C’est un évènement de l’actualité retail à ne pas manquer.
Le réseau de patrons et de cadres-dirigeants français aux Etats-Unis FrenchFounders et Cegid (société spécialisée dans l’édition de logiciels) organisent le 16 janvier la Retail Big Show Private Cocktail Party, en présence de professionnels français et américains du secteur, afin d’échanger sur les grandes tendances de demain. L’évenement se déroule en marge du “Retail’s Big Show” de la National Retail Federation (NRF) qui se tiendra du 15 au 17 janvier au Javits Center.
Parmi les intervenants, Kristina Buckley Kayel, vice-présidente de la communication chez Van Cleef & Arpels, Ketty Maisonrouge, présidente et fondatrice de KM&Co Inc; Jean-Marc Bellaiche, vice-président Stratégie et Développement chez Tiffany & Co; et Xavier Vey, président et COO de L’Oréal Luxe USA.
Les places sont limitées et les demandes de participation se font sur la page de l’évènement.
Soirée cocktail et retail avec FrenchFounders à New York
Où acheter la galette des rois à Washington
A Washington, il est plus facile de trouver le fameux “King’s Cake” dans le style de la Nouvelle Orleans que notre galette des rois française à la frangipane. Mais rassurez-vous, nous avons tout de même trouvé trois bonnes adresses:
Un je ne sais quoi
La nouvelle pâtisserie française de Dupont Circle se spécialise peut être dans les merveilleux mais ca ne l’empêche pas d’ajouter la galette des rois à son menu pour ce debut janvier. La galette pour six personnes d’Un je ne sais quoi coûte $33 et peut être commandée jusqu’à mi-janvier, par téléphone un jour à l’avance. 1361 Connecticut Ave NW. Tel: (202) 721-0099
Patisserie Poupon
Les rois se fêtent pendant tout le mois de janvier à Patisserie Poupon. La galette s’y decline en trois tailles: petite (sert 6 personnes, $24), moyenne (sert 8-10 personnes, $33) et large (sert 12-14 personnes, $39.50) et chaque gâteau vient avec deux couronnes… pour le roi et sa reine bien sûr! 1645 Wisconsin Avenue NW. Tel: (202) 342-3248.
Tout de Sweet
A Tout de Sweet aussi la galette des rois est offerte tout le long du mois de janvier. Elle est, par contre à commander par téléphone avec au moins un jour d’avance. Il y a deux possibilités de taille: 9 inches qui sert 6 personnes ($30) et 12 inches qui sert 10 personnes ($35). 7831 Woodmont Avenue, Bethesda. Tel: (301) 951-0474.
4 "food co-ops" pour bien manger à New York
Les “food coops” sont nées bien avant les “bobos”, mais elles n’ont jamais été aussi à la mode, portées par le désir de manger sainement -et de payer moins cher. A New York, la pionnière de ces coopératives alimentaires – et la plus connue – est la Park Slope Food Coop, mais elle est loin d’être la seule. Petit tour d’horizon de quatre façon de faire ses courses autrement.
Park Slope Food Coop
La Park Slope Food Coop est la “coop” la plus importante de New York. Située au cœur du quartier de Park Slope à Brooklyn, elle existe depuis 1972. Elle doit son existence à un petit groupe de voisins engagés qui voulaient mettre à la portée de tous une nourriture saine et à un prix abordable. Aujourd’hui, elle compte plus de 16.500 membres, qui bénéficient de réductions de 20 à 40 % sur les produits qu’ils achètent en échange de deux heures et 45 minutes de travail au magasin toutes les quatre semaines. Les personnes souhaitant rejoindre la coop doivent payer 25 dollars de frais d’adhésion et investir 100 dollars dans la coop. Tout le monde peut y adhérer, mais seuls les membres sont autorisés à y faire leurs courses. Le profil des membres est très varié, allant de personnes aux revenus plus que confortables à des personnes à faibles revenus. “La nourriture est de très bonne qualité, affirme un travailleur. Les produits ne sont pas toujours bios, mais ils sont locaux. Park Slope doit respecter un nombre maximum de miles lorsqu’elle achète ses produits. De cette manière, elle soutient les communautés locales.” Une différence avec les autres “food coops” : ici, en raison de la taille considérable de la coopérative, de nombreux travailleurs sont payés. Et les membres qui ne viennent pas faire leurs heures sont sanctionnés. 782 Union St, Brooklyn. (718) 622-0560
4th Street Food Coop
Elle a la particularité d’être la seule coop de New York à être située à Manhattan. “Notre loyer est plus bas qu’ailleurs à Manhattan, explique TJ, travailleur à la coop. Nous profitons d’un tarif avantageux concédé par le propriétaire.” La 4th Street Food Coop a été fondée en 1973. Comme les autres coops, elle permet à ses membres d’acheter des produits biologiques ou locaux à des prix réduits contre, en ce qui la concerne, deux heures et 25 minutes de travail chaque semaine (les frais d’adhésion sont de 36 dollars par an), mais il est également possible de rejoindre la coop en tant que membre non travailleur (pour 48 dollars par an). Autre particularité: tous les produits proposés sont végétariens. Et ici, on insiste sur l’importance de s’impliquer personnellement dans la coop. “Les gens qui travaillent ici aiment aider les clients. Si vous êtes simplement intéressé par le bio, de manière abstraite, et que vous ne voulez pas aider le client, cela ne marche pas”, souligne TJ. Et des personnes intéressées, ce n’est pas cela qui manque à la 4th Street Coop. Les profils des membres sont très variés, avec notamment de nombreux étudiants de la NYU. 58 E 4th St. (212) 674-3623
Greene Hill Food Coop
Ouverte en 2008, cette “coop” de Greene Hill, à Brooklyn, est le fruit du rassemblement de voisins vivant à Fort Greene, Clinton Hill, Bedford-Stuyvesant et dans les environs qui ont décidé de rassembler leurs forces afin de faire tourner un magasin coopératif sans but lucratif. Cette “coop” de plus de 1.300 membres est une “100% working coop”, c’est-à-dire que tous les membres y travaillent au moins deux heures et demie toutes les quatre semaines, participent à l’un de ses comités et assistent aux “General Meetings”. Et cette coopérative peut se targuer de faire partie du club très restreint des trois food coops de ce genre aux Etats-Unis. Le magasin cultive un fort sens de communauté (entre 80 et 90% des membres proviennent des quartiers environnants) et les membres profitent de prix considérablement plus bas que dans les magasins traditionnels. “Je sens, dans mon budget, une différence de prix par rapport à ce que je payerais dans un supermarché”, confie un travailleur. Pour devenir membre, les personnes intéressées doivent investir 150 dollars et payer 25 dollars de frais administratifs. 18 Putnam Ave, Brooklyn. (347) 799-1939
Windsor Terrace Food Coop
Cette jeune “coop” de Windsor Terrace, à Brooklyn, est tenue par le retraité brooklynite, Jack O’connell. “C’est moi qui ai ouvert le magasin, explique-t-il. C’était en 2012. Un supermarché local a fermé. Lors d’une réunion, quelqu’un a dit qu’il était peut-être temps de lancer une coop. Nous avons rassemblé 250 personnes, ce qui représentait environ 25.000 dollars. Et c’est comme cela que tout a commencé.” Ici, les membres s’engagent à travailler deux heures toutes les six semaines pour pouvoir profiter de réductions sur les produits. Les frais d’adhésion s’élèvent à 100 dollars. La plupart des membres sont des actifs qui ne pas aisés. Justement, tout est fait pour permettre aux personnes à faibles revenus de manger sainement. “Nous essayons de faire en sorte que les clients puissent utiliser leur food stamps, cette carte que le gouvernement vous donne pour que vous puissiez acheter de la nourriture à un prix réduit. Si vous possédez cette carte, vous ne devez pas payer pour devenir membre de la coop”, précise Jack O’connell. Le magasin ne roule pourtant pas sur l’or. “Notre licence va expirer dans deux ans, et je m’attends à ce que la propriétaire augmente fortement notre loyer”, confie le responsable. Mais, fidèle à sa vision, il n’est pas question pour lui d’augmenter les prix des produits. “Je pense que nos membres préféreraient contribuer à un filet de sécurité plutôt que de voir les prix augmenter”. 825 Caton Ave, Brooklyn. (718) 972-4600
Joël Robuchon se fait désirer à Miami
Il faudra encore un peu de patience avant de pouvoir déguster à Miami les plats proposés par le nouveau restaurant du chef cuisinier français Joël Robuchon. Son enseigne L’Atelier, qui devait ouvrir ses portes fin 2016, n’accueillera finalement ses premiers clients qu’au mois d’octobre prochain.
À 71 ans, Joël Robuchon, qui poursuit l’expansion de son empire gastronomique, va tout d’abord inaugurer en avril prochain à New York sa nouvelle enseigne à Meatpacking District avant de continuer sa route sous le soleil de Floride. Celui qui cumule pas moins de trente et une étoiles au célèbre Guide Michelin, dont cinq fois trois étoiles, la distinction la plus prestigieuse, ouvrira son nouvel établissement au mois d’octobre prochain en plein cœur de Design District, l’un des quartiers branchés de Miami.
Ce projet proposera trois concepts de restauration. L’Atelier, le restaurant traditionnel de Joël Robuchon qui sera associé à un espace lounge Le Bar offrant plusieurs salons dans une ambiance visant à la détente. Il y aura également La Boutique, une boulangerie-pâtisserie proposant du pain fabriqué sur place ainsi que des gourmandises sucrées qu’il sera possible de déguster assis confortablement à l’une des tables de la terrasse située à l’étage de l’établissement.
La parade des politiques au CES 2017
Un violon transparent à la main, une femme joue la Marseillaise dans les allées du CES de Las Vegas. Et ce n’est pas n’importe qui. Lors de sa venue au salon, jeudi 5 janvier, la secrétaire d’Etat au numérique Axelle Lemaire a testé 3Dvarius, le violon électrique imprimé en 3D.
Habituée à ce genre d’événements, elle accompagnait le ministre de l’économie et des finances, Michel Sapin. L’événement concentrant une sur-représentation des médias propice à cette période préélectorale, le candidat républicain François Fillon a également fait le déplacement, avec l’ex-secrétaire d’Etat au numérique, Nathalie Kosciusko-Morizet. Certains ont également pu rencontrer Laurent Wauquiez, venu soutenir sa région Auvergne-Rhône-Alpes.
Les idées diffèrent mais pas leur objectif. En cette première journée du Consumer Electronics Show, les politiques ont tous été à la rencontre des jeunes entrepreneurs et des responsables de grands groupes, avant de prononcer un discours. La seule différence était leur agenda, qui leur a permis de ne jamais se croiser.
A la rencontre des startups françaises
Jeudi matin, dans les allées de l’Eurêka Park, qui concentre les jeunes pousses prometteuses, les deux ministres du gouvernement Hollande sont au pas de course, enchaînant les stands de startups de la French Tech. Plus connectée que son ministre, Axelle Lemaire est d’ailleurs rompue à ce type d’exercice : «ce n’est pas mon premier CES».
Au détour des allées, ils découvrent le robot Buddy, la D-Vine, la nespresso du vin ou encore le pommeau de douche intelligent, Hydrao. «J’en ai profité pour évoquer les problèmes rencontrés pour la certification plomberie hors France», explique Gabriel Della-Monica, l’inventeur d’Hydrao. «Ségolène Royal leur avait parlé de nous, elle est fan.» Pas le temps d’épiloguer que les ministres repartent. Et ils ont donné de leur personne : chantant «Singin’ in the rain» sous le parapluie connecté oombrella, et Axelle Lemaire chaussant les gants de boxe… “On apprécie le soutien des politiques. C’est un porte-drapeau pour nos équipes“, reconnaît Thibaut Jarrousse, l’un des fondateurs de 10-Vins.”L’an passé, Emmanuel Macron s’était arrêté. Cette médiatisation a accéléré notre campagne de crowdfunding (financement participatif). On a récolté les fonds quatre fois plus vite que l’année précédente.”
C’est aussi l’occasion d’alerter les politiques. Jerôme Leleu, le co-fondateur de Simforhealth, qui met la réalité virtuelle au service des professionnels de la santé, a notamment profité de sa rencontre avec le ministre pour évoquer les difficultés d’accès aux marchés publics à l’international.
Outre les sourires, Axelle Lemaire et Michel Sapin sont venus défendre les startups et l’initiative French Tech, créée en 2013. «Il ne faut pas douter. En France, nous avons des innovateurs, nous sommes un pays qui va de l’avant», clame Michel Sapin. Preuve de cette effervescence, «le nombre de startup a été multiplié par quatre en 3 ans », appuie Axelle Lemaire. La campagne n’étant jamais loin, ils en ont profité pour faire le bilan du quinquennat. «Pour accompagner les initiatives, des mesures ont été votées, telles que la baisse de l’impôt sur les sociétés et la création de Bpifrance, l’agence publique de financement des entreprises», rappelle le patron de Bercy, émerveillé par la diversité des innovations.
Fillon, le candidat geek
Mais la vraie star du CES, venue marcher sur les plates-bandes d’Emmanuel Macron qui avait été ovationné en 2016, fut François Fillon. Au pas de course et suivi par une horde de journalistes, il a lui aussi enchaîné les stands. Le candidat avait revêtu son costume de geek, essayant notamment chez Sculpteo le premier vélo imprimé en métal. A ses côtés, son ancienne adversaire à la primaire Nathalie Kosciusko-Morizet se défendait de miroiter une place de ministre.
Après une journée riche en serrages de main, il a prononcé un discours devant une foule de professionnels français. «Je ne suis pas ici pour sacrifier à une mode», s’est-il d’abord justifié, refusant la comparaison avec Emmanuel Macron. Il a alors remémoré à l’assistance son passé numérique. «Je suis un converti de longue date à la révolution numérique (…) Je pressentais l’importance d’Internet quand d’autres n’y voyaient qu’un gadget éphémère», arguait celui est “venu au CES pour la première fois en 1999“. Son amour pour le tech a alors égaillé son discours : «le pétrole du XXIe siècle, c’est la data». Pour offrir «un environnement business friendly» et «faire de la France une smart nation», il mise sur des mesures, telles que la suppression de l’ISF, une “flat tax” de 30% sur les revenus du capital, un dégrèvement fiscal pour les investissements dans les entreprises et la création d’un statut de prestataire indépendant. Des annonces ovationnées par l’assistance.
Mais les grands discours ne bernent pas les entrepreneurs. Même s’il se réjouit de la visibilité offerte par les politiques, Matthieu Régnier, le co-fondateur de Dagoma (imprimante 3D), est nuancé : “je ne sais pas s’il y a une réelle écoute technique. C’est davantage un enjeu politique, d’autant plus pour François Fillon, qui a posé de nombreuses questions.” D’autres startups regrettent que leur innovation n’ait pas mérité l’intérêt des ministres et du candidat. “C‘est bien dommage que le handicap soit une niche car ce n’est pas un gadget“, déplore Pauline Bouleroy, venue présenter Gaspard, le tapis connecté installé sur un fauteuil roulant.
Première Bilingual Education Fair à Washington DC
L’éducation bilingue continue de gagner du terrain: trois ans après la création de la première Bilingual Education Fair à New York par French Morning, l’évènement arrive à Washington DC le 14 janvier.
French Morning s’est cette fois associé au DC Language Immersion Project (ou DC Immersion), à l’initiative de ce premier salon de l’éducation bilingue dans la capitale fédérale. “Les écoles et programmes bilingues sont en pleine expansion partout aux Etats-Unis et Washington ne fait pas exception, explique Vanessa Bertelli, directrice de DC Immersion. Le but de ce salon est d’offrir à toutes les familles l’opportunité de découvrir l’offre existante à Washington, et comment y accéder”.
Le salon, soutenu par le Lycée Rochambeau, la Whole Kids Academy et la Qatar Foundation International, regroupera une trentaine d’exposants, écoles publiques et privées et autres organisations, représentant 6 langues. Les parents pourront également assister à trois conférences pour mieux comprendre l’éducation bilingue, et les enfants auront l’opportunité de participer à des “story times” en 7 langues.
“L’éducation bilingue a le vent en poupe et pour de bonnes raisons, note Vanessa Bertelli. Toutes les études montrent que les enfants inscrits ont des résultats aux tests significativement supérieurs à ceux qui suivent un enseignement monolingue et des données préliminaires sur les écoles de Washington indiquent des tendances simiaires”. Comme un peu partout aux Etats-Unis, de New York à l’Utah en passant par la Géorgie, l’enseignement bilingue intéresse de plus en plus les décideurs politiques à Washington également. Un signe qui en dit long: la DC Bilingual Fair est co-parrainée par toutes les institutions chargées d’éducation (DC State Board of Education, DC Public Schools, DC Public Charter School Board, DC Public Library).
Entrée gratuite. RSVP ici.
La "non-conférence" de la French Touch à San Francisco
“On a toujours eu envie d’organiser un événement en plus de la conférence de New York“, explique Gaël Duval, le fondateur de la French Touch Conference. “Notre objectif est double: étendre le concept en démontrant notre capacité d’internationalisation et favoriser le business entre différents écosystèmes“.
C’est dans cet objectif que les organisateurs de la French Touch Conference ont décidé d’organiser un événement exclusif et intimiste, une “non conférence” organisée le 10 janvier, dans un loft en plein cœur de SoMa, le quartier des start-ups de San Francisco. “On souhaitait vraiment être présents dans cette région incontournable pour la tech de manière différente en rompant avec les conférences traditionnelles“, précise Gaël Duval. Et pour faire tomber encore plus les barrières, les organisateurs ont prévu que speakers comme invités puissent prendre la parole. Au programme de la journée: l’IoT, l’AI, le med tech, le civic tech et le future of work. Côté intervenants, des membres de Google, Facebook, IBM, GE, Renault, JC Decaux, et bien d’autres, mais aussi des investisseurs comme ISAI, Iris Capital, Partech Venture, Bleu Capital… L’audience sera franco-américaine,
Etant donné le caractère intimiste de cette première édition dans la Silicon Valley, l’audience est limitée et les participants soumis à une stricte sélection: “Il y a environ 130 places pour plus de 300 personnes inscrites. Les participants seront triés sur le volet, ils doivent être en lien direct avec les thèmes abordés“.
Que les fans de la conférence de New York se rassurent: la French Touch sera bien présente à son rendez-vous annuel les 27 et 28 juin prochain avant de s’envoler pour Shanghai.
La Nuit de la Philosophie et des Idées va faire réfléchir Brooklyn
Vous avez aimé la Nuit de la Philosophie en 2015, vous adorerez sans doute la Nuit de la Philosophie et des Idées.
Ce marathon nocturne de débats philosophiques, projections, lectures et de musique aura lieu à la Brooklyn Public Library (Grand Army Plaza) dans la nuit du samedi 28 au dimanche 29 janvier.
Cette soirée d’érudits noctambules durera douze heures et rassemblera des philosophes du monde entier. Lancée par l’Institut Français, la Nuit de la Philosophie et des Idées se tiendra dans quarante villes partenaires en janvier 2017.
Wax Tailor fait danser San Francisco en février
Wax Tailor est souvent considéré comme le chef de file de la scène trip-hop et hip-hop cinématique. Il a réussi à s’imposer sur la scène musicale internationale avec quatre albums et quelque 600 concerts donnés dans près de 50 pays. Le musicien a également collaboré avec de nombreux artistes, comme Sharon Jones, Ursula Rucker ou encore Keziah Jones.
Le Lycée Français de San Francisco ouvre les portes du monde
(Article partenaire) Depuis 50 ans, le Lycée Français de San Francisco est votre référence en matière d’éducation et d’immersion en Français dans la Baie de San Francisco. Sur trois superbes campus, à San Francisco et à Sausalito, le Lycée Français de San Francisco (LFSF) accueille près de 1,000 élèves, de plus de 50 nationalités différentes, de la Maternelle à la Terminale, et les forment à devenir des citoyens de demain, prêts à saisir les opportunités et affronter les challenges d’un monde en perpétuelle évolution.
Le Lycée Français de San Francisco propose une éducation rigoureuse et exigente, dont la qualité est reconnue et appréciée internationalement. Nos élèves grandissent et deviennent de jeunes adultes bilingues, souvent plurilingues, et biculturels. Détenteurs d’un baccalauréat français et d’un diplôme de fin d’études américain, les portes des universités du monde entier leur sont ouvertes, leur permettant de poursuivre leurs études dans le pays et système de leur choix, parfois même avec un peu d’avance!… L’option internationale du Baccalauréat, exigeant la parfaite maîtrise du Français et de l’Anglais, finit d’illustrer la qualité de nos programmes et de nos équipes.
Tout commence à la Maternelle
La Maternelle du Lycée Français de San Francisco est un univers accueillant et bilingue, où les tout petits apprennent à devenir de jeunes élèves, à vivre ensemble et à découvrir le monde qui les entoure. Le Français n’est pas alors une matière, mais simplement la langue dans laquelle se font les apprentissages, celle du jeu et des comptines. Des projets et thèmes permettent une exploration inter-disciplinaire et développent simultanément le langage, la lecture, la motricité, la logique, les sciences, le coding…tout commence à la Maternelle!
Un programme complet qui s’adapte à vos besoins
Etablissement conventionné auprès de l’Agence pour l’enseignement français à l’étranger (AEFE) et homologué par le ministère de l’Éducation nationale, le Lycée Français de San Francisco s’inscrit dans un vaste réseau de près de 500 écoles françaises de part le monde.
Une vaste sélection d’activités extra-scolaires autour de trois axes principaux: le sport, la musique et la culture, complète notre offre académique. Des camps en français, certains ouverts au public, sont organisés pendant les périodes de vacances scolaires et durant tout l’été. Notre système de transport permet aux élèves des Baies Sud et Nord de bénéficier de nos programmes dont nous nous efforçons de garder les prix compétitifs.
Allier expérience et innovation
Cette année, nous célébrons notre 50ème anniversaire et, convaincus des nombreux bénéfices maintes fois documentés d’une éducation bilingue, lançons de nouveaux programmes visant à ouvrir nos portes à un plus grand nombre.
Notre classe de FLI (French Language Immersion, http://www.lelycee.org/FLI) offre un point d’entrée dans notre système en école élémentaire. Une approche individualisée et une immersion soutenue permet à des élèves du CP au CM2 de pouvoir intégrer leur classe de niveau en un ou deux ans.
La Petite Ecole débutera en septembre prochain sur notre campus de Sausalito. Un programme à temps partiel (cinq matinées par semaine) et en français uniquement, accueillera des enfants dès l’âge de deux ans, et les préparera tout en douceur à la Maternelle.
Pour en savoir plus sur notre école et ses programmes, merci de contacter le bureau des admissions ou de visiter notre site.
Note: les “articles partenaires” ne sont pas des articles de la rédaction de French Morning. Ils sont fournis par ou écrits sur commande d’un annonceur qui en détermine le contenu.
Kusmi Tea dans l'oeil de l'Oculus à New York
“C’est la satisfaction d’un travail d’équipe qui a abouti”. Raphaël Champ est un COO heureux. Après deux boutiques dans l’Upper East Side, le Français a ouvert, fin décembre, un Kusmi Tea dans le nouveau centre commercial Westfield World Trade Center, abrité dans le superbe Oculus.
Et il ne s’agit pas de n’importe quelle boutique, mais du “flagship” de la marque de thé spécialisée dans le haut-de-gamme: “C’est un symbole très fort. Cela incarne notre développement aux Etats-Unis” .
Kusmi Tea fait partie de la ribambelle de marques françaises présentes dans le nouveau centre commercial, un symbole de plus de la renaissance du World Trade Center quinze ans après le 11-Septembre. La boutique Kusmi est située dans une artère qui relie la tour 4 World Trade Center et le centre de l’Oculus, à proximité d’un accès vers Eataly Downtown. “On n’a pas tellement eu le choix de l’emplacement, car c’est un centre commercial qui est très demandé. Et en tant que ‘petite’ marque française, on a eu peu de poids par rapport aux grandes chaînes internationales présentes dans l’Oculus”, explique Raphaël Camp.
Du marbre au carrelage en passant par les meubles et les accessoires, tous conçus par des artisans de différents pays, Kusmi Tea a voulu voir grand pour cette boutique-vitrine. Celle-ci dispose notamment d’une table de dégustation pour permettre aux clients de goûter les nombreux thés et mélanges de thés que Kusmi Tea a développé depuis sa création en Russie en 1867 – elle a été rachetée en 2003 par les frères français Orebi et est installée à Paris depuis 1917.
Un pas en avant, donc pour la marque de thé, qui ne compte pas s’arrêter en si bonne voie. “Nous voulons ouvrir plus de magasins aux Etats-Unis, dans des lieux iconiques comme celui-ci. Dans le reste du monde, nous voulons également continuer à nous développer avec ce modèle de boutiques” .