Président de l’Art Miami, un des salons d’art moderne et contemporain les plus populaires de l’Art Week, Nick Korniloff rendra hommage à la vallée de la Loire le 12 novembre au restaurant français le Bistro Moderne. Le chef Jason Pringle a conçu un dîner en quatre services qui s’inspire de la région française, avec bien entendu une belle sélection de vins locaux.
Les personnes inscrites recevront à l’issue du dîner un pass pour l’Art Miami, qui aura lieu début décembre, ainsi que Context Art Miami, un autre salon de l’Art Week, qui se veut un espace de dialogue entre artistes, galeristes et collectionneurs.
Vous avez jusqu’au 22 octobre pour prendre votre place.
4 films à voir au Chelsea Film Festival
Le Chelsea Film Festival, c’est quatre jours de projections sur le thème des “Global Issues”. Pas moins de 13 films longs et 34 courts sont au menu de cette 2eme édition. A explorer au SVA Theatre de Chelsea et au New School University Center du 16 au 19 octobre . On en a sélectionné quatre mais les autres valent le détour aussi!
Le 17 octobre, sera projeté “A Quintet”. Ce film est le fruit d’une collaboration entre cinq jeunes réalisateurs, tous de nationalités différentes. De Berlin où ils se sont trouvés, ils ont chacun fait un voyage dans leur pays natal, renouant avec leurs racines. A travers ce film, ils ont voulu montrer que, malgré les différences culturelles, nous avons tous les mêmes rêves, les mêmes angoisses, et les mêmes espoirs déçus…
Toujours le 17, “Last Love Lost”. Antonio, après un an et demi dans le coma, se réveille. Brusquement, violemment. Son père a tué sa mère, avant de se donner la mort. Sans refuge et sans personne sur qui compter, Antonio va errer dans les rues de New York. Il y rencontre Vanessa, avec qui il va très vite se lier amitié. Mais c’est sans compter un ex-petit ami jaloux et assoiffé de vengeance…
Le 18, on vous conseille d’aller voir “White Rabbit”, un drame américain. Lorsqu’il était enfant, Harlon Mackey a été forcé par son père alcoolique à tuer un lapin. Depuis, l’adolescent est hanté par des visions qui, avec le temps, deviennent plus fortes et plus violentes. Quand sa seule amie Julie le trahit, la frontière entre imaginaire et réalité va se dissiper dangereusement…
Enfin le 19, place au documentaire “Yemeniettes”. Les caméras de Shawn Thompson et Leon Shahabian ont suivi des adolescentes qui tentent de rompre avec la société yéménite traditionnelle. Leur soif de modernité les a poussées à la création d’un projet innovant autour de l’énergie solaire. En parallèle de ce message d’espoir, les réalisateurs montrent à l’écran la face cachée du Yémen, un pays dangereux, marqué par la précarité.
Skylton: le jeans français "made in USA"
Après Zadig et Voltaire et BCBG Max Azria, c’est au tour d’une nouvelle enseigne de mode française de se faire une place sur le Sunset Strip. Il y a un peu moins d’un an, Cyril et Céline Bonnan, un couple de trentenaires français, ont ouvert à Los Angeles le siège américain de leur entreprise de jeans « Skylton », basée à Levallois-Perret.
Leur pari : exporter aux Etats-Unis une ligne de jeans s’inspirant de la mode parisienne, avec pour slogan : « le Denim à la française ». Un concept plutôt osé dans un pays où le « blue-jean » symbolise depuis les années 50 l’American way of life par excellence.
Le Denim, une invention française
« Peu de gens le savent mais le nom du tissu à partir duquel on fabrique les jeans, le Denim, est à la base une invention française, créée à Nîmes (ndlr : le Denim étant la contraction de « De Nîmes »), explique Cyril Bonnan.
«En matière de design, nos jeans s’inspirent des tendances parisiennes : un côté très épuré, avec des lignes droites, carrées, assez pointues. Quelques détails discrets, sans excès. De manière générale, la France reste une référence dans le monde de la mode aux Etats-Unis. Elle est synonyme de bon goût. Je le constate tous les jours avec mes clients. Même l’accent français est un atout ! » estime cet ancien éditeur reconverti dans le textile aux côtés de sa femme dont l’arrière-grand père était déjà tailleur.
Mais se lancer sur le marché de la vente en gros outre-Atlantique exige aussi de savoir s’adapter au consommateur américain: «l’une de nos coupes phares est un jean qui mélange une coupe basse devant à la française, pour le côté esthétique et sexy, et taille-haute derrière, à l’américaine, pour plus de confort. C’est un mélange rare qui plaît énormément aux Etats-Unis» souligne le patron de Skylton.
Une nouvelle collection 100% Made in USA
Autre choix stratégique: faire fabriquer les vêtements aux Etats-Unis. La prochaine collection des Bonnan qui sortira fin-février, début mars 2015 sera 100% Made in the USA. «En France, la plupart des jeans sont fabriqués au Maroc, en Tunisie ou en Chine, tandis qu’aux Etats-Unis, la tendance du Made in USA tend à se renforcer. Notre clientèle nous en fait d’ailleurs de plus en plus la demande. Cela aura un impact sur la gamme des prix (un jean coûte à l’heure actuelle au moins 180 dollars), mais c’est aussi un gage de qualité ».
La nouvelle collection Skylton sera très probablement fabriquée à Los Angeles, dans le Fashion District, l’un des plus grands centres de l’industrie textile aux Etats-Unis. Céline et Cyril Bonnan viennent d’ailleurs d’ouvrir un « show-room », au sein du California Market Center de Downtown L.A. En août dernier, leur premier fashion show américain, organisé dans ce lieu clef de la distribution à L.A, leur a ouvert de nombreuses portes.
« Cela faisait longtemps que nous rêvions de nous installer en Californie. Etre présent aux Etats-Unis nous a permis de conquérir de nouveaux marchés qui nous auraient été totalement inaccessibles en France» explique Cyril Bonnant, évoquant notamment le Magic Trade Show de Las Vegas, où se retrouvent deux fois par an les professionnels du secteur. «Cet événement nous a ouvert des portes en Australie, en Russie ou encore au Canada ! Et aux Etats-Unis, un an seulement après notre arrivée, nous avons désormais des partenaires de Miami à Chicago en passant par Dallas, New York ou encore Atlanta».
« J'aime regarder les filles » à Los Angeles
« J’aime regarder les filles ». Ce qui sonne comme un aveu n’est en fait rien d’autre que le titre d’un film, réalisé par Frédéric Louf.
En 1981, Mitterrand arrive au pouvoir. Son élection soulève la question de la division de la société française en classes. Dans ce contexte particulier, Primo, 18 ans, ne se voit pas avouer à la fille de ses rêves, rencontrée lors d’une soirée, qu’il ne vient pas du même milieu qu’elle. Les parents de Primo appartiennent à la classe ouvrière, alors que Gabrielle, elle, appartient à la “haute”… Pour la séduire, il va alors lui cacher sa véritable identité, quitte à perdre de vue qui il est vraiment.
La projection aura lieu le 22 octobre à l’Alliance française de Los Angeles. Elle sera suivie d’une discussion, et de rafraichissements.
A Miami Beach, on se demande pourquoi on est célibataire
Bienvenue au Great Love Debate, où se réuniront le 5 novembre 400 hommes et femmes déterminés à répondre à “LA” question : pourquoi sont-ils célibataires ?
Non, il ne s’agit pas de dating ! Animée par Brian Howie, producteur primé et auteur de Comment trouver l’amour en soixante secondes, la discussion sera menée par six experts dont des dating coachs ou des vedettes de la télé.
Les participants se feront face dans le cadre historique du Colony Theatre, à South Beach.
Et pour mettre en pratique ce qu’ils auront appris, ces derniers pourront assister gratuitement à la soirée “Meet, Greet, Mix, Mingle & Match”, après la conférence.
French Weeks: trois semaines pour la France à Miami
Voilà sept ans que les French Weeks Miami sont organisées. Cet automne ne dérogera pas à la règle : du 23 octobre au 13 novembre, la France se montre sous toutes les coutures à Miami.
Cocktails
Les French Weeks débuteront avec un cocktail d’ouverture, le 23, de 18 à 20h, au Consulat. Le 24 octobre, French Morning, la FACC, Silver Prod et le Miami Nice Jazz Festival vous convient à une soirée networking au National Hotel, ouvert par deux Français. Après un samedi de repos bien mérité, vous attend un pique-nique dominical, de midi à 15h au Vatel Club.
Business
Les 27 et 28, retour aux bonnes habitudes, avec deux cocktails-séminaires de 18 à 20h. Le premier sera sur le thème du Design District et des marques de luxes à Miami. Le second, lui, sur les dynamiques économiques qui feront le futur Miami. Le mardi en début d’après-midi, les plus jeunes d’entre vous se joindront à la FIU Panel Discussion dans la Green Library. Au menu : des retours d’expériences sur des séjours en France.
D’autres événements de ce type suivront, avec le lundi 3 novembre une discussion sur « Comment investir en France ». Les amateurs de vin trouveront leur bonheur le vendredi 7 lors d’une discussion sur le marché du vin français aux US. Et pour les Frenchies qui comptent s’installer à Miami, rendez-vous dans les locaux de la FACC le lundi 10 novembre dès 11h30, pour connaître « les pièges à éviter ». Une manifestation qui s’inscrit dans le cadre des “Forum Implantation” de la chambre.
Miami Nice Jazz Festival
Au milieu de tous ces petits fours et grandes discussions, une petite dose d’art ne peut pas faire de mal… Durant ces semaines, seront projetés des films en français. Le 29 octobre, “Apocalypse, The World War I”. Le 30, “Lawrence d’Arabie”. Le 31, “Age of Panic”. Le 6 novembre, “Paths of Glory”. Enfin, le 9, “Volcano”.
Il y aura aussi des concerts, comme Patrick Bruel le 29 octobre, qui donnera avec ce show le coup d’envoi de sa tournée américaine. Qui dit French Weeks dit aussi Miami Nice Jazz Festival. Plusieurs artistes sont programmes, comme le pianiste Roberto Fonseca le 1er novembre, le groupe French Horn, les Hot Sardines et l’excellente Bebel Gilberto (ci-dessus).
Et pour ceux qui ne seront pas encore rassasiés de culture, des expositions devraient combler votre appétit. Le 29 octobre, la Hangar Gallery accueillera une exposition sur les artistes surréalistes français recueillis par la journaliste américaine Vivian Fry pendant la 2eme Guerre mondiale. Une exposition sur les représentations visuelles de la première guerre mondiale aura lieu le 11 novembre à la FIU (Wolfsonian).
Et comme toutes les bonnes choses ont une fin, le 13 novembre, rendez-vous pour le cocktail de fermeture au restaurant La Terrasse, avec une délégation de Guadeloupe.
La fine fleur de l'escrime fait son show à San Francisco
Même si le verbe “brettailler” ne vous dit sûrement pas grand-chose, ne passez pas à côté de la Coupe du Monde d’escrime du 17 au 19 octobre dans le stade historique du Kezar Pavilion. Un événement qui regroupe plus de 150 escrimeurs issus de 32 pays, dont la France, et que la Baie organise pour la première fois.
Moins de deux ans avant les Jeux Olympiques à Rio de Janeiro, la Coupe du Monde d’escrime – ou de fleuret – est le premier d’une série de huit tournois au cours desquels les athlètes pourront se qualifier pour les Championnats du Monde 2015 et, bien sûr, des J.O. Le quatrième tournoi aura lieu à Paris en janvier.
Organisé par la Fédération Internationale d’Escrime (FIE) et le US Fencing Association (USFA), le tournoi a pour ambition d’introduire ce sport à la population de la Baie. C’est l’occasion d’admirer des champions mondiaux olympiques à l’oeuvre, comme les Californiens Gerek Meinhardt et Alexander Massialas.
La France, leader mondial d’escrime, n’est pas non plus en reste avec quatre fleurettistes de renom en compétition dont Erwan Le Pechoux, quadruple champion du monde et triple champion d’Europe par équipes. Le numero 2 mondial Enzoi Lefort sera de la partie.
Nobel: Non, la France n'est pas "finie"
Revue de presse. La France collectionne les bonnes nouvelles cette semaine avec deux prix Nobel.
Le 13 octobre, l’Académie récompense le fondateur de l’Ecole d’économie de Toulouse, Jean Tirole, pour son “analyse de la puissance du marché et de la régulation“. C’est le troisième Français à obtenir le prix Nobel d’économie. Le New Yorker se demande pourquoi ce chercheur, qui a fait un doctorat d’économie au Massachusets Institute of Technology (MIT), a obtenu la prestigieuse récompense. Opposé à l’existence d’un prix nobel d’économie, le chroniqueur juge pourtant que Jean Tirole “le vaut bien“.”Lui et ses collègues ont contribué à changer la façon dont les gouvernements et les économistes perçoivent un vieux sujet qui devient de plus en plus important dans notre économie en réseau : la régulation des entreprises sous monopole.”
Evoquant la guerre entre Amazon et les maisons d’édition, le chroniqueur salue la méthodologie de l’économiste, fondée sur la théorie des jeux et de l’information. Même si lui et ses collègues n’ont pas “établi un ensemble de règles à suivre pour chaque gouvernement“, “ils ont créé un cadre intellectuel unifié que les régulateurs, parties lésées, et les entreprises elles-mêmes peuvent expérimenter.”
Un prix Nobel pour une économie “terrible“?
C’est un tout autre angle que choisit Bloomberg, en suggérant qu’avec ce deuxième prix Nobel en une semaine, après celui de littérature attribué à Patrick Modiano le 9 octobre, la France n’est pas “finie“. Le journal rapporte notamment le tweet “triomphant” de Manuel Valls à l’annonce de la nouvelle. Le premier ministre avait tweeté “Quel pied-de-nez au french bashing!“. Pour le journaliste, “ces victoires ont fait l’effet d’un boost de bien-être dans un pays plombé par une économie stagnante, l’aggravation du déficit budgétaire et un record de chômage qui en font la cible idéale du french bashing.” C’est toute l’ironie de la situation, insiste-t-il en citant le président de l’institut de recherche Eurasia Group, Ian Bremmer. “Tellement d’économistes brillants, une économie si terrible, n’est-ce pas ?“.
Le New York Times va plus loin en évoquant le paradoxe du prix Nobel d’économie. Le journaliste cite un professeur de sociologie économique à Sciences Po Paris, pour qui la remise du prix à un Français est “remarquable en ces temps de malaise économique et de fuite des cerveaux, alors que les plus brillants atouts du pays émigrent ailleurs en Europe ou aux Etats-Unis.”
En plus de Manuel Valls, le ministre de l’économie, Emmanuel Macron s’est réjoui de l’annonce en tweetant “un immense bravo à Jean Tirole qui fait la fierté de notre pays et de l’économie française !” Le titre de l’article du New York Times – “Pour les Français, les prix Nobel montrent que le discours sur le déclin du pays est prématuré” – est révélateur du point de vue américain sur la situation en France.
L’éloge du New York Times à Macron
Plus tôt dans la semaine, le New York Times a d’ailleurs brossé un portrait élogieux du ministre de l’économie, Emmanuel Macron. Le journal flatte volontiers ce “technocrate pro-business” de 36 ans dont le costume n’est “jamais froissé“. “N’eût été son aura d’autorité, M. Macron aurait facilement pu être confondu avec un de ses propres employés“, précise le journaliste.
En mettant l’accent sur sa jeunesse, le journal démontre en quoi le ministre incarne la modernité du parti socialiste, allant jusqu’à le qualifier de “nouveau visage du socialisme“. “La France est malade, explique Emmanuel Macron, et nous n’avons d’autre choix que de réformer ce pays.” Pour le journaliste, une des nombreuses tâches du nouveau ministre est “d’aider à vendre la nouvelle approche du gouvernement de François Hollande – non seulement à la France des entrepreneurs mais aux Français qui s’inquiètent de leur avenir.“
French Morning publie son premier guide de l'éducation bilingue
French Morning est fier de vous présenter son dernier bébé: le guide de l’éducation bilingue à New York, le compagnon indispensable de tout parent français qui souhaite élever son enfant dans le bilinguisme à NYC.
Le guide de 200 pages, sorti tout juste des presses, est composé de deux parties: “Le Bilinguisme, comment ça marche”: une série d’articles explorant la question, de ce qui se passe dans le cerveau de l’enfant bilingue aux modèles d’enseignement en passant par les stratégies familiales. Avec des réponses aux questions que se posent tous les parents, de “va-t-il parler plus tard” à “est-ce normal de mélanger les langues”?
La deuxième partie est une première réalisée par les équipes de French Morning: nous avons visité tous les établissements scolaires de la région de New York qui offrent une éducation en français. Nous avons parlé aux directeurs, aux professeurs, aux parents. Résultat: 43 établissements, associations recensés et un guide indispensable pour qui veut choisir informé.
Le guide est disponible immédiatement en version papier ou en ebook pour 19 dollars. Nous espérons que vous l’apprécierez autant que nous!
"Diplomacy", le face-à-face choc au Film Forum
“Diplomacy” sera projeté au Forum Film de New York du 15 au 28 octobre. Inspiré par une pièce de Cyril Gely, le film sera en français et allemand, et sous-titré en anglais. Un film historique, mais pas seulement…
A la fin de la seconde guerre mondiale, alors que Paris est progressivement libérée du joug allemand, Hitler a l’idée de détruire tous le monuments emblématiques de la capitale. La Tour Eiffel, le Louvre, Notre-Dame sont à deux doigts de disparaitre. C’est le général Dietrich von Choltitz qui supervise les opérations depuis l’hôtel Meurice. Mais avant qu’il ne puisse donner l’ordre, un diplomate suédois, Raoul Nordling, va se faufiler dans l’hôtel par un passage secret, pour convaincre le général allemand de désobéir, ou du moins, retarder l’échéance, le temps que les Alliés n’entrent dans Paris.
André Dussollier et Niels Arestrup nous offrent dans “Diplomacy” un face-à-face élégant, qui laisse le spectateur suspendu jusqu’à la dernière minute.
Discussion sur le porte-à-porte électoral à NYU
Les élections de mi-mandat approchant, l’Institut d’Etudes Françaises de NYU organise le vendredi 17 octobre une après-midi de débat sur le porte-à-porte électoral.
Au programme: discussions sur le système américain, mais aussi sur son exportation en France. Des comparaisons entre les deux modèles seront d’ailleurs proposées. Plusieurs experts viendront parler de ce sujet. Parmi eux, d’anciens directeurs de campagne d’Obama, des experts en politique, mais aussi les Français Guillaume Liegey et Vincent Pons, qui ont introduit la méthode du porte-à-porte dans l’Hexagone.
L’événement est gratuit, et débutera à 13h. Réservez votre après-midi entière: la rencontre se poursuivra jusqu’à 18h30.