Les 26 et 27 septembre, la compagnie la D-Boussole jouera “Les pas perdus”, une pièce de théâtre où le personnage principal n’est autre que la gare, “débarcadère des volontés, carrefour des inquiétudes“. La mise en scène est signée Frédéric Patto, enseignant au Lycée Français de San Francisco.
Créée en 2008, la troupe française propose tout au long de l’année un match d’improvisation théâtrale et la production d’un spectacle. Le dernier en date, “Les pas perdus” a été écrit par la comédienne et dramaturge Denise Bonal.
Sur la scène du Lycée Français de San Francisco, les comédiens amateurs incarnent, avec humour et tendresse, les gens qu’on croise à la gare, des gens pressés aux sans-abris.
D-Boussole plonge dans la magie des gares
6 bowlings pour perfectionner vos strikes à New York
Envie d’impressionner vos amis avec quelques strikes ? Voici quelques-uns des meilleurs bowlings new-yorkais. Attention toutefois si vous prévoyez une sortie en famille. Certains d’entre eux n’acceptent pas les moins de 21 ans, ou seulement sur certaines plages horaires. Mieux vaut donc jeter un œil aux informations disponibles sur leur site avant de s’y rendre.
6. Le plus sophistiqué : Frames
Lumière tamisée, néons, coin lounge… Ce n’est pas le dernier nightclub en vue, mais bien le bowling Frames, à Hell’s Kitchen. Avec sa déco recherchée, Frames ne ressemble en rien aux bowlings old-school que l’on peut trouver en ville. Et si vous voulez plus d’intimité, il est possible de louer une piste VIP pour 10 à 20 personnes, moyennant un tarif un peu plus élevé.
Le prix: $30/heure et par piste. 550 9th Ave (corner of 40th Street)
5. Le plus new-yorkais : Bowlmor Lanes
Si l’historique établissement d’Union Square a fermé le 8 juillet, les fanatiques de cette institution new-yorkaise pourront se consoler dans les bowlings que la chaîne possède à Times Square, Chelsea Piers et Long Island. A Times Square, l’endroit est divisé en plusieurs ambiances typiques de Gotham City (Chinatown, Central Park, Prohibition…). Vous retrouverez également des jeux d’arcade, et une partie “nightclub”, qui se vante d’avoir attiré Paris Hilton ou encore Michael Phelps.
Le prix: $11.95/personne. Plusieurs lieux.
4. Le plus 24/7 : Whitestone Lanes
Pas besoin de se soucier des horaires pour le Withestone Lanes, puisque les 48 pistes de ce bowling du Queens sont ouvertes non stop, du lundi au dimanche ! A noter, des offres spéciales “All you can bowl”, le lundi et mardi soir pour $19.50/personne, et le samedi et dimanche soir pour $19, location de chaussures incluse. Bemol: il faut voyager. Le prix: entre $4.50 et $7.50/personne. 30-05 Whitestone Expy. 718-353-6300
3. Le plus rétro : The Gutter
Non loin de l’arrêt Bedford, dans le quartier de Williamsburg, The Gutter a su re-créer le charme d’un bowling très rétro dans une ancienne usine désaffectée. Les machines, anciennes, proviennent d’un bowling dans l’Ohio. Il suffit de pianoter sur le clavier de votre piste pour s’en rendre compte. On vous conseille d’arriver tôt. Il n’y a pas beaucoup de pistes. Toujours réservées aux 21 ans, elles peuvent être privatisées pour des événements. Le prix : $7/jeu, entre $40 et $45/heure. 200 N 14th St, Brooklyn. +1 718-387-3585
2. Le plus sélect : Lucky Strike Lanes
La chaîne Lucky Strike Lanes, qui possède des bowlings aux quatre coins du pays, compte dans son cheptel un établissement à Hell’s Kitchen. A en croire leur site, il se pourrait que vous y lanciez quelques boules sur les pas de Robert de Niro ou de certains joueurs des Yankees. Mais ce côté hype se paye, puisque que Lucky Strike Lanes a une politique plus que stricte en matière de dress code, qui avait fait scandale il y a quelques années. A proscrire donc, vêtements de sport, T-shirt entièrement blancs ou sans manches, mais aussi baggy. Le prix : entre $8.95 et $11.95/personne. 624-660 W 42nd St 646-829-0170
1. Le plus foodista : Brooklyn Bowl
Ce bowling de Williamsburg propose une carte d’entrées, salades, sandwichs et pizzas qui donne l’eau à la bouche, et l’endroit est particulièrement réputé pour son poulet frit de qualité. Pour en revenir aux quilles, le Brooklyn Bowl dispose de 16 pistes, et est ouvert 7 jours/7. Le lieu, gigantesque, fait aussi office de salle de spectacle. Réservé aux plus de 21 ans, excepté le samedi et dimanche entre midi et 18h. Le prix : $20/30min la piste du lundi au mercredi, $25 du jeudi au dimanche. Prix spéciaux le dimanche soir à partir de 20h. 61 Wythe Ave, Brooklyn, NY 11249, United States. 718-963-3369
"200 millions de critiques" sur TV5 Monde
Article partenaire. TV5Monde présente le premier magazine culturel francophone au monde. “200 millions de critiques” revient sur l’actualité culturelle francophone à travers les regards croisés de journalistes belges, suisses, canadiens, québécois et français.
Concept original de TV5Monde présenté par Guillaume Durand, l’émission est hebdomadaire et dure 52 minutes. Le magazine est dédié aux 220 millions de francophones qui peuplent le monde et le magazine se concentre uniquement sur les thématiques francophones. Tous les domaines seront abordés: littérature, art contemporain, musique, cinéma… et toutes les zones géographiques de la francophonie représentées : Liban, France, Suisse, Belgique, Maghreb, Québec..
Chaque semaine, trois thèmes seront à l’ordre du jour. L’arrivée de Netflix en Europe francophone, le phénomène Stromae et la rentrée littéraire, phénomène très français, furent par exemple au programme de la première émission. Diffusion: chaque samedi, 17h heure de New York.
Note: les “articles partenaires” ne sont pas des articles de la rédaction de French Morning. Ils sont fournis par ou écrits sur commande d’un annonceur qui en détermine le contenu.
Littérature maghrébine à FSU
Edwige Tamalet-Talbayev est professeure de français à Yale. Spécialiste des questions d’ethnicité, de la migration et de l’Afrique, elle s’est beaucoup intéressée au post-colonialisme.
Parmi ses sujets de prédilection, il y a aussi la littérature maghrébine. Elle viendra à la Florida State University pour une conférence publique sur ce sujet le 6 octobre prochain. Au programme : « Algeria Skin-Deep : Post-Traumatic Expression in Algerian Women’s Writing ». Elle y décryptera la littérature algérienne féminine au lendemain de la colonisation, et les répercussions de cette période sur les écrits.
"Swim Little Fish Swim", un petit poisson en eaux américaines
Un si petit poisson dans un vaste océan. C’est à cela que l’on pourrait comparer Lilas ( qui prend les traits de Lola Bessis, également réalisatrice), personnage principal du surprenant “Swim Little Fish Swim“, qui vient de sortir à New York et arrive à Los Angeles le 26.
Fraichement arrivée à New York tant dans l’espoir de vivre de son art que de fuir sa famille, le film suit les aventures de cette jeune femme paradoxale: à la fois indépendante et fragile, timide et audacieuse, chaque scène laisse entrevoir davantage de sa personnalité.
Toute personne ayant connu l’expérience de l’arrivée à New York, seule, ne pourra que se reconnaître dans ce film. Quand une Lilas émerveillée se promène dans les rues de la Grosse Pomme, mais aussi lorsqu’elle doute, hésite à rentrer à Paris. Comme souvent, les rencontres font les voyages, et c’est bien une rencontre, finalement, qui se révèle décisive pour elle. Par une amie commune, elle fait la connaissance de Leeward (interprété par Dustin Guy Defa). Ce papa-poule borderline, musicien de talent qui peine pourtant à s’affirmer en tant que créatif, l’hébergera dans l’appartement qu’il partage avec sa femme et sa fille de quatre ans, Rainbow.
Tous deux partagent une imagination débordante, un besoin de créer, mais aussi un blocage quant à l’idée de montrer leurs œuvres. En s’encourageant l’un l’autre à dépasser cette peur, ils développeront une relation épanouissante, et tisseront des liens forts, alors même que Lilas est se retrouve plongée de force dans les méandres administratifs.
Son visa expire, elle doit donc être exposée dans une galerie d’envergure, pour espérer décrocher le précieux sésame: un visa d’artiste. De son côté, Leeward fait face à un dilemme. Sa femme, Mary, rêve d’une vie plus conventionnelle, lui se plaît dans un mode de vie bohème, sans trop se soucier du lendemain. La caméra capte leurs divisions d’une manière sensible. Sans montrer les conflits, elle les suggère implicitement.
En filigrane se dessine la relation mère-fille. Le vernis se laisse facilement craqueler, révélant les complexités de leur relation. Lilas, jeune vidéaste, peine à se dégager de l’ombre de sa mère Françoise de Castillon, jouée par la magistrale Anne Consigny, artiste reconnue et célébrée à travers le monde. Cette mère, on la voit très peu, on la devine toujours. A la manière de Lilas, pour qui elle semble présente voire écrasante, alors même qu’elle se trouve à des milliers de kilomètres. La passion pour l’art qui les réunit, est également ce qui les sépare: comment trouver sa propre place avec un parent aussi illustre? Est-il possible d’éviter la comparaison, d’affirmer sa propre personnalité? Ces questions, si Lilas ne les prononce pas à voix haute, hantent le film dès la première seconde.
Ce sont ces interrogations, sur la relation filiale, mais aussi sur la vie d’un artiste, son rapport à ce qu’il crée, qui amènent le film à un autre niveau. Tout en restant frais et sympathique, il pousse à la réflexion. La bande originale, qui colle à merveille à l’histoire, ne gâche rien. “Out”, les sons commerciaux entendus mille fois, il s’agit ici de compositions originales qui, non sans rappeler le style de chanteurs comme Donovan Frankenreiter, sont de véritables délices pour l’oreille.
Un film maîtrisé, qui explore son sujet en profondeur, à tel point qu’il en est difficile de croire qu’il s’agit là du premier long métrage des deux réalisateurs, Lola Bessis et Ruben Amar. Laissez vous plonger dans l’univers de “Swim Little Fish Swim“, vous vous y sentirez comme un poisson dans l’eau.
"La Grande Illusion" de Renoir à Columbia
Le 2 octobre, la Maison française de l’université de Columbia présentera La Grande Illusion, dans le cadre d’une série de projections de films sur la Première Guerre Mondiale, dont est commémoré le centenaire.
Ce film désormais culte est sorti en 1937. Il raconte l’histoire de deux soldats français faits prisonniers par un commandant allemand. Les Français tentent alors de préparer une évasion. A leur plus grand désarroi, la veille du jour-J, ils sont transférés dans une forteresse dont il semble impossible de s’échapper. Mais comme on le dit si bien, « impossible n’est pas français ».
Le temps a fait de ce film de Jean Renoir un classique. Avec Jean Gabin et Pierre Fresnay en tête d’affiche, on n’en attendait pas moins.
La projection sera en français, avec des sous-titres en anglais.
Xavier Veilhan parle de la conquête de l’espace
On évoque souvent le lien entre un artiste et son spectateur. Mais qu’en est-il du lien entre un artiste, le conservateur d’un musée ou un chef de projet ? Cette question fera l’objet d’une conférence à Los Angeles le 5 octobre, en présence du célèbre artiste français Xavier Veilhan.
Au sein de maisons d’architectes modernistes (dont celle de Frank Lloyd Wright, ainsi que le MAK Center et le Neutra VDL House), les intervenants reviendront sur l’importance de mettre en place des projets artistiques dans un musée ou un lieu classé historique. Au-delà du défi qu’une installation ou une performance représentent pour un conservateur, il s’agit d’une autre façon de valoriser l’espace utilisé.
C’est l’exploit qu’a réalisé Xavier Veilhan l’année dernière, en exposant une sculpture de 15 mètres de haut dans le centre commercial Beaugrenelle à Paris. L’artiste plasticien – à la fois sculpteur, peintre et photographe – s’est fait connaître grâce à ses nombreuses expositions au Musée d’Art Moderne de la Ville de Paris, au Consortium de Dijon ou plus récemment au Château de Versailles.
Une exposition pour voir le futur à Miami Beach
Vous avez jusqu’au 28 septembre pour découvrir ce que vous réserve le futur… Du moins, celui des Etats-Unis ! Le Wolfsonina-Florida International University expose les travaux de l’architecte américain Norman Bel Geddes, pionnier du design industriel dans les années vingt.
Surnommé “le Léonard de Vinci du XXe siècle” par le New York Times, Norman Bel Geddes est à l’origine de la forme “streamline” appliquée aux véhicules, aux objets et aux bâtiments. Un esthétique futuriste qui aura marqué des générations de designers industriels.
L’exposition fait partie d’une exposition plus large organisée par les professeurs de l’université d’Austin (Texas) intitulée “I Have Seen The Future”.
La BD internationale à l'honneur à Los Angeles
Le prochain “Vis à vis”, évènement qui rassemble des personnalités franco-américaines pour explorer les synergies possibles entre les deux pays dans le monde de l’art, se met à la BD.
Pour son édition 2014, elle propose d’explorer les adaptations au cinéma de bandes dessinées. Le 4 octobre, à l’Egyptian Theater, il sera notamment question de Snowpiercer, de Jean-Marc Rochette. Le film, qui raconte la lutte des classes dans un train qui renferme ce qu’il reste de l’humanité dans un monde plongé dans un nouvel âge de glace, est inspiré de la bande-dessinée française, mais a été dirigé par un réalisateur coréen, et son distributeur est américain.
Le film sera projeté le 4 octobre, suivi d’un documentaire le concernant. Les auteurs Jean-Marc Rochette et Ed Brubaker viendront ensuite en parler avec le public. A noter que, les 9 et 10 novembre, plusieurs tables-rondes auront lieu à Meltdown Comics and Collectibles avec des auteurs français et américains.
La France affronte l’Amérique sur le ring à Santa Monica
Le 1er octobre prochain, le boxeur Hassan N’Dam aura besoin des encouragements passionnés des supporters français, au Barker Hangar de Santa Monica.
L’ancien champion du monde franco-camerounais de 30 ans s’apprête en effet à affronter sur le ring le cogneur américain Curtis Stevens, lors d’une demi-finale mondiale des poids moyens organisée par l’International Boxing Federation (IBF). Un événement qui sera également retransmis sur la chaîne de sport américaine ESPN.
«Pour Hassan, il s’agit de l’un des combats les plus importants de sa carrière» explique Marco La Via, responsable des relations internationales chez Kings Sports Worldwide, promoteur du champion français à Los Angeles. « Car s’il parvient à battre Curtis Stevens, il devrait normalement rencontrer en finale, le champion du monde IBF des poids moyens, l’Australien Sam Soliman ».
Surnommé «El Fenomeno» par des boxeurs cubains, Hassan N’Dam a été sacré trois fois champion du monde. Ce sportif d’un mètre 80 est réputé pour sa technique et sa grande mobilité sur le ring. Après avoir perdu son titre de champion du monde en 2012, il vient d’entamer au printemps un retour en force aux Etats-Unis, avec un nouveau manager américain.
La Californie, « Mecque de la boxe »
Dans les prochains mois, Hassan devrait passer plus de la moitié de l’année aux Etats-Unis où quatre nouveaux matches l’attendent déjà. « La Californie est un peu la Mecque de la boxe, explique son promoteur. C’est l’endroit idéal pour travailler, car on y trouve notamment un très grand choix de « sparring partners » (ndlr : partenaires d’entraînement).
Pour se préparer au match qui l’opposera à Curtis Stevens, Hassan N’Dam a suivi un entraînement rigoureux : après deux semaines d’oxygénation dans les Alpes à Briançon, il vient de passer six semaines à Carson, au sud de Los Angeles, où il a travaillé de 7 à 10 heures chaque jour, pour battre son futur adversaire. Le 1er octobre prochain, leur duel franco-américain sur le ring promet d’être riche en émotions.
Ségolène Royal sur le pont à New York pour l'Hermione
“L’Hermione needs you, LaFayette needs you“. Au Consulat de France à New York, lundi, jour de son anniversaire, Ségolène Royal s’est offert une parenthèse franco-américaine.
Bien loin des discussions sur le changement climatique aux Nations unies, de son projet de loi à 2.300 amendements sur la transition énergétique, la ministre de l’écologie a, en anglais dans le texte, vendu le projet “Hermione” à un parterre de New-Yorkais francophiles.
La réplique du navire du Marquis de LaFayette, qui subit des essais en mer depuis début septembre, doit rallier les Etats-Unis en 2015, 235 ans après que l’Hermione originale ait transporté le jeune militaire aux Etats-Unis. “J’ai parlé de l’Hermione à Ban Ki-moon, le secrétaire général des Nations Unies“, a raconté Mme Royal, vantant un “projet exceptionnel“, une “aventure de la mer“.
Ce n’est pas la première fois que Ségolène Royal vient “pitcher” le projet à New York. L’an dernier, elle en avait fait la promotion auprès de potentiels donateurs américains comme présidente du conseil régional de Poitou-Charentes, où la réplique a été construite. “Je continue à suivre le projet de près, confie celle qui n’est plus au conseil régional depuis son entrée en gouvernement. Cela n’a pas toujours été facile. Il a fallu convaincre à chaque étape. Cela fait dix ans que le projet est dans les cartons. Je suis heureuse de voir le travail réalisé en un par les Américains“.
Passage devant la Statue de la Liberté le 4 juillet
En marge de la réception, la ministre a dîné avec une dizaine de mécènes, au consulat. Elle devrait participer au gala des Amis américains de l’Hermione-LaFayette le 14 octobre, à bord du porte-avion Intrepid, en présence d’Henry Kissinger, de Christine Lagarde et du journaliste Charlie Rose.
“Nous avons besoin de lever entre 1 et 2 millions de dollars pour compléter le voyage et financer les animations éducatives autour“, précise Miles Young, chairman des Amis américains de l’Hermione-LaFayette. “L’an dernier, nous n’avions rien, maintenant nous avons le momentum.“
La frégate arrivera le 5 juin 2015 à Yorktown, avant de gagner Mount Vernon, Alexandria, Baltimore, Philadelphie, New York, Newport, Greenport, Boston, Castine et enfin Lunenberg, en juillet 2015. Son voyage sera ponctué de manifestations culturelles et éducatives.
Pêle-mêle: une pièce de théâtre sur LaFayette au FIAF à New York , une conférence à Mount Vernon sur le rôle des forces françaises dans l’indépendance des Etats-Unis, une reconstitution à Philadelphie du dîner du Congrès continental qui a eu lieu à bord de l’Hermione en 1781… Temps fort: le passage du navire devant la Statue de la Liberté, avec un millier de d’autres bateaux, le 4 juillet pour un “hommage à Lafayette et la Liberté“.
Les meilleurs cavaliers mondiaux font le show à LA
Les amateurs de chevaux vont être ravis. Du 25 au 28 septembre prochains, la Cité des Anges accueille la toute première édition du Longines Los Angeles Masters, une prestigieuse compétition de saut d’obstacles, organisée au Convention Center de Downtown L.A.
Lancé par le groupe EEM World, que dirige l’amateur de chevaux belge, Christophe Ameeuw, ce championnat succède à deux autres événements similaires lancés à Paris en 2005 et plus récemment à Hong Kong en 2013.
«Nous souhaitions une présence sur trois continents : après l’Europe et l’Asie, nous recherchions une grande ville américaine internationale qui, comme Paris et Hong Kong, puisse allier prestige, luxe, glamour et célébrité» explique Matthieu Gheysen, Directeur des Evénements du Longines Los Angeles Masters. Le choix s’est donc très vite porté sur L.A.
Le plus beau plateau depuis les J.O de 1984
Cette compétition, organisée en partenariat avec la célèbre marque de montres suisses de luxe « Longines », accueillera les 25 meilleurs cavaliers du monde, avec à la clef une dotation d’un million de dollars. « Nous n’avions jamais eu un aussi beau plateau à Los Angeles depuis les Jeux Olympiques de 1984 ! » précise Matthieu Gheysen.
«Il est en effet rare que les meilleurs cavaliers du monde fassent tous en même temps le déplacement avec leurs chevaux, jusqu’en Californie. La plupart des grandes compétitions se déroulent en général, en Europe, même s’il existe une communauté équestre importante et très active en Californie ».
Belges, Allemands, Américains, Brésiliens, Français (dont quelques pointures comme les vice-champions du monde Patrice Delaveau et Kevin Staut)… Tous les cavaliers décolleront dans quelques jours de Bruxelles, avec leurs chevaux, dans un avion spécial affrété pour l’occasion.
Bruce Springsteen viendra encourager sa fille
« Il y a aussi, parmi nos cavaliers, des enfants de personnalités : comme la fille de Bill Gates, Jennifer, ou encore Georgina Bloomberg, fille de l’ancien maire de New York, Michael Bloomberg, sans oublier Jessica Springsteen. Son père, le chanteur Bruce Springsteen, nous a assuré qu’il serait même là pour l’encourager ! ». D’autres vedettes assisteront à l’événement : les noms de l’acteur Tom Selleck, et des sportifs Andre Agassi et Steffi Graf ont notamment été évoqués.
Outre les différentes épreuves de saut d’obstacles, petits et grands pourront également se distraire au sein du « village », une section récréative où seront proposées différentes activités : dégustations gastronomiques, galerie d’art (avec des toiles de Picasso, Chagall ou encore Miro), concerts en soirée, ou bien encore spectacles équestres avec l’artiste française Clémence Faivre. Au total, près de 30.000 personnes sont attendues.