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9 endroits où trouver du bon fromage à New York

On ne serait pas Français sans désir de fromage. Voici de quoi assouvir vos manques.

9. Murray’s Cheese

Murray's Cheese

Choix déroutant et papilles émoustillées chez Murray’s Cheese où les fromages importés du monde entier sont affinés dans ses caves. Parmi les 200 à 350 variétés (selon la saison) vous retrouverez les classiques français comme le Langres, l’Epoisses, la « French Raclette » et une large gamme de Bleus. On recommande le Crémeux de Bourgogne qui fond en bouche et le Brebis des Pyrénées comme pâte dure. Ils sont concurrencés par des fromages locaux tel que le Kunik de New York ou le C Local rincé à la bière, spécialité de la maison. Les autres Etats y sont aussi représentés avec le Grayson (Virginie) ou le Greensward (Vermont). La maison propose des cours de fabrication et de dégustation et un cheese bar à Greenwich Village. Entre 15 et 40$/lb.
Murray’s Cheese : 254 Bleecker St ou 416 Lexington Ave. (212) 243-3289 ou (212) 922-1540

8. French Cheese Board

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Ce petit espace en plein cœur de Midtown est dédié à la promotion des fromages français. Une bonne sélection de fromages y est vendue, elle varie tous les mois. Bonne nouvelle: ils sont proposés à prix réduits. Le French Cheese Board est actuellement sur la 39eme rue, mais prévoit de déménager à NoLiTa en décembre 2015.
French Cheese Board : 26 West 39th Street. 212-302-3390.
 

7. Stinky Brooklyn

Fromagerie Stinky Brooklyn

Certes son nom n’est pas racoleur mais ne vous détournez pas de Stinky Brooklyn pour autant ! Boutique de charcuterie et de fromage de Cobble Hill, vous y trouverez des fromages américains comme du chèvre et du bleu du Vermont ou du fromage au lait de vache médaillé de Virginie. Un large choix de produits internationaux y sont également proposés : gruyère suisse, cheddar anglais et bien sûr les Français comme le Bucherondin qui fait partie des meilleures ventes ou la Fleur de Maquis. A partir de ces produits le deli de Stinky Brooklyn confectionne notamment plateaux et sandwichs qui peuvent être accompagnés de coppa, salami, chorizo et autres charcuteries.
215 Smith St, Brooklyn. (718) 596-2873

6. Bedford Cheese Shop

Si le goût du camembert – le vrai – vous manque et que vous habitez Williamsburg, le Bedford Cheese Shop est “ZE place to be”. Ce magasin, où les fromages débordent de partout, tient sa réputation de son staff de connaisseurs et de son décor rustique, où l’on se sent à l’aise tout de suite (malgré la petite taille des lieux). Bedford Cheese Shop a ouvert un magasin à Gramercy en 2012.
Bedford Cheese Shop : 229 Bedford Avenue, Brooklyn et 67 Irving Place, New York. Site ici

5. Fairway

Fairway

Fairway est certes une chaîne mais côté fromagerie elle égale ses consoeurs spécialisées. Si vous êtes indécis face aux 800 variétés, demandez conseil à ses fromagers passionnés. Ici aussi les produits français rivalisent avec les fromages locaux (New York et New Jersey) et autres productions américaines comme le californien Midnight Moon. Les autres pays ont leur part de vitrine, notamment l’Italie dont on recommande le Moliterno à la truffe de Sardaigne. Prix moyen 20$/lb.
Fairway : Harlem, Upper West Side, Upper East Side, Chelsea, Tribeca…

4. Lucy’s Whey

Lucy's Whey

Pour découvrir les fromages américains rendez-vous chez Lucy’s Whey, petite boutique de l’Upper East Side où vous pourrez aussi déguster les produits sur place accompagné de vin et charcuterie. Les petits producteurs de New York, du Vermont, de l’Oregon y sont mis en avant (pâtes molles principalement). La vitrine propose de nombreux fromages durs suisses et de toute l’Europe. Le choix français est assez mince. Entre 20 et 45$/lb.
Lucy’s Whey :1417 Lexington Ave ou 425 W 15th St. (212) 289-8900 ou (212) 463-9500

3. Beecher’s Handmade Cheese

En terme de produits locaux, on ne peut mieux que Beecher’s qui fabrique ses propres fromages : on y voit ses fromagers travailler derrière les baies vitrées au cœur du magasin. Les caves en sous-sol font également office de restaurant. Le Flagship est leur spécialité. On conseille aussi le Yule Kase trempé dans du vin rouge et du miel. Entre 19 et 45$/lb.
Beecher’s Handmade Cheese : 900 Broadway. (212) 466-3340

2. Artisanal Bistro Fromagerie

Fromagerie Artisanal

Si vous tenez à vos fromages français, Artisanal vous contentera. Camembert, Mont d’Or, Roquefort, Ossau Iraty occupent les premiers rangs de cette mini fromagerie située dans le fond du restaurant façon bistrot. L’accueil y est cependant moins amical que les boutiques précédentes. Entre 20 et 45$/lb.
Artisanal Bistro Fromagerie : 2 Park Ave. (212) 725-8585

1. Eataly

Fromagerie Eataly
Pour les amateurs de fromages italiens, Eataly est le lieu idéal. La plupart sont des pâtes dures comme le Calcagno ou le Pecorino mais on y trouve aussi de la mozzarella de buffle et de la mozzarella de vache, celle-ci faite maison. Quelques fromages américains y ont leur place. Entre 6,80 et 52$/lb.
Eataly : 200 5th Ave. (212) 229-2560

Une conférence franco-américaine sur le climat à Houston

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Comment les sociétés se positionnent-elles face au changement climatique? C’est la question que posera la conférence sur les stratégies et opportunités pour affronter le changement climatique à l’université Rice de Houston le jeudi 22 octobre.
Cette conférence fait partie du programme FACTS (French Ameri-Can Climate Talks), mis en place par les ambassades de France aux Etats-Unis et au Canada. FACTS consiste en une série de conférences sur le changement climatique à travers les Etats-Unis et le Canada en amont de la conférence des Nations Unies sur le changement climatique, la COP21, qui se tiendra à Paris du 30 novembre au 11 décembre.
La conférence évoquera l’évolution des politiques publiques face au réchauffement climatique, se demandant notamment quelles politiques créer pour gérer des scénarios imprévisibles. Elle abordera aussi le positionnement des entreprises face au changement climatique.

Florence Aubenas à New York pour un rendez-vous littéraire

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La célèbre journaliste et auteure française Florence Aubenas sera à New York le 27 octobre pour un rendez-vous littéraire à la brasserie française Gaby.
Florence Aubenas a travaillé pour plusieurs rédactions françaises, notamment Libération et le Nouvel observateur, elle collabore aujourd’hui au Monde. Elle fût retenue en otage pendant 5 mois en Irak alors qu’elle réalisait un reportage là-bas en 2005.
Elle est l’auteure de plusieurs ouvrages dont notamment Le quai de Ouistream qui a rencontré un grand succès en France et à l’étranger. Elle y racontait le quotidien des travailleurs précaires après avoir passé six mois dans la peau d’une femme de ménage demandeuse d’emploi. En 2014, elle publie En France, un ouvrage dans le même esprit que Quai de Ouistream où elle fait entendre la voix de ceux qu’elle a rencontrés lors de divers reportages.
Elle sera reçue par Olivier Barrot journaliste à TV5 monde, l’échange aura lieu en français. L’évènement sera accompagné de vin et hors d’oeuvre proposés par la brasserie Gaby.
 

Le Dream Hotel ouvre un nouveau rooftop Midtown

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Le Dream Hotel ouvre PHD Terrace, nouveau rooftop dans le ciel de Midtown, pour reproduire le succès de son aîné PHD rooftop lounge, club emblématique du Meatpacking.
Sol en teck, banquettes en bois habillées de coussins beiges, rouges ou encore vert pomme et fleurs en pot, PHD Terrace cherche à recréer une atmosphère de patio cosy méditerranéen au coeur de Midtown West. Pari plutôt réussi. C’est sur le toit de son deuxième établissement new-yorkais, le Dream Hotel Midtown que la chaine hôtelière à inauguré jeudi dernier un deuxième rooftop qui sera ouvert tout au long de l’année. Mais si l’information suggère un maigre groupe de fêtards frigorifiés, un verre dans les gants, en plein hiver new-yorkais, rassurez-vous. Ici on ne distribuera pas des robes de chambre de Père Noël comme au 230 Fifth car une veranda mobile viendra recouvrir la terrasse d’ici une semaine. L’ambiance estivale du sud de la France sera donc conservée, sous verre, avec en prime le ciel new-yorkais.

Situé à quelques blocs au nord de Times Square, le rooftop offre une respiration que l’on ne saurait refuser dans ce quartier ultra-fréquenté, tout en jouissant d’une vue rare sur la transversale formée par Broadway et les scintillements au loin de ses publicités lumineuses. C’est un réel sentiment de hauteur que procure ce toit encadré par les tours avoisinantes.

Excepté la musique d’ambiance modérée réglée pour une fin d’après-midi, le calme du lieu surprend. Recouvert de fausse vigne, un bar central émerge de ce toit. Vous pourrez y commander une bière à 8$, un verre de vin ou une des nombreuses cuvées de champagne proposées par l’hôtel luxueux (Veuve Cliquot, Perrier-Jouët ou encore Louis Roederer…). Votre bonheur se trouvera peut-être dans les cocktails maison (16$) comme le Hot to Trot (Cazadores Tequila Blanco, concombre, agave et piment jalapeno) ou le Wet Dream (Vodka Grey Goose Cherry Noir, jus de canneberge blanche et d’ananas, St.Germain). Des plaisirs à grignoter sont également concoctés en cuisine : orzo croustillant et boulettes de fromage, rouleaux de printemps au confit de canard, pizza au prosciutto à la figue et au gorgonzola ou encore ceviche de vivaneau et coquilles Saint-Jacques accompagné d’une sauce yuzu.

Au rez-de chaussée du Dream Hotel Midtown la chaîne hotelière a ouvert le même jour The Rickey, un bar à cocktails dont le nom fait référence au breuvage mais aussi à un lobbyist de Washington qui avait pour réputation de signer ses accords après quelques rasades alcoolisées. C’est donc une atmosphère des années 1900 qui se dégage des canapés en velours. Les cocktails sont signés Johnny Swet qui est également derrière les breuvages du JIMMY at The James, du Skylark ou encore du Café Clover. Les deux établissements sont ouverts chaque jour à partir de 16h.

Dream Midtown – 210 West 55th212 247 2000

San Antonio organise sa 8ème nuit blanche

San Antonio met l’art à l’honneur pendant deux soirées pour le Luminaria Festival. C’est la huitième édition de cette nuit blanche de San Antonio qui aura lieu le vendredi 23 et samedi 24 octobre entre 7pm et minuit.
Crée en 2008 par le maire de San Antonio Phil Hardberger, le festival propose chaque année de mêler l’art local à l’art national et international pour mettre en avant le dynamisme artistique de la ville.
Pour sa huitième édition le festival change de lieu, et se concentrera autour du San Antonio Museum of Art. Près de 50 artistes locaux, nationaux et internationaux participeront à l’évènement. Chorégraphes, poètes, réalisateurs, musiciens, compositeurs et acteurs seront présents pour animer le festival.
Au programme, des spectacles de sons et lumières, de danse et de musique. Mais aussi des visites du Museum of Art de San Antonio qui proposera une nocturne spécialement pour l’évènement. Le stand phare du festival sera la “tortillas and technology” un photomaton un peu particulier qui propose de griller sur une tortilla des portraits à l’aide d’un laser.
Le festival gratuit proposera cette année plusieurs activités supplémentaires payantes telles que des ateliers de danse et de musique ainsi qu’une conférence sur l’identité et l’influence latino dans l’art moderne. Mais aussi des repas français concoctés par le restaurant Saveurs 209 à partager avec des artistes du festival pour en savoir plus sur leur travail.
Programme

Taylor Swift en concert à Miami pour son 1989 world tour

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Taylor Swift enflammera Miami le 27 octobre à l’American Airline arena à l’occasion de sa tournée mondiale intitulée “1989 world tour”.
Elle interprètera son dernier album sorti en 2014, 1989, un titre inspiré par son année de naissance. Taylor Swift écrit et compose ses morceaux en s’inspirant de son journal intime.
La chanteuse de 25 ans a un succès fulgurant, elle a remporté 7 Grammy Awards dont le plus prestigieux “album de l’année”. 1989 est le cinquième album de la chanteuse qui a fait beaucoup parlé de lui avec le succès du morceau Shake it of.

Pourquoi vaccine-t-on les enfants contre la varicelle aux USA?

Vacciner tous les enfants pour la varicelle ? En France, on n’y pense pas. « La vaccination généralisée contre la varicelle des enfants n’est pas recommandée, dans une perspective de santé publique », peut-on lire sur un document officiel du ministère de la Santé. Le vaccin, disponible en France depuis 2004, n’est conseillé que dans quelques cas particuliers (les femmes enceintes n’ayant pas eu la varicelle, par exemple).
La situation est différente aux États-Unis, où le vaccin contre la varicelle (chickenpox en anglais), disponible depuis 1996, est systématique pour les enfants à l’âge d’un an. Actuellement, tous les enfants fréquentant une école ou une crèche doivent obligatoirement être vaccinés contre la varicelle (sauf dans l’Ohio et le Dakota du Sud).
Pourquoi cette différence ? Aux États-Unis, on considère qu’il est préférable de vacciner plutôt que de gérer des complications, même rares. En outre, le discours sur la varicelle est bien plus alarmiste qu’en France.
Le CDC (Center for Desease Control) met en avant les dangers et les complications parfois sérieuses de cette maladie. « La varicelle peut être une maladie légère, mais ce n’est pas toujours le cas. Il n’y a aucun moyen de savoir qui aura la varicelle de façon légère, et qui sera très malade », explique le CDC sur son site.
Alain Le Guillou, pédiatre à Larchmont, au nord de New York, confirme : il ne faut pas plaisanter avec la varicelle. “Je suis arrivé ici en 1990, et avant la vaccination, j’ai vu des complications infectieuses et neurologiques de la varicelle désastreuses, des streptocoques, des abcès, des ataxies chez une demi-douzaine d’enfants. Certains se sont retrouvés en soins intensifs, avec des antibiotiques en intra-veineuse. La vaccination, c’est une bonne chose, je le recommande sans état d’âmes.”
Un vaccin efficace
Depuis sa généralisation aux Etats-Unis, le vaccin contre la varicelle a été efficace. Il a réduit le nombre de décès et de cas problématiques, tandis que l’incidence globale de la maladie a diminué dans tout le pays.
Ainsi, avant 1995, 4 millions de personnes contractaient la varicelle chaque année aux États-Unis. Environ 10 600 personnes (soit 0,2%) devaient être hospitalisées, et 100 en mouraient, dont la moitié étaient des enfants. Aujourd’hui, la varicelle fait 20 morts par an aux Etats-Unis, et 1 700 personnes sont hospitalisées chaque année pour cette raison.
Transfert vers des sujets plus âgés
Pourquoi la France ne suit-elle pas ce chemin, alors ? La varicelle y est considérée dans l’opinion publique et par les médecins comme une maladie avant tout bénigne, lorsqu’elle arrive pendant l’enfance.
Mais la principale inquiétude soulevée par les autorités sanitaires françaises est celle-ci : le transfert de la maladie chez des sujets plus âgés, à partir du moment où la “couverture vaccinale” (c’est à dire la proportion de gens vaccinés) n’atteint pas au moins 90%. Un objectif très difficile à atteindre en France, où les obligations en termes de vaccination sont moins étendues qu’aux Etats-Unis.
“On lutte déjà depuis 30 ans pour imposer le vaccin contre la rougeole, alors en imaginant que ce vaccin contre la varicelle soit demandé, on n’arriverait jamais à atteindre un taux de couverture suffisant. Surtout pour une maladie perçue comme bénigne. Si on avait la certitude d’avoir une couverture comme celle qu’ont les Etats-Unis, le débat serait différent”, estime le professeur Daniel Floret, pédiatre, ancien président du Comité Technique des Vaccinations.
Pourquoi ce transfert vers des adultes ? Si on vaccine les enfants, le virus circule moins. Mais il continue quand même de circuler. L’exposition au virus est de plus en plus rare, et les personnes non vaccinées sont plus à même d’attraper la varicelle à un âge adulte, avec des complications potentiellement plus dangereuses. Le taux de complications chez les adultes est le double de celui observé chez les moins de 15 ans (respectivement 6 % et 3 %). “Pour des couvertures vaccinales qui ne dépasseraient pas 80 à 90 % de la population, le nombre de cas graves chez l’adulte serait supérieur à celui observé en l’absence de vaccination”, indique un rapport du Haut Conseil pour la Santé Publique sur ce sujet, qui date de 2007.
Autre question : la persistance de l’immunisation chez les vaccinés sur le long-terme. Une étude a été menée en Californie après la généralisation du vaccin : elle a constaté que des enfants vaccinés ont continué de contracter la varicelle, non pas vers 3 ans, mais plus tard, vers 9-10 ans – sous une forme atténuée toutefois.
C’est ce qui explique l’instauration, en 2006, de nouvelles règles, rendant obligatoire l’administration d’une deuxième dose vers 4-6 ans, et augmentant l’efficacité du vaccin sur le long terme. Au bout de 10 ans, l’efficacité d’un vaccin à deux doses est de 98%. Mais qu’en sera-t-il ensuite ? En France, on s’interroge. “On ne sait pas du tout si le vaccin sera efficace au bout de 30 ou 40 ans”, affirme Daniel Floret.
Davantage de cas de zona ? 
Autre sujet d’interrogations : le zona. En vaccinant contre la varicelle, on réduit le nombre de contacts potentiels avec ce virus, qui sont à chaque fois autant de manière de réactiver les défenses que l’on a acquises. Ce sont ces mêmes défenses qui nous permettent de lutter contre le zona, cousin de la varicelle.
Une étude réalisée dans le Massachusetts, après l’instauration de la vaccination, “montre qu’entre 1999 et 2003, l’incidence du zona est passée de 2,77 à 5,27/10 000, soit une augmentation de 90 %”, rappelle le Haut Conseil pour la Santé publique, toujours dans son avis de 2007. Les adultes vivant au contact d’enfants et fréquemment soumis à des contacts avec le virus sauvage de la varicelle ont un risque diminué de présenter un zona (..) Ces premières données vont dans le sens des craintes de voir augmenter l’incidence du zona en situation de couverture vaccinale élevée contre la varicelle.”
Les autorités sanitaires françaises ne sont pas les seules à s’opposer à la vaccination systématique contre la varicelle. Aux Etats-Unis, certains parents se liguent pour éviter à leurs enfants d’être vaccinés… en organisant des effrayantes « chickenpox parties ». Sur Facebook, on peut trouver des pages dédiées à des fêtes, où l’objectif est de permettre à certains participants d’attraper la varicelle, en partageant des objets infectés ou en étant en contact avec des enfants malades. Qui veut lécher cette cuillère  ?

Non-voyant, je cours le marathon de New York (2/4)

Quand je dis autour de moi que je vais courir le marathon de New York, on me demande souvent: « mais comment feras-tu pour te repérer, éviter les autres… »
Mon secret: je n’ai pas un, ou deux, mais trois guides. Tous font partie de mon club, Achilles International, qui rassemble des personnes handicapées et valides pour des courses. Ces personnes veulent partager un nouvel aspect de la course à pied, plus communautaire, plus grégaire qu’à l’accoutumée. C’est assez organique. Il y a beaucoup de coureurs qui comme moi sont non-voyants, mais il y a aussi des personnes en fauteuil ou souffrant de troubles cognitifs etc. Les volontaires sont toujours les bienvenus dans cette communauté qui veut se dépasser.
Le 1er novembre, jour du marathon, ils seront donc trois autour de moi. Dustin sera devant, il nous ouvrira la voie. Stefan sera harnaché à moi, il naviguera à travers la foule. Matt surveillera notre rythme, il m’apportera de l’eau, et se tiendra prêt à prendre le relai si Dustin ou Stefan ne sont pas dans un bon jour.
Lors de mes premières sorties il y a quelques années, je ne voulais pas accepter l’évidence. Je voyais cet entourage comme des béquilles, comme un douloureux rappel de mon infirmité. Mais après quelques rires et beaucoup de transpiration, ces inconnus lugubres sont rapidement devenus mes amis, à tel point que j’oublie souvent ce harnais autour de ma hanche. Ils sont médecins, artistes, entrepreneurs, ils sont très différents quand j’y pense. Ils ne votent pas pour les mêmes personnes, ils n’écoutent pas la même musique, mais finalement peu importe. Nous n’avons tous qu’une seule obsession, le chronomètre.
Lire aussi: Non-voyant, je cours le marathon de New York (1/4)
Ces guides sont plus que des amis, ce sont mes frères d’armes ! Ils m’ont calmé dans les moments d’hystérie, ils m’ont poussé quand mon corps n’en pouvait plus. Ils me connaissent mieux que moi-même. Il n’y a que peu de choses qui nous conduisent vers l’essentiel, on aime ce qui est clivant, on veut se démarquer. Mais pourtant quel bonheur d’être tous ensemble, bercé par le même idéal.
Leurs noms ne figureront sur aucun registre; mais ils seront gravés à jamais dans ma mémoire. Ils n’auront pour médaille que mon sourire et mes larmes. Ils ne courent pas pour être devant, ils courent pour être avec moi, pour être meilleurs.
Je vous laisse. Je viens de courir 30 km. Je commence à avoir froid, mon souffle est régulier, mon cœur bat lentement. Je fais quelques étirements, oh, comme c’est difficile de se relever ! Je vais rentrer, ma femme va me dire que j’ai encore trop poussé, que tout cela n’est pas très raisonnable. Heureusement, je suis bien entouré.
 

Kickstarter organise son 5ème festival du film à Miami

Kickstarter célèbre ses talents filmographiques lors du Kickstarter film fest jeudi 15 octobre. Pour une soirée le Bill Crosford cinema de Miami projettera plusieurs films financés via la plateforme de financement participatif.
C’est la 5e édition de ce festival qui met à l’honneur le cinéma financé grâce aux internautes par le crowdfunding. Kickstarter permet aux entrepreneurs, artistes ou créateurs de projets de toutes sortes d’obtenir des financements auprès des internautes, qui reçoivent en échange des récompenses.
Ces cinq dernières années la plateforme a financé sept films primés dont un documentaire oscarisé Inocente. À Miami vous pourrez découvrir gratuitement cinq films dont:
What we do in the shadow, une comédie loufoque qui rassemble un quatuor de vampires démodés âgés de 183 à 8000 ans, qui n’arrêtent pas de se quereller à cause des tâches ménagères dans leur maison. Séance à 7pm (86 minutes).
Afronauts, ce court métrage est inspiré d’une histoire vraie. En 1969 alors que les États-Unis s’apprêtent à lancer Appolo 11, l’académie d’astronomie de Zambie espère battre les américains sur la lune (14 minutes).
T rex raconte le passage à l’âge adulte d’une jeune femme de 17 ans qui veut devenir la première médaillée d’or en boxe aux jeux Olympique en de 2012, où les femmes viennent d’obtenir le droit de concourir dans ce sport. (Séance à 9:20 pm; 91 minutes).

L'Equateur sur mesure avec Terra Ecuador

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(Article partenaire) Dix bonnes raisons de confier votre voyage à Terra Ecuador, spécialiste du voyage sur mesure en Equateur.
10. Notre savoir-faire
Terra Ecuador est membre de Terra Group dont l’expérience et l’expertise sont reconnues tant auprès de tant des voyageurs individuels que des professionnels du tourisme.
9. Notre connaissance du pays
Notre présence sur le terrain nous permet de vous apporter des conseils concrets et actualisés sur les régions à visiter, qu’il s’agisse de sites incontournables ou d’étapes hors des sentiers battus.
8. Un voyage 100 % personnalisé
Tous nos voyages sont conçus sur mesure, en fonction de vos attentes (étapes, centres d’intérêt, durée, budget, hébergement, prestations… ).
7. Sécurité
Garantir votre sécurité comme celle des équipes de terrain (guides, chauffeurs, accompagnateurs …) est, plus que notre responsabilité, notre priorité.

6. Qualité
Les hébergements, restaurants, excursions … que nous proposons sont sélectionnés avec le plus grand soin, et régulièrement testés par nous-mêmes.
5. Réactivité et flexibilité
Nous sommes votre unique interlocuteur, francophone. Joignables par email, téléphone ou skype pendant toute la conception de votre voyage, nous sommes également disponibles 24h/24 pendant votre séjour.
4. Prix concurrentiels
Nous tâchons d’opérer le plus souvent possible nous-mêmes nos services, sans intermédiaires ; nos devis sont basés sur les prix négociés directement auprès des prestataires (guides, transporteurs, hôtels …) avec lesquels nous travaillons dans le respect, la fidélité, la transparence et la durée.
3. Engagement éthique
Parce que nous sommes soucieux de l’impact de notre activité sur les territoires qui nous accueillent, nous nous engageons à observer certains principes dans l’exercice quotidien de notre profession en termes de respect, d’équité et de durabilité.
2. Confort et gain de temps
Itinéraire bien ficelé, fiches techniques avant votre départ, accueil privé dès votre arrivée, remise d’un carnet de voyages complet et notre réactivité en cas d’imprévu sur place : votre voyage est ainsi optimisé.
1. Facilités de paiement
Vous pourrez choisir entre un règlement par virement sur notre compte professionnel en Equateur ou par carte bancaire sur notre plateforme sécurisée (frais bancaires à votre charge).
Contactez-nous pour l’organisation de votre voyage sur mesure en Equateur.
Envoyez un e-mail à [email protected]

Soirée "French cancan" à Bagatelle

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Un spectacle de burlesque et de “French cancan”, associé à un menu rétro, qui vous plongera dans l’ambiance cabaret : c’est ce que propose Bagatelle New York, mardi 13 octobre, à partir de 7pm.
En plus de la carte servie habituellement dans ce restaurant français du Meatpacking, un menu spécial sera proposé : bulots, escargots à l’ail, raie aux câpres, filet mignon, assiettes de charcuterie…
Le spectacle sera assuré par les “Painted Ladies”, la compagnie de Jenny Rocha, qui donne des shows un peu partout à New York. Après leur numéro, un DJ viendra mettre l’ambiance avec des tubes français.

Indochine au Barclays Center pour Tidal X

“J’ai demandé à la lune”, “L’aventurier”… Ces chansons paraissent peut-être loin, elles vont vous rattraper à New York. Le groupe Indochine, emmené par l’excellent Nicola Sirkis, est de passage au Barclays Center de Brooklyn ce 20 octobre.
Les Français seront bien entoures. Ils participeront au grand concert caritatif Tidal X: 2010, qui rassemble cette année quelques petits noms de la chanson comme Beyonce, Jay-Z, Nicki Minaj et Prince. Les revenus de ce concert seront reversés à différentes associations qui luttent contre les injustices sociales.