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5 adresses où acheter la bûche de Noël au Texas

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A quelques jours de Noël, il est temps de penser à passer commande d’une bûche pour le réveillon. French Morning liste quelques adresses prisées des francophones et francophiles du Texas.
La nouvelle venue, à San Antonio, c’est La Boulangerie, qui a essaimé du restaurant Saveurs 209 voisin au printemps et déjà séduit les San Antonio Frenchies and friends. Ces derniers déjà réclamé les parfums chocolat et café et le patron prend les commandes.
La Boulangerie San Antonio
Dans le cadre moderne de La Boulangerie, on retrouve les couleurs peps du restaurant, mais alliées à des matériaux bruts. Les deux combinés donnent une ambiance cozy et envie de prendre le temps de déguster une quiche, un jambon-beurre, un cannelé bordelais ou encore une tartelette au citron meringué en passant prendre sa bûche. La Boulangerie, 207 Broadway St., San Antonio, tél. : (210) 223-0209.
Dans le rayon boulangerie-pâtisserie adossée à un restaurant, les  Français de Houston ont validé Foody’s Gourmet et son rayon épicerie fine qui apporte une touche traditionnelle à l’établissement tout en permettant de retrouver les saveurs du restaurant.
bûche Merry Chistmas de Paris Je t'aimeLe principal atout de Foody’s Gourmet, c’est néanmoins sa vaste terrasse, où savourer un Paris-Brest ou bien un Paris-Houston si on passe chercher sa bûche sous le soleil. Les trois parfums des bûches cette année sont Opéra, myrtille-mascarpone et vanille-praliné. Foody’s Gourmet, 1400 Eldridge Pkwy, Houston, tél. : (281) 496-3663.
Bon nombre de Français de Houston ont toutefois été conquis par les mets raffinés concoctés à la pâtisserie Paris Je t’aime et préfèrent ce cadre épuré, décoré seulement de quelques plantes après la Tour Eiffel sur fond de gros cœur rouge en vitrine pour acheter leur bûche. Les parfums cette année : praliné-cassis-abricot, chocolat noir-agrumes-mascarpone, ou encore litchi-rose, entre autres.
Pâtisserie Paris Je t’aime, 11660 Westheimer Rd, Ste 107A, Houston, tél. : (281) 531-1222.
Main Street Bakery Grapevine
Dans l’agglomération de Dallas-Fort Worth, l’incontournable c’est la Main Street Bakery de Grapevine (qui a essaimé à Plano et Richardson). Une bonne adresse où il est tentant de se replonger dans l’ambiance de bistrot français qui se cache derrière cette façade en briques. Main Street Bakery, 316 S. Main Street, Grapevine, tél. : (817) 424-4333, mais aussi 7200 Bishop Rd. Suite D-11, Plano, tél. : (972) 309-0404, et 3600 Shire Blvd., Suite 100, Richardson, tél. : (972) 578-0294.
A Austin, suite à la fermeture d’Artisan Bistro cet été, bon nombre de francophones et francophiles résidant dans d’autres coins de l’agglomération feront sans doute le voyage jusqu’à Baguette et Chocolat. Et tant qu’à se rendre aux portes du Hill Country, pourquoi ne pas en profiter pour faire de l’achat de la bûche une excursion comprenant un déjeuner de croque-madame ou galette bretonne dans cet aimable local de Bee Cave situé à deux pas de la Hill Country Galleria et vingt minutes d’Hamilton Pool Preserve ?
bûche Souvenirs de Baguette et Chocolat
A noter : en hommage aux nombreuses victimes d’attentats en France cette année, la bûche comprend du chocolat amer cette année en plus de la traditionnelle praline et arbore les couleurs nationales.
Baguette et Chocolat, 12101 Bee Cave Rd, Bee Cave, tél. : (512) 263-8388.

Combien ça coûte d'aller de JFK à Manhattan?

Pour éviter à vos visiteurs de ramer après huit heures de vol et pratiquement autant à l’immigration, voici un petit récapitulatif des modes de transport et des tarifs en vigueur pour aller de l’aéroport JFK à Manhattan. Les pinces seront ravies d’apprendre que cela peut vous coûter la modique somme de… 5,50 dollars.
En business (et en hélico)
Pour soigner votre arrivée à Manhattan, offrez-vous un hélicoptère. Plusieurs compagnies proposent un service de transfert. New York Helicopter par exemple peut vous déposer à trois héliports différents pour 875 dollars. Le service n’est valable que du lundi au vendredi entre 7am et 7pm.
Si vous souhaitez garder les pieds sur terre, le taxi jaune est sans doute la manière la plus simple d’arriver comme une fleur à Manhattan, à condition que votre chauffeur ne se prenne pas pour Fangio. Pas la peine de prendre l’AirTrain, le train interne de JFK, et d’attendre ce satané métro qui ne vient jamais. Chaque terminal a une station de taxis. Un tarif fixe de 52$ est appliqué pour toute course de JFK à Manhattan. Il faut y ajouter des taxes diverses, les péages éventuels et le pourboire – entre 15 et 20% de l’addition finale. Si vous payez par carte bancaire, le “tip” est automatiquement calculé. Il suffit au passager de sélectionner le montant.
Pour les app de partage de voiture, les prix varient en fonction de plusieurs critères, notamment la disponibilité des véhicules. Gett, dont les véhicules ne vont pas au-dessus de la 110eme rue, facturent 63 dollars (plus les péages, les taxes diverses et le pourboire) pour une course seul dans la voiture. Les prix estimés de Lyft et d’Uber en pool sont respectivement de 46 dollars et 58 dollars tout compris (sauf le pourboire). Avec UberX, déboursez entre 79 et 99 dollars. Les autres services d’Uber comme Uber XL et UberBlack sont encore plus chers.
En classe éco: minimum 16 dollars
JFK compte dix services de location de véhicules, comme Enterprise, Zip Car, Budget. Lors de notre visite sur le site, la location la moins chère chez Enterprise était de l’ordre de 30 dollars par jour avec les options de base (comptez aussi 5 dollars d’AirTrain pour arriver aux bureaux d’Enterprise à Federal Circle). ZipCar a une formule pour les conducteurs occasionnels (15 dollars pour rejoindre le réseau et 9,25 dollars par heure ou 89 dollars par jour).
Le NYC Airporter, le service de navette de JFK, relie les terminaux de l’aéroport à Grand Central et Penn Station. Les tickets coûtent 16 dollars en ligne.
Pour ceux qui ne veulent pas perdre leur temps en métro, il y a toujours l’option LIRR (Long Island Rail Road). Ce train qui dessert l’ile du Long Island passe par la station Jamaica, accessible en AirTrain (5 dollars) depuis les terminaux de JFK. Le ticket pour le LIRR est de 15 dollars. Son terminus est Penn Station.

En low cost: bus et subway
Une fois vos bagages en main, prenez le AirTrain pour 5 dollars pour rejoindre l’une des lignes de métro qui vont à Manhattan (la ligne A à Howard Beach et J, Z, E à Jamaica). Le ticket est à 2,75 dollars. Vous avez la possibilité d’acheter votre ticket de subway au moment de payer pour l’AirTrain. Comptez une heure au moins pour atteindre le sud de Manhattan. Un supplément d’un dollar s’applique lors de l’achat de nouvelles cartes de subway au distributeur.
Si vous êtes encore plus radin, vous pouvez vous en tirer pour 5,50 dollars en prenant l’une des trois lignes de bus accessibles depuis le terminal 5. Si vous débarquez à un terminal diffèrent, n’ayez crainte: vous pouvez vous déplacer d’un terminal à l’autre via l’AirTrain pour 0 dollar. Une fois au terminal 5, cherchez les bus Q10, Q3 et B15. Toutes ces lignes rejoignent des stations de métro qui vous emmèneront tranquillement à Manhattan. Comptez 2,75 dollars en cash pour le bus, 2,75 pour le métro. Le transfert bus-métro est gratuit.
En mode débrouille
Marcher vous prendrait plus de 4h30, selon cet itinéraire. Cela a déjà été fait par un guide un peu fou parti d’Union Square avec un groupe de quatorze personnes pour arriver au Terminal 1 de JFK.

Madeon au festival Day for Night à Houston

Il y aura du beau monde à Houston ce week-end. Plusieurs artistes de renom se retrouvent les samedi 19 et dimanche 20 décembre au festival Day for Night à Silver Street Studios.
Ce festival original rassemble des musiciens (chanteurs, DJs…) et des artistes visuels (designers, spécialistes de lumière…) Au programme: Kendrick Lamar, Janelle Monàe, Cocorosie et le Philip Glass Ensemble pour ne citer que quelques têtes d’affiche.
Plusieurs Frenchies seront aussi de la partie. Hugo Pierre Leclercq alias Madeon, le DJ-sensation qui s’est fait connaitre sur YouTube avec sa vidéo “Pop culture” sera présent. De même que Julien Bayle, artiste dont les œuvres mêlent sons et lumières; Masomenos, un duo qui rassemble un graphiste et un DJ; et Nonotak Studio, une collaboration de son et de lumière entre une illustratrice française et un spécialiste du son.

Où trouver une bonne bûche à San Francisco ?

En français dans le texte ou sous le nom de “yule log”, la bûche de Noël reste le dessert préféré des fêtes de fin d’année. Voici notre sélection d’adresses à San Francisco.
Dans la Marina

  • Chestnut Bakery 

La Chestnut bakery, réputée pour ses gâteaux d’anniversaire très joliment décorés et ses croissants aux amandes, propose une génoise au chocolat garnie de crème chocolat, pour 48 dollars (8-12 personnes), ou 20 dollars pour sa version mini. Les pré-commandes, trois jours à l’avance de préférence, sont conseillées. Vous pourrez retirer votre bûche jusqu’au 24 décembre à 1pm. 2359 Chestnut Street
San Francisco, CA 94123. (415) 567 6777

  • Le Marais

Dans la même rue, la boulangerie-pâtisserie française Le Marais varie les plaisirs avec une bûche tropicale aux parfums de mangue, fruit de la passion et noix de coco, ou une bûche chocolat-noisette. Il vous en coûtera 60 dollars pour 5-6 personnes. Les réservations doivent se faire le plus vite possible, car les quantités sont limitées. 2066 Chestnut Street, San Francisco, CA 94123. (415) 359-9801
Dans le Richmond

  • Schubert’s 

La pâtisserie allemande Schubert’s  revisite sous forme de bûches les classiques qui font sa réputation depuis 1911: génoise noisette fourrée au chocolat, moka, praliné et amandes pour la bûche Opéra, et tout chocolat pour la Chocolate truffle. Pour 50 dollars, une bûche régalera 16 à 20 convives, et doit se commander deux jours à l’avance. 521 Clement St., San Francisco, CA 94118. (415) 752-1580
Dans l’Inner Sunset

  • Arizmendi

La boulangerie coopérative Arizmendi devrait plaire aux nostalgiques de tous horizons, avec des stollen allemands, des fruit cakes anglais, et la traditionnelle bûche de Noël française, avec son biscuit au chocolat, fourré de crème au beurre aux arômes de rhum, et ses petits champignons en meringue. La bûche pour 8 personnes coûte 38 dollars et elle est disponible aux dates suivantes: les 18-20, 22-24 décembre, ou en pré-commande. 1331 9th Ave., San Francisco, CA 94122. (415) 566-3117
Dans le Castro

  • Thorough Bread

On ne change pas une recette qui régale: comme l’an passé, on retrouve les bûches chocolat-noisette-whisky et framboise-vanille chez Thorough Bread, une enseigne du Castro bien connue pour ses excellentes viennoiseries et son pain à prix très raisonnable. Les commandes sont à passer au moins 4 jours à l’avance. Pour 40 dollars, vous pourrez servir généreusement 6 personnes, ou bien 10 si le repas a déjà été copieux. 248 Church St., San Francisco, CA 94114. (415) 558-0690
Dans Pacific Heights

  • La Boulangerie de San Francisco

La Boulangerie de San Francisco ne pouvait pas rater le coche de la bûche de Noël. Après la fermeture des enseignes La Boulange en septembre, et la renaissance de certaines sous l’appellation Boulangerie de San Francisco, la période des fêtes est une nouvelle occasion de fidéliser leur clientèle. Disponible dans toutes ses enseignes, la bûche pour 8-10 personnes reste cette année très traditionnelle: tout chocolat. Il n’y aura pas de pré-commande, alors courez-y ! Le prix de cette perle rare n’était pas disponible au moment de la rédaction de cet article. Maison-mère : 2325 Pine St., San Francisco, CA 94115. (415) 440-0356

  • B.Patisserie

Parce que la gourmandise passe aussi par le plaisir des yeux, la palme des bûches les plus artistiques revient aux créations de Belinda Leong. La chef pâtissière de B. Patisserie propose quatre bûches rivalisant d’originalité: bûche chocolat, crème brûlée au caramel salé et chantilly au café; bûche noix de coco, fruit de la passion, ananas et mangue; la Smore au chamallow, crème brulée vanille et mousse au chocolat; et enfin la vanille-fruits rouges, au mascarpone vanillé et sablés bretons. Si le prix vous fait hésiter (75 dollars), pourquoi pas céder à la tentation de la part individuelle ? Attention, les commandes pour les bûches s’arrêtent le vendredi 18 décembre. 2821 California St.,San Francisco, CA 94115. (415) 440-1700

Neuf endroits pour acheter une bûche de Noël à Los Angeles

En anglais, on l’appelle la yule log. Il s’agit de notre traditionnelle bûche de Noël. Classique ou inventive dans ses saveurs ou son look, elle trône dans les vitrines de nombreuses pâtisseries de L.A en cette période de fêtes de fin d’année. Voici nos meilleures adresses.
9- Lark Cake shop
La particularité de la bûche de cette année chez Lark Cake Shop, c’est sa forme. Deux morceaux de bûche collés l’un à l’autre comme un tronc avec sa branche, ce qui donne au gâteau une touche un peu plus « nature brute » que d’ordinaire. Le glaçage en chocolat avec effet sillon laisse croire à du bois à brûler dans la cheminée ! Deux saveurs, vanille ou chocolat. Une seule taille, pour 12 personnes à 38.50$. La bûche peut être achetée dans les deux boutiques, celle de Silver Lake (3337 W Sunset Blvd, Silver Lake. Tél: 323 667 2968) et celle de Pasadena (1355 N Hill Ave, Pasadena. Tel:  626 798 103). Il vaut mieux commander quelques jours à l’avance.
8- Pitchoun
Pour leur premier Noël dans leur pâtisserie-restaurant à downtown L.A, Frédéric et Fabienne Souliès ont mis les petits plats dans les grands. Hormis la traditionnelle bûche génoise – crème au beurre (vanille, café, chocolat ou Grand-Marnier), il y a la bûche rouge ou blanche, à la mousse aux fruits rouges ou au chocolat. Elle existe en grande taille pour 6 à 8 personnes (30$ la traditionnelle, 35$ les deux autres), ou en taille individuelle. La petite bûchette traditionnelle coûte 5,50$. Réserver deux ou trois jours à l’avance. 545 South Olive street. Tél : 213-689-3240
7- Bottega Louie
Toujours downtown, le très branché restaurant pâtissier Bottega Louie propose une bûche, une seule, mais qui vaut peut-être le détour : à l’intérieur, des pommes caramélisées, une mousse de caramel au beurre salé de la meringue et une génoise au goût vanille. Le tout recouvert d’un glaçage au chocolat saupoudré de quelques écorces de noix de coco. 30$ la bûche pour 4/5 personnes.  700 S Grand Ave. Tél : 213 802 1470
6- Beau Nuage
Avec un nom pareil, on attend des bûches de Pascal et Audrey Achcar qu’elles soient légères : un nuage de chantilly parfumé à votre choix entouré de blanc meringué et de fruits rouge. Elle est disponible en deux tailles : la moyenne est à 45$ (6 à 8 personnes) et la grande à 58$ (10 à 12 personnes). Commander impérativement avant le 21 décembre. 8010 Melrose Ave, West Hollywood. Tél : 310-880-206
5- La Provence
Pour ceux qui organisent un Noël en grand, voire très grand comité, voici une adresse qui peut vous intéresser. La bûche de génoise, mousse, truffe au chocolat et fraises fraîches est proposée en trois tailles : 10 personnes (42$), 20 personnes (84$) et 50 personnes (125$). Commander au plus tard le 21 décembre. 8950 W Olympic Blvd, Beverly Hills. Tél : 310 888 8833
4- Chaumont
Tout comme l’année dernière, à l’arrivée des fêtes, Frédéric Laski et Laïla Abdaim délaissent leurs pâtisseries habituelles pour se concentrer sur la bûche de Noël. Ils proposent, au choix, la bûche aux marrons sans farine (mousse aux marrons, fondant poire, noix de pécan caramélisées, pâte meringuée aux amandes), ou la bûche chocolat caramel beurre salé (mousse chocolat, crémeux caramel beurre salé, biscuit chocolat, feuillantine pralinée). Les deux sont disponibles en trois tailles: petite (4 personnes, 28$), moyenne (8 personnes, 56$) ou grande (16 personnes, 98$) . Les dernières commandes seront prises le 22 décembre. 143 S. Beverly drive, Beverly Hills. Tél: 310 550 5510
3- Champagne
Champagne, chaîne de restaurants-pâtisseries, propose deux bûches : génoise et crème au beurre au chocolat, ou bien capuccino et crème d’amande. Une seule taille : pour 8 à 10 personnes, à 34,95$. Commander 24 heures à l’avance. 200 S Beverly Dr, Beverly Hills. Tél:  1 310 271 4556
2-Bouchon Bakery
Cette année, l’élégante bûche de Noël de Bouchon Bakery est 100% chocolat. Mousse à l’intérieur, glaçage à l’extérieur. 38$ la grande, 8$ l’individuelle. Il faut réserver 48 heures à l’avance et au plus tard le 22 décembre avant 8pm. Le 23 et le 24 décembre, on peut venir chercher sa commande entre midi et 5pm. 235 N Canon Dr, Beverly Hills. Tél : 310 271 9910
1. Proof Bakery
Na Young Man, la pâtissière de la boulangerie Proof Bakery à Atwater Village, a pris le temps de la réflexion avant d’arrêter la composition de sa bûche de Noël. Finalement cette année, ce sera génoise, compote de cranberry, crème au beurre pralinée et glaçage au chocolat. Comptez 40$ pour pour 8 à 10 personnes. 3156 Glendale Blvd, Atwater Village. Tél : 323 664 8633

Un week-end Star Wars à Fort Lauderdale

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La force sera avec les petits et grands enfants qui visiteront le Fort Lauderdale Museum of Discovery and Science ce week-end.
Les samedi 19 et dimanche 20 décembre, le musée accueille comme il se doit la sortie du nouvel opus de Star Wars, “The Force Awakens”, en organisant différentes activités spéciales de midi à 4pm. Peinture faciale, maniement d’objets telecommandes, photos avec Darth Vader et des Stormtroopers, démonstrations de robots, entre autres, attendront sagement toute la famille pour ce week-end Guerre des étoiles.
A noter, pour les plus grands, le nouveau Star Wars sera visible dès le 17 décembre à l’Imax du musée. Les tickets sont en vente.
 

"Zazie dans le métro" sur TV5 Monde

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Zazie est dans le métro, mais vous pourrez la retrouver aux Etats-Unis, sur TV5 Monde, le lundi 21 décembre, à 11pm EST.
Le chef d’œuvre de Louis Malle, sorti en 1960, raconte les aventures de la jeune Zazie à Paris chez son oncle Gabriel. Elle veut, plus que tout, découvrir le métro parisien, mais elle est déçue par l’expérience quand elle découvre que le service est perturbé par une grève. Elle part donc à l’aventure dans la capitale française.
Ce film est un petit bijou. Le casting de choc rassemble Catherine Demongeot (Zazie), Philippe Noiret (oncle Gabriel), Vittorio Caprioli Annie Fratellini (Mado) et Jacques Dufilho (Gridoux) notamment. Sous-titres en anglais disponibles.

Les tapisseries de Louis XIV, un trésor à voir au Getty museum

Lorsqu’il accéda au trône, Louis XIV, alors enfant, fit don d’une série de tapisseries médiévales. Une décision qu’il a dû regretter amèrement. Car le Roi Soleil s’est illustré comme un fervent protecteur, héritier et collectionneur de tapisseries, possédant jusqu’à 2 650 pièces à la fin de son règne.
A l’occasion du 300ème anniversaire de sa mort, une série d’expositions et d’installations intitulées « Woven gold » s’installe au J.Paul Getty Museum, à Los Angeles. Du mardi 15 décembre au dimanche 1er mai 2016, le musée accueille une exposition majeure de tapisseries de Louis XIV, première du genre dans l’Ouest américain depuis 40 ans.
Eblouissantes de par la variation des couleurs, la qualité des textiles et la maîtrise du tissage à la main, elles offrent un voyage sous le règne de Louis XIV (1643-1715), qui a fait prospérer cet artisanat.
Un trésor jusqu’alors réservé aux édiles
TAPESTRIES LOUIS XIV GETTY MUSEUM
Au cours de ses 72 années à la tête du royaume, ses tapisseries n’étaient exposées aux yeux du public que lors de la Fête Dieu, afin de démontrer sa puissance et sa richesse. « Elles décoraient les résidences du Roi Soleil. A la Révolution Française, la collection fut en partie brûlée pour récupérer l’or et l’argent, et le reste fut nationalisé. La plupart des pièces sont aujourd’hui conservées par le Mobilier National qui fournit l’Elysée, les Ambassades et les Ministères de l’Etat français. C’est un extraordinaire trésor » , clame Charissa Bremer-David, la conservatrice de « Woven gold ».
Puis, d’un pas de loup, la conservatrice nous ouvre les portes de ce monde fait de lin, de soie et de dorures, reflétant le pouvoir et le goût de Louis XIV. Composée de 33 oeuvres, cette exposition est divisée en trois sections : les acquisitions, les héritages et les commandes de la Couronne.« Toutes les tapisseries ont été tissées à la main à partir de dessins d’artistes de renom, tels que Raphaël, Peter Paul Rubens et Charles Le Brun. »
Une pièce suscite l’admiration dès le premier coup d’oeil. Inspiré d’un épisode du Nouveau Testament, « La pêche miraculeuse » illustre la passion de Louis XIV pour la  Renaissance, et plus particulièrement pour l’artiste Raphaël dont le dessin a inspiré la tapisserie. « La première version était destinée au Vatican. Une autre fut fabriquée pour le Roi d’Angleterre, Charles I, l’oncle de Louis XIV. Le Roi Soleil l’acquis en 1660″ , commente Charissa Bremer-David.
Une exposition retraçant le faste du Roi Soleil
EXPO TAPESTRIES LOUIS XIV GETTY MUSEUM
De près de 18 mètres de hauteur, chaque oeuvre a son histoire, et retrace les heures de gloire de l’Ancien Régime. Sur ces tissus, on retrouve notamment des héros symbolisant la victoire et le courage, tels que le général Scipion, après sa victoire sur Hannibal, ou encore Alexandre le Grand, représenté sur trois tapisseries.
Le musée abrite également d’autres trésors, des esquisses, des peintures et un « cartoon » qui a servi de guide pour la création de la tapisserie à la gloire d’Alexandre le Grand. « C’est un miracle qu’il ait survécu« , assure la conservatrice.
Au travers de l’exposition, c’est toute l’histoire de cet artisanat chronophage et coûteux qui est salué. « C’est sous l’égide du Roi Soleil que furent créées de nombreuses écoles, et la prestigieuse manufacture des Gobelins, destinée à fabriquer des tapisseries royales de grande qualité. Elle est toujours en activité.  » Comme envoûtée par cet univers, Charissa Bremer-David égrène les anecdotes sur la conception, précisant qu’un tisserand habile pouvait produire jusqu’à six mètres carrés de tapisserie par an.« Ils travaillaient côte à côte sur un métier à tisser, et étaient souvent spécialisés dans le tissage de personnages ou d’animaux ou d’architecture. »
Le fil de l’histoire n’est pas coupé
Dans la dernière salle, les visiteurs découvrent deux versions d’une même tapisserie, « Décembre, le Château de Monceaux », dépeignant une chasse au sanglier. « C’est la première fois que la version originale de cette tapisserie voyage hors du Mobilier national », assure la conservatrice. Cette oeuvre fait face à une reproduction plus récente, qui fait partie de la collection du Getty Museum.
Puis, le visiteur revient au XXIe siècle. Une tapisserie contemporaine, intitulée « Diptyque/I », conclut l’exposition. Fabriquée par la manufacture de Beauvais et représentant un écran d’ordinateur, elle suscite la fascination des visiteurs. « Et elle prouve que cet art perdure. »
Pour faire vivre cette exposition, de nombreux événements gratuits sont prévus : des conférences, des démonstrations de tissage, un atelier culinaire… Un livre pour enfants, écrit par Alexandra S.D.Hinrichs et illustré par Renée Graef, a aussi été publié. Les tapisseries royales sont désormais à la portée de tous.

9 adresses où trouver votre bûche de Noël à Miami

Exit la pumpkin pie de Thanksgiving, bonjour la bûche.
Les amateurs du traditionnel dessert de Noël n’auront pas de mal à en trouver à Miami, à condition de s’y prendre à l’avance. Renseignements pris, les réservations sont plus que conseillées, au minimum 48 heures à l’avance. A vous de tester et de nous faire part de vos bons plans bûches de Noël. La plupart des pâtisseries proposent leurs bûches jusqu’en janvier.
9. Atelier Monnier
Les fins gourmets et becs sucrés connaissent l’Atelier Monnier pour ses pâtisseries, chocolats, glaces… Patrick Feyten propose cette année : la “Crunchy ” (chocolat au lait, noisette…), la “Cécile” (chocolat noir, vanille, caramel…) et la “Caramelis” (chocolat au lait, caramel, nougat…). Pour 6 à 9 personnes. 37,95$ chacune. Atelier Monnier, Dadeland Boutique, 305 666 8696 et Brickell Café, 305 456 5016.
8. Chocolate Fashion
Le chef Georges Berger, sacré meilleur ouvrier de France en son temps, met au menu ses bûches “Holiday Sleigh” (croustillant praline, mousse de noisette, abricots et cerises confites…), “Chocolate” (traditionnelle au chocolat noir…), “Pistachio Extravaganza” (pistache, amande, coulis de framboise…), “Clementine Elegance” (mousse de yuzu, clémentines, chocolat noir…), Royal Chesnut Log (mousse chocolat, ganache chocolat…) et “Le Mont Blanc” (meringue vanille, crème de marrons, ganache chocolat…). Si vous préférez les stollen allemands ou panettones italiens faits maison, l’adresse est toujours la même. A noter que des mini-bûches individuelles sont disponibles au chocolat ou à l’orange – Grand Marnier. Pour 8 personnes. 48$ chacune. Chocolate Fashion, Andalusia, 305 461 3200; Alhambra, 786 534 8500 et South Miami, 305 661 7200.
7. Epicure Gourmet Market 
L’Epicure Gourmet Market de Merrick Park a fermé mais ceux de South Beach et Sunny Isles sont toujours présents si vous aviez adoré leur bûche chocolat-vanille l’an passé. Pour 6 personnes. 25$. Passez une commande spéciale si vous souhaitez plus de parts. Epicure Gourmet Market, South Beach, 305 672 1861 et Sunny Isles, 305 947 4581.
6. Café Bonjour
Situé sur la US1, le Café Bonjour prépare ses bûches “Trois chocolats” ou “Chocolat-concorde”. Les possibilités de stockage sont limitées, dépêchez-vous de passer commande. Pour 6 à 8 personnes. 45$ chacune. Cafe Bonjour, South Miami, 305 661 4714.
5. Chez Bon Bon
L’établissement niché au cœur de l’hôtel Fontainebleau, a sélectionné deux bûches cette année. Le chef de Chez Bon Bon vous propose l’ “exotic” et la “chocolate”. Pour 6 à 8 personnes. 24,95$ chacune. Chez Bon Bon, Miami Beach, 305 674 4727.
4. Buena Vista Deli
Buena Vista Deli offre l’un des plus larges choix de desserts traditionnels. A la carte : la chocolat, la café, la nutella, la chocolat au lait et la bûche aux fruits de la passion. Pour 4 à 6 personnes, 26$. Pour 6 à 8 personnes, 34$. Pour 12 à 14 personnes, 68$. Buena Vista Deli, Miami Design District, 305 576 3945.
3. La Provence
La boulangerie vend trois bûches : la Chocolate, la Praline et la Sunshine (une nouveauté à la noix de coco et aux fruits tropicaux). La Provence est très bien implantée à Miami. Impossible de ne pas en avoir une près de chez vous! Pour quatre personnes, 21$. Pour 6 personnes, 31,50$. La Provence, 9 sites à Miami.
2. Paul
La maison lilloise fondée en 1889 possède une boutique sur Lincoln Road. Cinq bûches vous attendent en vitrine : la café à 44,90$, la roulée au chocolat à 44,99$, la framboise à 44,99$, la Chalet noisette à 64,90$ et la bûche abricot. Pour 8 à 10 personnes. Paul, Miami Beach, 305 531 1200.
1. Le Royal French Bakery
Les frères Vedel à la tête de l’enseigne depuis 2000 ont passé la main début décembre. La nouvelle cheffe et propriétaire, Corina, a repris le flambeau et propose également ses bûches chocolat et vanille.
Pour 8 personnes, environ 30$. Le Royal French Bakery, 7370 SW 57th Ave. South Miami, 305 665 6631.
Et pour compléter cette liste, nous ajoutons bien volontiers la cave à vin de Villa Azur, Cave d’Azur, qui propose de précommander votre bûche (chocolat / myrtilles-vanille).

Un shopping de Noël très tech à San Francisco

A San Francisco, Noël sera tech ou ne sera pas. Le French Tech Meetup vous aide à faire votre shopping de Noël en rassemblant plusieurs start-ups et leurs produits lors d’un grand meetup de fin d’année au French Tech Hub, le jeudi 17 décembre.
L’évènement est monté en partenariat avec le French Tech Hub, le consulat de France et l’association French Alumni.
Les start-ups qui avaient répondu “présent” au lundi 14 décembre étaient:
– Triby, un messager connecté pour la famille
– Myfox, une alarme intelligente qui s’active avant le cambriolage
– Prynt, la start-up qui transforme les iPhone en polaroïds
– Helixee, un système de stockage de données
– Homido, un casque de réalité virtuelle
Daylighted, une galerie d’art en ligne
D’autres suivront, selon les organisateurs. Une présentation des participants débutera à 6:15pm. Un networking-buffet, avec foie gras, bûches de Noël et champagne, commencera à 7pm.

Les Rockettes, danseuses sexy et placement de produits

Les Rockettes, leur show de Noël époustouflant, leurs chorégraphies millimétrées et… leur incroyable habileté à faire du placement de produits.
Comme chaque année depuis 1933, la légendaire troupe de danseuses a fait son retour au Radio City Music Hall. Une vraie tradition de Noël à New York, au même rang que l’illumination du sapin du Rockefeller Center ou le concours de pulls moches au bureau. Leur show, le “Radio City Christmas Spectacular” , est une véritable ode à Noel, mais aussi à quelques glorieux sponsors. Ces derniers sont cités en ouverture de spectacle et font leur apparition pendant le show, nichés dans une animation 3D ou dans le décor. La banque Chase, sponsor principal, apparait ainsi dans un Times Square en 3D que survole Santa au début du show, au côté de la compagnie aérienne Delta et de New York Presbyterian. Mais aussi dans le décor d’un grand magasin où deux enfants en quête de cadeaux rencontrent le Père Noël.
Le New York Post ironisait sur ce placement de produit dès 2013, quand une version modernisée du spectacle a été dévoilée. “Il y a tellement de placement de produits pour une certaine banque qu’on s’attend à ce que les Rois-Mages s’arrêtent à un ATM sur le chemin de Bethlehem” .
Mis à part ces quelques incursions commerciales qui nous ramènent sur terre, les Rockettes savent nous faire rêver. Les trente-six danseuses sur scène (quatre ne le sont pas) enchaînent les chorégraphies avec une discipline militaire. Il n’y pas un seul mouvement de bras ou de jambe en trop. Au fil des quatorze scènes, on les retrouve tantôt dans un bus à impériale, déguisées en soldats de bois, en ours en peluche… Les spectateurs apprécieront tout particulièrement le numéro des Soldats de bois, où les danseuses alignées se laissent tomber en arrière.
Les décors aussi valent le détour. On retiendra la montagne de cadeaux qu’escaladent deux frères qui cherchent un cadeau pour leur sœur, mais aussi la reproduction de la crèche de Noël, avec trois dromadaires et des moutons. Des flocons de neige téléguidés survolent aussi le public.
Le show dure une heure trente. Mieux vaut savoir parler un peu anglais pour comprendre les chansons et les dialogues. Mais cela n’est pas nécessaire. Il faut davantage utiliser les yeux que les oreilles pour passer un bon moment. On vous conseille aussi de réviser vos chants de Noël pour éviter d’être complétement largué. Jusqu’au 3 janvier.

Vincent Laforêt expose ses vues du ciel à L.A

Vincent Laforêt, photographe franco-américain, est surtout connu pour ses vues aériennes de New York. Récemment, son « Air project » s’est étendu à la ville de Los Angeles.
En tout, l’artiste un brin mégalomane a survolé 10 villes du monde (Chicago, Las Vegas, Berlin, Londres, Miami, San Francisco, Barcelone, Sydney..) à des hauteurs rarement atteintes en hélicoptère, et parfois suspendu dans vide à l’aide d’un baudrier. Résultats : des photos exceptionnelles, dont les millions de lumières saisies dans la nuit font penser à des circuits électroniques.
Vincent Laforêt, co-récipiendaire du Prix Pulitzer pour sa couverture des événements post 11 septembre, expose jusqu’au 30 janvier à la galerie Fahey/Klein, connue pour présenter les œuvres des plus grands photographes, dont celles du Français Henri Cartier-Bresson.