Accueil Blog Page 1182

Trois compétitions cyclistes au Texas

0

Pour ceux qui auraient raté le Tour de France, voici une occasion de vous rattraper. The Hotter ‘N’ Hell Hundred est une des plus célèbres et ambitieuses compétitions cyclistes des Etats-Unis.
Chaque année, plus de 12.000 coureurs locaux et internationaux viennent s’affronter à Wichita Falls. Le 23 août, ils auront le choix de parcourir cinq distances comprises entre 10 et 160 km. Chaleur et vents seront au rendez-vous.
The Hotter ‘N’ Hell Hundred prévoit également deux autres compétitions les 22 et 24 août, qui comprennent une course en montagne et une course en sentier.
Il est encore temps de s’inscrire pour 35$ par personne et par course. Comptez 45$ en cas d’inscription après le 18 août.
Un camping est à la disposition des familles et amateurs de cyclisme. Pour réserver, contacter YMCA au : 940-322-7816.

11 endroits pour "pécho" à New York

Conformément à sa mission de service public, French Morning vous aide à décrocher un bisou, d’un baiser, voire plus! A vous de jouer!
11. Wine and Roses (Upper West Side)
Bar à vin chic où les filles se retrouvent pour parler des mecs, et où les mecs se retrouvent pour parler des filles. 286 Columbus Ave – 212-579-9463. Site ici
wines and roses
10. Piano’s (Lower East Side)
Un peu vieillot avec de la bonne musique live, c’est un incontournable pour les célibataires. Il ferme tous les jours à 4h du matin. L’heure où tout commence. 158 Ludlow – 212.505.3733. Site ici
PianosBackRoom
9. La Caverna (Lower East Side)
Chaude ambiance dans cette boite en sous-sol, où l’on peut fumer le narguilé et enflammer la piste de danse. 122 Rivington St – 212-475-2126. Site ici
caverna
8. Apothéke (Chinatown)
Un bar derrière une porte qui ne paie pas de mine, où des hommes en blouse servent des cocktails délicieux. Et où se retrouvent les célibataires de la ville. 9 Doyers St – (212) 406-0400 – Site ici
 
apotheke_s345x230
7. Le Bain (Meatpacking)
Comment ne pas citer ce haut-lieu de la nuit dans le “Meatpack”, au Standard Hotel? Détail: il a une piscine! 848 Washington at 13th Street – (212) 645-4100. Site ici
le-bain-nyc
6. Brass Monkey (Meatpacking)
Ce n’est pas notre préféré (il est archi-bruyant), mais pas sûr que vous soyez là pour parler de Kant non plus. 55 Little West 12th St – 212-675-6686. Site ici
brass monkey
5. Baby Grand (Canal Street)
Un bar très étroit qui propose du karaoké: rien de tel pour rapprocher. 161 Lafayette St- 212-219-8110. Site ici
baby grand
4. Hudson Hotel (Columbus Circle)
La cour du Hudson Hotel se remplit chaque soir de “beautiful people”. Comme vous! 356 W 58th St – 212-554-6000. Site ici
hudson-lobby
3. Union Pool (Williamsburg)
Chef-lieu des célibataires de Williamsburg. 484 Union Ave, Brooklyn – 718-609-0484. Site ici
UnionPool_V1
2. Prohibition (Upper West Side)
Ce bar très rock de l’Upper West Side ne vous décevra pas. A défaut de repartir avec quelqu’un, vous passerez un bon moment en écoutant les concerts live chaque nuit. 503 Columbus Ave – 212-579-3100. Site ici
probition
1. Miss Favela (Williamsburg)
L’incontournable du samedi soir. Ce bar brésilien est chaud, très chaud. Son délicieux mojito et sa musique live “caliente” y sont peut-être pour quelque chose. 57 S 5th St, Brooklyn- 718-230-4040. Site ici
miss favela

"La Jalousie" : Philippe Garrel au sommet de son art

“Me laisse pas Louis. Me laisse pas toute seule”. Silence. Sanglots. La porte claque.
Tout comme Charlotte, réveillée par la dispute de ses parents, le spectateur observe la séparation par le trou de serrure de sa chambre. Plongée dans l’intimité profonde d’une famille, dès la scène d’ouverture de “La Jalousie”, qui sort en salles à Miami, Los Angeles et New York.
Louis (Louis Garrel) quitte Clotilde et sa petite fille pour Claudia (Anna Mouglalis). Tous les deux sont comédiens. Lui joue dans un théâtre et arrive péniblement à joindre les deux bouts tandis qu’elle, qui n’a pas tourné depuis six ans, ne trouve pas de rôle. 
Lui peut vivre d’amour et d’eau fraîche et croit follement en elle. Elle que ses ailes de géant empêchent de marcher”. Elle qu’il aime “définitivement” et à qui il adresse une déclaration d’amour d’une rare beauté. Elle qu’il idolâtre, telle une muse, aime et adore. 
Elle est tiraillée. Profondément angoissée, fatiguée d’attendre… attendre quoi et attendre pourquoi ? ne cessera-t-elle de se demander. Épuisée d’habiter dans leur chambre de bonne, elle veut plus. Dans une scène, sublime, elle commencera par lui dire qu’“on ne s’aime pas comme ça dans le vide” avant d’expliquer qu’elle ne peut plus vivre dans cet endroit “C’est moche, c’est triste (…) Je veux bien être fauchée mais je supporte pas d’être pauvre”.
Peu à peu, leur couple s’essouffle. Alors que Louis s’aventure dans le flirt léger avec des femmes, Claudia elle franchit le pas de l’adultère. Pourtant, elle l’“aime autant qu’elle est capable d’aimer”.
Le couple Garrel-Mouglalis crève l’écran, elle avec sa voix suave et rocailleuse, lui avec une passion nonchalante qui l’habite tout au long du film. Ensemble, ils brillent.
Telle une nouvelle, “La Jalousie” explore la complexité du sentiment amoureux, en dessinant les contours d’une relation passionnée. Des tableaux de la vie quotidienne s’enchainent, emprunts de poésie, telle cette scène où Louis récite “Britannicus” en se rasant tandis que sa bien-aimée lit allongée dans la pièce attenante. Le film adopte le point de vue de Louis, tour à tour désespéré, aimant, à la fois père et amant, homme surtout.
Loin de se cantonner au rapport amoureux, la jalousie concerne tous les personnages du film. C’est celle de Charlotte, incarnée avec brio par Olga Milshtein, qui entretient avec son père une relation complice et fusionnelle. Rarement un duo n’a été aussi touchant, leurs regards et leurs sourires enveloppant le film d’un manteau de tendresse. C’est aussi celle de Clotilde, qui voit le père de sa fille refaire sa vie et doit faire son deuil et continuer elle aussi, à avancer.
“La Jalousie” est une ode à l’altérité qui montre avec beaucoup de subtilité que l’amour peut revêtir maintes formes, et tout autant de significations plus ou moins perceptibles par l’être aimé. Parfois encombrant, vecteur de culpabilité, de désespoir mais aussi de joie, l’amour est disséqué par le réalisateur comme un fantastique moteur de vie.
Convoquant son histoire personnelle, Philippe Garrel fait appel à sa famille pour incarner ses souvenirs. Inspiré d’une histoire d’amour que le père de Philippe Garrel a vécue, lorsque celui-ci était encore enfant et vivait avec sa mère, c’est le fils du réalisateur qui incarne son père, à l’âge de 30 ans. Au casting, on retrouve également Esther Garrel, soeur de Louis à l’écran comme dans la vie.
La photographie signée Willy Kurant est absolument sublime. Le noir et blanc charbonneux, allié aux gros plans typiques des films muets qu’aime tant Philippe Garrel, donne à l’image une force rare doublée d’une esthétique percutante.
La musique, composée par Jean-Louis Aubert achève de donner au film volupté et profondeur. On sort de la salle de cinéma abasourdi.
 
 
 

Ambiance parisienne à l'hôtel Nikko

Vous emmener “Sous le ciel de Paris”, voilà ce que promet la chanteuse Betty Roi, qui sera en concert au Feinstein’s, à l’hôtel Nikko le 20 août.
Accompagnée d’un piano, une basse et une batterie, la parisienne interprétera des classiques de la chanson française des années 1930 à 1960, mais aussi des standards du jazz, anglais et français. Un moment romantique dans une ambiance cabaret, de 19h à 20h15.

Et toi, tu "shuffles" ?

Il y a six mois, a ouvert, au coeur de BoCoCa (Boerum Hill, Cobble Hill et Carroll Gardens), un drôle d’endroit. Au Royal Palms Shuffleboard Club, on accueille toute personne désirant s’essayer au shuffleboard.
Peu de Français peuvent se targuer de connaître ce jeu d’originie britannique vieux de plusieurs centaines d’années. Très populaire aux États-Unis, ce jeu d’agilité et de précision similaire au curling (sans les “balais” ni la glace) se pratique sur une piste composée de deux triangles à chacune de ses extrémités. Les triangles sont divisés en zones, chacune valant un nombre de points précis.
Quatre joueurs répartis en deux équipes s’affrontent depuis leur triangle respectif. À l’aide d’une palette, les joueurs doivent pousser leurs disques dans le triangle adverse. Astuce: profitez de votre lancé pour dégommer les palets déjà placés de vos adversaires.
“Chose cool avec le shuffleboard: n’importe qui peut y jouer”, explique Jonathan Schnapp, le propriétaire de The Royal Palms Shuffleboard Club.
Le lieu, superbement décoré, permet un voyage dans le temps. On se croirait dans un film de Martin Scorsese, avec ambiance rétro chic, employés vêtus de costumes blancs et papier peint flamand rose dans les toilettes. Au centre de la pièce, les pistes bleues turquoises s’alignent sur fond de parquet luisant. “Pour 40$ de l’heure, vous pouvez faire du shuffleboard tout en buvant un cocktail et manger des tacos. Vous passez une bonne soirée et vous avez vécu une expérience authentique”, glisse le patron.
Les moindres détails ont été pensés pour rendre le lieu unique. Le bâtiment abrite un food-truck différent tous les soirs, pour varier les plaisirs culinaires. “Avoir un food-truck n’engendre pas les même frais qu’une vraie cuisine. Ca nous permet de garder des prix abordables pour les clients que ce soit pour la location des pistes ou les cocktails” commente Jonathan Schnapp.
Devant le succès rencontré par le lieu, le propriétaire n’exclut pas d’ouvrir d’autres clubs aux États-Unis. La difficulté étant bien sûr de trouver un lieu assez grand pour accueillir plusieurs pistes :“Nous sommes un shuffleboard avec un bar et pas un bar avec un shuffleboard”, explique-t-il.
La petite routine s’est rapidement installée à The Royal Palms Shuffleboard Club : le lundis et mardi, les clubs (oui, oui il y en a!) s’affrontent, tandis que le mercredi, c’est soirée bingo. Des “cabanas party” ont également lieu. Si vous êtes un groupe de minimum 10 personnes, vous pouvez réserver votre cabane, une piste pendant une ou deux heures et profiter du bar. Autrement, les pistes ne se réservent pas à l’avance. Premier arrivé premier servi !
 
 

Le wwoofing, l’autre façon de voyager à moindre frais

Envie de découvrir les Etats-Unis de façon originale et à moindre frais ? Le wwoofing est fait pour vous ! Créé en 1971 par Sue Coppard, une Londonnienne en manque de nature, ce concept permet aux volontaires de travailler dans une ferme bio en étant nourri et logé.
Au départ, l’acronyme renvoyait à “Working weekends on organic farms” (week-ends de travail dans les fermes bio). Grâce au bouche-à-oreille, le wwoofing s’est étendu à une centaine de pays, de l’Afrique au Moyen-Orient en passant par la Nouvelle-Zélande et le Japon.
Aux Etats-Unis, le site Wwoof-USA recense près de 1.900 hôtes. Si bien qu’aujourd’hui, “wwoof” signifie désormais “Worldwide opportunities on organic farms” (offres d’emploi mondiales dans les fermes bio).
Il n’y a pas de limite d’âge pour wwoofer. Jeunes (de plus de 18 ans) ou vieux, seules comptent la motivation et l’envie de s’investir. On peut même voyager à plusieurs et avec ses enfants. Le wwoofer doit s’intéresser aux problématiques liées à l’environnement, et peut s’adonner à des taches allant du nettoyage de la ferme à la nutrition des animaux… voire la restauration de meubles anciens ! Tout dépend de ses attentes et de celles de son hôte. A priori, aucune compétence spécifique n’est requise.
Gare toutefois à ceux qui croient à des vacances faciles ! Le wwoofing, ce n’est ni couchsurfing, ni du volontariat international en entreprise. Il s’agit d’un travail – non rémunéré – donc on attend d’un volontaire qu’il travaille de 4 à 6 heures par jour, jusqu’à 6 jours par semaine.
L’hôte en question peut être un fermier ou un particulier qui pratique l’agriculture biologique ou l’éco-construction. Mais il peut très bien apparaître, par exemple, sous la forme d’un organisme, comme l’a vécu Emeline, partie pendant trois semaines en Nouvelle-Orléans, pour reconstruire les maisons après le passage de l’ouragan Katrina. Et la jeune femme n’y connaissait pourtant rien en menuiserie !
Un master en marketing de l’innovation en poche, Emeline veut maintenant se tourner vers l’associatif. “Après 3 mois en wwoofing, j’ai travaillé comme commerciale en France pendant un an, raconte-t-elle. J’ai arrêté, car ce n’est plus ce que j’ai envie de faire. Si je pouvais, je ferais du volontariat toute ma vie !
Idem pour Mélina, qui après avoir sillonné les Etats-Unis d’est en ouest, a abandonné ses études en coopération internationale pour suivre une formation de maraîchère. “J’aime l’idée de travailler la terre. En fac, on n’a pas l’habitude de se salir les mains.
Si Kévin n’a toujours pas envie de devenir agriculteur après être passé par trois fermes, son expérience lui a permis de découvrir un autre mode de vie. “Je voulais montrer qu’il existe toujours des moyens alternatifs respectueux à la fois de l’environnement et de l’homme dans le domaine agricole, et que ces moyens sont accessibles partout, même aux Etats-Unis, pays dont le secteur agricole est réputé outre-Atlantique surtout pour les OGM et ses pratiques de masses agressives et polluantes.
Abus
Comme pour tout, il faut s’y prendre à l’avance. Comptez six mois si vous rêvez d’un ranch au Texas en plein mois d’août. Mais si vous n’êtes pas trop difficile, vous aurez une réponse positive très rapidement.
Pour avoir accès à la liste des hôtes, il suffit de payer une cotisation annuelle de 15/20 euros via un site de wwoofing comme Wwoof-USA. C’est ensuite au wwoofer de déterminer avec l’hôte quel type d’activité il souhaite effectuer, la durée du wwoofing, le nombre d’heures de travail, la nature du logement etc. Ceci afin d’éviter les mauvaises surprises…
Kévin, lui, s’est retrouvé dans une ferme à Tacoma (Washington) que les propriétaires, plutôt aisés, avaient achetée “pour s’occuper” ! Difficile dans ces conditions d’apprendre le métier de fermier. Pire encore, les hôtes de Mélina en Virginie occidentale faisaient travailler celle-ci 70 heures par semaine. “On devait porter des pierres de 10 kg ! Ils nous prenaient pour des esclaves.” Inutile de préciser que tous deux ont demandé à changer d’hôte.
Comme tous les sites de wwoofing, le site Wwoof-USA décline toute responsabilité en cas de problème. D’où l’importance d’une communication claire entre l’hôte et le wwoofer. A noter qu’il s’agit d’un accord tacite et qu’il n’y a pas de lien contractuel strict.
Pensez également à prendre une bonne assurance voyage. En effet, comme le précise Kévin, quand on manipule des machines agricoles, “une blessure peut vite arriver“.
Quant à la question du statut du wwoofer, même si celui-ci est un “willing worker” (travailleur volontaire), il doit se présenter comme “visiteur” aux agents d’immigration.
Enfin, prévoyez un budget qui inclut les billets d’avion et un moyen de transport une fois aux Etats-Unis. A moins que vous ne souhaitiez vivre dans une ferme isolée en harmonie avec la nature …
 

Et les quartiers de New York qui parlent le plus français sont…

Quels sont les quartiers de New York où l’on parle le plus français? Le site Business Insider a utilisé les données recueillies lors de l’American Community Survey de 2012, un questionnaire envoyé tous les mois à un échantillon, pour dresser la carte des langues les plus parlées dans les foyers à New York, anglais exclu.
Sans surprise, l’usage de l’espagnol est le plus répandu. Il est la langue dominante après l’anglais dans la plupart des quartiers de New York. Le français domine à Midtown East / Murray Hill, si l’on en croit la carte (et cela n’a rien à voir avec la présence de French Morning dans le quartier). Le document ne reflète pas la concentration française dans le “Little Paris” de Brooklyn, Carroll Gardens, où l’espagnol règne.
A noter aussi que le créole s’impose à Flatbush, dans le sud-ouest de Brooklyn, en raison de la forte présence haïtienne.
Business Insider s’est ensuite amusé à retirer l’espagnol des paramètres (carte ci-dessous). On s’aperçoit que la français devient alors la langue la plus parlée dans l’Upper East Side et l’Upper West Side, mais aussi à Harlem et Morningside Heights (nord-ouest de Central Park). Le créole fait aussi son apparition dans plusieurs coins de Brooklyn. Mais toujours pas de français à Carroll Gardens!
business insider carte 2

Paris, Nice, Versailles…: 15 villes US qui sont aussi en France

0

Tout le monde connait Paris, Texas. Mais pas Saint-Cloud, Minnessota, ou Calais, Maine. Voyage dans ces villes “françaises” aux Etats-Unis.
1- Paris, Texas, Ohio, Kentucky, etc.
paris texas
Grand succès pour la ville Lumière, puisqu’on en dénombre pas moins de dix-sept aux Etats-Unis : en Alabama, Arkansas, Idaho, Illinois, Kentucky, Maine, Michigan, Mississippi, Missouri, New York, Ohio, Pennsylvanie, Tennessee, Texas et Virginie. Enfin, l’Etat du Wisconsin à lui seul abrite deux Paris ! Et on peut encore ajouter à cette liste déjà bien fournie des South Paris, West Paris (tous deux dans le Maine), et New Paris (Ohio, Pennsylvanie et Indiana). Mais sans mauvaise foi patriote, force est de reconnaître que leur beauté n’égale pas celle de l’originale.
2- Orange, Californie
orange
La ville du sud de la France partage son nom avec Orange, en Californie, chef lieu du comté du même nom. Mais aussi avec Orange, Connecticut ; Orange, Vermont ; Orange, Virginie… Huit homonymes au total, bon score.
3- Marseilles, Illinois
Marseilles_IL_downtown1
En version US, un “s” a été ajouté à la fin du nom, pour coller à son orthographe anglo-saxonne. Ainsi, vous pourrez visiter Marseilles, en Illinois, nommée d’après notre chère cité phocéenne. Mais seulement si vous y tenez vraiment, car d’après “La Croix“, qui lui consacrait un article en 2013, les attraits touristiques de la ville sont plutôt limités.
4- Nouvelle Orléans, Louisiane
new orleans
Orléans a inspiré plusieurs villes, au Brésil ou encore au Canada, mais aussi quatre cités aux Etats-Unis. Le Vermont, New-York, le Nebraska et le Massachusetts accueillent donc un “Orleans”, anglicisé au passage. Et bien sûr, La Nouvelle Orléans, en Lousiane, nommée en l’honneur du régent Philippe duc d’Orléans.
5- Montpelier, Vermont
City_Hall,_Montpelier_VT
Les habitants n’y ont peut être pas le même accent chantant, mais Montpelier (soulagé d’un “L”) est la capitale du Vermont. Et existe aussi en Louisiane.
6- Versailles, Ohio
Streetside_in_Versailles,_Ohio
Pas grand chose de royal dans ces petits coins de l’Ohio, du Kentucky et du Connecticut. A noter que Versailles est le voisin de Lisbon.
7- Calais, Maine
calais maine
Calais, dans le Maine, a pris le nom de notre ville portuaire suite à la guerre d’indépendance des Etats-Unis.
8- Vincennes, Indiana
vincennes
Vincennes, en Indiana, tient son nom de l’officier François-Marie Bissot de Vincennes.
9- Albertville, Alabama
Albertville,_Alabama
Deux homonymes américains pour la ville olympique : l’un dans le Minnesota, l’autre en Alabama.
10- Saint-Cloud, Minnesota
OLYMPUS DIGITAL CAMERA
Savoir inutile : la ville de Saint-Cloud, Minnesota, est jumelée avec Saint-Cloud, France. Logique.
11- Havre, Montana
43ba7a6e6c452ab4ad5a3c0ad2503873
Le Havre a aussi son jumeau américain… tout près d’une station de ski du Montana, que l’on a toutefois amputé de son pronom. Havre devait à l’origine s’appeler France, mais soumise au vote, la proposition n’a pas rencontré l’enthousiasme général.
12- Bayonne, New Jersey
bayonne
Rien ne permet vraiment de prouver un quelconque lien avec la cité basque, mais les fans de “Game of Thrones” peuvent choisir de le croire : la ville du New Jersey a vu naître George R. R. Martin, auteur du “Trône de Fer”.
13- New Rochelle, New York
OLYMPUS DIGITAL CAMERA
La Rochelle peut être fière de sa petite soeur. New Rochelle, dans l’Etat de New York, a été distinguée pour la qualité de son cadre de vie par Business Week en 2008.
14- Nice, Californie
nice
Les deux Nice ont pour point commun un environnement plutôt agréable, puisque la version américaine est située aux abords d’un lac, au nord de la Californie.
15- Lyons, Colorado
lyons
Au pluriel, Lyons est donc une ville du Colorado, mais aussi un minuscule village de l’Illinois.
16- Alsace et Normandy
normandy
En bonus : Les régions françaises ne sont pas en reste, puisqu’on retrouve des villes nommées Normandy dans le Missouri et dans le Tennessee. Et au rayon “contraste météorologique”, une ville portant le nom Alsace est située en Californie.
 
 
 

Rendez-vous avec "Henri" sur TV5 Monde

(Article partenaire) La comédie dramatique de Yolande Moreau “Henri” sera diffusée le 31 août à 8:30 pm EST sur TV5Monde.
D’origine italienne, Henri (Pippo Delbono), la cinquantaine, tient “La Cantina”, un petit restaurant près de Charleroi avec sa femme Rita. Lorsque les clients sont partis, c’est auprès de Bibi (Jackie Berroyer), René et de quelques bières qu’Henri partage sa passion pour les pigeons voyageurs. Le décès soudain de sa femme le laisse désemparé.
Sa fille, Laetitia lui suggère de se faire aider au restaurant par un “papillon blanc”, ces résidents d’un foyer d’handicapés mentaux non loin de là. Rosette (Miss Ming) en fait partie. Son handicap est léger, elle est simplement un peu “décalée” et se distingue par sa joie. Son arrivée chamboule la vie d’Henri.
Présenté à la Quinzaine des Réalisateurs 2013, le second long-métrage de Yolande Moreau a reçu de belles critiques de la presse et a été chaleureusement accueilli par le public.
————————
Note: les “articles partenaires” ne sont pas des articles de la rédaction de French Morning. Ils sont fournis par ou écrits sur commande d’un client qui en détermine le contenu.

Le LA Food and Wine Festival met l'eau à la bouche

Envie de vous mettre au régime ? Raté ! Du 21 au 24 août, à Downtown et Santa Monica, la 4ème édition du Los Angeles Food and Wine Festival propose des dégustations diverses et variées, des démonstrations culinaires, le tout en présence de chefs cuisiniers célèbres comme Graham Elliot, Michael Chiarello ou Robert Irvine.
Un concours verra notamment s’affronter ces mêmes célébrités et des chefs  locaux.
L’achat d’un billet pour les dégustations (du 23 et du 24 août) donne un accès illimité à tous les stands de vin et de nourriture. Chaque événement (cours de cuisine, “after hours” etc.) est payant. Réservations et programme complet ici. Comptez entre 50$ et 350$.

Un autre Français signe chez les New York Red Bulls

Les New York Red Bulls font le plein de Français. Après le défenseur Damien Perrinelle le mois dernier, le club new-yorkais annonce, mardi, l’arrivée de l’attaquant Saër Sène.
Le joueur français évolue depuis trois saisons avec le New England Revolution, un club de Major League Soccer (MLS). Il a marqué 17 buts en 59 rencontres la saison dernière, 11 en 2012. Le Frenchy a été échangé contre l’attaquant des Red Bulls Andre Akpan.
Saër Sène a joué pour l’équipe B du Paris Saint Germain, le FC Etampes, le SG Schorndorf, le SG Sonnenhof Grossaspach et le Bayern Munich II. A New York, il retrouvera Thierry Henry et Péguy Luyindula.

Rendez-vous mondial d'art à Sausalito

Les arts, la nourriture et le vin se réunissent chaque année le long du pittoresque front de mer de Sausalito pour l’un des plus importants festivals d’art des États-Unis.
Le Sausalito Art Festival se tiendra cette année du 30 août au 1er septembre et exposera les oeuvres de 260 artistes américains : peintures, sculptures, bijoux, céramique, verre, arts de la fibre, menuiserie, photographie…
Le festival attire les amateurs d’art et collectionneurs du monde entier en alliant oeuvres de qualité, variées et innovantes avec expositions spéciales mais aussi concerts.
Le traditionnel gala d’ouverture se tiendra le 29 août autour du thème : “Carnevale Around The World”. Les fonds seront reversés au programme Artists Teaching Art (ATA), qui intervient dans les écoles pour sensibiliser les plus jeunes à l’art.