ni la CFE n’ont répondu à nos demandes de commentaire.
L’administration Trump n'interdira pas les ordinateurs portables en cabine, mais…
John Kelly, Secrétaire américain de la Sécurité Intérieure, a annoncé, mercredi 28 juin, la mise en place de nouvelles mesures de sécurité qui toucheront les passagers à destination des Etats-Unis.
Sans généraliser l’interdiction des ordinateurs portables en cabine (qui prévaut pour les vols en partance de dix aéroports du Moyen-Orient et du Maghreb), l’administration américaine souhaite un contrôle accru sur les passagers et les appareils électroniques plus volumineux que les téléphones, de sorte à détecter tout type d’explosifs.
Invoquant le risque terroriste, John Kelly appelle les compagnies aériennes effectuant des liaisons directes entre les Etats-Unis et un pays étranger à respecter ces nouvelles règles. Celles qui n’appliqueraient pas ces mesures pourront être contraintes à “l’interdiction de tout appareil électronique à bord, ou même la suspension de leurs vols vers les Etats-Unis“, a-t-il déclaré.
Ces mesures, dont la date et les conditions de mise en oeuvre demeurent floues, apparaissent comme un soulagement pour les compagnies aériennes qui redoutaient une extension à l’Europe de l’interdiction des ordinateurs portables en cabine. Selon John Kelly, d’autres mesures suivront et concerneront le personnel des aéroports et des compagnies aériennes.
21 désavantages à être Français aux Etats-Unis
Vous avez aimé notre “list-icle” sur les avantages à être Français aux Etats-Unis. On espère que vous aimerez celui sur les inconvénients. C’est parti.
- On pense qu’on peut se passer de la clim’, alors qu’on ne le peut pas…
2. On ne sait pas faire un barbecue
3. On ne peut pas devenir président alors qu’on maîtrise twitter
4. On est perdu (mais alors perdu) au supermarché
5. On doit prononcer des mots français avec un accent américain
6. On n’arrive pas à prononcer ce mot
Ou celui-là…
7. On poste des lettres dans les mauvaises boîtes
8. On doit faire semblant de comprendre le Super Bowl
9. On attend de nous qu’on connaisse tout du vin
10 … ou du fromage
Alors, en soirée, on fait semblant, comme Will…
11. On doit faire des maths pour connaître la température
12. On est nuls en pulls moches
13. Ou pour commander un café en restant dans une voiture
14. Ou sourire à quelqu’un qu’on ne connait pas. Smile!
15. Ou se sentir à l’aise quand on va aux toilettes quand tout le monde nous voit
16. 90% d’entre nous ne comprend pas ce qui se passe ci-dessous:
17. On ne comprend pas pourquoi tout le monde s’enthousiasme pour un football qui n’est en fait pas du football
18. En étant Français, on augmente le risque d’être poursuivi dans la rue par un serveur faute d’avoir laissé le pourboire
19. On nous sert des glaçons au restaurant alors qu’on n’en veut pas
20. On aimerait bien gagner la loterie de la carte verte, mais en attendant, on a chaud à l’immigration
21. On est constamment malheureux quand on rentre dans une boulangerie
Jean-Pierre Melville se pose à Berkeley jusqu'en août
Pour marquer le 100ème anniversaire de la naissance du cinéaste français, la Berkeley Art Museum and Pacific Film Archive organise “Melville 100“, une rétrospective durant l’été autour des plus grands films du cinéaste.
Le vendredi 7 juillet, “Le deuxième souffle” sera projeté à 7pm. Sorti en 1966, le long-métrage policier met en scène Lino Ventura dans la peau de Gustave, dit “Gu”, un gangster évadé de prison, mais dont la morale et le code de l’honneur sont implacables. Sorte de Jean Valjean des temps modernes, le héros, traqué par le commissaire Blot (Paul Meurisse) tente de se rendre en Italie et braque un fourgon pour financer son voyage.
La rétrospective du réalisateur se poursuivra ensuite avec “Quand tu liras cette lettre” le 14 juillet, “Léon Morin, Priest” le 16 juillet, “Deux hommes à Manhattan” le 30 juillet, “Le doulos” les 3 et 5 août, “Le Cercle rouge” le 6 août et “Un flic” le 12 août.
Le "Vaux-le-Vicomte texan" est à vendre
À la recherche d’un pied-à-terre coquet ? Champ d’or est à vendre. La propriété, située à l’extérieur de Dallas, devait être mise aux enchères à New York, mercredi 28 juin, avec une offre de départ à 10,3 millions de dollars.
Inspirée du château de Vaux-le-Vicomte en région parisienne, la majestueuse demeure a été construite par un couple texan, Alan and Shirley Goldfield, pour 52 millions de dollars. Alan Goldfield a expliqué dans une interview que c’est son épouse qui a eu la folle idée de construire la bâtisse, tout simplement parce qu’elle aimait le français. Le couple n’a habité que deux ans dans ce domaine de 4.400 mètres carrés, deuxième plus grande propriété de l’Etat du Texas.
La demeure est restée inoccupée jusqu’à 2012, quand elle a été rachetée par la famille Tabani, propriétaire d’un groupe immobilier résidentiel et commercial, qui a envisagé de le convertir en espace commercial. Selon une vidéo promotionnelle publiée par Sotheby’s, Champ d’Or comprend notamment des lustres fabriqués en Europe. Le mobilier à lui seul coûterait 5 millions de dollars et a été quasi-intégralement importé de France, à l’exception d’un chandelier.
Une baignade-projection des "Dents de la mer" à Austin
Si certains aiment rire ou pleurer au cinéma, d’autres aiment avoir peur, vraiment peur, jusqu’à regarder un des films les plus angoissants du XXème siècle, “Les Dents de la mer” (“Jaws”), les pieds dans l’eau.
Du vendredi 30 juin au dimanche 23 juillet, plusieurs projections du classique de Steven Spielberg, ainsi que des suites du long-métrage, seront organisées sur Lake Travis vers Volente Beach.
Les billets de l’événement ($55) donnent aussi accès à l’ensemble des attractions de la plage, un feu d’artifice et la projection du film d’épouvante, les pieds trempant dangereusement et délicieusement dans l’eau. En souvenir, les spectateurs repartiront avec leur bouée gonflable à l’effigie du personnage principal du film.
Pour les puristes, le premier volet de la saga sera diffusé le 30 juin et les 1, 2, 7, 8, 9, 21 et 22 juillet. “Les Dents de la mer 2” sera projeté le 14 juillet et les plus courageux pourront le lendemain aller voir “Les Dents de la mer 3” en 3D. “Les Dents de la mer 4 : La revanche” sera présenté le 16 et 23 juillet. Mais que les plus peureux se rassurent, il n’y a, à priori, pas de grands requins blancs dans le Lake Travis. A vérifier.
Independence Day: Tour des festivités du 4-Juillet au Texas
Le 4 juillet approche, avec son lot de barbecues, d’événements patriotiques et de nombreux feux d’artifices. Voici notre sélection des célébrations patriotiques à Austin, Dallas et Houston.
AUSTIN
Le concert HEB
Honneur aux traditions avec le 41e concert symphonique et feux d’artifices de HEB du 4 juillet. Rejoignez les milliers d’aficionados habillés de rouge blanc et bleu pour assister au son et lumière au-dessus de la skyline à partir de 8:30 pm. Audirorium shores. 950 W. Riverside Dr. Infos ici
Le pique-nique de Willie Nelson
Autre évènement qui est en train de devenir une tradition, celui du pique-nique annuel de la légende locale Willie Nelson. Il remet cela cette année avec une nouvelle sélection d’artistes all star comme Sheryl Crow, Kacey Musgraves, Steve Earle, Margo Price… Début des festivités à 12pm. Prix des billets entre $39.50 et $175. COTA, 9201 Circuit of the Americas Blvd. Infos et billets ici
HOUSTON
CITGO Freedom Over Texas
Les traditions vont bon train à Houston aussi. Depuis plus de trente ans, le principal évènement de la ville pour le 4 juillet est le feu d’artifice CITGO Freedom Over Texas accompagné de concerts et d’activités pour la famille. A partir de 4pm. (Deux emplacements : 1100 Bagby St et 150 Sabine St. Infos ici
Le concert en plein air du Houston Symphony
Dans le cadre de ses concerts d’été en plein air, le Houston Symphony Orchestra interprètera son Star-Spangled Salute, sa soirée annuelle de célébration du 4 juillet, avec airs patriotiques, mais aussi du Sousa, Tchaïkovski et des feux d’artifices. A partir de 8:30 pm au Miller Outdoor Theater. Entrée libre. 6000 Hermann Park Dr. Détails ici
DALLAS
Fair Park Fourth
Profitez de la journée pour passer du temps à Fair Park. Ce parc, déclaré National Historic Landmark depuis 1986, et qui couvre 277 hectares, ouvre ses portes gratuitement le 4 juillet pour admirer des “performances patriotiques” ainsi que le feu d’artifice. Des billets sont toujours nécessaires pour accéder à la State Fair Midway à ses jeux, concessions et autres activités ainsi qu’à l’aquarium ou aux musées au sein du parc. A partir de 12pm. Entrée libre. 1121 1st Ave. Dallas, TX 75210. Détails ici
Texas Pool Independence Day Party
A Plano, venez célébrez l’indépendance autour de la gigantesque piscine d’eau salée (636 000 litres quand même) en forme de l’Etat du Texas. Au programme, barbecue, volleyball, et cannonball… A partir de 12pm. Entrée $10 par personne ou $30 par famille. (901 Springbrook Dr. Plano, TX 75075) Détails ici
Bruno Le Maire vante le "French Dream" à New York avec Eric Kayser
Viendra, viendra pas ? Pendant une vingtaine de minutes, les amateurs de bon pain réunis pour l’ouverture de la nouvelle boulangerie Maison Kayser, mercredi 29 juin, sur la 5ème Avenue ne pensaient pas voir Bruno Le Maire, retenu, nous a-t-on dit, dans les bouchons du “rush hour” new-yorkais. Mais le ministre de l’économie a tout de même réussi à se frayer un chemin pour faire une apparition de cinq minutes, quelques bises, serrer des mains et poser avec du pain.
“Je n’imaginais pas venir à New York sans faire un petit stop chez mon ami Kayser, saluer sa réussite, saluer son esprit de conquête, a expliqué Bruno Le Maire. Il est un modèle pour beaucoup de jeunes Français qui s’engagent dans la vie sans savoir trop dans quelle direction aller. L’artisanat et la boulangerie sont une belle direction. On peut, au bout de sa carrière, se retrouver à ouvrir une boulangerie sur la 5ème Avenue à New York. C’est pas l’American Dream, c’est le French Dream“.
Attendu quelques minutes plus tard à un dîner privé consacré à “l’attractivité” en présence du milliardaire John Paulson, PDG du hedge fund Paulson, et d’autres dirigeants de grandes institutions financières, le locataire de Bercy a aussi profité de son passage éclair pour passer un message politique. “Avec le président et cette nouvelle majorité, nous allons transformer l’économie française, a-t-il lancé. Je vais dire (à mes interlocuteurs): la France a changé, elle vous accueille, elle va modifier en profondeur son droit du travail. N’ayez plus d’inquiétude sur le droit du travail français. Nous allons vous garantir une stabilité fiscale (…) Je vais leur dire qu’à nos yeux, clairement, l’ennemi n’est pas la finance. L’ennemi, c’est le chômage“.
S’il y en a qui ne chôme pas, c’est bien Eric Kayser. Le boulanger prévoit d’ouvrir “trois autres magasins d’ici la fin de l’année à New York et, normalement, en novembre-décembre, on devrait ouvrir à Washington DC”, a-t-il expliqué quelques minutes avant la coupure officielle du ruban avec l’ambassadeur de France Gérard Araud et le PDG de Maison Kayser USA Louis-Jean Egasse.
Situé au coin de la 36ème rue, l’espace comporte un restaurant et une boulangerie-pâtisserie. Avec désormais douze emplacements à Manhattan et Brooklyn, Eric Kayser est rompu à ces inaugurations, mais ouvrir sur la 5ème Avenue, cinq ans après sa première boulangerie dans l’Upper East Side, a un goût particulier pour l’artisan: “C’est beaucoup d’émotion, glisse-t-il. La 5ème Avenue, c’est comme les Champs Elysées à Paris, donc c’est important“.
"Nous irons tous au paradis" sur TV5 Monde Cinema on Demand en juillet
Retrouvez Claude Brasseur, Jean Rochefort et Guy Bedos en juillet sur TV5 Monde Cinema on Demand.
Ces trois monstres du cinéma français se partagent l’affiche de “Nous irons tous au paradis”, qui sera disponible sur la plateforme de films à la demande pendant tout le mois.
Ce film d’Yves Robert est la suite d'”Un éléphant, ça trompe énormément”. Le pitch: Étienne Dorsay (Jean Rochefort) élabore des stratagèmes rusés pour identifier l’amant de son épouse Marthe, jouée par Danièle Delorme. Cette comédie qui n’a pas pris une ride est sortie en 1977 et a été nominée pour le césar du meilleur film en 1978.
Première guerre mondiale: "The Bridge" vient dire "merci" aux Américains à New York
The Bridge est officiellement lancé. L’initiative transatlantique visant à commémorer le centenaire de la Grande Guerre a débuté le 16 juin à Nantes. Le prochain temps fort de cet ambitieux projet aura lieu le samedi 1er juillet avec l’arrivée du majestueux Queen Mary 2 à New York, où une série de festivités prendront place.
Dans les cartons depuis plus d’un an, The Bridge fait partie des événements majeurs de la commémoration du centenaire de la Première guerre mondiale. Il vise en particulier à mettre en lumière le débarquement des troupes américaines à Saint-Nazaire en 1917 et l’héritage musical et sportif qui a découlé de leur présence en France.
Outre la grande course transatlantique en cours entre le Queen Mary 2 et quatre catamarans, The Bridge a aussi accueilli à Nantes une compétition internationale de basket 3×3 et organisé des concerts de jazz, musique importée par les Américains lors de leur venue en France.
À bord du navire, quelque 2.500 personnes, dont l’académicien Erik Orsenna et la cantatrice Nathalie Dessay, participent à une série de conférences sur le monde de demain. “Nous nous sommes intéressés aux valeurs portées par le débarquement, avec notamment l’introduction de la culture américaine et les valeurs qui ont construit 100 ans d’amitié franco-américaine. Des valeurs d’ouverture dans un monde plutôt tourné vers le repli sur soi”, résume Damien Grimont, concepteur de l’événement.
À New York, plusieurs événements sont prévus. “Merci”, une exposition de cinquante photos illustrant l’engagement américain pendant la Première guerre, seront visibles dès le 1er juillet à 10am au Central Park Bandshell (au niveau de 72nd Street et 5th Avenue). Le journaliste Jean-Claude Narcy, spécialiste de l’histoire militaire française et ancien présentateur du JT de TF1, proposera une visite guidée de l’exposition de 3pm à 3:30pm. Au même endroit, 11 vétérans de la Seconde Guerre Mondiale seront décorés de la légion d’honneur par le Grand chancelier de la Légion d’honneur, le Général Puga, lors d’une cérémonie publique organisée par le consulat de France. La Chorale franco-américaine de New York et les garde-côtes américains interpréteront respectivement la Marseillaise et la Star Spangled Banner.
La journée se terminera par un concert gratuit “100 ans de musiques américaines” à SummerStage célébrant notamment l’arrivée du jazz en France en 1917. Plusieurs musiciens sont au programme de ce rendez-vous de 5 à 10pm, co-produit par La Mission du Centenaire de la Première Guerre Mondiale et les Services culturels de l’Ambassade de France aux Etats-Unis.
Promouvoir le souvenir de la Première guerre mondiale n’est pas chose aisée aux Etats-Unis, où le conflit est largement oublié. Mais Damien Grimont espère que de nombreux Américains seront au rendez-vous de The Bridge à New York. “Les Français sont venus leur dire merci, c’est une raison suffisante pour venir assister aux événements, pour recueillir ce merci“.