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Franck Dubosc et Lambert Wilson mettent le feu dans "Barbecue"

Nostalgiques des barbecues d’été, vous pourrez toujours vous consoler avec le film “Barbecue”.
Celui-ci fait sa grande sortie digitale aux Etats-Unis le 26 décembre. Il sera disponible sur les plateformes de téléchargement telles que iTunes, Google Play, ou encore Vudu. Et pour les moins geek d’entre vous, le film français sort également au Quad, cinéma new-yorkais.
Réalisé par Eric Lavaine, le film rassemble un casting qui promet de belles étincelles : Lambert Wilson, Franck Dubosc, Florence Foresti, Jérôme Commandeur, Guillaume de Tonquédec et bien d’autres encore. Il raconte l’histoire d’Antoine (joué par Lambert Wilson), un épicurien, qui fait un infarctus le jour de son anniversaire. Il va alors devoir changer ses habitudes, et « faire attention ». Voilà une nouvelle qui risque de bousculer aussi les habitudes de ses proches…
 
 
 

French Tech à New York: 11 start-ups dont on parlera en 2015

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Les start-up gauloises n’ont jamais été aussi nombreuses à New York. Le Consulat de France recense 200 Français ayant lancé, au cours des dernières années, un business dans le domaine du numérique. Toutes ne réussissent pas, loin de là. Quelles sont celles qui sortent du lot ? Voici les start-ups dont vous allez entendre parler en 2015.
11. Curioos
La start-up de Mathieu Vaolatto, qui vend des œuvres d’art en ligne, a effectué une levée de fonds de 1,9 million de dollars cet automne. Elle ne propose que des séries limitées et numérotées d’oeuvres numériques. Cette société, basée entre Paris et New York, réalise la moitié de ses ventes sur son site, et l’autre via des distributeurs (sur des plateformes comme Gilt ou Fancy).
10. Cord
Cord est une application lancée sur l’Apple Store en septembre dernier, qui permet de laisser des messages vocaux à son correspondant, avec une jolie interface colorée. Le Français Thomas Gayno a quitté son poste chez Google et s’est associé à un collègue pour développer cette idée. Il s’est installé à Brooklyn, et a réalisé une levée de fonds de 1,8 million de dollars, notamment auprès du fonds d’investissement de Google.
9. Doobop
Benjamin Bernet, un ex-salarié de L’Oréal, a réuni 1,5 million de dollars en 2013 pour lancer Doobop, un e-shop de produits de beauté pour “peaux foncées”. Le site a démarré en trombe grâce à Oprah Winfrey, qui en a parlé à différentes reprises. Le fondateur, qui emploie quatre personnes à New York, boucle actuellement sa prochaine levée de fonds.
8. Date My School
Lancée il y a trois ans par Jean Meyer, un ingénieur toulousain qui terminait son MBA à Columbia, Date My School est une application de dating réservée aux étudiants et anciens élèves des universités. Installée à Brooklyn, la start-up a levé trois millions de dollars depuis sa création, emploie dix personnes, et revendique un million d’utilisateurs.
7. Sketchfab
Décrite comme le “YouTube de la 3D”, la plateforme d’Alban Denoyel permet d’exposer des fichiers 3D (objets, dessins…), de les intégrer sur un site web, ou les télécharger pour des impressions 3D. Sketchfab a débuté en France et 2012, et continue sa croissance à New York depuis 2013. La start-up, lauréate de l’incubateur TechStars, a levé 2,5 millions de dollars, emploie 10 personnes à Paris, et 5 a New York. Récemment, elle a signé un partenariat avec le British Museum, qui a sorti une collection exclusive sur Sketchfab, en libre téléchargement et imprimable en 3D.
6. Placemeter
Au cœur des big data, cette start-up créée il y a deux ans par Florent Peyre et Alexandre Winter commercialise un boitier qui permet de détecter le nombre de personnes qui passent devant un magasin, traversent une rue, ou font la queue sur un trottoir. Lauréate de l’incubateur TechStars, Placemeter a levé 6 millions de dollars au mois de septembre. Elle emploie une dizaine de personnes.
5. Sunrise
Ce calendrier intelligent lancé par Pierre Valade a effectué une levée de fonds de 6 millions de dollars cet été, à peine deux ans après son lancement. Cette application de calendrier gratuite permet de connecter tous ses agendas et données issues de ses boites mails, cloud et réseaux sociaux dans une seule interface.
4. FreshPlanet
FreshPlanet est une start-up qui crée des jeux vidéos pour mobile. Son jeu phare, SongPop, continue de très bien se porter, avec pas loin d’un million de joueurs par jour. “Au total, nous avons dépassé les 100 millions de téléchargements”, explique Mathieu Nouzareth, installé depuis 2010 à New York. Le fondateur va lancer dans les mois prochains quatre nouveaux jeux. Il emploie 35 personnes à New York. Au total, depuis ses débuts, FreshPlanet a levé 10 millions de dollars.
3. Adore Me
Adore Me, la boutique de Morgan Hermand-Waiche qui vend de la lingerie en ligne, continue sa croissance exponentielle. Lancée en 2012, le chiffre d’affaires de cette start-up devrait dépasser les 10 millions de dollars en 2014. Le magazine Inc l’a hissée à la 2e place des start-ups en e-commerce connaissant les plus fortes croissances aux Etats-Unis. Elle a levé 11,5 millions de dollars depuis sa création, et emploie une cinquantaine de salariés.
2. PeopleDoc
PeopleDoc, une start-up lancée à Paris en 2007, fait un carton. Elle aide les services RH à dématérialiser tous leurs documents (du bulletin de paie au contrat de travail, en passant par les bilan d’entretiens annuels), et permet aux salariés d’y avoir accès via le cloud. Il y a deux ans, son cofondateur Jonathan Benhamou a transféré son siège de Paris à New York. Il a levé 17,5 millions de dollars au mois de mai.
1. Dashlane
Dashlane, société dirigée par Emmanuel Schalit, est devenue un acteur incontournable du monde de l’identité numérique, avec une app’ qui permet à des particuliers de gérer et sécuriser leurs multiples mots de passe et moyens de paiements. Implantée à Paris et New York, elle emploie une quarantaine de personnes, et a levé 22 milllions de dollars au printemps. Ce qui porte sa levée de fonds totale à 30 millions depuis sa création, en 2009.

Le Los Angeles Art Show fête ses 20 ans

Le Los Angeles Art Show a décidé de fêter son vingtième anniversaire en grande pompe, du 14 au 18 janvier.

Né en 1994, ce salon n’était au départ qu’une petite initiative régionale, où se regroupait une vingtaine de galeries. Aujourd’hui, il est l’un des plus grands salons dédiés à l’art, rassemblant plus de 120 galeries, venus de 22 pays différents. Près de 50.000 visiteurs sont attendus cette année encore au Los Angeles Convention Center, où se déroulera l’événement.

Le salon sera divisé en quatre parties : l’art moderne et contemporain, les “historiques” et “traditionnels”, la section “posters vintages” et enfin, une section “impressions” présentée en collaboration avec l’IFPDA (International Fine Print Dealers Association).

Cette année, le Los Angeles Art Show accueillera aussi une exposition toute particulière, consacrée à l’art contemporain chinois. Seront présentées les sélections de grandes galeries basées à Shanghai.

Retrouvez la liste des galeries présentes ici.

"Les Diaboliques" au Festival du Film Noir de San Francisco

Les plus grands classiques du  film noir seront projetés au Castro Theatre du 16 au 25 janvier, lors du Noir City Festival (programme complet ci-dessous).
Au menu de cette 13ème édition, pas moins de 25 projections alléchantes. Le thème cette année sera “le côté obscur du mariage“. Exit le romantisme, la guimauve et les histoires d’amour qui finissent bien : à San Francisco, on montre les couples dans leurs plus sombres aspects. Ceux qui s’attachent à conserver une image intacte alors que plus rien ne va, ceux qui tentent de s’échapper d’une relation plus que malsaine…
En tête d’affiche, un film français: “Les Diaboliques”, de Henri-Georges Clouzot. La divine Simone Signoret, qui remporta en 1960 l’Oscar de la meilleure actrice, y joue Nicole, la maîtresse d’un certain Michel. Christina, portée à l’écran par Véra Clouzot, est elle, la femme de Michel.
Malgré leur amant commun, les deux femmes entretiennent des relations plus que cordiales. Cette amitié va d’ailleurs largement se nourrir de leur haine commune envers Michel. Tout bascule finalement lorsque Nicole propose à Christina de l’aider à tuer ce dernier… Même sans de grands effets spéciaux, le suspens est garanti avec ce film en noir et blanc. Il sera projeté à 22h le 24 janvier.
Le programme complet:

Vendredi 16 janvier :
“Woman on the Run” à 19h30
“Born to be bad” à 21h15
 
Samedi 17 janvier :
“Suspicion” à 13h30
“The Bigamist” à 15h30
“Ivy” à 19h30
“The suspect” à 21h30
 
Dimanche 18 janvier :
“Shockproof” à 14h et 19h30
“Sleep, my love” à 16h et 21h
 
Lundi 19 janvier :
“The thin man” à 14h et 19h
“After the thin man” à 16h et 21h
 
Mardi 20 janvier :
“Caught” à 19h15
“The set-up” à 21h15
 
Mercredi 21 janvier :
“Clash by night” à 19h15
“Crime of passion” à 21h15
 
Jeudi 22 janvier :
“The hidden room” à 19h15
“The sleeping tiger” à 21h15
 
Vendredi 23 janvier :
“The guilty” à 19h30
“No man of her own” à 21h15
 
Samedi 24 janvier :
“The steel trap” à 12h30
“Julie” à 14h20
“Cry terror !” à 16h20
“Obssessione” à 19h
“Les diaboliques” à 22h
 
Dimanche 25 janvier :
“Seconds” à 14h et 19h15
“The honeymoon killers” à 16h et 21h20

 

Emel Mathlouthi, la voix de la Tunisie à GlobalFest

Le GlobalFest renaît à chaque début d’année. Et ce n’est pas 2015 qui dérogera à la règle : rendez-vous est pris le 11 janvier au Webster Hall pour une 12ème édition pleine de surprises.
Le festival new-yorkais s’inscrit dans le cadre de l’initiative “January is Performing Arts Month in New York City”, un événement qui rassemble 45.000 personnes venues du monde entier, et pas moins de 1.500 performances, allant de la musique du monde à la danse, en passant par le théâtre.
Les musiciens du monde entier se retrouveront une fois de plus à GlobalFest cette année. Parmi eux, la Franco-tunisienne Emel Mathlouthi. Née à Tunis en 1982, elle est en 2006 finaliste du Prix RMC Moyen-Orient. Mais c’est surtout au tournant des années 2010 que l’artiste engagée commence à se faire un nom. En Tunisie, puis depuis la France, elle donne ainsi une série de concerts pendant les Printemps arabes pour soutenir les protestations. Compositrice, guitariste et chanteuse à la fois, Emel Mathlouthi mêle les influences, rock, orientales, voire lyriques.
Le programme complet, le 11 janvier au Webster Hall:
The Studio 
Emel Mathlouthi de 19 à 20h
Sam Lee de 20h20 à 21h20
The Jones Family Singers  de 21h40 à 22h40
Just A Band de 23h à minuit
 
The Marlin Room
Rivaaz Qawwali de 19h à 19h50
Kevin Johansen & Liniers de 20h10 à 21h
Emil Zrihan de 21h20 à 22h10
Kahulanui de 22h30 à 23h20
 
The Grand Ballroom
The Nile Project de 19h30 à 20h15
Zap Mama de 20h35 à 21h20
Bixiga 70 de 21h50 à 22h25
Puerto Candelaria de 22h45 à 23h30
 

Vous adorez French Morning et vous le dites!

Nous avons profité d’une petite sauterie organisée à New York (chez nos amis du bar à champagne Flute East), pour demander à nos lecteurs ce qu’ils pensaient de French Morning.
Parce qu’il n’y a pas de mal à se faire du bien, voici deux petits montages vidéo de ces messages qui nous vont droit au coeur et qui nous rappellent pourquoi nous faisons ce que nous faisons. Merci à vous tous!

Les vitrines de Noël des Grands magasins? C'était mieux avant…

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A Larchmont, une école catholique bien française

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Lorsque le père Frank entre dans une salle de classe de 4th grade (CM1) de Saints John and Paul, les élèves, en uniforme, se lèvent d’un bloc. “Combien d’entre-vous sont français ?” Un bon tiers de mains se lèvent. “Les Français sont partout !”, lance le prêtre américain, qui a vécu plusieurs années près de Bordeaux.
Mais que se passe-t-il à Saints John and Paul ? En à peine trois ans, cette école américaine catholique de Larchmont est devenue un aimant pour la communauté francaise installée dans le Westchester, au nord de New York.
Saints John and Paul, qui scolarise des élèves du Kindergarten au 8th grade (4ème) a lancé il y a quatre ans un programme à destination des élèves de langue maternelle française. Ils étaient neuf enfants inscrits à la rentrée 2011. Il sont 46 à la rentrée 2014, sur les 300 élèves que compte l’établissement.
“Et nous allons en avoir quelques élèves de plus au mois de janvier. Tout se fait par le bouche à oreille”, affirme Elsa Douineau, l’une des quatre professeurs de français, ancienne éditrice de livres scolaires arrivée aux Etats-Unis il y a onze ans et reconvertie dans l’enseignement.
Concrètement, les élèves francophones de Saints John and Paul suivent un programme américain classique et ont, en plus, pendant la journée, 45 minutes de “français pour francophones” en petits groupes de niveau : grammaire, dictée, vocabulaire, écriture…“Nous suivons le programme du Cours Saint Anne pour l’école primaire. Au collège, nous passons au CNED”, détaille Elsa Douineau.
Comme souvent, tout a commencé via des parents. “Une ou deux familles françaises fréquentaient l’église Saints John and Paul et ont décidé d’inscrire leurs enfants à cette école. Ils souhaitaient que ceux-ci continuent le français, alors nous avons proposé un programme d’after-school. Celui-ci est monté en puissance très vite, et nous l’avons intégré dans la journée”, raconte Fatima de Carvalho-Gianni, directrice de l’école.
Certains des élèves de l’école sont arrivés de la FASNY (French American School of New York),  un établissement bilingue qui a un campus situé dans la même ville. “Nous sommes différents de la FASNY, car nous sommes une école américaine  – mais tournée vers le français – , et avec des valeurs catholiques”, précise la directrice. Si l’école est ouverte à toutes les confessions, les élèves se réunissent tous les matins pour une “petite louange”, assistent à une messe une fois par mois, se préparent aux communions.
De plus, le modèle pédagogique est bien distinct. Avec un peu moins d’une heure de francais par jour, l’immersion dans cette langue est moins importante qu’à la FASNY. “Mais nous sommes très exigeants. Les élèves ont des devoirs, des lectures. Certains parents m’ont dit que cela avait été le déclic pour que leur enfant se remette à parler français à la maison”, assure Elsa Douineau, qui glisse que ses élèves de 3rd grade (CE2) ont remporté le deuxième prix du concours Nathan d’écriture, l’année dernière.
Mais la vraie différence entre ces deux écoles se joue sur les tarifs – l’école Saints John Paul étant bien moins chère que sa concurrente (7 750 dollars par an auxquels s’ajoutent 3 200 dollars pour le programme français) .
Avec ce changement démographique, l’école a commencé à intégrer des traditions francaises dans sa scolarité, comme la galette des rois. Les élèves sont aussi familiarisés avec les saints français. Les familles se mélangent, d’autant que les petits Américains apprennent aussi le français : l’école a instauré des cours de langues étrangères (français ou espagnol) obligatoires, à partir du Kindergarten, trois fois par semaine.
La présence française autour de cette école s’est tellement renforcée que l’année dernière, le curé a décidé d’organiser des messes en français dans l’église, affiliée à la communauté de l’Emmanuel, qui jouxte l’école. Elles ont lieu un samedi par mois, à 19h.

5 soirées dans l'univers de Jacques Rivette à Austin

La Film Society d’Austin vous propose de replonger dans les films de Jacques Rivette, le légendaire fondateur (et rédacteur-en-chef) des Cahiers du cinéma, et réalisateur de renom.
Cinq projections auront lieu à partir du 8 janvier, pour une immersion dans l’univers du cinéaste, pionnier de la Nouvelle Vague en France.  Réalisateur iconoclaste, qui travaillait sans scenario et en soumettant le synopsis aux acteurs la veille ou le jour du tournage, on lui doit notamment “Paris nous appartient”, “Le Pont du Nord” et “36 vues du pic Saint-Loup” et bien d’autres films depuis les années 60.
Programme complet:
– 36 vues du pic Saint-Loup (Around a small mountain), le jeudi 8 janvier, 19h30
– Céline et Julie vont en bateau (Celine and Julie Go Boating), le 15 janvier, 19h30
– Va savoir (Who knows), le 22 janvier, 19h30
– Ne touchez pas la hache (The Duchess of Langeais), le 19 janvier, 19h30
– Le Pont du Nord, le 5 février, 19h30

Le Paris d'Imogen Cunningham exposé à San Francisco

Paris vu par une Américaine, ça donne quoi ? Pour le découvrir, rendez-vous au Harvey Milk Photo Center dès le 17 janvier : y seront exposées des photographies d’Imogen Cunningham.

7 librairies pour trouver des livres en français à Los Angeles

Tous les «anciens » de Los Angeles vous parleront avec nostalgie de la Cité des Livres, la seule librairie française de L.A qui a fermé ses portes en 2001. Heureusement, d’autres librairies et bibliothèques proposent des ouvrages dans la langue de Molière à Los Angeles.

7. The Last Bookstore

Située dans une ancienne banque historique de Downtown  reconvertie en librairie indépendante en 2005, The Last Bookstore vaut doublement le détour. D’abord parce qu’elle possède un assez large rayon de livres d’occasion en français, fréquemment renouvelé, mais aussi pour son architecture et ambiance uniques (hauts-plafonds, labyrinthes de livres…).

Le rayon français au rez-de-chaussée comprend pêle-mêle pièces de théâtre, essais philosophiques, romans, classiques de la littérature ou encore ouvrages d’histoire. Le prix oscille en général entre 2 et 8 dollars maximum. Ce lieu magique possède aussi un petit rayon de vieux vinyles de chanteurs de variété française délicieusement kitsch.The Last Bookstore, 453 South Spring Street, Downtown. Tél : 213-488-0599.

6. Skylight Books

Pour ceux que les livres d’occasion n’enthousiasment pas et qui préfèrent l’odeur des pages neuves, Skylight Books, une librairie indépendante de Los Feliz, possède une petite étagère de livres en français composée de romans (dont beaucoup d’Amélie Nothomb), mais aussi des livres bilingues pour enfants. Les prix y sont parfois élevés mais les ouvrages sont récents. Skylights Books, 1818 North Vermont Avenue, Los Feliz. Tél: 323-660-1175.

5. Livres pour enfants sur Pico Boulevard

Ce paradis pour jeunes lecteurs propose une sélection de livres francophones, pour tous les niveaux de lecture : livres illustrés pour les petits, dictionnaires pour l’école, classiques littéraires pour les collégiens, livres de la Collection de l’Ecole des Loisirs, Bandes Dessinées (Tintin, Astérix et Obélix…). La librairie propose aussi régulièrement des ateliers de contes pour enfants et des rencontres avec des auteurs de jeunesse. Children’s Book World, 10580 ½ West Pico Boulevard. Tél: 310-559-BOOK.

4. Bibliothèque de Beverly Hills

Peu connue des Angelinos francophones, cette bibliothèque possède un assez large rayon de livres en français, composé en très grande partie de classiques de la littérature (pièces de théâtre, romans, poésie). Peu de nouveautés, mais de quoi relire des ouvrages de référence, ou tout simplement vous plonger dans des classiques que vous n’avez jamais trouvé le temps de lire. L’adhésion est gratuite pour les résidents des Los Angeles, Orange et Ventura Counties. Beverly Hills Library, 444 North Rexford Drive. Tél: 310-288-2220

3. La Central Library de Downtown

Certainement le plus grand stock de livres en français à L.A, dans l’un des plus beaux bâtiments de la Cité des Anges, celui de la librairie publique centrale. Plusieurs larges rayons d’ouvrages francophones sont disponibles à l’emprunt : romans contemporains (dont certains sont très récents) comme classiques, ouvrages philosophiques, livres historiques … Vous n’aurez que l’embarras du choix. Et l’adhésion est gratuite ! Los Angeles Central Library, 630 West 5th Street, Downtown L.A. Tél : 213-228-7000.

2. La médiathèque de l’Alliance française

Depuis 2011, l’Alliance Française a lancé sa propre médiathèque, avec possibilité d’emprunts pour ses membres. Plus de 400 magazines, 1.000 livres, 200 B.D et 300 DVD sont disponibles. Tarifs : 25 dollars pour les 0-18 ans, 35 dollars pour les étudiants, 65 dollars pour les individuels et 100 dollars pour les familles (2 adultes, 2 enfants). Alliance Française de Los Angeles, 10390 Santa Monica Boulevard, Suite 120. Tél : 310-652-0306 

1. La Bibliothèque Orange

Ce circuit de prêt, qui existe dans de nombreuses autres villes aux Etats-Unis, permet  à un groupe de lecteurs de s’échanger pendant un an jusqu’à 36 ouvrages en français, tous récemment parus. Ces livres (romans, essais, biographies) sont sélectionnés par un comité de lecture et sont en général des ouvrages qui ont marqué l’année littéraire. Dans la région, il existe deux circuits : l’un à L.A, l’autre à Pasadena. Adhésion: environ 60 dollars l’année. Renseignements : [email protected]

On refait l'actu franco-américaine de 2014 en douze mots

Douze mois, douze mots… De la visite d’Etat de François Hollande aux Etats-Unis à la Coupe du Monde de foot en passant par la mort du francophile Robin Williams, French Morning regarde dans le rétro.
12. Chanteurs
La tournée américaine devient un passage obligé des chanteurs français, qui viennent faire coucou à leurs fans expatriés. En 2014, vous avez eu droit (entre autres) à Charles Aznavour (qui lui a beaucoup de fans américains), Patrick Bruel et, bien sûr, Johnny Hallyday. French Morning y était…
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11. Gayet
Julie Gayet est vraiment forte. Alors que François Hollande effectuait, en février, une visite d’Etat aux Etats-Unis, la presse américaine ne parlait que d’elleStephen Colbert et Jon Stewart aussi y sont allés de leur bon mot. Pour notre plus grand plaisir.
L’actrice s’est rendue en mars à New York pour participer à un débat sur les femmes dans le cinéma français, où elle s’est exprimée publiquement pour la première fois depuis la révélation de “l’affaire” par le magasine Closer« My private life is my private life » , a-t-elle répondu aux journalistes. Notre vidéo:
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10. Fromage
French Morning a lancé en 2014 une nouvelle rubrique: le “qu’est-ce que je risque”. Pour notre premier article, on s’est penché sur les pénalités encourues par celles et ceux qui commettraient le sacrilège de rapporter du fromage ou de la charcuterie de France. Heureusement, personne ne le fait, n’est-ce pas?
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9. Sarkozy
Avant de retrouver l’UMP, Nicolas Sarkozy avait retrouvé les Etats-Unis en 2014, accompagnant son épouse Carla Bruni-Sarkozy dans sa tournée nord-américaine. A New York, la chanteuse a chanté tandis que son mari a signé les autographes. Le couple s’est également offert deux tours en calèche très commentés de Central Park avec leur fille (et un garde du corps).

Credit: Abaca USA
Credit: Abaca USA

8. Williams
Au beau milieu du mois d’août, l’info est tombée: Robin Williams s’est suicidé. Nous sommes revenus sur les nombreux liens que l’humoriste entretenait avec la France.
Robin Williams
7. Soccer
2014, année de foot. L’équipe de France n’a pas gagné la Coupe du monde, mais cela n’a pas empêché les Français des Etats-Unis, et notamment les plus connus d’entre eux comme Youri Djorkaeff, de la soutenir. Au fait, pourquoi le foot s’appelle-t-il soccer aux Etats-Unis? Souvenez-vous. On vous a donné la réponse en avril.
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6. Débarquement
Les 70 ans du Débarquement en Normandie ont été commemorés partout aux Etats-Unis. Une spectaculaire pluie de pétales de roses s’est abattue sur la Statue de la Liberté le 6 juin. Nous y étions.
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5. Stromae
Stromae est venu, Stromae a vu, Stromae a mis le feu. Nous étions à son second concert new-yorkais en septembre. Et on a rencontré beaucoup de fans américains qui n’ont pas compris ce qu’il a dit mais qui l’ont trouvé “formidaaaaaable”. Voir notre vidéo
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4. Krugman
La crise se prolonge en Europe, mais la France n’en pas la responsable. C’est l’avis de l’économiste Paul Krugman, qui a, à plusieurs reprises en 2014, pris la défense de notre bon vieux pays dans le New York Times. Nous avons traduit sa dernière chronique. Il pense même que la France va mieux que les Etats-Unis.
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3. Bilinguisme
En 2014, un projet de programme bilingue français-anglais a été lancé à Houston. A Miami, l‘Ecole franco-américaine a poursuivi son expansion. A New York, French Morning a organisé son premier salon de l’éducation bilingue en octobre. Huit cent personnes ont assisté à cette grande première, qui a rassemblé 70 exposants (écoles bilingues, organisations, éditeurs…).
Nous avons également publié notre premier guide de l’éducation bilingue, qui recense 43 établissements et organisations qui proposent un enseignement en français-anglais dans le Tri-State Area.
guide education
2. Reno
L’acteur est aussi oléiculteur. Il a lancé son huile d’olive aux Etats-Unis. Et nous en a parlé en janvier autour d’un verre… d’huile.
JeanRenoHuileOlive
1. Immigration
Barack Obama a annoncé fin novembre une série des mesures exécutives pour assouplir les règles de l’immigration et régulariser certaines personnes sans documents officiels aux Etats-Unis. Etes vous concernés? Réponse ici.
US President Barack Obama signs an Executive Order requiring federal contractors to pay their federally funded employees on new contracts a fair wage of at least $10.10 an hour during a ceremony in the East Room of the White House in Washington, DC, on February 12, 2014. Photo by Olivier Douliery/ABACAUSA.com