Enfilez une robe légère et vos talons aiguilles si vous êtes une femme, votre chemise en soie et vos chaussures vernies si vous êtes un homme… La nouvelle édition de “Tango in Paris” aura lieu le mercredi 2 septembre au Sofitel de Los Angeles.
La soirée sera animée par le groupe Paris chansons. De Piaf à Zaz en passant par Aznavour, ils joueront toutes vos chansons françaises préférées à la manière du tango.
http://www.youtube.com/watch?v=-MP037_gumk&feature=youtu.be
Max Cohen, Julia Kantor, Jean-Louis Darville sont les piliers du groupe. Leur musique: un mélange entre chansons françaises et danse tango. Ils seront accompagnés du célèbre musicien tango Mariano Dugatkin à l’accordéon. Vous allez virevolter sur “L’hymne à l’amour” d’Edith Piaf et taper du pied sur “On ira” de Zaz.
Soirée tango et chansons françaises à Los Angeles
Choisissez le meilleur cassoulet de New York en septembre
L’an dernier, le cassoulet du chef québécois Hugue Dufour avait été élu “meilleur cassoulet de New York” à l’unanimité. Qui lui succédera? La compétition organisée par la “Reine du foie gras” Ariane Daguin et son équipe revient pour une deuxième édition.
C’est au Standard Biergarten que se déroulera cette nouvelle compétition, le jeudi 24 septembre. Même principe que l’an dernier : six juges, quinze cassoulets à goûter. Ariane Daguin, fondatrice de D’Artagnan, aimerait “que ça devienne une tradition, de la même façon que le duckathlon (sa compétition gastronomique rassemblant plusieurs équipes, ndlr)”.
Pour cette édition, elle attend 300 personnes. Pour prendre sa place, il suffit de s’inscrire. Les recettes de la soirée seront reversées à Action Contre la Faim.
En vous inscrivant, vous vous engagez donc à goûter, et à voter. Et “il faut vraiment aimer le cassoulet parce qu’il n’y a rien d’autre à manger !” lance Ariane Daguin. Tout comme l’année dernière, Jean Reno sera présent comme membre du jury. Les chefs Sara Moulton, Jean-Pierre Xiradakis et Jean-Michael Cazes en feront partie aussi.
De la bonne musique du sud-ouest sera également au programme. Peut-être l’occasion d’une petite danse digestive après avoir englouti tout ce cassoulet !
4 millions de dollars dans le sac pour la start-up Rebagg
Pour Rebagg, l’affaire est dans le sac. La start-up, lancée fin 2014 par deux Français à New York, vient d’annoncer une levée de fonds de quatre millions de dollars. De quoi la mettre en orbite dans la galaxie des sites offrant des articles de luxe d’occasion.
Rebagg rachète des sacs haut-de-gamme et les revend en ligne, à la manière de ce que font TheRealReal et Vestiaire Collective. Et des sacs, il y en a plein dans les bureaux que la start-up occupe en plein Garment District. Vuitton, Hermès ou Chloé : les prix, même de seconde main, atteignent parfois cinq chiffres. Au milieu des cartons et des étagères, une dizaine d’employés assure le service client, le contrôle des sacs, l’envoi et la réception des colis, tandis qu’au fond, un petit studio photo a été installé.
“300% de croissance depuis janvier”
“Aujourd’hui, on est 18, et on va sans doute recruter encore un peu cet automne. On a eu 300% de croissance depuis janvier”, explique Charles Gorra. Ce Français de 31 ans, qui a grandi à Monaco, a fondé Rebagg à sa sortie d’Harvard Business School. Il avait auparavant travaillé, après son diplôme d’HEC, dans la finance à Paris et Londres. Un beau CV, complémentaire de celui de son associé Erwan Delacroix, 30 ans, un ingénieur toulousain qui travaillait chez Google.
L’idée de Rebagg, Charles Gorra l’a eue à Harvard, après s’être intéressé à Rent the Runway, une start-up fondée par deux anciennes élèves de sa business school qui permet de louer des robes de luxe en ligne. “Je trouvais ça fou, j’étais impressioné. J’ai bossé pour elles en 2013, elles ont été des mentors pour moi”, nous dit-il.
Economie circulaire
Il poursuit : “Ce qui m’intéresse, à l’origine, c’est moins la mode et les sacs à main que l’économie circulaire, comment rendre l’économie plus durable et faciliter ce type d’échanges entre particuliers”. Des concepts chers à Fabrice Grinda, un investisseur français de New York qui a fait fortune avec des sites de petites annonces, et qui a été le premier à mettre ses billes dans Rebagg.
“Ce qui me plait, c’est que Rebagg offre un service clé en main, de qualité, et que c’est un marché de 10 milliards de dollars. Au-delà des sacs, je crois que Rebagg s’inscrit dans la révolution des marketplaces à laquelle on assiste en ce moment”, commente Fabrice Grinda, qui a lancé, dans le même esprit, Lofty (hébergement entre particuliers) et Beepi (achat et revente de voitures), et qui croit beaucoup dans les services qui faciliteront au maximum les transactions entre particuliers.
Leur “arme nucléaire”
C’est pile le créneau de Rebagg, qui veut simplifier la vie des vendeurs : ils rachètent les sacs “up-front”, deux jours après réception – contrairement aux autres sites qui fonctionnent sur le modèle du dépôt-vente, et où le propriétaire n’est payé que lorsque son sac est vendu. Ensuite, Rebagg offre toute une gamme de services : ils envoient quelqu’un chercher le sac chez vous, proposent un prix de rachat fixe à partir d’une seule photo etc.
Attention aux faux
Rebagg a aussi tissé des liens avec un réseau de “personnal shoppers”, qui peuvent mettre en vente un sac pour leurs clients et toucher une commission au passage. “On a 1.200 intermédiaires, et ça, c’est notre arme nucléaire”, confie Charles Gorra. Quant à la partie achat, elle s’effectue sur Trendlee, un autre site de Rebagg. “Ce ne sont pas toujours les mêmes personnes qui achètent des sacs d’occasion et celles qui en vendent”, remarque Charles Gorra.
Leurs principaux écueils ? Les articles achetés et invendus… et les faux, qui représentent une petite part des sacs qu’ils récupèrent, et que leurs experts doivent identifier. Mieux vaut ne pas se tromper, car ce sont souvent les éléments les plus chers qui sont contrefaits. “Tiens, celui-là, c’est un faux”, assène Charles Gorra en attrapant un sac bordeaux. L’une de ses employées se lève pour approuver. “Ca se voit tout de suite, rien qu’au toucher”, nous dit l’ancien financier, qui il y a encore un an, ne connaissait pas grand chose aux sacs. Et qui est aujourd’hui capable en un coup d’oeil de distinguer un “Birkin”, un “Kelly” ou un “Saint Louis”.
À Petit Crenn, de la cuisine bretonne comme à la maison
Ce sera sans doute l’une des adresses les plus courues de la rentrée. Petit Crenn, ouvert le 11 août par la cheffe étoilée Dominique Crenn, est un bistrot dédié à la cuisine de Bretagne, ambiance comme à la maison.
“C’est un restaurant family-style, qui se veut un hommage à la cuisine de ma mère et de ma grand-mère, qui viennent du sud Finistère”, raconte Dominique Crenn, qui a choisi, pour ce nouveau lieu, Hayes Valley, à San Francisco. Le restaurant est situé dans les anciens murs du Bar Jules, en face de l’appartement où elle vivait il y a peu.
“J’ai grandi à Paris, mais j’ai passé toutes mes vacances à Locronant, chez mon oncle. La Bretagne, c’est un petit pays à part, avec beaucoup de fierté, des produits et une cuisine exceptionnelle”, nous explique Dominique Crenn, dont le nom est bien connu des gastronomes de San Francisco.
Sa réputation, elle la doit à l’Atelier Crenn, un restaurant haut-de-gamme d’une trentaine de couverts, qu’elle a ouvert en 2011 et qui a gagné deux étoiles Michelin. Le menu unique y est décrit sous forme de poésie, et coûte 225 dollars.
Rien à voir avec Petit Crenn, qui est plus accessible. Mais qui n’est pas non plus un restaurant comme les autres. Ainsi, il n’y a pas de serveurs : les plats sont apportés par les cuisiniers. Pas de pourboires, Dominique Crenn est formelle là-dessus. Et pas de choix : à table, il n’y a qu’un seul menu fixe (prix : 72 dollars). Il est changé tous les soirs, en fonction de l’arrivage. On peut néanmoins choisir quelques plats à la carte, au bar.
“Je vais préparer de la cuisine bio avec des produits issus de ma ferme, ou des fermes de la Sonoma Valley. Les poissons seront livrés tous les jours. Je vais faire beaucoup de légumes, beaucoup de plats au feu de bois, du kig ha farz, des plats à base de sarrasin. Il y aura aussi des huitres, des escargots petits gris, de la cotriade. Mais pas de viande”, explique la Française de 50 ans, arrivée à San Francisco en 2007, où elle a d’abord travaillé au restaurant de l’Intercontinental.
Le diner est servi à heure fixe (deux services par soir) et accompagné de vins naturels, ou différents types de cidres artisanaux.
En septembre, Petit Crenn ouvrira aussi le matin et le midi, avec un petit-déjeuner français (oeufs à la coque, tartines, croissants, quelques fromages et des poissons fumés) et pour le midi, des tartines, salades et crêpes.
Au total, Petit Crenn compte 28 places assises, et dix autour du bar, ainsi que huit places dehors. On parie qu’elles vont s’arracher.
"Le Grand Homme": des "héros du quotidien" au Lincoln Center
Deux hommes marchent au milieu d’un désert aride . “Ils étaient éclaireurs, des gens qui vont là où personne ne connaît rien” . Aujourd’hui, Sarah Leonor est un peu comme les personnages de son film, “The Great Man”, qui sort le vendredi 14 août au Lincoln Center de New York. Pour la première fois, un film de cette réalisatrice française sera montré dans une salle new-yorkaise.
Le pitch: deux soldats de la légion étrangère rentrent à Paris après avoir servi en Afghanistan. L’un est blessé et passe plusieurs semaines à s’en remettre. L’autre, père d’un petit garçon, se voit refuser la nationalité française. Une nouvelle qui a l’effet d’une bombe. Sans trop insister sur les problèmes de stress post-traumatique, Sarah Leonor effleure les difficultés que peuvent constituer un changement brutal d’environnement. “Il y a l’idée de chercher à définir ce qu’est l’héroïsme. Je présente des héros du quotidien, moins spectaculaires, moins ambitieux. Mais qui constituent le cœur de la vie de tous les jours” .
La bande-annonce:
Pour qu’elle puisse présenter ses héros à New York, il aura suffit que deux programmatrices du Lincoln Center découvrent le film au Festival International de Toronto. Et que le distributeur François Scippa-Kohn décide de l’accompagner. Une chance pour la jeune réalisatrice qui ne doute pas que le film pourra trouver son public :” The Great Man aborde la question de la guerre, du retour des soldats et de leur vie après la mission. C’est un sujet qu’on traite finalement assez peu en France mais auquel les Américains sont particulièrement sensibles“.
Jérémie Renier et Surho Sugaipov excellent en légionnaires déroutés et le petit Ramzan Idiev, du haut de ses 13 ans, tire lui aussi son épingle du jeu. Trois hommes qui donnent au titre du film tout son sens. “Le spectateur se demande toujours qui est le grand homme. Mais en fait le grand homme c’est les trois réunis. Ce titre fait référence à L’Épopée de Gilgamesh qui a pour sous-titre ‘L’homme qui ne voulait pas mourir’. Chacun des trois personnages est un grand homme. Et il ne l’est que parce que l’autre est là. »
Comme une rengaine, une musique accompagne les personnages tout au long de leur histoire. Elle s’installe, prend la place et berce les spectateurs jusqu’aux dernières minutes du film. Un moyen de couper avec le reste du monde, de créer un climat étrange, d’exacerber une situation douloureuse : celle d’un homme qui a donné sa vie pour un pays et se voit rejeter par celui-ci.
Embrassez-vous sur Times Square ce 14 août
Si vous n’avez rien à faire ce vendredi 14 août, allez embrasser votre belle/beau à Times Square. Le “Times Square Kiss-in”, pendant lequel des centaines de couples sont invités à reproduire le légendaire baiser fougueux d’un marin et d’une infirmière au carrefour du monde en 1945, aura lieu de 11am à 11:30am. La scène, qui a pris place sur Military Plaza exactement, a été immortalisée par Life Magazine.
L’évènement, gratuit, a pour objectif de commémorer la fin de la 2nde Guerre Mondiale et véhiculer un message de paix et d’amour. Les organisateurs en appellent tout particulièrement aux couples dont “les baisers établissent des ponts religieux, politiques, raciaux, nationaux…”
Inscription sur le site des organisateurs, la Times Square Alliance.
Élisez le meilleur burger de New York au South Street Seaport
Quel est le meilleur burger de New York ? C’est une question difficile. Toutes sortes de “top” passent régulièrement sur les réseaux sociaux. Pour s’en sortir, pourquoi ne pas goûter vous-même ? Time Out vous propose de tester et d’élire le meilleur burger de la ville, parmi les 20 plus cités. Rien de moins!
Pour participer à ce “Battle of the Burger”, rendez-vous le mercredi 19 août au South Street Seaport de 5:30 pm à 10:30 pm (la soirée est divisée en deux sessions, à vous de choisir laquelle). En vous inscrivant, vous aurez la possibilité de manger ces fameux burgers et de pouvoir dire lequel est le meilleur. Le tout pour $50.
A Los Angeles, une collectionneuse de films français
“J’ai envie de faire découvrir aux Américains des films français un peu moins connus.” Telle est l’idée derrière La Collectionneuse, un concept lancé par Kalyane Lévy (ci-dessus), une Lyonnaise de 27 ans installée à Los Angeles depuis trois ans. Une fois par mois, elle organise la projection d’un film français au Ciné Family. La prochaine séance aura lieu le 16 août.
Le projet est né d’un constat : passionnée par les films en noir et blanc français, Kalyane Lévy se rend compte à quel point il est difficile de trouver ce genre de cinéma aux États Unis, “malgré la grande ouverture de cette ville aux différents genres de cinéma”.
Elle travaille alors au Ciné Family – “je vendais du pop-corn et des tickets”. Rapidement, l’ancienne étudiante en médiation culturelle souhaite partager sa passion pour le cinéma français et “monte dans la hiérarchie” , ce qui lui permet de lancer ce concept.
Aujourd’hui, Kalyane Lévy est programmatrice pour le Ciné Family et prépare ces soirées. Lors de la première édition, pour marquer l’ouverture, elle a projeté un court-métrage avant le début du film. “C’était une sorte de montage, pour sortir du kitch français. Il y avait des extraits de ce qui fait la France aujourd’hui, de Camus au Grand Journal.”
Un film, une soirée, un thème
Le Ciné Family laisse la jeune Française organiser une soirée à thème en fonction du film projeté. Une réception est organisée, un DJ ou des musiciens viennent jouer. “La première fois, c’était pour “Le sang d’un poète” de Jean Cocteau, on était tous habillé en noir et blanc, on avait décoré le patio… La salle était pleine, il y avait du monde jusque dans les escaliers.”
Le 16 août, ce sera la quatrième fois. Au programme : “Casque d’or” de Jacques Becker, et pour le cocktail “on va créer une guinguette dans le patio, un accordéoniste va venir…”
Connaisseurs ou amateurs, les projections sont ouvertes à tous. Avec l’aide du Consulat de France – qui co-présente les évènements- et la renommée du Ciné Family, le rendez-vous a pris tout de suite auprès du public. Plus de 150 personnes se déplacent à chaque fois. “Même si les gens ne connaissent pas le film projeté, ils nous font confiance”, explique avec enthousiasme Kalyane Lévy.
Cet engouement autour des films français donne à rêver à cette cinéphile : “Je me surprends à rêver d’une série (de films ndlr) basée sur Les Cahiers Du Cinéma, les festivals européens…” Los Angeles semble un endroit idéal pour cela.
Ambiance Woodstock au Broward Center de Miami
Si vous allez au Broward Center vendredi 14 août, soyez sûrs de mettre des fleurs dans vos cheveux. Hippie Fest prend ses quartiers pendant plus de trois heures.
Pendant cette soirée très “Sixties”, l’ambiance de Woodstock ne sera pas loin. Plusieurs figures connues de la génération “hippie” feront le déplacement pour l’occasion. Le programme comprend Rick Derringer (“Rock and Roll Hoochie Koo” et “All American Boy”), Mitch Rider & the Detroit Wheels (“Devil with a Blue Dress” et “Sock it to Me”) et Joey Molland (“Baby Blue” et “Without You”). L’événement coïncide avec le week-end du concert historique de Woodstock.
Des conseils pour lancer un business en Floride
Comment se lancer en Floride? Pour vous aider à répondre à cette grande question, la FACC (French American Chamber of Commerce) de Miami organise sa prochaine “Rencontre Experts” le mardi 25 août au Conrad Hotel.
Avocats d’immigration, spécialistes de fiscalité et de droit du travail, agents immobiliers et assureurs seront réunis dans une salle pour répondre à vos questions.
Inscriptions obligatoires.
Deux Français lancent un planificateur de road trip aux USA
Elle planifie une excursion en pédalo en forme de cygne (la preuve ci-dessus) pendant qu’il se lance des défis culinaires du style bifteck frit, et tous deux prennent moult photos. Voilà, en apparence, le genre d’expériences que peut vivre un couple de Français en road trip dans le Sud-Ouest des Etats-Unis.
Mais si Delphine Givord et Jean-Philippe Cavaillez sont particulièrement organisés et possèdent autant d’appareils photos, c’est parce que ces deux trentenaires sont désormais voyageurs professionnels. Pour leur cinquième road trip aux Etats-Unis en cinq années consécutives, ces deux journalistes en congé sabbatique de leur quotidien régional du Jura ne se contentent plus de chroniquer leurs voyages sur leur blog AlaFinDeLaRoute.com.
“Premier planificateur francophone de road trip”
Ils viennent de lancer Lost In The USA, un site où l’on peut désormais retrouver tous leurs billets, dûment localisés sur une carte interactive des Etats-Unis, à partir de laquelle on peut créer sa “bucket list” et planifier son road trip.
Cet outil, présenté comme « le premier planificateur francophone pour préparer son roadtrip aux Etats-Unis », « c‘est celui qu’on aurait aimé avoir quand on préparait nos voyages, explique Delphine Givord, alias Falbalala. On a toujours fait beaucoup de lectures, surfé pendant des heures, compilé de mutiples documents Word, estimé une infinité de timings, selon le tracé d’autant d’itinéraires… L’idée, avec LostInTheUSA.fr est de tout mettre sur une carte où l’on peut retrouver toutes les infos dont on a besoin dès qu’on a accès à internet. »
Infos pratiques, suggestions, articles…
Avec la solution MapBox, également retenue par des homologues américains tels que RoadTrippers.com, on peut afficher articles, informations pratiques, suggestions d’activités, de restaurants et d’hébergement directement depuis la carte, et découvrir les attractions à proximité.
Certaines fonctionnalités du site sont encore en cours de développement. Sept personnes ont participé à son lancement. “Nous y avons investi une bonne partie de nos soirées et week-ends ainsi que la totalité de nos économies qu’à partir du moment où l’on a eu la certitude de pouvoir partir en congé sabbatique, en janvier. »
En parallèle, les deux blogueurs/startupeurs ont entamé jeudi 6 août à Austin, la capitale du Texas, un road trip de trois mois dans le Lone Star State, au Nouveau Mexique, dans l’Utah, le Wyoming, l’Idaho, le Nevada et l’Arizona. Objectif: emmaganiser de la matière pour le blog et « publier 300 fiches-lieux d’ici à la fin de l’année contre 75 aujourd’hui », annonce Jean-Philippe Cavaillez.
Des commissions issues des ventes réalisées après avoir visité le site doivent, seules, permettre de rentabiliser l’initiative. « Nous avons évité les partenariats avec les groupes hôteliers ou autres, car nous voulions garder notre liberté », explique Delphine Givord. Bon voyage!