C’est comme le bal des pompiers sans les pompiers. Le traditionnel Bal du 14 juillet est de retour. Et a lieu le 13 ! Au programme, la chanteuse Adrienne Haan proposera un cabaret français avec des chansons allant des années 20-30 à Patricia Kaas, en passant par les incontournables Jacques Brel et Edith Piaf.
Après le show, la DJ Super Jaimie sera chargée d’animer la soirée ponctuée de hors-d’oeuvres et d’une tombola avec, à gagner, deux aller/retour pour Paris avec Air France.
Les heureux détenteurs d’un ticket VIP pourront même profiter d’un salon privé avec buffet à volonté et open bar jusqu’à 10pm. L’évènement est organisé par le Comité des Associations de langue française de New York et est ouvert à tous, à condition que les enfants soient accompagnés.
The Eagles entament leur tournée à Miami
Vous connaissez probablement déjà le refrain d’”Hotel California” par cœur et ça pourrait vous être utile. The Eagles seront en concert le jeudi 10 juillet à 8 pm, à la American Airlines Arena de Miami. SITE ICI
Le groupe à la chanson phare démarre ici sa nouvelle tournée « History of the Eagles », réplique de celle effectuée en 2013 sous le même nom. Les quatre Américains – dont cinq titres ont été classés n°1 dans le Top 40 américain – y interpréteront 27 de leurs chansons. Le groupe, dont la séparation a été annoncée dans les années 80 peu après le succès d’ « Hotel California », se réunit depuis pour quelques tournées occasionnelles.
Cécile Delarue présente son "French cookbook" à New York
Cette Française de Los Angeles dont French Morning LA avait dressé le portrait ici est de passage à New York pour une séance de signatures de son livre “The Everything Easy French Cookbook”, accompagnée de quelques démonstrations bien senties. Ca se passe à la boutique Maille dans l’Upper West Side (185 Columbus Avenue).
Cécile Delarue sera présente de 2 pm à 5 pm. RSVP au 212-724-1014 ou [email protected]
Crossing The Line, à la frontière de l'art en septembre
Préparez-vous à être surpris. Le festival pluri-disciplinaire du FIAF Crossing the Line revient explorer l’art sous toutes ses formes à New York, du jeudi 10 septembre au dimanche 4 octobre. Les tickets seront mis en vente fin juillet.
Pour cette neuvième édition, plus d’une quinzaine d’artistes internationaux vous transporteront aux confins de l’art, lors de plusieurs évènements, dont huit premières (dates ci-contres). Au programme : du discours, de la poésie, du cinéma, de la photographie, de la musique, de l’expression corporelle, et une palette originale de talents.
Crossing the Line s’ouvrira sur la première américaine de “Suite N°2”, du réalisateur et chorégraphe français Joris Lacoste. Dans ce concert de paroles harmonisé par le compositeur Pierre-Yves Macé, divers interprètes entremêleront des bribes de phrases. Toutes les séquences présentées sont issues de « l’Encyclopédie de la parole », une vaste base d’enregistrements entretenue par le réalisateur.
Le festival présentera également la première mondiale de “It was a time that was a time”, un film expérimental et “post-apocalyptique” sur les effets de l’ouragan Sandy. Le film, réalisé par l’artiste anglais Shezad Dawood, spécialiste du multimédia, a été filmé sur les plages de Far Rockaway, Coney Island, et Staten Island.
Dans un autre registre, les photographes français Mazaccio & Drowilal présenteront également des collages originaux et colorés à partir de photographies issues de la culture populaire, dans le cadre d’une première new-yorkaise à la galerie du FIAF.
Aux Etats-Unis, 33entrepreneurs vient recruter chez les "big guys"
“Nous soutenons des entrepreneurs qui ont de vraies chances de faire bouger les lignes au niveau mondial“. Vincent Pretet a le sens du pitch. Normal: son accélérateur, 33entrepreneurs – 33 commel’indicatif de la France et “entrepreneur” “pour rappeler que c’est un mot français” – organise des concours de pitches à tour de bras en Europe, “25 en 18 mois” .
Objectif: identifier les futures stars de trois secteurs précis: le tourisme, les vins et spiriteux et l’alimentation. Ensemble, ils pèsent “33% du PNB mondial” selon l’entrepreneur.
L’accélérateur bordelais franchit à présent l’Atlantique pour la première fois. En juillet, il organise des concours de pitches dans neuf grandes villes américaines (New York, Austin, San Francisco, Los Angeles, Boulder, Boston, Chicago) et canadiennes (Montréal et Toronto) pour dénicher les perles rares. Dates en encadré ci dessus.
“Ambition et humilité”
Les vainqueurs – trois dans chaque ville désignés par un jury local (journalistes, académiques, incubateurs, investisseurs…) – gagneront l’opportunité de pitcher pendant le salon Bon Appétech en octobre à San Francisco et Phocusright, dédié au tourisme, en novembre à Miami. Les trois meilleures d’entre elles rejoindront 33entrepreneurs pour trois mois d’accélération à partir de mars 2016.
Vincent Pretet et son équipe ont reçu 1.300 candidatures. “Nous venons avec de l’ambition et de l’humilité. Ambition car nous voulons accélérer les meilleures start-up, les soutenir et les faire venir en France. Humilité car les Etats-Unis sont le berceau des start-up. On va aller à New York et San Francisco notamment, des villes d’entrepreneurs. Ce sont eux les big guys.”
Dans un bus comme Barack Obama
Ce voyage américain, qui se fera “dans un gros bus comme Barack Obama” , a pour but de faire connaitre 33entrepreneurs aux Etats-Unis où l’accélérateur, fondé en 2014 par Vincent Pretet sur le modèle de Techstars, a “cartographié” 3.400 start-up dans ses trois domaines d’action. 33entrepreneurs a levé 2,4 millions d’euros pour soutenir sa première promotion de jeunes pousses, composée de quatre entreprises européennes. Elle ambitionne d’en récolter 20 millions pour l’an prochain.
“Comme Techstars, explique Vincent Pretet, nous ne soutenons pas des promotions de 50 start-up. Nous en avons une dizaine qu’on chouchoute, qu’on coache… Je ne veux pas faire une usine à start-up. Nous voulons faire du qualitatif.”
Les start-up qui veulent participer au concours de pitches de 33entrepreneurs peuvent postuler en ligne. Les concours sont ouverts au public.
“L’herbe est verte en France aussi”
Selon Vincent Pretet, ces jeunes pousses ont une marge de croissance importante. Le secteur des vins et spiritueux est “sous investi” selon lui. “Sur les 80 milliards investis par les capitaux risqueurs dans le monde, seuls 10% vont aux vins et spiritueux, au tourisme et au food” explique-t-il.
“L’Europe est la première zone de gastronomie et de tourisme. Nous sommes les champions du monde à 27, rappelle-t-il. En France, on a tendance à penser que l’herbe est plus verte chez le voisin. Mais l’herbe est verte en France aussi.”
Greenport en fête reçoit l'Hermione
“On va faire ce qu’on fait de mieux à Greenport: improviser” . Le maitre de cérémonie ne se laisse pas impressionner. La personne qui devait chanter l’hymne américain, lors de la réception d’accueil de l’Hermione dans cette petite ville aux confins du Long Island, n’est pas là: les embouteillages ont frappé. Alors, il réquisitionne le responsable du groupe des commerçants locaux pour entonner Star Spangled Banner.
C’est dans ce village souriant, niché entre l’océan chatoyant et les vignes, que l’Hermione a jeté l’ancre, lundi matin. Après New York le mastodonte, le changement de décor est radical: pelouses soigneusement taillées, devantures colorées, accolades entre voisins et viellards qui contemplent le temps qui passe au bord de l’eau… Greenport, port de 2.200 âmes, où marins-pêcheurs et spécialistes du monde marin se côtoient, a tout de la petite ville américaine parfaite.
Peter Clarke, descendant d’un colon français et responsable du Business Improvement District de la ville, a participé à l’organisation des festivités:
L’Hermione originale n’est jamais passée à Greenport, même si elle a livré des batailles non loin. Mais ce village, qui a prospéré grâce à la chasse à la baleine au XIXème siècle, voulait l’accueillir dans le cadre du festival Tall Ships of America, vitrine de vieux gréements. Ce lundi, l’Hermione était amarrée au côté de cinq autres spectaculaires navires.
A quai, une longue file d’attente de curieux venus en famille ou entre amis s’est formée le long des docks. Par-ci par-là, des drapeaux français, des drapeaux américains… Plusieurs dignitaires sont là: le maire de Rochefort Hervé Blanché, le consul de France à New York Bertrand Lortholary et les responsables de l’association des Amis de l’Hermione-La Fayette en Amérique.
David Bergson est marin:
“Les familles de Greenport se sont retrouvées pour l’occasion. Il y a eu des fêtes, beaucoup de champagne dans les jours passés, témoigne Michèle Roustan, un Française qui vient souvent à Greenport.
Le maire de la ville George Hubbard Jr. , élu en mars, fête son premier Tall Ships Festival (la précédente édition à Greenport avait attiré 60.000 personnes en 2012).
Sur le dock qui s’élance vers Shelter Island, un gabier qui accueille les visiteurs à côté de l’Hermione galère. “A partir du moment où personne ne me parle anglais, c’est bon” sourit-il. Malheureusement pour lui, la file est tellement longue que les responsables du navire souhaitent que l’équipage aille leur faire la conversation pour les faire patienter.
A bord, d’autres matelots profitent du déjeuner pour s’offrir une pause clope au niveau inférieur. Au-dessus de leurs têtes, les badauds affluent. Parmi eux, Chris et Mary, deux Américains du coin. Le premier, fin connaisseur de bateaux, admire la manière dont le poulailler a été reconverti en espace de stockage. Et la ferronnerie. “Il n’y a que les Français qui pouvaient faire des choses aussi belles” , glisse-t-il.
“A l’heure où tout le monde veut aller vite, des navires anciens comme l’Hermione nous rappellent ce que c’était de prendre son temps, de ne pas être à l’heure” .
Au East End Seaport Museum, vitrine de l’histoire maritime locale avec ses spectaculaires lumières de phares et ses maquettes de navires, on a sorti le drapeau français.
“L’Hermione chez nous, c’est Noël avant l’heure, lâche sa responsable, la pétillante Lynn Summers. L’histoire de La Fayette nous touche car les idéaux que nous, Américains, aurions dû défendre ont été soulignés par un Français. Il est venu de lui-même pour nous aider. C’est une histoire magnifique, qui reste très actuelle” .
Ginkgoa, une musique vraiment franco-américaine
Un vrai duo franco-américain, voilà comment on pourrait décrire Ginkgoa. Nicolle Rochelle vient de New York et Antoine Chatenet de Paris. Ils jouent ensemble depuis 2010. L’histoire raconte qu’après quatre ans de tournée avec Jérôme Savary, Nicolle Rochelle a découvert la musique du Français sur internet, et l’a rencontré le même soir par accident dans un club de jazz parisien.
Leur style? “Quelque chose entre Caro Emerald et Caravan Palace” selon la promo. Le groupe vous donne rendez-vous à New York pour six dates du 10 au 19 juillet. Dates ci-dessus.
Pourquoi ces fameux escaliers de secours à New York?
Que l’on se soit rendu à New York ou pas, elles font parties de l’inconscient collectif. Les fameuses issues de secours des bâtiments de la Grosse Pomme ont été empruntés par bien des héros, des amants ou des “bad boys”. Mais d’où viennent-elles?
Des issues de secours “mobiles” aux escaliers permanents
Au XVIIIe siècle, des incendies ravageurs se déclarent régulièrement à New York. Et les victimes nombreuses… Les pompiers doivent faire face avec des moyens qui paraissent bien dérisoires aujourd’hui. Ils apportaient eux-mêmes leurs issues de secours, autrement dit de simples échelles su un chariot, explique Roman Mars, auteur du podcast spécialisé dans le design et l’architecture 99% Invisible.

Le 2 février 1860, au 142 Elm Street, un grave incendie fait une dizaine de morts, la plupart des femmes et des enfants. “Les flammes partirent de la boulangerie, atteignant rapidement les étages où vingt-quatre familles habitaient. (…) Les escaliers étaient en flamme, impossible de s’échapper par-là. Les passants pouvaient voir hommes, femmes et enfants s’agglutiner aux fenêtres, criant pour demander de l’aide, agitant désespérément leurs mains”, écrit alors un journaliste du New York Times dans un article intitulé “Calamitous Fire”, le lendemain du drame.
Ces scènes dramatiques ont largement participé au passage de lois sur les issues de secours. D’abord ce furent de simples cordes et échelles obligatoires dans les bâtiments. Et ce n’est qu’en 1867 que les “fire escapes” sont devenues obligatoires. Le “Tenement House Act” du 14 mai 1867 spécifie ainsi que tous les immeubles, anciens et nouveaux, doivent être équipés de ces issues.
Un symbole du paysage urbain
Les issues de secours sont ainsi implantées durablement dans le paysage urbain new-yorkais. En 2009, le Times les décrit même ainsi : “Officiellement, bien entendu, les issues de secours sont utilisées pour les urgences. Mais à New York, ces vieux ornements sur les nombreux immeubles à cinq ou six étages ont une multitude d’autres fonctions : des sortes de jardins, des échappatoires pour les criminels, des oasis pour les fumeurs marginaux, des chambres de fortune du temps où la climatisation n’existait pas…”
Mais ces issues de secours ne sont pas sans danger. En 1975, le photographe Stanley Forman a reçu un prix Pulitzer pour sa photographie d’une mère et son fils tombant d’une issue de secours. Alors qu’ils étaient pris au piège d’un incendie dans leur immeuble, ils empruntèrent les escaliers de secours… Mais ceux-ci se sont effondrés. L’enfant a survécu, mais la mère est morte quelques jours plus tard à l’hôpital.
Plus esthétique que pratique
Ces escaliers de secours posent plusieurs problème. Depuis 1930, ils ne sont en effet plus reconnus comme une issue de secours “sûres”. Leurs désavantages sont nombreux : trop grandes pour les enfants, trop escarpées pour les personnes âgées, impraticables pour les personnes en fauteuils roulants…
Et comme le rappelle Roman Mars dans son podcast, on les utilise peu en cas d’urgence : “Les gens ne savaient souvent pas où les escaliers de secours étaient situés. Et de manière générale, ils essayent souvent de s’échapper d’un bâtiment par où ils sont entrés. Et les issues de secours modernes (escaliers à l’intérieur des bâtiments – ndlr) suivent justement cette logique. Mêmes s’ils ont l’air de simples escaliers, ils sont équipés pour éviter la propagation du feu : des portes coupe-feu, alarmes, arroseurs…”
Vidéo: l'Hermione croise la Statue de la Liberté à New York
C’est la photo-op que tout le monde attendait: l’Hermione croisant la Statue de la Liberté sur l’Hudson. Sans coups de canon s’il vous plaît. Les autorités new-yorkaises, sur les dents, ont grogné en entendant les 20 tirs effectués mercredi à l’arrivée de la frégate à South Street Seaport…
Le passage de l’Hermione devant la Statue en ce 4 juillet est le point d’orgue de son séjour aux Etats-Unis. Plusieurs VIP avaient fait le déplacement pour l’occasion. Parmi eux, le ministre de la défense Jean-Yves Le Drian et la ministre de l’écologie Ségolène Royal. Ils ont assisté au spectacle depuis un navire des garde-côtes américains, positionné en face de la Statue.
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La Statue de la Liberté et l’Hermione, deux belles femmes se croisent sur l’Hudson. Magique. French Morning y était. #july4th #hermione
Posted by French Morning on Saturday, July 4, 2015
“On attendait ce moment depuis très longtemps. On n’était pas sûrs qu’il arriverait. Il faut croire aux idées qui paraissent hors de portée” glisse Ségolène Royal, qui a soutenu le projet en tant que présidente du conseil régional de Poitou-Charentes.
“Je suis très ému, confie M. Le Drian. De voir l’Hermione devant la Statue de la Liberté, ça a beaucoup de force” .
En ce jour d’amitié franco-américaine, l’heure n’était pas aux sujets qui fâchent, en l’occurence la révélation par Wikileaks des écoutes de trois présidents français, dont François Hollande, par la NSA. “C’est le jour de la fête d’indépendance américaine, alors fêtons-là!” s’est contenté de dire M. Le Drian.
Trois heures d’attente
La veille, l’Hermione a pu mesurer sa popularité auprès des New-Yorkais. Vendredi midi, il fallait trois heures d’attente pour visiter la visiter. Une file impressionnante s’était formée autour du quai du navire à South Street Seaport, effet conjugué du jour férié et d’un article dans le New York Times. Dans la foule, difficile de passer à côté d’Ann, avec son survêtement estampillé Lafayette College. “Je suis une fan de La Fayette, lance la jeune femme. Je suis émerveillée par le fait que quelqu’un ait décidé de reconstruire ce navire à l’identique et de le faire traverser l’Atlantique”.
Avant de monter à bord de l’Hermione pour la première fois, Jean-Yves Le Drian a remis la légion d’honneur à 20 vétérans américains de la Seconde Guerre Mondiale, dont l’ancien Monuments Men Harry Ettlinger, qui a inspiré le film de George Clooney, et Benjamin B. Ferencz, ancien procureur au procès de Nuremberg.
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Moment d’émotion au moment des hymnes avant la remise de la légion d’honneur à 20 vétérans américains à South Street Seaport #hermione
Posted by French Morning on Friday, July 3, 2015
Pour Ségolène Royal, qui y participait aussi, l’Hermione est déjà une “réussite“. “Cela va permettre de concevoir un projet d’avenir auquel nous sommes en train de réflechir. L’Hermione va être un pôle touristique. On pourra la louer pour des séminaires d’entreprises, des réceptions, des événements culturels, faire des produits dérivés… Et surtout, elle est une vitrine pour des entreprises de savoir-faire. On peut aussi s’en servir comme une école de formation pour les métiers manuels” .
L’Hermione poursuit sa route américaine. Prochaine escale: Greenport dans le Long island, lundi 6 juillet.
Fêtez le 14 Juillet à San Francisco
Autour d’un bon repas, en musique ou en plein air, cette année encore le 14 juillet se célèbre à toutes les sauces dans la Baie de San Francisco. Tenez-vous prêts, car si le « Bastille Day » tombe un mardi, les festivités, elles, commenceront dès le 10 juillet.
Vendredi 10 juillet
“Bardot à Go Go pre-Bastille Dance Party ». Qualifiée de “pétillante” et “contagieuse” par SF Weekly, la soirée promet un retour musical dans les années yéyé avec un enchainement de tubes des années 60 signés Serge Gainsbourg , Jacques Dutronc , ou encore Brigitte Bardot bien sûr ! Rendez-vous au Rickshaw stop avec une entrée à 10$. A partir de 9pm, 155 Fell street, San Francisco, 415 861 2011.
Samedi 11 juillet
C’est une tradition depuis 1880 : le Comité officiel des associations françaises de San Francisco et de la Baie vous invite à son dîner (5 plats et vin inclus) dansant (Ron Borelli Orchestra) au Centre Basque de South San Francisco. Une tombola est également organisée avec, à la clé, un voyage pour deux personnes à Paris. Entrée 65$, à partir de 6pm, 599 Railroad Avenue, South San Francisco, (650) 583-8091. Infos ici
Dimanche 12 juillet
Evènement « à la bonne franquette » organisé par l’Alliance française de Berkeley qui vous ouvre grand son jardin pour un barbecue géant. Chacun emmène un plat à partager, ambiance accordéon garantie ! Evènement gratuit pour les membres, 10$ pour les autres. A partir de 12.30pm, 2004 Woolsey Street, Berkeley, 510 548 7481
Un petit tour dans le lieu incontournable du vin californien ? Rendez-vous dès midi avec l’Alliance française de Napa. Comme à Berkeley, un « potluck » est organisé : chacun apporte un plat ou un dessert à partager. Gratuit pour les membres et les moins de 12 ans, 10$ pour les non-membres. Pour ne pas vous perdre, une jolie Tour Eiffel blanche a été installée devant le point de rendez-vous ! A partir de 12pm, 528 Combs street, Napa, 707 252 2673
La fête nationale sent bon le Sud de la France avec la 10ème édition du tournoi de Pétanque des Francophones à San Francisco, qui célèbre le 14 juillet en partenariat avec le consulat de France. De nombreux lots sont à gagner et une tombola est également organisée. Gratuit et à partir de 1pm. Justin Herman Plaza, 1 Market Street, San Francisco, 408 398 2231
Ambiance “Garden Party” au milieu des vignes à Esterline Vineyards pour la « French Garden fête » organisée en partenariat avec l’Alliance française de San Francisco et la Maison de la Culture Noire Américaine. En présence de la chef et auteure de livres de cuisine, Jennifer Hill Booker. Menu à 185$. A partir de 5.45pm, 435 W Dry Creek Road, Healdsburg, (888) 474 7456
Le Bistro Bouchon à Yountville célèbre Bastille Day avec son chef Thomas Keller. Au menu : cochon rôti, crêpes, vin et music live avec Zydeco Flames et Tom Rigney & Flambeau. Des activités sont également prévues pour les petits. Possibilité d’acheter des tickets à l’avance : .) Le 12 juillet de midi à 7pm. 6534 Washington street, Yountville, 707 944 8037
Mardi 14 juillet
Pour commencer dès le déjeuner, le Mechanics’Institute de San Francisco accueille le groupe de jazz « Trio Gadjo » composé de la française Isabelle Fontaine, Jeff Magidson et Sam Rocha. L’entrée est de 15$ pour les membres et de 25$ pour les non-membres. Ce tarif comprend un plat du jour. A partir de 12.30pm, 57 Post St, San Francisco, (415) 393-0101
Rendez-vous ensuite, « of course », à Belden Place. La petite allée – vestige de l’ancien quartier français – se pare de drapeaux, ballons et autre banderoles tricolores. Oliver Azencot, gérant du café La Bastille, célèbre la fête nationale française ici depuis 25 ans. Au programme cette année: plusieurs DJ’s, un show laser et un repas (entrée/plat/dessert) entre 35 et 55$. A partir de 5pm. 22 Belden Place (entre Pine et Bush street). 415 986 5673
Pour les plus gourmets, rendez-vous à Gaspar brasserie pour déguster un menu (cinq plats) concocté par le célèbre chef français Hubert Keller (créateur notamment du burger à près de 5.000 dollars servi dans son restaurant « Fleur de Lys » de Las Vegas). Comptez 225$. A partir de 6pm, 185 Sutter St, San Francisco, (415) 576-8800
Pour les clubbers, rendez-vous au Hawthorn Club pour un DJ party. Aux platines : Dj Dao (8-9:30pm) Franky Boissy (9:30-11pm) Frenchie le Freak et le top chef Hubert Keller (11pm-2 am). Evènement organisé en partenariat avec l’Alliance française de San Francisco. Entrée entre 10 et 15$ Hawthorn Club, 46 Geary St, San Francisco, (415) 693-9255
Enfin, le consul de France de son côté remettra mardi matin la Légion d’honneur à cinq vétérans américains de la Seconde guerre mondiale à la Résidence de France. Le soir, il y organise sa traditionnelle soirée avec les représentants de la communauté française. Uniquement sur invitation.