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Une conférence sur la parentalité à Dallas

Parents, si vous n’avez jamais eu le courage de terminer les livres de Laurence Pernoud ou d’autres psychologues pour enfants, cette conférence est faite pour vous. La psychologue française Isabelle Filliozat , auteur et fervent défenseur de la “parentalité positive”, donnera une conférence sur la parentalité à la Dallas International School, le samedi 25 avril à 5 pm.
Spécialisée dans l’intelligence émotionnelle, Isabelle Filliozat a conseillé individus et groupes pendant plus de 20 ans. Elle est notamment l’auteur de seize livres de psychologie et leader de la parentalité positive en France, qu’elle enseigne dans les Ateliers de parents Filliozat. La conférence (en anglais) sera suivie d’une séance de dédicaces et d’un cocktail.

Gagnez des places pour le chef d'oeuvre "Jeux interdits"

French Morning et Rialto Pictures vous proposent de gagner une paire de tickets pour “Jeux interdits” (“Forbidden Games”), qui sort le vendredi 24 avril au Film Forum pour deux semaines. Remplissez le formulaire ci-dessous pour participer au tirage au sort.
Le film de 1952, signé René Clément, raconte l’amitié profonde que nouent deux enfants (Brigitte Fossey et Georges Poujouly) dans la France de 1940, sous occupation allemande. Elle (Paulette) a 5 ans et vient de perdre ses parents dans une fusillade. Et lui (Michel) 11. Ils se rencontrent lorsque la jeune fille va enterrer son chien et vont alors devenir inséparable, dans un environnement où la mort est omniprésente.
Ce petit bijou, basé sur un roman de François Boyer Les Jeux inconnus, a été couvert de récompenses à sa sortie, recevant notamment l’Oscar du meilleur film étranger en 1952 et un Lion d’Or.
Projections tous les jours (sauf les 26 et 27 avril et 3 et 4 mai) à 12:30pm, 2:20, 4:10, 6:00, 7:50 & 9:40; Dimanche 26 avril et 3 mai: 1:30pm, 3:20, 5:10, 7:00 & 8:50; Lundi 27 avril et 4 mai: 12:30pm, 2:20, 4:10 & 6:00.
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Bouge ton corps pendant la Bay Area Dance Week

Avec l’arrivée des beaux jours, vos cours de zumba vous font moins envie ? Rassurez-vous, la Bay Area Dance Week est là pour prendre le relais, et vous faire découvrir d’autres danses.
Du vendredi 24 avril au dimanche 3 mai, ce grand festival de danse organise plus de 500 événements gratuits dont des démonstrations, cours, conférences, et répétitions en plein air ou en salle dans San Francisco.
Le festival, qui avait rassemblé plus de 22 000 participants en 2014, est particulièrement populaire à San Francisco. L’événement “On dance” donnera le coup d’envoi du festival, avec un grand cours à Union Square Park, vendredi 24 avril à 12 pm.
Durant ces 10 jours, plus d’une douzaine de danses seront enseignées : classique, hip-hop, tango, samba, moderne, claquettes, danse du ventre, salsa et bien d’autres. Les cours sont adaptés à tous les niveaux et tous les âges.

"Incendies", un beau film sur le conflit libanais à San Francisco

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En ne nommant pas le Liban, ni le conflit qui a rongé le pays de 1975 à 1990, le libanais Wajdi Mouawad avait livré un texte puissant et incendiaire dans sa pièce “Incendies” (écrite en 2003), donnant une dimension quasi mythologique à cet affrontement.
Le Canadien Denis Villeneuve raconte à son tour le conflit libanais en faisant de la pièce un film. “Incendies” (sorti en 2010) sera projeté le mardi 28 avril par l’Alliance Française de San Francisco, à 7:00 pm.
Respectant les volontés posthumes de leur mère, Nawal, les jumeaux Jeanne et Simon quittent Montréal pour retrouver quelque part au Moyen-Orient leur père et frères présumés. En renouant ainsi avec leur terre d’origine, ils ne tardent pas à comprendre que le destin de leur mère était directement lié à la guerre civile qui frappe le pays. Un film de guerre tragique, et captivant.

Avec sa nouvelle boulangerie, Dominique Ansel veut sortir du Cronut

Le Cronut a toujours un succès délirant. Deux ans après son lancement, la création hybride du chef français Dominique Ansel suscite toujours un engouement déconcertant à New York.
“Chaque matin, il y a entre 100 et 150 personnes qui font la queue. Cela ne s’essouffle pas”, constate Dominique Ansel, qui entretient le buzz en ne produisant chaque jour qu’une quantité limitée de Cronuts, et en créant un nouveau parfum tous les mois. Ses 400 Cronuts quotidiens sont écoulés chaque jour avant 10 heures.
Et pourtant, il n’y aura pas un seul Cronut à la Dominique Ansel Kitchen, la nouvelle boulangerie-pâtisserie-café que le chef français va ouvrir le 29 avril dans le West Village, sur la 7ème avenue south. Dominique Ansel veut se renouveler.
Le concept est en plein dans l’air du temps. “DAK” (le surnom officiel de Dominique Ansel Kitchen) comportera 25 places assises à l’intérieur et 25 à l’extérieur – et un large trottoir pour faire la queue. L’espace sera organisé “comme un amphithéâtre”, avec au milieu une grande cuisine où les clients pourront voir leur mousse au chocolat “en train de se faire” et leurs desserts commandés “cuits à la minute”. “L’idée, c’est de laisser entrer les gens dans la cuisine, qu’ils fassent partie du spectacle”, nous explique Dominique Ansel. Entre six et dix pâtissiers seront à la manoeuvre, préparant une tarte au citron, ou donnant la touche finale à un millefeuille.
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Que pourra-t-on y manger ? La carte se veut originale. Dominique Ansel proposera une mousse au chocolat légère, “où l’on pourra choisir la quantité de chocolat”. Il y aura aussi une nouvelle version du kouign-amann, un brownie chaud aux feuilles de sauge, des beignets au matcha, un croissant aux amandes avec une touche de lavande, un croissant jambon-boursin-prosciutto, un egg-sandwich à l’encre de sèche, un croque-monsieur cuit au four…
Le chef a aussi imaginé une recette de pain au chocolat rond, ouvert, avec plus de chocolat et un beurre à l’orange. “Les gens se plaignent toujours qu’il n’y a pas assez de chocolat dans le pain au chocolat”, justifie-t-il.
D.A Kitchen comportera aussi un espace de type restaurant sur réservation, avec un menu de dégustation de huit desserts, dont le thème changera deux fois par an.
Mais s’il n’y aura pas de Cronut chez D.A Kitchen, il y en aura beaucoup dans la nouvelle boulangerie que Dominique Ansel va ouvrir à Tokyo le mois prochain. Il s’apprête à y passer un mois, pour former l’équipe. “Les Japonais sont très friands de pâtisserie française, et on anticipe un gros succès”, raconte le pâtissier français. Seront-ils aussi nombreux dans la file ?

Yasmina Reza jouée à New York

L’université de Fordham se penche sur Yasmina Reza ce 24 avril. Des étudiants du département de français et de théâtre vous attendent à 2:30pm dans l’Ildiko Butler Gallery située sur le campus du Lincoln Center. Ils joueront des scènes de la pièce “Art”.
Jouée à Londres, Paris et New York, elle raconte l’histoire de trois amis qui se prennent le chou après que l’un d’eux a acheté un énorme tableau complètement blanc. Les étudiants ont rencontré l’auteure de la pièce lors de son passage au 92 Y et à la librairie Albertine en février pour la sortie de la traduction anglaise de son livre Heureux les Heureux.
La performance, gratuite, est en français.
Acteurs: Daniel Duren, Ian Edlund, Anna Mortimer, Min Kim, Abigail Kayser, Ariana Pugh, Catherine Gallagher, Olivia Burgess, Xiaoyan Yuan, Yasmina Gourchane, Emily Thornton, Maria DeCasper et Cristina Martelo. Professeur: Hélène Godec.

"Le Sang du Poète" de Cocteau à Austin

Jean Cocteau s’invite à Austin ce mardi 28 avril. L’Austin Film Society projette “Le Sang du Poète” (“Blood of a Poet”), son chef d’œuvre expérimental.
Le film de 1932 raconte l’histoire d’un artiste confronté à l’une de ses statues qui prend vie. Pour le moins déconcertant. Enrique Rivero joue le poète et Lee Miller la statue dans ce film qui laisse entrevoir les futures œuvres de Cocteau, comme Orphée ou Le Testament d’Orphée. Les spectateurs apprécieront notamment les costumes réalisés par une certaine Coco Chanel.
Le film dure 49 minutes.

Nuit de la Philosophie: y aller ou ne pas y aller?

Léger vent de panique chez les Services culturels de l’Ambassade de France. La page Facebook de la “Nuit de la Philosophie” new-yorkaise affiche plus de 13.700 “joined”, synonyme de personnes qui ont l’intention de venir à l’évènement. Si tout le monde vient, la réflexion risque de devenir une sérieuse prise de tête. “On peaufine les détails, mais nous sommes prêts” assure Mériam Korichi, curatrice de cette nuit philosophique.
De la philosophie “à profusion”, rythmée par des performances artistiques accessibles au grand public durant une nuit entière. Tel est le concept qu’a imaginé et mis en oeuvre la philosophe et dramaturge française Mériam Korichi, sur demande de l’Ecole Normale Supérieure en 2010. Le pari était original, mais risqué. Pourtant, depuis cinq ans, “La Nuit de la Philosophie” – dont les trois premières éditions ont eu lieu à Paris, Londres (en 2012 et 2013) et Berlin – réunit chaque année plusieurs milliers de noctambules, et fait intervenir prés de 60 philosophes contemporains, avec de nombreuses performances artistiques, des chansons, des comédiens, des vidéastes et des DJ. Pour sa cinquième édition, l’événement se tiendra à New York, dans la nuit du vendredi 24 au samedi 25 avril  de 7pm à 7am.
“Ce n’est ni un colloque, ni un festival, c’est les deux à la fois” explique la fondatrice de l’évènement, qui souhaitait allier dès le départ “le sérieux de la conférence au ludique de l’art” .
“La nuit de la philosophie”, dont le succès s’est répandu “principalement par bouche à oreille” , est organisé cette année par les services culturels de l’Ambassade de France et l’Ukrainian Institute. Pour l’occasion, les organisateurs, qui se trouvent au coin de la 79eme rue et de la 5eme Avenue, ouvriront leurs portes au grand public, tout comme la librairie Albertine Books, la librairie de l’Ambassade.
Le choix de New York ne s’est pas fait par hasard. “D’une part, nous avons été sollicités très tôt par les services culturels de l’ambassade, raconte Mériam Korichi, et c’est surtout une ville d’artistes où le concept de rapping, de visibilité de la parole, est très fort” .
“A chaque fois, l’évènement ressemble à la ville où il se déroule, et s’adapte à la culture, à la langue de la population” ajoute-elle. Cette année donc, “La nuit de la philosophie” se déroulera intégralement en anglais. Mais le principe, lui, reste le même : enseigner et divertir avec 62 intervenants dont 30 venus de France, des conférences d’une vingtaine de minutes, et des performances artistiques “libres et libertaires” , dont l’une durera 12 heures. Parmi les intervenants, on retrouve les philosophes français Barbara Cassin, Jean-Pierre Dupuy, Bruno Karsenti, Francis Wolff “et forcément beaucoup d’intellectuels new-yorkais” .
Faisant fi des protestations contre la conférence programmée de l’intellectuelle Monique Canto-Sperber – accusée par un groupe d’universitaires dans Mediapart d’avoir fait oeuvre de censure contre “les Palestiniens et les critiques des politiques de l’Etat israélien” en 2011 -Mériam Korichi rappelle que la liste des invités a été composée très librement par “les 56 départements universitaires américains spécialisés en philosophie” .
Parmi les thèmes abordés, on citera : “La vie intellectuelle doit-elle être ennuyeuse?” , “La direction du temps” , “Cela en vaudra-t-il la peine ?” , ou encore “Une aventure dans les plaines” . Dans les prestations notamment, quatre acteurs feront une lecture de “La philosophie dans le boudoir” du Marquis de Sade, dans un vrai boudoir de l’Ukraine Institute. La discussion “Pouvons-nous rationellement préférer notre non-existence? Les réflexions de Rousseau sur la logique du nihilisme et du suicide” à 3:30 du matin ou “En défense du scientisme” à 2:50 risquent d’avoir du mal à passer. Il y aura heureusement du café et des croissants.
 

Jarvis, l'app des avocats, quitte Houston pour la Silicon Valley

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Financée jusqu’ici à hauteur de 650.000 dollars par des investisseurs privés, la start up Jarvis créée à Paris il y deux ans s’apprête à rencontrer des capitaux risqueurs de la Silicon Valley et les fonds d’investissements de sociétés aussi prestigieuses que Google, IBM, Oracle ou Sales Force.
La start up a été sélectionnée, avec seulement sept autres jeunes pousses d’origine française accompagnées par Business France, pour participer à la seconde édition d’Ubi i/o, un programme d’accélération avec lequel les fondateurs de Jarvis ambitionnent de lever deux millions de dollars en dix semaines, du 25 avril prochain jusqu’au 3 juillet.
« Depuis un an, nous avons atteint un bon équilibre entre les Etats-Unis, qui aiment être à la pointe de l’innovation, et la France où nos clients en cabinets juridiques et très petites entreprises (TPE) continuent encore d’explorer le cloud », explique le vice-président Amérique du Nord de Jarvis, Anthony Yeremian, qui a lancé la filiale américaine de l’entreprise à Houston, où il avait suivi sa conjointe, l’année dernière.
L’entreprise a été co-fondée par son frère Alexandre, le PDG de Jarvis, et Martin Bussy, le responsable des opérations de la start up. Son objectif: faire gagner du temps aux TPE (Très petites entreprises) en leur offrant un gamme de services (décompte des heures, production de factures, gestion des tâches et de la messagerie…). Au-delà de la solution Jarvis Legal, pour les cabinets d’avocats, la start up prépare le lancement de Jarvis Small Business pour des petites entreprises de tout horizon.
L’effectif de la start up s’est étoffé et compte désormais une petite dizaine de développeurs ainsi que des commerciaux pour un total de treize personnes.
A l’issue du programme d’accélération Ubi i/o, le PDG de Jarvis envisage de s’établir dans la Silicon Valley tout en continuant de superviser l’internationalisation de la start up. Déjà forte d’« un millier d’utilisateurs répartis dans quatorze pays d’Europe de l’Ouest, d’Afrique du Nord, en Russie, au Brésil et aux Etats-Unis, Jarvis s’apprête à s’implanter en Espagne en partenariat avec les éditions juridiques Dalloz et au Luxembourg en partenariat avec le principal distributeur de logiciels pour cabinets juridiques du pays », indique Anthony Yeremian. Jarvis a de beaux jours devant elle.

A Brooklyn, une église de gospel bien francophile

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Des églises qui jouent du gospel à New York, il y en a beaucoup. Mais des églises qui jouent du gospel “multiculturel”, comme la First Presbyterian Church of Brooklyn, il y en a beaucoup moins. La petite église de Brooklyn Heights, à l’origine caractérisée par sa communauté blanche et traditionnelle, a progressivement construit son identité sur un “multiculturalisme  volontaire” qu’elle véhicule et transmet à travers sa musique gospel. La chorale, qui s’est inspirée des églises afro-américaines traditionnelles, attire les visiteurs du monde entier. Nos compatriotes français les premiers.
Il y a un prés d’un an, French Morning citait la First Presbyterian Church of Brooklyn dans son article sur les 7 églises les plus originales pour écouter du gospel à New York. Depuis, la chorale voit le nombre de ses spectateurs français croître chaque dimanche. “C’est un vrai plaisir de rencontrer ces Français lors de nos concerts du dimanche matin, et les entendre nous dire qu’ils nous ont trouvés sur French Morning”, se réjouit Chris Neuner, musicien et audio-technicien au sein de la chorale.
La chorale, qui a sorti son deuxième album “Where I am” en novembre dernier, est désormais écoutée dans le monde entier. “Depuis que nous postons nos musiques sur Soundcloud, nous somme écoutés en Afrique du sud, en Corée, en Angleterre…” raconte Chris Neuner. A la tête de ce projet, sa femme, Amy Neuner, occupe le rôle de directrice musicale de l’église. Le couple, originaire du Wisconsin, a rejoint la chorale en 2000. A l’époque, le pasteur afro-américain Paul Smith, envisageait d’initier l’église au gospel. “Quand nous sommes arrivés, la chorale comptait seulement six personnes, majoritairement blanches, et restait surtout très classique. C’est avec l’influence de Paul Smith et son initiation au Gospel que l’église a opéré un changement culturel”.
Aujourd’hui, la troupe , qui “rassemble tous les âges, les origines et les traditions” , compte plus d’une trentaine de fidèles, dont certains sont des habitués des scènes new-yorkaises, comme la soliste Bertilla Baker ou le chanteur Mykal Kilgore. Une diversité qu’Amy Neuner entend exprimer à travers les choix musicaux de la chorale. La troupe se rassemble ainsi, chaque semaine, pour décider des chansons qui seront interprétées le dimanche matin, et n’hésite pas à mêler gospel traditionnel et contemporain, jazz, folk ou airs plus pop. Une musique “diverse,  à l’image de la congrégation.”

Carte: les escales de l'Hermione aux Etats-Unis

L’Hermione est en route pour les Etats-Unis. Premier arrêt : Yorktown, où la réplique du navire de La Fayette arrivera le 5 juin. Plusieurs autres haltes, dans des hauts-lieux de la révolution américaine, sont programmées pendant cette tournée nord-américaine, dont la derniere étape sera Lunenberg (Nova Scotia) le 18 juillet.
Point d’orgue de ce voyage 2015 : le passage devant la Statue de la Liberté le 4 juillet.
Cliquez sur les marqueurs rouges pour plus d’informations sur la destination (le voyage commence au sud):

Café-réunion de l'asso des enfants "dys" APEDA à Manhattan

APEDA New York, l’association des parents d’enfants dits « dys » (dyslexie, dyspraxie, dyscalculie, dysphasie, dysorthographie) ou précoces, tiendra son premier cafe-reunion à Manhattan le mardi 28 avril à 9am.
French Morning vous a parlé de ce groupe de parents qui s’est formé dans le Westchester en janvier. APEDA New York, antenne new-yorkaise d’APEDA, a pour objectif constituer un réseau de parents et de professionnels francophones des « dys » (psycho-motriciens, orthophonistes…) et organiser des discussions publiques autour de thèmes liés à l’apprentissage. La première, qui a eu lieu en janvier à Larchmont, avait pour sujet le stress des enfants expatriés.
La réunion à Manhattan, au Pain Quotidien (708 Third avenue), aura pour but de présenter l’association, de partager des expériences avec les parents présents et de mettre en place un groupe de soutien à New York. RSVP avant vendredi 24 avril.