“Americano ou expresso ? Baguette ou Bagel? Ville Lumière ou Big Apple?” On connaissait le blog “Paris vs New York” et le livre. Voici désormais une nouvelle animation réalisée par les graphistes du Nord Collective, et mise en musique par The Cosmic Setter.
Nord Collective est fan de l’oeuvre de Vahram Muratyan, l’artiste et graphiste derrière “Paris vs New York” . Leur vidéo a été postée sur le site de The Atlantic. A vous de choisir votre camp!
Plutôt Paris ou New York? Choisissez votre camp avec cette vidéo
Plongez dans les influences de Martin Scorcese au MoMA
Vous aimez Martin Scorcese, vous adorerez “Scorcese Screens” au MoMA. Du 5 août au 6 septembre, cette série met en lumière les acteurs, réalisateurs, films qui ont constitué les influences du maitre.
La série commence par le mythique “Mean Streets” de Scorcese avec Harvey Keitel et Robert De Niro, et comprendra plusieurs pépites comme “2001: A space odyssey” de Stanley Kubrick et “Cape Fear” . Plusieurs films français sont aussi au programme:
– “La Ronde” de Max Ophuls (les 15 et 19 août)
– “Le Plaisir” de Max Ophuls (les 15 et 20 août)
– “Madame de…” de Max Ophuls (les 15 et 21 août)
– “Le Caporal Epinglé” de Jean Renoir (les 19 et 23 août)
– “Les yeux sans visage” de Georges Franju (les 21 et 24 août)
– “Cat People” de Jacques Tourneur (les 22 et 24 août)
– “I walked with a zombie” de Jacques Tourneur (les 22 et 25 août)
– “The Lepoard Man” de Jacques Tourneur (les 22 et 26 août)
Les projections ont lieu en parallèle de l’exposition “Scorcese Collects”, qui présente 34 travaux issus de la Scorcese Poster Collection.
Les 6 meilleures glaces de New York
On aurait pu en mettre dix, vingt… mais voici notre top 6 des glaciers de New York. A garder quelque part pour les jours de forte chaleur. On attend bien entendu vos adresses en commentaire.
6. The Chocolate Room
Pour les amoureux de chocolat, c’est la seule adresse possible. The Chocolate Room propose tout un tas de gâteries chocolatées, dont des glaces accompagnées de sauces (caramel, sirop de chocolat…) qui affoleront votre palais. On aime tout particulièrement la boutique de Cobble Hill, qui dispose d’une salle lumineuse au décor de café parisien au fond. Ne prenez pas la bière au chocolat par contre. La chocolat chaud est à tomber. 269 Court Street. 718-246-2600. Site ici
5. Van Leeuwen
Lire aussi: 6 bons plans pour se rafraîchir à New York
4. Brooklyn Ice Cream Factory
La Brooklyn Ice Cream Factory se situe à l’entrée du Brooklyn Bridge Park, dans une maisonnette qui abritait autrefois des bateaux de pompiers. On vous recommande la glace aux éclats de chocolat. Les Sundaes aussi sont costauds. Le grand avantage: vous pourrez aller les manger en regardant le Pont de Brooklyn s’élancer vers Manhattan. 1 Water St. (718) 246-3963. Site ici
3. Morgenstern’s Finest Ice Cream
Ce nouveau vendeur de glaces du Lower East Side se distingue de la concurrence par l’originalité des saveurs proposées. On aime le curry de banane et la vanille malgache… Le fondateur, Nicolas Morgenstern, est un restaurateur bien connu. Ou en tout cas, ses restaurants le sont: General Greene à Brooklyn, El Rey dans le Lower East Side… Vous avez toutes les raisons de lui faire confiance. 2 Rivington Street. (212) 209-7684. Site ici
2. Big Gay Ice Cream
C’est une institution de la glace à New York et on comprend pourquoi. Big Gay Ice Cream est le bébé de Douglas Quint et Bryan Petroff. Il a commencé comme un modeste “food truck” pour devenir une mini-chaine de trois établissements (East Village, West Village et… Philadelphie). On vous recommande le Mermaid, un sundae au lait citronné avec des éclats de “crackers”. La carte est souvent mise à jour avec de nouvelles créations. Tout est fait maison, promettent-ils. 61 Grove St (West Village) 212.414.0222 / 125 East 7th Street (East Village) 212.533.9333 . Site ici
1. Ample Hills Creamery
Si vous aimez l’artisanat revu et corrigé par les hipsters de Brooklyn, vous allez adorer Ample Hills Creamery. Les glaces sont produites sur place, vendues derrière un immense comptoir et dégustées sur la belle terrasse avec vue sur le plutôt industriel quartier Gowanus. Les après-midis du week-end sont plutôt squattés par les goûters d’anniversaire des gosses de bobos, mais l’endroit est ouvert le soir jusqu’à 11pm (minuit le vendredi et samedi) et devient parfait pour déguster une glace à la douceur d’une soirée d’été. La glace au caramel salé et morceaux de chocolat est notre préférée mais goûtez sans modération. 305 Nevins St Brooklyn, NY 11215. (347) 725-4061. Site ici
Cyrille Aimée, une promesse du jazz à New York et Miami
Le Wall Street Journal l’a décrite comme “l’une des chanteuses de jazz les plus prometteuses de sa génération” . Rien que ça. Vous allez avoir la possibilité de vous faire vous-même votre avis. Cyrille Aimée s’offre deux dates à New York (Jazz Standard du 13 au 16 août et à Birdland du 24 au 28 novembre) et une à Coral Gables (University of Miami le 29 octobre).
Lauréate de plusieurs prix musicaux, dont la prestigieuse compétition vocale Thelonious Monk, Cyrille Aimée est originaire de Samois-sur-Seine, un petit village où un certain Django Reinhardt a habité. La Franco-Dominicaine parcourt le monde, seul, en duo ou avec son groupe.
Outre New York et Miami, elle se produira dans plusieurs autres villes jusqu’à fin novembre, dont Chicago, Monterey (Californie) et Lake George (New York).
Un café franco-américain à Bed-Stuy
Comme chacun sait, « chaque quartier compte son QG ». Benoît Busseuil et son épouse Nadia, un couple franco-américain installé à Brooklyn depuis deux ans, viennent de donner à Bed-Stuy celui qu’il leur manquait: le MacDonough Café.
Lorsqu’ils emménagent dans ce quartier émergent de Brooklyn, lui travaille dans la banque, elle dans le conseil. Après la naissance de leur fille quelques mois plus tard, le couple s’étonne du peu de commerces et de restaurants dans le quartier. « On voulait que les habitants du quartier disposent d’un coin où s’asseoir, discuter ailleurs que dans une bodega ou un salon de coiffure, raconte le couple, et le meilleur moyen de faire ça, selon nous, c’était de lancer un café. »
Il n’en faudra pas plus à Benoît Busseuil et son épouse pour lancer leur projet, quitte à apprendre sur le tas. «On ne connaissait pas grand chose à la restauration au départ, se souvient Nadia Busseuil, mais je croyais vraiment en cette idée, et en tant qu’ancienne consultante, je l’ai pris comme n’importe quel nouveau projet, en apprenant, du début à la fin ». Au total, il faudra compter un an, «de chantier, de permis et de licences » pour que leur bébé voit le jour.
« Quand vous devenez mère, vous commencez à penser différemment, raconte-t-elle, et lorsque je me suis mise à cuisiner pour ma fille, j’ai voulu créer un espace où les familles pourraient se poser, et manger sainement ». Sur la carte, tout est garanti fait maison, « et 90% des produits sont bio ».
Ils servent le petit déjeuner, le déjeuner, et proposent une belle carte de smoothies, dont le “Elise’s coffee”, créé spécialement pour que leur fille “mange des fruits et des légumes“. A plus long terme, le couple espère ouvrir un autre café, “dans le Queens, où dans le Long Island, si ça marche bien”.
Ariane Daguin, un bon petit canard dans Bloomberg
Revue de presse. On croyait que le titre de reine de foie gras suffisait à Ariane Daguin. Il faut penser que non.
Après avoir développé une société prospère, D’Artagnan, dont “les revenus ont doublé en cinq ans et les ventes en ligne quadruplé” , et vendu ses viandes “gourmet” aux plus grands restaurants, la Gasconne à l’accent chantant veut s’attaquer aux masses. Ou “les consommateurs de Middle America” , si l’on en croit le site d’information Bloomberg dans un article paru le 30 juillet.
“Pour séduire le consommateur moyen qui mange à la maison, elle a ajouté à son offre des burgers à des prix premium, du bacon et des hot dogs. Elle a aussi lancé un site internet conçu pour s’adresser aux Américains qui aiment la nourriture de qualité, et elle pousse pour s’implanter dans des épiceries plus ‘grand public’ ” , écrit le journaliste Craig Giammona.
Poulet dégueu
Tout a commencé, indirectement, quand Ariane Daguin a découvert le poulet américain. “Elle se souvient avoir presque fondu en larmes” en mangeant du poulet lorsqu’elle était au pair dans le Connecticut. “Je voulais juste un poulet qui n’était pas ramolli et sans saveur” , raconte-t-elle à Bloomberg. A D’Artagnan, elle “travaille dur à créer un canard meilleur” . Le journaliste raconte que dans la ferme avec laquelle elle travaille en exclusivité, à Cochecton (près de la frontière avec la Pennsylvanie), les canards disposent de “trois fois plus d’espace de vie que dans les fermes traditionnelles” et “sont élevés pendant onze semaines, soit deux fois plus que les standards” .
Whole Foods lui ferme ses portes
Bloomberg raconte que plusieurs entreprises ont approché Ariane Daguin pour racheter D’Artagnan. En vain. “Je m’amuse trop, dit-elle. J’aime l’argent mais combien m’en faut-il? J’ai une mini cooper, je n’ai pas besoin d’une Mercedes” .
S’il y a bien une enseigne qui a résisté à la Française jusqu’à présent, c’est Whole Foods. “Elle dit que la chaine a refusé ses produits en raison de son soutien au foie gras, fait à partir du foie d’oies gavées. Whole Foods dit qu’il a des standards rigoureux de qualité et de traitement des animaux” explique Bloomberg.
Les masses vont-elles adopter D’Artagnan, comme Ariane Daguin y travaille à présent? Bloomberg note que la concurrence est féroce et que les “alternatives moins chères sont abondantes” . Mais ” D’Artagnan ne dépense rien en publicité et se repose plutôt sur le buzz local créé par les consommateurs, qui demandent de plus en plus d’où vient la nourriture et comment elle est créée, alors que la société développe ses ventes aux restaurants dans le pays” .
6 bons plans pour se rafraîchir à New York
Ceux qui sont à New York depuis longtemps le savent: la vie ici est une alternance de grand froid et de grand chaud. Quand les températures franchissent les 30 degrés Celsius, on est tenté de faire comme dans la pub Pulco Citron et de dire “il faut trop chaud pour travailler”. Mais pas sûr que votre patron apprécie…
Voici six bons plans qui vous permettront de faire descendre la température:
6. Un petit tour à la plage
Il ne faut pas oublier que New York est entourée de superbes plages, gratuites ou non. On adore Fire Island et Sandy Hook, mais il y en a d’autres. Voir nos cinq plages préférées à New York.
5. Bataille d’eau géante à Central Park
Vous l’avez lu dans French Morning! Une bataille d’eau géante aura lieu à Central Park le 25 juillet. Jetez-vous à l’eau avec vos pistolets de gamin ou l’artillerie lourde. Détails et consignes ici.
4. Une glace à la Brooklyn Ice Cream Factory
La Brooklyn Ice Cream Factory se situe à l’entrée du Brooklyn Bridge Park, dans une maisonnette qui abritait autrefois des bateaux de pompiers. On vous recommande la glace aux éclats de chocolat. Les Sundaes aussi sont costauds. Le grand avantage: vous pourrez aller le manger en regardant le Pont de Brooklyn s’élancer vers Manhattan.
3. Piquer une tête dans la piscine d’Astoria Park
New York a de nombreuses piscines publiques gratuites. On a choisi celle d’Astoria pour vous faire découvrir le parc où elle se trouve – Astoria Park – et le quartier – Astoria – qui l’entoure, où la communauté grecque a pris ses aises. Comme toutes les autres piscines publiques, Astoria Park Pool se remplit vite. Donc venez tôt. On vous recommande de déjeuner à Agnanti, un restaurant grec authentique en bordure du parc.
2. Visite d’un musée climatisé
Se rafraîchir en se cultivant: le paradis du “multi-taskeur”! Dans une ville comme New York, vous avez l’embarras du choix. On vous recommande The Museum of the City of New York, le Brooklyn Museum ou encore la New York Historical Society pour vous plonger dans l’histoire de la ville.
1. Faire du patin à glace à Chelsea Piers
Vous allez faire rire vos amis en leur proposant d’aller faire du patin à glace ce week-end. Et pourtant! Chelsea Piers se targue de posséder la seule patinoire de Manhattan ouverte toute l’année. Jusqu’au 4 septembre, le Sky ink est ouvert vendredi, samedi, dimanche et lundi. Prix: 10 dollars (tous âges) + 4,25 dollars pour la location du casque + 5 dollars la location des patins. Infos ici
Pourquoi fait-il aussi chaud dans le métro new-yorkais?
En 2014, pour montrer que la chaleur sur les quais du subway était souvent à la limite du supportable, le collectif de flash mob Improv Everywhere a eu une idée de génie: un “Subway Spa” sur le quai des lignes N, Q, R à la 34ème rue.
“Les futures stations seront toutes équipées d’air conditionné” assure la MTA. Richard Barone pointe à une solution trouvée dans d’autres pays connaissant le même problème : des portes- palières sur les quais afin d’isoler la chaleur d’un côté, et la fraicheur de l’autre. On trouve cela à Singapour,Hong-Kong et à Paris.
La MTA reconnaît que la chaleur sur les quais pose un problème, comme le montre ce tweet, le 21 juillet:
Subway platforms may be hot today. If you feel weak, dizzy or light headed please seek medical attention. Notify an MTA employee immediately
— NYCT Subway (@NYCTSubway) July 20, 2015
Quant aux recommandations générales, la compagnie de transport répond simplement: “Les usagers doivent toujours s’assurer qu’ils sont hydratés dans le métro mais aussi de manière générale à l’extérieur des souterrains”. Elle se permet également de rappeler que c’est dans les rames que nous passons le plus de temps, “et celles-ci ont l’air conditionné”. Une manière de nous dire que l’ambiance sauna ne s’arrêtera pas tout de suite sur les plateformes.
Jean-Baptiste Barrière, un virtuose dans le bayou de Houston
Le nom de Jean-Baptiste Barrière ne vous dit peut-être rien. Il est pourtant un virtuose de la musique créée sur ordinateur. En France, il a assuré la direction de la pédagogique à l’Ircam, le fameux centre de création musicale contemporaine, composé avec des grands noms de la discipline, remporté des prix…
Il s’est fait un nom dans le milieu aux Etats-Unis aussi. En 1988-1989, il prend une année sabbatique de l’Ircam et traverse l’Atlantique comme compositeur invité de l’Université de Californie San Diego. Il vient à New York en 2013-2104 en tant que compositeur résident du Computer Music Center.
Aujourd’hui, il est de retour aux Etats-Unis, à Houston cette fois-ci, pour lancer l’installation “Whispering Bayou“, dont le lancement aura lieu au musée d’art contemporain de Houston ce samedi 1er août. Objectif: souligner, grâce à une installation interactive mêlant sons et images, le rôle du Brays Bayou parcourant le Sud cosmopolite de l’agglomération de Houston.
« Les mouvements des visiteurs vont être analysés et déclencher une série de tâches musicales et visuelles. Je travaille autant l’image que la musique aujourd’hui, et dans mes projets personnels, je fais les deux. Mais là je me focalise sur l’intéractivité » explique le Français, lors d’une pause dans le travail intense précédant l’ouverture de l’exposition.
“Houston rappelle Marseille”
Jean-Baptiste Barrière s’est retrouvé embarqué dans “Whispering Bayou” grâce au professeur de musique américaine George E. Lewis. A la suite du séjour de Jean-Baptiste Barrière à New York, celui-ci lui a demandé de participer au projet développé par la cinéaste et productrice multimédia de Houston Carroll Parrott Blue.
Le projet constitue l’occasion pour ce Parisien pure souche d’apprendre à mieux connaître la quatrième ville des Etats-Unis. « Je m’étais déjà rendu à deux reprises à Houston l’année dernière, mais auparavant je ne connaissais pas du tout », avoue Jean-Baptiste Barrière. Or, « il semble se passer par mal de choses sur le plan culturel, d’après le peu que j’ai vu au cours de mes visites. Et c’est une ville énorme, à la diversité impressionnante, qui est intéressante à observer avec une perspective française. »
« D’ailleurs, depuis que je suis arrivé, on me demande souvent à quelle ville française on pourrait comparer Houston. Je ne pense pas qu’il y ait de comparaison possible, mais je pense à Marseille du fait de cette diversité. » Désireux de dupliquer le projet dans d’autres lieux, les artistes à la tête de “Whispering Bayou” envisagent d’ailleurs de l’installer dans la cité phocéenne. A suivre.
La glace fait son festival à Austin
Il y a des festivals pour tout, y compris pour la glace. Les Austinites sont invités à faire le plein d'”ice cream” et autres délices glacés le samedi 8 août à Fiesta Gardens lors de l’Austin Ice Cream Festival.
Chaque entrée payante donne accès à trois glaces auprès des vendeurs locaux de votre choix. Certains vendeurs donneront des glaces gratuitement. C’est la 9eme édition de ce festival.
Prix: 10 dollars à la porte. Gratuit pour les moins de 8 ans accompagnés d’un adulte.
"Papa was not a Rolling Stone" au San Francisco Jewish Film Festival
Le San Francisco Jewish Film Festival, 35eme du nom, se poursuit jusqu’au dimanche 9 août avec une sélection de films et documentaires juifs du monde entier, montrés dans plusieurs salles de la ville.
Le programme affiche huit films français. A ne pas louper, “Papa was not a Rolling Stone”, le film tiré du roman autobiographique de Sylvie Ohayon et réalisé par elle. Porté par un beau casting d’acteurs – Marc Lavoine en beau-père violent, Aure Atika en mère absente et dépassée, Sylvie Testud en professeure de danse attentionnée et les adolescentes Doria Achour et Soumaye Bocoum – le film raconte le quotidien de Stéphanie, une adolescente juive dans les années 80, et son combat pour quitter La Courneuve. Le film sera projeté le samedi 1er août (Castro theatre – San Francisco), mardi 4 août (California – Berkeley), dimanche 9 août (Smith Rafael Film Center).
Lire: Marc Lavoine: “c’est difficile de gifler une fille”
A l’affiche également (liste des théâtres et projections sur le site du festival) : “A la vie” (Jean-Jacques Zilbermann) – vendredi 24 et samedi 25 juillet, vendredi 7 et samedi 8 août ; “The art dealer”(Francois Margolin)- vendredi 24 et mardi 28 juillet, vendredi 7 et samedi 8 août ; “Dealing with the devil”(Stephanie Bentura) – vendredi 7 août; “My shortest love affair” (Karin Albou)- mercredi 29 et jeudi 30 juillet, lundi 3 et samedi 8 août; “Once in a lifetime” (Marie-Castille & Mention-Schaar) – vendredi 24 et samedi 25 juillet, samedi 1er et dimanche 9 août – ; “Claude Lanzmann : spectres of the shoah” (Adam Benzine) – mardi 28 et jeudi 30 juillet, mardi 4 août; “The law” (Christian Faure) – mardi 28 et mercredi 29 juillet, dimanche 9 août.
"La Collectionneuse" d'Eric Rohmer à Greenpoint
Le festival de films français en plein air « Films on the Green » se poursuit. Ce vendredi 31 juillet, les cinéphiles ont rendez-vous avec Eric Rohmer et son film “La Collectionneuse” à Transmitter Park (Greenpoint).
Pour ceux qui ne l’ont pas vu, “La Collectionneuse” (1967) raconte les vacances de deux amis, Adrien et Daniel, dans le sud de la France. Celles-ci sont perturbées par une charmante tentatrice, la belle Haydée, connue pour ses nombreuses conquêtes masculines.
Projection gratuite.