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La French Restaurant Week met le couvert à New York…et Chicago

La sacro-sainte semaine des gourmets francophiles revient à New York en juillet pendant la Bastille Week. Du lundi 13 au dimanche 19 juillet, la French Restaurant Week propose, dans plus de 30 restaurants français de la Grosse Pomme, des menus à prix fixe. Et pour sa 6eme édition, l’évènement gastronomique s’exporte à Chicago.
Les restaurants participants, dont la liste est en cours d’élaboration dans les deux villes, proposent ainsi plusieurs formules – pour le dîner, et parfois le déjeuner –  dont la moins coûteuse s’élève à $17,89 (allusion à 1789) pour un cocktail et des amuse-bouches. Les deux autres formules sont à $35,78 pour deux plats et une boisson, et $178,90  pour deux ou quatre personnes.
Cette année, dans le cadre de son partenariat avec l’association de lutte contre la famine Action Against Hunger, la French Restaurant Week proposera également un évènement “dégustation de vin”, dans l’un des restaurants du groupe Forgeois. Les recettes seront intégralement reversées à l’association. N’oubliez pas de faire vos réservations plusieurs jours à l’avance, vos papilles vous en remercieront!
Les restaurants participants à New York (liste provisoire):
Antibes Bistro, New York – AOC Bistro, New York – Bar Tabac, New York – Bistro Cassis, New York – Bistro Citron, New York – Bistro Le Steak, New York – Bistro Vendôme, New York – Brasserie, New York – Brasserie 8 ½ , New York – Café Centro, New York – Café Noir, New York – Cercle Rouge, New York –– Chez Lucienne, New York – Gaby Brasserie Sofitel, New York – Jules Bistro, New York – La Gauloise, New York – La Mirabelle, New York –  La Sirène, New York – Le Baratin, New York – Le Bistro d’à Côté, New York – Le Tout Va Bien, New York – Madison Bistro, New York – Maison Harlem, New York – Orsay, New York – Paris Club Bistro & Bar, Chicago – Petit Poulet Radisson Martinique Hotel, New York – Singe Vert, New York – Tout va bien
 Les restaurants participants à Chicago (liste provisoire):
Bistro Voltaire, Kiki’s Bistro, Cyrano’s Farm Kitchen, Bistronomic, Brasserie by LM

Réunion pour lancer un programme bilingue à Washington Heights

Les programmes bilingues français-anglais vont-ils se hisser jusqu’au nord de Manhattan? Un groupe de parents, qui veut ouvrir un tel programme dans le District 6 (Washington Heights / Inwood), organise une première réunion d’information ce samedi 23 mai de 2pm-5pm (rain date: dimanche 24 mai) pour rassembler les familles intéressées.
Ils se retrouveront à Bennett Park (Fort Washington Avenue et 183rd St), côté sud, près des bancs. Le lieu précis sera annoncé sur la page Facebook du groupe. Ensemble, Washington Heights et Inwood couvrent tout le nord de Manhattan, de la 155eme rue jusqu’à la pointe de l’ile. La réunion information est gratuite.  Enfants bienvenus!

Réception avec le PDG français de Best Buy à New York

Il est l’un des rares Français à diriger une grande compagnie américaine. Hubert Joly, PDG de Best Buy (dont French Morning avait tiré le portrait lorsqu’il était patron du groupe hôtelier Carlson, son poste précèdent) recevra le premier “Alumni Award”  de la Sciences po US Foundation le 17 juin. Les tickets sont en vente.
Diplômé de Sciences po et de HEC, le Français a pris les commandes de Best Buy en 2012 dans un contexte difficile pour la marque de produits électroniques, marqué par une crise de gouvernance et des fermetures de magasins. Il a passé la majeure partie de sa carrière entre la France et les Etats-Unis travaillant pour  McKinsey & Company et Vivendi Universal notamment.
Ce premier “Prix des Anciens” marque les cinq ans de la Fondation Sciences po aux Etats-Unis, un groupe qui fait la promotion des programmes de Sciences po sur le sol américain. La soirée aura lieu au SoHo House.

Handpick, l'app qui cherche la recette gagnante

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Payman Nejati et Cédric Auger, qui habitent tous les deux à San Francisco, ne sont pas des cuisiniers d’exception. Leur style de recettes, ce ne sont pas celles qui nécessitent 15 ingrédients, mais plutôt celles qu’ils peuvent réaliser avec ce qu’ils ont dans leurs placards, en improvisant. Mais parfois, ils manquent un peu d’inspiration.
Voilà la problématique à l’origine de Handpick, leur app’ de recettes que l’on peut découvrir à partir des ingrédients disponibles chez soi. La dernière version de Handpick est disponible sur Iphone depuis février 2015, et sur Android depuis avril.
Concrètement, on entre les quelques ingrédients que l’on a dans son frigo, et l’app’ (qu’on a trouvée agréable à utiliser, épurée et intuitive, avec de grandes photos) propose une série de recettes, suggère des aliments qui se marient bien entre eux. On peut aussi effectuer une recherche par type de plats, thématique… L’application, gratuite, n’a pas de contenu propre. “On agrège le contenu de 300 blogs ou sites, soit environ 250.000 recettes”, explique Payman Nejati, le fondateur belge de Handpick.
L’originalité de Handpick est d’intégrer dans son app’ les posts de plats figurant sur les réseaux sociaux, en particulier Instagram (uniquement ceux qui sont assortis de la liste des ingrédients). “On pense que la vraie richesse n’est pas tant dans les sites de recettes que dans les photos que les gens postent. C’est pour cela qu’on a investi nos efforts technologiques dans la reconnaissance visuelle de la nourriture”, nous dit Cédric Auder, le Français qui est responsable des partenariats pour Handpick, et qui travaillait avant dans le consulting à San Francisco.
Chef looking at ingredients
Depuis le lancement de l’idée fin 2013, Handpick a levé trois millions de dollars auprès d’investisseurs et de fonds, et emploie 28 personnes, réparties entre San Francisco, Manille et Shanghai. Au départ, Handpick a d’ailleurs été créé en Chine. Payman Nejati y a vécu plusieurs années, où il travaillait pour le compte de marques alimentaires européennes ou américaines souhaitant s’implanter dans ce pays.
Pour l’instant, l’objectif est de rassembler une communauté d’utilisateurs – Handpick en revendique 230. 000. Ensuite, une fois la base formée, les deux partenaires ont plusieurs idées de sources de revenus. L’e-commerce évidemment: permettre acheter les ingrédients manquants sur des plateformes type Instacart ou Amazon Fresh. “On pourrait aussi faire entrer certains produits de marques dans la liste des ingrédients”, relève Cédric Auger.
Handpick pourrait aussi vendre des données issues de l’app’ à des entreprises agro-alimentaires, qui pourraient ainsi décrypter les comportements des consommateurs. “Mais on ne veut pas rentrer dans le business de la livraison. On veut vraiment aider les gens à faire des choix, à savoir ce qu’ils vont manger, et acheter. On veut être au monde de la nourriture ce que Kayak est aux compagnies aériennes”, poursuit Payman Nejati.
Et pour que Handpick séduise encore plus, Payman Nejati a trouvé un autre idée, très dans le vent : il “vend” son app’ comme l’une des solutions au problème du gaspillage alimentaire. Handpick permettrait de donner de nouvelles idées de recettes, permettant de ne pas jeter à la poubelle ce paquet de carottes qui traine depuis trois semaines au frigo. La recette miracle ?

Camps d'éte et cours de langue au French Institute Alliance Française (FIAF)

(Article Partenaire) Conçus pour les jeunes de 1 à 17 ans, les programmes d’été du French Institute Alliance Française (FIAF) sont le meilleur moyen d’améliorer son français en s’amusant !
Le FIAF n’est pas seulement la principale destination new-yorkaise pour la culture française, c’est aussi une école de langue réputée. Chaque été, ses programmes d’été accueillent enfants et adolescents, encadrés par des enseignants et animateurs de langue maternelle française.
A petits pas (Ages 1-4)
Une fois par semaine, les tout-petits  retrouvent les enseignants expérimentés du FIAF pour un cours de français élaboré autour  d’un curriculum thématique et d’activités variées (projets manuels, chansons, jeux, lecture d’histoires…). Les enfants de langue maternelle française sont regroupés dans des classes spécifiques. Ce programme de 4 ou 8 semaines est une première exposition à la langue et à la culture française.
Plus d’informations sur ce programme
Mini Fun in French for toddlers (3-4)
Ce mini camp, proposé à la semaine (journée entière ou demi-journée), est un programme complet (cours de langue, cuisine, art, yoga, musique, danse…) permettant une totale immersion en français à travers différents thèmes tels que « Clowns & Acrobates », « Navigateurs & Globe-trotters », « Sports & Gratte-Ciel », « Arts et Métiers ».
Plus d’informations sur ce programme
Fun in French for Kids (5-7 & 8-10)
Pour les enfants entre 5 et 10 ans, un programme hebdomadaire (9am-4:30pm) d’immersion en français est proposé du 22 juin au 14 août. Les enfants sont regroupés par âge et niveau de maîtrise de la langue. Les journées s’organisent autour de thèmes tels que « Cirque et Moyen-Age », « Nature et Sciences », « Les Olympiades du  FIAF », «  le Festival Junior des Arts » et se déclinent en activités linguistiques, artistiques et sportives. Les cours sont menés par les professeurs du FIAF et les ateliers sont supervisés par des experts venus d’horizons aussi variés que le cirque (avec la participation du Big Apple Cicus), la gastronomie, les arts (jazz, danse et arts plastiques) et le sport français (avec l’intervention de clubs de football – le Paris Saint Germains Academy – et d’escrime – le Sheridan Fencing Academy).
Plus d’informations sur ce programme
Immersion Classes for Teens (11-14 & 15-17)
Ce programme intensif (3 heures journalières pendant deux semaines) permet aux élèves de 11 à 17 ans, repartis dans différentes groupes d’âges et de niveaux de considérablement améliorer leur français oral et écrit, sous la tutelle d’enseignants francophones expérimentés. Idéal pour les débutants ou pour les élèves qui souhaitent accélérer leur apprentissage. Le programme a lieu le matin et peut être combiné avec les activités culturelles de l’après-midi, selon un tarif préférentiel.
Plus d’informations sur ce programme
Cultural Discoveries for Teens (11-14)
Proposition unique en leur genre, les « Cultural Discoveries » emmènent les jeunes de 11 à 14 ans à la découverte de la culture française, tout en restant à New-York. Visite de lieux prestigieux et rencontre d’artistes francophones (comédiens, musiciens, peintres, photographes, restaurateurs, designers, etc.) sont au programme.
Plus d’informations sur ce programme
5% de réduction pour les inscriptions de plusieurs enfants d’une même famille, et 10% de réduction pour toute inscription de plus d’une session.

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Note: les “articles partenaires” ne sont pas des articles de la rédaction de French Morning. Ils sont fournis par ou écrits sur commande d’un annonceur qui en détermine le contenu.

Gagnez 2 billets Miami-Paris avec XL Airways

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Comme chaque été, XL Airways rouvre le 4 juin sa liaison Paris-Miami. Pour gagner un billet aller-retour, rejoignez la FACC de Miami ce mardi.
Quoi? Un cocktail de la Chambre de Commerce Franco-américaine de Miami
Quand? Mardi 19 mai de 18h30 à 20h30
Event Address MapOù? Smith & Wollensky 1 Washington Avenue Miami Beach, FL 33139
Pourquoi? L’entrée ($20, ou $15 pour les membres de la FACC) donne droit à un ticket pour participer au tirage au sort et gagner deux billets aller-retour Miami-Paris.
Inscriptions ici

Pourquoi y a-t-il autant de cafards à New York?

On vit tous le rêve new-yorkais jusqu’au jour où l’on découvre que l’on partage son appartement avec une belle colonie de cafards. Le phénomène semble tellement fréquent que les New-Yorkais y sont devenus insensibles – “Tu as des cafards? Normal. C’est New York!” . Pourquoi semble-t-il y en avoir autant dans la Grosse Pomme? C’est la question bête de la semaine.
Tout d’abord, mettons les choses au clair: il n’est pas prouvé qu’il y a plus de cafards à New York qu’ailleurs. Et pour cause, il est impossible de les recenser. C’est un expert qui le dit. “Ils sont présents dans toutes les grandes villes. Mais on ne les remarque pas avant qu’ils ne causent de grands problèmes” selon Lou Sorkin, chercheur au Museum américain d’Histoire Naturelle à New York où il passe son temps à étudier cafards, araignées, punaises de lits et autres ragoûtantes bestioles.
Mais alors pourquoi a-t-on l’impression que les cafards sont partout à New York? Plusieurs hypothèses existent. Premièrement, la localisation de la ville. “C’est un port” , rappelle un autre expert en cafards Mark Stoeckle, chercheur au sein du National Cockroach Project, une initiative de la Rockefeller University visant à étudier l’ADN de ces insectes aux Etats-Unis. “Il y a beaucoup de nouvelles espèces de cafards qui arrivent dans les containers notamment ou qui y déposent des œufs. Les villes côtières sont traditionnellement plus exposées aux cafards” .
C’est ainsi que New York, terre promise, se retrouve avec une belle diversité d’espèces: “American cockroach” (qui vient d’Afrique), “German cockroach” (qui vient d’Ethiopie) et plus récemment le “Asian cockroach” ailé, retrouvé pour la première fois en 2013 près de la High Line.
Autre raison: le climat new-yorkais et ses étés chauds et humides, des conditions météo que les cafards adorent. Ils parviennent à passer les hivers rigoureux en se nichant dans l’extraordinaire dédale de canalisations et de réseaux souterrains (métro, égouts…) pour se maintenir au chaud en attendant le retour des beaux jours et de s’inviter dans votre cuisine. “Si on devait construire une ville pour les cafards, ça serait New York, ironise Mark Stoeckle. Les villes qui n’ont pas de réseau souterrain important n’ont souvent pas de problème de cafards” .
Le phénomène est accentué dans les villes comme New York qui comportent de nombreux logements collectifs… pas toujours bien entretenus. “La structure de certains bâtiments et la mauvaise maintenance n’aident pas, ajoute Lou Sorkin. Si vous avez des ouvertures dans la tuyauterie par exemple, les cafards auront le champ libre” . Et vous, un gros problème.

Bistro Cassis, un bon resto français un brin cliché

Bistro Cassis, restaurant bien connu des New-Yorkais, ouvre à Miami. Une idée de Jason Machado, l’un des propriétaires du Reststar Hospitality Group, qui a ouvert dix restaurants à New York dont quatre Bistro Cassis.
Il explique que le groupe new-yorkais a choisi Miami « pour sa diversité culturelle importante ainsi que l’envie des habitants d’explorer de nouveaux environnements culinaires ».
Reprenant le concept du bistro parisien qui a déjà fait ses preuves à Manhattan et Long Island, Jason Machado s’associe avec le chef italo-brésilien Horacio Oliveira, pour ouvrir ce nouveau lieu dans le quartier de Midtown. « Un quartier piéton exceptionnel, selon le groupe, avec un mélange de magasins et de restaurants. Bistro Cassis a parfaitement sa place. »
Le manager, Horacio Oliveira, ne cache pas que « le fait que les Français soient massivement installés à Miami et déménagent dans le quartier a été un élément déclencheur pour cet espace ». Et de préciser « le fait que le nouveau Lycée Français de Miami s’installe à quelques rues d’ici est définitivement un gros plus. »
Profitant de la gentifrication du quartier, le bistro Cassis remplit tous les clichés du restaurant parisien vu par un Américain : carrelage du métro parisien et sa photo en prime, imitation de candélabre, vieux buffet, serveurs en grand tablier. Seuls manquent Edith Piaf et les airs d’accordéon.
Bistro Cassis
A première vue le bistro semble sorti d’un plateau hollywoodien et pourtant les plats sont bons, bien préparés et vraiment français. Le chef lorrain Cyrille Bolle, accompagné de l’espagnol Oscar Garcia, préparent et servent les grands classiques : coq au vin, canard à l’orange, bœuf bourguignon et évidemment crêpes suzette, îles flottantes ou encore crème brûlée.
Les plats ne semblent pas vraiment adaptés pour la Floride du sud et son climat tropical. Et pourtant les habitués semblent ravis. Jason Machado précise sur ce point que « la clef du succès est de proposer des plats riches en goût sans ersatz. Ainsi, personne ne repart le ventre lourd mais plutôt satisfait et heureux. »
Les propriétaires se sont également employés à constituer une carte d’alcools et de vins proches des bars français : absinthe, cognac, eaux de vie, pernod, vins de pays. Rien d’exceptionnel mais assez de choix pour satisfaire les petites envies d’expat’.
Le site de Bistro Cassis

Un nouveau camp d'été français à Brooklyn et dans le Queens

Sophie Del Aguila est venue aux Etats-Unis (à Miami pour être précis) afin d’ouvrir son restaurant. Résultat: elle se retrouve à New York à lancer un « playgroup » francophone.
La jeune femme, revenue dans la Grosse Pomme en 2011 (après une expérience comme au pair en 2006), est derrière La Souris verte, une structure qui a ouvert ses portes en septembre près de PS 58, l’école publique de Carroll Gardens qui propose un programme bilingue. Elle lance son premier camp d’été en juillet et “peut-être août” pour les 3-10 ans dans le quartier brooklynite, repaire de Français, ainsi qu’à Astoria dans le Queens. Au programme: jeux, sorties, ateliers de cuisine, soutien scolaire pour les plus grands et diverses activités artistiques.
Dès la rentrée de septembre, à Brooklyn, elle entend proposer un playgroup matinal “uniquement en français” pour les 2-5 ans et une classe d’ “after school” pour les 6-10 ans avec des activités artistiques, culinaires et ludiques. Elle proposera aussi une aide aux devoirs et des sessions de tutorat aux 6-11 ans. Pour les plus jeunes, l’acquisition du langage se fait au travers d’une méthode dite du “bain de language”. Utilisée par l’orthophoniste française de la Souris verte Aodrenn Guyodo, elle permet d’enseigner des points de vocabulaire et de syntaxe à travers l’itinéraire d’un personnage (ici, les aventures d’une souris verte servent de prétexte pour aborder le vocabulaire des sens, de “l’école et de la maison” par exemple).
Diplômée en langues étrangères appliquées, Sophie Del Aguila a débarqué en 2010 à Miami pour se lancer dans la restauration, mais l’affaire a capoté après le retour précipité de son associé en France.
A New York, après un passage chez le fabricant de produits de parfum Crafting Beauty, la Parisienne enseigne dans une maternelle bilingue de deux petites classes à Fort Greene (Brooklyn), sur laquelle elle se base pour développer La Souris Verte. Sophie Del Aguila mise sur des effectifs de petites tailles (huit élèves) pour attirer les parents de Brooklyn et du Queens. A noter que la Souris verte d’Astoria ne proposera que le playgroup pour les 2-5 ans, et non l’ “after school” .

La recette du Costa Rica

(Article Partenaire) Pour réussir votre voyage sur mesure au Costa Rica :
– Emincer quelques tranches de tranquilité et faire revenir dans du sirop de cool.
– Incorporer délicatement une bonne mesure de forêt tropicale, lardée de tyroliennes en canopée et généreusement garnie de faune sauvage.
– Mélanger avec quelques rivières napées de rafting.
– Disposer à l’ouest le Pacifique, à l’est la mer des Caraïbes, puis saupoudrer de plages de rêves et de spots de plongée de classe mondiale.
– Monter une centaine de volcans en neige et les disposer sur trois cordillères.
– Assaisonner copieusement de gentillesse et de sens de l’accueil.
Une recette idéale à déguster en famille.
Bon appétit !
10 bonnes raisons de confier votre voyage à Terra Caribea, spécialiste du voyage sur mesure au Costa Rica:
1. Savoir-faire
Terra Caribea est membre de Terra Group dont l’expérience et l’expertise sont reconnues tant auprès des voyageurs individuels que des professionnels du tourisme.
2. Un voyage 100% personnalisé
Tous nos voyages sont conçus sur mesure, en fonction de vos attentes (étapes, centres d’intérêt, durée, budget, hébergement, prestations… ).
3. Notre connaissance du pays
Notre présence sur le terrain nous permet de vous apporter des conseils concrets et actualisés sur les régions à visiter, qu’il s’agisse de sites incontournables ou d’étapes hors des sentiers battus.
4. Sécurité
Garantir votre sécurité comme celle des équipes de terrain (guides, chauffeurs, accompagnateurs …) est, plus que notre responsabilité, notre priorité.
5. Qualité
Les hébergements, restaurants, excursions que nous proposons sont sélectionnés avec le plus grand soin, et régulièrement testés par nous-mêmes.
6. Réactivité et flexibilité
Nous sommes votre unique interlocuteur, francophone. Joignables par e-mail, téléphone ou skype pendant toute la conception de votre voyage, nous sommes également disponibles 24h/24 pendant votre séjour.
7. Prix concurrentiels
Nous tâchons d’opérer le plus souvent possible nous-mêmes nos services, sans intermédiaires ; nos devis sont basés sur les prix négociés directement auprès des prestataires (guides, transporteurs, hôtels …) avec lesquels nous travaillons dans le respect, la fidélité, la transparence et la durée.
8. Engagement éthique
Parce que nous sommes soucieux de l’impact de notre activité sur les territoires qui nous accueillent, nous nous engageons à observer certains principes dans l’exercice quotidien de notre profession en termes de respect, d’équité et de durabilité.
9. Confort et gain de temps
Itinéraire bien ficelé, fiches techniques avant votre départ, accueil privé dès votre arrivée, remise d’un carnet de voyage complet, réactivité en cas d’imprévu sur place : votre voyage est optimisé.
10. Facilités de paiement
Vous pourrez choisir entre un règlement par virement sur notre compte professionnel ou par carte bancaire sur notre plateforme sécurisée.
Contactez-nous pour l’organisation de votre voyage sur mesure au Costa Rica.
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Note: les “articles partenaires” ne sont pas des articles de la rédaction de French Morning. Ils sont fournis par ou écrits sur commande d’un annonceur qui en détermine le contenu.

Les Vieilles Charrues à New York? Ça se précise…

Jérôme Trehorel, le directeur général du festival Les Vieilles Charrues, ne sait pas quelle forme prendra la version new-yorkaise du festival, mais il sait au moins ce qu’elle ne sera pas. “On ne va pas refaire les Vieilles Charrues à New York” , dit-il clairement.
Avec 200.000 participants chaque année (dont 30.000 campeurs) et une armée de 6.000 volontaires, reproduire le festival à l’identique relèverait du doux rêve. Jérôme Trehorel, qui a rejoint les Vieilles Charrues comme volontaire en 1998 alors que le festival était déjà “le plus gros de France en terme de fréquentation” , envisage donc la possibilité de lancer une “soirée Vieilles Charrues” dans la Grosse Pomme.
Exit les Muse, Lionel Richie, Bruce Springsteen et Tom Jones qui ont ou vont faire le déplacement à Carhaix: la soirée ferait la part belle à des artistes du “Label Charrues”, tremplin pour musiciens bretons. Aucune décision n’a été prise pour le moment, comme l’indique Jérôme Trehorel:

Depuis son arrivée, jeudi, pour participer à la Fête de la Bretagne new-yorkaise (du 14 au 17 mai), le patron des Vieilles Charrues multiplie les contacts. Il a rencontré les organisateurs du festival de musique de Central Park SummerStage et de Make Music New York, sorte de fête de la musique locale. Vendredi matin, il avait rendez-vous avec une vingtaine de Bretons et d’amis de la Bretagne au restaurant O’Cabanon pour leur présenter le festival. La rencontre était organisée par BZH New York, l’association bretonne de la ville, qui entend servir de relais entre le festival et les Français de New York.
Son co-président, Simon Herfray, en appelle à la communauté et aux entreprises “françaises, bretonnes” pour soutenir la venue des Vieilles Charrues à New York.

En attendant, la Fête de la Bretagne se poursuit. Elle se clôturera le dimanche 17 mai avec un grand concert gratuit de plusieurs groupes, dont le Celtic Social Club, au M 1-5 à partir de 4pm.

Sisley Loubet, la Française derrière Rihanna et Shakira

Sisley Loubet a beau danser depuis cinq ans avec quelques unes des plus grandes stars planétaires – de Rihanna à P. Diddy en passant par Shakira – elle n’a pas pour autant la grosse tête. A 27 ans, cette jeune Française toute simple, originaire de Cayenne en Guyane, compte parmi les danseuses les plus en vue de Los Angeles.
“Danser sur de grandes scènes est une énorme récompense pour moi, mais chaque audition est aussi un énorme ‘roller-coaster’ émotionnel”, raconte l’artiste, qui vit à Los Angeles et collabore depuis trois ans avec la chanteuse caribéenne Rihanna. Avec elle, elle parcouru le monde en 2013, lors de sa dernière tournée internationale Diamond World Tour, puis les Etats-Unis, en 2014, lors de son Monster Tour avec Eminem.
Rihanna est une artiste d’un grand professionnalisme, avec laquelle j’ai beaucoup de chance de travailler. Nous avons à peu près le même âge, et des origines en commun. C’est une fille comme les autres. Elle est toujours très sympa avec ses danseurs, même si, du fait de sa notoriété, elle se dévoile assez peu”, raconte Sisley Loubet.
Sa réussite à Los Angeles ne l’empêche pas de porter un regard lucide, parfois même critique sur le monde de la danse aux Etats-Unis. “C’est un univers hyper-compétitif. Ici à L.A, tout est très “business-oriented”. Le look et le physique comptent énormément et les gens ne font pas toujours preuve de loyauté. Il faut apprendre à avoir les nerfs solides”, raconte la danseuse au sourire sage, mais au regard déterminé.
C’est bien loin des paillettes d’Hollywood que Sisley Loubet enfile pour la première fois ses chaussons de danse. “J’ai pris mes premiers cours en Guyane, à l’âge de 6 ans, dans une école appelée l’Adaclam. Un vrai petit cocon familial, avec une super ambiance”, se souvient la danseuse avec tendresse. Un autre danseur guyanais est passé par là : Yannick Lebrun, le seul Français faisant partie de la compagnie new-yorkaise Alvin Ailey.
Une bourse sponsorisée par Oprah Winfrey
Après le bac, elle s’installe à Paris, où elle est formée au Centre International de Danse Jazz Rick Odums. En 2007, elle obtient une bourse pour poursuivre une formation à New York au sein de la prestigieuse école Alvin Ailey, porte-drapeau de la danse afro-américaine aux Etats-Unis. “C’était une chance incroyable pour moi : je me rappelle avoir écrit une lettre de remerciement à Oprah Winfrey, qui était l’une de mes sponsors” se souvient-elle.
A Manhattan, Sisley Loubet se sent presque à la maison, tant la culture caribéenne est omni-présente. Elle y découvre aussi les techniques et le rythme de travail à l’américaine. “J’ai suivi deux ans de programme intensif. On commençait à huit heures du matin, et on finissait à neuf heures du soir. C’était dur mais j’ai énormément appris.” 
A sa sortie de l’école Alvin Ailey en 2009, elle est retenue pour travailler sur l’un des clips de la chanteuse Shakira. Puis elle continue de multiplier les collaborations et les spectacles avec des artistes aussi divers que P. Diddy, Katy Perry, Mary J. Blige ou encore le rappeur Pitbull. Elle enchaîne aussi les plateaux télé, du Jimmy Kimmel Live, à American Idol en passant par the Voice, the Ellen Show ou David Letterman. Depuis mars 2011, elle a choisi de venir s’installer à Los Angeles, plus riche en termes d’opportunités professionnelles.
De la danse à la chorégraphie
“Les Français sont très appréciés dans le monde de la danse aux Etats-Unis. Ils apportent une créativité particulière, raconte Sisley Loubet. Je pense à Sofia Boutella (ndlr: l’une des danseuses franco-algériennes de Madonna) ou encore à la troupe du Cirque du Soleil qui compte de nombreux Français. Nous avons un rapport de vérité avec notre art qui est très apprécié. J’ai beaucoup d’admiration pour la scène hip-hop underground française qui est d’une qualité exceptionnelle. Les Américains eux, excellent davantage d’un point de vue technique.”
En plus de ses activités de danseuse, Sisley Loubet réalise des chorégraphies pour des danseurs français et caribéens, et envisage dans le futur d’endosser la casquette de directrice artistique. “Toute petite, je peignais, je dansais, j’écrivais, je faisais de l’équitation. Aujourd’hui, mon expérience de la scène aux Etats-Unis m’a vraiment permis de comprendre comment on construit un show. J’aime bien l’idée d’être maîtresse de mes idées et de les voir se réaliser.”