C’est une page d’histoire qui va s’écrire en direct à Washington le 20 janvier. Comme tous les quatre ans, la capitale fédérale se prépare à vivre « Inauguration Day », en l’occurrence cette année l’investiture du nouveau président Donald Trump. Un événement qu’il est possible de suivre de près… moyennant un peu d’organisation.
Le Jour J, le mieux est d’oublier sa voiture au garage (la liste complète des rues fermées est disponible ici) et de prendre les transports en commun qui fonctionneront pendant 17 heures d’affilée en service « heure de pointe ».
Le vendredi 20 janvier, le métro doit ouvrir ses portes dès 4am, soit une heure plus tôt que d’habitude. Mais plusieurs stations seront fermées au public : Archives, Mt Vernon Square, Smithsonian. Pour tout le reste du réseau, la bonne astuce, c’est d’acheter le pass spécial investiture (sans le nom de Donald Trump) mis en vente pour ce jour-là : 10 dollars pour un accès illimité au métro et aux bus. A commander à l’avance sur le site de la WMATA pour éviter la queue aux guichets.
Une fois arrivé sur le Mall, vous vous rapprochez de deux moments-clés de cette journée d’investiture : d’abord la prestation de serment au pied du Capitole puis la parade sur Pennsylvania Avenue pour rejoindre la Maison-Blanche. Pour entendre prononcer « I, Donald Trump, do solemnly swear », des gradins vont être mis en place. Mais ils sont réservés à des invités qui ont demandé leur place (gratuite par ailleurs) il y a plusieurs mois déjà, notamment en passant par leur sénateur ou représentant.
Sans ticket, deux solutions : s’installer sur le Mall près d’un écran géant pour être au plus près du feu de l’action pendant la prestation de serment ou se presser le long de Pennsylvania Avenue pour espérer voir passer le 45e président des Etats-Unis.
Mais plus vous vous approcherez de la Maison-Blanche, plus la foule sera compacte et la place limitée. Autour du 1600 Pennsylvania Avenue, quelques places assises (payantes celles-là) seront disponibles et mises en vente en janvier (un formulaire officiel est à remplir pour être tenu au courant).
Evidemment, pour accéder à toute cette zone au cœur de Washington, il faudra franchir des barrières de sécurité (le plan précis sera dévoilé début janvier). Ouverture des portes attendue dès 6:30am le jour de l’investiture.
Si vous venez de loin, réserver une chambre d’hôtel sera le principal défi. Certains supporters d’Hillary Clinton ont annulé leur réservation après la défaite du 8 novembre mais ils ont vite été remplacés par des fans de Donald Trump. Et les tarifs ont repris leur folle ascension. Sur Airbnb, même combat. « Les prix moyens ont augmenté de 83% au cours des deux dernières semaines », prévient le site à un mois et demi de l’événement… Pas grand chose à espérer de ce côté-là non-plus, tout du moins à un prix raisonnable.
Et si l’idée de voir Donald Trump s’installer à la Maison-Blanche ne vous met en joie et que vous voulez éviter à tout prix cet événement (et les contre-manifestations qui vont aller avec), le plus simple serait encore… de poser un jour de congé si vous travaillez dans le centre de Washington. C’est d’ailleurs ce qui est prévu pour les fonctionnaires de DC et des environs qui ont tous droit à un jour férié exceptionnel. Cela vous permettra, au passage, de garder vos enfants car de nombreuses écoles vont aussi être fermées ce jour-là.
Investiture de Donald Trump à Washington : comment y assister ?
Moondream: le rideau français tombe sur les chambres américaines
On est tous d’accord, les Américains ont un vrai problème avec les volets. Tout simplement parce qu’ils n’en ont pas.
Ce constat, la société française, Moondream, spécialiste du rideau occultant en a pris son parti et compte bien surfer sur un changement d’habitude des Américains. “Ils sont en train d’évoluer par rapport à ce sujet. Avant ils n’avaient pas besoin de rideaux ou de volets, parce qu’ils dinaient à 6:30pm, se couchaient à 9pm et se réveillaient tôt. Ce n’est plus le cas aujourd’hui et notamment dans les grandes villes, explique Michèle Bendelac, CEO de Moondream aux Etats-Unis. Et surtout, les Américains sont de plus en plus réceptifs au discours sur le bien-être, sur la nécessité de bien dormir et de se protéger des agressions extérieures, ce que nous proposons“.
Moondream est une jeune start-up mais qui s’inscrit dans une belle histoire de famille. Celle de la société Brunswick, fondée à Paris en 1909. Georges Brunswick, son fondateur, s’était lancé dans la vente – très prospère à l’époque – de voile de deuil. L’activité périclitant au fil des années, il avait fait le choix d’un virage vers la doublure de vêtement, puis le tissu d’ameublement, aidé par son fils, puis son petit-fils. Aujourd’hui, c’est son arrière petit-fils Charles qui est à la tête de l’entreprise. Diplômé de l’ESCP il a repris les rênes de l’entreprise familiale en 2012, en développant le digital et en lançant Moondream, qui se consacre au B to C quand Brunswick SA se concentre sur le B to B.
“Nous avons découvert un tissu extraordinaire, qui permet d’obtenir une obscurité totale. A partir de ça, nous avons investi dans la R&D, travaillé avec des ingénieurs textile et des sociologues pour comprendre et anticiper les demandes. Aujourd’hui, nous proposons des rideaux occultants, thermiques, phoniques et anti-ondes”, se félicite Michèle Bendelac.
Leader sur le marché des rideaux “techniques”, en France et en Europe, la start-up se devait de se lancer sur le marché américain. Un défi connaissant les habitudes locales, mais surtout une énorme opportunité de développement. Le bureau de New York a ouvert en mai 2015, tout comme le site internet américain et le service après-vente. Les produits sont eux fabriqués en Europe (Pologne) et stockés dans un entrepôt du New Jersey.
Sur le site, les références à la France, sa qualité, son savoir-faire, sont présentes mais discrètes . “On s’est dit que pour les Américains, la France est souvent associée au luxe, explique Michèle Bendelac. Or nous sommes tout sauf un produit de luxe. Nos prix sont volontairement raisonnables, parce que nous sommes une entreprise raisonnable“.
Les ventes sont en progression constantes de ce côté de l’Atlantique, et la start-up assure qu’elles sont conformes aux prévisions. Mais aux Etats-Unis, Moondream doit fait face à une rude concurrence: des rideaux “black out” sont disponibles dans toutes les grandes enseignes. “C’est une promesse de black out mais ça n’a rien à voir avec notre produit, assure la responsable. Notre technologie a été brevetée et nos solutions sont efficaces. Que ce soit pour l’obscurité, pour le thermique ou le phonique“. D’ailleurs, les Américains sont très friands de ces développements: “Nous vendons dans le Mississippi comme à Boston, mais le sound proof est le produit qui marche le mieux et, forcément, les ventes sont beaucoup plus importantes dans les grandes villes, sur les côtes Ouest et Est“.
Pour marquer sa différence, Moondream compte aussi sur sa recherche d’esthétisme. “Nous avons une gamme de choix très large, en couleurs et motifs, précise Michèle Bendelac. Le rideau n’est pas juste technique, il doit être beau, au goût des clients“.
La représentante de la marque aux Etats-Unis reconnaît qu’il y a encore du travail pour s’imposer et devenir une référence sur le marché américain, mais elle se félicite des commentaires élogieux sur le site internet. “Nous sommes sur un marché de niche et nos clients sont satisfaits“.
Si l’expérience américaine se confirme dans les prochains mois, Moondream pourrait se lancer au Canada et en Amérique latine.
Les entreprises françaises à la pointe du CES 2017
La ville du jeu se transforme en Mecque des innovations technologiques, le temps de la 50e édition du “Consumer Electronics Show” (CES), du jeudi 5 au dimanche 8 janvier.
Organisé par l’association américaine des technologies grand public CTA, ce salon accueillera plus de 3.800 exposants et au moins 165.000 visiteurs à Las Vegas. Comme l’an dernier, la France sera bien représentée, avec plus de 250 entreprises et organisations tricolores. Elle reste la deuxième délégation étrangère de start-ups à Las Vegas.
L’effervescence de l’innovation high-tech est d’ores et déjà remarquable, puisque le pays compte 178 startups (les Etats-Unis, 203 startups) exposant dans l’Eureka Park, l’espace consacré entreprises et marques émergentes à fort potentiel.
Sans compter que le pavillon français, situé à l’hôtel Venetian, était, l’an passé, l’un des plus fréquentés. La Silicon Beach y brillera, puisque French Accelerator, qui représentera douze startups de la French Tech Los Angeles, fait le déplacement.
Le CES attirera également les politiques, venus donner un air américain et tech à leurs campagnes. Succédant à un Emmanuel Macron ovationné l’an passé, le candidat Les Républicains François Fillon sera à Las Vegas à partir du 5 janvier. Il devrait croiser le ministre de l’économie Michel Sapin, accompagné d’Axelle Lemaire, la ministre chargée des nouvelles technologies.
Coup de projecteur sur les “smart home” et les objets connectés
Outre la valse des politiques, tous les regards seront rivés sur les nouveautés liées à l’internet des objets, que ce soit la réalité augmentée et virtuelle, ou la maison (“smart home”) et les voitures intelligentes. La France entend devenir une référence dans le domaine. De grands groupes, tels que la Poste et son programme French IoT, Orange qui a ouvert un campus dédié à l’innovation, Engie (investisseur dans Sigfox), et Business France, l’agence dédiée à l’internationalisation de l’économie française, auront leur propre pavillon dédié.
De plus petites entreprises viendront présenter leurs nouveautés. Ainsi, la startup française Fenotek dévoilera son interphone vidéo sans fil qui permet de rester connecté à son domicile depuis une app. Vous y découvrirez également Hydrao (de Smart & Blue), un pommeau de douche connecté qui contrôle le gaspillage d’eau; ou le bracelet connecté Motio Healthware (de Neogia et Kyomed) dédié à l’apnée du sommeil.
D’ores et déjà, vingt-cinq startups françaises ont été primées lors des CES Innovation Awards, le 10 novembre dernier à New York. Xooloo (alternative au contrôle parental sur Internet) et PKParis (un objet connecté dans le secteur médical confidentiel) ont même reçu un “Best of Innovation Award”, qui récompense la meilleure innovation mondiale dans leur catégorie.
En outre, cette vitrine de l’innovation sera l’occasion de découvrir les nouveautés du secteur automobile. La voiture connectée et autonome sera vraisemblablement l’une des stars du salon.
"Le Corniaud" sur TV5 Monde
Le Corniaud fait partie de ces films qu’on aime voir et revoir. Pour le duo Bourvil-de Funès bien entendu, mais aussi pour les répliques devenues cultes: “Ah, elle va marcher beaucoup moins bien, forcément !”.
TV5 Monde USA diffusera ce classique du comique français le 10 janvier à 8:30pm (EDT). Le pitch: Antoine Maréchal (Bourvil), commerçant à Paris, s’apprête à partir en vacances en Italie, lorsque sa 2 CV est réduite en miettes par la voiture du coléreux Saroyan (de Funès), directeur d’une maison d’import-export. Après s’être emporté, Saroyan offre à Maréchal de le dédommager en lui offrant l’aller-retour à Naples. Maréchal accepte bien volontiers, mais Saroyan cherche en réalité à rapatrier en France une voiture bourrée de drogue et de diamants.
En 2017, je développe mon patrimoine immobilier
(Article partenaire) Parmi les résolutions les plus fréquentes, on trouve se mettre au sport, avoir une vie plus saine, arrêter de fumer… Mais disposer d’une meilleure qualité de vie, c’est aussi développer des revenus passifs grâce à l’immobilier locatif.
Prendre la décision de pouvoir vivre de ses rentes. Une décision qui peut changer votre vie future, si vous décidez de vous lancer. Découvrons comment développer un patrimoine immobilier en toute sécurité, depuis votre lieu d’expatriation.
Les bonnes raisons de se lancer en 2017
Il existe plusieurs très bonnes raisons de se lancer dans l’investissement immobilier en 2017. Nous allons les découvrir… Mais il faut surtout se lancer dès que possible : une fois le projet en place, l’immobilier travaillera pour vous chaque mois, sans effort.
Chaque mois, les loyers perçus permettront de rembourser l’emprunt contracté pour acheter le bien. Chaque mois, votre patrimoine se développera et vous engrangerez vos revenus passifs. Plus vous attendez, et plus vous passez à côté de revenus potentiels.
L’année 2017 semble propice pour investir puisque de nombreux facteurs macro-économiques sont réunis :
- Les taux sont encore historiquement bas, autour de 1,50% sur 20 ans,
- Le marché immobilier est dynamique et la hausse des prix est restée contenue,
- Les rentabilités offertes sur le marché parisien restent très intéressantes.
L’immobilier est surtout le seul support avec effet de levier, qui vous permet de faire travailler l’argent des autres (l’argent de la banque), c’est ce que l’on appelle l’effet de levier.
Comment investir en France depuis l’étranger ?
Les expatriés peuvent parfois rencontrer des difficultés pour investir en France. La première difficulté est le financement qui peut devenir un parcours du combattant si vous ne disposez pas du bon interlocuteur. Ensuite la gestion d’un investissement à distance est très compliquée… surtout lorsqu’on cherche une bonne affaire.
C’est en partant de ce constat que Mickael Zonta a développé la société Investissement-Locatif.com en 2011. Spécialiste de l’investissement locatif dans l’ancien à Paris, en Île de France et à Lyon, la société accompagne chaque année des dizaines d’expatriés dans leurs projets.
« Notre équipe est constituée de chasseurs immobiliers, d’architectes d’intérieurs, de spécialistes de la location et gestion locative » explique Mickael Zonta, le président. « L’objectif est d’apporter un service clé en main pour que les expatriés n’aient à aucun moment le besoin de se déplacer. Nous gérons chaque étape de l’opération pour leur compte, et ils obtiennent des rendements locatifs nettement supérieurs à la moyenne du marché ».
Des projets rentables et autofinancés
Prenons l’exemple d’un investissement locatif à Paris, un studio à 150.000 €, avec un loyer moyen à 800 € / mois, vous auriez obtenu un revenu locatif de 9.600 € ! Avec un apport de 25.000€, la mensualité de crédit sera de 618€/mois sur 20 ans. Puisque vous encaissez 800€/mois de loyer, vous disposez chaque mois d’un cash-flow positif même après paiement des charges et de la taxe foncière.
La rentabilité est alors de 6,00%, ce qui est très intéressant pour Paris, surtout que vous bénéficiez de l’effet de levier bancaire…
Ainsi si vous n’apportez que 25% en apport personnel et que vous empruntez les 75% restants, le rendement financier de l’opération explose et s’approche de 25%. Pas mal quand on sait que le placement de votre apport sur un livret A par exemple vous aurait rapporté 0.75% seulement.
L’investissement immobilier est également un moyen de créer des revenus dits « passifs », c’est-à-dire qui ne sont pas liés à votre travail. Cela peut vous permettre de compléter votre retraite, et de disposer d’un patrimoine à revendre pour financer d’autres projets futurs…
En région parisienne, selon les projets, les rentabilités peuvent monter jusqu’à plus de 10% de rendement brut.
Est-ce que vous profiterez de 2017 pour vous lancer ?
A propos
Grâce à une excellente connaissance du marché, ainsi que son sérieux reconnu, Mickael ZONTA a fait de sa société de conseil une référence dans le domaine de l’investissement locatif.
Il intervient régulièrement dans des séminaires sur l’investissement immobilier et sa société dispose d’excellents avis d’investisseurs expatriés.
Contactez l’équipe d’Investissement-Locatif.com pour faire le point gratuitement sur votre projet.
Par téléphone : +33 (0)1 84 17 67 60
Par skype : Investissement-locatif.com
Par mail : [email protected]
www.investissement-locatif.com
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Wax Tailor de passage à Pontiac
Wax Tailor est souvent considéré comme le chef de file de la scène trip-hop et hip-hop cinématique. Il a réussi à s’imposer sur la scène musicale internationale avec quatre albums et quelque 600 concerts donnés dans près de 50 pays. Il a également collaboré avec de nombreux artistes, comme Sharon Jones, Ursula Rucker ou encore Keziah Jones.
Où trouver la galette des rois à Miami ?
Après les fêtes de Noël, place à l’Épiphanie le 6 janvier et à sa traditionnelle galette des rois. Connu sous le nom de king cake aux États-Unis, ce dessert trône durant tout le mois de janvier dans les vitrines de nombreuses enseignes de Miami et sa région. Voici une sélection non exhaustive d’adresses, à compléter en commentaire si votre pâtisserie préférée manque à l’appel.
Les gourmands pourront déguster la recette fait maison concoctée par les frères jumeaux Didier et Pascal Vedel à Café Croissant sur Coral Way. Leur galette de taille unique est composée de deux pâtes feuilletées croustillantes fourrées à la frangipane, un mélange savoureux de crème aux amandes et de crème pâtissière. Les galettes viennent accompagnées d’une couronne et d’une fève. Comptez 30 dollars pour cette création qui comblera huit personnes. Et pour un plaisir solitaire, la part de galette se vend 4 dollars. Café Croissant – 1684 Coral Way, Miami – (786) 717-7212
Amour de Miami à Brickell devrait ravir les papilles des Sudistes ou des amateurs de découvertes culinaires avec sa couronne provençale. Cette galette briochée, dégustée en Provence et dans le reste du Sud de la France pour l’Épiphanie, est recouverte de sucre et de fruits confits. Prévoyez 20 dollars les huit parts. L’enseigne propose également la version frangipane à 25 dollars les huit parts. Le tout, avec couronne et fève. Amour de Miami – 921 Brickell Ave, Miami – (305) 377-8811
La boulangerie pâtisserie La Provence met également en vitrine des brioches des rois du Sud aux fruits confits à partager entre huit et dix personnes pour 24 dollars. La traditionnelle galette à la frangipane trône à ses côtés au tarif de 28 dollars pour une création nourrissant de huit à dix personnes. La Provence – Six établissements à Miami
Contrairement à certaines enseignes qui évitent de glisser la fève dans les galettes par crainte de voir leurs clients s’étouffer pendant la dégustation, Paul fait les choses dans la pure tradition : chaque galette à la frangipane contient une fève à collectionner à l’effigie des boulangers du monde et vient accompagnée d’une couronne. Comptez 27,95 dollars pour la galette nourrissant de six à huit personnes. La part individuelle est facturée 5,95 dollars. Paul – 450 Lincoln Road, Miami Beach, (305) 531-1200
Pour faire fondre vos papilles à l’occasion de l’Épiphanie, la boulangerie française Astrid & Stephanie réalise des galettes de toutes tailles. La recette traditionnelle à la frangipane est privilégiée, mais l’établissement propose également des variantes au chocolat ou à la confiture de fraise, selon vos envies. Pensez à passer commande au moins une semaine à l’avance. Prévoyez 5,40 dollars la part à multiplier selon le nombre de convives. Astrid & Stephanie – 6772 Collins Ave, Miami Beach – (305) 397-8680
L’établissement Buena Vista Deli situé à Little Haiti est également une adresse gourmande incontournable pour trouver une vraie galette à la frangipane avec couronne et fève en porcelaine. Plusieurs tailles de galettes sont disponibles allant de quatre à douze personnes, pour des prix variant de 20 à 48 dollars. Buena Vista Deli – 4590 NE 2nd Ave, Miami – (305) 576-3945
A Fort Lauderdale, Nanou French Bakery vend des galettes à la frangipane sans couronne mais avec une fève que Fabrice Lorient, le boulanger, préfère donner séparément au lieu de la cacher dans le gâteau pour éviter tout procès si un client venait à se briser une dent. Comptez 35 dollars pour un dessert pour huit personnes. Il est également possible d’acheter des parts individuelles pour 5 dollars. Nanou French Bakery – 2915 E Las Olas Blvd, Fort Lauderdale – (754) 703-9144
Enfin, la star du mois de janvier s’expose aussi dans les vitrines de la boulangerie pâtisserie EuroBread & Café, également située à Fort Lauderdale. Seule la recette à la frangipane est réalisée mais quatre tailles de galette sont disponibles. Prévoyez de 21 à 48 dollars selon la taille du dessert qui peut servir de six jusqu’à seize personnes. La part individuelle est quant à elle affichée à 3,75 dollars. EuroBread & Café – 1000 Seminole Dr, Fort Lauderdale – (954) 568-3876
Shen Yun entre en scène à Miami
Un peu de magie à Miami. Du vendredi 6 au dimanche 8 janvier, la compagnie Shen Yun, connue pour ses spectacles époustouflants autour de traditions chinoises, se produira au Adrienne Arsht Center for the Performing Arts.
Dix années après sa première tournée en 2007, Shen Yun Performing Arts est désormais la compagnie chinoise de musique et de danse la plus importante dans le monde. La compagnie a été fondée en 2006, lorsqu’un groupe d’artistes chinois se rassembla à New York avec l’objectif de faire revivre la culture traditionnelle chinoise et la partager dans le monde entier.
En janvier prochain, ce spectacle vous entraînera à l’époque lointaine où l’Empire du Milieu et sa culture étaient considérés comme un don du ciel, avec des habitants vivant en accord parfait avec l’univers. Le spectacle mélange légendes anciennes et innovations technologiques, sur un fond orchestral grandiose. Notez que les enfants de moins de quatre ans ne sont pas admis.
Pourquoi le "doggie bag" s'appelle-t-il ainsi ?
Aux Etats-Unis, où les portions sont parfois gargantuesques, les restaurants proposent quasi systématiquement d’emballer les restes de nourriture dans un paquet que le client ramène à la maison : le doggie bag (ou doggy bag). Pourquoi ce nom qui évoque le meilleur ami de l’Homme ? C’est la question bête de la semaine.
Emballer les restes d’un repas trop généreux n’a rien de novateur : dès le VIème siècle avant J.C., les Romains auraient eu pour habitude d’envelopper les restes de leurs festins dans des mouchoirs pour s’en délecter plus tard.
Le doggie bag moderne, quant à lui, a fait son apparition aux Etats-Unis dans les années 40. Pour éviter les pénuries de nourriture pendant la Seconde Guerre Mondiale, le gouvernement américain a mis en place une série de mesures pour encourager les citoyens à ne pas faire de gâchis. On les incitait notamment à ne pas jeter les restes de leurs repas, mais plutôt à les donner à leur chien.
Certains cafés et restaurants se sont alors mis au pas et ont commencé à proposer d’emballer les restes pour permettre aux clients de les ramener à leurs fidèles compagnons. Il devint vite évident, cependant, que certains d’entre eux les emportaient non pas pour leur chien, mais pour leur consommation personnelle. Cette pratique était assez mal vue, autant pour des questions d’hygiène que d’étiquette.
D’après Jane Stern, co-auteure du Lexicon of real american food, c’est Dan Stampler, le propriétaire d’un Steak Joint sur Greenwich Avenue à New York, qui est derrière l’invention du doggie bag tel qu’on le connaît aujourd’hui : « En 1946, pour ne pas mettre dans l’embarras ses clients soucieux de leur budget, Dan Stampler eut l’idée de leur proposer de ramener l’os (et ce qui n’avait pas été mangé autour) à la maison, “pour le chien”. M. Stampler conçut un sac à l’effigie de son terrier écossais et l’appela le doggie bag ».
En faisant apparaître de manière évidente que les restes étaient destinés au chien, même si ce n’était pas toujours le cas, Dan Stampler a décomplexé et démocratisé la pratique du doggie bag.
Dans les années qui ont suivi, la Bagcraft Corporation of Chicago a confectionné plus de 150 millions de sacs résistants à la graisse. « Aujourd’hui encore, le terme « doggie bag » est fréquemment utilisé pour décrire les restes qui finissent dans les paquets à ramener à la maison, explique Jane Stern. On ne prend plus vraiment la peine de prétendre que le Chateaubriand finira dans la gamelle du chien ; d’ailleurs, les restaurants gastronomiques préparent les restes dans des emballages aluminium en forme de cygne et les placent dans des sacs aussi élégants que ceux utilisés par les boutiques chics ».
Vanessa Richard
Où trouver la galette des rois à Los Angeles ?
La bûche à peine engloutie, il est temps de déguster la traditionnelle galette des rois. Cette année, le 6 janvier tombe un vendredi, mais on passera à table le dimanche. Voici une liste non-exhaustive des pâtisseries de Los Angeles qui ne dérogent pas à la tradition.
7.Normandie Bakery
Chez Normandie Bakery, le chef Josette se targue de faire une galette frangipane dont le goût vous rappellera la France. Il vous en coûtera 26,50$ pour 6 à 8 personnes. Si vous n’êtes pas amateur d’amande, vous pourrez succomber à la Rosca de Reyes, la couronne mexicaine servie à l’occasion de l’Épiphanie, proposée en petit format à 15,95$ et grand à 26,95$. Dans sa pâtisserie Normandie Bakery située à l’Original Farmers Market, la vente débutera le mardi 27 décembre. Mais avant de les savourer, il faudra passer commande au moins un jour avant.
Normandie Bakery, 3022 South Cochran Avenue, Los Angeles.
6.Pitchoun Bakery
Dans les vitrines de Pitchoun, il y a toujours une influence méditerranéenne. En plus de la traditionnelle frangipane (28$ pour 6 à 8 personnes), Fabienne et Frédéric Souliès concoctent une couronne typique de la French Riviera (26$), soit une brioche à la fleur d’oranger, saupoudrée de fruits confits et de gros sucre. A l’intérieur, les chanceux trouveront une fève importée de France. En vente du lundi 2 janvier au jeudi 2 février.
Pitchoun Bakery, 545 South Olive Street, Downtown Los Angeles.
5.Maison Richard
Contrairement à certaines boulangeries-pâtisseries qui évitent de glisser la fève dans leurs galettes de peur de voir leurs clients s’étouffer, la Maison Richard fait les choses dans les règles de l’art : la galette contient une fève et est accompagnée de couronnes. Vous pourrez découvrir leur galette frangipane, confectionnée de pâte feuilletée et d’une savoureuse crème à l’amande. Il faudra débourser 28$ pour le grand format (6 à 8 personnes), et 35$ pour la version extra large, idéale pour les assemblées de 10 à 12 personnes. A commander au moins deux jours à l’avance.
Maison Richard, 707 North Stanley Avenue, Los Angeles.
4.Laurent’s “Le” Coffee Shop
Sa galette des rois a déjà séduit les Angelinos. Alors, le chef Laurent Trinqueneaux a décidé de rivaliser de créativité, en proposant une frangipane à la poire. Ses galettes sont concoctées à partir d’ingrédients naturels, tels du beurre européen et de la farine d’amandes bio. Le petit plus de Laurent’s “Le” Coffee : un ange est sculpté sur le feuilleté, au lieu des perpétuelles spirales. Outre la réservation 48 heures à l’avance, les galettes seront disponibles sur plusieurs marchés de la ville (Santa Monica, Torrance, Brentwood, Pacific Palisades, Mar Vista, Playa Vista et Temecula), mais aussi dans leur boutique de Temecula dès maintenant. Vous aurez alors le choix entre une fève en porcelaine ou en plastique.
Laurent’s “Le” Coffee Shop, 51955 4th street, Temecula.
3.Sweet Temptations

Sweet Temptations, 3514 West Jefferson Boulevard, Los Angeles.
2.Delice
Les allergiques au lactose ne seront pas en reste puisque la pâtisserie française Délice propose une galette à la frangipane sans produit laitier dans le respect de la tradition religieuse juive. Elle sera également privée de fèves. Le pâtissier, Julien Bohbot, vous recommande de les commander au moins 24h à l’avance. Comptez 29$ pour 6 à 8 gourmands, et 39$ pour 10 personnes.
Delice, 8583 W Pico Boulevard, Los Angeles.
1.La Chouquette
Bien qu’ils soient spécialistes de la pâte à choux, Dan et Elodie Darmon savent aussi manier la pâte feuilletée. A La Chouquette, , la pâtisserie ouverte depuis deux mois, ils vont préparer une galette riche en beurre AOC d’Isigny. Dans le respect des moeurs américaines, vous ne trouverez pas de fève en porcelaine à l’intérieur, mais vous pourrez la cacher où bon vous semble. Il faudra débourser 25$ pour un gâteau pour 6 personnes. A commander à partir du mardi 27 décembre.
La Chouquette, 7350C Melrose Avenue, Los Angeles.
Vous pourrez aussi en trouver dans les nombreuses boulangeries du Pain Quotidien, chez Frogs Organic Bakery (14809 Crenshaw Blvd, Gardena), Chaumont Bakery (143 South Beverly Drive, Beverly Hills), et Ladurée (189 The Grove Dr).
L'app qui vous évitera de passer la Saint-Valentin tout(e) seul(e)
(Article partenaire) Il aime la musique de chambre, vous êtes plutôt rock. Elle aime le surf et vous ne savez pas nager. Il est beau comme un dieu, mais il parle de sa maman tous les trois mots… On est bien d’accord, les rencards via une app de rencontre, c’est parfois plus près du film d’horreur que de la comédie romantique.
Alors on a une solution à vous proposer : une appli (c’est quand même très pratique), mais qui se concentre sur la qualité des utilisateurs et pas sur la quantité.
The Inner Circle fait le pari de la sélection. Mais attention, sélection ne veut pas dire élitisme : tous les profils sont acceptés. En revanche les petites mains de l’appli passent au crible les demandes d’adhésion et font le tri pour vous afin d’éviter des profils hasardeux, voire flippants. Pas de panique, ça ne veut pas dire qu’en tant que médecin on vous proposera seulement de rencontrer des personnes ayant le même métier, mais on va vraiment pousser loin la découverte de votre personnalité pour avoir des renseignements sur vos goûts, vos centres d’intérêts et les détails rédhibitoires.
Un des avantages de The Inner Circle, c’est que l’appli utilise les atouts des autres applications de dating. Par exemple vous retrouverez le « swipe » de Tinder ou la géolocalisation de Happn. Pour entrer en contact avec la personne qui vous semble la bonne, pas besoin d’attendre un match, vous pouvez la contacter directement.
Enfin, The Inner Circle propose des afterwork, des soirées et des événements exclusifs dans des endroits parmi les plus prisés de New York.
Alors, si vous en avez assez d’être seul(e), vous voulez rencontrer des personnes intéressantes sans avoir peur de tomber sur un(e) lourdingue, inscrivez-vous gratuitement ici et en avant l’aventure !
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Avec X-Brain, Grégory Renard rend la voiture intelligente et plus sûre
Enfant, Grégory Renard était fan d’Ulysse 31. Le robot nono, le vaisseau Odysseus et surtout son ordinateur de bord futuriste Shyrka, une interface intelligente qui contrôle tous les appareils du navire. « J’ai toujours trouvé ça fou et j’ai voulu le reproduire ».
Pari gagné : Shyrka existe aujourd’hui sous le nom de X-Brain, un ordinateur central qui équipe non pas les vaisseaux spatiaux mais les voitures, et c’est Grégory Renard qui l’a créé.
X-Brain est un assistant personnel intégré au véhicule et avec lequel le conducteur peut communiquer par la voix. « Envoie un SMS à ma femme, actualise ma page Facebook, lis-moi le dernier tweet de Donald Trump, traduis moi la page 2 du Monde en anglais ». X-Brain a aussi un GPS intégré qui lui permet d’identifier des habitudes. « Quand je monte dans la voiture le matin, il sait que je vais au travail et, sauf contrordre, il m’indique cette direction », explique le PDG de la start-up, installé depuis 5 ans à San Francisco.
Au-delà du confort et du gain de temps de cette plateforme intégrée, Grégory Renard pointe un autre avantage : la concentration au volant. Avec X-Brain, pas besoin de manipuler son portable. Or « aux Etats-Unis 25 % des accidents sont dus au téléphone. C’est au-dessus de l’alcool ! », rappelle le créateur du logiciel. Ce dernier n’est « ni plus ni moins qu’une discussion en voiture comme on peut en avoir avec un passager ».
X-Brain est également connecté au téléphone et donc à l’agenda : « Quand j’ai pris ma voiture, raconte Grégory Renard (ndlr : sa voiture est une Tesla à pilotage automatique), mon ordinateur de bord a noté que j’avais un rendez-vous téléphonique avec French Morning et, à l’heure prévue, il m’a proposé de vous appeler, sans que j’ai besoin de rechercher votre numéro ».
De nombreux constructeurs automobiles comme Renault/Nissan, Honda, Toyota travaillent avec la start-up. L’assistant de bord est commercialisé depuis quelques mois sur des véhicules neufs. A partir de 2017, X-Brain pourra aussi être implanté sur des voitures vierges de tout programme. Pour arriver à ce résultat, il a fallu de nombreuses années de développement. « On a commencé en 1997 à travailler sur les prémices de ce qu’est aujourd’hui la start-up, c’était plus un projet fun qui partait d’un gros délire de geek ».
Au début des années 2000, ils sont en effet très peu nombreux à faire le pari de l’Intelligence artificielle. Pour sa part, Grégory Renard lance plusieurs projets, dès les prémices d’internet: des starts-up pour créer des sites web puis des applications qu’il revend pour financer d’autres projets qui lui tiennent à cœur. Le premier produit de Grégory Renard voit le jour en 2011, et s’appelle Angie. C’est un assistant personnel pour téléphone portable, une petite voix à qui l’on peut demander la météo du lendemain, de retrouver un contact ou le resto indien le plus proche. Ça vous rappelle quelque chose ? Normal, Angie est l’équivalent du Siri d’Apple pour téléphone Android.
Dans le milieu de l’Intelligence artificielle, le produit est tout de suite repéré et permet à son inventeur de partir en Californie grâce à Euratechnologies, un programme d’échange entre Lille et l’Université de Stanford. C’est là, au cœur de la Silicon Valley, où « tout se passe dans le domaine de l’IA » que le quadra toujours enjoué par les nouvelles technologies trouve la meilleure application aux héritiers d’Angie: le secteur de l’automobile.
Pour le moment, pas de levée de fonds en vue pour Grégory Renard qui a toujours préféré les éviter. « On s’auto-finance pour être le plus longtemps seuls maîtres à bord et pour garder notre vision, justifie le PDG. Une levée de fonds prend aussi beaucoup de temps et d’énergie et on pouvait s’en passer jusqu’à présent ».
X-Brain emploie aujourd’hui une vingtaine de personnes, réparties sur trois sites : Paris, Lille et San Francisco. Une implantation aux Etats-Unis indispensable: « Ici on est au cœur du réacteur. C’est ici que ça se passe et que les clients nous cherchent » .