Des mêlées, des plaquages en règle ou pas, des essais transformés et, bien sûr, une troisième mi-temps mémorable. La coupe du monde de rugby débute ce vendredi 18 septembre, 3pm (heure de New York), en Angleterre. La finale aura lieu le 31 octobre et, on préfère vous le dire tout de suite pour tuer tout suspense, la France va surprendre et gagner.
Entre temps, voici une sélection de bars-restaurants pour vivre les matches des 20 équipes en lice avec leurs supporters. A noter: le premier match des Bleus aura lieu le 19 septembre (3pm EST) contre l’Italie. A noter que les matches auront lieu à 7am EST, 9:30am EST, 11:45am EST et 3pm. Voir le calendrier ici.
France
– Opia: le restaurant français retransmet tous les matches de la coupe du monde. 130 East 57th Street. 212.688.3939. Site ici
– Felix: 340 West Broadway. (212) 431-0021. Site ici
– Provence en boîte: les repaires des sportifs français de Carroll Gardens, ou plutôt de ceux qui aiment prendre une mousse en regardant les sportifs, retransmettra aussi les matches. Le patron, Jean-Jacques Bernat, prévoit un happy hour pour les bières. 263 Smith St, Brooklyn. (718) 797-0707. Site ici
– La Tarte flambée: le restaurant alsacien montrera les matches dans son adresse de Midtown, pas dans l’Upper West Side. Laissez-vous tenter par une tarte flambée tant que vous y êtes. 153 E 33rd St. (917) 261-2070. Site ici
Etats-Unis
Nevada Smith: Ne vous fiez pas au slogan de ce bar “où le football est religion”, le Nevada Smith retransmet l’intégralité de la coupe du monde. 100 3rd Ave, New York. (212) 982-2591. Site ici
Angleterre
Monro Pub: 481 5th Avenue. Brooklyn. 718.499.2005. Site ici
Argentine
Boca Junior Steakhouse: 81-08 Queens Blvd, Queens. (718) 429-2077. Site ici
Italie
Bar Felice: 1593 1st Avenue, New York. ici
Australie
The Australian: 20 W 38th St, Manhattan. 212 869 8601. Site ici
Uruguay
La Gran Uruguaya: 85-02 37th Ave, Jackson Heights (Queens). 718 505 0404. Site ici
Georgie
Oda House: demander au personnel. 76 Avenue B. ici
Irlande
Keg room : 53 W 36th St, New York. (212) 643-1400. Site ici
Nouvelle-Zelande
The Musket Room: 265 Elizabeth St, New York. (212) 219-0764. Site ici
Afrique du sud
Madiba: 195 Dekalb Ave, Brooklyn. (718) 855-9190. Site ici
Pays de Galles
Longbow Pub & Pantry: 7316 3rd Ave. Brooklyn. (718) 238-7468. Site ici
Désolé pour les fans des îles Tonga, Fiji, Samoa, du Japon, Canada, de la Namibie et de l’Ecosse, mais soit aucun bar contacté ne retransmet la compétition, soit l’adresse n’a pas été trouvée. N’hésitez pas à nous laisser une ligne en commentaire si vous êtes plus chanceux que nous. Nous mettrons cette liste à jour.
Où regarder la coupe du monde de rugby à New York?
Annie Cohen Solal raconte Mark Rothko à Houston
Annie Cohen Solal, universitaire et écrivaine franco-algérienne, lira son livre Toward the light in the chapel (Mark Rothko en français) dimanche 20 septembre au Museum of Fine Arts de Houston (MFAH).
Après avoir signé plusieurs biographies, de Paul Nizan à Jean-Paul Sartre en passant par Léo Castelli, Annie Cohen Solal décide de raconter la vie du peintre Mark Rothko dans cet ouvrage publié en 2013.
Mark Rothko est l’un des peintres les plus influents de l’après-seconde guerre mondiale aux Etats-Unis. Né en Lettonie en 1903, il immigre à 10 ans aux Etats-Unis avec sa famille de confession juive pour fuir les pogroms. Il amène avec lui son éducation juive talmudique et ses souvenirs de ségrégation. Longtemps, il est considéré comme un outsider autant à l’école qu’à l’université, à Yale. C’est à partir du moment où il emménage à New York qu’il trouve sa place en tant qu’artiste dans le cercle des expressionnistes abstraits.
Plus qu’un artiste, c’est un intellectuel, un peintre engagé qui utilise l’art pour faire passer des messages politiques et sociaux. Il est connu pour ses toiles composées de formes rectangulaires qu’il fait apparaître par des jeux de surface qui créent des espaces méditatifs. Son oeuvre la plus importante est certainement la Chapelle Rothko de Houston, un lieu de méditation orné de quatorze peintures de l’artiste.
Du queer et du cuir à San Francisco
Si vous passez par la rue Folsom le jour de la Folsom Street Fair ne soyez pas étonné de voir passer toutes sortes d’oiseaux vêtus de cuir. Drag queens, bikers, queers… Un véritable défilé de Village People.
La Folsom Street Fair, le plus gros événement cuir du monde, se tiendra le dimanche 27 septembre de 11 am à 6 pm à San Francisco. Le festival occupera la rue Folsom et ses perpendiculaires. L’accès est gratuit et ouvert à tous.
Des fétichistes du monde vont venir en masse pour cette occasion. Sex toy, cravache, bondage… Avec plus de 200 exposants, chacun pourra trouver son bonheur. Il y aura aussi des concerts et des performances artistico-érotiques. Un événement réservé aux durs à cuir.
A Dallas, une conférence franco-américaine sur le climat
Le Texas est-il prêt à affronter le changement climatique? C’est la question que posera la conférence sur l’adaptation et la résilience de l’Etat qui se tiendra à l’université Southern Methodist de Dallas le 17 septembre.
Cette conférence fait partie du programme FACTS (French Ameri-Can Climate Talks) , mis en place par les ambassades de France aux Etats-Unis et au Canada. FACTS consiste en une série de conférences sur le changement climatique à travers les Etats-Unis et le Canada en amont de la conférence des Nations Unies sur le changement climatique, la COP21, qui se tiendra à Paris du 30 novembre au 11 décembre.
La conférence évoquera les impacts du changement climatique sur la région de Dallas/Fort Worth, exposée à la sécheresse, aux inondations et aux fortes chaleurs, et les solutions à y apporter. Le débat rassemblera Mike Rawlings, le maire de Dallas, ainsi que des universitaires, des associations de protection de l’environnement et des entreprises du secteur de l’énergie.
Non-voyant, je cours le marathon de New York
Les aventures humaines sont toujours faites de mystère, d’hybris et de hasard. Cette histoire n’y fait pas exception. Il y a quelques mois, j’ai décidé de commencer un nouveau périple, un voyage qui s’achèvera le 1er novembre, après plusieurs heures de souffrances sur le pavé new-yorkais.
Pardon, je ne me suis pas présenté. Comme de nombreux lecteurs de French Morning, je suis un jeune Français expatrié aux Etats-Unis. Comme vous, je suis arrivé ici plein d’illusions, admiratif de ce nouveau monde, naïf et enthousiaste. Je suis directeur d’une petite ONG, Surgeons of Hope, qui se spécialise dans la chirurgie cardiaque pédiatrique dans les pays du tiers monde. En quelques mois, j’ai appris les règles du baseball, j’ai découvert que tous les aliments pouvaient se manger frit, j’ai épousé une New-Yorkaise… Bref, une expatriation classique, à un détail près. En 2012, j’ai perdu la vue à cause d’une rétinite pigmentaire, c’était au moment de mon émigration.
“J’ai rapidement compris que j’avais un choix”
Je savais que ce jour allait arriver depuis ma tendre enfance, mais malgré tous mes efforts pour m’y préparer, cette double transition a été difficile. J’ai commencé cette nouvelle vie dans l’obscurité comme abasourdi. J’ai rapidement compris que j’avais un choix. Je pouvais m’apitoyer sur mon sort, gémir, me révolter, ou je pouvais m’adapter. Je suis passé par de nombreuses étapes, mais l’envie d’avancer m’a bousculé.
Pour cristalliser cet effort, je voulais un objectif, un rêve. Dans un élan de modestie j’ai décidé de faire le marathon de New York afin de lever des fonds pour construire un Centre du Coeur en Amérique latine avec Surgeons of Hope. Après mon premier jogging autour de Central Park, j’ai réalisé que ça allait quand même me demander beaucoup de travail. Je ne suis pas particulièrement sportif, d’ailleurs je ne sais pas exactement pourquoi le marathon me fait tant fantasmer, parfois je me dis que j’aurais dû choisir les échecs ou le sudoku. Fort heureusement, la course à pied est très addictive. On commence avec un petit jogging, trois mois plus tard on est tenté par le triathlon, et au bout d’un an, notre femme veut se débarrasser de tous ces t-shirts aux couleurs tapageuses que l’on rapporte fièrement après chaque course.
Grâce à mon club, Achilles, j’ai eu la chance de trouver des guides, mais surtout des amis. Ils m’ont aidé à progresser, ils ont cru en moi. C’était difficile de me dire que, désormais, j’aurais toujours besoin de quelqu’un pour faire le moindre jogging. Chaque sortie était un douloureux rappel de ce nouvel état de fait, mais ce qui est formidable, c’est qu’avec ces amis, j’ai réussi à « oublier » combien j’avais besoin d’eux. En quelques mois, j’ai fait le semi-marathon de New York, le triathlon de New York, bref, toutes les courses qui se terminent par New York.
Au fond, quand j’y pense, ce n’est pas tant le marathon qui m’intimide. La véritable difficulté se trouve en amont. Chaque jogging, chaque course est pour moi une petite victoire sur mon handicap. Si j’arrive à me préparer comme il faut, le marathon ne sera qu’une formalité. Mais pour le moment je n’ai jamais couru plus de 21 kilomètres, il me reste encore quelques mois, je vous laisse, je vais m’entrainer. Je partagerai cette aventure avec vous, régulièrement, dans les colonnes de French Morning, alors que le Jour J se rapprochera.
Pourquoi la France va mal? Réponse le 24 septembre à New York
Mais quel est donc le problème de la France ? La French American Foundation (FAF) pose la question lors d’un débat sur cette France qui va mal, le 24 septembre.
Pour débattre, Laurent Cohen Tanugi, avocat et écrivain de l’ouvrage What’s wrong with France?, et Adam Gopnik, journaliste au New Yorker depuis 1986. Ce dernier a vécu cinq ans à Paris et a tenu “le journal de Paris” pour le magazine. Il a aussi écrit divers ouvrages sur Paris.
Ces deux spécialistes se demanderont si la France mérite-t-elle toujours cette place de grande puissance mondiale. Laurent Cohen Tanugi livrera son analyse du modèle français qu’il juge inadapté à la mondialisation, notamment à cause d’un système institutionnel archaïque, pas assez réformateur. Adam Gopnik s’interrogera sur le futur de la France.
A Houston, EFGH inaugure son site unique

Une galère d'expat en moins: envoyer de l'argent en France
(Article Partenaire) Le foot qui se joue avec les mains, le credit history que vous n’avez pas, les entrées qui sont des plats de resistance… Ce qui est chouette avec la vie d’expat c’est qu’on a plein d’occasions de râler.
Une autre bonne raison de râler: envoyer de l’argent en France (ou en recevoir) est hors de prix. Mais là, nous avons une solution: un nouveau service de transfert entre particuliers (peer-to-peer) qui rend les échanges moins chers pour tout le monde.
TransferWise utilise le taux de change de marché, sans frais cachés, qui permet d’envoyer de l’argent à l’étranger pour jusqu’à huit fois moins cher (par rapport à une banque classique). Plus de 1,3 milliards d’euros ont été transféré à travers la planète grâce à la plateforme Transferwise, économisant au consommateur 185 millions d’euros de frais cachés.
TransferWise fonctionne comme intermédiaire, faisant en sorte de garder assez d’argent de chaque monnaie dans tous les pays de manière à ce que l’argent n’ait plus besoin de traverser les frontières. Un système qui permet à Transferwise de ne prendre que 1 dollar pour des transferts de moins de 300 $ et 0,5% au-delà.
Fondé par un ancien de skype, Taavet Hinrikus et Kristo Kaarman, TransferWise est déjà utilisé par des milliers de personnes à travers le monde qui envoient 750 millions de dollars par mois.
Parmi eux, Carl Selya-Hammer, un Newyorkais qui utilise TransferWise pour envoyer de l’argent chaque fois qu’il rend visite à sa petite amie en France. ‘Vous êtes beaucoup plus libre de voyager et il est beaucoup plus facile de payer vos factures, à partir du moment où vous avez un compte dans chaque pays. Votre argent bouge comme vous bougez!’
Transférez votre argent sans frontière! Voyez combien vous pouvez économiser avec ce simulateur:
Un after school en français voit le jour dans le Queens
Les enfants du Queens qui voulaient apprendre le français n’avaient pas beaucoup d’options jusqu’à présent. Cela va changer.
Madelia Bergeroo, une enseignante française qui habite à Astoria, va lancer, le 28 septembre, un after school français dans les locaux de la Queens Paideia School à Long Island City. Les inscriptions sont ouvertes. “Je voulais proposer quelque chose d’abordable. C’est mon métier!” , souligne cette maman d’un garçon de trois ans.
Deux classes de huit élèves maximum seront proposées. Celle du lundi est réservée “aux enfants qui comprennent le français” et l’autre, le jeudi, à ceux qui veulent l’apprendre. Ages concernés: 5-10 ans. Au progamme: activités ludiques, projets d’écriture et d’expression, lectures, grammaire, arts plastiques… Tout en francais. L’after school s’étend sur onze semaines pour un coût de 275$ pour couvrir la location de l’espace, l’achat de matériel et la rémunération des deux enseignantes.
Vers un programme bilingue?
Mme Bergeroo présentera l’after school le lundi 21 septembre, entre 4 et 6pm, à Murray Playground.
Le lancement de cet after school intervient après plusieurs années d’efforts de parents du quartiers pour mettre en place un programme bilingue français-anglais dans une école publique locale. Une pétition lancée début 2015 pour prouver l’intérêt des familles s’est heurtée à une fin de non-recevoir de la part du district scolaire.
Face à ce vide, Madelia Bergeroo a cofondé l’an dernier la Caravane francoFun, une initiative pour développer des programmes en français abordables dans le Queens. Un premier camp a eu lieu à l’été 2014 sur Steinway Street. “Beaucoup de parents m’ont demandé: pourquoi ne pas lancer un after school?” raconte-t-elle.
Selon la Française, qui veut également proposer à partir du 12 octobre un groupe pour toddlers (2-5 ans) chez elle, l’ambition première de l’after school n’est pas servir de tremplin vers un éventuel programme bilingue. “Après, à terme, si cela peut provoquer quelque chose, tant mieux. Mais dans l’immédiat, nous voulons offrir quelque chose aux enfants du Queens car pour le moment, ils n’ont rien.”
The Cut, avec Tahar Rahim, sort à New York et Los Angeles
A l’occasion du 100ème anniversaire du génocide arménien, le réalisateur Fatih Akin nous offre un film terrifiant de réalisme : The Cut.
Le film sort le 18 septembre à Los Angeles et à New York.
Anatolie, 1915. The Cut raconte l’épopée saisissante d’un jeune forgeron arménien, Nazaret Manoogian, séparé de force de sa femme et ses deux filles par l’armée turque. Il vit durant plusieurs années un véritable enfer. Par chance, il survit au génocide, ce qui n’est pas le cas de presque toute sa famille.
Alors qu’il a perdu tout espoir et au bout de six longues années, il apprend que ses filles sont toujours en vie. Le voyage ne fait que commencer. Turquie, Liban, Cuba. USA… Le périple de cet Arménien est interminable. Nazaret perd sa foie en la religion chrétienne, mais sera guidé tout au long de ses péripéties par l’amour. Un parcours du combattant très émouvant. Tahar Rahim interprète à merveille le personnage principal qui, malgré les épreuves, reste d’une incroyable beauté. Un film saisissant où il faut avoir le cœur bien accroché et l’estomac solide. Âmes sensibles s’abstenir.
Tic-tac-tic-tac… les montres Breguet exposées à San Francisco
Et si on remontait le temps ? Abraham-Louis Breguet, considéré comme le père de l’horlogerie moderne, est à l’origine de la montre dite automatique. Vous savez, ces anciennes montres qui fonctionnent sans piles, mais que l’on doit remonter.
L’exposition Breguet: art and innovation in watchmaking vous plonge dans l’histoire de la célèbre marque Breguet. De leur création en 1775 jusqu’à aujourd’hui, cette exposition retrace l’évolution de ces prestigieuses montres.
Breguet est aussi célèbre pour avoir eu l’idée d’associer un bracelet à ses montres. Une idée vraiment pas mauvaise puisque les montres bracelets sont aujourd’hui encore largement utilisées.
Parmi ses clients les plus légendaires figurent la reine Marie-Antoinette. Pour la petite histoire, sa majesté aurait demandé à obtenir une « simple montre Breguet », alors qu’elle était emprisonnée au Temple.
L’horloger termina le modèle longtemps après la Révolution – la reine n’en vit donc jamais la couleur. Cette montre, Breguet l’a conservée précieusement, comme s’il s’agissait d’une relique et pour témoigner de sa fidélité à la reine.
J'ai testé: le yoga paddle
On connaissait le yoga et le paddle board. Découvrez à présent le yoga paddle.
Comme son nom ne le laisse pas du tout présager, le yoga paddle consiste en des positions de yoga pratiquées sur une planche de paddle. Vous essayez de visualiser la position du “chien tête en bas” sur l’eau, et vous vous dites que ce ne doit pas être pour vous? Faux. Non seulement, ce nouveau sport est accessible à tout le monde – il faut juste savoir nager – mais en plus, il n’y a que de bonnes raisons de vouloir l’essayer: tour d’abord, il corse l’activité physique et vous oblige à compenser les mouvements de la planche pour garder votre équilibre.
Ensuite, craindre de tomber à l’eau et remonter d’une chute surprise procure juste ce qu’il faut d’adrénaline et de satisfaction pour vous sentir encore plus en forme. Enfin, une fois sur l’eau, plus près des dauphins que de votre smartphone, vous écoutez le clapotis des vagues et vous oubliez tout pour rester concentré sur vos postures.
Appelé aussi “Yoga on SUP” ou “Paddleboard Yoga, “c’est une excellente activité pour du team building en entreprise ou des événements à célébrer en famille” commente Christelle Chopard, une Française qui propose cette activité dans les eaux claires de Key Biscayne. Paddle and Pose à Saint-Petersburg et Kite Farm à Miami offrent aussi des séances.
Un cours de yoga paddle démarre par une petite balade en paddle board pour aller de la plage aux bouées auxquelles les participants s’amarrent. Oui, tout le monde réussit à naviguer sur un paddle board et la planche, très stable, rend l’activité gratifiante dès le premier essai. Vous restez là où vous avez pied, toujours mieux en cas de chute rafraîchissante. Avant de vous lancer, pensez à manger léger, et prenez les protections solaires qui s’imposent.
Côté négatif: l’activité est dépendante de la météo. Dès qu’il y a des vagues, la séance est reportée, souvent la veille pour le lendemain. Et, bien sûr, il faut que la température de l’eau soit suffisante (si les participants n’ont pas de combinaison) et qu’aucun orage ne pointe à l’horizon.