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Pourquoi appelle-t-on le Texas le "Lone Star State" ?

Pourquoi le Texas est-il surnommé le Lone Star State ? C’est la question bête de la semaine.
Le Texas fut admis en 1845 comme le 28ème Etat membre des Etats-Unis. Son surnom, le Lone Star State, date de cette époque. Il est encore couramment utilisé aujourd’hui.
L’étoile en question n’est pas celle qu’arborent fièrement les shérifs dans Lucky Luke : elle provient du drapeau du Texas,  le « National Standard of Texas », adopté en 1836.
Sur ce symbole, trois couleurs : le rouge, le bleu, et le blanc. Au beau milieu du bleu azur se dresse une étoile dorée à cinq branches. Que signifie alors cette étoile ?
En 1821, le Texas, qui était jusqu’alors une province espagnole, se retrouve sous l’égide du Mexique. Il faudra attendre 1836 pour qu’il devienne indépendant : c’est cette indépendance que l’étoile représente. Pour certains, l’étoile serait aussi le symbole d’une volonté de rejoindre les Etats-Unis. Cette union se concrétisera en 1845.
Mais ni cette fusion, ni la révision des statuts de 1879 qui fait disparaître des lois toute mention du drapeau n’entacheront le symbolisme de l’emblème. Ce drapeau, dont on ne connaît pas l’auteur, persiste de manière non-officielle, et reste très cher aux Texans.

Un troisième "The Little Door" ouvre à Brentwood

Frédéric et Nicolas Meschin étendent leur territoire. Déjà propriétaires de trois établissements à Los Angeles, dont l’inclassable “Acabar”, les deux frères viennent d’ouvrir un nouveau restaurant The Little Door, sur la 26ème rue, dans le très chic quartier de Brentwood.
“Cette fois, nous n’avons pas mis d’argent sur la table”, explique Frédéric Meschin. “Nous nous sommes associés à un jeune investisseur, Marc-Antoine Rambaud, à qui nous apportons notre savoir-faire, notre expertise, ainsi que le nom du restaurant. Sans pour autant en vendre les droits.”
Incités depuis plusieurs années à multiplier le concept de leurs établissements, les deux frères s’y étaient toujours refusé. “Nous ne voulions pas dénaturer l’esprit que nous donnons à nos restaurants. Et l’idée d’une franchise ne nous plaisait pas. Nous avons finalement trouvé un modèle économique différent : nous prenons en charge les assurances, les droits, le contenu, puis nous plaçons nos équipes – soit une cinquantaine de personnes – et le menu élaboré avec notre chef. Le reste est à la charge du partenaire de l’opération.”
Plusieurs mois ont été nécessaires avant de trouver l’emplacement idéal, même si les frères Meschin avaient une idée en tête. “Ces locaux à Brentwood nous avaient été proposés il y a six ans. Les lieux nous plaisaient, mais le loyer était fou. Finalement, quelqu’un d’autre a signé le bail au prix fort pour ouvrir un restaurant italien, alors qu’il y en 30 aux alentours. Il s’est cassé la figure, puis la crise est arrivée et les locaux sont restés vides. Nous avons donc pu le récupérer à un loyer abordable.”
Après plusieurs mois de travaux, la troisième enseigne de The Little Door a donc ouvert le 22 septembre. A l’intérieur, les moindres détails ont été étudiés pour que la clientèle se sente à son aise, derrière l’imposante porte couvrant la façade. “Rien n’existe aux alentours en terme de vie nocturne. Ici, nous n’ouvrons pour le moment que de 17h à 2h du matin. Nous avons plusieurs salles, dont une taverne à l’ambiance intimiste, pour que chacun trouve ce qu’il cherche, comme dans un riad romantique.”
Et visiblement, le concept séduit déjà. Dès le premier soir, l’acteur Jim Carrey est d’ailleurs venu s’y détendre. De quoi inciter les frères Meschin à poursuivre sur leur lancée. “Des projets sont lancés à Venice Beach, Santa Monica, Las Vegas et Miami.”

La France est-elle encore la France?

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Revue de presse. Pour distinguer un Français d’un Américain, il y a trois critères : le Français fume beaucoup trop, se plaint de la nourriture outre-Atlantique (« parce que la gastronomie française, ça n’a rien à voir ») et fait toujours la grève.
Pendant sa pause (et aussi entre les pauses), le bon Français va fumer une petite cigarette. Enfin, « il allait ». Le gouvernement français serait enfin décidé à déclarer la guerre à la nicotine. Pour les Américains, qui fument beaucoup moins si l’on en croit les statistiques, cette nouvelle est jugée plutôt surprenante. Le New York Times nous en dit plus sur ces mesures destinées à faire baisser le nombre de fumeurs de 10% en cinq ans. Difficile à envisager, alors que « les précédents efforts du gouvernement français pour réduire la consommation de tabac ont été sans cesse retardés ces dernières années ».
Selon le New York Times, ces lois prévues par le gouvernement français sont étonnamment strictes, « plus encore que celles adoptées par le Parlement européen en automne dernier ». Le journal semble en tout cas plutôt sceptique quant à leur efficacité… Comme il le rappelle, « presque un tiers des adultes » en France sont des fumeurs réguliers, et « entre 2005 et 2010, cette proportion n’a fait qu’augmenter (…) malgré les hausses régulières des prix ». Le New York Times se demande en plus comment ces mesures pourraient encourager les consommateurs à arrêter de fumer, si elles s’appliquent aussi à la cigarette électronique.
 Une nouvelle dure à avaler
Les mesures anti-tabac ont sans nul doute troublé les Américains. Mais alors quand il s’agit de la cuisine française, les médias s’offusquent. The Atlantic ne comprend pas pourquoi « l’amour entre les Français et le bœuf » semble mis à mal. « La gastronomie française deviendrait-elle moins française ? » s’interroge le journal… Au menu de cet article, le témoignage de Jacques Pepin, dont la mère « mangeait des steaks tous les jours », et ce, « même dans ces derniers instants ».
Après quelques conseils pour une cuisson parfaite, The Atlantic s’adonne à un hommage au steak, digne d’un éloge funèbre. Ah, il faut dire qu’il est particulièrement bon en France, ce petit morceau de viande, si bon qu’il est « presque impossible de le reproduire à l’identique à l’étranger », et qu’il est devenu « un marqueur de l’identité française ». Le journal américain semble désespéré, inquiet de ne plus jamais pouvoir croquer à pleines dents dans cette viande si tendre… Promis, on ne leur dira pas qu’en France, on met parfois du cheval à la place du bœuf.
Dernier espoir pour sauver les Français
Reste une chose que les Français n’abandonneront sans doute jamais : leur droit de grève. Entre la SNCF paralysée à cause d’une soirée crêpes trop arrosée, et les pilotes d’Air France, les journaux américains ne savent plus où donner de la tête…
Une situation visiblement impensable aux Etats-Unis. Le New York Times vise autant notre gouvernement que les pilotes. Selon le journal, il n’est pas normal que le gouvernement, qui détient tout de même 16% de la compagnie Air France-KLM « n’ait pas fait d’efforts pour montrer la France comme un pays compétitif ». Il aurait en revanche « causé le désordre concernant les plannings aériens ».
 
 

Le "Credit Score" expliqué à Houston

La Chambre de Commerce franco-américaine de Houston organisera une table ronde intitulée « understanding your credit score » le 8 octobre.
Le Credit Score, est un moyen bien Américain de mesurer votre solvabilité. Que ce soit pour un prêt ou pour louer un appartement, on vous demandera cette « note ». Il est très important de comprendre sur quels critères elle est établie.
Si vous souhaitez savoir comment ce Credit Score est calculé, et à quel point il peut déterminer vos acquisitions, cette discussion est faite pour vous. Elle aura lieu dans les locaux de la FACC de Houston le 8 octobre, à 17h30.

Une discussion sur la peine de mort avec des Consuls européens

Le 10 octobre, c’est le 12ème anniversaire de la journée mondiale contre la peine de mort.
Pour l’occasion, le Consul général de France Philippe Létrilliart prendra part à une discussion avec cinq autres représentants d’Etats européens. Seront présents les consuls d’Italie, d’Espagne, d’Allemagne, des Pays-Bas et du Royaume-Uni. Ils seront accueillis par le MEUCE (Miami-Florida European Union Center of Excellence) et le FIU College of Law. Ils débattront ensemble de 14h à 15h30 sur l’avenir de la peine capitale.
L’événement se déroulera au College of Law, sur le FIU Modesto A. Maidique Campus. Il est ouvert au public, et gratuit, mais il faudra réserver votre place pour assister au débat.

La littérature française en question à Columbia

Julien Gracq s’était demandé en 1960 à l’Ecole Normale Supérieure pourquoi la littérature française respirait si mal. Cinquante quatre années plus tard, c’est Pierre Jourde, auteur du très controversé La Littérature Sans Estomac paru en 2002, qui remettra cette question au goût du jour.

Il discutera de l’état de la littérature française avec Elisabeth Ladenson et Antoine Compagnon,  de Columbia et du Collège de France. Le débat sera en français, et se déroulera le 8 octobre de 18h à 19h30, à la Maison française de Columbia. Simples amateurs ou passionnés, vous êtes tous les bienvenus pour partager vos avis sur le sujet.

Matisse en morceaux au MoMA

Après l’exposition sur Toulouse-Lautrec, le MoMA continue de rendre hommage aux artistes français. Le 12 octobre, cent papiers découpés de Matisse sont mis à l’honneur. Une première pour le musée new-yorkais depuis 1961.
C’est à la fin des années quarante, à la fin de sa vie, que le peintre de “La Danse” fait du découpage son principal moyen d’expression, opérant ainsi une révolution artistique. Son travail consistait à découper des toiles peintes et agencer les morceaux de manière à obtenir des formes et des tailles variées – du végétal à l’abstrait. Un procédé que Matisse expliquait d’ailleurs par le fait de “dessiner sans la couleur“.
La créativité dont l’artiste fait preuve pendant cette période a donné lieu à des interrogations sur le statut de l’oeuvre d’art.
A l’origine, le MoMA souhaitait restaurer un des plus célèbres découpages de Matisse, “La Piscine” (1952), qui représente le salon de celui-ci, à Nice. Au centre de l’exposition, l’oeuvre n’était pas accessible au public depuis vingt ans.

Photos: Austin International School fait peau neuve

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Deux ans après avoir emménagé dans de nouveaux locaux, Austin International School vient d’inaugurer sa nouvelle bibliothèque et son premier laboratoire de sciences, ainsi que de nouvelles salles de classe.
“Cela a représenté un travail considérable, mais on ne s’arrête pas là, puisque dans deux ans nous poserons la fondation de notre collège, qui fera sa première rentrée dans trois ans”, a souligné le président du conseil d’administration de l’école, Barksdale English, lors de l’inauguration des nouveaux locaux, vendredi à Austin, en présence de dizaines de parents et quelques-uns des quelque 200 élèves.
A terme, le collège devrait empiéter sur l’amphithéâtre de l’école, aménagé dans l’ancienne église qui abrite l’établissement et offre de quoi accueillir sa croissance.
“Dans nos premiers locaux, la bibliothèque était littéralement une penderie”, a rappelé Christophe Bonnet, le directeur de l’école, pendant la visite des nouveaux locaux. “En emménageant dans le nouveau bâtiment, il y a deux ans, elle avait déjà quadruplé sa surface. Nous possédons aujourd’hui une véritable bibliothèque, avec un coin lecture et une salle multimédia attenante.”
Des outils essentiels pour inculquer “les valeurs de démocratie, d’ouverture et de tolérance” vantées par le consul de France à Houston, Sujiro Seam, qui avait fait le déplacement pour cette étape importante de la vie de l’établissement agréé par le ministère de l’Education nationale français.

Sénatoriales : l'UMP en tête chez les Français de l'étranger

On prend presque les mêmes et on recommence. Sans surprise, les quatre sénateurs des Français hors de France sortants ont été réélus, dimanche, lors du renouvellement partiel du Sénat qui a vu la chambre haute rebasculer à droite.
Sur les six sièges en jeu pour les Français de l’étranger, trois reviennent à l’UMP-UDI (Christophe-André Frassa, réélu, Jacy Deromedi et Olivier Cadic, élus pour la première fois), deux à la liste socialiste (Claudine Lepage et Richard Yung, réélus) et un à la liste indépendante “Les Indépendants: Innovons ensemble” (Robert Del Picchia, réélu). Les résultats complets sont ici.
Sept listes (trois politiques, quatre “indépendantes”) étaient en concurrence. Les sénateurs sont choisis au scrutin proportionnel par les conseillers et délégués consulaires, les conseillers à l’Assemblée des Français de l’étranger et les sénateurs et députés des Français de l’étranger.
 

Evans: votre partenaire dans vos investissements immobiliers à New York

Article partenaire. En entrant dans le bureau coquet et lumineux d’Evans, le visiteur sait immédiatement qu’il ne met pas les pieds dans une agence immobilière classique.
Ouverte depuis 2007 à Midtown West, Evans cible une clientèle d’acheteurs internationaux, désireuse de s’installer dans la Grosse Pomme ou d’investir dans la pierre new-yorkaise. Quatorze agents parlant français, italien, russe, mandarin et allemand notamment y travaillent. L’expertise de ces professionnels de l’immobilier dépasse la simple connaissance du marché de la vente et de la location à New York. Ils sont aussi bien spécialistes des réalités socio-économiques de chaque quartier que des politiques publiques new-yorkaise, d’architecture et de fiscalité. Ils sont surtout à l’écoute des clients. 
Nous sommes une petite agence qui prend soin des clients“, explique Chrystel Garipuy, une des agentes françaises d’Evans.
L’agence couvre l’ensemble de l’Etat de New York, avec une concentration particulière sur Brooklyn, Manhattan et le Queens. En plus de la recherche de logement, elle prend en charge les relations avec le bâtiment avant et après la transaction (que ce soit pour produire le crédit score ou remplacer le frigo), vous guide dans le mic-mac des démarches administratives et financières, organise des visites de quartiers et prodigue des conseils sur les services locaux (écoles, shopping, transports…). “Les agents sont des spécialistes du marché new-yorkais, mais aussi du pays d’où viennent nos clients“, insiste Karina Sagiev, qui dirige l’agence.
Evans emploie deux agents francophones. Pour sa part, Chrystel Garipuy est passée par une formation de droit en France avant de s’installer à New York et se reconvertir dans l’immobilier. “A Evans, nous sommes plus des conseillers que des brokers, indique-t-elle. Nous savons comment les quartiers fonctionnent et évoluent, comment trouver les financements… L’immobilier à New York est très vivant. Ce n’est pas un hasard si tout le monde en parle“.
Parmi ses missions: aider la clientèle française à comprendre que les pratiques immobilières sont différentes aux Etats-Unis, en particulier dans un marché aussi complexe que New York. Par exemple, certains bâtiments new-yorkais proposent une offre de services (concierge, gym…) qui souvent n’existent pas en France.
Par ailleurs, “l’encadrement légal est plus fort. Par exemple, quand on achète un appartement en France, on a un notaire, mais pas un avocat. Ici, on doit être représenté par un avocat. C’est lui qui va regarder la sante financière du bâtiment et qui va donner son feu vert pour la transaction“. D’ailleurs, ajoute-t-elle, Evans se charge de trouver un avocat pour ses clients. “Nous travaillons avec des francophones“.
Autre différence: “Les clients aux Etats-Unis travaillent avec un broker (buyer’s agent) qui va vous représenter. Il va chercher avec vous. C’est un partenariat avec le client. Il va vous aiguiller sur les professionnels qui peuvent vous aider. En France, la recherche est plus solitaire. Ici, ce système vous donne plus de chance de trouver quelque chose de bien“.
Enfin, elle les met en garde contre certains parallèles un peu hasardeux: “Certains clients comparent Montreuil à Brooklyn ou Soho au Marais. Alors que c’est complètement diffèrent“.
Demandes d’informations: Ici
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Note: les “articles partenaires” ne sont pas des articles de la rédaction de French Morning. Ils sont fournis par ou écrits sur commande d’un annonceur qui en détermine le contenu.

Yelle: "On ne pensait pas avoir une carrière internationale"

Très tôt, on a tourné aux Etats-Unis. On a fait une ou deux dates à New York puis on est revenu, on a fait 10 dates… s’exclame Julie Budet, la chanteuse de Yelle. Il y a vraiment eu un truc crescendo.
Yelle, ce groupe français que les Américains ont adopté avant la France… Il sera aux Etats-Unis pour pas moins de 20 dates en octobre (voir ci-contre). 
C’est après avoir achevé quelques dates au Canada lors de la promotion de leur premier album “Pop-Up” en 2007 qu’ils rencontrent un tourneur américain qui leur propose une date “test” à New York. “Il nous a fait jouer dans un petit club de 300 places. Tout de suite, il y a eu une super réponse des New-Yorkais” se souvient-elle. Les dates vont rapidement s’enchaîner.
La surprise est de taille aujourd’hui encore : “En chantant en français, on ne pensait pas avoir une carrière internationale, s’étonne la chanteuse. Aujourd’hui signer sur un label américain en étant un groupe français, c’est dingo!” C’est même “Complètement fou”, comme le titre de leur troisième album, qui sortira le 30 septembre prochain.
“Le public américain trouve notre musique très dansante, très positive. Le bouche-à-oreille sur notre live nous a aussi beaucoup aidé. Quand les Américains aiment quelque chose, ils en parlent” analyse Julie Budet. La chaîne MTV a également participé à la médiatisation de Yelle outre-Atlantique, en diffusant pendant une semaine des mini-séquences du groupe tournées à Paris avant et après chacune de leurs publicités. “Il y a eu des moments clés aussi. On a fait le festival Coachella deux fois, ce qui est plutôt rare pour un groupe français”, ajoute la chanteuse.
Chanter en anglais ? Pourquoi pas un jour si l’occasion se présente. Pour autant, pas question d’abandonner leur langue maternelle: “C’est important de garder cette langue parce qu’elle est très riche. Elle nous permet de jouer avec les mots”.
La force du groupe, c’est sa spontanéité. Seul le plaisir semble guider les choix de Julie Budet et Jean-François Perrier alias Grand Marnier, le noyau dur de Yelle. Ne rien forcer et saisir les opportunités lorsqu’elles ont du sens, tels semblent être les ingrédients du succès de Yelle aux États-Unis. “C’est une question de bon endroit, de bon moment et de bonne personne”.
C’est dans une nouvelle aventure que s’est embarqué le duo pour son troisième album. “On a été contacté par quelqu’un qui travaillait chez Ubisoft pour faire la musique d’un jeu vidéo. Après quelques rencontres, il nous a parlé d’un certain Dr Luke, qui aimait beaucoup ce qu’on faisait, alors on a commencé à parler avec lui via skype”.
Dr Luke se révèlera être l’un des plus importants producteurs américains – notamment celui de Katy Perry et de Keisha. “Complètement fou” sera enregistré à Los Angeles, avec une équipe américaine : “Un vrai bel échange entre nous tous.”
 

Un forum pour les entrepreneures à San Francisco

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Lever des fonds pour son entreprise lorsque l’on est une femme n’est pas toujours évident. Si elles sont de plus en plus nombreuses à se lancer, seules 10% d’entre elles parviennent à trouver des investisseurs en capital-risque.
C’est là tout l’intérêt de l’International Women Entrepreneurs Forum, qui aura lieu le 2 octobre à San Francisco. L’événement rassemblera des conseillers, des entrepreneurs, et des investisseurs. Divers sujets seront abordés, sur les différentes manières de financer son entreprise, préparer son discours devant de potentiels investisseurs, les démarcher… En bref, tout pour « financer avec succès votre grande idée ».
Différents intervenantes viendront animer la discussion. Parmi elles, des business angel et des responsables de grandes et petites entreprises. Elles evoqueront différents aspects du lancement d’une entreprises, du réseautage à la levée de fonds.