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Le Miami Nice Jazz Festival voit grand pour sa 3ème édition

Une fois encore, le Miami Nice Jazz Festival va faire vibrer le sud de la Floride, du 1er au 23 novembre. Et pour cette 3ème édition, l’événement aura lieu dans un nouveau secteur, Miami Beach, en plus de Downtown et Miami Dade.
Chaque année, le festival propose une programmation éclectique, mêlant musiciens de renommée internationale et talents émergents. Du jazz, mais pas que… “Il y aura de la world music“, confie Philippe Pautesta, le fondateur du Miami Nice Jazz Festival. “Aujourd’hui, il n’y a pas de festival de jazz qui diffuse 100% de jazz. On se modernise.
Préparez-vous à une déferlante de jazz cubain avec le pianiste Roberto Fonseca, de flamenco avec le chanteur Diego El Cigala, ou encore de hip-hop/funk/électro avec le groupe franco-américain Dinner At The Thompsons.
Autre nouveauté cette année : deux concerts gratuits les 14 et 15 novembre au sein du Catalina Hotel (South Beach), avec notamment Bebel Gilberto et DJ Oil, et un brunch tous les dimanches au National Hotel (Miami Beach), en compagnie des Français de French Horn.
Une diversité musicale et géographique qui reflète les ambitions du jeune festival. “On a une clientèle aux différences culturelles plutôt ancrées, explique Philippe Pautesta. Sous une même bannière, on essaye de toucher à la fois un public jeune, hipster ou familial. Miami est une ville mosaïque : on souhaite en faire de beaux vitraux.
En 2015, le Miami Nice Jazz Festival prévoit déjà de s’élargir au quartier de Wynwood et d’inviter plus de DJs. Tout en conservant son étiquette “underground“.
 
 

Halloween dans la rue à West Hollywood

La promo dit que c’est la plus grande fête de rue d’Halloween au monde. Et cela se passe à West Hollywood le 31 octobre.  Le “Halloween Carnaval” fait son grand retour sur Santa Monica Boulevard (entre Doheny Drive et La Cienega Boulevard) pour une soirée haute-en-couleur.
Près de 500.000 personnes sont attendues pour cette grand-messe halloweenienne. Au programme: déguisements extraordinaires, stands de nourriture et performances “live” (stand up, concerts…). A ne pas manquer: le concours de déguisements d’Halloween et le sacre de la “Reine du carnaval”.
Gratuit.

1.000 modèles exposés au salon de l'auto de Miami

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Le Miami International Auto Show, c’est 10 jours pour admirer de belles cylindrées. En somme, le paradis des passionnés de voitures.
Familles, grands fans, acheteurs, vous pouvez tous participer à la convention. Vous y verrez les derniers modèles de voitures, camions, et autres véhicules à quatre roues. En tout, plus de 40 constructeurs automobiles seront présents pour vous dévoiler leurs derniers modèles… Et aussi, bien entendu, des modèles plus anciens, comme une collection de voitures cubaines des années 50.
Vous aurez en tout cas l’embarras du choix, parmi les milles et quelques voitures de la convention… Pour vous en mettre plein les yeux, on vous conseille néanmoins de filer sur la Million Dollar Alley, où seront exposées les modèles les plus “bling-bling”.

Une course de lits à Miami

L’hiver arrive et vous file le cafard, vous n’avez qu’une envie : rester sous la couette. Si vous culpabilisez quand même un peu de ne pas sortir, la “Great Grove Bed Race” est faite pour vous.
Comme son nom ne l’indique pas, c’est une… course de lits. Sa sixième édition aura lieu le 1er novembre à Miami. Pour y participer, il suffit d’ajouter quelques roues à votre matelas, et de trouver au moins quatre âmes généreuses et sportives pour le pousser dans les rues (avec vous dessus, bien sûr).
Déguisements kitsch et décalés sont bien sûr de rigueur, l’événement se voulant « un peu fou ». Les équipes seront d’ailleurs jugées sur le décor apporté à votre petit nid douillet, et sur la créativité. Un prix sera bien entendu aussi offert au plus rapide.
La course se déroulera dans Downtown Miami, à Coconut Grove. Des animations auront lieu dans la journée.
 

Axelle Lemaire : «La Silicon Valley peut s’exporter à L.A comme à Paris»

Lors d’une visite éclair de deux jours à Los Angeles, la secrétaire d’Etat au Numérique Axelle Lemaire n’a pas chômé.

Entre une conférence avec le Wall Street Journal, sa rencontre avec le vice-président de Microsoft Brad Smith et un bref passage au Forum Direct To Series, la secrétaire d’Etat devait également s’entretenir mardi soir avec un groupe d’entrepreneurs français basés à Los Angeles, spécialisés dans le domaine du Numérique.

«L’émergence d’une nouvelle Silicon Valley à Los Angeles à laquelle participent de nombreux entrepreneurs français, prouve finalement que la Silicon Valley d’origine n’est pas incontournable » a confié la secrétaire d’Etat à French Morning mardi, en marge de la seconde édition du Forum Direct To Series, qui promeut les séries françaises à Hollywood. « Ce modèle peut s’exporter et se réinventer n’importe où, que cela soit à Los Angeles ou à Paris où aura lieu en 2016 l’implantation d’un gigantesque incubateur à Start-ups dans le 13ème arrondissement» a-t-elle ajouté.

« Les acteurs de l’industrie de l’audiovisuel ont compris que les contenus rejoignent désormais les contenants. D’où l’émergence à Los Angeles, d’une SiliWood (ndlr : jeu de mot entre Silicon Valley et Hollywood) où cinéma et numérique travaillent main dans la main. Ce ne serait d’ailleurs pas un hasard si les Français y étaient particulièrement actifs, car leur savoir-faire est doublement reconnu dans les domaines artistiques et techniques. La France y a donc toute sa place » a-t-elle ajouté.

“Les Français aux Etats-Unis sont un atout et une force”

Interrogée sur la fuite des cerveaux français en Californie, Axelle Lemaire a insisté que «la présence des Français en Californie » comptait « énormément pour le gouvernement français ».

« Nous sommes respectueux des choix professionnels et personnels de chacun. Nous ne sommes pas du tout dans un discours qui consisterait à dire « Vous devez rentrer en France », bien au contraire.  Les entrepreneurs français aux Etats-Unis sont un atout et une force pour notre pays. Grâce à eux, nous sommes capables de créer des partenariats depuis et avec l’étranger. Par exemple, en développant des co-productions sur le territoire américain, ou en incitant les Américains à venir en France».

Curioos lève près de 2 millions de dollars

Dans le monde de Mathieu Valoatto, les logiciels ont remplacé les chevalets et les pinceaux.
Passionné d’art digital, ce Français a créé en 2012 Curioos, un site qui vend en ligne des reproductions d’œuvres d’art, dont le point commun et d’avoir toutes été créées sur ordinateur.
Ce mercredi 29 octobre, la start-up, qui emploie neuf personnes entre Paris et New York, annonce une levée de fonds de 1,9 million de dollars, réalisée auprès d’investisseurs basés aux Etats-Unis. De l’argent qui sera investi dans le développement commercial et le marketing.
“Nous avons 2 000 artistes sur la plateforme, qui viennent de 90 pays. Nous ne sommes pas dans une logique de développement exponentiel de leur nombre, nous nous focalisons sur la curation”, explique l’entrepreneur de 30 ans, qui vit entre Ménilmontant et Chelsea.
Sur Curioos, on trouve de tout. Des affiches à l’esthétique des comics vintage de Butcher Billy. De jolis posters d’animaux originaux, pour des chambres d’enfants. Des affiches colorées sur New York ou Londres, comme celles de Yoni Alter. Des tentatives un peu plus expérimentales, ou fantastiques. Ou encotre les tableaux Hipster Kits d’Alizée Lafon, qui plairont aux cinéphiles.
Nous ne vendons que des séries limitées ou numérotées, signées, avec certificat d’authenticité”, précise Mathieu Valoatto. Le panier moyen est de l’ordre de 200 dollars.
L’histoire de Curioos doit beaucoup à un blog, plus précisément un Tumblr sur l’art numérique, que Mathieu Valoatto avait lancé en 2011. Son succès lui a donné l’envie de le transformer en site marchand, et d’inviter certains artistes à y vendre leurs oeuvres.
Curioos est lancé en 2012, avec l’aide d’investisseurs qui misent 500.000 dollars sur ce projet. En novembre de la meme année, Mathieu Valoatto débarque à New York, “en poisson pilote”, avec l’objectif d’y faire grossir sa société.
Et cela semble plutôt marcher. La start-up réalise la moitié de ses ventes sur son site, et l’autre via des distributeurs (sur des plateformes comme Gilt ou Fancy). Le patron reste discret sur ses chiffres, mais concède que sur une vente éphémère Gilt, il peut écouler jusqu’à 500 posters. “Pour l’instant nous ne sommes pas rentables, mais on devrait y arriver courant de l’année prochaine.” Dans les règles de l’art.

Le roi du cronut lance sa dernière création: un livre

Chaque matin devant la pâtisserie de Spring Street, les plus courageux arrivent dès 6h pour déguster le « Cronut », le célèbre dessert mi-donut mi-croissant créé par Dominique Ansel. « La queue est de 150 personnes en moyenne »,  précise le chef pâtissier, si bien qu’« après l’ouverture de la pâtisserie à 8h cela prend environ 2 heures et demie pour servir tout le monde ». Et pas question de tenter de griller la queue, même Emma Roberts a déjà essayé : ça n’a pas marché…
Vous n’avez pas la chance d’habiter près de la pâtisserie de Dominique Ansel, vous avez la flemme de faire la queue ou encore vous voulez mettre à l’épreuve vos talents de pâtissier ? Vous pouvez désormais acheter son premier livre de recettes, préfacé par son ancien patron Daniel Boulud. Il contient bien sûr la recette du Cronut, dévoilée en avant-première sur l’émission Good Morning America, et bien d’autres gourmandises.
La plupart des recettes nécessitant plus de deux heures de préparation (voire même 8h pour la plus longue…), réparties souvent sur deux jours, il faut aussi une sacrée volonté. « Un bon pâtissier ? C’est beaucoup de travail et de discipline, commente Dominique Ansel. Je travaille en cuisine depuis environ 20 ans, croyez-le ou pas. Et c’est de plus en plus difficile ».
« Le Cronut nécessite la confection d’une pâte feuilletée, et c’est une technique que la plupart des cuisiniers à la maison n’ont jamais réalisée, précise Dominique Ansel. Cela implique également de travailler sur trois jours et de finir la pâtisserie par un fourrage et un glaçage. Je recommanderais de commencer en premier par des recettes plus simples » poursuit-il. L’animateur Jimmy Fallon, lui, ne s’est pas remis du temps requis pour confectionner le Cronut…
Les plus prudents commenceront donc par quelques recettes simples proposées au début de l’ouvrage (Cookies chocolat pécan, Chocolat chaud, Mini madeleines, Popcorn chouquettes), puis le niveau augmente. Si vous passez les étapes, et survivez aux coups de fourchette suspicieux de vos convives, vous pourrez vous essayer au Dominique Kouign Ammans (DKA), les Religieuses à la vanille ou le Soufflé magique façon Dominique Ansel,  le Cotton-Soft cheesecake ou le Paris-New York franco-américain.
Pour les nuls en pâtisserie, ceux qui n’ont pas le courage de se lancer, les impatients ou les paresseux, il ne reste plus qu’à tenter sa chance à la boutique de Spring Street (heureusement, pas besoin de faire deux heures de queue si on vient pour autre chose qu’un Cronut). Dominique Ansel vient également d’annoncer l’ouverture prochaine d’une nouvelle pâtisserie à Tokyo. « Nous apporterons au Japon certains de nos plus grands succès, mais nous espérons aussi faire de nouvelles créations pour le marché local».

Comment trouver un stage aux Etats-Unis?

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C’est le graal pour beaucoup d’étudiants. Ligne précieuse sur le CV, occasion unique de parfaire son anglais, le stage aux Etats-Unis n’en est pas moins difficile à obtenir. Entre agences de placement et témoignages, passage en revue des moyens de l’obtenir.
Avant de postuler, il faut bien entendu adapter sa candidature aux standards américains. « Le CV doit être présenté à l’anglo-saxonne – pas d’âge ni de photo –  et la lettre de motivation doit être courte, différente pour chaque candidature, et très concrète. Elle doit bien montrer ce que le candidat peut apporter à l’entreprise », affirme Joannah Bell, de la Chambre de commerce franco-américaine de New York.
Les candidatures spontanées
Si vous choisissez cette voix, il faudra vous armer de patience. Pour maximiser vos chances, premier conseil : envoyer des candidatures aux entreprises françaises basées aux Etats-Unis.
Celles-ci «recherchent très souvent des stagiaires bilingues. C’est la solution la plus efficace pour les Français » poursuit Johanna Bell. Un point de vue partagé par Céline Clément, directrice de l’agence America Welcome, qui aide des étudiants à obtenir un visa pour les USA. « Les entreprises françaises liées au luxe, à la gastronomie, à la mode sont très présentes. Je remarque aussi que beaucoup d’étudiants trouvent des stages dans des boulangeries ou des cafés français ».
La Société Générale, LVMH, Pernod Ricard, la BNP, Kayser, Hachette, Sandro, Zadig & Voltaire : voici quelques marques connues présentes aux Etats-Unis – mais il y en a bien d’autres. Pour ceux qui visent New York, la mairie de New York édite sur son site la liste de toutes les entreprises françaises de la ville (« international business directory »), avec des coordonnées pour les joindre. Vous pouvez aussi contacter des réseaux et associations françaises, comme French Geeks New York, qui rassemble des start-ups créées par des Français dans la grosse pomme. Dans les autres villes, consultez le site des consulats pour obtenir une liste des organismes présents sur place, ainsi que les sites des chambres de commerce franco-américaines pour vous renseigner sur les entreprises  françaises ayant une implantation locale.
Le réseau personnel
Le networking est de loin la meilleure option. Se faire recommander par quelqu’un, c’est bien souvent passer devant beaucoup d’autres candidatures et souvent l’assurance d’être écouté lors d’un entretien.
Étudiante à l’IEP d’Aix-en-Provence, c’est le réseau de son école qui a fonctionné pour Raphaëlle : « J’ai vu dans le répertoire des stages qu’une étudiante l’année au-dessus de moi était partie en stage à l’ONU. Je l’ai contactée, et elle m’a donné les coordonnées de son chef, et après un test de rédaction en anglais, j’ai eu une réponse positive ».
Même chose pour Amélie, qui a obtenu un stage dans une société de production de cinéma. « J’ai demandé à mes anciens responsables de stage à Paris de me donner quelques contact à New York. J’ai contacté ces personnes de leur part, et j’ai eu des entretiens par Skype »
Les agences de placement
Voilà une option qui facilite bien des démarches, bien que le coût de ces formules “clé en main” soit assez élevé, pouvant aller de 550 à 2.000 euros, voire plus, selon le type de service et la durée du séjour proposé. A voir, donc, surtout si le stage n’est pas rémunéré.
Voici une liste non exhaustive des agences de placements à démarcher pour trouver un stage outre-atlantique :
Intern Abroad USA qui se décrit comme l’organisme leader pour les jeunes diplômés européens et jeunes professionnels qui cherchent un stage payé en Amérique du Nord, en particulier San Francisco, Miami, Los Angeles et New York.
– Calvin Thomas propose des stages non rémunérés de moins de 3 mois ou des formules de bénévolat en association.
– My Internship Abroad vous met en relation avec des entreprises sur le sol américain.
– Spécialisé dans le placement des étudiants à l’international, Helpstage dispose d’une section spécifique “stage aux États-Unis” et les offres sont consultables en ligne.
– SILC propose, parmi différentes formules de séjours linguistiques, des stages allant de l’observation (1 à 3 mois) au stage de qualification en entreprise (12 à 18 mois rémunérés).
– WEP (World Education Program) sera en mesure de vous trouver un stage non rémunéré et un placement en famille d’accueil.
Par Jessica Gourdon et Lola Girard

Trois films à ne pas manquer à French Cinema Now

Marion Cotillard, Alain Delon, Jean-Pierre Darroussin ou encore Juliette Binoche, tous seront réunis (sur des écrans du moins) au French Cinema Now.
Ce festival rassemblera grands classiques et films récents de France, Suisse et Belgique. En quatre jours, onze films seront présentés. La rédac’ vous en a sélectionné trois à ne pas manquer.
Le premier, c’est “La Ritournelle” (Paris Follies), avec Isabelle Huppert et Jean-Pierre Darroussin en tête d’affiche. Ils se sont pour le film glissés dans la peau de Xavier et Brigitte, mari et femme depuis un bon bout de temps. Le couple a toujours été un peu instable. Brigitte commence sérieusement à se lasser de la vie à la ferme, et de son mari qui n’est heureux qu’en nourrissant ses vaches… Pour connaître la suite, rendez-vous le 6 novembre à 19h.
Filez ensuite voir “Deux Jours, Une Nuit” (Two Days, One Night), des frères Dardenne. Marion Cotillard y joue le rôle de Sandra, une jeune mère qui travaille dans une petite usine de production de panneaux solaires. Souffrante, elle doit arrêter de travailler. Pendant son absence, ses collègues réalisent qu’ils n’ont pas vraiment besoin d’elle, et qu’avec quelques heures sup’, ils pourraient aisément la remplacer. L’entreprise leur propose alors à chacun un bonus de 1.000€, qu’ils ne toucheront que s’ils acceptent que Sandra soit renvoyée. Cette dernière n’aura alors qu’un week-end pour les convaincre de refuser cette prime. A voir le 8 novembre à 19h.
Enfin, on vous conseille “L’Amour est un Crime Parfait” (Love is the Perfect Crime), projeté le 8 novembre dès 21h30. Mathieu Amalric est Marc à l’écran, un professeur à l’université de Lausanne à la réputation douteuse. Lorsque sa dernière conquête, une jeune étudiante, disparaît mystérieusement, il va devoir éloigner les soupçons qui pèsent sur lui. En même temps, il doit composer avec son attirance pour sa belle-mère, jouée par Maïwenn, et une jeune étudiante séduisante (Sara Forestier). Le 8 novembre, 21h30.

Les dessous de Marilyn et Elizabeth Taylor révélés au FIT

Pour Halloween, optez donc pour le soutien-gorge no-bra de Rudi Gernreich ou la nuisette échancrée de Juel Park Couture, que Marilyn Monroe et Elizabeth Taylor affectionnaient. L’exposition “Exposed: A History of Lingerie” au Museum at FIT dévoile, jusqu’au 15 novembre, plus de 70 sous-vêtements du XVIIIème siècle à nos jours. Une belle façon de faire monter la température.
Symbole d’érotisme, bien plus qu’une simple barrière au corps nu, la lingerie déchaîne les passions depuis trois siècles. L’exposition en retrace l’évolution stylistique de façon chronologique. Un corset en satin bleu ciel, qui date de 1770, est la pièce la plus ancienne de la collection.
On passe ainsi des sous-vêtements sobres du XIXème siècle aux jupons colorés et robes de nuit opulentes du début du XXème siècle. Les années vingt disent “adieu” au corset, tandis que les années cinquante le remettent au goût du jour. Les créateurs de mode des “Eighties”, eux, adulent les bustiers sexy et provocateurs, inspirés d’ailleurs de formes anciennes. L’exposition met justement en avant ce va-et-vient entre passé et présent, caractéristique de la mode.
Temps fort de l’exposition: Poupie Cadolle et sa fille, Patricia, seront invitées le 6 novembre pour discuter de l’histoire de la maison Cadolle, fondée en 1889 à Paris.

"Mort à vendre" sur TV5 Monde

(Article partenaire) C’est l’histoire de Soufiane, Malik et Allal, trois potes au Maroc, que rien ne sépare. Ils se retrouvent en commettant des délits. Jusqu’au jour où ils décident de devenir des barons de la drogue. Leur entreprise criminelle est mise en échec par une jeune prostituée, Dounia, dont Malik va tomber amoureux et qui va éloigner les trois amis de toujours.
Ce film marocain sorti en 2011, riche en scène d’actions dans les rues et sur les toits de la ville, Tétouane, a été proposé pour représenter le Maroc à la 85eme cérémonie des Oscars, qui s’est déroulée en 2013. Mais il n’a pas été sélectionné pour faire partie des films en compétition. Cela ne l’a pas empêché de remporter le Prix Panorama à Berlin en 2012 et le Prix spécial du Jury au festival de Tanger. Martin Scorcese aurait adoré le film!
Co-production belge, français et marocaine, le film est signé Faouzi Bensaïdi, dont c’est la troisième réalisation. Diffusion: dimanche, 20h35 EST.
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Note: les “articles partenaires” ne sont pas des articles de la rédaction de French Morning. Ils sont fournis par ou écrits sur commande d’un annonceur qui en détermine le contenu.
 

Un marché pour acheter des cadeaux originaux à Austin

En quête d’un cadeau original pour Noël? Ne cherchez plus : du 28 novembre au 24 décembre, le Blue Genie Art Bazaar saura exaucer vos voeux en matière de peintures, photographies, vêtements, sculptures, bijoux, objets en verre, céramique… De l’oeuvre-d’art à l’accessoire kitsch, il y en aura pour tous les goûts.
La 14ème édition du Blue Genie Art Bazaar mettra en lumière les travaux de plus de 130 artistes locaux et régionaux. Des pièces uniques, réalisées à la main, et sélectionnées au préalable par un jury.
Le but de l’événement est également de promouvoir le talent des artistes locaux. L’argent récolté sera reversé à l’association Make-A-Wish. On vous met au défi de ne pas craquer pour un des meubles victorien de Barbara Irwin ou les bijoux biologiques de Claire Buck. Vous trouverez la liste complète des artistes ici.