Accueil New York fête son quart de siècle ! Pour souffler sa 25ème bougie, l’association des Français expatriés à New York vous convie à sa Coktail Party, le vendredi 1 er mai à 7:30 pm, dans Midtown Manhattan (l’adresse sera envoyée aux participants).
Les membres de l’association et leurs amis sont les bienvenus lors de cette soirée avec champagne, DJ et lotterie.
Créée en 1998, Accueil New York accueille, informe, et aide à s’installer les expatriés français et francophones à New York. Depuis cette date, l’association organise chaque année de nombreux évènements : en plus d’une permanence tous les jeudis matins dans les locaux du Consulat de France à New York pour les nouveaux arrivants, les bénévoles d’ANY proposent régulièrement cafés, “happy hours”, soirées ou activités sportives et culturelles pour ceux qui souhaitent se retrouver et échanger. L’association publie également le Guide d’Accueil New York avec de bonnes adresses et des tuyaux pour s’installer.
Soirée cocktail pour les 25 ans d'Accueil New York
Le docu "Dior and I" sur les coulisses de Dior sort à Dallas
Le documentaire de Frédéric Cheng “Dior and I” , dans les coulisses de la Maison Dior, sort au Angelika Film Center de Dallas le 24 avril.
Le film nous plonge dans le quotidien de Raf Simons, bombardé responsable de la haute-couture de Dior seulement huit semaines avant le grand défilé automne-hiver 2012 en lieu et place de John Galliano, viré pour avoir tenu des propos antisémites. Pour le rien arranger, Simons, un Belge qui a commencé comme designer dans le meuble, n’avait pas évolué jusqu’alors dans la haute-couture.
Le réalisateur français, qui a co-produit “Valentino: le dernier empereur” et co-réalisé “The Eye Has to Travel” sur l’ancienne rédactrice-en-chef de Vogue Diana Vreeland, a glané plus de 270 heures d’images. Depuis le moment où il rencontre son équipe dans les ateliers de Dior, on voit le designer en pleine préparation du show, entre moments de stress et de doutes et des instants de légèreté. Le documentaire a été applaudi par la critique. C’est le premier film que Frédéric Cheng réalise seul.
Poulenc et Satie au prochain Salon de Musiques
Mozart, Poulenc, Hahn, Duparc, Satie and Leo Smit : voilà les compositeurs européens qui seront au programme du prochain concert du Salon de Musiques, le dimanche 19 avril à Los Angeles.
Leurs oeuvres seront interprétées par un orchestre de musique de chambre, avec huit musiciens.
Le musicologue Julius Reder Carlson fera une petite introduction. Après le concert, une séance de questions-réponses avec le public sera organisée. Ensuite, direction le buffet pour des petits-fours et du champagne (inclus dans le prix).
Le Salon de Musiques est un cycle de concerts et de rencontres réguliers, qui vise à faire découvrir des artistes et des compositeurs de musique classique européenne. Les organisateurs veulent créer une ambiance intime et chaleureuse, à l’image des salons de musique du 18ème siècle.
Levez le coude à VeritageMiami
L’alcool va couler à flots du 15 au 18 avril à Miami et autour. VeritageMiami (ex-United Way Miami Wine & Food Festival) prend ses quartiers avec plus de 3.000 marques de vins, bières, spiritueux, accompagnées de plats.
Au programme: trois jours de dégustations d’alcool divers, de compétitions et d’enchères. Plusieurs grands sommeliers, caves à vins, producteurs de vins et de bières, accompagnés de chefs floridiens feront le déplacement pour ce grand rendez-vous, qui vise à soutenir United Way of Miami-Dade, une association qui dispense des programmes de soutien aux seniors, familles et enfants dans le besoin.
Avant le Barça, les supporters du PSG à New York se chauffent
Après une qualification épique contre Chelsea en mars, le Paris Saint-Germain est condamné à l’exploit face au Barça, mercredi, en quarts de finale de la Ligue des Champions. L’équipe peut compter sur ses supporters partout dans le monde, y compris à New York où le PSG Club NYC se prépare.
« Cela va être très difficile mais j’ai confiance. Je pense que l’on peut se qualifier de la même manière que lors des huitièmes avec deux matches nuls. Mais le mieux serait quand même de l’emporter au Parc des Princes mercredi », espère le cofondateur du groupe Pierre Watiez. Qui table sur « un 2-1 à l’aller », car « Messi va forcément marquer ».
Écharpe sur le cou et maillot floqué à son nom sur le dos, Pierre Watiez est le « capo » du PSG Club New York, co-lancé en 2006 avec Julian Stein. C’est lui qui, comme dans les tribunes « d’Ultras », met l’ambiance. A 54 ans, il donne l’impression d’en avoir 20 de moins lorsqu’il enflamme avec son mégaphone le Legends Bar, point de ralliement situé au pied de l’Empire State Building.
Malgré son poste de direction au Crédit Agricole et un emploi du temps serré, Pierre Watiez ne manque aucune rencontre de Paris. « J’arrive à me libérer, je m’arrange avec mes collègues. » Et il n’est pas le seul. Martin, commercial dans le vin et membre du club depuis trois ans, fait en sorte de ne pas avoir de rendez-vous à l’heure des matches. D’autres vont jusqu’à « poser » des demi-journées de congés. Les moins chanceux suivent les rencontres « en écoutant RMC ». C’est le cas de Victor, nouveau dans son entreprise, il « n’ose pas demander » une journée de liberté.
Cocktail-networking européen à Miami
La soirée sera européenne ou sera européenne. Les chambres de commerce européennes de Miami unissent leurs forces pour faire la fête et réseauter. Rendez-vous au Blue Martini le 16 avril.
Le cocktail-networking est organisé par la chambre de commerce franco-américaine et ses homologues espagnole, italienne, allemande et britannique. Elle est ouverte aux membres et aux non membres (20 dollars). Prière de s’inscrire avant le 15 avril.
Gérard Louis-Dreyfus, le riche ami français d'Harlem
De l’extérieur, le bâtiment ne paie pas de mine. Perdu dans une petite commune du Westchester, au nord de New York, l’entrepôt abritait jusqu’il y a peu un fournisseur de matériel électrique.
Désormais, c’est autre chose. Au total, plus de 3.000 oeuvres d’art appartenant à Gérard Louis-Dreyfus sont rassemblées dans cette galerie d’une dizaine de pièces. Parmi elles, 600 sont accrochées aux murs immaculés : toiles figuratives ou abstraites, sculptures, la plupart réalisées dans la seconde moitié du XXème siècle.
On y trouve pêle-mêle des oeuvres de Giacometti, Fernand Léger, George Grosz, Yves Tanguy, Leonardo Cremonini, Jean-Baptiste Sécheret, Helen Frankenthaler, Bill Traylor… D’autres sont stockées dans de grands panneaux coulissants.
La plupart de ces oeuvres n’appartiendront bientôt plus à Gérard Louis-Dreyfus : il vient de faire cadeau de l’essentiel de sa collection à Harlem Children’s Zone, une association qui va les vendre afin de financer ses activités – une école et divers programmes de soutien aux jeunes du quartier.
“C’est difficile de savoir quelle est la valeur de cette collection, je dirais que cela peut aller jusqu’à 50 millions de dollars”, estime Gérard Louis-Dreyfus, 82 ans, assis dans la cuisine attenante à la galerie. Il n’a plus beaucoup d’occasions de parler français, et appréhende un peu à l’idée de devoir employer sa langue maternelle, mais il suffit de quelques minutes pour le remettre dans le bain.
Vêtu d’un pantalon de flanelle et d’une fourrure polaire siglée au nom de son entreprise, il déambule entre ses oeuvres, peu loquace mais incollable sur l’auteur de chacune. “Je connais personnellement beaucoup de ces artistes”, affirme celui qui continue de suivre le marché de l’art et d’en acheter à l’occasion. “J’essaie de m’arrêter, mais c’est difficile.”
Héritier de cette famille bien connue dans le monde des affaires français (son grand-père, Léopold, a fondé l’entreprise Louis-Dreyfus, basée à Paris), Gérard Louis-Dreyfus est arrivé aux Etats-Unis à 8 ans, avec sa mère. Il a suivi ses études à Duke, puis travaillé comme avocat. A 37 ans, il a pris la direction du groupe familial, un mastodonte spécialisé dans les transports maritimes, l’immobilier, l’énergie, qui emploie aujourd’hui 22.000 personnes partout dans le monde.
“Quand je travaillais, j’allais en France presque une fois par mois. Maintenant, je n’ai plus beaucoup d’occasions d’y retourner”, confesse-t-il. Sa vie, il l’a construite aux Etats-Unis, et même anglicisé son prénom – ici, on l’appelle William. “Mais si Dieu me demande où je veux aller après ma mort, je lui répondrai la France, dit-il. La France a tout. C’est un pays très attirant, et très agréable à vivre.”
A la tête d’une fortune estimée par Forbes à 3,4 milliards en 2006 (l’année de sa retraite), Gérard Louis-Dreyfus a acheté de multiples oeuvres d’art dès les années 60, arpentant les foires comme la FIAC, à Paris. Une collection avec des styles “très divers” reconnait-il, avec quelques grands noms, et d’autres artistes peu connus.
Il a acheté ce bâtiment en 2009, et y a rassemblé ses oeuvres, dont beaucoup étaient exposées dans les locaux du groupe, où dans des hôtels de luxe que le groupe avait fait construire.
En donnant ses oeuvres à une association charitable, Gérard Louis-Dreyfus y a sans doute un intérêt fiscal, mais sa volonté de soutenir la communauté noire d’Harlem n’en est pas moins sincère.
“Ma volonté, c’est d’aider ces enfants, pour qu’ils puissent faire des études et réussir, explique-t-il. Depuis longtemps, ce pays n’a pas bien traité la population noire. J’ai pendant plusieurs années attribué des bourses à des étudiants noirs, afin de financer leur scolarité dans des universités. Ce qui m’intéresse avec Harlem Children Zone, c’est qu’ils agissent très tôt, dès la petite enfance, afin de combler les inégalités”, affirme-t-il.
Ses enfants ont bien réagi à cette nouvelle, assure-t-il. Sa fille ainée, Julia Louis-Dreyfus – l’actrice de “Veep”, et de “Seinfeld” – vient de sortir un documentaire, “The Generosity of Eye”, sur la décision de son père d’attribuer ses oeuvres aux enfants d’Harlem.
“Mes deux autres filles, qui travaillent dans le social, étaient aussi très en faveur de cela”, assure Gérard Louis-Dreyfus, qui habite tout près de sa galerie. Quant aux autres membres de la famille Louis-Dreyfus, il n’en dit mot. “Je suppose qu’ils approuvent aussi, mais s’ils n’étaient pas contents, je ne pense pas qu’ils le diraient”, glisse-t-il.
En attendant leur vente progressive au bénéfice d’Harlem Children’s Zone, les oeuvres vont rester dans cette galerie, qu’il est possible de visiter sur rendez-vous, en petits groupes, le mardi ou mercredi. Des groupes d’enfants de Harlem sont déjà venus à plusieurs reprises visiter “leur” collection.
Dansez toutes les semaines à Bryant Park
Avec l’arrivée des beaux jours, les cours habituels de zumba dance en salle vous font beaucoup moins envie. Rassurez-vous, vous allez pouvoir vous déhancher en plein air et en musique sur les pelouses de Bryant Park.
Du mercredi 6 mai au mercredi 24 juin, des cours de salsa, swing, ou encore tango sont organisés chaque mercredi de 6pm à 8.30 pm près de la fontaine du parc dans le cadre de “Dancing in Bryant Park”.
Ces rendez-vous dansants pour tous les âges et niveaux sont organisés et animés par la danseuse professionnelle péruvienne Talia Castro-Pozo, qui enseigne la danse à New York. Elle a participé à des reprensations de ballet dans le monde entier et dansé sur Broadway.
Pourquoi les Américains adorent les dents blanches?
Les Etats-Unis ne sont pas le pays du “Hollywood Smile” pour rien.
Le marché du blanchiment dentaire pèse 11 milliards de dollars aux Etats-Unis. En moyenne, les activités de blanchiment génèrent 25.000 dollars par an pour un cabinet dentaire américain. Un marché juteux qui suscite bien des convoitises. Depuis plusieurs années, dentistes et non-dentistes se livrent un bras de fer judiciaire sur qui a le droit d’offrir des services de blanchiment. Une querelle qui est montée jusqu’à la cour suprême en février, quand elle s’est prononcée sur le cas d’un organisme professionnel de dentistes qui avait fait fermer une société de blanchiment dentaire tenue par un non-dentiste en Caroline du Nord.
Pourquoi cette obsession américaine pour le blanchiment dentaire? Pour Hugh Aldersey-Williams, auteur d’Anatomies: A Cultural History of the Human Body, c’est une opération marketing bien menée. “Les dentistes sont parvenus, à un degré extraordinaire, à construire un message qui lie l’apparence de vos dents à votre statut socio-économique” , résume-t-il.
Tout commence au début du XXeme siècle quand la marque de dentifrice, Colgate, commence à produire en masse ses premiers pots de dentifrice avec la promesse de garder les dents propres. L’usage du dentifrice et de la brosse à dents, vanté à coups de publicité, se répand au lendemain de la Première guerre mondiale, quand les soldats américains, ordonnés de se brosser les dents, sont revenus chez eux.
C’est avec Hollywood que les dents blanches cessent d’être un impératif hygiénique pour devenir un outil esthétique. Dans les films en noir-et-blanc, les dentitions qui n’étaient pas parfaitement blanches semblaient grises à l’écran. “Pour corriger cela, on fabriquait des prothèses extrêmement blanches pour les acteurs. C’était même prévu dans leur contrat” , explique Hugh Aldersey-Williams. Le fameux “Hollywood Smile” est né.
Les fabricants de produits dentaires et les dentistes s’en emparent. Dans les années 70, les publicités vantant le “sourire parfait” se multiplient. Les dents blanches sont associées pêle-mêle au “sex appeal”, à la réussite professionnelle, l’hygiène personnelle… La science donne un coup de pouce formidable à cette tendance. En 1989, un article paru dans une revue scientifique indique que de faibles quantités de peroxyde d’hydrogène, appliquées aux dents, peuvent blanchir la dentition. Les produits de blanchiment dentaires se multiplient (tablettes, gels, pastilles, chewing gums…). Les services de blanchiment fleurissent dans les cabinets dentaires et dans les supermarchés, les spas, les salons de coiffure…
“Autrefois, les Américains allaient chez le dentiste pour avoir une décoloration de base. Aujourd’hui, ils veulent avoir l’air beau , analyse James Gutmann, président de l’association American Academy of the History of Dentistry. C’est en partie l’influence de la publicité mais c’est aussi dû à l’évolution de la dentisterie américaine. Aujourd’hui, elle est pratiquée par de grandes compagnies, qui veulent vendre des produits. Les dentistes ne font pas le même travail aujourd’hui qu’il y a trente ans. L’objectif est de vendre, vendre, vendre” .
Vendre, mais jusqu’où? La pratique du blanchiment dentaire n’est pas sans risque. En fonction de la technique utilisée, le blanchiment peut affecter l’email des dents et les gencives, entrainer des douleurs et une sensibilité accrue. Et les dents pourraient devenir… noires.
A Chantemerle, les langues s'apprennent en altitude
Fondée en 1966 par la famille Wegmüller, Chantemerle est une école internationale pour garçons et filles de 6 à 16 ans. Magnifiquement située en surplomb du lac Léman, dans la partie française de la Suisse, l’école accueille une soixantaine d’enfants dans un internat chaleureux et familial. Durant l’année scolaire, Chantemerle suit les directives de l’Education Nationale Française et propose un programme complet de la maternelle à la 3e. Pendant nos camps d’été, des élèves du monde entier viennent à Chantemerle passer des moments inoubliables, riches en apprentissages, en souvenirs et en rencontres. Nous offrons aussi des cours ” à la carte” pour individuels ou pour des groupes durant les mois d’hiver lors de la saison de ski.
Plus spécifiquement, nos camps de science en anglais (du 20 juillet au 9 août 2015) permettent à nos élèves d’enrichir leur vocabulaire et de gagner en fluidité au travers d’ateliers scientifiques ludiques et pratiques. Finalement, du 27 juillet au 9 août 2015, les élèves souhaitant préparer efficacement leur rentrée scolaire peuvent s’inscrire à nos stages de révision en mathématiques et en grammaire française.
Pour en savoir plus sur l’école privée de Chantemerle en Suisse.
Pour s’inscrire en ligne au camp d’été 2015
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"A dinner for a cause", le gala a lieu chez l'artiste
C’est comme un diner de gala de 900 personnes, moins 880. Lancé par deux Françaises, “A Dinner for a cause” met le couvert ce vendredi 17 avril pour la deuxième fois. Le concept: un diner en très petit comité (une vingtaine de personnes) dans un atelier d’artiste, pour soutenir une cause. “On avait envie de dépasser l’idée d’une simple soirée, de créer du sens” , soulignent Camille d’Harcourt et Aleth Mandula, les deux amies qui ont créé le rendez-vous.
Le concept est taillé pour New York, une ville où les appartements et les maisons font parfois office de restaurants, de galeries ou de salons de musique.
Le premier “A dinner for a cause” a eu lieu en février dans le studio de l’architecte et artiste espagnole Cristina Guadalupe, au profit de l’association Reporters sans frontières, après les attentats terroristes de janvier en France. Dix-huit personnes y ont participé et 800 dollars ont été levés. “En voyant l’émotion en France, on a eu envie de participer de manière concrète. Pas en mettant ‘Je suis Charlie’ sur les réseaux sociaux” , raconte Camille d’Harcourt.
La tragédie a servi de catalyseur pour les deux amies d’enfance (la première travaille chez Moët Hennessy à New York et la seconde est en stage au FIAF). Avant de se retrouver aux Etats-Unis, elles réfléchissaient chacune de leur côté à créer une expérience de repas alternatif. Ex de l’Essec, Camille d’Harcourt avait participé à l’organisation des diners des champagnes Krug sur les toits de la Samaritaine en 2012. Aleth Mandula avait été, pour sa part, inspirée par les “7×7” parisiens, où sept performeurs se succèdent pour des shows de sept minutes dans un appartement. “Nous sommes de passage à New York. Nous voulions faire quelque chose de tous les contacts que nous nous faisions ici. Et rendre à New York ce que la ville nous a donné” dit cette dernière.
Pour chaque diner, elles “recrutent” un chef renommé et des artistes, dont les performances rythment la soirée. Tous les intervenants sont bénévoles. Le prochain diner, dont le thème est l’égalité hommes-femmes, est organisé dans le studio de l’artiste colombienne Jessica Mitrani au bénéfice de Make Love Not Scars , une association qui vient en aide aux victimes d’attaques à l’acide. Sa fondatrice, l’indienne Monica Singh, elle-même victime d’une telle attaque pour avoir refusé d’épouser un de ses amis, sera présente. Elle sera habillée pour l’occasion par la créatrice de mode française Sophie Theallet, dont Michelle Obama porte aussi les habits. Le chef étoilé Eduard Frauneder sera aux fourneaux.
“Contrairement à un gala où il y a des centaines de personnes, les invités sont amenés à se rencontrer, à partager. Ils viennent pour la cause, l’art” , souligne Aleth Mandula.
Les deux amies espèrent organiser un troisième et dernier diner avant leur départ de New York. Une autre amie, Eléonore Becheau La Fonta, les a rejoint. Prochaine étape: exporter le concept à Paris. “Je suis sûre que l’accueil sera bon. Les Parisiens sont curieux, estime Camille d’Harcourt, mais je ne sais pas si on aura autant de soutien” de la part de chefs et d’artistes. New York était l’endroit parfait pour se lancer.“
4 millions de dollars pour la maison de Gad Elmaleh à LA
Si vous cherchez une maison coquette du côté de Sunset Strip – et que vous avez 4 millions de dollars à dépenser – prenez contact avec Gad Elmaleh.
Le magazine Variety indique que la résidence du comédien à Los Angeles est en vente pour la modique somme de 3,9 millions de dollars. Soit une plus-value de plus d’un million de dollars depuis son acquisition en 2009 pour 2,6 millions auprès de l’actuelle compagne de Jimmy Fallon, Nancy Juvonen. Un acheteur inconnu aurait déjà mis le grappin dessus, poursuit Variety.
La propriété de 1932, d’une superficie de près de 464 mètres carrés, compte quatre chambres, 3,5 salles de bain, cinq cheminées, plusieurs salles de réception, une terrasse en hauteur qui surplombe une piscine, un spa et un espace surélevé pour faire bronzette, avec une banquette pour deux, selon la description de Variety (voir les photos ci-contre).
Gad Elmaleh s’est produit à plusieurs reprises ces dernières années aux Etats-Unis, s’essayant même au stand-up en anglais. Il a prêté sa voix à un personnage des “Aventures de Tintin” de Steven Spielberg et joué dans le “Midnight in Paris” de Woody Allen.