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Les amours de Picasso à la Pace Gallery

On n’en a jamais assez de Picasso. Une nouvelle exposition à la Pace Gallery, “Picasso & Jacqueline: The Evolution of Style”, dévoile l’attachement de l’artiste à la dernière femme de sa vie, Jacqueline Roque, son hommage à Matisse, et les peintres modernes et classiques qui l’ont inspiré.
L’exposition – gratuite – retrace les vingt dernières années de la vie de Picasso, à travers 140 de ses oeuvres – dont certaines présentées pour la première fois.
En 1954, Matisse, que Picasso considérait comme son égal, meurt. L’auteur de Guernica entame alors une période prolifique dans laquelle il implique Jacqueline Roque, une jeune femme de 27 ans, que l’on peut voir en peinture, sculpture, dessin, céramique, et sous toutes les formes – de la mariée à la concubine, comme Matisse aimait à le faire.
En plus des oeuvres de Picasso, cinquante photographies de David Douglas Duncan – un des plus importants photographes-documentaristes du XXème siècle et ami du peintre espagnol – seront exposées. Son travail saisit Picasso dans son intimité avec Jacqueline Roque.
“Picasso & Jacqueline”, c’est aussi onze oeuvres issues de la série “Les Femmes d’Alger”, inspirée du tableau éponyme d’Eugène Delacroix en 1834. Ces tableaux – abstraits – se veulent également un hommage à Matisse et à son style.
Et si vous n’en avez pas encore assez, une autre exposition dédiée à Picasso a lieu à la Gagosian Gallery, jusqu’au 3 janvier. Intitulée “Picasso and the Camera”, elle explore les relations du peintre avec le médium photographique.

Oui, les Français sont vraiment nuls en anglais

Education First, entreprise spécialisée dans les séjours linguistiques, a publié un rapport sur la maitrise de l’anglais dans les différents pays du monde. Le Danemark arrive bon premier, juste avant les Pays-Bas et la Suède. Le rang occupé par la France est lui beaucoup moins glorieux : le pays est en 29ème position, sur 63 pays au total.
L’Hexagone figure ainsi parmi les derniers pays européens en matière de maitrise de l’anglais. Et selon le rapport, le gouvernement français ne serait pas franchement décidé à améliorer ce score. Le niveau des Frenchies serait d’ailleurs en léger déclin (-0,41 points).
Des réformes éducatives limitées ont été instaurées, peut-on lire dans le rapport, avec des résultats plutôt faibles“. Selon Education First, elles ne seraient pas “un sujet de débat national“.
Autre problème : si l’on en croit le rapport, les Français seraient persuadés que seuls les séjours linguistiques et l’apprentissage dans des structures privées pourraient permettre d’acquérir une bonne maitrise de la langue. Or, ces “initiatives privées” font “que seule une petite partie des étudiants français a un niveau d’anglais élevé“. Malheureusement, “le fort niveau d’inégalités présentes dans le système scolaire français [ferait] que beaucoup d’étudiants ne peuvent pas l’atteindre“.
Ces lacunes linguistiques seraient en “décalage” avec les exigences accrues des employeurs français, qui accordent beaucoup d’importance à l’anglais, note enfin le rapport.

Photos: Foule au premier salon d'Houston Expat Pro

On se sentait à l’étroit, vendredi, au premier Salon des entrepreneurs créatifs organisé par Houston Expat Pro, dans une maison de l’une des membres de ce nouveau réseau de conjoints d’expat’.
Quinze exposantes avaient fait le déplacement, pour vendre leurs  tableaux, sculptures, cartes de vœux, calendriers, vêtements pour enfants ou encore accessoires créés par des artisans francophones de l’agglomération.
Ce salon visait à mettre en avant le travail de conjoints d’expatriés basés à Houston. «Je suis venue chercher des cadeaux de Noël et j’ai acheté une robe pour ma fille, un sac pour ma mère et un autre pour moi », expliquait une cliente, Isabelle Catherine, qui a également démarré une activité indépendante en arrivant à Houston et s’apprête à rejoindre le réseau.
Côté exposantes, plusieurs témoignaient du coup d’accélérateur que représentait cette initiative. « Je suis arrivée il y a un an, je n’imaginais pas exposer aussi vite », confiait ainsi une tapissière. Tandis que la créatrice de cartes en papier Delphine Paixach soulignait l’importance de tels salons dans une ville comptant peu de boutiques commercialisant des produits faits main.
Maylis Hopewell-Curie, une Française installée depuis sept ans, racontait que « du fait de mon travail à plein temps comme agente immobilière, cela faisait longtemps qu’elle n’avait pas exposé ses photos ».
Une seconde édition du Salon est d’ores et déjà prévue pour le printemps et un premier atelier sur l’entrepreneuriat à domicile est programmé au début de l’année prochaine.

Où fêter le Beaujolais à New York?

Les Français adorent dire du mal du Beaujolais nouveau, mais ils adorent aussi fêter son arrivée. Pour rappel : c’est le jeudi 20 novembre qu’il sera débouché. Et les Français de New York auront le choix pour l’accueillir.
On attend bien entendu vos suggestions en commentaire!
6. Une soirée avec Franck Duboeuf
A minuit, le carrosse de Cendrillon se transforme en citrouille et le Beaujolais coulera à flots au TriBeCa Rooftop, où la marque Georges Duboeuf, qui produit le Beaujolais, organise avec le site Second Glass le lancement officiel du cru 2014 à New York. Pour l’occasion, l’espace sera transformé en vigne et en marché. Les festivités dureront de 21h le 19 novembre à 1h le lendemain avec, bien entendu, une ouverture en chœur de Beaujolais à minuit. Franck Duboeuf, fils de Georges, sera de la partie. TriBeCa Rooftop, 2 Desbrosses St. 50 dollars. Tickets ici
5. French American Chamber of Commerce
La fête continue quelques heures plus tard, le 20 novembre, avec la French American Chamber of Commerce New York, qui fête aussi le Beaujolais dans le cadre d’un festival national. Non pas un mais deux évènements sont au programme: le premier est une dégustation au restaurant Clarkson de 18h à 20h (225 Varick St, 40 dollars pour les membres, 65 pour les non-membres, tickets ici), et le second est un repas (nécessairement arrosé) au restaurant Cercle Rouge (241 West Broadway) à partir de 19h.
4. Ordre des Compagnons du Beaujolais – Devoir de New York
Le 20 novembre pour les Compagnons du Beaujolais, c’est comme le 31 décembre pour nous autres pauvres mortels. Cette association d’amateurs de vins du beaujolais lèvera le coude comme il se doit le 24 novembre au restaurant Felix (SoHo). Ils revêtiront leurs costumes traditionnels de compagnon pour l’occasion. A partir de 18h30. 75 dollars pour les membres, 85 pour les non membres. Ne pas appeler le restaurant pour les réservations, contacter l’association: [email protected] ou 212-366-4864.
3. Beaujolais et diplomatie
Les diplomates savent faire la fête et le prouvent. Ils vous donnent rendez-vous pour refaire le monde (toujours plus simple avec un verre de rouge) le 20 novembre à 18h au World Bar (1st avenue entre 47 et 48eme rue). 5 dollars pour les membres de l’AFFIN (Association des Fonctionnaires Français Internationaux de New York), 10 dollars pour les non-membres
2. Trinquez avec l’UMP
Autre sujet qui se marrie bien avec un verre: la politique. Ça tombe bien: les Jeunes UMP de New York organisent une soirée Beaujolais le mardi 25 novembre au restaurant Clarkson, de 18h à 20h – soit quatre jours avant l’élection du président du parti. Le 1er verre est offert par l’établissement. RSVP sur Facebook
1. Ailleurs en ville
Comme chaque année, plusieurs restaurants dégaineront leurs bouteilles:
– Kermesse à OCabanon. Le restaurant français de Chelsea ne fait pas les choses à moitié: il fera la fête du 20 au 23 novembre, avec parties de pétanque, piste de dance, fléchettes et roue de la fortune. “Tout le monde gagne” selon la promo. Et surtout tout le monde trinque.
– A Carroll Gardens (Brooklyn), Provence en boîte, le restaurant coquet de Jean-Jacques et Leslie Bernat, servira le Beaujolais avec un menu spécial.
– Le légendaire Tout Va Bien ne manque jamais une occasion de faire la fête. Pensez à réserver.
– Le bar Vin sur Vingt du Nomad Hotel proposera une formule spéciale, avec un concert de jazz manouche le jeudi 20 novembre de 18h à 21h.
– Franck Duboeuf viendra dédicacer des bouteilles de Beaujolais chez Sherry-Lehmann, sur Park Avenue, le 20 novembre entre 16h et 18h.

Big data: le big dada d'Emmanuel Letouzé

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On dit souvent que les données sont le pétrole du XXIème siècle. Pour Emmanuel Letouzé, New York en est la plaque-tournante.
« New York vit un momentum autour du big data. De multiples start-ups se créent autour de ce domaine, la ville prend des initiatives, et des instituts se spécialisent sur ce sujet », affirme ce chercheur français, qui vit à Brooklyn et a fondé Data-Pop, dont le lancement officiel est prévu le 17 novembre.
Cette start-up entend devenir un think-tank sur les usages des big data, et aider la société civile et les gouvernements (en particulier de pays en voie de développement) à mieux s’emparer des ressources qu’elles peuvent offrir.
Attablé à la caféteria de ThoughtWorks, l’incubateur qui héberge Data-Pop sur Madison Avenue, Emmanuel Letouzé esquisse au crayon quelques schémas pour débroussailler le sujet.
« On ne comprend pas toujours ce que sont les big data. Pour simplifier, ce sont d’abord toutes ces données digitales que l’on laisse autour de soi, via son téléphone, les réseaux sociaux, des moyens de paiement, les objets connectés, et dont le nombre et la variété se sont démultipliés ces dernières années. Ce sont aussi de nouvelles capacités d’analyse de ces données – ce qu’on appelle le machine learning. Et tout un écosystème d’acteurs autour », explique Emmanuel Letouzé, qui termine une thèse sur ce sujet à Berkeley, et qui est l’auteur d’un rapport de l’ONU sur le développement et les big data, paru en 2012.
 « Mon approche, c’est d’aller au-delà de l’aspect technologique de ces données. De montrer par exemple quelles politiques prédictives on peut mettre en place en fonction de modèles observés, par exemple pour réduire la criminalité, ou pour réagir lors d’une crise sanitaire. Ce qui me passionne, ce sont les implications politiques et éthiques des big data», poursuit-il.
Autour de Data-Pop, il y a du beau monde. Cette start-up est co-créée par Harvard (via le Harvard Humanitarian Initiative), le MIT Media Lab, et ODI, un think-tank anglais spécialisé sur les questions humanitaires. Il a reçu des fonds de la fondation Rockefeller, de la Banque Mondiale. Et a déjà des commandes pour des études de la part plusieurs institutions, dont les Nations Unies et l’AFD.
« Nous devrions avoir un budget d’un million de dollars d’ici à la fin 2015 », estime Emmanuel Letouzé, qui a réussi à attirer dans ses filets, en tant que directeur académique, Alex Sandy Pentland, un professeur du MIT considéré comme un ponte des big data.
Les datas, c’est aussi une source d’inspiration pour l’autre passion d’Emmanuel Letouzé : la bande dessinée. Car en dehors de son activité très sérieuse de consultant et chercheur, ce Breton de 39 ans, papa de jumelles de 4 ans, pratique l’art du cartoon. Et ne désespère pas de voir un jour ses dessins publiés dans le New Yorker.
En attendant, on a pu voir son coup de crayon sur divers sites (Rue 89, StuffExpatAidWorkersLike, et aussi dans French Morning), sous le pseudo de Manu. Il a aussi fait une exposition au MIT Media Lab, avec une quinzaine de dessins abordant, de façon humoristique, l’univers des données. Si les datas sont du pétrole, elles lui donnent aussi de bonnes idées.

"Le Jour se Lève" en version restaurée au Film Forum

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Gagnez une paire de tickets pour la projection du chef-d’oeuvre de Marcel Carné, Le Jour se Lève (1939), en version restaurée jusqu’au 27 novembre au Film Forum de New York. Il suffit de remplir le formulaire ci-dessous.
Considéré comme le pionnier du réalisme poétique, ce film culte sera diffusé en haute définition et surtout, avec des scènes inédites qui avaient alors été censurées sous le régime de Vichy – et pas seulement celle montrant l’actrice Arletty nue. A sa sortie, le film avait en effet été interdit car jugé défaitiste.
François, campé par Jean Gabin, vient d’assassiner Valentin, lequel convoitait Clara (Arletty), la compagne de François. Assiégé par la police, ce dernier passe en revue, dans une série de falsh-backs, les événements qui l’ont poussé à commettre ce crime.
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Valerie Gladstone, journaliste à French Morning, s'est éteinte

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Il n’y a aucune salle de spectacle à New York que Valerie Gladstone, critique d’art, écrivaine et éditrice, ne visitait régulièrement.
Nuit après nuit, elle y entrait d’un pas joyeux, sa silhouette soignée, ses yeux pétillants d’esprit. Et qu’elle soit assise dans le public ou sur scène pour animer une séance de question-réponse après les spectacles de danse dont elle s’occupait au Museum of Arts & Design et au Emelin Theater, elle brillait de passion pour l’art et la vie.
Une habituée des voyages, Melle Gladstone racontait son Espagne chérie – et le reste de l’Europe – à ses lecteurs. Elle écrivait régulierement pour French Morning, the New York Times, Boston GlobeWashington PostLos Angeles TimesTown & Country et bien d’autres.
Valerie Gladstone est partie des suites d’un cancer le 21 octobre. Elle manquera profondément à ses deux enfants, cinq petits-enfants, trois frères et tous ses amis proches autour du monde.

Maison Vernhes: 15% de réduction sur votre commande de vin

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Des vins artisanaux d’exception livrés chez vous aux États-Unis

La mission de MVA (Maison Vernhes Alliance) est de découvrir les vins artisanaux les plus délicieux et les plus originaux des meilleures régions viticoles du monde et de les partager avec un public plus large, le tout à un prix équitable. Si vous souhaitez aller au-delà des vins prévisibles et hors de prix, la MVA est faite pour vous.

Les membres de MVA reçoivent des collections saisonnières de six collaborations vinicoles artisanales. Chaque vin est choisi après avoir été soumis à un rigoureux processus de sélection par dégustation à l’aveugle, qui a lieu tous les trois mois à la Maison Vernhes en Toscane.

L’offre exclusive French Morning

Avec le code FRENCHMORNING, à renseigner au moment de votre achat, bénéficiez de 15% de réduction sur votre commande!

[J’en profite]

Le CEFAM, l'école qui donne les clefs de l'Amérique

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(Article partenaire) Le CEFAM est une Business School franco-américaine qui construit sa différence, depuis plus de 28 ans, autour de partenariats avec de grandes universités américaines reconnues partout dans le monde et dont les “Business Schools” bénéficient de la plus prestigieuse accréditation internationale: l’AACSB (Association to Advance Collegiate Schools of Business).
Avec 100% de ses cours enseignés en anglais, un corps professoral international, une pédagogie unique et un taux d’insertion professionnelle hors norme, le CEFAM fournit à ses étudiants une formation et des diplômes qui les rendent uniques, différents et très recherchés sur le marché du travail à l’échelle internationale.
Au CEFAM, 100% des étudiants partent étudier aux Etats-Unis  et obtiennent un double diplôme: le diplôme CEFAM (Titre certifié niveau I par l’État en France) et le BBA (Bachelor of Business Administration), puis le MBA (Master of Business Administration) de l’université partenaire de leur choix aux Etats-Unis.
Aujourd’hui nos anciens élèves exercent dans des entreprises de toute taille dans différents secteurs et sont présents dans 48 pays.
Nos programmes :
Programme en admission Post bac (BBA)
Après 3 années d’études effectuées au CEFAM à Lyon avec 100 % des cours enseignés en anglais, les  étudiants rentrent directement en dernière année du cursus de l’université américaine qu’ils choisissent sans repasser de concours d’admission et obtiennent simultanément deux  diplômes : le titre certifié par l’état niveau I (bac + 5) et le BBA (Bachelor of Business Administration de l’une de nos universités américaines partenaires du CEFAM et  accréditées par l’AACSB.
Le CEFAM permet à tous ses étudiants de choisir l’université américaine dans laquelle ils partiront étudier en dernière année.
Le CEFAM permet de devenir bilingue très vite, alors qu’il n’y a aucune nécessité de l’être à l’admission. Toutefois un niveau correct est recommandé.
Les points clés du programme BBA :

  1. Je choisis une école de commerce américaine
  2. Tous mes cours sont en anglais
  3. Je choisis mon université aux USA
  4. J’étudie un an sur un campus américain
  5. J’obtiens deux diplômes :
  • Un diplôme français : titre certifié par l’État niveau I (bac+5)
  • Un diplôme américain : un BBA / MBA d’une université accréditée AACSB (Association to Advance Collegiate Schools of Business)

Programme en admission post bac +3 / + 4 (MBA) avec garantie d’un emploi en CDI
Le programme MBA Consulting du CEFAM est novateur. Il résulte d’une forte collaboration entre le CEFAM et le monde de l’entreprise. Ce programme MBA a été développé afin de préparer les étudiants aux carrières internationales et de pouvoir répondre aux offres d’emplois croissantes dans le domaine du Consulting.
Le MBA Consulting du CEFAM est un programme riche dans son contenu, personnalisé, qui comprend des cours théoriques, une mission longue durée (en stage chez Sogeti), des séminaires professionnels et une année complète de spécialisation choisie par l’étudiant (finance, marketing, systèmes d’information…) au sein de Rider University aux Etats-Unis (Université accréditée AACSB et classée parmi les meilleures universités du nord-est américain par « US News and World Report » et « The Princeton Review’s Best Colleges »).
Les synergies qui en résultent enrichissent l’expérience globale ainsi que l’intégration de nos étudiants en entreprise.
Ce programme possède l’exceptionnel avantage d’assurer pour toute la promotion diplômée la garantie d’un emploi en CDI chez Sogeti, une filiale à 100% de Cap Gemini S.A, cotée à la bourse de Paris.
Les points clés du programme MBA Consulting :
– 2 ans de formation 100% en anglais
– Un stage de 5 mois en entreprise
– Une année complète d’études et de spécialisation aux Etats-Unis
– Deux diplômes : titre du CEFAM Manager des organisations à l’international certifié niveau I par l’Etat et MBA de Rider University accréditée AACSB
– Une embauche assurée au poste de consultant directement après l’obtention du diplôme au sein de chez Sogeti.
Pour plus d’informations:
Le CEFAM (Centre d’etudes franco-americain de management)
47 RUE SERGENT MICHEL BERTHET
69009 LYON, FRANCE
+33 4 72 85 73 63
Site ici
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Note: les “articles partenaires” ne sont pas des articles de la rédaction de French Morning. Ils sont fournis par ou écrits sur commande d’un annonceur qui en détermine le contenu.

Où fêter le Beaujolais nouveau à San Francisco ?

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Comme chaque année, le Beaujolais Nouveau revient dans la Baie. French Morning vous donne quelques adresses pour vous convaincre que le vin français n’a rien à envier aux vins de la Napa Valley.
San Francisco
A l’Arlequin, un marchand de vin de San Francisco, on organise une dégustation de pas moins de deux douzaines de Beaujolais différents. Rendez-vous le 20 novembre, de 18 à 20h.
35$ – contact : (415) 863 1104 – site ici
Arlequin Wine Merchant, 384 Hayes Street, San Francisco
 
Toujours à San Francisco, le restaurant Le P’tit Laurent vous propose de manger français, et surtout, de boire français, le 20 novembre. Les menus seront exceptionnellement accompagnés de Beaujolais Nouveau, et d’un petit air de jazz, puisqu’un concert débutera à 18h30.
Le 20 novembre de 17h30 à 22h
Au P’tit Laurent, 699 Chenery Street, San Francisco
(415) 334-3235 – Site ici
 
A la San Francisco Wine Trading Company, on vous propose de goûter au Beaujolais Nouveau de trois domaines viticoles. Ce sera le 20 novembre, de 17 à 19h. Et ça ne coûte que 5$…
250 Taraval St, San Francisco
(415) 731 6222 – site ici
 
Palo Alto 
A Palo Alto, il faudra attendre le 5 décembre pour déguster du bon Beaujolais nouveau avec l’Alliance Française de la Silicon Valley. Trois producteurs français viendront présenter leurs vins, de 18 à 20h. Puis à partir de 20h, un film sera projeté. Il s’agit de Bottle Shock, film qui raconte comment, en 1979, le vin californien a détrôné le vin français lors d’une dégustation à l’aveugle. Un bien tragique évènement pour le Beaujolais, qui fort heureusement, n’enlève rien à sa saveur…
Le 5 décembre dès 18h
555 Waverley St, Palo Alto
(408) 445 2095 – site ici
Berkeley
A l’Alliance Française de Berkeley, on vous propose une conversation sur le Beaujolais Nouveau. Au menu : ambiance conviviale. Chacun amène un plat et / ou une bouteille de vin. Francophones et francophiles sont les bienvenus, de 18h30 à 20h30.
Le 21 novembre de 18h30 à 20h30
A l’Alliance Française de Berkeley, 2004 Woolsey St, Berkeley
Gratuit – Site ici – Contact : (510) 548 7481
Santa Rosa
A Santa Rosa, au nord de San Francisco, on fête le Beaujolais Nouveau avec un buffet, de bons desserts, et surtout, en dansant. Vous pourrez aussi commencer à faire vos emplettes pour Noël, puisque seront proposés des paniers-cadeaux durant la soirée.
Le 21 novembre de 18h à 23h
Au Showcase Café at Sonoma County Fairgrounds, 1350 Bennett Valley Rd, Santa Rosa
De 55 (entrée avec réservation) à 600$ (table VIP) – Site ici
 
Napa Valley
L’Alliance Française de la Napa Valley organise une soirée jazz et dégustation, le 22 novembre de 19 à 21h, au Napa Yacht Club. Charcuterie et fromage seront aussi  au rendez-vous.
100 Riverside Dr, Napa
De 20 à 30$ – Site ici
 

Gagnez des places au In French With English Subtitles Festival

Le festival In French With English Subtitles et French Morning vous offrent des places pour l’un des films du festival.
Tout le programme ici.
Pour participer au tirage au sort, il vous suffit de remplir le formulaire ci-dessous:
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Dominique de Villepin parle de l'Irak à Chicago

Dominique de Villepin parlera d’un sujet qu’il connait bien, vendredi 14 novembre, à l’université de Chicago: l’Irak.
L’ancien premier ministre et ministre des affaires étrangères, connu aux Etats-Unis pour son discours d’opposition à la guerre en Irak au conseil de sécurité de l’ONU, évoquera la situation du pays, confronté à la menace l’Etat islamique, et la réponse diplomatique à y apporter. La conférence s’intitule “The Art of Intervention: Diplomacy and Deployment since Iraq”.
L’intervention de M. de Villepin sera suivie d’une séance de questions/réponses avec Steve Edwards, directeur de l’Institut de politique de l’Université de Chicago. L’évènement, qui débutera 17h30, est organisé par le French Club de l’université.
Gratuit.