Les beaux jours sont arrivés et les fils des réseaux sociaux vont très vite être inondés de photos ensoleillées “No filter” et de selfies vacanciers retouchés. La manipulation de la perception: c’est le thème que Lyora Pissarro a voulu évoquer dans sa nouvelle exposition installée du 14 au 16 avril au studio 3C du BogArt à Brooklyn.
À travers son objectif, l’arrière petite-fille du fameux peintre impressionniste Camille Pissarro capture des instants de vie banals organisés en collages, puis modifiés à coups de pinceau. Ces œuvres de peinture digitale naviguent ensuite d’un écran à l’autre, entre smartphone et tablette, pour finalement être imprimées et exposées derrière un écran.
L’œil humain est hyper-sollicité par une multitude d’images réelles ou recréées et il est parfois difficile de distinguer le faux du vrai. Dans cette exposition intitulée “Cmd-Z” (la commande informatique pour annuler une action, sur Photoshop par exemple), Lyora Pissarro s’interroge sur son héritage artistique à l’heure où l’image est omniprésente et l’objet de toutes les manipulations.
Lyora Pissarro expose ses peintures digitales à New York
Matinée portes-ouvertes à l’Ecole Franco-Américaine de Sunnyvale
(Article partenaire) L’Ecole Franco-Américaine de la Silicon Valley a le plaisir de vous inviter en famille pour une matinée dédiée à la découverte de notre maternelle le samedi 29 avril, à partir de 9:30am sur notre campus de Sunnyvale.
Ce jour-là, les enfants âgés de 2 à 4 ans auront l’occasion de découvrir notre école, de s’amuser, d’explorer et d’apprendre à travers des ateliers ludiques et artistiques. Ceux-ci seront proposés en français et en anglais.
Des activités interactives et adaptées au développement cognitif et moteur de votre enfant vous permettront d’observer l’importance du jeu et des comptines dans les apprentissages langagiers. Des ateliers créatifs lui offriront également la possibilité de laisser libre cours à son imagination.
Cette matinée sera ponctuée par un goûter offert et une recréation pendant laquelle les enfants pourront participer à des activités de plein air. Ils profiteront aussi de nos jeux extérieurs pour s’amuser, rire et se faire des nouveaux amis.
Cette demi-journée sera encadrée par notre équipe franco-américaine d’enseignants de maternelle. Experts dans l’enseignement bilingue, leur travail au quotidien permet d’ancrer les apprentissages fondamentaux et la structure des langues dès le plus jeune âge.
De nombreuses études démontrent régulièrement les avantages de l’acquisition d’une seconde langue en maternelle. Nous observons également chez nos élèves que le développement des compétences langagières et cognitives s’accompagne d’une remarquable capacité d’analyse, d’un esprit critique accru et d’une ouverture au monde.
L’Ecole Franco-Américaine de la Silicon Valley est homologuée par le Ministère de l’Education Nationale et accréditée par l’Association des Ecoles Indépendantes de Californie (CAIS).
De la Petite Section au CM2, notre programme bilingue associe la rigueur et l’exigence des programmes français aux qualités et aux approches novatrices du système éducatif californien.
Nous avons hâte de vous accueillir avec votre enfant lors de cette matinée de jeux et d’activité le 29 avril de 9:30 à 11:30 !
French-American School of Silicon Valley
1522 Lewiston Drive
Sunnyvale, CA 94087
408-746-0460
Contact: [email protected]
—————-
Note: les “articles partenaires” ne sont pas des articles de la rédaction de French Morning. Ils sont fournis par ou écrits sur commande d’un annonceur qui en détermine le contenu.
Au LA Galaxy, ces Français qui veulent marquer des buts (et les esprits)
«A gauche», «en retrait», «la passe» : lors des entraînements du Los Angeles Galaxy, c’est en français que se donne la plupart des ordres. Depuis le début d’année, le gardien remplaçant français Clément Diop a été rejoint par deux compatriotes : Bradley Diallo, qui évoluait en réserve du club, et le milieu offensif marseillais Romain Alessandrini, dernier arrivé.
“Aller aux Etats-Unis était dans un coin de ma tête“, avoue Romain Alessandrini, 28 ans, écarté des terrains à cause d’une blessure l’an dernier. Cette saison en demi-teinte n’aura pas endigué les intentions du club californien, venu le voir jouer à deux reprises.
Plébiscité par d’autres clubs européens, le Marseillais choisit pourtant de tenter l’aventure américaine et signe un contrat de trois ans. “J’aurais aimé sortir par la grande porte de l’OM. J’ai tout donné mais j’ai eu pas mal de pépins“.
La décision de l’attaquant a pourtant surpris, les joueurs européens rejoignant en général le championnat américain en fin de course, pour une pré-retraite dorée. “C’est un choix de carrière que peu de monde à compris. J’ai envie de faire partie de l’évolution du championnat américain (Major League Soccer, MLS). Depuis que David Beckham est passé par le Los Angeles Galaxy, beaucoup de monde s’y intéressent“, argue Romain Alessandrini, qui aspire à gagner des titres. “C’est la meilleure équipe des Etats-Unis avec cinq titres, j’ai envie de marquer. Le coach compte sur moi.” Même si les premiers matches n’ont pas été concluants, Romain Alessandrini s’est déjà illustré en marquant le but contre Montréal qui a apporté son premier succès au club à domicile, vendredi 7 avril.
Le défenseur Bradley Diallo mise également sur la MLS comme un tremplin. “Tout le monde pense que c’est un championnat mineur. Mais j’ai été surpris par le niveau. Je pense que le championnat américain rivalisera avec ceux d’Europe d’ici quelques années“, avance le joueur de 26 ans formé à Marseille. En réserve du LA Galaxy depuis trois ans, il avait été blessé aux ligaments croisés lors de la dernière saison. Mais le coach de la réserve, Curt Onalfo, qui dirige maintenant l’équipe première, a décidé de lui donner l’opportunité de monter. “J’aimerais maintenant décrocher une place de titulaire“, espère Bradley Diallo.
Un cadre de vie d’exception
Loin du vieux port, les Français se sentent pourtant bien. “Ces derniers mois, j’avais beaucoup de pression à Marseille. Dès qu’on perd à l’OM, c’est compliqué. Ici, quand on perd, on passe à la préparation du prochain match“, compare Romain Alessandrini, qui quittait la France pour la première fois.
Installés près de la plage avec leurs familles, respectivement à Long Beach et Mar Vista, Bradley Diallo et Romain Alessandrini savourent leur nouveau cadre de vie. Amoureux des langues et curieux, le défenseur de 26 ans apprécie particulièrement “les mentalités ouvertes“, ainsi que le soleil.
“Après un long mois d’emménagement, je profite de la vie, je vais au restaurant avec ma copine, vois des amis et mon cousin qui est pâtissier pour Ladurée à Los Angeles. Cela va m’aider à être meilleur sur le terrain“, assure Romain Alessandrini, qui se voit bien terminer sa carrière à Los Angeles. Une option que ne rejette pas non plus Bradley Diallo : “mis à part un club anglais, rien ne me donne envie de partir“.
En revanche, il leur faudra un peu plus de temps pour s’habituer à l’ambiance des stades, où la fougue des supporters laisse place au spectacle. “Le foot est tout nouveau ici, mais il commence à prendre de l’ampleur. Il y a un véritablement engouement pour le LA Galaxy, et du respect pour les joueurs”, fait remarquer Romain Alessandrini, qui est sensible à l’hymne américain chanté en début de match. “Ils viennent voir un spectacle, comme au basket“, reconnaît Bradley Diallo. Et pour satisfaire leurs fans, les Français font tout pour assurer le show.
Un guide en français pour maîtriser le vocabulaire de la santé aux US
« Je l’ai écrit en cinq jours, ça m’a pris comme ça, un matin ! ». Si Charlotte Attry a su tout de suite trouver les mots justes pour écrire son guide médical, c’est parce qu’elle a expérimenté à ses dépens le système de santé américain. « J’ai des soucis de santé qui m’ont fait passer par beaucoup de spécialités différentes, dans diverses structures », confie la journaliste de 37 ans, installée à Berkeley depuis deux ans, d’où elle alimente son blog Beyond the Bridge.
Cette mère de deux enfants, âgés de 6 et 3 ans, se remémore ses rendez-vous chez le médecin, à tapoter sur Google translate, pour trouver la bonne traduction à son symptôme. « Pour dire calculs rénaux en anglais par exemple, il y a le terme scientifique et un autre nom utilisé par les médecins ! ».
À travers ce Petit précis médical à l’usage des francophones aux États-Unis, gratuit et disponible en format PDF, l’expatriée veut « donner des repères aux personnes qui arrivent et qui ont besoin de mots pour dire ce qu’il se passe dans leur corps ». Description des symptômes, expressions utiles, casse-tête de l’assurance médicale: Charlotte Attry traite avec précision, simplicité et une touche d’humour, du système de santé américain.
L’importance de l’assurance santé
Sans rentrer dans « les méandres du système impitoyable de l’assurance médicale privée américaine », l’auteure aborde les notions de “coverage”, “deductible”, “copayment”, “out of Pocket maximum”. « Lorsque l’on choisit une assurance, tout est théorique. Quand on en a besoin, on comprend qu’on a interêt à avoir bien choisi son plan car on ne peut plus revenir en arrière. »
La journaliste rappelle que les pépins de santé sont sources d’importants soucis budgétaires pour les Américains. « C’est marche ou crève, dénonce-t-elle. En France, nous n’avons aucune notion du coût de la santé. Ici, lorsque quatre vaccins coûtent 1 000 dollars, on voit les choses autrement. Lorsque l’on a une rhinopharyngite, on va à la pharmacie plutôt que d’aller chez le médecin. »
Dans les mois qui viennent, Charlotte Attry pense écrire une seconde version, déclinée par spécialités « avec un topo sur les rendez-vous chez le pédiatre pour les pathologies liées à l’enfant ou encore un livret sur la consultation gynécologique, imagine déjà la Française qui se souvient de la fois où elle est arrivée « chez le gynéco comme une fleur ». « Je me suis rendue compte que mon bon niveau d’anglais ne suffisait pas. Un stérilet reste un stérilet… On a beau le décrire, on a tout de même besoin de mots spécifiques pour se faire comprendre ! »
Roland-Garros recrute de jeunes Américains en Floride
Après la Chine, l’Inde, la Corée du Sud, le Japon et le Brésil, c’est au tour des États-Unis de rejoindre l’aventure « Rendez-vous à Roland-Garros ». Lancée en 2014 par la Fédération Française de Tennis en partenariat avec Longines, cette opération, qui donne la possibilité aux meilleurs espoirs du tennis de ces pays d’intégrer le tableau junior du Grand Chelem français, se tiendra du 19 au 22 avril au Boca West Country Club de Boca Raton.
La quatrième édition de ce « Rendez-vous à Roland-Garros » va permettre à seize garçons et seize filles, de jeunes pousses américaines de la petite balle jaune, de s’affronter lors de tournois. Les vainqueurs disputeront les éliminatoires en mai prochain à Paris face aux gagnants des autres pays. À la clé, un précieux sésame : une invitation pour les Internationaux de France juniors. « C’est le ticket de la dernière chance pour ces talents de demain, souligne Sam Primaut, directeur du développement à la Fédération Française de Tennis. Un véritable tremplin pour de jeunes tennismen qui n’ont pas encore le niveau pour accéder au tournoi de Roland-Garros par la grande porte ».
À Boca Raton, l’opération réalisée en partenariat avec l’USTA, l’Association américaine de tennis, se déroulera dans les mêmes conditions qu’à Roland-Garros, sur des cours en terre battue créés pour l’occasion. « L’idée est de faire rimer tennis avec terre battue, la marque de fabrique de Roland-Garros, son ADN, indique Sam Primaut. Nous souhaitons exporter de l’autre côté de l’Atlantique cette tradition et ce savoir-faire artisanal ».
Pourtant, la terre battue n’est pas une surface méconnue aux États-Unis. « Ici, elle est de couleur verte, ce qui est totalement différent car elle se rapproche davantage d’une surface en dur plus agressive qui accentue les blessures, insiste Sam Primaut qui précise que la terre ocre, celle de Roland-Garros, présente quant à elle de nombreux avantages. « Les appuis sont moins brusques ce qui favorise le développement d’un jeu plus défensif. La terre battue rouge est par ailleurs connue pour façonner de véritables spécialistes, comme Andy Murray ou Rafael Nadal. Quand on est bon sur terre battue, on est bon sur toutes les surfaces ».
L’opération séduction de ce « Rendez-vous à Roland-Garros » ne s’arrête pas là. Les trophées emblématiques des vainqueurs des Internationaux de France seront également de la partie. L’occasion pour les curieux d’admirer la Coupe des Mousquetaires et la Coupe Suzanne Lenglen. « Ce sont des signes distinctifs de Roland-Garros chargés d’histoire, explique Sam Primaut. Aux États-Unis, le tennis n’est pas un sport roi, nous essayons donc de susciter des vocations tout en entretenant le mythe ».
Une conférence sur "Un barrage contre le Pacifique" à Pasadena
(Agenda partenaire) L’Alliance française de Pasadena organise le jeudi 20 avril une discussion intitulée “Le regard politique de Rithy Panh: l’adaptation filmique d’Un barrage contre le Pacifique de Marguerite Duras“.
Autour d’extraits du film du Cambodgien Rithy Panh, mettant en scène Isabelle Huppert, le Dr. Panivong Norindr, jusqu’à récemment chef du département de Français à l’Université South California (USC), animera cette conférence qui se veut une réflexion sur le livre de Marguerite Duras et son adaptation au cinéma en 2008.
Un barrage contre le Pacifique raconte l’histoire d’une veuve dans l’Indochine coloniale des années 30, prête à tout pour sauver ses terres des inondations.
—————-
Note: les “articles partenaires” ne sont pas des articles de la rédaction de French Morning. Ils sont fournis par ou écrits sur commande d’un annonceur qui en détermine le contenu.
Un apéro En Marche ! à Miami
Ambiance Macron et mojito. En Marche! Florida, antenne du mouvement d’Emmanuel Macron en Floride, organise un apéro au Barrio Mojito Bar & Lounge le jeudi 13 avril.
Pendant ce rendez-vous, il sera question de “France, d’Europe, de travail, d’économie, d’éducation, de solidarité, d’environnement, santé et sécurité“, selon les organisateurs. Ils exposeront aussi le programme de l’ancien ministre pour les Français de l’étranger. Le tout autour d’un verre.
Gratuit.
La patrouille de France arrive dans le ciel de Californie
Mise à jour: le survol du Golden Gate prévu vendredi 14 avril est annulé
Si vous lisez French Morning, vous savez que la Patrouille de France squatte le ciel américain de mars à mai pour commémorer le centième anniversaire de l’entrée des Etats-Unis dans la Première guerre mondiale.
La prochaine étape emmènera les pilotes français en Californie du 14 au 15 avril avec, au programme, un survol du Golden Gate à San Francisco le 14 entre 3:20pm et 3:40pm.
La patrouille de France assurera ensuite le show à Sacramento le 15 avril, avec une démonstration aérienne organisée à partir de 2pm au Mather Airport de Sacramento. Cet événement est accessible sur réservation au prix de 20$, ou 200$ en entrée VIP comprenant quatre tickets et une rencontre avec les pilotes français. Il est gratuit pour les enfants de 15 ans et moins. Réservations disponibles en ligne.
Des films animés sur la "Grande Guerre" à Washington
Les Etats-Unis commémorent cette année le centième anniversaire de l’entrée des Etats-Unis dans la Première guerre mondiale. L’hommage se poursuit le 25 avril avec la projection, à la Maison française de l’Ambassade, de neuf petits films d’animation.
Ces courts-métrages re-visitent différents aspects de la guerre (lettres de femmes, scènes de tranchées, souvenirs…) en utilisant des techniques modernes comme l’animation 3D, le dessin animé ou le papier découpé. Le programme complet est ci-dessous:
La Détente, Pierre Ducos, Bertrand Bey (France, 2011, 8min30)
1916, Fabien Bedouel (France, 2003, 7min40)
Poppy, James Cunnigham (New-Zealand, 2009, 10min54)
Fire Waltz/Toile de Front, Marc Ménager (France, 2011, 5min46)
The Trenches/La Tranchée, Claude Cloutier (Canada, 2010, 6min55)
Lettres de femmes, Augusto Zanovello (France, 2013, 11min25)
Le jour de gloire, Bruno Collet (France, 2007, 6min30)
So close/De si après, Rémi Durin (France/Belgique, 2009, 12min25)
Trois petits points, Rémy Schaepman, Lucrèce Andreae, Alice Dieudonné, Florian Parrot, Tracy Nowocien, Ornélie Prioul (France, 2010, 3min32)
Le rappeur Orelsan à la New French Cinema Week d’Austin
Pour la quatrième année, l’Austin Film Society (AFS) organise sa semaine de cinéma français du 16 avril au 23 avril à Austin. Organisée en partenariat avec le festival Premiers Plans d’Angers, la New French Cinema Week présentera quatre films français indépendants sortis ces derniers mois en France.
Le festival débutera le dimanche 16 avril à 5pm à l’AFS avec la projection du film “Victoria” (“In Bed with Victoria”) de Justine Triet. Virginie Efira y incarne une jeune mère, avocate, à la vie sentimentale et professionnelle chaotique. Amenée à défendre un ami accusé d’avoir blessé sa femme à coups de couteau, Victoria s’embarque dans une odyssée rocambolesque qui met sa carrière en péril. En parallèle, elle engage Sam (Vincent Lacoste) comme jeune homme au pair pour s’occuper de ses filles. Un duo improbable qui fait le succès de cette comédie drôle et grinçante. La projection sera suivie d’une conversation avec Simon Beaufils, directeur de la photographie du film.
Le long-métrage franco-polonais “Crache cœur” (“Raging Rose”) de Julia Kowalski sera présenté jeudi 20 avril à 8:30pm au Contemporary Austin Jones Center. Projeté au Festival de Cannes 2015, le film retrace l’histoire de Jozef, un ouvrier polonais à la recherche de son fils, Roman, abandonné quinze ans plus tôt. Il débarque à Saint-Brieuc où il rencontre Rose, une jeune fille aux intentions troubles qui connaît Roman et s’immisce entre les deux. La réalisatrice sera présente pour échanger avec le public à l’issue de la projection.
Premier long-métrage du rappeur Orelsan (co-réalisé avec Christophe Offenstein), “Comment c’est loin” (“Uncompleted Song”) est un récit autobiographique qui revient avec beaucoup d’humour et de tendresse sur les débuts du rappeur et de son acolyte Gringe (qui y joue aussi son propre rôle). Le film sera projeté le samedi 22 avril à 8:30pm au Contemporary Austin Jones Center, en présence du rappeur.
Enfin, le festival se terminera le dimanche 26 avril à 5pm au Texas Spirit Theater avec la projection de “Paris la Blanche” de Lidia Terki. Rekia, 70 ans, Algérienne, décide de partir à la recherche de son mari, Nour, venu travailler en France il y a plus de 40 ans. Elle arrive à Paris et le retrouve finalement dans un foyer de travailleurs à Ivry. Le film aborde alors la question des “chibanis”, des immigrés ni Français, ni Algériens, coincés entre deux cultures. La réalisatrice sera elle aussi présente pour une discussion après la projection du film.