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"Les Diaboliques" au Festival du Film Noir de San Francisco

Les plus grands classiques du  film noir seront projetés au Castro Theatre du 16 au 25 janvier, lors du Noir City Festival (programme complet ci-dessous).
Au menu de cette 13ème édition, pas moins de 25 projections alléchantes. Le thème cette année sera “le côté obscur du mariage“. Exit le romantisme, la guimauve et les histoires d’amour qui finissent bien : à San Francisco, on montre les couples dans leurs plus sombres aspects. Ceux qui s’attachent à conserver une image intacte alors que plus rien ne va, ceux qui tentent de s’échapper d’une relation plus que malsaine…
En tête d’affiche, un film français: “Les Diaboliques”, de Henri-Georges Clouzot. La divine Simone Signoret, qui remporta en 1960 l’Oscar de la meilleure actrice, y joue Nicole, la maîtresse d’un certain Michel. Christina, portée à l’écran par Véra Clouzot, est elle, la femme de Michel.
Malgré leur amant commun, les deux femmes entretiennent des relations plus que cordiales. Cette amitié va d’ailleurs largement se nourrir de leur haine commune envers Michel. Tout bascule finalement lorsque Nicole propose à Christina de l’aider à tuer ce dernier… Même sans de grands effets spéciaux, le suspens est garanti avec ce film en noir et blanc. Il sera projeté à 22h le 24 janvier.
Le programme complet:

Vendredi 16 janvier :
“Woman on the Run” à 19h30
“Born to be bad” à 21h15
 
Samedi 17 janvier :
“Suspicion” à 13h30
“The Bigamist” à 15h30
“Ivy” à 19h30
“The suspect” à 21h30
 
Dimanche 18 janvier :
“Shockproof” à 14h et 19h30
“Sleep, my love” à 16h et 21h
 
Lundi 19 janvier :
“The thin man” à 14h et 19h
“After the thin man” à 16h et 21h
 
Mardi 20 janvier :
“Caught” à 19h15
“The set-up” à 21h15
 
Mercredi 21 janvier :
“Clash by night” à 19h15
“Crime of passion” à 21h15
 
Jeudi 22 janvier :
“The hidden room” à 19h15
“The sleeping tiger” à 21h15
 
Vendredi 23 janvier :
“The guilty” à 19h30
“No man of her own” à 21h15
 
Samedi 24 janvier :
“The steel trap” à 12h30
“Julie” à 14h20
“Cry terror !” à 16h20
“Obssessione” à 19h
“Les diaboliques” à 22h
 
Dimanche 25 janvier :
“Seconds” à 14h et 19h15
“The honeymoon killers” à 16h et 21h20

 

Emel Mathlouthi, la voix de la Tunisie à GlobalFest

Le GlobalFest renaît à chaque début d’année. Et ce n’est pas 2015 qui dérogera à la règle : rendez-vous est pris le 11 janvier au Webster Hall pour une 12ème édition pleine de surprises.
Le festival new-yorkais s’inscrit dans le cadre de l’initiative “January is Performing Arts Month in New York City”, un événement qui rassemble 45.000 personnes venues du monde entier, et pas moins de 1.500 performances, allant de la musique du monde à la danse, en passant par le théâtre.
Les musiciens du monde entier se retrouveront une fois de plus à GlobalFest cette année. Parmi eux, la Franco-tunisienne Emel Mathlouthi. Née à Tunis en 1982, elle est en 2006 finaliste du Prix RMC Moyen-Orient. Mais c’est surtout au tournant des années 2010 que l’artiste engagée commence à se faire un nom. En Tunisie, puis depuis la France, elle donne ainsi une série de concerts pendant les Printemps arabes pour soutenir les protestations. Compositrice, guitariste et chanteuse à la fois, Emel Mathlouthi mêle les influences, rock, orientales, voire lyriques.
Le programme complet, le 11 janvier au Webster Hall:
The Studio 
Emel Mathlouthi de 19 à 20h
Sam Lee de 20h20 à 21h20
The Jones Family Singers  de 21h40 à 22h40
Just A Band de 23h à minuit
 
The Marlin Room
Rivaaz Qawwali de 19h à 19h50
Kevin Johansen & Liniers de 20h10 à 21h
Emil Zrihan de 21h20 à 22h10
Kahulanui de 22h30 à 23h20
 
The Grand Ballroom
The Nile Project de 19h30 à 20h15
Zap Mama de 20h35 à 21h20
Bixiga 70 de 21h50 à 22h25
Puerto Candelaria de 22h45 à 23h30
 

Vous adorez French Morning et vous le dites!

Nous avons profité d’une petite sauterie organisée à New York (chez nos amis du bar à champagne Flute East), pour demander à nos lecteurs ce qu’ils pensaient de French Morning.
Parce qu’il n’y a pas de mal à se faire du bien, voici deux petits montages vidéo de ces messages qui nous vont droit au coeur et qui nous rappellent pourquoi nous faisons ce que nous faisons. Merci à vous tous!

Les vitrines de Noël des Grands magasins? C'était mieux avant…

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A Larchmont, une école catholique bien française

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Lorsque le père Frank entre dans une salle de classe de 4th grade (CM1) de Saints John and Paul, les élèves, en uniforme, se lèvent d’un bloc. “Combien d’entre-vous sont français ?” Un bon tiers de mains se lèvent. “Les Français sont partout !”, lance le prêtre américain, qui a vécu plusieurs années près de Bordeaux.
Mais que se passe-t-il à Saints John and Paul ? En à peine trois ans, cette école américaine catholique de Larchmont est devenue un aimant pour la communauté francaise installée dans le Westchester, au nord de New York.
Saints John and Paul, qui scolarise des élèves du Kindergarten au 8th grade (4ème) a lancé il y a quatre ans un programme à destination des élèves de langue maternelle française. Ils étaient neuf enfants inscrits à la rentrée 2011. Il sont 46 à la rentrée 2014, sur les 300 élèves que compte l’établissement.
“Et nous allons en avoir quelques élèves de plus au mois de janvier. Tout se fait par le bouche à oreille”, affirme Elsa Douineau, l’une des quatre professeurs de français, ancienne éditrice de livres scolaires arrivée aux Etats-Unis il y a onze ans et reconvertie dans l’enseignement.
Concrètement, les élèves francophones de Saints John and Paul suivent un programme américain classique et ont, en plus, pendant la journée, 45 minutes de “français pour francophones” en petits groupes de niveau : grammaire, dictée, vocabulaire, écriture…“Nous suivons le programme du Cours Saint Anne pour l’école primaire. Au collège, nous passons au CNED”, détaille Elsa Douineau.
Comme souvent, tout a commencé via des parents. “Une ou deux familles françaises fréquentaient l’église Saints John and Paul et ont décidé d’inscrire leurs enfants à cette école. Ils souhaitaient que ceux-ci continuent le français, alors nous avons proposé un programme d’after-school. Celui-ci est monté en puissance très vite, et nous l’avons intégré dans la journée”, raconte Fatima de Carvalho-Gianni, directrice de l’école.
Certains des élèves de l’école sont arrivés de la FASNY (French American School of New York),  un établissement bilingue qui a un campus situé dans la même ville. “Nous sommes différents de la FASNY, car nous sommes une école américaine  – mais tournée vers le français – , et avec des valeurs catholiques”, précise la directrice. Si l’école est ouverte à toutes les confessions, les élèves se réunissent tous les matins pour une “petite louange”, assistent à une messe une fois par mois, se préparent aux communions.
De plus, le modèle pédagogique est bien distinct. Avec un peu moins d’une heure de francais par jour, l’immersion dans cette langue est moins importante qu’à la FASNY. “Mais nous sommes très exigeants. Les élèves ont des devoirs, des lectures. Certains parents m’ont dit que cela avait été le déclic pour que leur enfant se remette à parler français à la maison”, assure Elsa Douineau, qui glisse que ses élèves de 3rd grade (CE2) ont remporté le deuxième prix du concours Nathan d’écriture, l’année dernière.
Mais la vraie différence entre ces deux écoles se joue sur les tarifs – l’école Saints John Paul étant bien moins chère que sa concurrente (7 750 dollars par an auxquels s’ajoutent 3 200 dollars pour le programme français) .
Avec ce changement démographique, l’école a commencé à intégrer des traditions francaises dans sa scolarité, comme la galette des rois. Les élèves sont aussi familiarisés avec les saints français. Les familles se mélangent, d’autant que les petits Américains apprennent aussi le français : l’école a instauré des cours de langues étrangères (français ou espagnol) obligatoires, à partir du Kindergarten, trois fois par semaine.
La présence française autour de cette école s’est tellement renforcée que l’année dernière, le curé a décidé d’organiser des messes en français dans l’église, affiliée à la communauté de l’Emmanuel, qui jouxte l’école. Elles ont lieu un samedi par mois, à 19h.

5 soirées dans l'univers de Jacques Rivette à Austin

La Film Society d’Austin vous propose de replonger dans les films de Jacques Rivette, le légendaire fondateur (et rédacteur-en-chef) des Cahiers du cinéma, et réalisateur de renom.
Cinq projections auront lieu à partir du 8 janvier, pour une immersion dans l’univers du cinéaste, pionnier de la Nouvelle Vague en France.  Réalisateur iconoclaste, qui travaillait sans scenario et en soumettant le synopsis aux acteurs la veille ou le jour du tournage, on lui doit notamment “Paris nous appartient”, “Le Pont du Nord” et “36 vues du pic Saint-Loup” et bien d’autres films depuis les années 60.
Programme complet:
– 36 vues du pic Saint-Loup (Around a small mountain), le jeudi 8 janvier, 19h30
– Céline et Julie vont en bateau (Celine and Julie Go Boating), le 15 janvier, 19h30
– Va savoir (Who knows), le 22 janvier, 19h30
– Ne touchez pas la hache (The Duchess of Langeais), le 19 janvier, 19h30
– Le Pont du Nord, le 5 février, 19h30

Le Paris d'Imogen Cunningham exposé à San Francisco

Paris vu par une Américaine, ça donne quoi ? Pour le découvrir, rendez-vous au Harvey Milk Photo Center dès le 17 janvier : y seront exposées des photographies d’Imogen Cunningham.

7 librairies pour trouver des livres en français à Los Angeles

Tous les «anciens » de Los Angeles vous parleront avec nostalgie de la Cité des Livres, la seule librairie française de L.A qui a fermé ses portes en 2001. Heureusement, d’autres librairies et bibliothèques proposent des ouvrages dans la langue de Molière à Los Angeles.

7. The Last Bookstore

Située dans une ancienne banque historique de Downtown  reconvertie en librairie indépendante en 2005, The Last Bookstore vaut doublement le détour. D’abord parce qu’elle possède un assez large rayon de livres d’occasion en français, fréquemment renouvelé, mais aussi pour son architecture et ambiance uniques (hauts-plafonds, labyrinthes de livres…).

Le rayon français au rez-de-chaussée comprend pêle-mêle pièces de théâtre, essais philosophiques, romans, classiques de la littérature ou encore ouvrages d’histoire. Le prix oscille en général entre 2 et 8 dollars maximum. Ce lieu magique possède aussi un petit rayon de vieux vinyles de chanteurs de variété française délicieusement kitsch.The Last Bookstore, 453 South Spring Street, Downtown. Tél : 213-488-0599.

6. Skylight Books

Pour ceux que les livres d’occasion n’enthousiasment pas et qui préfèrent l’odeur des pages neuves, Skylight Books, une librairie indépendante de Los Feliz, possède une petite étagère de livres en français composée de romans (dont beaucoup d’Amélie Nothomb), mais aussi des livres bilingues pour enfants. Les prix y sont parfois élevés mais les ouvrages sont récents. Skylights Books, 1818 North Vermont Avenue, Los Feliz. Tél: 323-660-1175.

5. Livres pour enfants sur Pico Boulevard

Ce paradis pour jeunes lecteurs propose une sélection de livres francophones, pour tous les niveaux de lecture : livres illustrés pour les petits, dictionnaires pour l’école, classiques littéraires pour les collégiens, livres de la Collection de l’Ecole des Loisirs, Bandes Dessinées (Tintin, Astérix et Obélix…). La librairie propose aussi régulièrement des ateliers de contes pour enfants et des rencontres avec des auteurs de jeunesse. Children’s Book World, 10580 ½ West Pico Boulevard. Tél: 310-559-BOOK.

4. Bibliothèque de Beverly Hills

Peu connue des Angelinos francophones, cette bibliothèque possède un assez large rayon de livres en français, composé en très grande partie de classiques de la littérature (pièces de théâtre, romans, poésie). Peu de nouveautés, mais de quoi relire des ouvrages de référence, ou tout simplement vous plonger dans des classiques que vous n’avez jamais trouvé le temps de lire. L’adhésion est gratuite pour les résidents des Los Angeles, Orange et Ventura Counties. Beverly Hills Library, 444 North Rexford Drive. Tél: 310-288-2220

3. La Central Library de Downtown

Certainement le plus grand stock de livres en français à L.A, dans l’un des plus beaux bâtiments de la Cité des Anges, celui de la librairie publique centrale. Plusieurs larges rayons d’ouvrages francophones sont disponibles à l’emprunt : romans contemporains (dont certains sont très récents) comme classiques, ouvrages philosophiques, livres historiques … Vous n’aurez que l’embarras du choix. Et l’adhésion est gratuite ! Los Angeles Central Library, 630 West 5th Street, Downtown L.A. Tél : 213-228-7000.

2. La médiathèque de l’Alliance française

Depuis 2011, l’Alliance Française a lancé sa propre médiathèque, avec possibilité d’emprunts pour ses membres. Plus de 400 magazines, 1.000 livres, 200 B.D et 300 DVD sont disponibles. Tarifs : 25 dollars pour les 0-18 ans, 35 dollars pour les étudiants, 65 dollars pour les individuels et 100 dollars pour les familles (2 adultes, 2 enfants). Alliance Française de Los Angeles, 10390 Santa Monica Boulevard, Suite 120. Tél : 310-652-0306 

1. La Bibliothèque Orange

Ce circuit de prêt, qui existe dans de nombreuses autres villes aux Etats-Unis, permet  à un groupe de lecteurs de s’échanger pendant un an jusqu’à 36 ouvrages en français, tous récemment parus. Ces livres (romans, essais, biographies) sont sélectionnés par un comité de lecture et sont en général des ouvrages qui ont marqué l’année littéraire. Dans la région, il existe deux circuits : l’un à L.A, l’autre à Pasadena. Adhésion: environ 60 dollars l’année. Renseignements : [email protected]

On refait l'actu franco-américaine de 2014 en douze mots

Douze mois, douze mots… De la visite d’Etat de François Hollande aux Etats-Unis à la Coupe du Monde de foot en passant par la mort du francophile Robin Williams, French Morning regarde dans le rétro.
12. Chanteurs
La tournée américaine devient un passage obligé des chanteurs français, qui viennent faire coucou à leurs fans expatriés. En 2014, vous avez eu droit (entre autres) à Charles Aznavour (qui lui a beaucoup de fans américains), Patrick Bruel et, bien sûr, Johnny Hallyday. French Morning y était…
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11. Gayet
Julie Gayet est vraiment forte. Alors que François Hollande effectuait, en février, une visite d’Etat aux Etats-Unis, la presse américaine ne parlait que d’elleStephen Colbert et Jon Stewart aussi y sont allés de leur bon mot. Pour notre plus grand plaisir.
L’actrice s’est rendue en mars à New York pour participer à un débat sur les femmes dans le cinéma français, où elle s’est exprimée publiquement pour la première fois depuis la révélation de “l’affaire” par le magasine Closer« My private life is my private life » , a-t-elle répondu aux journalistes. Notre vidéo:
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10. Fromage
French Morning a lancé en 2014 une nouvelle rubrique: le “qu’est-ce que je risque”. Pour notre premier article, on s’est penché sur les pénalités encourues par celles et ceux qui commettraient le sacrilège de rapporter du fromage ou de la charcuterie de France. Heureusement, personne ne le fait, n’est-ce pas?
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9. Sarkozy
Avant de retrouver l’UMP, Nicolas Sarkozy avait retrouvé les Etats-Unis en 2014, accompagnant son épouse Carla Bruni-Sarkozy dans sa tournée nord-américaine. A New York, la chanteuse a chanté tandis que son mari a signé les autographes. Le couple s’est également offert deux tours en calèche très commentés de Central Park avec leur fille (et un garde du corps).

Credit: Abaca USA
Credit: Abaca USA

8. Williams
Au beau milieu du mois d’août, l’info est tombée: Robin Williams s’est suicidé. Nous sommes revenus sur les nombreux liens que l’humoriste entretenait avec la France.
Robin Williams
7. Soccer
2014, année de foot. L’équipe de France n’a pas gagné la Coupe du monde, mais cela n’a pas empêché les Français des Etats-Unis, et notamment les plus connus d’entre eux comme Youri Djorkaeff, de la soutenir. Au fait, pourquoi le foot s’appelle-t-il soccer aux Etats-Unis? Souvenez-vous. On vous a donné la réponse en avril.
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6. Débarquement
Les 70 ans du Débarquement en Normandie ont été commemorés partout aux Etats-Unis. Une spectaculaire pluie de pétales de roses s’est abattue sur la Statue de la Liberté le 6 juin. Nous y étions.
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5. Stromae
Stromae est venu, Stromae a vu, Stromae a mis le feu. Nous étions à son second concert new-yorkais en septembre. Et on a rencontré beaucoup de fans américains qui n’ont pas compris ce qu’il a dit mais qui l’ont trouvé “formidaaaaaable”. Voir notre vidéo
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4. Krugman
La crise se prolonge en Europe, mais la France n’en pas la responsable. C’est l’avis de l’économiste Paul Krugman, qui a, à plusieurs reprises en 2014, pris la défense de notre bon vieux pays dans le New York Times. Nous avons traduit sa dernière chronique. Il pense même que la France va mieux que les Etats-Unis.
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3. Bilinguisme
En 2014, un projet de programme bilingue français-anglais a été lancé à Houston. A Miami, l‘Ecole franco-américaine a poursuivi son expansion. A New York, French Morning a organisé son premier salon de l’éducation bilingue en octobre. Huit cent personnes ont assisté à cette grande première, qui a rassemblé 70 exposants (écoles bilingues, organisations, éditeurs…).
Nous avons également publié notre premier guide de l’éducation bilingue, qui recense 43 établissements et organisations qui proposent un enseignement en français-anglais dans le Tri-State Area.
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2. Reno
L’acteur est aussi oléiculteur. Il a lancé son huile d’olive aux Etats-Unis. Et nous en a parlé en janvier autour d’un verre… d’huile.
JeanRenoHuileOlive
1. Immigration
Barack Obama a annoncé fin novembre une série des mesures exécutives pour assouplir les règles de l’immigration et régulariser certaines personnes sans documents officiels aux Etats-Unis. Etes vous concernés? Réponse ici.
US President Barack Obama signs an Executive Order requiring federal contractors to pay their federally funded employees on new contracts a fair wage of at least $10.10 an hour during a ceremony in the East Room of the White House in Washington, DC, on February 12, 2014. Photo by Olivier Douliery/ABACAUSA.com

Fêtez le Nouvel An avec Pink Martini à Los Angeles

Le célèbre groupe de musique, inoubliable interprète de « Je ne veux pas travailler », passe le Nouvel An à Los Angeles. Et il ne vient pas roupiller. Les joyeux lurons feront deux concerts le 31 decembre, à 19h et 22h30, au Walt Disney Concert Hall.
Les Pink Martini mélangent samba, jazz et cabaret et musique parisienne de l’Entre-deux-guerres. Fondé en 1994 par le pianiste Thomas Lauderdale, le groupe a l’habitude de chanter des textes en anglais, espagnol, italien et français. Il seront rejoints pour ces deux performances par les von Trapps, un quatuor issu de la famille de musiciens Trapp. Les deux groupes ont uni leurs voix et leurs styles pour donner naissance à leur album “Dream a little dream”, sorti en mars 2014.

"Diplomacy", le face-à-face choc à Houston

“Diplomacy” sera projeté au Museum of Fine Arts de Houston du 4 au 10 janvier 2015. Inspiré par une pièce de Cyril Gely, le film sera en français et allemand, et sous-titré en anglais. Un film historique, mais pas seulement…
A la fin de la seconde guerre mondiale, alors que Paris est progressivement libérée du joug allemand, Hitler a l’idée de détruire tous le monuments emblématiques de la capitale. La Tour Eiffel, le Louvre, Notre-Dame sont à deux doigts de disparaitre. C’est le général Dietrich von Choltitz qui supervise les opérations depuis l’hôtel Meurice. Mais avant qu’il ne puisse donner l’ordre, un diplomate suédois, Raoul Nordling, va se faufiler dans l’hôtel par un passage secret, pour convaincre le général allemand de désobéir, ou du moins, retarder l’échéance, le temps que les Alliés n’entrent dans Paris.
André Dussollier et Niels Arestrup nous offrent dans “Diplomacy” un face-à-face élégant, qui laisse le spectateur suspendu jusqu’à la dernière minute.

Les coulisses du "Monde" au Lycée Français de New York

Tous les matins, parce que vous êtes sérieux, vous buvez votre café en lisant French Morning et… Le Monde. Pour découvrir ceux qui se cachent derrière les articles du grand quotidien du soir, rendez-vous le 7 janvier au centre culturel du Lycée Français de New York.

Le documentaire “Les gens du Monde” (“Inside The News”), réalisé par Yves Jeuland, y sera projeté. Durant 81 minutes, la caméra vous emporte dans les coulisses de la rédaction du Monde. Cette intrusion, le réalisateur a choisi de la faire au service politique, en plein dans la campagne présidentielle de 2012.
A leurs bureaux, sur le terrain, notre petit oeil curieux et privilégié suit les journalistes pas à pas, y compris dans leurs doutes et leurs désaccords. Le documentaire revient aussi sur les changements induits par la révolution numérique dans le traitement de l’information, à coups de blogs, tweets et guerres de “like“.
Le film sera projeté à New York à l’occasion du 70ème anniversaire du quotidien. Après la projection, vous pourrez poser toutes vos questions à Stéphane Lauer, correspondant du Monde à New York. L’événement est gratuit et ouvert à tous.