Le Chelsea Film Festival propose une deuxième soirée Kino & Vino le lundi 8 février à 7pm. Au programme: du vin bien sûr, mais aussi le documentaire « For you were once strangers », déjà plébiscité par le Chelsea Film Festival en 2015.
Dans cette réalisation poignante, le téléspectateur suit Naka, une jeune Soudanaise de 15 ans qui s’est installée six ans plus tôt en Israël pour fuir les guerres sanglantes de son pays. Avant d’arriver en Israël, elle et sa famille s’étaient rendu en Egypte à pieds.
Malheureusement, son nouveau pays d’accueil n’est pas la terre promise qu’elle espérait. La population locale se déchire dans un débat sans fin : faut-il accueillir ces réfugiés venus d’Afrique ou les renvoyer dans leurs pays ? La réalisatrice Ruth Berdah-Canet, a étudié la sociologie à l’université et travaille en partenariat avec des organisations qui militent pour l’égalité des droits. Elle a vécu en France, au Japon et est désormais installée à New York. Les spectateurs auront l’occasion de discuter avec la réalisatrice lors d’une séance de questions/réponses à l’issue de la projection.
https://vimeo.com/68222570
Un docu sur l'immigration à "Kino and Vino" à Chelsea
French Tech Meetup San Francisco reçoit l' "Uber des trajets d'aéroports"
Le French Tech Meetup San Francisco reçoit les trois fondateurs de la start-up Wingz, le vendredi 5 février, pour une discussion sur leur fulgurante ascension.
Geoff Mathieux, Jérémie Romand et Christof Baumbach décident de créer Tickengo, une société de d’auto-partage uniquement destinée à transporter les voyageurs vers les aéroports. Mais face aux difficultés du co-voiturage aux Etats-Unis, l’entreprise se rebaptise Wingz pour se repositionner comme l’ « Uber des trajets d’aéroports » en proposant au voyageur de réserver plusieurs semaines à l’avance son chauffeur dans 18 aéroports des Etats-Unis. L’équipe a levé deux millions de dollars en 2015 et onze millions plus récemment auprès d’investisseurs connus comme Marc Benioff, le co-fondateur et PDG de Salesforce.com et Expedia, leader mondial des agences de voyage en ligne.
La discussion sera animée par Jean-Baptiste Su, journaliste chez Forbes. Elle sera précédée par des pitches de jeunes pousses et suivie d’un networking et d’un buffet français.
Le groupe de jazz Alex Grenier Trio à Austin et Fort Worth
Le groupe de jazz français Alex Grenier Trio se produira aux Etats-Unis, notamment Fort Worth et Austin à partir du mardi 9 février.
Alex Grenier est le guitariste et fondateur du trio qu’il forme avec Franck Durand et Hervé Moquet. Après avoir fait le tour du monde et sorti ses albums « Boomerang » et « Bubble Wrap », Alex Grenier rencontre ses deux acolytes à Angers en 2012.
Sur le modèle guitare-basse-batterie, le groupe puise dans différents genres, du jazz au blues en passant par le gospel. Il gagne le premier prix tremplin de « Jazz en Baie » en 2013, celui de la SACEM au « Nice Jazz Festival » et le premier prix du jury à « Jazz à Sète » en 2014. Après la tournée, le trio rentrera à Paris pour l’enregistrement d’un nouvel opus.
[youtube https://www.youtube.com/watch?v=VOE3tY3Cy04&w=560&h=315]
Satie, Debussy et Ravel se retrouvent à San Francisco
C’est un concert de musique de chambre très français qui vous attend au Legion of Honor Museum ce samedi 6 février.
La Chamber Music Society of San Francisco reprendra, entre autres, les morceaux de trois compositeurs français : Claude Debussy, Erik Satie et Maurice Ravel.
Ces musiciens de la seconde moitié du XIXeme siècle s’inscrivent dans la mouvance impressionniste. Un style musical qui passe par des combinaisons de notes proches pour créer des ambiances et des impressions s’éloignant de la rigueur de la musique classique. A la manière du jazz, ils privilégient une grande variété rythmique qui, dans le cas de Maurice Ravel particulièrement, devient un moteur de sens avant la mélodie.
Le concert est gratuit, mais il faudra néanmoins acheter un billet d’entrée pour le musée (10$ pour les adultes).
Le cancer en question à Houston
“La phase 4 du cancer est-elle guérissable ?” Tel est le thème du prochain Café européen des sciences, qui aura lieu le jeudi 11 février au Black Labrador de Houston.
La phase 4 désigne l’étape de la maladie où le cancer s’est propagé en dehors de la zone d’origine. Spécialiste de la chirurgie du foie, le cancérologue Jean-Nicolas Vauthey prendra pour exemple le cancer côlorectal, dont le traitement laisse entrevoir des possibilités de guérison au stade de métastase.
Organisé par les consulats des pays européens à Houston, le Café Européen des Sciences est gratuit et accessible à tous. Dr. Jean-Nicolas Vauthey est un professeur associé au département de chirurgies cancéreuses à l’Université du Texas MD Anderson Cancer Center. Ses travaux portent sur les méthodes visant à mesurer et à améliorer les résultats après une hépatectomie (ablation d’une partie du foie).
Par Excellence, pied-à-terre des artisans français à New York
C’est un espace aux allures de galerie en bordure de la High Line, rempli de surprenantes créations en paille, de fauteuils haut-de-gamme et de pièces colorées de passementerie (comprenez les cordes qui ornent les rideaux) suspendues au plafond.
Bienvenue à Par Excellence, un showroom qui a ouvert début janvier à Chelsea avec l’ambition de servir de vitrine new-yorkaise aux artisans français spécialisés dans le très haut-de-gamme. Ce sont les ateliers de tapisserie Charles Jouffre, implantés à New York depuis quinze ans, qui sont à l’origine du projet. “On s’est aperçu que beaucoup d’artisans français nous posaient des questions sur comment s’implanter à New York. Nous voulons profiter de ce showroom pour les aider à venir ici” , explique Charles Jouffre.
Outre le tapissier, Par Excellence rassemble actuellement les produits de trois artisans basés en France: le marqueteur de paille Lison de Caunes, les passementiers Declercq et les ébénistes Ludwig et Dominique. Tous sont labellisés Entreprise du Patrimoine Vivant (EPV). Outre la présentation des produits auprès des “décorateurs, designers et architectes” de la ville, Par Excellence veut accompagner les entreprises membres en leur offrant plusieurs prestations payantes de communication, de marketing, de gestion des marchandises et conciergerie. L’espace peut aussi servir aux artisans de lieu de rendez-vous avec des clients potentiels lors de leur venue à New York.
“Les Américains ont besoin de toucher, de voir le produit, poursuit Charles Jouffre. Les artisans de Par Excellence croient au marché américain et considèrent les Etats-Unis comme leur avenir car elles se rendent compte que la clientèle en France est plus restreinte. Mais elles n’ont pas les moyens financiers et humains de monter une structure américaine. Ce showroom, c’est pour elles un premier pas aux Etats-Unis” .
Par Excellence veut rassembler “au moins sept” artisans pour rentrer dans ses frais, mais pas plus de dix au total pour faciliter leur accompagnement. “Plus les années passent, plus les Américains se rendent compte que les Français apportent un vrai savoir-faire, un service après-vente de qualité. Les Etats-Unis font beaucoup d’industrialisation, tandis que les artisans français font des pièces uniques, sur-mesure.”
Pourquoi le football américain a-t-il du mal à s'exporter ?
De toutes les habitudes américaines, s’il y en a une que les Français ont du mal à comprendre, c’est bien le football américain.
Ils ne sont pas les seuls. Dans le monde entier, seuls 54 pays ont une équipe nationale de foot américain (contre 209 au sein de la FIFA pour le foot). Et quand ils sont opposés aux Etats-Unis, ils ont du mal à faire le poids,comme nos vaillants Bleus défaits l’an dernier 82-0 en demi-finale du championnat mondial IFAF. A l’approche du Super Bowl, nous nous demandons donc: pourquoi le football américain reste-t-il aussi peu joué à l’extérieur des Etats-Unis? C’est la question bête de la semaine.
Tout d’abord, avant d’être plaqués au sol par les fans français de football américain, notons que le sport séduit de plus en plus à l’étranger. “Presque tous les pays européen y jouent” rappelle Michel Daum, président de la FFFA (Fédération française de football américain). En France, le sport compte 22.000 licenciés aujourd’hui, contre 3.000 en 1988, ce qui place l’Hexagone en deuxième position en Europe derrière l’Allemagne. “Certains sont dans une meilleure situation, d’autres moins bonne” , poursuit le responsable de la fédé.
Michel Daum attribue cette position de tête de l’Allemagne à des raisons historiques. “Dans le cas de l’Allemagne, la présence de bases militaires américaines a permis de faire la promotion de ce sport de manière importante. D’ailleurs, ce n’est pas un hasard si le rugby est faible en Allemagne. En France, on a le poids du rugby, incontournable dans le monde du ballon ovale” .
Certes les soldats américains étaient présents en France aussi – “et nous avons trouvé trace d’un match qui avait été joué au début du XXème siècle dans la rade de Toulon à bord d’un gros bateau” – mais cette passion américaine ne s’est pas répandue dans la population générale. “Les Américains jouaient entre eux” , affirme Michel Daum.
Le problème n’est pas que français. Ailleurs aussi, le football américain a du mal à s’implanter. La faute notamment à des barrières d’entrée trop coûteuses: alors que le foot ne nécessite qu’un ballon, jouer au foot américain nécessite d’investir dans un équipement coûteux et de jouer sur un terrain adapté. Pas moins de sept – sept! – arbitres surveillent les joueurs. Il faut aussi disposer d’un grand nombre de joueurs pour constituer une équipe viable, bien plus que les 11 qui sont sur le terrain en même temps à un moment donné.
Le site du magazine de politique internationale Foreign Policy va plus loin. Dans un long article de 2013 consacré à l’exportation du sport, il raconte que l’Europe et les autres continents n’ont pas l’infrastructure nécessaire pour former les futurs joueurs. “Aux Etats-Unis, les lycées et les universités servent d’incubateurs pour la NFL (National Football League), et le manque de telles infrastructures à l’étranger est l’une des raisons majeures pour lesquelles il y a si peu de joueurs non-formés aux Etats-Unis qui deviennent pro” . Selon Foreign Policy, la NFL ne comptait en 2013 que 74 joueurs non-américains sur les 1.600 places disponibles dans l’ensemble des 32 équipes.
A cela s’ajoute la complexité perçue des règles. Selon cette tribune du journaliste Paul Foutch dans Dallas Morning News, le livre des règles de la NFL (National Football League) compte “120 pages, plus long que les instructions de l’IRS pour remplir le formulaire 1040” . L’auteur va plus loin: il dénonce non sans ironie un sport aux allures d’ “Etat policier” , archi-réglementé, où les interventions de personnes extérieures (arbitres, coach…) sont très fréquentes, trop sans doute pour apprécier le spectacle comme devant un match de foot. “Il y a une pénalité à chaque minute de jeu” a-t-il calculé.
Pour Michel Daum, la complexité des règles n’est pas une raison valable “car ce n’est pas plus compliqué que le rugby” . “Pour beaucoup de personnes, le foot américain est un sport informe. On voit une compilation de joueurs et on se dit: ouh là là! Il y a des règles pointues, mais il faut apprendre à faire confiance aux arbitres pour expliquer les aspects techniques. En France, on a plutôt tendance à ne pas faire confiance aux arbitres.”
Le festival Tournées fait escale à Florida State University
Le « Tournées Film Festival », programme de films français sur les campus américains, arrive à Florida State University (Tallahassee), où six films francophones seront projetés entre le lundi 22 et le jeudi 25 février.
La cuvée 2015-2016 du festival met en avant une nouvelle génération de réalisateurs indépendants de France, d’Afrique, du Moyen-Orient, d’Asie et des Etats-Unis.
Au programme: « Bande de filles » (le lundi 22 février), un film de Céline Sciamma. En banlieue, Marieme, 16 ans, décide de tout plaquer pour vivre sa jeunesse et s’affranchir des règles avec sa bande de copines. Un petit bijou.
Dans un autre style, le même jour: « Sils Maria », un drame avec Juliette Binoche et Kristen Stewart. Les Belges seront aussi mis à l’honneur, avec le film « Deux jours, une nuit » des frères Dardenne (le mardi 23 février). Le film « La French », avec Jean Dujardin en chasseur de mafieux, sera lui aussi projeté le mardi. Les romantiques trouveront leur bonheur dans « L’écume des jours » (le mercredi 24 février) avec Romain Duris, Audrey Tautou, Gad Elmaleh, Omar Sy et Aissa Maiga. « Hiroshima mon amour » d’Alain Resnais sera montré le mercredi 24 et le jeudi 25 février.
C’est la 20ème édition de ce festival, organisé par la fondation FACE en partenariat avec les Services culturels de l’Ambassade de France. FSU a été sélectionné par FACE pour accueillir ce festival avec deux autres établissements floridiens (University of Tampa, où les projections ont eu lieu en janvier, et Florida State University, où le programme des projections n’est pas encore connu).
Alexandre Tharaud dans les Bach à Los Angeles
Alexandre Tharaud n’a pas de piano chez lui. Ne pas voir dans ce choix le signe d’un certain dilettantisme. Bien au contraire, ce pianiste virtuose est en réalité un forcené du travail. Et s’il refuse de jouer de son instrument à son domicile, c’est par crainte de ne pas rester concentré sur l’essentiel.
Cette rigueur fait de lui un artiste hors du commun, invité à jouer dans les plus grandes salles de concert du monde. Dans le cadre de sa tournée américaine, il sera au Disney Concert Hall le 13 avril. Avec l’orchestre de chambre canadien Les violons du Roy, il jouera son compositeur préféré, Jean-Sébastien Bach (passacaille et fugue, et les concertos pour clavecin N° 1 et 5). Water world, la fameuse œuvre musicale du compositeur allemand Handel sera également interprétée par les violons du Roy lors de cette soirée.
Jeff Panacloc: "Jean-Marc va réaliser au dernier moment qu'il est aux USA"
« Ça fait un mois que je n’ai pas joué alors reprendre à San Francisco c’est génial, je vais essayer de m’amuser ce soir.» Jeff Panacloc vient tout juste d’arriver aux Etats-Unis avec sa marionnette Jean Marc, une boule de poils orange dévergondée, pour leurs premiers pas sur le sol américain. Ils sont là pour travailler: après San Francisco le 2 février, ce sera Los Angeles, Miami, puis New York (dates ci-contre).
Alliant politiquement incorrect et humour décapant, le jeune ventriloque est le symbole d’une nouvelle génération d’humoristes français. Repéré en 2011 par Patrick Sébastien dans l’émission “Le plus grand cabaret du monde”, il connaît le succès rapidement mais garde les pieds sur terre, conscient du milieu éphémère dans lequel il évolue. «J’ai juste fait mon travail et, un jour, j’ai rencontré les bonnes personnes. Ce n’est pas quelque chose qu’on maîtrise, il faut en profiter au maximum. »
C’est donc la première fois qu’il joue son spectacle « Jeff Panacloc perd le contrôle » aux Etats-Unis, face à un nouveau public « On m’a rassuré, le public français aux Etats-Unis est plutôt bien renseigné avec internet et à l’affût de ce qu’il se passe en France, j’avais très peur d’arriver face à des gens qui ne me connaissent pas » , explique-t-il.
[youtube https://www.youtube.com/watch?v=qw7TJ4ttzJA&w=560&h=315]
Inspiré par différents ventriloques, comme l’Américain Jeff Dunham ou la Britannique Nina Conti, il est fier d’être le porte-étendard français d’une profession qui se fait rare sur scène. Il insuffle aujourd’hui un vent de renouveau sur un métier qui nécessite une parfaite maîtrise des instruments vocaux. « Je suis content de voir qu’on peut moderniser et plaire au public d’aujourd’hui. Pour moi, c’est important de revaloriser cet art et les artistes du ‘musical’ en général » confie Jeff Panacloc.
Se lancer dans une carrière aux Etats-Unis ? Il n’en est pas encore question pour l’artiste. « Je ne parle quasiment pas anglais, c’est un gros handicap. Je suis beaucoup dans l’improvisation et je pense qu’il faut être très à l’aise avec la langue pour être efficace ».
Jouant à guichets fermés en France, il compte disparaître du paysage médiatique à la fin du mois d’avril pour se reposer et écrire son nouveau spectacle qui sortira probablement en janvier 2017. Quant à sa fidèle marionnette, Jean-Marc, « il est content d’être ici mais il n’a pas encore réalisé, il va se rendre compte qu’il est aux Etats-Unis au dernier moment ! »
10 trucs à savoir pour ne pas avoir l'air bête lors du Super Bowl 50
Le Super Bowl, moment à haut-risque pour les Français aux Etats-Unis. Certains d’entre vous vont se retrouver au beau milieu d’Américains qui connaissent le sport aussi bien que vous connaissez la Marseillaise. Histoire de ne pas passer pour des Bleus (même si on l’est), voici quelques conseils pour ne pas avoir l’air bête dimanche.
Pour rappel, le Super Bowl 2016 se déroulera pour la première fois au Levi Stadium de Santa Clara en Californie. Le coup d’envoi est à 6:30pm ET/3:30pm PST dimanche 7 février.
Comment ça marche tout ça?
Comment pouvez-vous poser cette question alors qu’on vous a expliqué les règles du foot américain en 2014? Allez, on vous pardonne et on vous remet notre papier de l’époque.
Quelles sont les équipes en lice ?
Les Broncos de Denver affronteront les Panthers de Charlotte (Caroline du Nord). Les Brancos ont déjà participé à six éditions du Super Bowl et en ont gagné deux. Les Panthers de la Caroline, eux, n’ont participé qu’à une seule finale et ne l’ont pas gagnée.
Quels sont les joueurs à surveiller ?
Chez les Broncos, il faudra bien entendu regarder attentivement Peyton Manning. Le joueur de 39 ans entrera dans l’histoire en devenant le plus vieux quarterback à jouer un Super Bowl. Chez les Panthers, c’est Cam Newton qu’il faudra observer de près. Le jeune homme de 26 ans devrait probablement obtenir le prix du meilleur joueur de la saison cette année.
Qui va remporter le match ?
Si on se base sur les statistiques, le match devrait être très serré. Les Panthers ont la meilleure attaque du championnat tandis que les Broncos ont la meilleure défense. Mais si on se base sur les performances globales de cette saison, les Panthers partent favoris.
Combien vont gagner les joueurs ?
Les joueurs de l’équipe gagnante toucheront chacun 97.000$ de prime en plus de leur salaire habituel. Les perdants devront se consoler avec la modique somme de 49.000$. Les pauvres…
Combien payent les annonceurs pour placer un spot publicitaire ?
Placer une annonce publicitaire lors du Super Bowl coûte cher. Pour un spot de 30 secondes, il faut débourser 5 millions de dollars. Quarante annonceurs se partageront les pauses publicitaires. On retrouvera, entre autres, Pepsi, Snickers, Colgate ou encore Honda et LG. Comme d’habitude, il y aura de nombreuses guest stars dans les spots. Seal, Venus Williams, Drake et Liam Neeson font, par exemple, partie de la cuvée 2016. Une petite mise en bouche ici avec Ryan Reynolds dans une pub pour Hyundai.
[youtube https://www.youtube.com/watch?v=Ih4VYnbm6Sw&w=560&h=315]
Que manger pendant le Super Bowl ?
Le dimanche du Super Bowl est le deuxième jour où les Américains consomment le plus de nourriture après Thanksgiving. On estime que 90 millions d’ailes de poulet vont être consommées pendant le match. Pour le reste du menu : pizzas, bières, chips et guacamole. Plus c’est gras, plus c’est bon.
Qui assurera le show à la mi-temps ?
Le groupe Coldplay est chargé de faire le show pendant la mi-temps. Ils seront accompagnés par Beyonce. La chanteuse entrera elle aussi dans l’histoire en devenant la première femme à chanter pendant le Super Bowl à deux reprises. Elle avait déjà mis le feu en 2013 au Mercedes-Benz Superdome de la Nouvelle Orléans.
Combien coûte un billet pour le match ?
Un billet d’entrée pour aller voir le Super Bowl coute entre 500 et 2.600$ en fonction de l’emplacement du siège. En 1967, lors de la première édition, le prix du billet le plus cher était de 12$.
Combien de personnes vont regarder le match ?
Le Super Bowl est l’événement sportif à ne pas manquer aux États-Unis. Plus qu’une simple rencontre sportive, c’est devenu un grand show à l’américaine. En 2015, le match a rassemblé plus de 114 millions de téléspectateurs. On note que sur les dix meilleures audiences enregistrées à la télévision américaine, neuf sont l’œuvre du Super Bowl.
Good France remet le couvert au Texas
Pour la deuxième année consécutive, plus de 1.000 chefs du monde entier s’associeront pour célébrer la gastronomie française dans le cadre de Good France, une initiative du ministère des Affaires étrangères français. Au Texas, six restaurants participeront à l’événement. Rendez-vous le lundi 21 mars.
Le temps d’une soirée, les fins gourmets pourront déguster des produits frais, de saison et issus du terroir local. L’événement se veut contemporain et international. Loin de vouloir imposer la cuisine à la française, l’organisation encourage les restaurateurs à la fusionner avec leur propre culture culinaire. Chaque restaurant établira lui-même ses menus spéciaux pour l’occasion. Ils sont invités à reverser une partie de leurs recettes à une oeuvre caritative locale.
Les participants texans sont: L’Olivier, le Kris Bistro, le Mistral et l’Artisans à Houston; Chez Vatel Bistro à San Antonio et le Lavendou à Dallas.