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Pour le New York Times, Sarkozy rame

La presse américaine ne s’y était pas trompée: l’élection de Nicolas Sarkozy à la présidence de l’UMP n’était qu’une partie de plaisir. La suite serait beaucoup plus difficile.
Le New York Times revient, dans un article daté du 6 décembre, sur les “obstacles” qui se dressent sur le chemin du rassemblement politique voulu par l’ancien chef de l’Etat. Il met en avant le refus de trois anciens premiers ministres de droite sur cinq de rejoindre son “Comité des Anciens Premiers ministres” , voulu par Sarkozy pour le conseiller. Le Times juge cette situation “embarrassante” et y voit “l’un des signes qui montrent que le retour politique de Nicolas Sarkozy fait face à de nombreux défis” . Et de poursuivre: “Il n’est pas assuré d’émerger comme le candidat à la présidentielle de 2017” .
Le quotidien ironise aussi sur l’annulation de la visite de M. Sarkozy en Allemagne. “Il a annoncé qu’il se rendrait au Congrès de la CDU d’Angela Merkel, mais celle-ci n’a semble-t-il pas pu trouver le temps de le recevoir, et le voyage a été annulé”. Certes, poursuit le journal, M. Sarkozy reste un “bon stratège“, mais est en train de se rendre compte qu’ “on peut lui dire non” .
Nicolas Sarkozy se prend-il les pieds dans le tapis? Le New York Times nuance son article en précisant que “certains commentateurs ont trouvé qu’il avait l’air d’être le chef” depuis sa prise de pouvoir à l’UMP. Le quotidien juge notamment sa décision de rembourser au parti la pénalité de 500.000 euros, liée au dépassement de ses frais de campagne en 2012, comme une bonne chose. “Le remboursement ne va pas terminer l’enquête officielle, mais peut donner l’impression d’un acharnement en cas de jugement contre lui” .
M. Sarkozy avait promis de quitter la vie politique quand il a perdu en 2012, mais il était clair qu’aussitôt parti, il attendait l’occasion de revenir, conclut le New York TimesIl se retrouve, pourtant, dans un champ bien rempli ” .

Noël à New York avec: une fashionista

C’est votre meilleure copine. Elle est à la pointe de la mode et elle débarque à New York pour Noël! Pour le premier article de notre série “Noël à New York avec…”, on vous a concocté une journée de sorties pour faire plaisir à votre “fashion victim” favorite.

Le Brunch

La journée marathon d’une fashionista ne peut débuter sans un bon brunch ou petit-déjeuner. Pour cela, elle rejoint sa brochette de copines à Café Gitane, le restaurant du Jane Hotel situé dans le West Village. Dans cet établissement tendance aux saveurs marocaines, le classique pain au chocolat rivalise avec le croissant aux amandes et les gaufres à la fleur d’oranger pour accompagner les œufs bio à la merguez. Le smoothie banane-noix de muscade-sirop d’érable épicera votre matin d’hiver. Après ce festin, une petite marche le long des vitrines du West Village permettra une digestion express avant de rejoindre le spa de TriBeCa. Café Gitane at The Jane Hotel 113 Jane St

Le Spa

Avant d’entamer sa séance shopping, la fashionista se rend à Aire Ancient Bath où elle se fait dorloter pendant deux petites heures. Pour évacuer les tensions liées au froid, rien de tel qu’un labyrinthe de bains (eau salée, eau chaude, eau glacée, jacuzzi..) creusé dans le sous-sol en brique de ce spa éclairé à la bougie. Après 90 minutes de flottement et une demi-heure de massage relaxant, vous aurez le sentiment d’être partie en vacances. (136$) Aire Ancient Bath New York : 88 Frankin Street

Shopping

Rassasiée, relaxée, l’inconditionnelle de la mode commence ses emplettes à Begdorf Goodman (754 5th Ave), l’occasion pour elle de détailler ses somptueuses vitrines de Noël ainsi que ses voisines de la Cinquième Avenue (Tiffany, Harry Winston, Saks…)

Au cours de ce premier stop dans le temple du luxe, la modeuse pourra faire ses emplettes de Noël (pull en cachemire, écharpe, boutons de manchette) si son porte-feuille est suffisamment rempli pour du Lanvin, Valentino ou Dolce & Gabbana, et en cas de manque d’inspiration un styliste personnel pourra lui souffler quelques idées. Sinon, ce sera pour le seul plaisir des yeux ! Bloomingdale’s, sur Lexington et 59eme, peut être une alternative moins couteuse, notamment avec les accessoires de la marque de l’enseigne, C by Bloomingdale’s.

Le deuxième stop shopping se fera à SoHo au dépôt-vente Ina (101 Thompson Street) consacré aux créateurs. Les prix y restent élevés mais cette adresse constitue une bonne excuse pour s’auto-offrir un sac de designer pour Noël. Dans le même quartier, on file à Otte (37 North Moore Street) ou à Club Monaco (121 Prince St) dénicher une tenue pour le réveillon.

Pause glacée ou chauffée

Après une dizaine de boutiques, la pause s’impose. Si la shoppeuse est sportive, elle se rend au Standard Ice Rink pour quelques tours de patins sur la piste de glace installée au pied du Standard Hotel. La fashionista qui préfère les intérieurs “cosy” s’arrêtera elle à Gramercy Tavern pour un chocolat chaud-martini. Standard Ice Rink : 848 Washington St, Gramercy Tavern : 42 E 20th St

Encore du shopping

Jamais rassasiée de boutiques, la professionnelle du shopping poursuite sa journée à The Market (159 Bleeker) pour ses derniers cadeaux de Noël. Ce marché couvert de SoHo regroupe artisans et créateurs de bijoux, vêtements, peintures et objets en tous genres pour des cadeaux originaux. Il ne manque plus que les décorations du sapin et une couronne en feuilles d’argent que notre fashionista dégotera à Crate and Barrel (611 Broadway)

Détente nocturne

Après avoir déposé tous ses achats, notre New-Yorkaise finit sa journée à Washington Heights où elle assiste à « Hip Hop Nutcracker » ( 4140 Broadway at 175th St), un spectacle qui réinvente le célèbre ballet de Tchaïkovski à travers une chorégraphie de danse hip-hop. Le show sera suivi d’un dîner au restaurant italien Rosemary’s Enoteca & Trattoria (18 Greenwich Avenue) où sapin et lumières recréent l’atmosphère magique de fin d’année. Pour une fin de soirée festive, The Electric Room, club “select” à l’atmosphère “cosy”, sera la dernière destination de notre fashionista.

François-Xavier Schmit, de Renault à la librairie Albertine

Si vous avez parcouru les rayons de la nouvelle librairie française de New York, sans doute avez-vous aperçu la silhouette de François-Xavier Schmit, derrière la caisse ou devant les tables qui exposent, sous un plafond bleuté, des romans, des bandes dessinées ou des essais.
Deux mois après l’inauguration d’Albertine par le ministre des Affaires étrangères Laurent Fabius, François-Xavier Schmit est plutôt serein. Chaque semaine, environ 600 visiteurs poussent la porte de la librairie, et repartent avec des romans de Patrick Modiano, Emmanuel Carrère, Marcel Proust, Marguerite Duras – les auteurs les plus vendus. La librairie avait écoulé 3.500 ouvrages les trois premières semaines, selon l’AFP (Agence France-Presse). Un chiffre que les Services culturels n’ont pas souhaité confirmer.
“Outre la littérature, le rayon enfant marche très bien, les méthodes de langues, et chose plus étonnante, les dictionnaires, sans doute parce que c’est difficile d’en ramener de France. Question fréquentation, on est content, et les gens semblent heureux d’avoir une offre de livres en français actualisée. Pour le moment, notre public, c’est deux tiers de Français, et un tiers d’Américains”, raconte ce libraire de 42 ans, arrivé il y a un peu plus d’un an à New York avec pour mission de créer, constituer le stock et administrer au quotidien cet espace. Un projet qui avait été lancé par le Conseiller culturel de l’ambassade de France aux Etats-Unis et auteur de la BD Quai d’Orsay, Antonin Baudry.
Pour ce poste, François-Xavier Schmit a été choisi parmi plus de 150 candidats. Pourquoi lui ? Sans doute à cause de son parcours original. Fils d’architecte, Francois-Xavier Schmit a grandi à Rouillon, à côté du Mans. “J’avais toujours un livre dans ma poche. Ado, je dévorais Orwell, Zola, Vian.” Après des études de gestion à l’université du Maine, puis à Paris, il commence sa carrière comme cadre chez Renault, en région parisienne. De 1996 à 2006, il est “assistant du DRH monde”, puis responsable RH de la chaine de montage de l’usine de Flins – un poste où il apprend à “déminer les conflits”.
“Au bout de dix ans, j’ai fait le point. Tout me semblait trop linéaire. Je savais à quoi allait ressembler ma vie dans les 30 prochaines années, et j’avais envie d’autre chose.” Il démissionne et avec sa femme, originaire de Carcassonne, et sa fille, il s’installe à Toulouse, afin de lancer une librairie. Un rêve d’enfance.
Et c’est ainsi qu’à 34 ans, il reprend “tout de zéro”. “J’ai fait une formation, des stages. J’ai appris le métier sur le tas. En faisant une étude de marché, je me suis rendu compte que le quartier de Saint Cyprien n’avait pas de librairie, et je me suis installé là-bas.” L’Autre Rive ouvre en 2008 dans la Ville rose. “Cela a tout de suite marché. C’était génial. Tout le monde devrait oser ce genre de changement, et éviter de tomber dans le confort d’une trajectoire qui ne vous convient plus vraiment.” En 2012, sa librairie double sa surface, et passe à 130 m2 – à peu près la surface d’Albertine.
Lorsqu’il tombe sur internet sur l’offre de poste à New York, il n’y croit pas vraiment. “J’ai fait une lettre, deux jours avant la date limite”, se souvient-il. Son parcours de cadre RH devenu libraire retient l’attention du jury, et il décroche le ticket gagnant. “Là, c’était le vide intersidéral. Je me suis demandé dans quoi je m’embarquais, car j’étais heureux à Toulouse. Je prenais le café avec les clients, je venais de me faire construire une maison. Tout s’est fait en un mois”, se rappelle François-Xavier Schmit, qui n’était passé à New York “qu’une seule fois, en coup de vent, dix ans avant”. 
Ce père de deux filles de 6 et 11 ans est désormais bien installé à Manhattan, où il conseille les visiteurs d’Albertine (si vous lui demandez ses auteurs préférés, il vous répondra Mathias Enard, Laurent Mauvignier et Maylis de Kerangal). Outre la littérature française, il pourra aussi vous aider à trouver une bonne BD ou un chef d’oeuvre américain : “les 14.000 livres d’Albertine, je les ai choisis, je les connais presque tous.”

Pourquoi ces rats gonflables devant les "mauvais patrons"?

Vous avez déjà peut-être croisé sur le trottoir un rat géant de huit mètres de haut et ses quenottes menaçantes. Quelle est l’histoire derrière ce rongeur gonflable qui vise à signaler les mauvais patrons aux passants? C’est notre question bête de la semaine.
Il faut d’abord savoir que ce rat gonflable a un petit nom : Scabby The Rat, “scabby” signifiant “croûteux”, “galleux”. Il est né en 1990, à Chicago, comme l’explique Peggy O’Connor. C’est son mari, Mike, qui a donné naissance à ce petit animal qui alimente les pires cauchemars des patrons.
Mike O’Connor est alors à la tête de Big Sky Balloons, une petite entreprise spécialisée dans la fabrication de ballons. Un “syndicat de maçons” fait alors la grève dans la région de Chicago pour protester contre les conditions de travail des ouvriers du bâtiment, jugées “injustes“. Les esprits commencent à s’échauffer, et vient à ses organisateurs, Ken Lambert et Don Newton, l’idée de créer un “symbole géant” pour dénoncer les pratiques de leur employeur.
Ils demandent alors à Mike O’Connor un rat, qui est à l’époque déjà le surnom des entreprises qui ne possèdent pas de syndicats. “Mon mari, ingénieur, a alors dessiné ce gros rat, qu’il a appelé Scabby“, explique Peggy O’Connor. Si pour elle, cette bestiole était déjà suffisamment hideuse ainsi, les membres du syndicat, eux, en ont décidé autrement : “Ils le voulaient encore plus effrayant : ils nous demandaient de lui faire un ventre galleux, des griffes plus longues“. Naît alors le premier Scabby, haut de trois mètres.
Depuis son rat gonflable classique, l’entreprise a du se diversifier. Agrandir Scabby, d’abord, parce que “les gens en voulaient des plus grands“. Aujourd’hui, Big Sky Balloons propose ainsi “sept tailles différentes” de rats…
Pour des commandes spéciales, ils aussi ont créé des chiens à trois têtes, des douaniers, et bien d’autres formes pour le moins originales. Selon Peggy O’Connor, les syndicats restent malgré tout plutôt classiques, avec Scabby The Rat, Greedy Pig (un cochon en costume trois pièces avec des billets plein les poches), et Fat Cat (un gros chat gris qui étrangle un ouvrier).
Au moins deux” Scabby The Rat se vendent chaque mois aux Etats-Unis, “surtout à New-York, et dans le New Jersey“. Pour Peggy O’Connor, ces rats ne sont pas de simples objets. “C’est de l’art de rue qui permet de montrer au public que quelque chose se passe“, “d’attirer l’attention“. Un moyen d’autant plus efficace que son interdiction a été reconnue illégale (car contraire au premier amendement de la Constitution américaine) en 2011.
 

Mathieu Amalric et Emmanuelle Devos au Film Forum

Emmanuelle Devos et Mathieu Amalric en couple marié au bord de la rupture: “Arrête ou je continue” (“If you don’t I will”) sort à New York.
Pomme et Pierre sont deux quarantenaires à priori épanouis. Mariés depuis de nombreuses années, ils partagent leur temps libre entre les promenades en forêt et les vernissages. Bref, une petite vie parfaite en apparence.  Jusqu’au jour où Pomme se demande si elle aime encore son mari… Bien décidée à trouver la réponse à cette question, elle décide de rester dans les bois après leur balade habituelle.
Rendez-vous le 17 décembre au Film Forum. Le film y sera projeté jusqu’à la fin du mois.
 

Le chic et secret "Dîner en blanc" enfin à Miami

Après avoir conquis New York en 2011 et de nombreuses villes américaines depuis, le célèbre « Dîner en blanc » arrive enfin à Miami, le 9 décembre. Le principe : célébrer l’art de vivre en transformant un espace public en un immense pique-nique.
Si le lieu sera tenu secret jusqu’à la dernière minute, les spéculations vont déjà bon train sur la page Facebook de l’événement. Miami et sa météo estivale offrent en effet de nombreuses options pour ce grand rassemblement : le cadre baroque de la Villa Vizcaya ? La terrasse du nouveau musée d’art contemporain Perez ? Le jardin tropical de Fairchild ? La baie de Key Biscayne ? Le parc de Bayside ? Ou une plage tout simplement ?
Comme dans les 50 villes où il a déjà été organisé, le Dîner en Blanc s’annonce comme un succès puisque 1.200 participants sont attendus et les inscriptions fermées depuis plusieurs jours. « Rain or shine », les invités se retrouveront dans plusieurs points de la ville en début de soirée, pour être transportés vers le lieu des festivités.
Les règles: chacun apporte table, chaise, nappe blanche, vaisselle et pique-nique, les organisateurs se chargeant du transport, de la sécurité et de l’ambiance musicale de la soirée. Il se murmure qu’un groupe jouera live et qu’une personnalité locale sera présente pour animer la soirée. Si vous ne pouvez pas être de la partie cette année patience, les inscriptions pour 2015 sont déjà ouvertes.

Une Française lance une boutique de meubles pour enfants

Au cœur du West Village, une petite boutique de mobilier et d’accessoires pour enfants et adolescents a ouvert fin novembre : Dodo les bobos.
La Française qui l’a lancée, Sasso Sidi Said, a un “parcours d’expat classique“. Dès son enfance, elle voyage beaucoup, et habite dans différents pays, notamment en Algérie, au Maroc, au Kenya ou encore en Egypte. Ces expatriations répétées aiguisent son “sens de la déco, et de la couleur“. Dès son retour en France, elle s’inscrit donc dans une école d’art. Elle passe ensuite quelques années à Dubaï, où elle fait de la décoration pour des particuliers.
Après ces voyages, elle décide  de s’installer à New York pour ouvrir son tout premier magasin. Dodo les bobos voit le jour. Cette ville, elle l’a découverte en 2001, lorsqu’elle habitait dans le Wisconsin, et en rendant visite à ses parents, qui vivaient dans la Grosse Pomme. Elle y a flairé une opportunité en or : “Ici, on manque de magasins de déco, de mobilier enfant au goût européen“, à savoir une alliance parfaite entre “raffinement et design“.
Sasso Sidi Said a sélectionné pour sa petite boutique aux airs de cocon des marques peu voire pas du tout commercialisées aux Etats-Unis. Les peluches que vend Sasso Sidi Said sont d’ailleurs en coton biologique et faites à la main. Certains objets sont eux fabriqués de manière équitable, au Népal. Les produits en vente vont du lit superposé à la guirlande lumineuse, en passant par des coussins, des chaises colorées, et de jolies poupées.
Cette formule et les meubles à la fois “fonctionnels, esthétiques et sécurisés” séduisent aussi les grands. “Ce sont d’ailleurs surtout les parents qui se font plaisir“. Elle espère que son succès, alimenté par un bouche-à-oreille et la clientèle du quartier, lui permettra ensuite de lancer sa propre ligne d’accessoires.
 

La France va indemniser les victimes américaines de la Shoah

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60 millions de dollars : c’est la somme que la France va reverser aux victimes américaines de la Shoah.
Plusieurs milliers d’Américains avaient été déportés entre 1942 et 1944. Réquisitionnée par Vichy, la SNCF, qui les avait transportés à l’époque dans ses trains, avait été mise en cause et avait admis avoir été “rouage de la machine nazie d’extermination” tout en rejetant la faute sur l’Etat français. Depuis l’ouverture des discussions le 6 février 2014, la situation commençait à se faire pressante. L’Etat du Maryland refusait par exemple de signer tout contrat avec le groupe ferroviaire français, tant que les victimes n’avaient pas été indemnisées.
Un accord, annoncé par les négociateurs vendredi, sera signé le lundi 8 décembre. Il prévoit le versement aux autorités américaines de 60 millions de dollars. Les survivants de nationalité américaine, eux, toucheront chacun 100.000 dollars.
En retour, les Etats-Unis s’engagent à garantir l’immunité de juridiction de la SNCF. En effet, en tant qu’entreprise française, elle ne peut être poursuivie juridiquement sur le sol américain. Cette garantie a rassuré le groupe, surtout après la demande d’un sénateur au Congrès américain l’an dernier de mettre fin à cette immunité.

Moby joue dans un cimetière à Los Angeles

Mortel! L’un des plus célèbres DJs américains, auteur de l’entêtant “Honey” se produira à Los Angeles les 16 et 17 décembre, dans le cadre pour le moins original… du cimetière Hollywood Forever.
De la dance music des années 1990 à la folk électronique du XXIème siècle, Moby, de son vrai nom Richard Melville Hall, a exploré et influencé tous les champs de la musique moderne. Tous les chansons de l’album Play (1999) comme “Honey” ou “Find my Baby” ont été utilisées pour des films et des publicités. Sans oublier Hotel (2005), un de ses plus gros succès, avec des titres comme “Lift Me Up”. Son dernier album, “Innocents”, est sorti en octobre 2013.

Marion Cotillard sacrée meilleure actrice à New York

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Marion Cotillard a été récompensée du prix de la Meilleure Actrice pour sa prestation dans le film américain “The Immigrant” (2013) et “Deux jours, une nuit” (2014) des frères Dardenne, à la 80ème cérémonie des New York Film Critics Awards, ce 1er décembre.
C’est la première actrice française obtient cette distinction depuis la consécration de “The Artist” en 2012.
Marion Cotillard côtoie Joaquin Phoenix dans le drame de James Gray “The Immigrant”, où elle incarne Ewa, une Polonaise en route vers New York au début des années 20. Autre ambiance dans “Deux jours, une nuit”, un film belge qui la voit en proie à un terrible chantage. Le prix du Meilleur Film a été attribué à “Boyhood” de Richard Linklater.
 

Jean-Louis Vaysse, un artisan dans le respect des traditions

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(Article partenaire) Jean-Louis Vaysse a été formé à l’amour de la tradition. Cet artisan français, formé par les Compagnons du Devoir de Toulouse, s’est expatrié aux Etats-Unis pour y vivre “un rêve d’enfant“.
Il y exerce depuis quelques années son métier d’artisan du bâtiment, dans le respect des coutumes européennes. Ce “savoir-faire” bien français, Jean-Louis Vaysse en a fait sa marque de fabrique. A contre-courant, l’artisan s’est forgé une réputation pour son travail sur des spécialités rares aux Etats-Unis, comme le façonnage de marbre pour les salles de bains.
Jean-Louis Vaysse est aussi un artisan aux multiples ressources. Lui-même l’avoue, face à la diversité de ses compétences : “Les gens ont du mal à [le] croire“. “Mais en me voyant à l’œuvre, dit-il, ils comprennent“. Pendant un temps, il s’est spécialisé dans la simple restauration. Mais les besoins de la clientèle évoluant, il a aussi fait de la réparation. De la taille de pierres et de marbres fins aux problèmes de fondations, en passant par la maçonnerie, les moulures en plâtre et le carrelage de précision, Jean-Louis Vaysse a plus d’un atout dans sa manche.
En visant une clientèle huppée, Jean-Louis Vaysse a fait le choix de ne pas se limiter à la Caroline du Nord, où il vit actuellement. Il a notamment travaillé à New York, où il fut chargé de travaux d’experts de qualité, dans Manhattan et dans les Hamptons. De Park Avenue, il est ensuite parti en Virginie. Pendant sept années, il y a restauré une grande propriété  datant du début de la Guerre Civile. Il a rénové l’intérieur et l’extérieur de cette maison dite “Mansion” de style colonial, toujours dans un esprit très français, “un peu dans le style du Trianon, ou de Fontainebleau“.
Il se dit aujourd’hui prêt à s’installer dans une nouvelle région : la Floride.
Après bientôt 47 ans de carrière, à son propre compte pour la plupart du temps, Jean-Louis Vaysse songe à trouver un associé francophile, qui serait sensible à sa vision de l’artisanat et pourrait lui ouvrir de nouvelles portes. Si il nous avoue rêver de travailler pour “Bill Gates ou Céline Dion”, il cherche avant tout des contacts pour toucher une clientèle “riche, mais surtout raffinée“.
Pour contacter Jean-Louis Vaysse:
Tel: (919) 740-5249
E-mail: [email protected]
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Note: les “articles partenaires” ne sont pas des articles de la rédaction de French Morning. Ils sont fournis par ou écrits sur commande d’un annonceur qui en détermine le contenu.

Un marathon rock'n'roll à San Antonio

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C’est bientôt le “jour J” pour les 24.000 coureurs du Rock’n’Roll Marathon de San Antonio. Rendez-vous les 5, 6 et 7 décembre au Gonzalez Convention Center pour un week-end qui s’annonce sportif !
Cette 7ème édition de la course se divise en deux parties : un marathon de 42 kilomètres avec 3.500 participants et un semi-marathon (21 kilomètres) auquel participeront 14.000 athlètes. Les coureurs professionnels, eux, seront un peu plus de quarante.
Tout commencera en douceur, le vendredi, avec une expo sur le fitness qui inclut les derniers équipements sportifs, des informations nutritionnelles et santé. En tout, soixante exposants seront présents.
Le samedi, place à la course – pour grands et petits. Ces derniers pourront eux aussi courir dans le cadre du Subway Kids Rock (1,6 kilomètre). Un peu d’éclectisme le dimanche : les événements de la journée comprennent une compétition cycliste, une course en chaise roulante, un marathon à deux personnes, et enfin, le marathon de 21 kilomètres.