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Julia Kantor, la madame "chanson française" de Los Angeles

J’ai du être chanteuse dans une autre vie.” D’origine Russe, Julia Kantor chante Aznavour, Cabrel, Piaf ou encore Zaz qu’elle adore. Depuis trois ans, elle ré-interprète avec style les répertoires français et russe avec son groupe Paris Chansons.
La culture française a toujours fasciné cette psychothérapeute, aujourd’hui mère de deux enfants. Après avoir appris la langue à l’école, elle a vécu durant un an à Rennes et Toulouse. « Je suis tombée amoureuse de la musique française. Avec elle, je sens les mélodies dans mon âme », déclare-t-elle, la flamme faisant toujours briller ses yeux-amandes.
Tout s’est accéléré lorsque Julia Kantor a rencontré son mari, Jacob, guitariste. “Dès notre premier rendez-vous, nous avons chanté ensemble. Il y a trois ans, j’ai décidé d’organiser une soirée en l’honneur de la musique française.” Cent-cinquante personnes ont fait le déplacement. S’entourant de musiciens chevronnés, le couple renouvelle alors l’expérience plusieurs fois, rassemblant en moyenne plus de 200 personnes.
Un melting-pot artistique
Ils décident alors de monter un groupe. Eclectique, Paris Chansons rassemble huit artistes, venant de différents univers, dont le chanteur-parolier-guitariste russe Jacob Kantor, le chanteur marocain Max Cohen qui chante Enrico Macias comme personne, l’acteur-chanteur parisien Jean-Louis Darville qui joue Brel de manière dramatique, ainsi que les musiciens Jeff Lams au piano, Endre Balogh au violon, Adam Cohen à la contrebasse et Sinclair Lott à la batterie.
Paris chansons LA
« Ce n’est pas juste un concert mais un show à l’américaine », argue Julia Kantor, de sa voix suave. A la réalisation, la chanteuse est en recherche constante de nouveaux twists, pour créer la surprise. Dans « Autour du monde », une danseuse du ventre les a rejoint sur scène, alors que des spécialistes du tango ont enivré le public lors de « Tango in Paris », comme l’avait fait une danseuse de cabaret lors de la soirée « Moulin russe ». Imaginé par Julia Kantor, un spectacle différent est proposé tous les mois.
Le public transporté dans les rues de Paris
Dépaysant, leur concept unique plaît. « C’est une bonne alternative à une soirée jazz », avoue Jean-Louis Darville qui transporte le public à Paris avec son accent. Lors de chaque spectacle, le groupe ré-interprète des chansons populaires, en leur donnant un côté plus jazz, gipsy, en rajoutant du beatboxing ou encore de l’électro. « Nous présentons également des chansons originales composées par Jacob et Zera Vaughan, une parolière française installée à Los Angeles », précise Julia Kantor.
« Notre public est éclectique avec des Russes, des Libanais, des Ukrainiens, des Arméniens ou des Français, qui ont pour certains, grandi avec les chansons de Brel, Aznavour , Adamo, Piaf… La musique française est internationale, les spectateurs chantent à l’unisson avec nous. » En plus petit comité, ils animent également des événements privés.
Un premier titre original, “Bâmiyân”
Paris Chansons ne s’arrête pas là. Ils sont en train d’enregistrer un EP. Et le premier titre n’est autre qu’une chanson originale écrite en anglais par Jacob Kantor, et traduite par Zera Vaughan: “Bâmiyân“. “C’est le nom d’une ville d’Afghanistan, où d’énormes statues de Bouddha avaient été détruites en 2001. Cette chanson parle de ce qui ne pourra jamais être détruit, la foi et l’espoir“, précise Julia Kantor. Diffusée sur les réseaux sociaux, cette ode à la paix a déjà suscité l’émotion d’habitantes de Bâmiyân, comme du Human Right Film Festival (Afghanistan) qui l’a jouée lors de sa cérémonie d’ouverture, en décembre dernier.
Les autres titres parlent d’amour, le sujet de prédilection de la romantique Julia Kantor, avec une autre chanson originale composée par Jacob, et des ré-interprétations de chansons de Joe Dassin, Serge Gainsbourg et Enrico Macias. Paris Chansons continue de clamer son amour à la France.
Prochain show: le 23 février.

Ravel et Beethoven à l'honneur ce week-end à Los Angeles

Quand la musique retentit au coeur de l’université, cela crée un moment magistral.
Le dimanche 21 février, à 7 pm, le Los Angeles Chamber Orchestra donnera un concert intitulé “Ravel & Beethoven”, au Royce Hall, à UCLA. Ce même concert sera également donné le samedi 20 février au Alex Theater de Glendale, à 8pm.
Une nouvelle saison s’ouvre dans ce que l’orchestre appelle “sa maison du Westside”, et au sein de laquelle il fût en résidence pour la saison 2014-2015.
Dirigés par Mathhias Pintscher, les musiciens interpréteront “Pavane” de Gabriel Fauré, la deuxième symphonie de chambre de Schoenberg, “Ma mère l’oye” de Ravel et la huitième symphonie de Beethoven.
Ce sera l’occasion de (re)découvrir le répertoire du grand compositeur français, pianiste et chef d’orchestre, Maurice Ravel.

Luminaria remet ça en février à San Antonio

Luminaria s’invite au San Antonio Museum en février pour “Luminaria Take Two” . Ce grand festival d’art pluri-disciplinaire lancé en 2008 sur la modèle de la Nuit blanche parisienne revient les vendredi 19 et mercredi 24 pour des soirées rassemblant plusieurs artistes américains et internationaux.
Au programme: du jazz, de la soul, du tango, du cinéma et des installations multimédia notamment. Les deux soirées sont gratuites. En marge de la programmation, deux événements seront payants: un brunch avec plusieurs artistes programmés sur la création artistiques dans des sites non-traditionnels (le dimanche 21 février, 11am) et un atelier pour danseurs animé par le Français Brice Mousset (mardi 23 février de 8pm à 9:30pm).

Patrick Le Chinois sur scène : "je suis au max de l'originalité"

Un Français qui fait un one-man show en mandarin, avec au passage quelques vannes en anglais ou en français : c’est sûr, c’est pas banal. “Je suis au max de l’originalité”, confie Patrick Veisselier, aka Patrick Le Chinois.
Cet humoriste lyonnais un peu fou a un jour décidé, alors qu’il ne parlait pas un mot de cette langue, de faire un spectacle en chinois. Il est parti pendant six mois sur place, et a écrit un spectacle qui s’amuse des différences culturelles entre la France et la Chine.
“J’ai tourné ça sous forme d’histoire. L’idée, c’est un Français qui va en Chine, et qui a l’impression que les Chinois sont meilleurs en tout.” Il y aura des vannes très “humour chinois” (comprenne qui pourra), et d’autres blagues qui feront rire les Français, nous dit-il. Le spectacle, qui comprend des chansons, est sous-titré dans les trois langues.
Son public : les expatriés français qui aiment s’amuser des différences culturelles, les gens qui ont vécu en Chine, les Sinophiles, et toute la communauté chinoise. “Les Français vont apprendre des choses sur les références culturelles chinoises, d’autant qu’à chaque fois, je prends deux minutes pour expliquer pourquoi les choses se font comme ça en Chine.”
S’il n’est pas encore totalement à l’aise en mandarin, Patrick Veisselier commence à se débrouiller. “Au début, j’ai appris mon spectacle en phonétique. Je parlais et je voyais la correspondance de ce que je disais dans les sous-titres, d’ailleurs parfois les gens riaient mais je ne savais pas ce que je disais ! Mais maintenant, à force de le faire, je comprends tout”, raconte-t-il.
“Les spectateurs me disent que je parle très bien, que c’est exceptionnel. Mais je pense qu’ils disent ça pour me faire plaisir. Par contre, c’est vrai que j’ai un peu l’accent de Shanghai.”
Son spectacle, il l’a présenté en 2014 pendant plusieurs semaines à Paris, puis en Chine, où il l’a joué une trentaine de fois.“Je suis vraiment excité de venir aux Etats-Unis. Ce n’est pas la première fois, car j’ai déjà joué un autre spectacle en 2007 à Las Vegas. New York, ça tient du fantasme. D’ailleurs, j’aimerais bien que Gad Elmaleh vienne me voir, il était venu à la première de mon spectacle en 2014.”
Patrick Le Chinois se produira à New York et à Miami les 26 et 28 février. Il  poursuivra ensuite son périple au Brésil, en Nouvelle Zélande, en Suède, au Canada, en Angleterre. Et bien sûr, en Chine, où il a de nombreux fans.

Riez avec Franck Dubosc dans "Le Marquis" sur TV5 Monde

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Franck Dubosc, Jean-Hugues Anglade et Richard Berry vont vous faire rire ce jeudi 25 février sur TV5 Monde. Les trois comédiens sont à l’affiche du “Marquis”, un film de 2011 signé Dominique Farrugia.
Dans cette comédie, Thomas Gardesse, VRP en système d’alarme, est arrêté pour un fait mineur et envoyé en prison pour six mois.
Afin de gagner le respect des détenus il se fait passer pour Le Marquis, un génie du casse dont personne ne connaît le visage. Son mensonge se referme sur lui quand un braqueur le fait évader afin qu’il participe à un casse où il devra utiliser l’expertise qu’il n’a pas.
Diffusion à 8:30pm (EST).
 

 

Le peintre François Bard exposé à Miami

Les peintures du Français François Bard sont exposées jusqu’au jeudi 31 mars à la galerie Waltman Ortega Fine Art à Miami.
L’exposition “The Paths of Glory” reprend des œuvres récentes de l’artiste. François Bard est réputé pour son travail « épique » et « monumental » . Il interroge dans son travail le concept de l’engagement social à travers des images énigmatiques et provocatrices de personnes, connues ou inconnues, et de figures du consumérisme d’aujourd’hui.
Lillois d’origine, il a étudié à l’école nationale des Beaux-Arts de Paris et a été sélectionné pour une résidence de deux ans à la prestigieuse Casa Velázquez de Madrid. Il reçoit le prix Paul Belmondo au Salon d’Automne de Paris en 1990 et enseigne aux Ateliers des Beaux-Arts de Paris jusqu’en 2000.
 

Grammys : Cécile McLorin Salvant et Angélique Kidjo sacrées

Trois francophones ont été sacrés, lundi soir, aux Grammy Awards.
La chanteuse de jazz Cécile McLorin Salvant a gagné le prix de la catégorie « meilleur album de jazz vocal » pour « For One to Love ». Une belle revanche pour cette artiste franco-haïtienne qui avait loupé le prix en 2014 avec son album « Woman Child ».
La Béninoise Angélique Kidjo remporte quant à elle le prix du « meilleur album de musique du monde » pour « Sings ». Cette voix béninoise remporte ainsi le troisième Grammy de sa carrière. Elle remercie l’orchestre philharmonique du Luxembourg d’avoir eu le courage de penser que la musique africaine pouvait se mêler à la musique classique. C’est le deuxième prix consécutif pour la chanteuse après le Grammy remporté l’an dernier pour “Eve” , hommage en musique aux femmes africaines.


Le chef d’orchestre Ludovic Morlot, nominé dans trois catégories, a finalement remporté le prix du « meilleur solo instrumental de musique classique ». Une récompense accordée grâce à son travail avec l’orchestre symphonique de Seattle, et plus particulièrement le violoniste Augustin Hadelich, qu’il dirige. Violoniste de formation, M. Morlot a été formé à la Royal Academy of Music de Londres et le Royal College of Music.

What's left? : une expo pour la planète à la Résidence consulaire à Houston

“What’s left ?” (ou “Que reste-t-il ?”) C’est la question que poseront les douze artistes qui participeront à l’exposition collective du même nom dès le 5 mars à la Résidence consulaire à Houston.
Montée par la galeriste Yvonamor Palix et Jane Seam, cette exposition de videos et de photographies a pour but d’inciter le public à s’interroger sur le caractère éphémère de la nature et de notre planète, et l’indifférence dans laquelle les Hommes sont en train de la détruire. Les artistes participants viennent des Etats-Unis bien entendu, mais aussi de France, Suisse, du Mexique et d’Asie. L’exposition, qui se présente “non pas comme une dénonciation, mais comme une acclamation de la bataille que l’humanité doit mener contre elle-même” , sera ouverte au public le 5 mars de 1 à 5pm, et accessible sur rendez-vous après cette date. Le public pourra laisser libre cours à sa créativité en exprimant son ressenti avec des matériaux mis à disposition.
 

Des "outlets" à New York pour faire de bonnes affaires

Aller faire ses courses à Woodbury, c’est tentant mais il faut prévoir la journée. Entre les “outlets” installés, les nouveaux et les projets en cours, la course aux bonnes affaires est en train de prendre une autre dimension à Manhattan. Voici notre sélection d’adresses pour s’habiller à prix cassés.
Les petits nouveaux : des outlets de grands magasins
Bloomingdale’s a ouvert son outlet fin novembre au coin de Broadway et de la 72eme rue. Sur plus de 2.000 mètres carrés, cet espace sur trois étages propose des vêtements et accessoires pour homme, femme et enfant avec des réductions de 25 à 70% sur le prix boutique. Nous y avons repéré récemment des jeans 7 for all Mankind et Paige, des vêtements The Kooples et Theory et des sacs Bottega Veneta.
Saks Fifth avenue lui emboite le pas en annonçant l’ouverture de Saks Off 5th au mois de mars en plein quartier chic, au coin de la 57ème rue et de Lexington. L’enseigne promet des réductions allant jusqu’à 70% sur plus de 800 marques. Une autre ouverture a été annoncée par Saks Downtown pour 2017.
Cet automne Macy’s annonçait une opération pilote en ouvrant ses premiers magasins Macy’s Backstage, notamment à Brooklyn. Il n’a pas encore parlé d’ouvrir sur Manhattan.
Les outlets déjà installés a Manhattan
Les multimarques
On ne présente plus la célébrissime chaine Century 21 qui attire les New-Yorkais et de nombreux touristes, surtout dans le grand espace de Financial District. Neiman Marcus Last Callà Brooklyn, est une alternative intéressanteOn peut aussi faire des trouvailles chez Nordstrom Rack, à Union Square notamment.
Les plus courageux iront également fouiller chez T.J Maxx et MarshallsQuant à Designer Shoes Warehouse, il se spécialise dans les chaussures et accessoires. 
Plus cosy, les boutiques de marques
Le surplus A.P.C. est situé dans West Village, juste à côté de la boutique A.P.C. de la west 4th street. Pas besoin de se jeter sur la collection en cours quand on peut profiter du style intemporel de la marque à -50% toute l’année (voire -70% pendant les soldes). La boutique propose une sélection de vêtements et accessoires homme et femme. 92 Perry Street (et Bleecker Street).
Steven Alan a installé son “outpost” au coeur de l’Upper West Side. On y trouve des collections homme et femme avec une petite sélection d’articles pour l’enfant et la maison, entre -20 et -60% du prix boutique.  Les articles portent la griffe Steven Alan mais aussi d’autres marques pointues distribuées par ce dernier (Acne, Isabel Marant Etoile, Demylee…). 465 Amsterdam Avenue (et 82éme rue).
Le gros projet : un énorme complexe à Staten Island
C’est le gros chantier en cours qui ouvrira ses portes en 2017. Avec une centaine d’enseignes, Empire Outlets sera le premier centre commercial d’outlets de la ville de New York, à 20 minutes de Manhattan en ferry. Cerise sur le gateau, la séance de shopping pourra s’achever par un verre sur le rooftop avec vue sur la skyline. Pour l’instant, les promoteurs ont lâché les noms de quelques enseignes incluant Nordstrom Rack et Columbia Sporstwear Company. Il faudra en savoir plus avant de décider si on a envie d’y aller.
Il ne vous reste plus qu’à vous lancer dans le shopping, en notant que certains analystes estiment que 85% des marchandises des outlets aux Etats-Unis sont des productions spéciales de qualité moindre. Le prix de référence utilisé (souvent libellé “compare to”) peut prêter à confusion. Suite à une demande d’enquête par des membres du Congrès, la Federal Trade Commission a publié des recommandations pour les consommateurs. Les réelles bonnes affaires existent mais mieux vaut bien inspecter la qualité du produit avant de l’acheter et connaitre sa valeur sur le marché si on veut en avoir pour son argent.

Des mannequins et du beach volley à Miami Beach

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Mieux que la coupe de monde de foot et le Super Bowl (réunis), le Model Volleyball Tournament fait son retour à Miami le samedi 20 et 21 février à Lummus Park.
Le public pourra assister à de superbes échanges de ba-balle et des services incroyables, vraiment le seul intérêt de cette compétition qui n’attire que des amateurs de Beach Volley. Les joueurs sont tous de fins sportifs. Ils sont issus des meilleures agences de mannequinat: Next, CGM, Elite, Ford, MC2, Mega, Front Oceans, Runways et Wilhelmina. Les équipes sont mixtes.
L’accès aux terrains est gratuit et ouvert à tous. Le groupe DNCE viendra se produire pendant les festivités. Des pass VIP sont disponibles.

Le Texas French Symposium cherche des juges

La grande compétition texane de français est de retour, et elle compte une fois de plus sur des volontaires francophones pour lui prêter main forte. Le Texas French Symposium, qui aura lieu les 1er et 2 avril à la Spring Woods High School à Houston avec pour thème “La Louisiane” , cherche des juges pour surveiller les différentes épreuves (oraux, tests académiques, art et sports).
Les organisateurs cherchent des enseignants de français, mais aussi des non-enseignants francophones. Les juges suivront une session d’information la veille de l’ouverture de la compétition. Plusieurs tranches sont possibles: vendredi soir, samedi matin et/ou samedi soir pour tous les niveaux de compétition (avancé, débutant…). Les juges se verront offrir à boire et à manger.
 

Un conseiller de Fabius nommé consul à San Francisco

Le départ de Laurent Fabius du Quai d’Orsay entraine la valse des consuls. En même temps que la nomination d’Anne-Claire Legendre à New York était officialisée au Journal Officiel, un autre conseiller de Laurent Fabius était nommé à San Francisco: Emmanuel Lebrun-Damiens remplacera Pauline Carmona, nommée en 2014, à une date non connue pour le moment.
Par décret du Président de la République en date du 10 février 2016, M. Emmanuel Lebrun-Damiens, conseiller des affaires étrangères, est nommé consul général de France à San Francisco, en remplacement de Mme Pauline Carmona, appelée à d’autres fonctions” peut-on lire dans le JO daté du 11 février.
Enarque et diplômé de l’IEP de Strasbourg, Emmanuel Lebrun-Damiens, 38 ans, était conseiller Affaires budgétaires et administratives au sein du cabinet de Laurent Fabius depuis plus d’un an et demi. Auparavant, il a travaillé sur les questions de santé et d’aide au développement au Quai d’Orsay. Il a aussi été pendant plus de trois ans chargé pour la France des négociations sur les thèmes de la santé et de l’humanitaire au sein de la représentation française de l’ONU à New York et Premier conseiller à l’Ambassade de France en Nouvelle-Zélande.