“La Paulée”. Le terme sonne très français, et pour cause: l’événement, qui fête du 24 au 28 février sa 15éme édition à New York, réunit chaque année les plus célèbres vignerons de Bourgogne et invite à déguster certains des millésimes de la région.
L’évènement reprend – à dessein – les rites de La Paulée de Meursault, une tradition bourguignonne datant de 1923. Populaire dans la région, celle-ci rassemble, à la fin de chaque vendange, propriétaires et travailleurs autour d’un banquet particulièrement arrosé.
Lancée en 2000, La Paulée de New York est devenue un rendez-vous incontournable des amateurs de vins de Bourgogne. Ambiance festive, rites traditionnels et chants autour de longues tables communales, tout est mis en œuvre pour préserver cet « esprit typiquement bourguignon ». A New York, il faut tout de même mettre la main à la poche: un diner-dégustation chez Daniel à 7.250 dollars la place est déjà complet!
A l’origine de ce rendez-vous annuel à l’accent très français, on retrouve une grande figure de la gastronomie américaine. Daniel Johnnes – actuel sommelier du groupe Dinex de Daniel Boulud, récompensé en 2006 par la James Beard Foundation – s’est inspiré de ses premières visites en Bourgogne. « Lorsque j’étais sommelier au restaurant Montrachet à New York dans les années 80, j’organisais déjà beaucoup d’évènements autour des vins de Bourgogne, mais ces vins n’étaient pas très reconnus ici comparés au Bordeaux. Puis une année, j’ai été invité par un ami à La Paulée de Meursault, et je me suis dit qu’il fallait faire ce grand évènement annuel à New York. »
Apprendre à ses compatriotes comment « vraiment apprécier le bon vin » telle est la mission que ce New-Yorkais de naissance s’est attribuée. Il ne ménage pas sa peine. Les dégustations sont assurées par prés de 50 vignerons du terroir, avec une cuisine traditionnelle servie par certains grands noms de la gastronomie française. Parmi eux, le chef d’honneur Daniel Boulud, ou encore les chefs invités Michel et César Troisgros de la célèbre Maison Troisgros, des « légendes » de Bourgogne, comme aime le rappeler le fondateur de l’évènement. « J’avais envie de montrer que le vin n’était pas qu’un objet de collection avec des notes données par des experts. Le vin c’est avant tout la convivialité, cet esprit qu’on voit si bien en Bourgogne ».
Aujourd’hui, l’événement rassemble les spécialistes du monde entier. Tandis que La Paulée New York comptait une grande majorité de New-Yorkais peu après son lancement, Daniel Johnnes se réjouit de pouvoir compter parmi ses invités des spécialistes venus d’Asie, d’Europe, ou de l’ensemble des Etats-Unis.
Et si le festival fait une belle publicité aux vignerons présents, Daniel Johnnes refuse de parler d’opération commerciale. « Ce qui est important pour moi, c’est avant tout de rendre accessible au grand public ces vins assez rares et chers, et de leur enlever toute connotation snobe ou élitiste ».
C’est notamment dans cet esprit que s’inscrivent la soirée “La Paulée Off-Grid” (le 24 février) et la “Burgundian Week” (du 16 au 28 février), deux évènements faisant partie du festival. Lancée il y a deux ans, cette “semaine bourguignonne” invite plus de 30 restaurants, cavistes et sommeliers des Etats-Unis à promouvoir leurs vins de Bourgogne lors de dégustations. Et à répandre toujours un peu plus cet “esprit bourguignon“.
A 15 ans, la Paulée de New York prend de la bouteille
Art, Wine & Luxe chez Daum
C’était la première des “Art, Wine & Luxe Experiences” présentées par French Morning et French Touch events.
Daum, le cristallier français, et sa société soeur Haviland (porcelaine) avaient ouvert leurs portes à nos invités pour une soirée dont le concept est de mêler art, luxe et vin. Les deux premiers éléments étaient l’apanage de Daum, qui, de Dali à Georges Braque en passant par Arman, a travaillé avec les plus grands artistes de leur temps, tous inspirés par la “pâte de cristal”. Parmi les collections actuelles, les oeuvres de Richard Orlinski, de Maria Luise Bodirsky ou encore Pierre-Yves Rochon.
Le vin venait lui du Beaujolais. En cette pré Saint Valentin comment choisir autre chose qu’un Saint-Amour?
Les photos:
L'avocat de Nafissatou Diallo fait le procès de DSK
DSK a échappé au procès dans l’affaire du Sofitel. Mais l’un des anciens avocats de Nafissatou Diallo, la femme de chambre au cœur du scandale, se charge de le mettre dans le box des accusés.
Douglas Widgor a publié, vendredi, une tribune dans le New York Daily News intitulée “Le procès de Dominique Strauss-Kahn qui aurait pu être” , dans laquelle il utilise les éléments qui ont surgi ces jours-ci en France lors du procès du Carlton de Lille, où Dominique Strauss-Kahn est poursuivi pour proxénétisme aggravé avec 13 autres prévenus.
“Que ce serait-il passé si le District Attorney (DA) de Manhattan n’avait pas abandonné les poursuites?” se demande Wigdor, qui avait défendu la femme de chambre du Sofitel au côté de Kenneth Thompson, devenu procureur à Brooklyn.
L’avocat juge “révélateurs” certains des propos sortis du tribunal lillois depuis le 2 février. Il fait référence en particulier aux mentions d’actes sexuels “brutaux” commis par l’ancien patron du FMI, “causant “des pleurs” et de la “douleur” alors que DSK souriait et prenait du plaisir sexuel” .
Il dépeint un homme inconscient de sa sexualité “plus rude que l’homme moyen” et imbu de lui-même. “Strauss-Kahn a eu des années pour préparer son témoignage devant le tribunal français. On peut seulement imaginer ce qu’il aurait dit s’il avait été interrogé par le NYPD après avoir été interpelé lors de sa tentative de fuite du pays à bord d’un vol d’Air France” .
Pour Douglas Wigdor, l’issue de ce procès américain qui n’a jamais eu lieu n’aurait fait aucun doute. “Est-ce qu’un jury aurait pu croire qu’une femme de chambre immigrée aurait consenti à une relation sexuelle brutale immédiatement après avoir posé son regard sur un étranger de 62 ans sortant de sa salle de bain avec une serviette autour de la taille?” demande-t-il.
Faisant fi des problèmes de témoignages de Nafissatou Diallo qui ont ébranlé le dossier, il repart à l’attaque contre les détracteurs de la femme de chambre, devenue restauratrice dans le Bronx. A commencer par la défense de DSK, qui a “inondé la presse de fausses informations pour décrédibiliser Diallo, en disant notamment qu’elle était une prostituée” .
Il assure que les propos de sa cliente sur de possibles gains financiers résultant de l’affaire ont été “mal traduits” . “Sa description de l’agression sexuelle commise n’a pas varié jusqu’à ce jour” , assure-t-il.
“On ne peut seulement imaginer la peine qu’elle ressent aujourd’hui, en sachant qu’elle a été sexuellement agressée mais que les poursuites contre son agresseur ont été rejetées et que sa défense est aujourd’hui ridiculisée à Lille .
Lire la tribune
Quand Jon Stewart parle de la France…
Lorsqu’il parle de la France, Jon Stewart ne manque pas d’imagination. L’animateur, qui a annoncé son départ prochain du Daily Show de Comedy Central, a régulièrement ironisé sur les travers de notre pays… On vous a sélectionné ses meilleurs moments.
1. Après la garde à vue de Dieudonné
[youtube http://www.youtube.com/watch?v=BXkk8xMSNmg]
2. Après les attentats à Charlie Hebdo
[youtube http://www.youtube.com/watch?v=5OWD9aP7O6o]
3. Lors de la visite de Francois Hollande aux Etats-Unis, en février 2014
Voir la video ici
4. Lors de l’élection Hollande-Sarkozy (2012)
5. Lors de la visite de Nicolas Sarkozy aux Etats-Unis (2010)
http://dailymotion.com/video/xct68q
6. Lors du “non” au projet de traité constitutionnel européen (2005)
7. Au moment du second tour Chirac – Le Pen (2002)
8. La visite de Nicolas Sarkozy chez les Bush (2007)
Une box française sexy veut charmer New York
On connaissait les “box” gastronomiques, les “box” beauté, mais pas les “box” d’amour. Il fallait bien deux Françaises pour y penser.
Charlotte Ogé et Lauriane Ackermann ont fondé Your Lovebox à Paris en 2013. Le concept: des coffrets contenant des produits coquins, disponibles dans les chambres d’hôtels. Plusieurs établissements parisiens de luxe ont déjà succombé à la tentation. Aujourd’hui, nos entrepreneures de l’amour veulent séduire les Etats-Unis, New York en pointe de mire. “On voulait raconter une histoire d’amour dans un coffret, faire sourire” , résume Charlotte Ogé.
Les deux diplômées d’écoles de commerce ont été présentées par une amie commune. Passée par une prépa littéraire et un stage en finance, Charlotte Ogé avait envie d’une “activité plus créative” . Lauriane Ackermann voulait, pour sa part, se lancer dans un projet de box – lors d’un séjour d’études dans une université américaine, elle avait planché sur un projet de boite de voyages. “On était toutes les deux célibataires à l’époque” , glissent-elles.
Les jeunes femmes s’attaquent à un marché peu exploité. Les hôtels proposent parfois des “kits d’intimité” , traditionnellement composés de vibrateurs, des préservatifs et des lubrifiants, mais pas ou peu de produits romantiques. La Your Lovebox disponible à New York contient notamment un plateau de jeux coquins, un foulard, un plumeau, une clochette pour recréer l’univers sensuel et élégant de “l’amour à la française” .
Les deux Françaises ont lancé la Lovebox avec le soutien de Blue Factory, l’incubateur de l’école de commerce l’ESCP, où Charlotte Ogé a étudié. Puis elles ont rejoint en 2014 le Comptoir, l’incubateur de JP Morgan, dont elles dépendent toujours.
Elles ont décidé de se tourner vers le marché de l’hôtellerie pour se distinguer de la “surabondance” de l’offre de boites thématiques vendues directement à l’utilisateur sur abonnement. C’est le cas notamment de Birchbox, la boite de produits de beauté qui a ouvert le bal des box aux Etats-Unis. “La tendance aujourd’hui est aux modèles de boites par abonnement mensuel. On s’est dit qu’il y en avait un peu trop. L’abonnement est une contrainte. Pour la pérennité à long terme, il fallait chercher d’autres débouchés: les hôtels et les hôtels-boutiques” , raconte Lauriane Ackermann, native de Strasbourg.
“Pour Birchbox, c’était logique d’avoir de nouveaux produits de beauté tous les mois. Mais en amour, la logique d’abonnement ne convient pas” , insiste Charlotte Ogé. A Paris, plusieurs hôtels quatre et cinq étoiles ont adopté la Your Lovebox, comme le Mandarin Oriental, le Vice Versa ou le Hyatt Paris Madeleine.
A New York, une ville avec “trente fois plus d’hôtels et des chambres plus chères“, le duo voit grand. Plusieurs groupes hôteliers, dont le Library Collection Group (Giraffe Hotel, Casablanca Hotel, Elysee Hotel) et des magasins de lingerie proposent leur box. Elles prévoient de lever des fonds et d’étendre la marque à d’autres marchés (Miami, Las Vegas, Los Angeles aux Etats-Unis, le Brésil demain probablement). Une e-boutique sera prochainement lancée aux Etats-Unis. L’amour donne des ailes.
Le camp Tékakwitha : un été de plaisir en français dans le Maine
(Article partenaire) Trésor caché situé à Leeds dans l’Etat du Maine, le camp Tékakwitha a été fondé en 1938 par des pères dominicains aux abords du magnifique lac Androscoggin.
Alors destiné aux enfants de travailleurs francophones gagnant leur vie dans les usines de textile environnantes, l’endroit accueille aujourd’hui des jeunes des quatre coins du globe, la plupart de ceux-ci provenant du Québec. On y trouve toutefois chaque année un contingent important d’Américains francophones.
Bien que la majorité des campeurs y passent quatre semaines, le camp offre la possibilité aux 8 à 10 ans de choisir un séjour plus court de deux semaines. Mais rares sont ceux qui optent pour cette durée écourtée après avoir goûté à tout ce que le camp Tékakwitha a à offrir !
Riche de plus de 75 ans d’histoire et de traditions, le camp Tékakwitha propose aux jeunes des activités axées sur la croissance personnelle et sur la vie de groupe grâce à un contact constant avec la nature, en concordance avec sa devise « Oser pour grandir ».
Par ailleurs, la grandeur du site, la qualité des installations et la proximité du lac permettent une étonnante variété d’activités : soccer, basketball, tir à l’arc, escalade, hébertisme, baignade, kayak, bateau à voile… Impossible de ne pas y trouver son compte !
Mais si ces activités garnissent déjà admirablement les journées des campeurs, ce sont les activités spéciales qui donnent toute sa saveur au camp Tékakwitha. Parmi celles-ci, notons des grands jeux thématiques, des expéditions en forêt ou en montagne, des olympiades et même une journée à la mer. Le tout orchestré par une équipe de membres du personnel dynamique et compétente, composée en grande partie d’anciens campeurs.
Le camp Tékakwitha se démarque également par la qualité de son programme pour les adolescents de 14 à 16 ans, programme gravitant essentiellement autour d’un séjour de randonnée sur la piste des Appalaches. D’une durée de 8 à 17 jours, cette expérience de marche en nature est précédée d’une préparation mentale et matérielle rigoureuse. Au bout de trois étés, les adolescents « tékakwithiens » auront parcouru les plus de 450 km qui composent la section du Maine de ce sentier mythique.
Avec un tel éventail d’activités, il n’est pas étonnant que, bon an, mal an, plus de 75 % des jeunes ayant séjourné au camp reviennent la saison suivante. Parce qu’ils savent qu’à chaque fois, ils seront accueillis à bras ouverts par une équipe passionnée et aguerrie, déterminée à tout mettre en œuvre pour leur permettre d’ « oser pour grandir » .
Plus d’informations sur le camp Tékakwitha
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A Dallas, la dénicheuse de sculptures françaises aux Etats-Unis
Où se trouvent les sculptures françaises aux Etats-Unis ? Un peu partout si l’on en croit FrenchSculpture.org, un répertoire détaillé lancé fin 2014 par l’université du Texas à Dallas et le Nasher Sculpture Center voisin.
D’après le recensement établi depuis cinq ans par l’archiviste française de Dallas Laure de Margerie, on peut voir les œuvres d’artistes français ou ayant séjourné durablement en France dans les musées d’art américains, mais aussi dans ceux de sciences, dans les bibliothèques, les bâtiments publics ou administratifs, l’espace public et même quelques collections d’entreprise, incluses au répertoire lorsque les sociétés l’y ont autorisée. « Riche actuellement d’environ 7.500 sculptures par 680 artistes situées dans plus de 300 lieux différents, y compris des sculptures intégrées aux façades ou décors de bâtiment, il est en constante évolution et le nombre final d’œuvres est estimé à 15 ou 20.000 », souligne l’experte.
Laure de Margerie et plusieurs de ses partenaires français et américains raconteront quelques-unes de des histoires de ces sculptures ce samedi 21 février à partir de 14h au Nasher Sculpture Center de Dallas (voir détails en encadré).
Elle s’est lancé dans ce projet titanesque au hasard d’un séjour aux Etats-Unis. « Juste avant le 11-Septembre, je convoyais une œuvre française au Clark Art Institute de Williamstown, dans le Massachussets, et, une fois le choc passé, j’ai décidé de profiter du blocage de l’espace aérien pour faire des recherches sur les œuvres françaises des musées américains dans leur bibliothèque d’histoire de l’art. »
Quand son conjoint (Olivier Meslay) a été recruté par le musée d’art de Dallas il y a six ans, Laure de Margerie a donc ressorti ce projet de son carton pour le présenter au professeur d’Art et Esthétique de l’université du Texas à Dallas Richard Brettell qui, en tant que francophile, l’a rapidement soutenu en lui consacrant une partie des fonds de son Centre pour l’étude interdisciplinaire des musées.
Même si le répertoire comprend beaucoup de bronzes, car « la France a possédé de très bonnes fonderies de bronze à partir du XIXe siècle et les collectionneurs américains ont acheté beaucoup de ces bronzes français réputés et recherchés », indique Laure de Margerie, la sculpture française aux Etats-Unis est donc loin de se restreindre à Rodin et à la statue de la Liberté. Ainsi, un buste de La Fayette d’après Houdon a rejoint l’Ohio Historical Society à bord d’un train de la reconnaissance française affrété après-guerre par la fédération nationale des anciens combattants des chemins de fer de France et l’Union française.
Ces histoires humaines qui expliquent la présence d’une sculpture à un endroit donné, c’est ce qui motive Laure de Margerie dans son travail d’archiviste. « Je travaille aux Etats-Unis dans l’esprit de la mission de service public que j’accomplissais aux archives de la sculpture du musée d’Orsay » (qui soutient également le projet avec l’institut national d’histoire de l’art, le musée Rodin et l’école du Louvre). « Les informations scientifiques du répertoire sont solides afin que les spécialistes y trouvent leur compte, mais avec ses trois onglets Artistes, Sculptures et Lieux permettant de rapidement interroger la base, le site s’adresse à tout amateur de sculpture, qu’il soit francophone ou anglophone (le site est bilingue), et même à tout curieux qui veut en savoir plus sur le processus de création d’une sculpture ou les expositions de référence. »
Brel, Piaf et Gabriel Fauré au LFNY
Edith Piaf, Jacques Brel et Gabriel Fauré: tel sera le programme du prochain concert au Lycée Français de New York (LFNY).
Celui-ci aura lieu le mardi 24 février, à partir de 7pm. Pour ravir vos tympans, ils seront deux. Le premier, c’est Remy Yulzari, un double-bassiste français, mais aussi un compositeur à ses heures perdues. L’autre, c’est Philip Lasser. Pianiste américain, il a développé au fil des ans une véritable passion pour l’Hexagone.
Ils rejoueront ensemble de grands classiques de la musique francophone, comme “Après un rêve” de Romain Bussine, “Hymne à l’amour” composé par Marguerite Monnot et chanté par la grande Edith Piaf, “Ne me quitte pas” de Jacques Brel, quelques compositions de Gabriel Fauré, et bien d’autres surprises encore.
Caroline de Maigret dévoile les secrets de la Parisienne au FIAF
Caroline de Maigret, c’est un peu l’archétype de la Parisienne vue par les Américains. La co-auteure de How to be a Parisian sera le 13 février à partir de 7PM au FIAF dans le cadre de la série de conférences “Creative leaders”.
Son ouvrage est consacré au style des Parisiennes, qu’elle décortiquera au FIAF. Avant d’écrire son livre, Caroline de Maigret était mannequin, pour Chanel, Dior, Balenciaga, Valentino, Lanvin, et bien d’autres maisons prestigieuses encore. Elle était aussi productrice de musique à ses heures perdues. Née à Neuilly-sur-Seine, ses deux métiers lui ont permis de beaucoup voyager. Mais visiblement ne lui ont pas fait oublier Paris et les Parisiennes.
Un Franco-américain à l'honneur au Coconut Grove Arts Festival
Le Coconut Grove Arts Festival fait son grand retour à Miami le week-end du 14 février, pour une 52eme édition haute en couleurs et en musique. Et cette année, c’est l’artiste franco-américain Duaív qui est mis à l’honneur.
Présenté par Terra Group, le très populaire festival d’art américain réunit et présente chaque année plus de 1.000 artistes d’Amérique du nord spécialisés dans les arts visuels, culinaires et du spectacle. Peintures, photographies, art digital, sculptures, aquarelles, et bien d’autres sont exposés. Et puisqu’il est aussi question de saveurs, les chefs des plus grands restaurants de Floride feront des démonstrations culinaires, chaque jour à midi.
Pour cette 52eme édition, l’attention se portera principalement sur le peintre franco-américain Duaív, artiste officiel du festival, ayant notamment réalisé l’affiche de l’événement. Vous pourrez y admirer ses diverses créations, dont « Voiliers » qui souligne la fascination de l’artiste pour la mer, et met en exergue son style vif et coloré.
Tournoi des Six Nations: Irlande-France sur TV5 Monde
(Article partenaire) Le tournoi des Six Nations, c’est reparti. Pas d’excuses: pour ne pas en perdre une miette même en étant aux Etats-Unis, rendez-vous sur TV5 Monde.
Le prochain match des Bleus aura lieu à Dublin, ce samedi 14 février. Entre les Irlandais et la Français, on ne va pas fêter la Saint-Valentin. Après une victoire peu convaincante face à l’Ecosse, les hommes de Philippe Saint-André auront à cœur de se racheter. Face à eux, les Irlandais sont gonflés à bloc après leur victoire sans appel 3-26 contre les pauvres Italiens.
Un match qui promet d’être chaud, à suivre en direct sur TV5 Monde USA à partir de midi (EST). Commentaires: Pierre-Étienne Léonard, Daniel Herrero.
Le site de TV5 Monde
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Cabaret français et Mardi gras à Santa Rosa
Cabaret français, crêpes et costumes : il n’en faut pas plus pour fêter un Mardi gras digne de ce nom.
L’Alliance Française de Santa Rosa vous propose de tester cette recette le vendredi 20 février à 6.30 pm au Vista del Lago Recreation Center. Et vous invite à revêtir votre costume le plus fantaisiste.
Pour l’occasion, et pour la première fois, l’événement sera animé par le groupe de musique Cabaret Crème. Composé de Français et de francophiles, Cabaret Crème allie chant, danse et comédie, dans un style léger et français. De quoi ravir les amoureux de la langue de Molière.
Vous aurez l’occasion de déguster les crêpes du chef Christine Piccin et de ses apprentis cuisiniers. Spécialiste de cuisine française, Christine Piccin a fait ses armes dans les cuisines des plus grands restaurants, avant d’écrire et enseigner ses meilleures créations culinaires. Pour les fins gourmets, la jeune chef donne des cours de cuisine au Culinary Arts Center et forme ses apprentis au sein du Culinary Arts program, au SRJC. Bon appétit !