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L’humoriste belge Véronique Gallo sur scène en Californie

45 ans, divorcée, trois enfants… Dans son nouveau spectacle « Femme de vie », l’humoriste belge Véronique Gallo plante d’entrée de jeu le décor, et rien de va échapper à son humour à la fois féroce et bienveillant : les seins qui tombent, les bourrelets accentués par les jeans taille basse, le jeu de l’amour et surtout du hasard sur Tinder… Et c’est sans compter sur sa mère qui ne manque jamais d’enfoncer le clou en lui rappelant qu’elle est célibataire et que le temps qui passe n’arrange rien à l’affaire, et ses enfants qui lui réclament des mac’n cheese comme souvenirs de son voyage aux États-Unis…

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Véronique Gallo viendra présenter son spectacle aux francophones de Californie le mardi 7 mai à Menlo Park (Guild Theatre, le spectacle est complet, mais on voit souvent des reventes de dernière minute), le mercredi 8 mai à San Francisco (Swedish American Hall, billets), le vendredi 10 mai à San Diego (French American School, billets), et le samedi 11 mai à Los Angeles (Théâtre Raymond Kabbaz, billets).

Ancienne professeure de français, la Liégeoise s’est lancée dans l’écriture de son premier one woman show en 2003, puis est devenue scénariste et romancière. Après le succès de « Vie de mère » et plus de 300 dates en tournée, « Femme de vie » est le dernier spectacle de Véronique Gallo, présenté d’abord aux États-Unis avant d’être joué en Belgique et en France prochainement.

Best Croissant à San Francisco : La liste des boulangeries finalistes

Vous avez été nombreux à voter pour désigner les finalistes de l’édition 2024 du concours du Meilleur Croissant de San Francisco, et nous sommes impatients de vous faire découvrir la liste des boulangeries qui participeront à la finale. Organisée par French Morning, Frenchly, et L’Apéro by FAHGA, elle aura lieu le dimanche 19 mai au Clift Royal Sonesta, devant un jury de professionnels. L’événement affiche déjà complet, avec 300 tickets vendus comme des petits pains, bien sûr, mais vous pouvez vous inscrire sur la liste d’attente ici.

Les meilleures boulangeries viendront présenter leurs viennoiseries et vous pourrez ainsi passer de stand en stand, déguster les croissants et autres délicieuses spécialités, et voter pour décerner le Fan Prize. Nos juges, eux, après avoir goûté tous les croissants à l’aveugle, décerneront le Grand Prix.

Voici la liste tant attendue des dix boulangeries que vous avez choisies, par ordre alphabétique :

Bonjour Bakehouse

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Fondée en 2019, Bonjour Bakehouse est l’un des secrets les mieux gardés de la Bay Area. À sa tête, François Bernaudin est un vétéran de la boulangerie, avec plusieurs années d’expérience à La Boulange à San Francisco, au restaurant Austral de Tokyo, et plus récemment chez Doughbies. Bonjour Bakehouse est spécialisé dans la confection de cookies et de French scones. Le concours du Meilleur Croissant sera peut-être l’occasion de révéler l’étendue de leur talent, d’autant que leurs crookies (le mariage du croissant et du cookie) font fureur. Site.

Craftsman and Wolves

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Depuis son ouverture dans la Mission en 2012, Craftsman and Wolves est considérée comme l’une des pâtisseries les plus innovantes de la Bay Area. Fidèle à son nom, le côté artisan se retrouve à la fois dans le mélange audacieux des saveurs, et la maîtrise des techniques pâtissières, largement inspirées de la France. Rendu célèbre grâce à son Rebel within, un muffin au fromage et à la saucisse, dont le coeur révèle un œuf mollet entier. Site.

Jane the Bakery

Jane the Bakery. © Nicole Seguin Photography

Connue pour sa gamme variée de pains et de viennoiseries, Jane est devenue une des boulangeries préférées des San Franciscains, comme en atteste la longue file de gourmands qui patientent sur Geary boulevard. On peut par ailleurs déguster ses produits dans ses deux cafés, situés sur Fillmore et sur Larkin street. Jane The Bakery a remporté le prix du jury au concours du Meilleur Croissant en 2018. Site

Juniper Cafe

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Nouveau venu depuis 2023 sur Polk street, Juniper peut se vanter d’une lignée prestigieuse. En effet, cette boulangerie a été imaginée par les créateurs de Saint Frank Coffee, et son menu a été imaginé par Andrea Correa, un ancien d’El Bulli. Outre ses viennoiseries, Juniper est connu pour ses choux à la crème, salés ou sucrés. Site.

One65

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Le complexe gastronomique du chef Claude Le Tohic a plus d’une corde à son arc : outre O’, son restaurant étoilé, Elements, son bar chic, le bistro One65, le salon de thé situé au rez de chaussée ne désemplit jamais. Outre des pâtisseries savamment exécutées et des chocolats délicieux, les viennoiseries font souvent l’unaminité auprès des gourmands. Site.

One House Bakery

One house Bakery. © Nicole Seguin Photography

Gagnante du prix du Public (Fan Prize) de la Meilleure Baguette en 2019, cette boulangerie de Benicia est une entreprise familiale. Hanalee Pervan, la fille, a travaillé dans des cuisines prestigieuses, comme celle de The French Laundry. mais rêvait depuis toute petite d’ouvrir sa propre adresse. Grâce à l’aide de Catherine et Peter Pervan – les parents -, c’est un dream come true depuis 2018. Site

Red Bird Bakery

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À Santa Rosa, Red Bird Bakery réinvente son histoire. D’origine tchèque, la famille Cermak prépare quotidiennement ses pains et pâtisseries. Elle propose une large variété de produits, passant de la traditionnelle baguette au pain complet à l’abricot et aux noix. Ces derniers sont vendus en boulangerie, mais aussi sur les marchés et commerces locaux. En 2019, Red Bird Bakery a remporté le concours de la meilleure baguette organisé par French Morning. Réussiront-il un doublé avec le Meilleur Croissant cette année ? A vous et aux professionnels de juger. Site.

St. Regis

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On parle bien de l’hôtel de luxe situé à deux pas du SFMOMA. Il semblerait que nos lecteurs apprécient particulièrement les croissants de l’Astra, le restaurant de l’hôtel. À la tête des équipes pâtisserie du St Regis depuis 2023, le chef Sebastian Huyhua a fait ses armes à Epic Steakhouse, Meadows in Napa, et La Mar à San Francisco et plus récemment Alexander’s Patisserie. Site.

Starter Bakery

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Cette boulangerie de Berkeley existe depuis 2010, mais ce n’est que depuis 2023 qu’elle a ouvert une boutique pour les particuliers sur College Avenue à Oakland. Spécialisée dans le wholesale, Starter Bakery a fait bien des heureux en ajoutant ce nouveau point de vente. On peut également trouver leurs viennoiseries dans de nombreux farmers markets de la East Bay, ainsi que dans plusieurs enseignes locales comme Gus ou Rainbow Grocery. Site.

Thorough Bread and Pastry

Thorough Bread and Pastry. © Nicole Seguin Photography

Véritable institution dans le quartier vibrant du Castro, la boulangerie ouverte par Michel Suas, et reprise par sa fille Juliemarie, propose, depuis plus de 15 ans, toute une gamme de viennoiseries artisanales. Michel Suas, qui a fait ses classes au restaurant étoilé Barrier à Paris, est une figure bien connue du monde de la boulangerie dans la région de la Baie, puisqu’il a fondé en 1996 du prestigieux San Francisco Baking Institute (SFBI). Juliemarie a dignement repris le flambeau, et Thorough Bread a remporté la troisième place du Meilleur croissant 2023 organisé par French Morning. Site

L’édition 2024 du concours du Meilleur Croissant de San Francisco est rendue possible grâce au soutien de notre généreux sponsor, Beurremont.

Slift, ce trio toulousain qui remue la scène rock américaine

C’est l’histoire de trois copains ayant grandi dans un petit village au sud de Toulouse qui sont en train de devenir des musiciens de rock réputés et demandés aux États-Unis. Deux frères, Jean (guitare, chant, claviers) et Rémi Fossat (basse, chant), et leur ami de lycée Canek Flores (batterie) ont fondé le groupe Slift. Leur troisième album, « ILION », est sorti en début d’année sur le label de Seattle Sub Pop, la fameuse maison mère de Nirvana. Et leur tournée américaine à l’automne s’annonce comme un gros carton.

« Il nous tarde !, confie Jean Fossat entre deux concerts sur les routes de France. C’est toujours une aventure de venir aux US ! On y est déjà allé deux fois : on commence presque à avoir l’habitude. » Pour cette troisième escapade sur le continent nord-américain, Slift va passer l’étape supérieure en fréquentant des salles réputées aux quatre coins du pays.

De Los Angeles à Houston en passant par Montreal et New York

Au programme : Los Angeles (Teragram Ballroom le mardi 8 octobre, billets ici); San Francisco (Great American Music Hall le mercredi 9 octobre, billets ici), Portland (Wonder Ballroom le vendredi 11 octobre, billets ici); Vancouver (lieu non encore déterminé le samedi 12 octobre, billets ici), Seattle (The Crocodile le dimanche 13 octobre, billets ici); Chicago (Reggie’s le vendredi 18 octobre, billets ici); Detroit (El Club Detroit le samedi 19 octobre, billets ici); Toronto (Lee’s Parce le dimanche 20 octobre, billets ici); Montreal (Théâtre Fairmount le mardi 22 octobre, billets ici); Boston (Brighton Music Hall le mercredi 23 octobre, billets ici); New York (The Meadows Brooklyn le jeudi 24 octobre, billets ici); Durham, Caroline du Nord (Motorco Music Hall le samedi 26 octobre, billets ici); Atlanta (Terminal West le dimanche 27 octobre, billets ici) et Houston (White Oak Music Hall le mardi 29 octobre, billets ici).

Un marathon en moins de trois semaines. « Il va falloir bien se reposer avant, sourit Jean Fossat. On va faire du foot pour pouvoir tenir le rythme. Le public américain nous a toujours accueilli très chaleureusement, et nous en sommes hyper reconnaissant. » Leur musique est à moitié rock, tendance Jimi Hendrix, moitié psychédélique. « Hendrix est une sorte de figure mythique pour moi, reconnaît le musicien toulousain. C’est le Dieu de l’église électrique ! Il a révolutionné la musique à son époque et je pense qu’il est toujours en avance aujourd’hui. Il a cette façon d’emporter l’auditeur dans un voyage, et en live il se livre à un tout autre jeu. C’est là que tout se passe, et pour nous c’est aussi le cas. On est un groupe live. »

Leur représentation en direct, depuis une chapelle de Rennes lors des Transmusicales en 2020, pour la radio américaine KEXP, les avait fait entrer dans une nouvelle dimension et leur musique avait alors dépassé les frontières de l’Hexagone. Leur univers bien à eux a convaincu Sub Pop, le label mythique de la scène grunge et indie de Seattle, de les signer.

Leur apprentissage de la musique à Toulouse

« C’est un label historique, savoure Jean Fossat. Grâce à Sub Pop, nous allons pouvoir venir aux États-Unis plus souvent. C’est une envie que l’on a eu après la sortie de notre précédent album Ummon : nous voulions un label américain. Chez Sub Pop, ils savent défendre des disques et ils ont fait du super boulot sur ILION, notre nouvel album. Ils sont venus nous voir en concert à Seattle et le courant est bien passé entre nous. Quand tu te penches sur les groupes qu’ils ont sortis, on est honoré d’intégrer ce label, c’est clair ! »

Bien du chemin a été parcouru depuis les premiers pas de ce trio dans le sud-ouest de la France. « On a grandi à la campagne, où il n’y avait pas des masses de concerts de rock, se souvient Jean Fossat. Des potes nous disaient : ‘’il faut que vous bougiez, allez vers le nord !’’. Il se trouve que le nord n’était pas si loin : on s’est installés à Toulouse après le lycée, et c’est là que tout a commencé à bouger pour nous. On allait voir des concerts de psyché, il y avait plein d’associations et d’événements, on sortait beaucoup. » Une route que les trois copains ont empruntée ensemble. « On a rencontré pleins de super musiciens à Toulouse mais on a toujours voulu tout faire tous les trois, explicite le chanteur. Il faut voyager, mais toujours savoir d’où l’on vient. » Une maxime qu’ils vont sûrement beaucoup se répéter sur les routes, et dans les aéroports, des États-Unis.

Les meilleures caves à vin nature à New York

Autrefois réservé à une clientèle caricaturale fan de breuvages « glouglou » au goût de poussière et effluves de poney, le vin nature est aujourd’hui un phénomène qui va au-delà d’une simple mode pour bobo citadin. Qu’appelle-t-on « vin nature » ? « L’écrivaine Alice Feiring, référence en la matière a défini le vin nature comme un vin dans lequel “nothing is added, nothing is taken away” » rappelle Pascaline Lepeltier, sommelière du restaurant Chambers à TriBeca, élue meilleure sommelière de France en 2018 et arrivée quatrième au concours du meilleur sommelier du monde à Paris. 

Ce postulat suffit-il à faire d’un jus un bon vin ? Certainement pas. « Le problème avec le vin nature, c’est qu’il n’y a aucune législation qui l’encadre, souligne Pascaline Lepeltier. Seule une association française, Vin Méthode Nature, s’est dotée d’un véritable cahier des charges validé par les instances officielles françaises avec un logo pour garantir la qualité des breuvages et une véritable démarche éthique de A à Z : vignes bio, récolte à la main, avec des règles précises sur la vinification dont l’utilisation du dioxyde de soufre. »

En effet, certains malins, attirés par le succès marketing de cet OVNI (Objet Viticole Non Identifié), se sont engouffrés dans la brèche et labellisent leur vin « nature » quand ils se contentent d’éviter l’ajout de soufre mais continuent d’utiliser des vignes traitées avec des pesticides ou venant de l’agriculture conventionnelle. « Pour faire la différence entre un vigneron soucieux de partager son terroir d’une démarche purement commerciale, il faut se renseigner en amont de l’achat. Il y a de nombreux ouvrages sur la question comme ceux de Isabelle Legeron et Aaron Ayscough. Également la newsletter et les livres d’Alice Feiring et l’application Raisin », précise la sommelière. Autre solution ? Faire confiance à un caviste. « Son expertise est essentielle. En voyage, je suis mon intuition, je regarde les étiquettes sur les rayons, elles sont souvent plus originales que les bouteilles proposées dans des caves classiques. Il faut poser des questions, voir si la personne connaît l’histoire derrière les flacons. Et surtout un bon caviste nature ne fait que du nature ! », explique Zev Rovine de Zev Rovine Sélections, importateur de vins natures aux États-Unis. 

Wine Therapy à Soho

La boutique Wine Therapy à Manhattan. © Géraldine Bordère

La boutique sur laquelle nos experts sont unanimes. Une cave qui donne soif, menée goulot battant depuis 2005 par le Français Jean-Baptiste Humbert qui propose une sélection éclectique de petits producteurs engagés. « En ce moment, j’ai environ 1200 références, 80% en vin nature. Comment je les sélectionne ? En goûtant ! Beaucoup. Je ne suis pas un extrémiste du vin nature, c’est-à-dire que je m’attache à ce qu’il y ait une vraie démarche écologique mais si un jus me plaît et qu’il y a une dose acceptable de sulfites, j’y vais quand même »

On opte pour : un vin d’Autriche, Maria & Sepp Muster Erde 2021, 88,99$. Wine Therapy, 171 Elizabeth St, New York – (212) 625-2999

Discovery Wines à East Village

« Le plus important pour moi dans une boutique ? L’expérience d’achat, explique Vladimir Ocokoljic-Coja, propriétaire du restaurant Kafana qui fut l’un des premiers à mettre du vin nature à sa carte. Je préfère qu’il y ait peu sur les étagères et que la personne aux commandes me raconte l’histoire des vignerons, qu’il s’intéresse à mes goûts et me fasse découvrir quelque chose ». Bingo ! C’est le cas chez Discovery Wines. « Ils ont l’une des sélections de vin du Jura la plus importante. Et quand on aime le vin nature, on sait que c’est là-bas que tout se passe en ce moment », confirme Ryan du compte Instagram @SuperVinoBros.

On opte pour : un Bourgogne aligoté, domaine François Mikulski, 48,60$ ou un Chardonnay Domaine Tissot “Patchwork”, 44$. Discovery Wines, 16 Avenue B, New York – (212) 674-7833

Chambers Street Wines à Tribeca

« C’est une cave pionnière engagée dans cette mouvance avec une équipe qui va régulièrement à la rencontre des producteurs. Ils ont donc une réelle connaissance de terrain et pratiquent de très bon tarifs. Ce que j’aime bien avec eux également, c’est qu’ils prennent des risques, ils importent eux-mêmes des vins qui ne sont pas encore présents aux États-Unis. On y trouve des vins uniques », affirme Pascaline Lepeltier.

On opte pour : le champagne nature André Beaufort Réserve Brut, 55,99$. Chambers Street Wines, 79 Chambers Street, New York

Stranger Wine & Spirits à Williamsburg

Andrew Tarlow, restaurateur à Brooklyn, et Dennis « DJ » McNany, musicien et amateur de vin naturel, se sont associés pour créer Stranger Wines, une boutique de vins naturels et biologiques au cœur de Williamsburg. Ils prennent soin de sélectionner des vins auprès de petits producteurs durables du monde entier, offrant une sélection toujours évolutive et intéressante.

On opte pour : un PetNat Rosé, Anders Frederik Steen, 38$. Stranger Wine & Spirits, 132 Havemeyer St, Brooklyn – (718) 337-8035

Henry’s Wine and Spirit à Bushwick

La cave Henry’s à Brooklyn. © Henrys

Une véritable caverne d’Ali Jaja dans laquelle Henry Glucroft officie depuis 2013. « J’ai ouvert après avoir constaté qu’il y avait un vrai manque dans le quartier, dit-il. Mon idée c’était de proposer uniquement des vins et sprititueux natures de petites productions, des choses que vous ne pouvez pas trouver ailleurs ». Zev Rovine confirme : « Il y a ici des pépites du Jura, une région extrêmement dynamique ces dernieères années en vin nature avec des artisans vignerons exceptionnels comme Alice Bouvot ».

On opte pour : Côtes de Roussillon, Fernand Vaquer (1985) à 69$ ou Domaine de L’octavin, Le Roi des Cépages (2021), 54,99$ . Henry, 69 Central Ave, Brooklyn – (347) 435-0070

Vinyl Wine UES

La boutique-cave Vinyl Wine à Manhattan. © Géraldine Bordère

À mi-chemin entre la cave à vins et la boutique de disques vintage, Vinyl multiplie les bonnes ondes pour vous en mettre plein les sens. C’est aussi l’un des shops préférés des frères du compte @SuperVinoBros. « C’est vraiment la boutique hidden gem du quartier. Le propriétaire a un goût sûr même si sa sélection est plutôt modeste. Je lui fais confiance les yeux fermés quand j’y vais. »

On opte pour : Un Riesling, Stein ‘Palmberg’ Kabinett Trocken Alte Reben, 49,99$. Vinyl Wine, 1491 Lexington Ave, New York.

Emeric Le Bars : Comment j’ai obtenu un visa O1 pour vivre mon rêve américain

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Depuis son adolescence, Emeric Le Bars rêve de découvrir les États-Unis, plus spécifiquement la ville de New York qui représente l’Amérique des films et des jeux vidéo : une architecture, une industrie du cinéma, la ville de tous les possibles. S’il parvient à ses fins et part quelques jours en séjour linguistique dans la ville qui ne dort jamais, lorsqu’il se met en tête de faire son stage de fin d’études aux États-Unis, les choses se compliquent. L’étudiant en communication élargit alors son champ de recherche vers LA ville du film : Los Angeles.

Aujourd’hui dans French Expat, je vous invite à découvrir l’histoire de ce jeune homme déterminé à faire sa place dans un secteur hautement compétitif, celle du film et de la photographie, aux États-Unis. Emeric revient avec lucidité sur son parcours en Californie, en Géorgie, puis plus récemment à Denver, là où je l’ai rencontré il y a quelques mois. Comment a-t-il pu rester travailler au pays de l’Oncle Sam ? Qu’est-ce qu’un visa O1 (exceptionnal abilities), aussi connu sous le nom de “visa talent” ? La carte verte (titre de résident permanent américain) est-elle vraiment plus simple à obtenir avec ce visa ?

Après avoir enseigné la photographie timelapse pendant plusieurs années, Emeric s’est découvert une passion il y a environ un an pour les phénomènes météorologiques extrêmes, des phénomènes qu’il suit et capture armé de tout un tas d’appareils en tous genres. C’est d’ailleurs ce qui l’a conduit à s’installer dans le Colorado, non loin de la Tornado Valley.

Retrouvez Emeric sur YouTube pour découvrir son travail en photographie timelapse ou pour suivre son quotidien aux Etats-Unis.

French Expat est un podcast de French Morning qui raconte les parcours de vie des Français établis hors de France. Retrouvez-le sur toutes les plateformes d’écoute : SpotifyApple PodcastDeezerGoogle PodcastPodcast AddictAmazon Music. Cet épisode est raconté, produit et réalisé par Anne-Fleur Andrle, habillé et mixé par Alice Krief.

[Vidéo] Devenir Américain: Ce que vous devez savoir sur la nationalité et les implications fiscales

Nous vous donnions rendez-vous le 23 avril 2024 pour un webinaire gratuit d’une heure, traitant de la nationalité américaine et de ses implications fiscales.

Au programme:
• Du visa à la Green Card : Un guide détaillé des visas disponibles pour les Français souhaitant vivre, travailler ou étudier aux États-Unis.

• Gestion des implications fiscales : Quelles sont les obligations fiscales en tant que détenteur de visa, de Green Card et de la nationalité américaine ?

• La nationalité américaine expliquée : Découvrez les critères et le processus pour obtenir la nationalité américaine en tant que Français(e)

• Rendre son passeport et sa nationalité : Les démarches pour renoncer à la nationalité américaine et les implications fiscales lors du retour en France

• Questions/Réponses en direct : Une session interactive pour répondre à toutes vos questions sur la nationalité américaine.

Visionnez le replay ci-dessous ou directement sur notre page YouTube

Avec :
Olivier Sureau, CPA
Olivier Sureau est co-fondateur de JADE FIDUCIAL, société de comptabilité et fiscalité pour les entreprises et particuliers français et américains basés aux États-Unis, au Brésil, en Argentine et depuis la France. 
? [email protected]

Paola Usquelis, Esq.
Paola est avocate depuis 24 ans, spécialisée en droit de l’immigration et en responsabilité civile.
? Prendre rendez-vous: https://calendly.com/p-usquelis/30min?back=1&month=2024-05&date=2024-04-29

Olivier Giroud à Los Angeles, une nouvelle star française dans le championnat américain de foot

Va-t-on parler français sur les terrains de foot de la MLS, le championnat nord-américain de soccer ? La question se pose après la signature d’une nouvelle star tricolore de ce côté-ci de l’Atlantique : l’avant-centre de l’équipe de France, Olivier Giroud, s’est en effet engagé cette semaine avec le Los Angeles FC pour une durée de 18 mois (et une autre année en option). Il fait suite à la venue d’un autre Bleu, Hugo Lloris, dans la même équipe de la Cité des Anges, il y a quelques mois. Une dizaine d’autres footballeurs, plus anonymes, font aussi le bonheur des autres formations du championnat. Et l’entraîneur dont tout le monde parle, champion l’an dernier avec Columbus Crew, est lui aussi français : il s’agit de Wilfried Nancy.

Olivier Giroud rejoindra le club de Californie à la fin de son contrat avec le Milan AC (Italie) où il évolue actuellement, c’est-à-dire cet été, probablement après l’Euro en Allemagne (du 14 juin au 14 juillet) pour lequel il devrait être retenu par Didier Deschamps. Il ne pourra donc pas être sélectionné avec l’équipe de France pour les Jeux olympiques de Paris 2024, une option un temps envisagée. Il débutera avec ses nouveaux coéquipiers du Los Angeles FC dans le courant du mois d’août ou début septembre, un peu à la manière de ce qu’avait choisi Lionel Messi il y a quelques mois avec Miami, à l’issue de son aventure avec le Paris Saint-Germain.

Meilleur buteur devant Henry, Mbappé, Griezmann et Platini !

Pour Los Angeles, c’est une nouvelle grosse prise parmi le football international. Olivier Giroud est en effet le meilleur buteur de l’histoire de l’équipe de France. Avec 57 buts en 131 sélections, il devance d’autres légendes de ce jeu, comme Thierry Henry (51 buts), Antoine Griezmann (44) et Michel Platini (41). Même si Kylian Mbappé, intercalé dans ce classement (46 buts), lui ravira à coup sûr la première place dans les années à venir, Olivier Giroud a d’ores et déjà marqué l’histoire du sport français, en devenant notamment champion du monde en 2018 avec les Bleus.

L’avant-centre français avait depuis longtemps clamé son envie de venir jouer aux États-Unis. À 37 ans, il a estimé que l’essentiel de sa carrière professionnelle était derrière lui et qu’il était temps de visiter un quatrième pays, après la France (Grenoble, Istres, Tours et Montpellier), l’Angleterre (Arsenal, Cheslea) et l’Italie (Milan). Il a dû pour cela consentir à quelques efforts financiers. La MLS n’a pas les mêmes moyens que le football européen, et obéit en plus à des règles différentes : comme dans la plupart des autres sports américains, le salary cap interdit aux clubs de dépasser un certain montant de masse salariale. La MLS a toutefois introduit des exceptions, dont va profiter Olivier Giroud : il va signer un contrat de designated player, ce qui lui permet d’être rémunéré au-dessus du montant maximum. C’est-à-dire autour de 3 millions d’euros par an.

C’est aussi un projet de vie pour le footballeur français, père de quatre enfants qui vont pouvoir s’épanouir sous le soleil de Californie. Lui et sa famille ne seront pas totalement dépaysés : en rejoignant Hugo Lloris, ils retrouvent un proche, un ancien voisin, du temps où ils évoluaient dans des clubs concurrents mais dans la même ville, Londres (Lloris était à Tottenham). Assurément, on va un peu plus parler français sur les terrains de la MLS.

Welcome to Earth, l’ode à la Terre du photographe Jérémy de Backer au Sofitel de NY

Vous n’avez certainement jamais vu la Terre comme cela : le photographe français Jérémy de Backer invite à la réflexion grâce à ses images très recherchées, pleines de contrastes. Ses photographies prennent place dans des lieux d’apparence lunaire… mais bel et bien terrestres.

Exposition du photographe Jérémy de Backer au Sofitel. © Jérémy de Backer

Son exposition « Welcome to Earth » (« Bienvenue sur Terre ») est à voir à l’hôtel Sofitel New York (45 W 44th St) jusqu’à la mi-juin.

Le Terronaute. © Jeremy de Backer

Son but ? « Aimer davantage la Terre qui nous abrite » précise le photographe dans la présentation de son exposition, mettre en lumière le rapport entre l’Homme et son habitat, via une ode à la planète bleue et à travers la présence d’un personnage : Le « Terronaute », déclinaison visuelle de l’astronaute.

L’exposition vient souligner le Earth Month, série d’événements qui prend place chaque année en avril pour éveiller les consciences environnementales, et est promue par G&O Art, la société bien implantée dans le monde de l’art contemporain à New York et d’ailleurs, du duo Odile Gorse et Ghenadie Burlacu.

Odile Gorse et Ghenadie Burlacu, les fondateurs de l’agence G & O ART à New York. © G & O ART

Voir vieillir ses parents restés en France, l’inquiétude invisible des expatriés

C’est la hantise de tous les expatriés : recevoir le coup de fil annonciateur d’une mauvaise nouvelle, devoir sauter dans un avion pour accourir au chevet d’un parent malade, ou pire, ne pas pouvoir lui dire adieu avant ses derniers instants… Partir vivre à des milliers de kilomètres de sa famille, c’est prendre conscience, plus tôt que les autres, que nos êtres chers ne sont pas éternels.

Et même quand tout va bien, l’inquiétude n’est jamais loin. Le sentiment de passer à côté de leurs dernières années, la peur de les priver de leurs petits-enfants, les coups de fil et les voyages qui deviennent plus difficiles avec l’âge… Pour French Morning, des expatriés racontent comment ils ont vécu l’avancée en âge de leurs parents, depuis les États-Unis.

La culpabilité de partir

Le dilemme peut se poser avant même le départ. Férue de voyages et d’aventures, Marie, 33 ans, originaire de Normandie, a rejoint son mari américain en 2018 au Texas, après avoir longtemps pesé sa décision. « Je savais que je faisais un choix grave, car ma maman était atteinte d’un cancer. J’étais déjà partie 2 ans en tour du monde avec une amie, et je lui avais promis que je ne repartirai plus. C’est elle qui m’a encouragée, en me disant que j’allais le regretter si je ne partais pas » se souvient la jeune femme, aujourd’hui maman de deux enfants, dans le Colorado.

De même, quand Céline, 43 ans, a accepté de suivre son mari à San Diego, en 2019, la perspective de laisser ses parents âgés faisait partie de ses « freins ». Raison pour laquelle cette maman de 3 enfants ne transige pas sur le retour en France, « au moins deux fois par an », pour visiter parents et grands-parents. Et tant pis si chaque voyage ressemble à un marathon. « On pourrait visiter le Canada, toute l’Amérique du Sud et le Mexique, et au lieu de ça, on va deux fois par an à Charleville et Poitiers » plaisante-elle.

« Je me dis régulièrement que l’on s’est expatriés au pire moment, confie Céline avec franchise. Si on l’avait fait à 25 ans, nos parents seraient venus nous voir plus souvent. Si on l’avait fait dans 10 ans, ils n’auraient plus été là. Là, on est partis pile au moment où ils commencent tous à avoir des problèmes de santé. » Car ces dernières années, c’est seule et en urgence qu’elle a dû s’envoler pour la France, à plusieurs reprises, afin de se rendre au chevet de son père, malade.

« Seuls les expats peuvent comprendre »

Quand on vit loin et qu’une alerte grave arrive de France, le tourbillon émotionnel et logistique se déclenche. Un parent est hospitalisé et il faut d’urgence laisser conjoint et enfants, sauter dans un avion pour se rendre à ses côtés. Parfois sans savoir si cette visite sera ou non la dernière. C’est ce qu’a vécu Marie, à l’automne 2020, peu avant le décès de sa mère, en pleine pandémie.

« Nous avons exceptionnellement été autorisés à rentrer en France en faisant faire un passeport en urgence à mon bébé, et grâce à une lettre du médecin de ma mère. J’avais une mission : c’était de lui dire au revoir, témoigne la jeune femme. Je suis restée deux semaines, et elle est décédée trois mois plus tard, alors que j’étais rentrée aux États-Unis. Pour mes proches, c’était difficile de me voir dire adieu à quelqu’un qui n’était pas encore parti. Ma sœur me disait : “Mais tu vas la revoir, ça va aller.” Seuls les expats peuvent comprendre », estime Marie.

Une épreuve proche de celle qu’a traversée Céline. En octobre dernier, elle s’est envolée en urgence au chevet de son père, avant qu’il ne meure… Trois jours après son retour aux États-Unis. « J’ai passé dix jours à son chevet, c’était bien, se remémore-t-elle. Mais il perdait la mémoire depuis déjà longtemps. Il était à peine conscient. Je ne sais pas s’il a remarqué que j’étais là ou pas. Finalement, je l’ai fait surtout pour moi. Dans ces moments-là, on se sent bête quand on est à 24 heures et 2000$ de voyage… Heureusement, mon mari était à 100% derrière moi. »

L’éloignement crée de la distance

Face à la maladie d’un proche, les expatriés ressentent souvent culpabilité et impuissance. Pour Céline, les mois qui ont précédé le décès de son père ont été particulièrement éprouvants. « Au téléphone, ma maman était épuisée, et je me sentais d’une totale inutilité… J’ai essayé de lui proposer de l’aider financièrement, pour qu’elle puisse se reposer pendant que quelqu’un se serait occupé de mon père, mais elle n’a pas accepté », confie la jeune femme.

Et même quand les parents et grands-parents vieillissent sereinement, avec l’âge, le lien peut se distendre, malgré nos efforts. « Même si je reviens très régulièrement en France pour le travail, j’ai l’impression qu’en étant loin, je perds des événements de vie, et ça crée de la distance dans la relation avec mes parents. Nous avons moins de choses à partager, d’autant que maintenant, ils ne viennent plus aux États-Unis, c’est trop loin pour eux » constate Stéphanie, qui vit en Californie avec son mari et ses deux enfants depuis 6 ans et demi.

Alors comment gérer ce tiraillement ? Depuis le décès de sa mère, Marie a appris à lâcher prise, en profitant à fond de ses retours en France, où elle pose désormais ses valises chez sa grand-mère adorée. « Pendant longtemps, j’ai essayé de rattraper le temps perdu et cela générait de la frustration. Maintenant, je n’essaie plus de rattraper les événements que j’ai loupés, mais de vivre dans le présent. Je rentre pour profiter des gens qui sont là et des moments qui viennent », affirme-t-elle.

De son côté, Céline accepte avec magnanimité cette tension entre la France et les États-Unis. « Cela fait partie du package de l’expatriation, reconnaît-elle. Maintenant, notre projet est tourné vers les enfants, et plus vers les parents, même si les voyages en France continuent à donner la forme de notre agenda annuel. » Un choix qu’elle ne regrette pas, au regard de leur « qualité de vie incroyable » en Californie : « Quand je vois mes enfants, heureux, bilingues, épanouis, je me dis qu’on ne s’est pas trompés. »

Publié le 21 avril 2024. Mis à jour le 24 avril 2024.

SFIFF: « Sidonie au Japon » avec Isabelle Huppert en séance unique à San Francisco

Dans le dernier film d’Elise Girard, Isabelle Huppert incarne Sidonie Perceval, une écrivaine à succès qui décide de sortir de sa retraite littéraire à l’occasion de la publication de son best seller au Japon. Elle part donc faire la promotion de son livre au pays du Soleil levant.

Son éditeur japonais, Kenzo, accompagne Sidonie à la découverte des mystères du Japon. Outre la langue et les coutumes, Sidonie découvre un autre aspect qui contribue à son dépaysement : les fantômes très présents dans la vie quotidienne des Japonais. Elle commence à en faire elle-même l’expérience lorsqu’Antoine, son défunt mari, ressurgit du passé et l’accompagne dans son périple. Mais peu à peu, Sidonie tombe sous le charme de Kenzo, et un homme doit s’effacer pour faire place à l’autre.

« Sidonie au Japon » sera projeté en séance unique le vendredi 26 avril dans le cadre du 67e San Francisco International Film Festival (SFIFF), qui se déroule du mercredi 24 au dimanche 28 avril, à San Francisco et à Berkeley.

« Retour en France », le salon en ligne pour préparer votre retour d’expatriation

Le salon en ligne “Retour en France” revient en 2024 pour répondre à tous vos questionnements concernant l’impatriation, le retour au pays après une expatriation.

4 conférences vous seront proposées pour aborder les grands thèmes relatifs au retour en France.

Au programme :

La checklist du retour en France : ce qu’il faut préparer avant de rentrer
Lundi 13 mai 2024 à 12pm ET · 11 am CT · 9am PT · 17h à Londres · 18h en France
? REPLAY ICI
? Avec Margot Vappereau, fondatrice de Expatez-vous! Prise de rendez-vous ici.

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Calcul de la retraite au retour des États-Unis
Mardi 14 mai 2024 à 6pm ET · 5pm CT · 3pm PT · 23h à Londres · minuit en France
? REPLAY ICI
Avec:
? Alexandre Quantin, MBA, RICP®, Wealth Management Advisor & Partner chez USAFrance Financials. Avec plus de 10 ans d’expérience en gestion patrimoniale pour les Français aux États-Unis, Alexandre Quantin fait partie de la liste Forbes des meilleurs professionnels de la finance en 2023. Prendre rendez-vous ici.
? Philippe Plantadi, consultant en droits de retraite France-étranger chez Novelvy Retraite. Prendre rendez-vous ici.
? Jean-Philippe Saurat, expert-comptable, associé du cabinet Massat Consulting Group. Prendre rendez-vous ici.

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Patrimoine et fiscalité au retour des États-Unis
Mercredi 15 mai 2024 à 12pm ET · 11 am CT · 9am PT · 17h à Londres · 18h en France
? REPLAY ICI
Avec:
? Alexandre Quantin, MBA, RICP®, Wealth Management Advisor & Partner chez USAFrance Financials. Prendre rendez-vous ici.
? Jean-Christophe Boidin, conseiller en gestion de patrimoine depuis plus de 30 ans, associé du Groupe Sarro. Prendre rendez-vous ici.
Jean-Philippe Saurat, expert-comptable, associé du cabinet Massat Consulting Group. Prendre rendez-vous ici.

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Investir dans l’immobilier en France: conseils de professionnels pour faire le bon choix
Jeudi 16 mai 2024 à 12pm ET · 11 am CT · 9am PT · 17h à Londres · 18h en France
? REPLAY ICI
Avec:
Manuel Ravier, co-fondateur d’Investissement Locatif. Infos et contact ici.
?Jeevanthy Nivert, courtier en prêt immobilier pour les expatriés chez Société 2 Courtage. Infos et contact ici.

Ces webconférences vous ont été proposées gratuitement dans le cadre du salon digital “Retour en France”, organisé par French Morning, le 1er groupe média des Français expatriés aux États-Unis. Bénéficiez d’un mois offert sur votre abonnement annuel avec le code REF24.

[Vidéo] L’assurance santé pour les Français aux États-Unis: faire le bon choix

Nous vous donnions rendez le mardi 30 avril 2024 pour un webinaire dédié à l’assurance santé aux États-Unis, en compagnie de trois experts.

Bénéficiez de leurs explications pour bien comprendre le fonctionnement du système de santé aux États-Unis, et de leurs conseils pour optimiser les coûts de votre protection santé.

Nous avons abordé les spécificités du marché américain, les différents types de couverture santé proposés, ainsi que le lexique de l’assurance santé américaine (notions de “market place”, “deductibles”, “co-payment”, “co-insurance” et “out of pocket”).

Nous avons également parlé de la CFE (Caisse des Français de l’Etranger) et de son fonctionnement.

Le but est de vous aider à vous orienter sur les choix importants à effectuer lors de la sélection de la solution d’assurance santé à privilégier, selon votre situation personnelle, tout en prenant en compte la réglementation en vigueur, les obligations spécifiques et le coût de l’assurance santé.

Visionnez le replay ci-dessous ou directement sur Youtube

?Avec Eric Thoby, Noémie Vermandel et Clémence Joppin de Agoraexpat

? [email protected]

? FR : +33 (0)9 77 21 99 60 – USA : +1 (347) 491-4190