Ils n’étaient qu’une poignée pour la première, dont très peu de francophones, mais c’est un début: l’évêché de Brooklyn est bien décidé à faire venir les ouailles françaises de plus en plus nombreuses dans le “borough”.
Chaque dimanche à 11h, la messe est donc désormais célébrée en français à l’église St Agnès dans le quartier de Carroll Gardens. En chair, le père Paul Anel,un Ariégeois installé à New York depuis six ans. Il y est venu avec l’association Point Coeur et s’occupe de l’antenne installée dans un des “projects” de Fort Green.
“C’est la première fois que j’ai une messe régulière” raconte le jeune prêtre (36 ans). “C’est le diocèse qui a eu cette idée, explique-t-il, comme il y a de plus en plus de familles françaises ici, ils ont voulu leur proposer cette messe“. La paroisse a déjà plusieurs messes en espagnol, mais aucune en français. Il existe dans Brooklyn plusieurs messes célébrées en créole haïtien.
Cette initiative du diocèse de Brooklyn intervient après que l’évêque voisin, celui de Manhattan, se soit attiré les foudres de fidèles français de New York en décidant de fermer l’église française de Saint Vincent de Paul.
Brooklyn espère pouvoir récupérer une partie des fidèles de la communauté de St Vincent de Paul dont beaucoup n’ont pas rejoint l’eglise Notre Dame au nord de Manhattan (114ème rue), désignée par le diocèse comme “centre de la communauté francophone“.
Une messe en français tous les dimanches à Brooklyn
L'étrange entreprise de Julie Béna
Ambiance aseptisée, des images de San Francisco derrière un store, un présentoir en bronze où s’empilent des magazines de voyage, et la voix doucereuse d’une hôtesse de l’air.
Bienvenue à T&T Consortium. Agence de voyage ? Aéroport ? Salle d’attente ? En empruntant au vocabulaire visuel de la communication publicitaire, l’artiste française Julie Béna souhaite bouleverser le spectateur dans sa perception de la société de consommation. Une installation à voir jusqu’au 18 octobre au FIAF, dans le cadre du Festival Crossing the Line.
Depuis ses débuts en France et en Europe, la jeune femme s’amuse à détourner les objets du quotidien pour en faire des objets de réflexion. Cette installation new-yorkaise prolonge son solo show “Das Reiseburo” – agence de voyage en français – à Paris en 2012. A Prague, elle décide de créer de faux magazines de voyage. “C’est en travaillant à Montréal que je me suis intéressée aux talk-shows, et particulièrement aux pubs qui interviennent toutes les 15 minutes, explique Julie Béna. C’est la présence de cette pub globalisée et globalisante, qui m’a donné l’idée d’Atoll Corporation, à l’origine de T&T Consortium.”
Au cours de cette installation, deux vidéos d’une minute trente viennent d’ailleurs rappeler, à la manière d’un flash publicitaire “qu’on n’échappe pas à la consommation.”
La signature de cette société fantôme est apposée sur chaque objet – du stylo au badge, en passant par les magazines ou encore le faux plan d’évacuation. “Je souhaitais développer Atoll Corporation non pas en elle-même, mais à travers ses produits dérivés, précise Julie Béna. On a de fait l’impression qu’il s’agit d’une société réelle, avec une matérialité, alors qu’en vérité, elle n’existe pas.”
Plongé dans cet espace artificiel dont il connaît les codes malgré lui, le spectateur est en proie au doute. “La publicité délivre un message clair, direct, qui ne donne pas d’espace à la réflexion, explique Flora Katz, conservatrice. Ici, l’installation agit comme une matrice et invite à la critique, mais de façon subtile.” D’où cet oxymore dans le titre “You’re Already Elsewhere” : une invitation à un voyage “préfabriqué“.
Retour poilant pour les French Comedy Nights
Les French Comedy Nights avaient affolé vos zygomatiques lors de sa première édition en avril dernier? Et voilà qu’elles reviennent à New York !
Des humoristes français donneront un show, en français bien sûr, qui devrait vous faire rire aux éclats. Les 2, 3 et 4 octobre à 19h, Pascal Escriout et Michael Sehn envahiront Times Square. Le premier présentera son one-man show « L’Américain », avec son accent d’ancien rugbyman du Sud-Ouest de la France. Il y décryptera avec humour tout ce qui oppose les Gaulois aux Américains. Et croyez-nous, il y a de quoi faire !
En première partie, Michael Sehn lui, présentera des sketchs intitulés « Keep calm, I’m French ». Un peu d’improvisation, mais aussi le récit poilant de sa vie en Amérique, ses galères du quotidien que tout expatrié français aux Etats-Unis a vécu un jour ou l’autre… De quoi vous faire accepter votre accent barbare, les moments de solitude et toutes ces choses qu’on ne comprend toujours pas à propos des Américains.
Trois idées pour manger étoilé sans se ruiner à New York
Les meilleurs restaurants gastronomiques de New York n’affichent pas tous des prix astronomiques, pour qui sait s’y rendre au bon moment. Et choisir la bonne salle.
- Trois étoiles Michelin
Le menu midi “City Harvest” du Bernardin, 45 $
Direction le Lounge, l’espace brasserie chic de ce mythique restaurant trois étoiles, considéré comme l’un des meilleurs de New York (et des Etats-Unis). La carte du Lounge propose des plats autour de 20 $, et un excellent menu midi à trois plats , le City Harvest, à 45$. Celui-ci est signé Eric Ripert, le chef “star” de la maison. Il est composé essentiellement à base de produits de la mer, et change toutes les semaines (l’ensemble est léger, mieux vaut ne pas venir avec une faim d’ogre). Début juillet, figuraient à la carte un tartare de thon en entrée, suivi d’un filet de saumon bio accompagné de champignons et de racines de lotus, et pour finir, un parfait au chocolat aux amandes et sorbet au lait. Tenue correcte exigée (ambiance très classique), et pas de réservations. 155 West 51st Street. (212) 554-1515
- Deux étoiles Michelin
Le “Bar menu” de Marea, à partir de 19$
Pour ne pas laisser sa paie hebdomadaire dans ce restaurant de fruits de mer très réputé, direction le comptoir. Là, Marea propose un “Bar menu”, avec des assiettes de poissons crus à 19$, et une carte de pâtes fraiches maison aux coquillages, au poulpe ou autres fruits de mers à 30$ l’assiette. Bon à savoir, le “Bar menu” est servi midi et soir. Pas de réservations. 240 Central Park South (212) 582-5100
- Une étoile Michelin
Le burger de Minetta Tavern, 19$
Servi seulement dans le “lunch menu”, avec cheddar et oignons caramélisés, le burger est un classique de la maison. Minetta Tavern, la steakhouse frenchy de l’anglais Keith McNally (à la tête d’un empire de restaurants à New York, dont Balthazar, le Cherche Midi, Schiller’s) fait souvent salle comble. Et propose de prix acceptables, en particulier le midi. Attention, le “lunch menu” n’est servi que du mercredi au vendredi. 113 Macdougal St, (212) 475-3850
Et aussi… Le food cart de Rouge Tomate, à partir de 4$
Vous souhaitez payer encore moins cher ? En attendant la prochaine réouverture du restaurant downtown, Rouge Tomate (une étoile) opère un food truck estampillé “healthy” (“The cart in the park”), garé devant Central Park (angle 64th et 5e avenue). Il sert des burgers élaborés (8$) et des hot-dogs naturels (4$) au printemps et en été.
Petit Trois, le bistro "bien de chez nous" de Ludo Lefebvre
Petit Trois, c’est typiquement ce que les Américains appellent « a hole in the wall » : un bistro d’une vingtaine de places, qui ne paye pas de mine de l’extérieur.
« Je trouvais qu’à Los Angeles, il manquait un vrai bar-brasserie authentique à la française. Le genre d’endroit qui sert quelques plats français classiques» explique le maître des lieux, Ludo Lefebvre. « La seule différence, c’est qu’en France, on y trouverait aussi plutôt du vin. Chez Petit Trois, je me suis inspiré de la série Mad Men et j’ai eu l’idée de servir surtout des cocktails» poursuit le chef français.
Adulé des médias américains, notamment depuis sa participation au jury de « The Taste », le reality show culinaire d’ABC, Ludo Lefebvre est devenu en quelques années une rock star de la cuisine aux Etats-Unis. Chaque nouveau concept qu’il lance fait immanquablement le buzz : des LudoBites, son restaurant éphémère, au Ludo Truck, un camion spécialisé dans le poulet frit haut de gamme, en passant par Trois Mec, un bistro (situé juste à côté de Petit Trois) où les réservations ont été remplacées par un système de billetterie… Comme pour un concert.
Contrairement à Trois Mec et à son système de ticket sélectif, Ludo Lefebvre souhaite «que tout le monde puisse venir tester Petit Trois”. “L’idée, c’est que cela reste un bistro de quartier sympa, où l’on peut passer n’importe quand» résume-t-il.
Jambon-beurre et omelette au Boursin
Le menu restreint de ce « bar à la carte » fera le bonheur des nostalgiques de la France. Croque-Monsieur, jambon-beurre, pan bagnat, moules marinières, steak-frites, steak-tartare et même … Omelette (au Boursin). Un classique souvent mangé au petit-déjeuner en Californie et que Lefebvre souhaiterait voir les Angelinos adopter au dîner !
“Tous les plats du menu font écho à des souvenirs d’enfance avec lesquels j’ai grandi et que je veux partager avec les habitants de ma ville d’adoption” souligne ce Bourguignon, qui a débarqué à Los Angeles il y a près de 20 ans.
Pour créer Petit Trois, Lefebvre s’est entouré de ses deux acolytes de chez Trois Mec, Vinny Dotolo and Jon Shook, avec lesquels il a sympathisé il y a quelques années, en se battant contre l’interdiction du foie gras en Californie.
Sans oublier, sa barmaid de choc Danielle Motor, qui propose notamment un « cocktail Bardot », en hommage à Brigitte, «variation, explique-t-elle, d’une boisson appelée « French Blonde ». “C’est un mélange de pamplemousse rouge, de Suze, (un peu d’amertume, en référence à sa légendaire moue boudeuse), de liqueur Saint-Germain… Avec un zeste de pamplemousse grillé, car elle fume tout le temps !».
L'art chaotique d'Asser Saint-Val à Miami
Asser Saint-Val est né à Haïti, avant de venir s’installer à Miami. C’est dans cette ville qu’il présentera une installation interactive, appelée « The Philosopher’s Stone ». Cette création originale est une reproduction en trois dimensions des peintures abstraites de l’artiste.
L’exposition débutera le 19 septembre, pour se prolonger jusqu’au 9 novembre, au MDC Museum of Art and Design. Le travail de l’artiste a quelque chose de féérique, comme si ses peintures appartenaient à un autre monde. Il peint avec du chocolat et du café, ajoute quelques touches de couleurs vives ça et là, dote d’étranges formes de bras et de jambes. Surprenant, chaotique, effrayant parfois, mais captivant…
Asser Saint-Val a voulu représenter à travers ses coups de pinceaux le corps humain et sa complexité. Qu’on aime ou non, on ne peut être qu’intrigué par ses œuvres.
San Francisco accueille sa première consule
A 41 ans, Pauline Carmona est la première Consule de France à San Francisco. Entrée dans ses nouvelles fonctions le 2 septembre, cela ne fait qu’une quinzaine de jours que la diplomate est arrivée en famille dans sa ville d’adoption.
« Je connaissais San Francisco pour y être venue lorsque j’étais adolescente dans une famille à Berkeley. Je dois dire que je suis très heureuse d’y revenir et d’avoir été choisie pour ce poste, bien sûr en tant que première femme, mais également car San Francisco est la ville où tout se passe. Cet écosystème est unique. Entre innovation, recherche, nouvelles technologies, on a le sentiment que c’est ici qu’il faut être en ce moment.»
Succédant à Romain Serman, Pauline Carmona veut s’inscrire dans la continuité de son action et oeuvrer comme lui dans les domaines de l’innovation, la technologie, les réseaux et la culture. L’objectif est clairement de stimuler les partenariats France-Etats-Unis dans les deux sens.
«Pour cela il faut que nous soyons modernes et efficaces, car on ne peut pas demander à des hommes d’affaires de naviguer entre nos deux pays si on met trois mois à leur obtenir un visa.»
Refonte du site internet, décloisonnement des services, les chantiers sont déjà lancés. Dynamique, cette mère de trois enfants de 11, 9 et 4 ans, est aussi vice- présidente de l’association «Femmes et Diplomatie» qui tente de promouvoir l’équilibre entre vie privée et vie professionnelle. «C’est au moment où une femme se voit proposer des postes à responsabilités, vers la trentaine, qu’elle devient aussi souvent maman. Si l’équilibre n’est pas facile à trouver, c’est possible et il est important que nous ayons ce système d’entraide, d’écoute et de propositions afin qu’une femme n’ait pas à devoir choisir.»
Pauline Carmona a été en poste à Hong-Kong et puis à Tokyo avant un passage aux ressources humaines au Quai d’Orsay à Paris. San Francisco est un coup de coeur. « On se sent instantanément bien ici. Cette ville a un côté euphorisant, les gens sourient, sont optimistes, ils viennent discuter facilement. J’ai en outre trouvé qu’il existait un esprit unique d’entraide au sein même de la communauté française. Je trouve ça extrêmement stimulant.»
Houston, veux-tu un programme français-anglais public?
Un groupe de professionnels de l’éducation et de parents se mobilise pour lancer un programme bilingue français-anglais dans le système scolaire public à Houston.
Seriez-vous « trés intéress(é), intéressé(e), pas vraiment ou pas du tout intéressé(e) » par un tel programme: telle est la question qu’ils posent dans une enquête –rédigée en français et en anglais– relayée par le Consulat de France à Houston auprès des ressortissants de la région.
« Houston est une ville cosmopolite qui grandit énormément », raconte Joëlle Ciesielski, cofondatrice et vice-présidente du programme de français langue maternelle de l’agglomération, Education française Greater Houston, et membre du groupe de travail.
« Outre EFGH, la région possède déjà une école internationale, La Maternelle pour les enfants de 18 mois à six ans, une nouvelle pre-school d’immersion en français, de nombreux programmes bilingues anglais-espagnol, un programme anglais-mandarin créé il y a trois ans et qui s’agrandit déjà ou encore des écoles magnets comme Kolter, mettant les langues à l’honneur. Mais toutes les options seront nécessaires pour répondre à la demande. »
Avec ce sondage, il s’agit, comme pour l’initiative lancée à Austin au printemps, de démontrer la demande en obtenant un maximum de réponses.
Le consulat redonnera le lien vers le questionnaire dans ses prochaines newsletters. « L’objectif est de toucher les Américains aussi et pas seulement la communauté française », explique Lauriane Blandel, l’attachée culturelle adjointe du Consulat, en charge des questions éducatives.
Le vrai "Loup de Wall Street" à Miami
Si vous avez vu le film de Martin Scorsese, vous savez sûrement qui est Jordan Belfort. Le vrai “Loup de Wall Street”, condamné à 22 mois de prison en 2004 pour détournement de fonds et blanchiment d’argent, donnera une conférence à Miami le 18 septembre.
Ancien trader, Jordan Belfort est connu pour avoir escroqué des milliers de clients pendant les années 1990 avec sa société de courtage Stratton Oakmont. Depuis, il devait rembourser plus 110 millions de dollars. Selon Le Figaro, il n’aurait versé que 11,6 millions de dollars.
Aujourd’hui, en plus des droits d’auteur qu’il touche sur ses deux autobiographies et le film de Scorsese, le businessman de 51 ans se refait une santé financière en donnant des conférences sur la formation en entreprises et les stratégies de vente, pour lesquelles il demande 30.000 dollars par intervention.
Pour un minimum de 200 dollars, prenez donc votre dose de développement personnel !
San Diego met la France à l'honneur
Les Frenchy seront mis à l’honneur le 30 septembre à San Diego ! Le Festival Français aura lieu de 17 à 20 heures, à la Marina Village. C’est la Chambre de Commerce Franco-Américaine de San Diego qui est à l’origine de cet événement, entièrement dédié à l’hexagone et à ses spécialités culinaires.
Au menu, éveil des papilles, entre vins et mets bleu-blanc-rouge : croissants, pain, pâtisseries françaises et même salami aux truffes, il y en aura pour tous les goûts ! Pour les plus sérieux d’entre vous, quelques institutions spécialisées dans les échanges entre la France et les Etats-Unis seront de la partie, notamment l’école franco-américaine de San Diego, TV5 Monde ou encore l’entreprise Intrax, qui organise des séjours culturels. Les nostalgiques seront aussi servis, avec Calisson Inc, qui vend, comme son nom ne l’indique pas… des figurines de Sophie la Girafe !
Assistez au concert de Charles Aznavour à New York
Charles Aznavour a beau avoir 90 ans, il est toujours en pleine forme, et prêt à pousser la chansonnette. Il sera en concert à New York le 20 septembre, au Theater at Madison Square Garden.
French Morning vous propose de gagner une paire de tickets pour ce concert, le dernier du chanteur à New York.
Pour participer, il suffit de remplir le formulaire ci-dessous. Le gagnant sera tiré au sort.
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"Seuls en Scène", le Festival d'Avignon de Princeton
Si vous avez raté le Festival d’Avignon, voici l’occasion de vous rattraper. Jusqu’au 11 octobre, la 3ème édition du Festival “Seuls en Scène” propose à Princeton cinq rendez-vous scéniques, parmi lesquels une pièce créée spécialement à Avignon en 2013, un monologue et l’adaptation d’un roman méconnu de Cyrano de Bergerac.
Cette année, ce “French Theater Festival”, en partenariat avec le Lewis Center for the Arts, affiche un beau programme. Il réunit des acteurs et metteurs en scène de renom, comme le comédien Benjamin Lazar connu entre autres pour ses mises en scène éclairées à la bougie.
Le programme:
– Projet Luciole, de Nicolas Truong. Un projet scénique orienté vers le théâtre philosophique qui s’appuie sur les travaux d’intellectuels comme Theodor W. Adorno, Gilles Deleuze, Annie Lebrun, ou George Orwell. Lieu : East Pyne Building Room 010. Les 17 et 18 septembre à 20h.
– Faim, mise en scène de Arthur Nauzyciel. Un conte semi-autobiographique sur l’auteur norvégien Knut Hamsun, prix Nobel de littérature en 1920. Lieu : Matthews Acting Studio 185 Nassau Street. Les 1er et 2 octobre à 20h
– L’Autre monde ou les Etats et empires de la lune, mise en scène de Benjamin Lazar. Le célèbre metteur en scène et comédien Benjamin Lazar s’attaque à un roman méconnu et controversé de l’écrivain du XVIIe siècle Cyrano de Bergerac, où le narrateur atterrit sur la lune, et finit prisonnier. Lieu : Matthews Acting Studio 185 Nassau Street. Les 4 et 5 octobre à 20h et 17h.
– Le Voyage en Uruguay, de Clément Hervieu-Léger de la Comédie-Française et mise en scène de Daniel San Pedro. La Compagnie des Petits-Champs explore, à travers ce monologue, l’origine des héros. Lieu : Whitman College Class 1970 Theater. Les 9 et 19 octobre à 20h
– Lecture d’après les cours d’art dramatique de Louis Jouvet, professeur au Conservation national supérieur d’art dramatique. La Compagnie des Petits-Champs rend hommage à l’acteur et metteur en scène français à travers les pièces classiques dans lequel il a joué comme Dom Juan ou Le Mariage de Figaro. Lieu : Whitman College Class 1970 Theater. Le 11 octobre à 18h et 21h .
L’entrée est gratuite, mais il est vivement conseillé de réserver.