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Laurent Cantet présente "Retour à Ithaque" à Miami

Le réalisateur Laurent Cantet, lauréat de la Palme d’or du festival de Cannes en 2008 pour son film “Entre les murs”, viendra présenter son dernier film, “Retour à Ithaque” (“Return to Ithaca”) à Miami – une première aux États-Unis – le vendredi 13 novembre au Coral Gables Art Cinema.
Sur une terrasse de la Havane cinq amis se retrouvent pour célébrer le retour d’Amedeo, exilé depuis 16 ans de Cuba. Du crépuscule à l’aube, ils évoquent leur jeunesse, la bande qu’ils formaient alors, la foi dans l’avenir qui les animait … mais aussi leurs désillusions d’aujourd’hui.
Le film sera projeté deux fois vendredi 13 novembre, à 7pm et 10pm. Chacune des séances seront suivies de questions réponses avec Laurent Cantet ainsi que son co-scénariste Leonardo Padura et l’acteur Fernando Hechevarria. Laurent Cantet animera aussi une masterclass le samedi 14 novembre à 1pm lors du Miami Film Development Project.
Le film sera projeté en espagnol avec des sous-titres anglais.

La "vie rêvée" de Michel Boujenah à New York en décembre

New York va bien rire. L’humoriste Michel Boujenah vient présenter son spectacle « Ma vie rêvée », le 9 décembre. Les tickets sont en vente.
Une autobiographie ? Pas vraiment. « C’est d’un narcissisme absolu ! Une autobiographie mensongère, ça, c’est rigolo ! » raconte-t-il au Télégramme. Réalité ou imagination, le one-man-show du Français connait déjà un beau succès dans l’Hexagone depuis 2013. Remarqué dans le film de Coline Serreau en 1984, « Trois hommes et un Couffin », il jongle depuis entre théâtre, grand écran et one-man-shows.

JR (ou plutôt son film) à Orlando

Le 12 novembre. Pour les fans de l’artiste JR, c’est une date à marquer d’une pierre blanche. Son premier film, “Ellis”, sera projeté au SNAP! Space d’Orlando.
Ce court-métrage, dans lequel joue Robert De Niro, a fait ses débuts américains au TriBeCa Film Festival, un rendez-vous fondé par… Robert De Niro. Il replonge dans l’histoire de la petite île au sud de Manhattan, qui servait de triage pour les immigrés arrivant à New York, à travers le parcours d’un de ces exilés. Il se déroule dans le complexe hospitalier d’Ellis Island et montre notamment les visages d’immigrés que JR y a installé. JR a assuré la réalisation de ce petit bijou et l’oscarisé Eric Roth le scénario.
Projection gratuite.

Kev Adams rencontre ses fans à Miami

Lunettes sombres sur le nez, Kev Adams est entré dans la salle de projection du Tower Theater un brin gêné après la diffusion de son film “Les nouvelles aventures d’Aladin”, dimanche 8 novembre, au festival France Cinema Floride 2015. Il a tout de suite mis le public à l’aise. Non, il ne se la “ joue pas star à Hollywood”, il a juste une énorme conjonctivite qui boursoufle ses paupières. Arrivé la veille de Prague, le soleil de Miami aura été sans pitié.
Passées les présentations, il a déclaré à une assistance déjà acquise qu’il projetait pour la première fois son nouveau film en dehors d’Europe. Il faudra compter sur les festivals de cinéma du pays pour le visionner car il n’est pas prévu qu’il soit distribué dans les salles américaines.
Un show en anglais
Interrogé à l’issue de la projection sur une possible tournée américaine de son nouveau spectacle “Tout est possible” en duo avec Gad Elmaleh, Kev Adams a déçu ses fans. “Venir jouer à Miami avec Gad serait super mais vous devriez plutôt prendre des billets pour l’une des 50 dates qu’on fera à Paris si vous voulez nous voir sur scène… En revanche, j’ai bien en projet un show en anglais que j’aimerais mettre en route d’ici deux ans. C’est un réel objectif pour moi.
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Après les questions du public, Kev Adams a pris un mini bain de foule, multipliant les photos avec les enfants, parents et adolescents présents dans la salle. Son acolyte William Lebghil n’a pas été en reste, récoltant quelques compliments appuyés de spectatrices visiblement tombées sous le charme de l’acteur.
Le prochain film de Kev Adams, “Ami public”, sort en France en février. Les amateurs de comédie légère repasseront. Il campe le personnage d’un jeune de 20 ans dont le petit frère atteint d’un cancer incurable rêve de commettre un braquage de banque. Prêt à tout pour exaucer son dernier souhait, il va monter un vrai faux hold up. On ne doute pas un seul instant que la pellicule réservera des situations propices au rire, surtout s’il ose le brushing ultra lissant digne d’une pub pour shampoing qu’il a arboré pour Aladin!

Gad Elmaleh repasse à Los Angeles en mars 2016

Gad Elmaleh l’a dit et redit : à partir de maintenant, tous ses shows aux Etats-Unis seront en anglais.   L’humoriste sera à Los Angeles ce dimanche 15 novembre… Et c’est complet depuis belle lurette. Mais si vous n’avez pas eu de places, vous pouvez vous consoler : il reviendra sur la scène du Largo le 1er mars 2016, et ce n’est pas (encore) complet.
Depuis septembre, “Gad” se produit un peu partout en anglais aux Etats-Unis, et monte sur scène parfois incognito. French Morning l’a croisé au Fun Fun Fun Fest d’Austin, où il présentait son spectacle devant un public qui ne le connaissait pas du tout. L’humoriste y a enchainé des blagues sur les différences entre les cultures française et américaine en matière de lutte contre le terrorisme, de vacances ou encore d’amour. Beau succès.
Pour Los Angeles, vous pouvez acheter vos tickets ici. Pour les autres dates de sa tournée (San Diego, Minneapolis, Philadelphie, Burlington…), c’est ici. 

Michel Boujenah et sa "vie rêvée" à Miami Beach

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Miami Beach va bien rire. L’humoriste Michel Boujenah vient présenter son spectacle « Ma vie rêvée » au Fillmore le 1er décembre. Les tickets sont en vente.
Une autobiographie ? Pas vraiment. « C’est d’un narcissisme absolu ! Une autobiographie mensongère, ça, c’est rigolo ! » raconte-t-il au Télégramme. Réalité ou imagination, le one-man-show du Français connait déjà un beau succès dans l’Hexagone depuis 2013. Remarqué dans le film de Coline Serreau en 1984, « Trois hommes et un Couffin », il jongle depuis entre théâtre, grand écran et one-man-shows.

Michel Boujenah raconte sa "vie rêvée" à Los Angeles

Los Angeles va bien rire. L’humoriste Michel Boujenah vient présenter son spectacle « Ma vie rêvée », le 1er décembre. Les tickets sont en vente.
Une autobiographie ? Pas vraiment. « C’est d’un narcissisme absolu ! Une autobiographie mensongère, ça, c’est rigolo ! » raconte-t-il au Télégramme. Réalité ou imagination, le one-man-show du Français connait déjà un beau succès dans l’Hexagone depuis 2013. Remarqué dans le film de Coline Serreau en 1984, « Trois hommes et un Couffin », il jongle depuis entre théâtre, grand écran et one-man-shows.

Patrick Vieira devient entraîneur à New York

Après Djorkaeff et Henry, un autre Français vient prêter main forte au soccer new-yorkais. Et pas n’importe lequel. Patrick Vieira vient d’être recruté comme coach principal du New York City FC, a annoncé le club, lundi, dans un communiqué. Durée de son contrat: trois ans.
L’ex-capitaine des Bleus officiait jusqu’à présent comme coach de l’Elite Development Squad de Manchester City FC, une équipe composée essentiellement de joueurs de moins de 21 ans qui servait de réserve. Comme l’équipe de Premier League britannique, le New York City FC appartient au groupe Abu Dhabi United Group, qui investit dans plusieurs secteurs dont le football.
Pour sa première saison en MLS, le New York City FC a terminé en 8eme place de la conférence-Est avec 37 points, malgré plusieurs joueurs de renom comme l’Italien Andrea Pirlo, le Britannique Frank Lampard et l’Espagnol David Villa. Patrick Vieira sera à New York dès le mardi 10 novembre pour rencontrer l’équipe et s’entretenir avec le directeur sportif et l’entraineur des gardiens.
 

Demander ou ne pas demander la carte d'identité de New York ?

Cela vous a peut-être échappé : cette année, la mairie de New York a lancé une nouvelle carte d’identité pour les résidents de New York, la IDNYC.
Cette carte, lancée à l’origine pour permettre aux personnes sans passeport américain d’accéder à certains services publics, est en réalité destinée à tous les New-Yorkais, et octroie divers avantages. Si vous avez quelques minutes à y consacrer, cela en vaut la chandelle.
A quoi ça sert ? 
A prouver votre identité, et à ne pas vous trimbaler partout avec votre passeport. Cette carte pourra donc vous servir à entrer dans un bar, dans un bâtiment, une école, ou si la NYPD vous contrôle. Ca, c’est la base.
Plus intéressant : la IDNYC vous donne accès à douze institutions financières, où vous pourrez ouvrir un compte chèque ou demander une carte de crédit. Et ce, sans numéro de Sécurité Sociale. Bien utile si vous venez d’arriver, ou si vous n’avez pas de visa ou de green card. 
Si vous n’avez pas d’assurance santé, la carte vous permet aussi d’entrer gratuitement dans le réseau BigAppleRx, et d’obtenir ainsi des rabais sur les médicaments   (jusqu’à -50%) dans 2 000 pharmacies à New York. Aucune information personnelle n’est demandée.
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Je ne me sens pas concerné par cela. A quoi peut-elle me servir d’autre ? 
A faire pas mal d’économies. Le maire de New York a annoncé que les titulaires de la carte peuvent obtenir une année de membership gratuit dans un paquet d’institutions culturelles. Cette offre est valable jusqu’au 31 décembre.
Concrètement, vous pouvez par exemple obtenir un an d’accès gratuit dans les zoo du Bronx, de Prospect Park ou de Central Park, au New York aquarium, au Brooklyn Children’s Museum, au Museum d’histoire naturelle, et d’obtenir divers avantages au Carnegie Hall avec des représentations gratuites. Bref, un très bon plan.
Outre ces institutions, la carte permet aussi d’accéder à une série de discounts (les “member deals”) sur des spectacles, des films, des pièces de théâtre (réductions, par exemple, pour aller voir Le Cirque du Soleil, The Book of Mormons, Matilda, Wicked…). Pour cela, il faut s’inscrire sur ce site avec son numéro d’IDNYC.
En outre, la carte vous donne aussi droit à des réductions dans les YMCA. Dernière chose : si vous n’en avez pas déjà, l’IDNYC sert aussi de carte d’accès à toutes les bibliothèques de la ville.
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Comment puis-je l’obtenir ? 
L’inscription peut se réaliser dans dix-huit centres à New York. Nous avons été dans celui situé Midtown : les bureaux sont situés au quatrième étage de la New York Public Library (5th avenue et 40th street).
Chacun a la possibilité de réserver un créneau horaire en ligne pour éviter de faire la queue. Mais cette précaution n’est pas indispensable : lors de notre passage un mardi, vers 9am, il n’y avait personne.
Pour obtenir la carte, il est nécessaire de montrer trois documents prouvant son identité (passeport français ou US, visa, carte d’identité française, permis de conduire français ou US, acte de naissance, carte d’identification consulaire, permis de travail, green card…), ainsi qu’un document avec une adresse à New York (relevé de banque, facture de téléphone, d’électricité, bail…).
Si vous n’avez pas pu imprimer un document, un ordinateur et une imprimante sont mis à disposition gratuitement. On remplit à la main un formulaire, puis on est reçu à un petit guichet, où l’on vérifie toutes les informations et où on vous prend en photo. En dix minutes, c’est terminé. On ne vous donne pas la carte tout de suite, cependant. Il faut attendre une dizaine de jours avant de la recevoir dans sa boite aux lettres.
 

La meilleure baguette de New York est…

Enfin, vous pourrez répondre à la question qui vous taraude: où trouver la meilleure baguette de New York? Ce sera celle qui aura gagné le grand concours French Morning, que nous lançons aujourd’hui. Avec votre aide.
Le choix est large, plus que jamais: des petites boulangeries de quartier plus frenchy que nature aux épiceries de luxe en passant par les grands noms parisiens venus conquérir l’Amérique, la boulange à la new-yorkaise prend toutes les formes et saveurs. Pour désigner la meilleure baguette sans contestation possible, voici le plan:
1/ Vous (les lecteurs de FM), nominez vos baguettes préférées (jusqu’à trois choix possibles par votant).
2/ De cette consultation émergera une liste de dix baguettes, parmi lesquelles un jury d’experts et d’amateurs éclairés désignera la meilleure. Une fois pour toute.
A vous de jouer:
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Du vin et du cinéma à Chelsea

Un bon film, du bon vin, des cinéastes… Le concept des soirées “Kino and Vino” a tout pour plaire.
Ces soirées lancées dans le cadre du Chelsea Film Festival, un rendez-vous co-fondé par Sonia et Ingrid Jean-Baptiste pour pomouvoir les films à visée sociale, feront leur grand début lundi 9 novembre au Bow Tie Cinemas Chelsea.
Au programme: projection du film “PTSD” (Post Traumatic Stress Disorder), lauréat du Grand Prix du Chelsea Film Festival 2015, séance de questions-réponses avec son acteur principal Jason Lopez et son réalisateur Cédric Godin. Une réception conclura la soirée pour mettre tout le monde d’accord.
Le film raconte le retour chez lui d’un soldat américain envoyé en Irak. Inscriptions obligatoires.
 

Pendant ce temps-là, un Gad Elmaleh anonyme fait rire en anglais…

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« Alors, on annonce le gars qui vient de France, et tout le monde part, ça y est ?! » En montant sur la scène d’une des scènes du Fun Fun Fun Festival d’Austin samedi après-midi, la star franco-marocaine Gad Elmaleh a eu fort à faire pour retenir l’auditoire.
Pas de doute: ici, il n’était pas attendu comme en France. Le public était venu avant tout écouter le rappeur new-yorkais GZA qui a eu 25 minutes pour se produire. Gad Elmaleh n’en a eu que dix (contre quinze initialement prévues) pour faire son show en anglais.
En moquant le peu de penchant pour les langues des Américains ou leur inculture géographique, le charme de Gad Elmaleh a toutefois rapidement opéré, dans le cadre de ce festival de musique et d’humour connu pour faire découvrir de nouveaux talents. Il a chauffé la salle en racontant ses premiers contacts avec les Américains, qui ne se souviennent pas de leurs cours de français.
A ceux qui lui demandent ses motivations à faire un spectacle en anglais, il répond: « Eh bien j’avais besoin de me remettre en question, et maintenant… je vis le rêve américain ».
“I’m not doing my French show for 20$”
Le spectacle, rôdé pendant deux semaines et demi à New York au début de l’automne après des premières représentations en anglais en 2013, était dès lors lancé, et l’humoriste pouvait enchaîner des blagues sur les différences entre les cultures française et américaine en matière de lutte contre le terrorisme, de vacances ou encore d’amour, sans oublier un clin d’œil au Texas, qu’il visite pour la première fois : « Le rêve américain au Texas. Mmm… je ne m’attendais pas à ça ! »
Quelques heures plus tard, le public austinite avait de nouveau rendez-vous avec la star, au North Door, un bar du centre-ville. Dans la capitale du Texas, comme dans toutes les villes du « US tour » de Gad Elmaleh (Dallas, Vancouver, Portland, Seattle, San Diego, San Francisco, Philadelphie…), son public international s’est arraché les places.
Une vie qui lui « remet les pieds sur terre »
La salle était pleine à craquer de francophones surexcités de différentes nationalités, et le début du spectacle n’avait rien à voir avec celui de la représentation au Fun Fun Fun Fest : « Bonsoir, ça va ?! That’s the only French you’ll hear tonight. I’m not doing my French show for 20$ », a lancé l’humoriste, qui a néanmoins fait plusieurs apartés en français et un en arabe par la suite.
« Mon public américain anglophone est composé de personnes qui ont des connexions avec le monde francophone et l’international pour l’instant », reconnaît Gad Elmaleh dans une interview accordée à French Morning dans un hôtel chic du centre-ville d’Austin où… il n’a pas dormi ! « Les producteurs prennent des hôtels moins chers quand on se produit dans des petites salles. Je suis à vingt minutes du centre », confie l’artiste, qui ne se dit pas mécontent de ce changement radical.
Cette « nouvelle vie » lui « remet les pieds sur terre » et lui permet de se balader, sac au dos, dans la rue en toute tranquillité, même si c’est quand même « dur » de bosser tous les jours son anglais et actualiser tout le temps son spectacle, privé du confort réservé aux stars.
 “Je recommence vraiment tout de zéro”
Interrogé dans la foulée de la représentation au Fun Fun Fun Fest, l’artiste semble encore digérer le choc de cette première prestation dans le cadre d’un festival américain. « Ce que vous avez vu, me produire devant des gens qui partaient, c’est l’une des choses les plus difficiles que j’ai jamais faites », lance-t-il tout de go, conscient que « s’il y avait du monde devant la scène, c’était sans doute par hasard ».

Les pense-bêtes sur lesquels Gad Elmaleh s'appuie pour donner un spectacle en anglais, sur son ordinateur contenant le texte complet de son spectacle All in English (d'une longueur de 24 pages).
Les pense-bêtes sur lesquels Gad Elmaleh s’appuie pour donner un spectacle en anglais, sur son ordinateur contenant le texte complet de son spectacle All in English (d’une longueur de 24 pages).

« Je recommence vraiment tout de zéro, je dois apprendre mon texte et m’appuyer sur des penses-bêtes listant les idées principales en anglais, alors que je peux me contenter de mots-clés en français. C’est très difficile, mais je veux convaincre, amener mon univers, ce que je suis. Le rêve américain, bien sûr que j’y crois, même si je pense qu’il faut pouvoir le malmener. Il y a une écoute pour ce qui est original et singulier ici. Quand tu vois des gens dans la salle qui te découvrent pour la première fois et qui rigolent, tu dis merci. »
Le plus beau cadeau que les fans francophone de Gad Elmaleh vivant aux Etats-Unis peuvent faire à leur idole, c’est donc sans doute d’amener un ami anglophone avec eux au spectacle. Mais à Austin, il semble que la plupart des conjoints anglophones de Frenchies soient restés à la maison.
Le pari de l’humoriste n’est pas gagné, mais son nouveau public anglophone semble avoir confiance en lui. Une jeune Austinite assurait après la représentation au Fun Fun Fun Fest vouloir faire plus de recherches sur l’artiste et découvrir d’autres humoristes francophones. Tandis qu’à la sortie du spectacle nocturne, Priscilla Chastain ne s’inquiétait pas que Gad Elmaleh puisse vexer les Américains en se moquant de leurs lacunes ou de leurs coutumes, « dans la mesure où il se moque de tout le monde ».
Photo : Greg Giannukos pour Fun Fun Fun Fest.