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Les finalistes des French American Business Awards 2016 dévoilés

Les six finalistes des 15eme  French American Business Awards de la Chambre de Commerce franco-américaine de Nouvelle-Angleterre (FACCNE) sont désormais connus. Les entreprises sélectionnées ont pour point commun d’avoir un impact positif à la fois sur la France et sur la Nouvelle-Angleterre. Ils seront départagés le mercredi 27 avril lors du gala annuel de la chambre à Cambridge.
Dans la catégorie « Start-ups », on retrouve MatchUpBox, cette entreprise basée à Boston et à Montpellier propose des solutions pour permettre aux consommateurs de protéger leurs données personnelles. Elle sera opposée à Memory Lane, une entreprise de Portland qui propose une thérapie en ligne et non pharmacologique pour dissiper les symptômes liés à Alzheimer.
Dans la catégorie « Small and Medium Companies », l’entreprise AMA basée à Rennes et Somerville utilise les Google Glass pour faciliter la communication dans le milieu médical et industriel. Face à elle, Hemarina de Morlaix et Boston travaille avec les biotechnologies pour développer des innovations dans l’industrie de la santé.
Dans la catégorie « Large Companies », IXBlue basé à Saint-Germain-en-Laye et à Natick travaille dans le domaine de la navigation, pour les bateaux civils et militaires. Sealed Air, originaire d’Ayer dans le Massachusetts est une entreprise spécialisée dans le packaging et qui s’est notamment fait connaître pour l’invention du papier bulle.
Les gagnants des trois catégories seront choisis pendant la gala du 30e anniversaire de la chambre de commerce franco-américaine. Chaque finaliste aura 90 secondes pour convaincre le public de voter pour son entreprise.
Parmi les anciens lauréats, on peut citer LooPay, maintenant acheté par Samsung ou encore Neolane qui fait désormais partie d’Adobe.
Outre cette remise de prix, le gala comprendra aussi une réception et un diner.

Gagnez des places pour le "Nabucco" de David Serero à New York

On l’avait quitté en Shylock, personnage principal du “Marchand de Venise”. On le retrouve en Nabucco, roi de Babylone.
Le baryton David Serero, artiste touche-à-tout aussi qui chante, fait rire, joue la comédie, fait son retour sur la scène du Center for Jewish History, salle “off Broadway” située à Chelsea, pour cinq dates en avril (6, 10, 12, 14, 17). Dix paires de tickets sont à gagner par tirage au sort pour assister au spectacle de clôture le 17 avril. Il suffit de remplir le formulaire ci-dessous et les heureux gagnants seront notifiés par e-mail.
Evoquant l’esclavage des juifs à Babylone, “Nabucco” est considéré comme l’opéra qui a assis la réputation de Verdi. Il comporte notamment le fameux (et superbe) “Va, pensiero…”.
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Le groupe de Beckham achète des terrains pour son futur stade à Miami

Le groupe d’investisseur monté par David Beckham pour lancer une équipe de MLS à Miami s’approche du but. Ils ont annoncé avoir acheté un terrain en vue de la construction d’un futur stade, condition sine qua non pour la naissance de l’équipe
«Nous avons le site idéal, les bonnes personnes pour lancer ce projet et les supporters fidèles qui comptent les jours avant notre premier match, a expliqué dans un communiqué Marcelo Claure, l’un des investisseurs et PDG de Sprint. Nous allons nos établir à Overtown, nous sommes impatients de pouvoir avancer sur ce projet et de construire le stade le plus responsable de l’histoire de Miami
C’est la première fois que le groupe acquiert des terrains pour mener à bien le projet. Cela fait plusieurs années que la star britannique du ballon rond veut lancer une équipe de football à Miami. L’ancien de Manchester United et du Real Madrid s’est entretenu avec le maire de la ville pour établir une liste de 30 sites potentiels pouvant accueillir un nouveau stade. Il voulait initialement le construire près de l’AmericanAirlines Arena, puis à PortMiami. En vain.
La parcelle de terre acquise par son groupe se trouve au nord de la Miami River, entre Northwest 8th Street et Northwest 6th Street. Elle doit accueillir à terme un stade d’une capacité de 25.000 places. En attendant les premiers buts, les investisseurs devront obtenir l’autorisation du comté, propriétaire de parcelles voisines, puis de la ville.
 

4 friperies haut-de-gamme pour s'habiller à Brooklyn

Finis les dépôts aux allures de vide-greniers, aujourd’hui les friperies s’installent dans de jolies boutiques et soignent leurs sélections. Voici quatre adresses vintage haut de gamme à Brooklyn.

4. Awoke Vintage

Avec une seconde boutique apparue il y a quelques mois dans Greenpoint, Awoke Vintage a décelé la recette du succès: pièces vintage éclatantes sélectionnées avec soin et jolie boutique au design épuré, on est loin ici des entrepôts peuplés de vieilleries et parfumés de poussière. Les portants réservés aux hommes se parent de chemises à carreaux de toutes les couleurs (45$). Le rayon féminin, lui, n’est pas moins coloré avec ses chemisiers légers à fleurs (45$), ses robes d’été jaunes (110$) et ses salopettes en cuir. Les sacs bourse au cuir brun et les bagues géométriques à prix cassé (8$) sont particulièrement séduisants. Ne manquez pas les chaussettes décorées du visage de La Joconde et les lunettes de soleil rétro (39$). Williamsburg: 132 N 5th St, Brooklyn – (718) 387-3130. Greenpoint: 688 Manhattan Ave, Brooklyn. (718) 349-5925

3. Malin Landaeus

Située à Williamsburg, Malin Landaeus est une petite boutique spécialisée dans le vêtement vintage de qualité. Sur ses tourniquets et étagères bien achalandés, vous pourrez trouver une robe des années 80 en jersey (359$), un pantalon évasé style 70’s, une veste de cowboy à franges ou encore une robe cintrée en cuir gris. Les classiques chemises en jeans et perfectos en cuir cotoient des pièces excentriques comme un pantalon en velours vert ou une jupe mi-longue safari pour un look tape-à-l’oeil à arborer sur Bedford Avenue. Pochettes vernies, chapeaux des années 20 et bottines lassées en cuir complètent le décor. Comme les artistes du quartier, vous pouvez aussi y louer une robe pour la soirée. 157 N 6th St, Brooklyn – (646) 361-0261

2. Grand Street Bakery

Ne cherchez pas les croissants, Grand Street Bakery n’a de boulangerie que le nom! Par contre, vous y trouverez sans aucun doute la veste en cuir rouge (695$) dont vous avez toujours rêvé ou la robe longue en velours noir (95$) qui manque à votre garde-robe. Pour vous proposer les plus belles pièces, Cyd et Neal, les propriétaires des lieux, voyagent à travers le pays. Sur les présentoirs en bois et les murs en briques de leur jolie boutique de Brooklyn, ils affichent leurs dernières trouvailles, du manteau marin masculin aux robes légères en soie (150$) en passant par les chemises personnalisées du rayon enfant, les magazines vintage et les produits d’après-rasage. La pièce du fond est entièrement tapissée de vêtements en jean (pantalons, vestes, chemises…). 602 Grand St, Brooklyn – (718) 387-2390

1. Amarcord Vintage Fashion

Si l’on en croit la dernière campagne berlinoise de Gucci et le grand retour sur les podiums des années 70, Amarcord Vintage Fashion est l’adresse vintage du moment. Coupes, imprimés, teintes, vous y dégoterez un total look 70’s riche en grosses fleurs, couleurs flashy, rayures et formes géométriques. Les styles plus sobres trouveront malgré tout leur bonheur du côté des robes en soie Céline ou Yves Saint Laurent (495$), des jolis trench-coats beiges (165$) et de la grande lignée de besaces en cuir marron. La boutique possède également des pièces luxueuses comme des souliers Prada (90$), des bottes Chanel (625$) et des bijoux Dior (bracelet 145$). Williamsburg: 223 Bedford Avenue – (718) 963-4001. Soho: 252 Lafayette Street – (212) 431-4161

Rencontre à White Plains avec le commandant de l'Hermione

Yann Cariou est de retour aux Etats-Unis, et cette fois, il n’est pas venu à bord de l’Hermione.
Le commandant de la réplique de la frégate de La Fayette, dont la tournée sur la côte est des Etats-Unis en 2015 avait été un moment fort dans l’histoire des relations franco-américaines, participera à une conférence le samedi 9 avril à l’Alliance française de Westchester (White Plains).
Pendant cet événement en français, le marin reviendra sur ce grand voyage américain à bord de la reproduction du navire que La Fayette a emprunté au XVIIIe siècle quand il est venu aider les Américains dans leur combat pour l’indépendance. Son intervention sera suivie d’une séance de questions-réponses et d’une réception. Espace limité. La priorité sera accordée aux membres de l’Alliance française.
 

Plongée dans la vie d'Irène Némirovsky à l'université A&M du Texas

La vie de l’écrivaine Irène Némirovsky sera au centre d’une table ronde le mardi 29 mars à l’université A&M du Texas.
Arrivée en France à l’âge de 16 ans, en 1919, cette juive d’origine ukrainienne rédige ses premiers écrits dès ses 18 ans. Diplômée en littérature à la Sorbonne, elle se fait rapidement connaitre dans le milieu littéraire parisien. Dès 1921, elle est publiée par de grands éditeurs tels que Gallimard ou Albin Michel.
Au printemps 1941, elle fuit Paris avec son mari à Issy-l’Evêque, un petit village en Bourgogne où elle avait déjà envoyé ses enfants deux ans plus tôt. Elle y écrit alors plusieurs manuscrits. Juive, elle doit porter l’étoile jaune et ses œuvres ne sont plus publiées. Seul le Corse, Horace de Carbuccia, bravant la censure, continuera à publier ses nouvelles jusqu’en 1942. La romancière est arrêtée en juillet 1942 et déportée à Auschwitz. Elle y meurt un mois plus tard, surement de la grippe ou du typhus. En 1998, Denise, l’une des filles, décrypte un des manuscrits et le publie sous le titre de Suite française, une suite de romans qui dépeint la vie française sous l’occupation. Le livre obtient le prix Renaudot, exceptionnellement à titre posthume, en 2004.
Pendant cette table ronde, trois thèmes seront abordés par trois personnes différentes. Susan Rubin Suleiman, professeure de civilisation française à Harvard, parlera des personnages juifs dans les œuvres de Némirovsky. Olivier Philipponnat, auteur d’une biographie sur la romancière, parlera de la relation entre Némirovsky et le catholicisme. Enfin, Nathan Bracher, professeur de français à l’Université A&M du Texas, se penchera sur l’histoire de la romancière.
 

Sur les traces de Camus du 26 mars au 19 avril à New York

Le festival « Camus : a stranger in the city » rendra hommage à l’œuvre du célèbre penseur du samedi 26 mars au mardi 19 avril à New York.
Cette année marque le 70eme anniversaire du seul et unique voyage d’Albert Camus aux États-Unis. De mars à mai 1946, cet intellectuel français a donné des conférences dans les universités américaines au sujet de la résistance française pendant l’occupation nazie. Il a également observé de manière critique la société américaine.
L’auteur était à peine connu quand il est arrivé sur le continent américain, mais son livre L’étranger est publié en anglais pour la première fois pendant sa visite. The New Yorker l’interview et The Herald Tribune le proclament « l’écrivain français le plus audacieux de son temps ».
Cinquante-six ans après sa mort, Albert Camus est encore une figure intellectuelle incontournable. Ses réflexions sur la révolte, sur la vie, la liberté et la justice sont encore aujourd’hui utilisées dans les débats. C’est pour cette raison que The Albert Camus Estate a décidé d’organiser un festival. Du samedi 26 mars au mardi 19 avril, les amateurs de l’auteur pourront assister à différentes conférences, concerts, projections, tables-rondes et récitals de poésie. Le 28 mars, l’acteur Viggo Mortensen viendra, par exemple, faire une lecture du discours “The Human Crisis” à l’Université Columbia, prononcé exactement au même endroit par Camus en 1946.

Rassemblement pour Bruxelles à Houston

Une commémoration en hommage aux victimes des attentats du Bruxelles aura lieu le vendredi 25 mars à la Rothko Chapel, à l’invitation du consul de Belgique à Houston Jacques Bouchez.
Le recueillement durera de 5pm à 5:30pm. Une minute de silence sera respectée. Un registre de condoléance sera disponible à la chapelle entre midi et 5pm. Il est possible d’envoyer votre message par e-mail. Après la cérémonie, les participants sont invités au Café Brussels pour se restaurer (RSVP obligatoire).

Marie Perruchet, madame pitch parfait

Comment raconter une histoire de telle sorte que son auditoire l’écoute, la retienne, et soit intéressé ? Pas facile, surtout pour des Français peu habitués à l’exercice.
Apprendre à mieux pitcher, telle est donc l’objet du livre de Marie Perruchet, une Francaise installée à San Francisco depuis 2008.
Son ouvrage “One Perfect Pitch”, écrit en en anglais et paru ce mois-ci chez McGraw-Hill, promet de donner des tuyaux pour réussir à mieux vendre “son idée, son produit, son business… ou soi-même”.  
“Savoir pitcher, on en a tout le temps besoin pour convaincre. Ici, on pitche partout. On pitche son patron, son client, un potentiel investisseur, un directeur d’école, un agent immobilier… Life is a pitch”, résume Marie Perruchet, qui a grandi en Normandie, et qui a travaillé comme correspondante en Inde et en Chine, notamment pour Radio France et la BBC.
Le story-telling, elle sait faire. “En tant que journaliste à la radio, j’ai appris à raconter des histoires, accrocher les esprits en une minute”, justifie Marie Perruchet, aujourd’hui consultante pour son cabinet One Perfect Pitch. Elle aide notamment des entrepreneurs à s’entrainer pour le pitch.
“La grosse erreur que font souvent les Français  c’est de mettre 15 minutes avant d’arriver à l’essentiel. Le message principal, c’est celui-ci : simplifier, être précis, donner des éléments clés et frappants, pour que son message puisse être répété à d’autres par son auditeur”, résume Marie Perruchet, qui est aussi mentor pour l’accélérateur 500 Start-up.
Autres conseils importants : adapter son message à son audience, trouver une bonne accroche avec une anecdote qui va retenir l’attention, mettre en évidence un problème et la solution apportée, être dans l’émotion et l’empathie plus que dans les détails techniques.
En outre, mieux vaut éviter les “buzz words”, utiliser un langage simple, et adopter une attitude humble… tout en expliquant en quoi vous êtes la personne la mieux positionnée pour résoudre le problème annoncé. Enfin,  le pitch n’est pas non plus un résumé fermé : c’est plutôt un prétexte à une plus longue conversation.
Bref, c’est un équilibre à trouver, et tout cela ne vient pas en un jour : le pitch se répète, se rôde, se teste. Dans ce domaine, c’en forgeant que l’on devient forgeron.

Deux fêtes françaises à San Francisco et Palo Alto

En avril, on fait la fête au son du cocorico dans la région de San Francisco.
Samedi 2 avril, une soirée spéciale parents est organisée dans l’école Au P’tit Monde De La Péninsule, à Palo Alto. Cette soirée “fundraising” est montée pour soutenir des programmes bilingues. Au programme : open-bar, vins et fromages, enchères, et DJ. Des baby-sitters seront de service pour divertir vos enfants.
Vendredi 15 avril, changement d’ambiance. A San Francisco, le Joe Goode Performance Group réalisera une performance artistique (danse, théâtre) lors d’une soirée baptisée “French Fête”. Il y aura des crêpes et des galettes de Bretagne, un photo booth, et de la musique live. Et pour terminer, une vente aux enchères avec divers lots, dont un voyage en France.

The Village School lance son programme bilingue à Houston

L’école privée de Village School, située dans Energy Corridor, va proposer un programme bilingue français-anglais à partir de la rentrée scolaire de 2016.
L’aménagement des locaux est en phase finale pour accueillir deux classes par niveau, entre le preK 3 et le 4th grade, avec la perspective d’ouvrir les niveaux supérieurs année après année. Il y aura environ 18 élèves par classe. L’école, ouverte en 1966 et qui compte 1.500 élèves, accueillera également un camp d’été francophone opéré par EFGH (les inscriptions sont ouvertes). “Nous offrons un enseignement bilingue, non pas par matière, mais par jour entier. Trois jours en français et deux jours en anglais par semaine, en alternance. En milieu d’année, nous changeons : deux jours en français et trois en anglais par semaine. La cantine et la bibliothèque participeront à leur façon à cette immersion totale, avec des menus et des lectures en français ou en anglais, selon le jour donné” , explique Gabriella Rowe, la directrice de l’établissement arrivée en 2014 de New York.
The Village School développe également des cours pour les parents, afin de poursuivre l’immersion par des canaux inhabituels, notamment avec trois sessions par semaine basées sur les formations du CNED. “Le modèle qui a prévalu jusqu’à lors de l’élève-type américain et des instances éducatives non intéressées par l’apprentissage d’une langue autre que l’anglais, autant par confort que par paresse, n’est plus d’actualité. Notre pays ne peut plus raisonner en terme de langue anglaise comme la langue universelle. C’est se fermer à des opportunités extraordinaires, non seulement professionnelles, mais également culturelles, à des découvertes, à des approfondissements d’études ou encore à une richesse humaine, sociale, intellectuelle, et éducative unique.
Cette ouverture intervient alors que la Mark White Elementary School a annoncé la création d’un premier programme bilingue français-anglais dans le public à Houston. The Village School a la particularité d’accueillir ses élèves tout au long de l’année, ce qui est rarement le cas dans le système, “car une expatriation ne se choisit pas toujours“, selon Gabriella Rowe, “et nous voulions être souples sur les modalités d’intégration des élèves en cours d’année.
“Je crois fermement que c’est un enrichissement personnel et communautaire qui se joue dans ce type d’enseignement bilingue. Pour tous, le corps enseignant, les parents, la communauté, les élèves bien sûr, poursuit la directrice. Les Etats-Unis sont le seul pays au monde à ne pas avoir d’obligation éducative à enseigner une autre langue vivante. Ce schéma un peu isolationniste est dépassé, la politique de l’enseignement des langues vivantes change parce que le monde change, et c’est une bonne chose. 

Vacances de Pâques à New York: 10 idées pour sortir vos visiteurs de France

Ils sont bien là, les touristes français et leurs sacs à dos Quechua : les vacances de Pâques, qui s’étalent sur trois semaines, commencent le samedi 26 mars. Si vous avez de la visite, comme beaucoup de Français de New York à cette époque, on vous donne dix idées de sortie nouvelles ou peu connues, et compatibles avec la fraicheur du printemps.
1- Découvrir le Met Breuer
MET
L’annexe du Metropolitan dédié à l’art contemporain, baptisé Met Breuer (en hommage à l’architecte du bâtiment), a ouvert ses portes le 18 mars dans les anciens murs du Whitney. On y était et on vous l’a raconté ici.
2- Visiter un hôpital abandonné
Ellis
L’artiste français JR a trouvé un lieu fascinant pour installer ses oeuvres d’art : des bâtiments abandonnés d’Ellis Island. L’endroit est encore habité par la présence des milliers d’immigrants passés entre ces murs. Des visites guidées sont organisées. Réservation indispensable.
3- Voir l’expo Degas au Moma
Edgar Degas Dancer Onstage with a Bouquet c. 1876 Pastel over monotype on laid paper 10 5/8 x 14 7/8 in. (27 x 37.8 cm)
A partir du 26 mars, le Moma présente une exposition sur Degas, qui entend aller au-delà de ses célèbres tableaux de danseuses. On pourra ainsi y voir des gravures, des dessins, des croquis ou des pastels de Degas, qui captent “l’essence de la vie urbaine” et le Paris de la fin du XIXème siècle.
4- Faire un tour au Rubin Museum
RUBIN MUSEUM Spiral Staircase_Photograph by Peter Aaron.Esto
Le Rubin Museum est un beau musée privé sur plusieurs étages dédié à l’art asiatique. A voir en ce moment :  une exposition de photos colorées et frappantes sur l’Inde, réalisées par le célèbre photographe Steve McCurry (jusqu’au 4 avril). Une exposition sur l’art de l’Himalaya, et une autre sur les lieux sacrées, avec diverses installations et vidéos, dont une étonnante cérémonie jaïn qui a lieu une fois tous les douze ans. A la sortie, un joli café calme et tout en bois.
5- Passer une journée à Storm King
Storm King
Profitez du mercure à la hausse pour visiter et pique-niquer à Storm King, un musée en plein air particulièrement photogénique. Ce vaste jardin est jalonné de sculptures réalisées par des maitres de l’art contemporain ou du land art, comme Richard Serra, Sol Lewitt, Alexander Calder. Storm King ouvre pour la saison le 6 avril, et le parc est accessible par voiture ou en bus (ligne directe depuis Port Authority).
6- Partir à la pêche 
Fishing New yOrk
Une sortie pêche d’une demi-journée Brooklyn ? C’est possible. A bord du Sea Queen 7, vous allez pouvoir titiller les limandes et les bébés requins (oui oui) , tout en prenant l’air, admirant la vue, et en descendant les bières qui s’entassent dans la glacière. Les plus petits poissons doivent être relâchés, mais vous pourrez garder les gros et les faire cuire le soir en rentrant chez vous. La saison reprend le 1er avril.
7- Faire une visite guidée en français
Elise Goujon
On vous a recensé les meilleures visites guidées insolites de New York en français, pour voir Harlem, Red Hook ou Chinatown sous un autre jour. Mention spéciale pour la visite “hipsters de Brooklyn” proposée par New York Off Road.
8- Essayer un nouveau rooftop

Penthouse808 at Ravel Hotel
Penthouse808 at Ravel Hotel

Il fait encore un peu frisquet pour passer la soirée dehors, mais certainement pas pour admirer la vue depuis un rooftop. Prenez donc du temps pour explorer les meilleurs terrasses couvertes et en hauteur de New York : on vous a concocté une petite liste ici.
9- Aller à Little Italy dans le Bronx et au jardin botanique
Botanique Bronx
Accessible en train et en métro, le jardin botanique du Bronx est une bulle zen en plein milieu de la ville, avec de magnifiques serres et jardins. Il faut ensuite marcher un quart d’heure pour rejoindre le Little Italy du Bronx (le “vrai” Little Italy). On y vient pour avaler un plat de pâtes et une pizza sur Arthur Avenue, ou des cannolis de chez Artuso, l’une des meilleures pâtisseries de la ville. Notre guide de Little Italy ici. 
10- Faire un tour au Tennement Museum
Tennement Museum
Le Tennement Museum est un immeuble fascinant du Lower East Side. Abandonné pendant près de soixante ans, il est devenu un musée consacré à la vie des immigrés new-yorkais au début du XXème siècle. Les propriétaires l’ont laissé dans son jus, avec les papiers peints, peintures et meubles de l’époque. Ils ont surtout enquêté sur ses anciens habitants, arrivés d’Irlande, de Pologne ou d’ailleurs, et mettent en scène leurs vies dans des visites guidées (en anglais). Des petites histoires qui racontent la grande histoire de New York.