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Florence and The Machine en concert à Berkeley

Florence and The Machine n’a pas fini d’entendre crier son nom. L’auteur et interprète de “Spectrum” (“Say my name”), donnera un concert le jeudi 22 octobre, au Greek Theatre de Berkeley.
Révelé en 2009 par la BBC avec le titre “Kiss with a fist”, Florence and The Machine a sorti en juin dernier son troisième opus, après deux premiers albums à succès, “Lungs” (2009) et “Ceremonials” (2011).  Le group  pop-rock british signe dans “How Big, How Blue, How Beautiful” un peu plus d’une dizaine de titres.
La jeune Florence Welch et son groupe ont également participé à la B.O du film “Gatsby le Magnifique” au printemps 2013 avec le titre “Over the Love”.

 
 

Quatre dates pour rire et chanter avec David Serero à New York

 
Le chanteur français multi-casquettes David Serero, qui a collaboré avec Jermaine Jackson sur la comédie musicale “You are not alone”, vient se produire pour quatre dates à New York au Metropolitan Room.
La dernière fois que ce chanteur d’opéra, comédien, producteur était à New York, il jouait dans une production du Marchand de Venise au Center for Jewish History. Il revient les mercredi 22 et dimanche 26 juillet, et les mercredis 5 et 19 août pour un show qui mélangera de comédie et de chants. Préparez-vous à ce qu’il vous demande de chanter avec lui!

Concours Bastille Day: and the winner is…

Vous êtes venus nombreux nous voir sur nos stands aux différents Bastille Days de New York. Parce que vous nous aimez, bien-sûr mais aussi peut-être parce qu’il y avait une Apple Watch à gagner…
Le tirage au sort a rendu son verdict. Le gagnant est une gagnante: Karina Bauxin. Elle recevra donc chez elle une Apple Watch toute neuve. Bravo à elle et merci aux milliers de participants!

Une bataille d'eau géante à Central Park

L’été est là, la chaleur aussi. Quoi de mieux pour se rafraîchir qu’une belle bataille d’eau géante.
C’est ce qui vous attend au Great Lawn à Central Park le 25 juillet entre 2pm et 5pm. Cet évènement est gratuit, pas besoin de s’inscrire. Par contre, les individus de moins de 16 ans doivent fournir une autorisation parentale pour y participer, et il est interdit d’apporter des ballons d’eau.
Les organisateurs vous conseillent en revanche de venir avec des lunettes, au moins cinq bouteilles d’eau, des baskets et tout engin permettant de balancer de l’eau sur vos amis et ennemis. C’est l’heure de se mouiller.
 

Pourquoi McDonald's est-il aussi nul aux Etats-Unis?

Quand un exaptrié entre au McDonald’s aux Etats-Unis, sa réaction est proche de ça:
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Restaurants vieillots, carte peu élaborée… Rien à voir avec les McDonald’s de votre enfance. Pourquoi? C’est la question bête de la semaine.
Pour Nicholas Majka, co-auteur d’une étude publiée en 2012 sur le succès de McDonald’s en France, l’explication est simple : “Aux Etats-Unis, où les distances sont plus grandes, l’habitude de prendre sa voiture pour aller chercher à emporter est très ancrée, explique, t-il. Le McDrive draine la plus grande partie des consommateurs aux Etats-Unis, alors pourquoi investir dans la rénovation des restaurants si les Américains ne prennent pas le temps de s’asseoir?”. 
On ne mange pas au McDo aux Etats-Unis
Pour la chaîne de fast food, développée sur le concept du “rapide et pas cher” , il s’agit avant tout de minimiser le temps de visite du client, et de maximiser la rotation.
En France, la donne est toute autre. Selon les spécialistes en management Hamid Bouchikhi et John Kimberly, auteurs de The soul of the corporation, McDonald’s incarne la «confusion d’identité» des firmes internationales à l’ère de la globalisation. “McDonald’s est une compagnie purement américaine qui a rencontré un problème d’identité intéressant lorsqu’elle s’est développée outre-Atlantique, et plus particulièrement en France” raconte John Kimberly dans une interview accordée à l’université de Wharton, où il enseigne le management.
‘Fast food’ et ‘français’ sont deux mots qui ne vont pas ensemble
McDonald’s s’est étendue outre-Atlantique dans les années 70. Il ouvre un premier restaurant Boulevard Saint-Michel à Paris en 1975. “Je me suis dit que ça ne décollerait jamais, poursuit le professeur en management, ‘fast food’ et ‘français’ sont deux mots qui ne vont pas ensemble”. 
Et pour cause, les traditions culinaires françaises, tout comme le goût pour les repas longs et gourmets ont la dent dure. Les Français ne prennent que 10% de leurs repas dehors contre 40% pour les Américains. Surtout, les attaques de José Bové en 1999 sur la concurrence faite par McDonald’s aux fermiers français, tout comme la controverse sur la “malbouffe américaine” lancée par le documentaire “Supersize Me” en 2004, ont contribué à ternir l’image de la marque.
McDo s’adapte
A partir de 1995, les restaurants McDonalds changent leur recettes, utilisent davantage de produits français – dont le fromage de chèvre et la moutarde provençale – et adaptent leurs formules en proposant des options avec entrée, dessert, ou café, imitant ainsi la tradition des repas en trois temps.
Pour conquérir le cœur des Français, la firme américaine élargit également sa gamme de services avec l’instauration du “Mc Café” en 2011, sur un concept volontairement similaire à la chaîne Starbucks. En proposant des produits typiquement français comme la baguette ou des macarons, le groupe mise sur une “intégration locale” pour compléter l’offre de produits américains traditionnels.
Cinq milliards pour rénover les restaurants
Enfin, en investissant près de cinq milliards de dollars en moins d’une décennie, la firme rénove l’ensemble de ses restaurants en France,  avec un design voulu “plus haut-de-gamme”, confortable, et instaure “Wifi” et  télévisions en 2010.
Une initiative qui, semble-t-il, porte ses fruits, puisque McDonald’s est aujourd’hui la plus grande chaîne de restauration rapide en France avec plus de 1.200 restaurants en 2012. Elle y ouvre 30 restaurants par an en moyenne.
Aux Etats-Unis, McDonald’s semble avoir du mal à se reformer. Elle a bien essayé de se lancer dans des produits plus sains. Mais il lui a fallu deux ans (deux ans!) pour monter une chaine d’approvisionnement pour le concombre quand elle a lancé, il y a quelques années, son premium McWrap. McDo s’est également lancée dans la “customisation” de son menu mais ce nouveau concept a eu du mal à s’imposer car il a eu pour effet d’allonger les temps d’attente dans les restaurants. Ce que les clients américains n’aiment pas.

Cosmos Copa: l'équipe de France de New York va en quarts

Les Bleus ont obtenu leur ticket pour les quarts de finale de la Cosmos Copa, la coupe du monde de foot amateur composée d’équipes communautaires à New York.
L’équipe de France, emmenée par Zohair Ghenania, est arrivé à bout d’Haïti 4-2 dimanche 19 juillet sur Randall’s Island. En quarts de finale, samedi 25 juillet, elle rencontrera la Grèce, tombeur de la Jamaïque aux tirs aux buts (6-5) après un 2-2 au bout du temps règlementaire. Tous les quarts de finale auront lieu à 5pm sur Randall’s Island. Les Bleus joueront sur le terrain 82.
Les demi-finales auront lieu le dimanche 26 juillet toujours sur Randall’s Island. S’ils se qualifient, les Bleus joueront contre le vainqueur de Salvador vs Colombie à 3pm sur le terrain 61.

Start-ups: 13 conseils pour réussir aux Etats-Unis

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Ils ont créé une start-up ou une filiale aux Etats-Unis, et vous racontent les galères et les pièges dans lesquels ils sont tombés. A bon entendeur.
13. Ceux qui ont voulu trop faire à distance depuis la France
Pour se développer aux Etats-Unis, il faut être sur place, disponible pour des rendez-vous de dernière minute, et imprégné de la culture américaine pour y réussir : tel est le discours de la plupart des entrepreneurs que nous avons rencontrés. Confier les rênes de sa start-up à un local et piloter depuis la France, tout en faisant des aller-retour tous les mois, est un pari risqué. “Virtuoz avait essayé de se développer aux US depuis la France. Ils avaient recruté une super pointure ici, et pourtant, cela n’a pas marché. Le fondateur est finalement venu aux Etats-Unis, et a repris les choses en main. Il n’y a rien de mieux qu’un fondateur pour parler du produit à ses clients”, estime Luc Hardy, un VC français, qui a créé son fonds, Sagax.
Mathieu Nouzareth, patron de FreshPlanet, a fait face au même problème avec sa start-up précédente. “J’étais à Paris mais je venais aux US une semaine par mois. Cela crée des incompréhensions des deux côtés, pose des problèmes de synchronisation, et les réunions par Skype ne remplacent jamais le fait d’être sur place. Je suis convaincu que pour lancer une société ou une filiale aux US, il faut qu’au moins un co-fondateur soit sur place.”
12. Ceux qui ont traversé l’Atlantique trop tard
A quel moment venir aux US ? Pas trop tard, répond Luc Hardy. “J’entends des start-ups qui me disent : on va attendre de faire nos preuves en Europe avant de venir. Je leur dis : non ! Les choses peuvent être beaucoup plus faciles et rapides aux Etats-Unis, et plus on se développe en France, plus les coûts de restructuration aux US sont élevés. Il faut venir assez vite, quitte à garder son équipe technique en France. En effectuant sa première levée de fonds significative aux US, on peut espérer une meilleure valorisation, et lever plus d’argent.”
11. Ceux qui ont eu des difficultés avec le statut de leur société 
L’une des plus grosses difficultés qu’a connue Matthieu Valoatto, fondateur de la start-up Curioos, est juridique et fiscale. “A l’origine, j’avais créé ma société en France, et un an plus tard j’ai lancé sa filiale aux US . J’ai commencé à pitcher des investisseurs, mais cela bloquait, car ils ne voulaient pas investir dans une filiale, d’autant que j’avais déjà quelques investisseurs en France, et que j’avais fait appel à un leveur de fonds qui touchait un pourcentage. Ils voulaient qu’on retourne le modèle, que la société fille devienne la mère. On a dû créer une troisième société qui a racheté tous les actifs de la société française. Ca a été super compliqué, on a perdu plusieurs mois là dessus, car cela soulève des tas de questions fiscales.”
10. Ceux qui ont voulu être trop parfaits

“Better done, than perfect” : voilà la maxime qui aurait dû le guider. Et avec le recul, pour Francois de Bodinat, c’est l’une des raisons principales de l’échec de sa start-up Givted. Après avoir levé plus d’un million de dollars en Europe, les deux co-fondateurs sont venus à New York en 2013 pour lancer leur plateforme de cadeaux groupés sur le marché américain. Ils passent plusieurs mois à peaufiner leur site, puis le lancent. 

Mais quand l’argent est venu à manquer, leur site ne dégageait pas assez d’audience ni de revenus pour attirer d’autres investisseurs, et il était trop tard pour “pivoter”.”On aurait dû lancer notre produit plus rapidement, même imparfait, et l’améliorer en cours de route grâce aux feedbacks de nos utilisateurs. Ces feedbacks sont la clé afin de décider ou non d’un éventuel pivot de notre plateforme. On a trop attendu ; et cela nous a coûté cher”, explique-t-il. “Nous avons failli relever de l’argent, mais le deal ne s’est pas fait.”

9. Ceux qui ont voulu zapper les experts
Beaucoup d’entrepreneurs français sont réticents à l’idée de payer des consultants, avocats, expert-comptables, brokers ou autres intermédiaires chargés de la paie, au vu de leurs honoraires ou parce que faire appel à de multiples prestataires n’est pas dans la culture française. Or, ces intermédiaires sont souvent la clé de la réussite pour les jeunes start-ups aux Etats-Unis, et leur permet de se concentrer sur leur croissance. Beaucoup le disent : mieux vaut ne pas jouer low-cost dans ce domaine. “Il ne faut pas lésiner sur les avocats, il faut prendre tout de suite des bons, et bien se renseigner pour savoir si ils ont déjà traité des cas similaires. Comme cela, cela ira plus vite”, affirme Matthieu Valloatto.
Aymeric Vigneras, fondateur d’une start-up (Sharalike, à Boston) et consultant pour des entreprises françaises qui souhaitent s’implanter aux US, se souvient d’une start-up IT qui a échoué principalement à cause de ce problème. “Le CEO était resté en France, mais il avait du mal à externaliser et à ne pas être en contrôle permanent de ses prestataires. Il faisait des doubles vérifications pour tout, passait son temps à mettre des comptables ou autres prestataires en concurrence pour trouver le meilleurs prix, et a dépensé une énergie folle là dedans. Cela a clairement participé à l’échec de sa boite aux US.”
8. Ceux qui ont négligé la question des visas
C’est quelque chose à envisager très vite. “Je vois des boîtes qui commencent à avancer sur leur implantation, qui sont prêtes à venir, et  envisagent le visa comme une formalité à régler, persuadées qu’elles vont l’avoir. Or, certaines se prennent un mur, et perdent six mois !  Il faut envisager cette problème dès le début”, conseille Aymeric Vigneras.
“J’ai l’exemple une société informatique, qui cherchait à faire venir un cadre de France. Son visa L1 lui a été refusé, parce qu’il n’avait pas assez d’ancienneté dans l’entreprise, et que l’administration ne reconnaissait pas le fait qu’il avait travaillé dans l’une des filiales  Ils ont dû faire un recrutement local, alors qu’ils auraient préféré cette personne. Idem pour le visa investisseur : tous les types d’investissements ne rentrent pas dans la case pour obtenir ce visa, alors il faut il y penser en amont, quitte à prendre certaines décisions en fonction de ces critères”, poursuit le consultant, pour qui l’obtention et le choix des visas doivent faire partie intégrante du business plan.
7. Ceux qui se sont fait coincer par un bail
Signer un bail pour des locaux, lorsqu’on arrive aux Etats-Unis, est contraignant. Les conditions sont encore plus strictes qu’en France, et il est difficile de le rompre en dehors de la date anniversaire sans payer d’importants frais – pas l’idéal pour une start-up qui se développe très vite, ou qui, au contraire, connait des difficultés. L’une des solutions : les espaces de co-workings et d’hébergements de start-ups,  avec des loyers au mois ou à la semaine, qui pullulent aux Etats-Unis. Autre option, souvent moins chère : sous-louer à une autre start-up une partie de ses locaux.
6. Ceux qui se sont fait embobiner pendant les entretiens d’embauche
Bercés par la pensée positive, habitués à parler en public dès l’âge de deux ans, beaucoup d’Américains savent très bien se vendre pendant un entretien d’embauche. “Du coup, on a tendance à trouver tous les candidats géniaux. On s’est fait berner comme cela, on a recruté deux vice-présidents qui en fait n’étaient pas au niveau. Je recommande de se faire aider par un Américain pour le recrutement, et de poser des questions techniques et très précises, afin de vraiment évaluer la compétence d’un candidat. Et faire beaucoup de reference calls”, affirme Jonathan Benhamou, de PeopleDoc.
“Les CV Américains sont souvent beaucoup plus séduisants que les CV français, avec des résultats concrets, des phrases du style : j’ai développé le chiffre d’affaires de 2,5% et réduits les coûts de 20%. Il faut pas mal creuser pour comprendre”, remarque Mathieu Nouzareth.
5. Ceux qui ont mal analysé leur marché 
Si la plateforme de cadeaux groupés en ligne Givted n’a pas marché, c’est aussi, selon Francois de Bodinat, qu’il n’y avait sans doute pas de vrai marché aux Etats-Unis – contrairement à son intuition initiale. “Notre idée de business était bonne, notre produit était ok, nous avions des retours positifs. Mais les gens n’utilisaient tout simplement pas la plateforme. Il faut savoir se rendre à l’évidence. Si un produit de ce type ne décolle pas en 18 mois, ce qui est déjà long, il faut passer à autre chose”. Givted a donc cessé ses activités fin 2014.
4. Ceux qui ont méconnu les pratiques managériales américaines
“Une des grosses différences, c’est qu’ici, les postes et les fonctions des gens sont beaucoup plus précises, les gens sont très spécialisés, et donc il faut y faire attention dans le management. Aussi, je dirais que le management aux Etats-Unis est beaucoup plus top-down qu’en France, plus hiérarchisé”, dit Jonathan Benhamou.
Autre conseil livrés par de nombreux entrepreneurs : féliciter ses employés régulièrement, assortir toute critique d’un message positif – des pratiques auxquelles les Français sont peu habitués.“Il faut être systématiquement positif, ne jamais dire : c’est nul. Cela ne passe pas”, affirme Mathieu Nouzareth.
Autre particularité du management à l’américaine : les conflits non ouverts. En France, la culture de la revendication est bien plus pregnante, les problèmes remontent rapidement. “Ici, on est plus dans des situations où les employés ne vont pas en parler lorsqu’il y a un problème, alors il faut faire très attention et bien communiquer”, estime Jonathan Benhamou. Car ici, les salariés sont plus à même de claquer la porte du jour au lendemain.
3. Ceux qui se sont trompés de message lors d’une vente
Pour convaincre un client ou un acheteur, il faut être concret, pragmatique, et résoudre un vrai problème. “C’est une vraie différence, et c’est quelque chose que j’ai compris vraiment en m’installant ici. En France, quand on va voir nos clients, pour les convaincre, on leur parle de stratégie. Ici, on descend tout en bas. On leur montre quel problème concret on peut résoudre dans leur quotidien”, explique Jonathan Benhamou, fondateur de PeopleDoc.
2. Ceux qui se sont dispersés dans le marketing
“Une des erreurs que l’on a fait au début, c’est de dépenser de l’argent pour la notoriété de la marque, en participant à des conférences, des salons ect. En France, cela a du sens car le marché est petit. Ici, il faudrait des millions pour arriver au même résultat. Maintenant, on a des pratiques marketing beaucoup plus ciblées, des actions avec un ROI direct, des demos en ligne, des webinars, des rédactions de contenus”, raconte Jonathan Benhamou.
1. Ceux qui ont pris trop de vacances
Inutile de dire qu’aux US, au mois d’août, on bosse. “La première année, j’ai pris tout mon mois d’août, comme je faisais en France. Mais mes clients ou mes employés ne comprenaient pas. Le message envoyé n’est pas bon, et il y a du business à faire, même à ce moment”, raconte Jonathan Benhamou. Depuis, il ne le fait plus, et prend dix jours maximum.

Trop cher d'acheter en France depuis les USA? Faux!

(Article partenaire) Hier, pour éviter de payer les frais de transport sur des produits achetés en France via internet, il fallait ruser. Parmi les techniques “à l’ancienne” bien connues des expat’, on demandait à un ami en France, de passage aux Etats-Unis, de prendre l’achat en question dans ses valises.
Aujourd’hui, plus la peine d’embêter vos amis. Lancé en 2014 par une équipe de professionnels experts du transport et de la logistique, le site Easy Delivery propose aux Français des Etats-Unis de livrer chez eux, en moins de trois jours, toute commande passée sur un site d’e-commerce français ou européen, à des tarifs qui figurent parmi les plus bas du marché.
Comment ça marche? Il suffit de créer un compte sur Easy Delivery. Vous recevrez une adresse en France à entrer au moment de l’achat. Easy Delivery réceptionne le colis dans son entrepôt en France et le réexpédie à votre adresse aux Etats-Unis. Il est possible de le suivre en ligne, jusqu’à la livraison. Easy Delivery propose à ses nouveaux clients de tester le service gratuitement pendant 1 mois.

Le nombre de colis commandés est illimité. Aucun frais supplémentaire (réception en entrepôt, frais de stockage en dessous de 7 jours) ne sera facturé. Le service offre aussi une option de “personal shopper“: dans ce cas, le client fournit une liste de produits et Easy Delivery se charge du reste.
Le site d’Easy Delivery ici
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Note: les “articles partenaires” ne sont pas des articles de la rédaction de French Morning. Ils sont fournis par ou écrits sur commande d’un annonceur qui en détermine le contenu.

Lancement d'un atelier franco-américain pour start-ups à New York

Start-ups, le tout nouveau French-American Digital Lab vous attend de pied ferme. Le but de ce nouvel atelier, lancé sous la bannière French Tech New York, est d’aider les jeunes entreprises françaises qui veulent percer dans le domaine de la culture et de la création aux Etats-Unis, et soutenir les start-ups américaines qui veulent s’implanter en France.
Le programme de la première session, qui aura lieu du 16 au 25 novembre à New York, comprend des séminaires, du mentoring, des rencontres avec des acteurs de la création des deux pays. Objectif : comprendre les réalités du marché dans les deux pays. Les candidatures sont ouvertes jusqu’au 16 août minuit.
Cette initiative est pilotée par Business France et les Services culturels de l’Ambassade de France avec le soutien d’incubateurs français renommés comme Gaîté Lyrique/Créatis, Numa, Paris&Co…

La Maison de l'Eclair, la start-up qui dévergonde l'éclair

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Si vous pensiez tout savoir sur les éclairs, vous risqueriez d’être surpris. C’est en s’inspirant de son péché mignon pour les fameuses pâtisseries françaises que la jeune entrepreneuse Cynthia Balli a lancé la Maison de l’Eclair en janvier dernier. Sur le concept d’une « pâtisserie en ligne », la marque propose des “boîtes d’éclairs” pour divers événements (baby showers, meetings d’entreprises…).
Pour donner vie à son projet, la jeune femme a puisé dans ses souvenirs d’enfance. «Les éclairs ont une vraie valeur sentimentale pour moi, c’est mon dessert préféré depuis que je suis toute petite» raconte-t-elle. A New York, où elle s’installe en 2011 après une formation en management à la prestigieuse Ecole hôtelière de Lausanne, l’entrepreneuse choisit de développer ses “boxes” dans le service aux entreprises et l’évènementiel.
«Pour l’instant, on livre en majorité à Manhattan. C’est énorme, il y a des milliers de bureaux, ça a un très grand potentiel, explique-t-elle. Les Américains sont très enthousiastes et ont toujours envie de goûter des nouveautés, et surtout ce qui est français » .
Pour séduire, elle n’hésite pas à faire preuve d’originalité. Parmi les 19 recettes de la carte, on note le « crème et saumon fumé » -coup de cœur de la rédaction- le « Lemon tart » méringué, ou encore le « Peanut butter & jelly », particulièrement prisé des Américains. «Tout est fait à la main, de la pâte aux finalisations » explique-t-elle.
Après avoir récemment créé des boîtes à thème – les « fish lovers », « meat lovers », « California love » et « Parisian lunch box », avec la possibilité de personnaliser ses éclairs – elle espère voir ses pâtisseries proposées dans plusieurs cafés new-yorkais.

Grande surprise: les USA étrillent la France 82-0 en foot américain

On savait que la France n’était pas une nation de foot américain. Mais à ce point… Les Etats-Unis ont infligé aux Bleus une sévère défaite 82-0, mercredi 15 juillet, en demi-finale des championnats du monde de l’IFAF, la fédération internationale de football américain, qui se déroulent à Canton (Ohio).
C’est la victoire américaine la plus nette depuis la création de cette sorte de coupe du monde du foot américain. En 2007, Team USA avait corrigé la Corée du Sud 77-0. Mais les Français peuvent se rassurer: ils n’ont pas essuyé la plus lourde défaite de l’histoire de la compétition. En 1999, le Mexique avait battu la Finlande 89-0.
Les Américains ont marqué un “touchdown” lors de toutes leurs douze premières possessions de balle “et la seule raison pour laquelle ils n’ont pas marqué lors de leur 13eme est uniquement parce qu’ils ont joué la montre” , ironise le Huffington Post. Les Bleus devraient les remercier!
Il faut dire que les pauvres Français étaient privés de leur Quarter back, Paul Durand, ce qui n’a pas arrangé leurs affaires. Ils devront se remette de leurs émotions pour affronter le Mexique pour la 3eme place. “Et ce n’est pas comme si la France était la pire équipe au monde. Ils ont battu l’Australie 53-3 et la Corée du Sud 47-6 ” , note tout de même le site spécialisé SB Nation. Le football américain ne s’appelle pas ainsi pour rien.
 

Un livre pour devenir belle comme une Française

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Mathilde Thomas, la co-fondatrice de Caudalie, quitte New York pour l’Asie, pour accompagner le développement de la marque. Mais elle ne voulait pas partir sans laisser un petit cadeau aux Américaines: un livre de conseils en beauté, The French Beauty Solution, sorti le 14 juillet.
C’est vraiment mon héritage pour ces cinq ans à New York, je voulais clôturer mon séjour avec ça“, dit-elle.
Trop de maquillage
A l’origine, un constat : les Américaines ont une approche de la beauté différente de celle des Françaises. Elles recherchent un résultat immédiat. Mathilde Thomas s’est rendu compte de cette différence dès son premier camp américain à 11 ans. “Les roomates américaines sont arrivées avec douze bouteilles de laque et beaucoup de maquillage (…). On n’avait jamais vu ça. Nous, on était venues avec une crème solaire Roche Posay et puis un petit bronzer terracotta de Guerlain pour avoir bonne mine et c’est tout“.
Depuis qu’elle s’est s’installée aux Etats-Unis en 2010, Mathilde Thomas a rencontré 5.000 femmes américaines pour le développement de Caudalie et s’est rendu compte que leurs habitudes de beauté étaient trop compliquées, parfois désagréables et/ou ruineuses et pas pour autant efficaces.
Camera ready
Elles dépensent souvent beaucoup en maquillage mais “elles ne comprennent pas le soin pour la peau, explique-t-elle. Elles ne se démaquillent pas forcément avant d’aller au lit, elles ne comprennent pas qu’il faut mettre un sérum, qu’il faut se démaquiller avant de mettre de la crème sur le visage“.
Très volontaires, elles recherchent autant la perfection de leur maquillage que de leur légendaire cheveu brillant. “Les Américaines sont toujours camera ready, observe Mathilde Thomas, c’est-à-dire maquillées comme pour une séance de photo. Mais elles n’ont pas dans leur culture les notions de soin-plaisir et de préservation du capital que les Françaises se transmettent de mère en fille.
Faire l’amour
Mathilde Thomas partage donc dans ce livre les secrets d’une routine de soins-beauté à la française qu’elle a appris jeune fille et développés par son travail. On y apprend notamment comment prendre soin de sa peau et de ses cheveux, réaliser une cure de trois jours à base de raisin, ou encore se confectionner des masques avec des produits naturels. Au delà du rituel-beauté, elle explique que bien manger, se relaxer et faire l’amour rend aussi les femmes plus belles ! Et aussi: sa grand-mère lui conseillait aussi un verre de vin chaque jour. On est bien d’accord.