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North37 Design : des sacs de luxe qui respirent le large

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Article partenaire. North37 Design est né d’un heureux concours de circonstances. Au tout départ, il y eut un cadeau offert par mon beau-père. Un sac en toile de voile recyclée “Made in France”. Simple, chic et unique !  Pourquoi ne pas les vendre ici ?
L’idée a fait son chemin jusqu’au moment de la finale de la dernière America’s Cup. C’est en voyant ces superbes et immenses bateaux passer à grande vitesse juste sous les fenêtres de notre appartement à San Francisco, par 37° de latitude Nord, que tout est devenu clair ! Ce grand évènement, pour lequel nous avons tous vibré, nous a conduit, ma femme, Elise-Anne, une de ses amies américaines d’origine italienne, Lia, et moi même à créer la société North37 Design.
A l’issue d’une phase de recherche de fournisseurs potentiels, nous avons signé des partenariats de distribution avec 727Sailbags et RelationsDeVoyages, deux sociétés implantées en Bretagne dont nous sommes fiers de contribuer au rayonnement international. A l’origine de tout ça, nous avons rencontré des passionnés de voiles et de mode. Ils/elles sont aussi de jeunes entrepreneurs dynamiques qui concilient innovation, forte croissance et respect des traditions.
A la clé, la création de nombreux emplois locaux.  Je suis personnellement convaincu que la France a un potentiel à l’exportation qui est encore sous-exploité. Nous devons avoir confiance dans l’incroyable richesse que notre pays peut offrir au monde. Une double connaissance de la France et des USA, peut servir d’atout pour construire des passerelles.
Nos produits sont aussi éco-responsables. Le recyclage est plus qu’une tendance, c’est une nécessité. Nos fournisseurs organisent régulièrement des tours de France en camion pour collecter les voiles usagées des propriétaires de voiliers, simples particuliers ou professionnels. En contrepartie, chaque propriétaire peut revendiquer un sac fait dans la voile de son bateau !
Si ces voiles n’étaient pas réutilisées, elles seraient soit incinérées, soit enfouies, ce qui dans les deux cas est lourd de conséquence pour l’environnement. Tout le charme de ce recyclage artisanal haut de gamme provient aussi des aléas sur la nature des voiles disponibles. Les voiles techniques prises sur des bateaux de compétition donneront plutôt des sacs au ton sombre, les voiles des bateaux de croisière plutôt des sacs blancs.
Chaque sac porte une part de rêve, l’histoire de la voile qui le compose. Le label d’authenticité cousu sur la doublure intérieure de chaque 727Sailbag, rappelle le type de voile (grande voile, spinnaker etc…), le type du bateau dont vient la voile (monocoque, catamaran etc…) ainsi que le ou les océan(s) sur le(s)quel(s) il a navigué. Dans les cas les plus prestigieux, on trouvera également le nom du skipper et la course à laquelle il/elle a participé.
Le cas le plus célèbre, sans aucun doute l’édition limitée des voiles du Pen-Duick d’Eric Tabarly ! En mixant les différentes origines de voile et formes de découpe avec des ajouts contextuels (choix d’un chiffre, d’une couleur et d’une texture) nous obtenons au final un produit de luxe totalement unique. Nous vous mettons au défit d’en trouver deux identiques !
Si nous sommes pour l’instant plutôt concentrés sur les sacs (hommes/femmes, cabas, sport/voyage etc…) nous allons à l’avenir offrir toutes les déclinaisons possibles dans l’ameublement (chaises, lampes, coussins etc…), le prêt-à-porter et la décoration intérieure. Nous pourrions aussi envisager de présenter des produits au design sur-mesure pour ceux qui seraient prêts à attendre un peu plus. A plus court terme nous préparons l’arrivée de Noël, car c’est une période privilégiée pour mettre en valeur nos produits. Un cadeau unique pour un être unique !
Pour plus d’information sur nos différents points de vente ou proposition de collaboration, vous pouvez écrire à l’adresse : [email protected]
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Note: les “articles partenaires” ne sont pas des articles de la rédaction de French Morning. Ils sont fournis par ou écrits sur commande d’un annonceur qui en détermine le contenu.

Le marathon de Santa Barbara honore les vétérans

Plusieurs milliers de coureurs sont attendus samedi 8 novembre dans les rues de Santa Barbara et Goleta, à l’occasion de la 6e édition du marathon rendant hommage aux soldats américains. Organisé à quelques jours du “Veteran’s day”, cette course se tiendra dans le cadre des animations mises en place tout au long du weekend à travers la ville : military ball, parade sur State Street et concert.
Imaginé en 1995 par Pierre Claeyssens (un Belge installé à Santa Barbara durant plus cinquante ans et ayant donné son nom à une fondation au service des soldats) ces festivités n’ont cessé de prendre de l’ampleur au fil des ans, notamment grâce à l’ajout du marathon en 2009, l’un des plus difficiles des Etats Unis, en raison de la chaleur et des dénivelés.
Selon la maxime des organisateurs, reprise par les participants, “les premiers 25,2 miles sont pour moi, le dernier mile est pour les vétérans”. De fait, l’ultime portion de la course est décorée de milliers de drapeaux américains que les coureurs sont invités à prendre et à porter pour parcourir les derniers mètres.
Quelques mois après les célébrations du 70e anniversaire du Débarquement des Alliés sur les plages de Normandie, l’édition 2014 du marathon de Santa Barbara sera dédiée aux soldats locaux toujours vivants, ayant pris part à cette opération. Parmi eux, deux hommes de la 101st Airborne, Sal Perez et Art Petersen, mais aussi Robert Forties, Leo Maczulak ou Frank Johnson.
Les fonds récoltés grâce aux inscriptions serviront à soutenir les vétérans les plus fragiles tout au long de l’année, mais aussi à préserver leur mémoire à travers diverses expositions et portraits individuels proposés dans le Mémorial des anciens combattants face à l’océan.
Pour les amateurs de course à pied, le départ du marathon s’effectuera à 7h30 (7h15 pour le semi), avec arrivée environ deux heures plus tard devant le Santa Barbara City College. Le tenant du titre est le Kenyan Peter Kemboi, vainqueur l’an passé en 2h32’08. Le record date en revanche de 2012, par Abraham Kogo en 2h23’10.
Les inscriptions sont encore possibles.

Sandro à prix réduits pendant trois jours

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La marque Sandro à prix réduits, vous en rêviez ?
Rendez-vous dans le magasin de la marque sur Wooster Street, où a lieu une vente privée, jusqu’au 2 novembre. Une belle occasion pour faire le plein de pièces intemporelles et un brin rock’n’roll, dont regorge la boutique Frenchy.
Créée en 2004, la marque possède plus de 300 magasins dans le monde entier. Les prix sont d’ordinaire un peu élevés, mais avec les réductions, vous n’avez plus aucune raison de ne pas craquer. En plus, pour cette vente privée, pas de jaloux : les collections hommes et femmes seront concernées.
 

Le "Netflix de la musique classique" s'invite au Carnegie

“Comme le disque est en chute libre, la diffusion de concerts en ligne est une manière pour les artistes de toucher un public, de continuer à exister. Je pense que c’est l’avenir.” Emmanuel Morlet, responsable du bureau américain de Medici, semble confiant sur le potentiel de la musique classique à trouver une nouvelle jeunesse sur internet. Et gagner le coeur de nouveaux publics.
Medici, start-up parisienne surnommée le “Netflix de la musique classique” (la plateforme rassemble des documents, vidéos et concerts dans ce domaine), s’est en tout cas construite sur cette ambition.
En octobre, elle a attrapé dans ses filets une belle prise : le Carnegie Hall, l’une des salles de concerts les plus prestigieuses des Etats-Unis. Medici va ainsi diffuser sur sa plateforme, en direct et gratuitement, quatre concerts enregistrés à New York – une première pour la salle américaine.
“Nous espérons qu’il s’agit d’une première étape, et que le partenariat va se poursuivre”, assure Emmanuel Morlet, qui connait bien ce petit monde pour avoir été pendant 14 ans, à New York, directeur du bureau de la musique de l’Ambassade de France, puis directeur de la salle de concert de Sonoma State University, en Californie.
Le 4 novembre, Medici retransmettra le concert du pianiste David Zobel accompagné par la soliste Joyce DiDonato. Le 18 novembre, la violoniste Anne-Sophie Mutter et son ensemble (18 novembre) joueront notamment les Quatre Saisons de Vivaldi. Le 22 novembre, le violoniste Leonidas Kavakos et la pianiste Yuja Wang (“la nouvelle Lang Lang”) interprèteront Schumann, Brahms et Stravinsky. Enfin, le 9 décembre, le virtuose russe Daniil Trifonov jouera des pièces de Bach, Beethoven et Liszt. Ces concerts seront disponibles pendant 90 jours.
Pour Medici, cet accord avec Carnegie est une manière d’amener les utilisateurs vers des contenus payants. “Le live, c’est un cadeau pour attirer le public”, résume Emmanuel Morlet. La plateforme s’est en effet développée sur un modèle freemium, avec des concerts gratuits (100 par an) et un abonnement (19$ /mois aux USA) qui permet d’accéder à un catalogue de 2 000 concerts, opéras, ballets, documentaires ou vidéos sur la musique classique, avec un son haute définition.
Et question concerts, c’est du lourd : depuis sa création en 2008, Medici a retransmis en live le Philarmonique de Berlin, le New York Philarmonic, le London Philarmonic, l’Orchestre national de France, le Philarmonique de Radio France, l’Orchestre National du Capitole de Toulouse, le Barcelona Symphony Orchestra…“Dans le milieu de la musique classique, nous avons une forte crédibilité, parce que nous ne faisons pas de concession sur la qualité de la retransmission”, assure-t-il. L’entreprise capitalise aussi sur le réseau de son fondateur, Hervé Boissière, ancien de Warner et ex-directeur du label Naive.
A ce jour, Medici revendique 150.000 visiteurs uniques par mois et 20 millions de vidéos vues – mais ne communique pas sur son nombre d’abonnés. Outre des particuliers, figurent un nombre important d’universités.

L'auteur de "Paris vs New York" à Albertine

L’artiste graphique Vahram Muratyan, auteur du livre à succès Paris versus New York, présentera son nouveau livre à la librairie Albertine le 19 novembre. About Time (Tick Tock en français) est une série d’illustrations drôles et colorées sur le temps et la mémoire.
Le Français de 34 ans, chroniqueur pour M le magazine du Monde, illustre dans About Time des thèmes variés – amitié, bonheur, technologie, voyages, rupture amoureuse – avec collages et couleurs pop. Ses dessins montrent, avec humour, comment le temps affecte nos vies.
Traduit dans sept langues, Paris versus New York rendait hommage à la beauté des deux villes. Une partie des dessins de About Time font d’ailleurs référence à ce premier ouvrage.
Vahram Muratyan s’entretiendra avec Timothée Verrecchia, homme d’affaires aux multiples casquettes – producteur, réalisateur et coordinateur.

CharlElie Couture et Jean-Marc Calvet chassent leurs démons

A première vue, les peintures de CharlElie Couture et celles de Jean-Marc Calvet n’ont pas grand-chose en commun. Le premier peint des profils épurés, dans des couleurs douces. Le second, lui, dessine ses portraits de face, qu’il fond dans une mosaïque d’objets et de personnages colorés. Ce qui rassemble les deux artistes, qui se sont rencontrés lors de la dernière exposition de Jean-Marc Calvet, c’est finalement peut-être New York. Tous deux ont puisé dans cette ville, à leur manière, la force de se reconstruire.
Pour CharlElie Couture, cet exil était « une expérience nécessaire ». Il est venu dans la Grosse Pomme après le décès de son père, pour « se trouver ». Et aussi parce que “je souffrais de l’image figée qu’on avait de moi” en France, dit-il. Pour lui, « la notoriété, ça momifie ».
Au départ, il ne pensait rester à New York qu’un ou deux ans. Finalement, après sept années passées dans un atelier du Financial District, il a décidé de rester, à Midtown. « J’ai eu envie d’être aux premières loges, dit-il. j’ai entre 4 et 15 personnes qui entrent dans mon atelier chaque jour, ils viennent du monde entier ». Cette expérience lui a « permis de comprendre ce que je faisais ». Un mélange entre photographie et peinture, entre aplats de couleurs et décors en noir et blanc. Une dualité qui lui ressemble : « L’art, c’est une radiographie de l’âme ».
Jean-Marc Calvet lui, a commencé à peindre à 37 ans. Sa première exposition, il l’a faite dans les toilettes d’un restaurant où il travaillait. Un jour, un homme voit l’un de ses tableaux, et lui demande s’il a déjà exposé à New York. Jean-Marc Calvet pense qu’il est fou.
Il faut dire que l’artiste revient de loin. Plongé dans une profonde dépression, ce « gosse de la rue » s’est caché dans une maison mexicaine au Nicaragua. « Pendant neuf mois, je suis resté dans cette maison, la dernière au bout d’une voie sans issue. Je voulais mourir, mais je n’avais pas la force de me mettre une balle dans la tête ». Pendant cette « gestation dans une mauvaise mère », Jean-Marc Calvet sombre, seul avec son « double auto-destructeur ».
Son salut, il le doit à des pots de peinture acrylique trouvés dans la maison. «La peinture, ça a été ma thérapie, une façon de vomir, de sortir ce qui me tuait de l’intérieur.» Il couche sur ses toiles tout ce qui lui vient spontanément à l’esprit, dans un bric-à-brac coloré, plein de vie. Sans réfléchir. Parce que, « si je commence à réfléchir, je fais de la merde». Depuis 12 ans, il ne s’arrête plus de peindre, jusqu’à 15 heures par jour. Il a déjà fait une douzaine d’expositions à New York, le Flint Museum lui a acheté des toiles, un documentaire sur sa vie a parcouru les festivals de films du monde entier. Comme il le dit lui-même, « c’est une belle histoire d’espoir ».
Pour CharlElie Couture, si les tableaux de Jean-Marc Calvet ne ressemblent en rien aux siens, les deux hommes, eux, ont un point commun. «On est tous les deux hantés par nos propres démons». « Moi, mon travail, dit-il, c’est une quête d’absolu. Lui, une quête de puissance. » A découvrir à Chelsea, du 30 octobre au 29 novembre.

Pétanque et Tati: semaine bien française à Dallas / Fort Worth

Jacques Tati, Picasso, et une partie de pétanque : voilà au moins trois bonnes raisons pour ne pas rater la première French Week du Tarrant County College.
A compter du lundi 3 novembre, les évènements vont s’enchaîner sur le campus Nord-Est de l’université, situé à Hurst. Ils sont gratuits et ouverts à tous. Et ont pour objectif, conformément à la philosophie des National French Weeks, de “donner de bonnes raisons d’apprendre le français“.
En partenariat avec le Consulat de France à Houston, la Chambre de commerce franco-américaine de Dallas/Fort Worth et l’Alliance française de Dallas, une série de présentations sur la francophonie, les bourses d’études en France et la présence française sur le marché américain donnera le coup d’envoi de la manifestation, lundi, de 10h30 à midi.
Egalement au programme : une projection du film Jour de fête de Jacques Tati, mardi à 19h, un tournoi de pétanque, mercredi 5 novembre entre midi et 14h, une représentation de la pièce de théâtre Picasso et le lapin agile montée par le département de théâtre de l’université. Elle met en scène la rencontre entre Picasso et Albert Einstein, qui, l’un et l’autre, ont contribué à leur manière au monde d’aujourd’hui. Et vendredi 7 novembre à 16h30, est prévue une sortie au Kimbell Museum of Art pour voir l’exposition Faces of impressionism Portraits from the Musée d’Orsay.
Deux autres projections, de Marie-Antoinette et Amélie (titre anglais du Fabuleux destin d’Amélie Poulain) sont également organisées sur le campus Sud du Tarrant County College,  à Fort Worth, mercredi 5 novembre et mardi 11 novembre à 12h30.
Les bibliothèques universitaires mettront, elles, en avant leurs œuvres françaises. Une expo photo sur la France sera de plus accrochée dans le bâtiment NTSU du campus Nord-Est.
« Immersion dans la culture française »
Si les festivités sont ouvertes à tous, le Tarrant County College espère surtout que cette première French Week profitera à ses étudiants. « Nous avons beaucoup d’étudiants francophones originaires d’Afrique de l’Ouest venant prendre des cours de français car ils parlent la langue de Molière mais ne l’écrivent pas, ainsi qu’un certain nombre d’étudiants apprenant les bases du français à l’occasion de leurs études au Tarrant County College. Nous souhaitons leur offrir une immersion dans la culture française », explique Mary Williams, la responsable du département de langues étrangères du campus Nord-Est.
Une présentation sur la présence économique française aux Etats-Unis, avec la participation de Bell Helicopter et Essilor, implantées localement, est par ailleurs une façon de positionner le Tarrant County College à l’échelle internationale. Mary Williams le promet: cette première édition « n’est qu’un début ».
 

"Marius" et "Fanny" ouvrent le MED Film Festival de Houston

Le Meditterranean Film Festival projettera « Marius » et « Fanny », signés Daniel Auteuil, le 31 octobre. Le festival se poursuivra jusqu’au 2 novembre.
Né il y a trois ans, ce festival a pour but de réunir les pays méditerranéens (France, Croatie, Grèce, Israël, Espagne, Italie et Turquie) le temps d’un week-end, au Rice Media Center de Houston.
« Marius » et « Fanny » (2013) sont deux films adaptés des pièces de théâtre de Marcel Pagnol, qui font partie de la trilogie marseillaise. Daniel Auteuil a notamment adapté « La Fille du puisatier » du célèbre romancier français en 2011.
Marius (Raphaël Personnaz) est un rêveur qui imagine prendre le large, un jour, sur un des bateaux du vieux port de Marseille. Fanny (Victoire Bélézy) est secrètement amoureuse de Marius, qui l’aime également. Pour l’empêcher de quitter Marseille, elle lui révèle son amour et tente de le rendre jaloux.
 

Des Françaises au San Francisco International Hip-hop Dancefest

Fondé en 1999, le San Francisco International Hip-hop Dancefest fut l’un des premiers festivals du genre. Celle qui l’a créé, c’est Micaya, une professeure de danse et chorégraphe, qui a fait ses premières armes dans la danse hip-hop. Aujourd’hui reconnu dans le monde entier, l’événement rassemble pendant trois jours les troupes de danseurs les plus en vogue.
Durant cette seizième édition, vous pourrez voir, parmi la vingtaine de participants, un petit groupe de Frenchies : le Zamounda Crew. Pour le premier programme, les danseuses feront leur chorégraphie “Crazy Sexy Cool“, puis pour le second, “Hot Couture“. Ne manquant pas d’imagination, elles ont pour habitude de mixer les styles, du breaking à la danse africaine.
Allez les applaudir du 14 au 16 novembre au Palace of Fine Arts Theatre.

"Bal-Trap", une pièce sur l'amour et le désamour à Houston

Amour, désillusion, espoir. La troupe Et Voilà Théâtre s’empare de Bal-Trap, pièce de théâtre de Xavier Durringer produite en 1990. Un drame doux-amer que la compagnie francophone présentera les 1er, 7, 8, 14 et 15 novembre au Freneticore Dance Theater de Houston.
Créée en 1998, la troupe amateur Et Voilà Théâtre met chaque année en scène une pièce issue d’un auteur français. Bal-Trap, l’oeuvre la plus connue de Xavier Durringer – réalisateur du film sur l’ascension de Nicolas Sarkozy, La Conquête, en 2011 – a donné lieu à de nombreuses mises en scène.
Un homme et une femme, au petit matin, reviennent sur les lieux de leur premier baiser, quand le quotidien n’avait pas encore pris le dessus sur la passion. Une autre femme, visiblement nerveuse, attend un homme qui ne viendra pas. Un autre homme, qui n’attend personne, est néanmoins prêt à s’abandonner à l’amour.
Ces quatre personnages vont s’aimer et se désaimer, sous le regard attendri d’un musicien qui commente leur histoire.
 
 
 

Les fantômes de Jean-Claude Langer à Burlingame

Jean-Claude Langer a pris goût à l’art à l’école des Beaux-Arts, où il apprenait l’architecture. A son arrivée à Los Angeles, il s’est redirigé vers le design, et la publicité. L’artiste a au fil du temps multiplié les supports. Ce sont d’ailleurs ses peintures qu’il exposera à Burlingame, du 8 novembre au 2 janvier 2015, dans le cadre de l’exposition “E-mo-tive”.
Avec son pinceau, Jean-Claude Langer trace des silhouettes qu’il fond parmi des aplats de couleurs vives. Floues, imprécises, mais colorées, ses oeuvres sont autant de déclarations d’amour à “la beauté de la vie”. Ses toiles seront accompagnées de celles d’Elena Zolotnisky.
 

Le Miami Nice Jazz Festival voit grand pour sa 3ème édition

Une fois encore, le Miami Nice Jazz Festival va faire vibrer le sud de la Floride, du 1er au 23 novembre. Et pour cette 3ème édition, l’événement aura lieu dans un nouveau secteur, Miami Beach, en plus de Downtown et Miami Dade.
Chaque année, le festival propose une programmation éclectique, mêlant musiciens de renommée internationale et talents émergents. Du jazz, mais pas que… “Il y aura de la world music“, confie Philippe Pautesta, le fondateur du Miami Nice Jazz Festival. “Aujourd’hui, il n’y a pas de festival de jazz qui diffuse 100% de jazz. On se modernise.
Préparez-vous à une déferlante de jazz cubain avec le pianiste Roberto Fonseca, de flamenco avec le chanteur Diego El Cigala, ou encore de hip-hop/funk/électro avec le groupe franco-américain Dinner At The Thompsons.
Autre nouveauté cette année : deux concerts gratuits les 14 et 15 novembre au sein du Catalina Hotel (South Beach), avec notamment Bebel Gilberto et DJ Oil, et un brunch tous les dimanches au National Hotel (Miami Beach), en compagnie des Français de French Horn.
Une diversité musicale et géographique qui reflète les ambitions du jeune festival. “On a une clientèle aux différences culturelles plutôt ancrées, explique Philippe Pautesta. Sous une même bannière, on essaye de toucher à la fois un public jeune, hipster ou familial. Miami est une ville mosaïque : on souhaite en faire de beaux vitraux.
En 2015, le Miami Nice Jazz Festival prévoit déjà de s’élargir au quartier de Wynwood et d’inviter plus de DJs. Tout en conservant son étiquette “underground“.