La course a beau s’appeler “France Run”, ne vous attendez pas à voir une armada de Français sur la ligne de départ, samedi 29 août.
“France Run (8K)” – son nom complet – est dans les starting blocks en ce début d’août. A moins de trois semaines du top départ, à Central Park, cette course organisée par deux Français – Christine Goubet et Sébastien Baret – affiche “complet” : 6.700 adultes et 300 enfants, coureurs confirmés ou du dimanche.
Engouement
Un succès pas vraiment surprenant pour les deux compères, qui travaillent sur le projet depuis plus d’un an. “On s’y attendait. Avant le lancement officiel, on voyait déjà un engouement pour cette course” , indique Sébastien Baret, un passionné de course qui a terminé le marathon de Chicago en 2h26.
Et pour cause, les deux amis, installés dans le New Jersey, se sont alliés avec le puissant club de coureurs New York Road Runners (NYRR) et une armée de dirigeants de groupes de courses pour organiser l’évènement et en faire la promotion. La course n’a pas grand-chose de gaulois si ce n’est le nom et ses fondateurs – seuls 4% des participants seront français, estiment les organisateurs – mais elle se veut un hommage à ce que les Français admirent chez les Etats-Unis: “la passion, la liberté, l’innovation, le yes we can…”
Christine Goubet en explique le principe:
Mouiller le maillot, les deux amis l’ont fait pour monter cette course. Sébastien Baret, à New York depuis 10 ans, est directeur des ventes au sein d’une entreprise de télécoms. Christine Goubet, arrivée, elle, il y a 18 ans, est consultante dans le domaine des télécoms et de la tech. Ils se sont rencontrés à travers un client commun. Une passion pour le sport – la course pour l’un, l’aviron et les sports d’équipes pour l’autre – a fait le reste. “On a travaillé le soir, le week-end et pendant nos pauses-déj’ sur cette course. C’est beaucoup de brainstorming, de rencontres…” , explique Sébastien Baret.
Courir à Central Park
Lancer une course dans Central Park n’est pas une mince affaire. Il a fallu tout d’abord trouver une date dans un parc que les associations de coureurs s’arrachent. La question de la longueur s’est également posée. Les Français, qui voulaient un 10K, se sont mis d’accord avec le NYRR et le Département des Parcs sur un 8K, un peu plus de que les 4 miles (6,4 km) initialement prévus. Les coureurs s‘élanceront du sud-est de Central Park (au niveau de la 66ème rue) pour faire le tour du réservoir dans le nord, avant de terminer dans le sud-ouest, au niveau de la 71ème rue. “C’est très rapide. On a le temps d’accélérer. Il faut tenir la distance avant le sprint final” , raconte Sébastien Baret.
Pour Margo
Si elle est ouverte à tous, la course se veut compétitive. Elle comptera pour le programme 9+1 de qualification pour le marathon de New York (courir au moins neuf courses avec le NYRR + faire un volontariat avec le club ou un don de 1.000 dollars).
Les recettes seront reversées à l’association Imagine for Margo qui lutte contre les cancers infantiles. Le French American Choir of New York (dont fait partie l’auteur de ces lignes) chantera la Marseillaise en ouverture de la course.
“Notre objectif premier, explique Christine Goubet, c‘est que chacun se dise: ‘Que c’était bien de faire cette course ce matin !’ Les champions auront un objectif de vitesse. Ils vont pouvoir se fixer un record personnel. Et en plus, s’ils le font en pensant à Margo, on sera plus que ravis. Cela nous aidera dans les années à venir pour organiser une autre course” .
France Run dans les starting blocks à New York
Deux touristes français meurent dans le désert de White Sands
Les corps d’un couple de touristes français ont été retrouvés, mardi 4 août, dans le désert de White Sands (Nouveau Mexique), victimes probablement de la forte chaleur qui régnait ce jour-là – environ 38 degrés. Les résultats de l’autopsie n’ont pas encore été révélés.
Leur fils de 9 ans, toutefois, s’en est sorti, certainement sauvé par les rations d’eau données par ses parents.
« Le père et la mère prenaient une gorgée tandis qu’ils faisaient boire deux gorgées d’eau à l’enfant. C’est peut-être pour ça qu’il s’en est si bien sorti, parce qu’il est plus petit et qu’il a probablement bu plus d’eau qu’eux », selon le shérif Benny House, se basant sur les dires de l’enfant.
Le couple, David (42 ans) et Ornella Steiner (51 ans), aimait beaucoup voyager et avait fait le même périple dans le sud des Etats-Unis pendant une dizaine de jours en 2014.
Selon la police, la mère est décédée en tentant de regagner la voiture après s’etre sentie mal autour du 2eme mile de marche. L’enfant et son père ont poursuivi leur randonnée en laissant la mère rebrousser chemin. Le corps de la mère a été retrouvé en premier par les Rangers qui ont déduit, en s’appuyant sur des photos, qu’elle était avec deux autres personnes. Le corps du père a ensuite été retrouvé, avec l’enfant à ses côtés et des bouteilles d’eau vides.
Le parc national de White Sands, dont les dunes de sable attirent des visiteurs du monde entier, est connu pour ses fortes chaleurs. Il est conseillé aux visiteurs de s’hydrater et de se reposer régulierement. Deux personnes ont perdu la vie dans le parc lors des dix dernières années, une Américaine en 2009 et un touriste japonais en 2011.
Programmes bilingues à New York: Midtown passe à l'offensive
Diane Sheinberg en est convaincue: “Il y a clairement une demande pour un programme bilingue de la part de familles francophones et francophiles à Midtown” .
Cette maman belge de deux enfants, qui travaille à l’ONU, a pris son bâton de pèlerin pour recruter des parents désireux de lancer un programme bilingue à la rentrée 2016 à l’école PS 59, sur la 56eme rue entre la 2eme et 3eme avenue. Elle assure que 23 familles sont intéressées par l’ouverture d’un niveau K. Elle en recherche 30 au total avant d’aller voir le superintendant du district et l’établissement, avec lequel elle n’a pas pris contact pour le moment. “Pour l’instant, je ne fais que collecter des données, rassembler une masse critique de familles. Je ne sais pas si ça va marcher mais je me dis pourquoi pas!” explique la Bruxelloise.
La recherche pour une école publique susceptible d’accueillir un tel programme, composé de classes constituées à parts égales d’enfants francophones et anglophones, dure depuis plusieurs années à Midtown et Downtown Manhattan. Seuls des établissements privés, comme l’EINY ou la pre-school La Petite Ecole, offrent un enseignement bilingue français-anglais dans ces zones.
Diane Sheinberg, arrivée à New York il y a neuf ans, a elle-même été élevée dans plusieurs langues. Elle table sur la présence de nombreuses familles internationales à Midtown East pour mener le projet à bien. “L’école est près de l’ONU. Il y a plein de familles anglophones et francophones. Des familles haïtiennes, algériennes, arméniennes m’ont contacté en deux semaines… s’exclame-t-elle. Il y a un bon potentiel.” Une réunion avec les parents intéressés doit avoir lieu courant septembre.
Pourquoi les portions sont-elles si grandes aux Etats-Unis?
Si vous avez l’impression de ne jamais voir le fond de votre assiette aux Etats-Unis, sachez que vous n’êtes pas seul. Ici, les portions dans les fast food ou le restaurant moyen peuvent paraitre gargantuesques. Pourquoi? C’est la question bête de la semaine.
“C’est la démesure de l’Amérique, explique Claude Godard, chef et gérant du restaurant Madison Bistro, et les gens aiment bien repartir avec quelque chose. On mange, on mange, on mange mais on ne fait pas très attention à tout ce qui peut être bon ou mauvais dans la portion” .
Quand il est arrivé à New York, il y a seize ans, la question des tailles l’a interpellé. “J’ai essayé d’implanter directement la culture française dans le restaurant mais je me suis très vite aperçu qu’il fallait en mettre plus dans les assiettes qu’en France… Sinon, les clients se plaignaient.” Et même s’il remarque une prise de conscience ces dernières années, les proportions restent colossales.
Le site Mother Jones a ressorti ce comparatif USA vs Japon dans un article de 2012:
Les hivers rigoureux?
Une histoire culturelle, de mentalité, mais pas uniquement… Selon Georges Forgeois, propriétaire de nombreux établissements français à New York, il s’agit aussi d’une question de climat, en tout cas dans les campagnes où les hivers étaient rigoureux autrefois. “Les hivers étant rudes en général aux États-Unis, il fallait des portions énormes. Avec le temps, ils ont migré vers les villes, explique-t-il. Et puis dans la tête des Américains, les portions doivent être consistantes, et comme ils ne font plus beaucoup de travail physique, ils emmagasinent du gras.”
“Supersizing” ou le “too much food” à l’américaine
Donner plus qu’on ne peut en manger n’est pas nouveau pour les restaurants américains. Ils y sont habitués depuis les années 60. La faute à un certain David Wallerstein, qui a inventé la redoutable technique marketing du “supersizing”, employée pour vendre toujours plus de nourriture.
Cet Américain, qui a fait carrière dans l’industrie du spectacle, a aussi introduit le pop corn beurré dans les cinémas. Lorsqu’il était au conseil d’administration de McDonald’s, c’est lui qui a eu l’idée d’ajouter les grandes barquettes de frites au menu.
Pour Laurence Lardon, auteure de Réduire la taille des portions : Les guerres alimentaires aux États-Unis, sorti en 2014, le “supersizing” a été “rendu possible par l’adoption d’une nouvelle politique agricole qui subventionne la production de maïs et de soja. Son succès tient aussi à la baisse du niveau de vie des petites classes moyennes et l’apparition des « travailleurs pauvres » qui ne peuvent s’offrir qu’une nourriture de mauvaise qualité.”
Le problème? Les consommateurs semblent s’être habitués à cette démesure, comme le montre la levée de boucliers à New York en 2012 contre le projet de l’ancien maire de la ville, Michael Bloomberg, de sanctionner la vente de boissons sucrées de grandes tailles.
En outre, les Américains qui vont au fast-food consomment plus que l’apport nutritionnel dont ils ont besoin:
Pour rappel, l’obésité touche 27,7 % de la population aux États-Unis. Le “supersizing” en est l’une des causes avec le manque de sommeil et d’exercice, ou la consommation d’aliments trop gras. Sur ce, c’est l’heure de finir votre assiette!
Enrico Macias à New York en novembre
Enrico Macias vous manquait? Bonne nouvelle: il revient à New York. Chanteur, musicien, acteur, cet artiste pied noir, connu pour sa musique aux sonorités orientales et andalouses, sera à Town Hall le dimanche 8 novembre.
Il est connu pour ses tubes, notamment “Les filles de mon pays” (1962) et “Adieu mon pays” (1964) ou encore les “Oranges amères” (2003). Le chanteur est également acteur: il a joué dans “La Vérité Si Je Mens” 2 et 3, et “Coco” .
Ce n’est pas la première fois qu’Enrico Macias vient aux Etats-Unis. Sa première tournée américaine remonte à 1968. Il avait alors joue à guichets fermés au Carnegie Hall et s’était produit à Chicago, Dallas et Los Angeles. Il revient régulièrement depuis, au plus grand plaisir de ses fans.
Emilie Lesbros, une chanteuse touche-à-tout à New York
Jazz, rock expérimental, musique contemporaine… la chanteuse n’aime pas qu’on la mette dans une case.
Emilie Lesbros a une formation classique. Elle a notamment étudié le chant lyrique, le jazz mais aussi le violon au conservatoire. La musicienne évolue ensuite au sein de groupes rock, électro… C’est une musicienne curieuse artistiquement, qui s’intéresse à tous les styles de musiques. Depuis 2002, elle travaille avec le contrebassiste Barre Phillips (trio avec Lionel Garcin, et collectif E.M.I.R).
Elle est également la chanteuse du groupe Single Room qui mêle improvisation, rock et poésie révolutionnaire. Emilie Lesbros collabore aussi avec des compagnies de danse et de théâtre.
Elle se produit à New York (lieux multiples) jusqu’au 23 août avant de prendre la route de Washington DC.
Retour en fanfare du ciné-club de l'Alliance française d'Austin
Le ciné-club de l’Alliance française d’Austin a fait son retour en fanfare dimanche 26 juillet, lors de la première séance organisée par l’association depuis la perte de leur salle de projection, voilà des années. Le ciné-club affichait en effet complet pour cette séance inaugurale.
C’est une professionnelle du cinéma, Julia Podgorsek McMahan, arrivée à Austin depuis moins d’un an, qui est à l’origine de cette renaissance. Formée en classe préparatoire littéraire et à la Sorbonne après avoir découvert le cinéma dans le cadre de l’option cinéma proposée dans son lycée de banlieue, la Française, également bénévole de l’Austin Film Festival, cherche avant tout à « montrer qu’on n’a pas besoin d’avoir fait des études de cinéma pour apprécier un film » et veut « mettre les films de qualité au catalogue de l’Institut français à disposition du public le plus large possible ».
Ambiance intimiste
Pour recréer l’atmosphère intimiste d’un authentique ciné-club français et encourager même les plus timides à donner leur avis sur le film qu’ils viennent de voir, Julia Podgorsek McMahan a fait le choix d’une petite salle, celle des studios d’Austin, qui peut accueillir un maximum de 50 personnes. Le tarif attractif des billets (4 $ à l’avance ; 5 $ le jour-même) sert à couvrir la location de la salle, les droits des films étant gracieusement pris en charge par l’Institut français pour les Alliances françaises.
“J’essaie de choisir des choses uniques”
Le problème du lieu étant réglé, le plus difficile pour la bénévole est maintenant de faire une sélection parmi l’ensemble des films disponibles. « J’essaie de choisir des choses uniques. Dans le cas de La bataille de Solférino (le premier film montré par le ciné-club), c’était le jeu d’acteurs. Ce film intense contre les idées reçues sur le cinéma français qui ne produirait que des films longs et lents. »
Pour la suite, il faut aller aimer la page Facebook du ciné-club de l’Alliance française d’Austin afin d’être tenu informé de la programmation… La prochaine séance aura lieu le 16 août.
Django Django va faire bouger San Francisco
Django Django sait faire danser les foules. Ce groupe anglais de garage aux assonances pop, qui s’est fait connaître en 2012 avec son album Django Django, est en tournée en Californie.
Il sera présent jeudi 6 août à 8 pm au El Rey Theatre à Los Angeles. Vendredi 7 août, le groupe donnera deux concerts à San Francisco : un à midi au Golden Gate Park dans le cadre du festival Outside Lands Music and Arts, et un autre à 8 pm à The Observatory à Santa Ana.
Un réseau de troc de gardes d'enfants se lance à San Francisco
Besoin de deux heures pour aller chez le coiffeur sans vos enfants ? Et si vous demandiez à vos amis ou voisins ? Entre le souci de voir ses enfants s’amuser, la culpabilité ressentie par de nombreux parents, et le coût élevé d’une baby-sitter, faire garder ses enfants relève souvent de l’exploit.
Ce dilemme, la Française Séverine Griziaux, maman de deux enfants, installée près de San Francisco depuis 2012, le connaît bien. Elle a décidé d’y remédier : en mai dernier, elle a lancé Raised in the neighborhood, un réseau social destiné à faciliter le troc d’heures de baby-sitting et de playdates au sein d’un groupe d’amis eux-mêmes parents.
“Les “baby-sitting co-ops” existent depuis longtemps aux Etats-Unis”, rappelle Séverine Griziaux, “mais nécessitent une solide organisation: un groupe de mamans doit se constituer, établir un calendrier commun, planifier à l’avance selon les disponibilités de chacune, sans compter les imprévus de dernière minute.”
Le système d’échange offert par Raised in the neighborhood se veut plus simple. On poste sa demande, (par exemple : Hélène a besoin de faire garder Hippolyte et Agathe lundi de 15h à 17h), qui est envoyée au groupe d’amis que l’on s’est créé sur le site. Si personne ne répond, elle est diffusée à l’ensemble des membres. On peut également proposer de garder les enfants d’autres membres.
Un système de points assure la réciprocité des échanges sur le long terme. Chaque heure de baby-sitting équivaut à 1 point. “A l’inscription, chaque nouveau membre reçoit 4 points. On en perd 1 lorsqu’on fait garder ses enfants pendant une heure, on en gagne 1 quand on garde les enfants des autres pour la même durée, ainsi que lorsqu’on parraine l’inscription de quelqu’un.”
L’objectif de Raised in the neighborhood va au-delà de la recherche de gardes d’enfants. “C’est un service pour les parents et les enfants, plutôt conçu pour les activités que l’on fait pendant la journée”, insiste Séverine Griziaux. “Cela n’amuse personne d’aller faire les courses avec ses enfants. Le site permet de rendre le quotidien plus facile : les parents peuvent tranquillement faire leurs courses, tandis que les enfants s’amusent avec leurs copains.”
Pour s’inscrire, il est nécessaire d’être parrainé par un membre. “Je tiens beaucoup à ce système, qui permet d’instaurer un certain niveau de confiance entre membres, car l’échange d’information au sujet des enfants se fait dans un cercle fermé. Si une personne n’a pas d’ami référent, elle peut utiliser le formulaire de contact, et après quelques vérifications, je décide de l’accepter ou non.”
Raised in the neighborhood compte déjà une centaine de membres dans tous les Etats-Unis. Les inscriptions se font souvent par petits groupes. “Une amie de Los Angeles attendait la sortie du site avec impatience, car elle fait partie d’un groupe d’une quinzaine de mamans au foyer qui veulent organiser des playdates et avoir un peu plus de temps pour elles.”
Séverine Griziaux compte sur le bouche à oreille pour étendre le réseau, en le faisant connaître sur des blogs et groupes de parents. L’inscription est pour le moment gratuite, et le restera le temps de constituer une solide base d’utilisateurs. “J’aimerais que le site soit profitable, mais je ne me suis pas fixé d’échéance. Mon objectif est d’atteindre un millier d’utilisateurs, avant d’y penser sérieusement.”
Vieux Farka Touré en visite musicale aux Etats Unis
L’artiste malien Vieux Farka Touré s’installe aux Etats Unis pour 19 dates, jusqu’au mois d’octobre. Guitariste légendaire, ce blues man fils d’Ali Farka Touré a réussi a sortir de l’ombre de son père et a notamment collaboré avec Shakira, Alicia Keys ou K’naan.
Il sera accompagné durant certaines de ces dates par la chanteuse new-yorkaise Julia Easterlin avec laquelle il a préparé cette année un album intitulé “Touristes”, à New York. Il sera notamment présent à San Francisco pour deux dates : le dimanche 16 août au Minor Auditorium pour le Festival du Jazz 2015 et le dimanche 11 octobre à 7 pm au Great American Music Hall. Le 25 septembre, il sera à l’Iridium de New York à 8 pm.
Inscrivez-vous au Speak Easy du 24 août à Flûte Midtown
Les soirées Speak Easy de French Morning ne prennent pas de vacances. La prochaine est à Flûte Midtown le 24 août en partenariat avec l’organisme de cours de langues Fluent City.
Le principe est simple: la moitié des participants est de langue maternelle française, l’autre moitié « English native speakers ».
Chaque francophone discute pour 14 minutes avec un anglophone: les sept premières minutes de conversation se passent en anglais, les sept suivantes en français. Puis on change de partenaire. Au total, cinq sessions de quatorze minutes se succèdent.
Et tout ça en buvant et mangeant (le prix du ticket inclus un cocktail et des hors d’oeuvre). Inscrivez-vous vite ici ou en cliquant sur l’image ci-dessous.