Plus de deux cents mille festivaliers, des grands noms de la musique (Muse, Arctic Monkeys, David Guetta, Jacques Higelin..) : le festival breton les Vieilles Charrues fait rêver.
Pour aider à exporter le festival mythique à New York en septembre 2016, comme le souhaite son directeur, l’association des Bretons de NYC BZH New York organise un premier “Apéro Charrues” le jeudi 25 juin au restaurant Le Baratin. Des billets pour le festival 2015 (16-19 juillet) seront à gagner.
Les Vieilles Charrues avait commencé, il y a 23 ans, par une kermesse au bord de l’eau, “à la bonne franquette”. Il est aujourd’hui le premier festival français par sa fréquentation.
A Miami, le nouveau départ du papa de Point Cadres
L’ancien homme d’affaires Thierry Dufloo, installé à Miami, sort un livre au titre lourd de sens, Le Tout Nouveau Testament.
Dans ce livre auto-financé, sorti le mois dernier, l’ancien patron et fondateur de l’enseigne d’encadrement Point Cadres raconte son “histoire” , revenant notamment sur les déboires de son entreprise, leader du secteur en France au début des années 2000. “Mon histoire n’est pas très amusante mais ma vie l’est, j’ai donc choisi le ton humoristique pour ce livre” , raconte t-il.
Avant de quitter Saint-Tropez pour Miami, le Dunkerquois était un patron à succès. Inspiré de créer une marque de “prêt-à-accrocher” après avoir vendu des aquarelles dans la rue, ce “self made entrepreneur” lance Point Cadres.
En 1999, un magazine spécialisé dans la consommation racontait la success story de ce “cancre avéré et artiste mal compris” qui a triplé sa classe de 3eme et est passé brièvement par les Beaux-Arts. A l’époque, Point Cadres comptait 80 magasins en France et à l’étranger et tablait sur une croissance forte : + 69 % en 1999, soit un chiffre d’affaires prévisionnel de 110 millions de francs.
Après un développement fulgurant, six sociétés du groupe ont été placées en redressement judiciaire en 2003 par le tribunal de commerce de Dunkerque. Conséquence du recul du marché et d’un redressement financier, comme le rapportaient les Echos à ce moment-là.
En racontant dans son livre son parcours plutôt atypique, ses impressions à son arrivée à Miami avec sa famille il y a quatre ans et son expérience d’entrepreneur, Thierry Dufloo fait un constat plutôt amer sur la France.
Avec ce premier essai, il espère secrètement que « ce livre pourra faire changer les choses concernant les banques et leur tout puissants dirigeants » , qu’il tient pour responsable de sa chute à la tête de Point Cadres.
Entre la boutique de souvenirs de Miami Beach qu’il gère avec son fils et l’écriture, il a choisi. Après le Tout Nouveau Testament, il a rapidement repris l’écriture et travaille d’arrache-pied sur un roman d’amour et sur une politique-fiction. Pour lui, c’est un “exutoire” .
Le Paris chic de "Cléo de 5 à 7" à Austin
Le premier film d’Agnès Varda, “Cléo de 5 à 7“, était présenté au festival de Cannes en 1962. Il est projeté ces jeudi 25 et vendredi 26 juin à Austin.
Beauté fatale. Cheveux courts. Paris chic. Cléo attend d’importants résultats d’examens médicaux. Ses amis n’y portent guère attention. Son amant du moment non plus. La belle jeune femme part finalement marcher dans les rues de Paris, complètement angoissée. Elle rencontre alors Antoine, militaire en permission. Il attend lui aussi les résultats médicaux. Un profonde amitié se lie entre les deux personnages…
Comme un soupçon de néo-réalisme, Agnès Varda se range avec finesse dans le mouvement de la Nouvelle Vague française. Sur fond de libertinage discret (“5 à 7”, la référence à l’expression des infidélités cachées), Cléo va se rendre compte de la force et de la vacuité de l’existence. Un classique qui avait presque abouti à un remake produit par Madonna et qui était cité comme l’un des films préférés de Lena Dunham (créatrice et actrice de la série “Girls”).
A Los Angeles, le "hot swing" du Django Allstars Jazz Group
Du swing, du jazz et des virtuoses : le Django Allstars Jazz Group vient déverser son hot swing dimanche 5 juillet au Vibrato Grill Jazz de Los Angeles.
Le groupe s’inspire des années 30, des impros de Django Reinhardt ou des grands messieurs que sont Louis Armstrong et Duke Ellington. Les Français de Django Allstars font partie de ces groupes qui jouent du “hot-swing”. Un hymne à la musique populaire américaine qui enflammait alors les clubs des 40’s. On y dansait sans compter, à s’en user les semelles jusqu’au petit matin.
Car le swing, c’est un peu ça : une expression musicale qui colle au corps et à l’esprit, une rythmique qui dégourdit les plus timides, une invitation à l’évasion. Samson Schmitt, Ludovic Beier, Pierre Blanchard et DouDou Cuillerier l’ont d’ailleurs bien compris. Le “hot swing”, c’est d’abord un état d’esprit. Parfait pour une sortie dominicale.
Un petit-déj' "retail et innovation" à New York
Un petit-déjeuner de networking pour professionnels du “retail” : c’est ce que proposent le pôle d’excellence économique Euratechnologie et le réseau FrenchFounders le vendredi 26 juin dans l’espace de co-working Breather à Chelsea.
Le but ? Échanger, partager et conseiller. Les entreprises Fitizzy (service d’assistance shopping) , Vekia (logiciels de gestion prévisionnelle pour le secteur de la distribution) et Mazeberry (outil d’aide à la décision des annonceurs web) viendront se présenter.
Un "French Butcher" à la conquête des foodies de Los Angeles
“Un artisan boucher avec 45 ans d’expérience à Los Angeles ? Ca n’existe pas !” s’exclame Jean-Claude Setin, avec son bel accent niçois. C’est fort de ce constat que ce sexagénaire, marié à une Américaine et installé depuis quatre ans dans la cité des anges, a décidé de lancer samedi Le French Butcher, une boucherie artisanale à la française à Los Angeles.
Depuis la fermeture l’année dernière de Lindy and Grundy (un petit commerce sur Fairfax, tenu par un couple de bouchères hipsters adulées des foodies), les amateurs de viande bio de L.A font grise mine. Quelques entrepreneurs audacieux tentent aujourd’hui de reprendre le flambeau, comme Bel Campo à Downtown. Mais pour Jean-Claude Setin, peu de jeunes bouchers américains connaissent vraiment le métier.
“Il ne suffit pas d’avoir des tatouages et de savoir manier un couteau pour s’improviser boucher. Savoir gérer une chambre froide, connaître les différentes parties de l’animal sur le bout des doigts, tout cela s’apprend, après des années d’expérience”, explique ce passionné, qui a d’ailleurs pour projet d’enseigner son métier à de jeunes apprentis à Los Angeles.
“Il y a une vraie renaissance de la boucherie aux Etats-Unis. Mais la formation doit encore être approfondie. Ici, en trois mois, on peut devenir boucher, alors qu’en France, il faut bien trois ans”, souligne Jean-Claude Setin.
Des animaux nourris à l’herbe
En plus de son site de vente en ligne qui sera actif à partir de samedi prochain, The French Butcher compte ouvrir cette année et en 2016, trois magasins à Los Angeles, probablement à Downtown et dans le West Side. La préparation de la viande sera effectuée au L.A Prep, un espace collectif accueillant des start-up innovantes spécialisées dans le domaine de la gastronomie. Jean-Claude Setin a également créé un partenariat avec l’association caritative catholique St Vincent Meals on Wheels, qui sert 4000 repas bio chaque jour aux plus démunis, à Los Angeles.
“En Californie, j’ai trouvé une viande exceptionnelle, en allant à la rencontre des ranchers de la région de L.A qui élèvent des animaux entièrement nourris à l’herbe” affirme le boucher, qui regrette qu’en France, la qualité ne soit souvent plus au rendez-vous.
En plus de proposer de la viande issue d’animaux nourris à l’herbe et sans antibiotiques, Jean-Claude Setin souhaite faire connaître aux Américains l’expérience de la boucherie à la française. “Je veux être aux petits soins pour les clients. A Nice, je jouais tour à tour le rôle de confident et de nutritionniste !” lance-t-il.
Des coupes françaises différentes des coupes américaines
“Il faut expliquer le système des coupes françaises, plus fines, et qui utilise 95% de l’animal, contre seulement 65% chez les bouchers américains. Certains morceaux sont complètement inconnus ici, comme une partie du jarret de boeuf qui permet de faire une excellente fondue bourguignonne.”
Le boucher niçois compte également proposer de vrais poulets rôtis, des fromages, des vins français de petits producteurs et des bocaux contenant des plats traditionnels: daube, cassoulet, pot-au-feu, etc.
Originaire d’une famille implantée à Nice depuis quatre générations, Jean-Claude Setin a débuté jeune dans le monde de la boucherie. “J’avais un ami qui livrait de la viande pour un boucher, qui m’a proposé de devenir commis. A 13 ans, j’ai commencé un CAP”, raconte-t-il.
Par la suite, il gère plusieurs magasins pour un autre boucher et obtient de si bons résultats qu’il se lance à son compte, au sein de la cité marchande de la Buffa, à Nice. Il ouvre par la suite une boucherie à l’extérieur du marché. “C’est comme cela que j’ai rencontré ma femme et future associée Susan. C’était l’heure de la fermeture, je faisais mes comptes dans le magasin, le rideau était à moitié baissé, mais elle a insisté pour entrer car elle cherchait désespérément du fromage pour un dîner. A l’époque, elle était encore végétarienne… ”, s’amuse Jean-Claude Setin.
A Nice, ses clients s’appellent César, Roger Hanin, Pierre Cardin, Elton John ou encore Bradley Cooper. Mais la crise économique française le persuade de prendre sa retraite et de partir s’installer avec sa femme à Los Angeles, où il travaille quelques temps chez Lindy et Grundy.
“La première fois que je suis rentré dans le magasin, je me suis arrêté sur le seuil et rien qu’à l’odeur, j’ai su que c’était une vraie boucherie ! Je veux que les clients aient la même expérience en passant la porte du French Butcher.”
Le French Festival, bons plans français pendant 10 jours à Los Angeles
Les perles de Kéchiche avant "La vie d'Adèle" à Miami
Si « La vie d’Adèle » a amplement fait parler de lui lors de sa projection à Cannes en 2013, où il a reçu la Palme d’Or, Abdellatif Kéchiche s’est fait connaître en tant que réalisateur avec cinq autres films, dont “l’Esquive” en 2004.
Le Coral Gables Art Cinema en projettera quatre d’entre eux lors de “Kéchiche before Blue”, du samedi 4 au dimanche 12 juillet, en partenariat avec “Films on the Beach” .
Seront projetés : « La faute à Voltaire » (2000), récompensé par le Lion d’Or de la meilleure première oeuvre à la Mostra de Venise; « L’Esquive » (2004), qui obtint les César du meilleur film, du meilleur réalisateur et du meilleur scénario; “La Graine et le Mulet” (2008), récompensé des mêmes Césars en plus de celui du meilleur espoir féminin pour l’actrice Hafsia Herzi; et enfin « Venus Noire » (2009). Dates en encadré.
Les films sont projetés en français avec sous-titres en anglais.
La FACC Dallas se lance dans le foot
En octobre, la chambre de commerce franco-américaine de Dallas chausse les crampons. L’organisation lance son premier tournoi de foot inter-entreprises. Cela se passera le 4 octobre au Sole Roll Indoor Soccer.
Pour cette compétition, où vous pourrez montrer toute l’étendue de vos talents footballistiques à vos collègues et patrons, la FACC recherche 16 équipes de cinq joueurs, emmenés par un capitaine. Le format: 4 vs 4. Les inscriptions sont ouvertes.
Ilan Abehassera lance un téléphone familial relooké
Imaginez une sorte de tablette tactile qui n’aurait qu’une seule fonction: celle de communiquer avec l’extérieur. Voilà, en résumé, le nouveau bébé d’Ilan Abehassera, un entrepreneur trentenaire bien connu dans le milieu des start-ups françaises de New York, qui a revendu sa start-up Producteev (un logiciel de gestion de tâches) à Jive fin 2012.
Ily, le nom de ce nouvel objet connecté, permet donc d’appeler ses amis ou sa famille, laisser des messages (appel vocaux ou video-chat) , partager des photos, des dessins. Une sorte de téléphone fixe nouvelle génération.
Il est disponible en pré-commande depuis mardi 23 juin (pour 199 dollars), avec une livraison à l’automne. “On commence par des pré-commandes car c’est plus facile de jauger la demande avant la production, et cela permet d’avoir du cash et d’être en meilleure position pour discuter avec des retailers”, explique Ilan Abehassera.
Pour cette première incursion dans le monde des objets connectés, Ilan Abehassera s’est entouré de spécialistes du sujets, avec des ingénieurs passés par Withings ou Parrot, références françaises dans ce domaine. Au total, son équipe rassemble 13 personnes à New York (avant tout des Français, venus pour rejoindre la start-up ou recrutés sur place), payés grâce à une levée de fonds de 2,4 millions de dollars réalisée l’année dernière.
L’objet, qui sera produit en Chine, a été pensé pour être utilisé par des enfants à partir de trois ans, qui pourront par exemple appeler leur grand-parents ou leurs cousins tout seuls (il y a une fonction qui intègre le décalage horaire).
L’avantage par rapport à Skype ou FaceTime ? Les enfants y ont directement accès, et l’objet est entièrement dédié à cette fonction, affirme l’entrepreneur, père de trois enfants âgés de deux à sept ans. “Ils ne pourront pas l’utiliser pour aller sur You Tube ou faire des jeux, et le device sera toujours chargé, toujours à la même place” – normal, il ne fonctionne pas sans fil.
L’objet est connecté au Wi-Fi, mais il est aussi possible d’y brancher son câble téléphonique, et l’utiliser pour recevoir les appels de sa ligne fixe, avec un combiné sans fil. Pour que la communication s’établisse, l’interlocuteur doit soit avoir un “Ily” chez lui, soit télécharger l’app Ily.
Et pour ceux qui se demandent, Ily est l’anagramme de I Love You. A voir si les enfants trouveront cela réciproque.
Michel et Augustin entre au forceps chez Starbucks
“Le truc est dingue!”, lance, accoudé à une table d’un Starbucks de Times Square, Michel de Rovira, co-fondateur de la marque Michel et Augustin.
Vêtu d’un tablier orange et venu de France pour l’occasion, le patron fêtait l’arrivée, ce lundi 22 juin, de sa marque chez Starbucks – 60 enseignes new-yorkaises proposeront leurs gâteaux d’ici la fin de la semaine. Ce lundi 22 juin, les paquets au chocolat noir à la pointe de sel sont bien là, dans un carton juste à côté de la caisse. “C’est énorme. Ou plus exactement, cela pourrait devenir énorme si ce petit phénomène se transforme en vraie opportunité commerciale.”
Pour l’occasion, Michel et Augustin organisait un happening dans un Starbucks, avec distribution de produits et une sono qui envoyait de la dance, certains clients esquissant, avec les commerciaux de Michel et Augustin, quelques pas de danse. “Cela fait dix ans, soit en gros depuis notre création, qu’on a identifié cette chaîne comme l’endroit où on devait aller vendre nos gâteaux. On a eu un premier rendez-vous avec Starbucks France fin 2004, et depuis, rien n’avait jamais abouti”, se souvient Michel de Rovira.
Jusqu’au vendredi 12 juin dernier, “à 5:53 pm”, comme le précise l’entreprise, reine du buzz et du story-telling. Ce jour là, coup de fil d’un assistant du patron de Starbucks : il souhaite avoir des démonstrations de produits. “Cette personne était tombée sur nos gâteaux à l’épicerie Bedford Cheese, à Brooklyn”, explique Michel de Rovira. En effet, depuis un an, Michel et Augustin tente petit à petit de se développer aux Etats-Unis, en commençant par New York, et a placé ses produits dans 200 points de vente.
Plutôt que d’envoyer les gâteaux par Fedex, les malins entrepreneurs décident au pied levé d’y envoyer deux de leurs salariés, Charlotte et Hassan (chez Michel et Augustin, on n’utilise pas les noms de famille). Objectif : faire goûter leurs gâteaux autour d’un café au patron, Howard Schultz. “On est parti le lendemain à deux à Seattle, avec quelques paquets de cookies”, raconte Charlotte, brand content manager chez Michel et Augustin, qui en a profité pour réaliser plusieurs vidéos sur cette aventure.
[youtube http://www.youtube.com/watch?v=iXjzz9mFhuU]
En même temps, la marque lance toute une campagne sur les réseaux sociaux (#AllezHowardUnCafé) pour soutenir l’opération, et incite les gens à prendre en photo un mug avec ce message.“Cela a super bien pris, on a eu plus de 2 000 images”, affirme Charlotte.
Le lundi, les deux messagers se pointent à l’entrée de la firme. Personne. Ils commencent à faire une vidéo, et une personne s’approche, leur demande qui ils sont. “Une heure après, on nous propose de rencontrer Howard Schultz. Il a salué notre culot, notre prise de risque et notre persévérance. Et il nous a proposé de venir raconter notre histoire le lendemain à une réunion avec 500 de ses salariés”, raconte Charlotte.
Quelques jours plus tard, le contrat était signé. “On n’aurait jamais réussi sans cette campagne sur les réseaux sociaux et sans le culot de Charlotte et Hassan, qui ont réussi à séduire les équipes de Starbucks”, affirme Michel de Rovira
Depuis le 22 juin, des gâteaux Michel et Augustin sont donc vendus dans 25 Starbucks de New York, et ce chiffre devrait passer à 60 d’ici la fin de la semaine. Avant de continuer de s’étendre, si tout se passe bien. Mercredi, la marque trouvera aussi une petite place dans les étagères de 10 Starbucks parisiens, et débutera au Royaume-Uni en septembre. Tout cela est bien sûr à relativiser: l’enseigne américain compte 21.000 cafés dans le monde.
Ce lundi à New York, dans les vitrines de ce Starbucks de Times Square, trônent les gâteaux et croissants d’une autre entreprise ayant réussi un “deal” avec le géant du café. Il s’agit de La Boulange, une marque créée par un Français de Californie, que Starbucks a rachetée il y a trois ans, avec toutes ses enseignes. La semaine dernière, Starbucks a décidé abruptement de fermer les 23 établissements La Boulange à la rentrée – pas assez rentables.
S’il s’est amusé du culot de Michel et Augustin, lorsqu’il s’agit de business, le patron de la plus grande chaine de cafés du monde ne leur fera pas de cadeaux.
40 trucs qui vont vous énerver lors de vos vacances d'été en France
Vous pensiez que vos vacances en France seraient une partie de plaisir? Détrompez-vous. Voici ce qui va vous taper sur le système.
40. Ne pas pouvoir payer votre baguette en carte bleue





35. Le format des dates
On a expliqué pourquoi le format est différent…
34. L’oubli de votre code PIN
33. Votre carte avalée au distibuteur
32. Vous avez oublié qu’il fallait garder votre ticket de RER pour en sortir
31. La météo
30. Le métro parisien qui ne fonctionne pas 24h sur 24
29. Les digicodes partout
Lire aussi: Pourquoi n’y a-t-il pas de digicode aux US
28. Des rooftops nulle part
27. Les mecs lourds en boîte
26. Les mecs lourds dans la rue
25. La boulangère qui ne te calcule pas
24. Les Parisiens qui ne te calculent pas
23. Le serveur parisien qui te prend de haut
22. L’agent de la RATP qui te prend de haut
21. L’agent de la poste qui te prend de haut
20. La poste
19. Les temps d’attente au Starbucks
18. Michel Drucker, toujours là
17. Vos amis qui se plaignent…
16. De tout…



12. Mais qui ne quittent pas la France
11. Parce qu’ailleurs, il y a plein de problèmes aussi de toute manière
10. La fermeture des magasins le dimanche
9. La fermeture des banques le lundi
8. Jean-Luc Mélenchon
7. La grève des pilotes
6. La grève des taxis
5. Les taxis
4. Les gens qui crachent sur Uber
3. Les taxis qu’on ne peut pas héler dans la rue
2. Le RER B
1. La facture de téléphone qui va exploser